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mardi, 01 avril 2014

L'ORDRE ET LA FINANCE : Manuel Valls à Matignon

valls 11 téléchargement.jpgMichel Lhomme

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Certains s'étonnent de la nomination de Manuel Valls à Matignon, avec un gouvernement resserré et un grand ministère à Bercy. On décidera dans les premières semaines d'une réformette sociale mais on ne changera pas d'un iota la politique de la France. Qu'on ne s'y méprenne pas, Manuel Valls ne rétablira pas l'ordre citoyen des villes. Il garantira les devantures des banques. Il fichera les citoyens mais protègera les hommes d'affaires. C'est l'ordre de mission mondialiste qu'il a reçu et surtout qu'il a très bien compris.

Ce n'est pas François Hollande qui préside et Manuel Valls qui gouverne mais Bruxelles. Le PS, Parti Stupéfiant, comme l’Ump auparavant, ne sont que des partis d’un même système. Le PS n'est plus de gauche. Il n'y a d'ailleurs plus de gauche en France depuis bien longtemps. Il n'y a même plus d'écologistes ''purs'' quand on voit les gesticulations déplacées, c'est le cas de le dire, de Jean-Vincent Placé pour obtenir un maroquin. Or, il faut préparer 2017 et la vraie réalité pour le gouvernement, c'est de renflouer les caisses vidées par les gouvernements successifs. Or, le gouvernement ne peut plus prélever plus d'impôts. On vient même d'évoquer une ''pause fiscale''. Pour cela, il faut un homme lige, un homme obéissant et servile.

Toutes les décisions prises par François Hollande, y compris le pacte de compétitivité, sont jugées timides par les économistes libéraux et elles n'ont fait que creuser le déficit du pays. Hollande n'a pas pratiqué une réelle politique d'austérité. Il n'a pas gelé ni baissé les salaires des fonctionnaires. Il n'a pas touché à la classe politique, supprimé les échelons départementaux, dégraissé la préfectorale. Or, c'est de boucler au plus vite le budget dont il est question maintenant : trouver des sous, des sous perdus dans le paiement des intérêts de la dette. Manuel Valls jouera la figure de l'ordre, mais il protègera avant tout les banques et les financiers. Lorsque les socialistes sont arrivés au pouvoir en 2012, les Français avaient sans doute pensé à leur argent. Ils n'ont pas vu les impôts venir. Les fonctionnaires ont voté socialiste pour défendre leur statut. Ironie de l'histoire, c'est sous les socialistes qu'ils perdront leur pouvoir d'achat. Manuel Valls n'est pas la main de l'ordre républicain. Il sera la main détachée de la finance. Il lui faudrait presque, pour parfaire le tout, nommer Pascal Lamy à Bercy. L'idée de prélever 8% sur nos comptes a déjà été évoquée à la Commission européenne. C'est une proposition qui fut officiellement avalisée en mars 2013 lors de la dernière réunion annuelle de la Trilatérale à Berlin dont le président de la section européenne n'était autre que Jean-Claude Trichet, ancien patron de la Banque Centrale Européenne. Or, Manuel Valls a toujours suivi les travaux de la Trilatérale, du Siècle et du groupe Bilderberg. 

Il est bien informé et il sait, lui, pour qui il travaille. Et puis, que ce soit à Evry ou à l'Intérieur, notre prochain ministre a un défaut : il en fait toujours trop.

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Samedi 5 avril : Pierre Hillard à la Librairie Contretemps...

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Au nord, une hécatombe à gauche et un maillage réussi pour le FN...

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La chronique de Philippe Randa

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Après Hénin-Beaumont la semaine dernière, fief de gauche depuis quasiment un siècle (et sans discontinuer depuis 1945) passé sous direction frontiste, c’est Hayange en Moselle qui a été conquise par l’ancien militant de la CGT Fabien Engelmann, tandis que Florian Philippot, arrivé en tête au 1er tour, cède pour sa part l’élection au maire socialiste sortant : sans doute le vice-président du Front national a-t-il souffert de l’extrême médiatisation de sa candidature, tout comme dans le sud celle du député Gilbert Collard qui, lui non plus, n’accède pas à la mairie de Saint-Gilles qu’il convoitait.

Le mouvement de Marine Le Pen se consolera dans la moitié nord de la France par son implantation désormais indiscutable sur l’ensemble des départements, ce maillage réussi du pays qui était un des enjeux annoncés par l’ancienne candidate à la présidence de la République.

Outre le Nord où ses candidats portent hauts les scores frontistes (18,20 % pour Philippe Eymery alors que le maire historique Michel Delebarre cède sa mairie avec à peine 26,27 % à son ancien adjoint Patrice Vergriete, qui obtient 55,53 %) ou à Lille (18,22 % pour le frontiste Eric Dillies, derrière l’UMP-UDI Jean-René Lecerf (29,72 %) et le maire PS Martine Aubry à 52 %)…

On notera également la victoire du FN à Villers-Cotterêts en Picardie… Pour le reste, cette moitié nord de la France, c’est une litanie de villes qui basculent de gauche à droite : Laval, Nevers, Caen, Belfort, Tours, Tourcoing, La Roche-sur-Yon, Bar-le-Duc, Quimper… ou qui y restent, comme Bourges, Calais et… Paris !

Au fait, quel souvenir laissera la campagne de Nathalie Kosciusko-Morizet ? Rien ! Sa nouvelle coupe de cheveux pour l’occasion, peut-être… et encore ! Quand on pense aux scores des listes Chirac, puis de celles de Jean Tiberi après lui, la droite doit amèrement regretter d’avoir voulu éliminer ce dernier en tentant d’imposer le gaulliste de gauche Philippe Séguin… Elle ne s’est donc toujours pas relevée de cette division des siens dans la capitale.

Certes, de nombreuses villes restent à gauche dans la moitié nord de la France : Metz, Rennes, Brest, Lens, Le Mans, Boulogne-sur-Mer et – ô surprise ! – deux villes passent même de droite à gauche : Douai et… Verdun ! On aura tout vu ! Mais n’avait-on pas déjà vu la semaine dernière Niort, bastion socialiste s’il en était, passer à droite ?

Certes, Martine Aubry est réélue. Mais de justesse avec 52 % des suffrages (contre 66,56 % en 2008) et elle risque bien de perdre la présidence de la communauté urbaine de Lille : Roubaix, une des villes importantes de l’agglomération lilloise, étant passée à droite.

La gauche se consolera sans doute, en plus de Paris, de la victoire à Strasbourg de Roland Ries qui conserve son siège au détriment de l’UMP Fabienne Keller ; outre le candidat du Front national qui s’était maintenu, on ne pourra négliger l’impact durant la semaine passée de l’appel lancé par l’ancien député Robert Spieler aux électeurs : « Ne votez à aucun prix pour Fabienne Keller qui hait les nationalistes et soutient le mariage homosexuel ! »

Il semblerait par ailleurs que Villeneuve-Saint-Georges (dans le Val-de-Marne) reste aux mains du Parti communiste de… 30 voix ! Il s’en est donc fallu d’un rien que l’entente électorale « pragmatique » Divers droite/Front national ne gagne son pari… si tant est qu’il soit perdu, puisqu’un recours est d’ores et déjà annoncé.

15:32 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans tout le Midi avec les identitaires : de la révolte des urnes à celle de la rue

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Un communiqué de la Ligue du Midi (Réseau Identités) :

Il faut remonter à la vague poujadiste de 1956 pour savourer dans le Midi l’ampleur d’une telle défaite de la classe politique –version aile gauche- à une époque où le slogan de campagne qui avait permis d’envoyer 50 députés à l’assemblée était le laconique mais efficace: “Sortez les sortants”.  Toutes bretelles dehors, Pierrot Poujade le visionnaire nous montrait la voie quand il déclarait: “il faut être du côté des petits, des matraqués, des spoliés, des laminés, des humiliés qui vivent avec trois fois rien”… Vision prémonitoire de la situation des petits blancs en 2014.

Dans la plupart des grandes villes du Languedoc-Roussillon, le Parti socialiste a implosé, à l’instar de l’inculte “Mourre de porc” à Montpellier qui a subi une défaite d’anthologie face à un dissident qui était donné à 6% par les sondages il y a moins de 3 mois. Ce résultat ressemble à une réplique des élections régionales de 2010 à l’issue desquelles, le populiste Georges Frêche avait balayé toutes les composantes de la gauche, y compris le Parti Socialiste. La révolte populaire a déferlé dans de nombreuses villes du Midi : à Béziers, à Perpignan, à Beaucaire, à Saint Gilles et dans toute la Camargue ainsi qu’en Provence, à Marseille, Avignon, Fréjus, Orange, Cogolin ou au Luc.

Mais nous sommes conscients que le résultat de ces élections ne va rien changer à notre quotidien. La victoire de l’UMP n’est  que le miroir de la défaite de la gauche. Pouvons-nous penser que Messieurs Copé, Jacob ou Lemaire feront une politique plus identitaire, plus patriote, plus pro-famille, plus sociale, plus rigoureuse que  Messieurs Fabius,  Moscovici ou Valls. Est-ce que vous avez eu envie de vous battre pour  Kosciusko-Morizet contre Hidalgo?

Ne nous y trompons pas,  la réforme régionale sera laissée aux oubliettes, le mille-feuilles de la territorialité ne sera pas raboté et  les technocrates poursuivront leur rêve de démantèlement du Languedoc-Roussillon… ces super-jacobins ne souhaitant que continuer à parasiter sur les départements qui sont  le siège du clientélisme,  du gaspillage et de l’emprise étatique.

Les identitaires de la Ligue du Midi appellent tous leurs sympathisants à monter d’un cran dans l’échelle de la révolte: après la révolte des urnes il faut passer à celle de la rue en rassemblant toutes les colères populaires du pays. Faisons en sorte de “coaguler” à cette protestation l’ensemble des mécontentements socio-professionnels: artisans, salariés, travailleurs précaires, agriculteurs, professions libérales en mettant en avant, parmi eux, ceux qui sont les plus vulnérables : salariés de l’industrie, éleveurs, artisans du bâtiment, bijoutiers, buralistes, sages-femmes … La Ligue du Midi, avec ses partenaires appelle à manifester en nombre pour le Jour de colère ce dimanche 6 avril à 14 h à Montpellier.

Rendez-vous au Peyrou à 13 heures pour les organisateurs.

15:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le moins français et le plus sectaire des socialistes à Matignon...

DSC_0164-2.jpgUn communiqué de Carl Lang,

Président du Parti de la France :

En pleine déroute électorale, le Président de la République socialiste met en œuvre son slogan de campagne : « le changement c’est maintenant ».

Après le grand nettoyage de printemps des mairies socialistes réalisé par les électeurs, François Hollande se voit contraint de sacrifier Jean-Marc Ayrault sur l’autel de la débâcle. Mais le tour de passe-passe du changement de Premier ministre n’est qu’un jeu de dupes : on change de gouvernement pour ne pas changer de politique.

Manuel Valls est chargé de constituer un « gouvernement de combat ». La question est de savoir qui et quoi va-t-il combattre ? En effet nous avons déjà mesuré les capacités de violence politique  de l’ancien ministre de l’Intérieur lors de la répression policière organisée à l’encontre des familles françaises qui manifestaient paisiblement contre le la loi sur le mariage homosexuel. Nous avons aussi en mémoire les interdictions des spectacles et l’acharnement médiatico-politique orchestrée par Valls à l’encontre de l’humoriste Dieudonné. Lorsqu’un ministre de l’Intérieur utilise tous les moyens de l’Etat pour porter atteinte avec autant de haine à la liberté d’expression le pire est à craindre.

Manuel Valls est sans nul doute avec Taubira le plus sectaire et le plus intolérant des socialistes.

Le Président de la République, lors de son allocution a indiqué que sa méthode était le dialogue et le respect, mais l’homme qu’il vient de choisir comme chef de gouvernement s’est illustré à l’occasion des grandes manifestations pour tous par son refus du dialogue et son incroyable mépris des familles françaises attachées à nos valeurs de civilisation.

Carl Lang et le Parti de la France appellent donc à la vigilance et à la mobilisation des Français et en particulier des militants de la droite nationale face aux menaces qui pèsent sur nos valeurs, notre identité française et nos libertés.

09:46 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Yamina Benguigui, ministre et nouvelle élue de Paris Xe, engluée dans une affaire !

3553571311.jpegYves Darchicourt

Yamina Zora Belaïdi épouse Benguigui est notre ministre déléguée la francophonie. Née à Lille dans ce qui n'est sans doute pas une très vieille famille flamande, la dame qui se targue d'être aussi "réalisatrice" sur les chaînes alimentées par la redevance odieuvisuelle vient d'être élue conseillère (PS) de Paris dans le 10e arrondissement.

La bobo maghrébine - asticotée dans la presse people pour s'être faite relooker au botox de façon un peu trop visible - est aussi la représentante personnelle de François le Normal à l'OIF (Office International de la Francophonie). Bien évidemment faite chevalier de la Légion d'Honneur, militante infatigable du droit des femmes surtout exotiques, Yamina est aussi la propagandiste de "l'héritage maghrébin de la France".

Tout ce qu'il faut pour perdurer dans le gouvernement remanié d'après la gifle magistrale enregistrée par le PS et ses satellites aux municipales. Et puis patatras ! On vient d'apprendre que la "Haute Autorité pour la transparence de la vie publique" a fait état de ses doutes (très) sérieux "quant à l'exhaustivité, l'exactitude et la sincérité" des déclarations de patrimoine de l'égérie du 9-3 et que ces faits "sont susceptibles de constituer des infractions pénales" pour lesquelles la grande Zora encourt 3 ans de prison, 45 000€ d'amende et 10 ans d'inéligibilité.

Sans doute distraite, Yamina Zora aurait oublié de déclarer avoir été copropriétaire d'une holding elle-même actionnaire d'une société de sa production - Bandits Production çà ne s'invente pas -  et dont elle aurait revendu les parts pour 430 000€. Petit oubli ou gros mensonge ? En tous les cas des emmerdes en perspective (Anne Hidalgo vient de lui demander de démissionner de son tout nouveau mandat de conseiller) et une nouvelle belle illustration du slogan préféré des abstentionnistes et des autres citoyens français..tous pourris !

07:03 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |