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mardi, 15 avril 2014

La 2e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale, à Nieppe près de Lille, a remporté un franc succès.

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Public nombreux, beaucoup durent rester debout

pour écouter les discours.

Plus de 150 personnes sont venues dimanche à la Ferme de l'Epinette à Nieppe assister à la 2e journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale. Organisée d'une main de maître par Luc Pécharman et sa sympathique équipe du Nord, cette journée s'est déroulée sans incident majeur malgré les piteuses tentatives d'intimidations (menaces et graffitis signés Antifa) des valets locaux du Système.

De nombreux stands politiques (Terre et peuple, Militant, MAS, Parti de la France, Nation, NDP et Synthèse nationale...), des librairies, un service de restauration rapide et un bar où régnait une ambiance conviviale, de franche camaraderie, qui caractérise les journée de Synthèse nationale.

Cette journée fut l'occasion rêvée pour présenter à nos amis le premier numéro des Cahiers d'Histoire du nationalisme, la nouvelle publication lancée sous l'égide de Synthèse nationale. De nombreux abonnements ont été enregistrés ce qui confirme que cette revue répond à un besoin de la part des militants et sympathisants de la cause nationaliste.

Deux séries d'interventions se succédèrent au cours de l'après-midi. La première, animée par Luc Pécharman, aborda, quelques semaines avant les élections européennes, le thème de l'Europe. Robert Spieler, ancien député, fondateur de la NDP et chroniqueur apprécié de l'hebdomadaire Rivarol, et Kris Roman, responsable des relations extérieures du mouvement belge francophone Nation, intervinrent à ce moment là.

Puis ce fut la seconde série d'interventions au cours de laquelle le public écouta avec attention les discours d'Arnaud Raffard de Brienne, essayiste et collaborateur régulier de notre revue, Arnaud de Robert, porte parole du Mouvement d'action sociale, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, Gabriele Adinolfi, Président de l'Institut Polaris, venu spécialement de Rome pour l'occasion, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, à qui il revenait de conclure cette belle journée.

Nous reviendrons dans le détail sur cette réunion dans les jours qui viennent.

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Gabriele Adinolfi, au cours de sa brillante intervention

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Robert Spieler, Luc Pécharman et Kris Roman

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Thomas Joly et Roland Hélie

11:45 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Affaire "Bourricot Incompétent" devant le Tribunal Correctionnel de Carcassonne Coupables, mais pas trop… les accusés font appel

CarcassonnePalais.jpgRichard Roudier

Président du

Réseau identités cliquez là

Habitué des prétoires, je n’avais jamais été condamné à une peine autant minime que délirante…200 euros d’amende assorti du sursis, mon prestige en a pris un coup. Certes, il faut relativiser : Josiane Filio et moi n’avons été condamnés à rien, mais nous sommes reconnus quand même un peu coupables… comme dirait l’autre : coupable mais pas trop…

Dès le début de l’audience,  tout le monde sentait qu’un malaise planait au-dessus du Tribunal… Soumis à un oukase du procureur de Paris qui souhaitait que soit actées à Carcassonne les limites de la liberté d’expression, les juges ne savaient pas comment ils allaient concilier l’inconciliable et se débarrasser d’un bâton merd…Pierre Cassen, en greffier “révolutionnaire” ne perdait aucune déclaration et  préparait déjà son prochain papier…

Josiane fut donc invitée à s’expliquer à la barre. Elle contesta l’acte d’accusation, estimant son article ni injurieux ni diffamatoire. Elle précisa qu’elle avait écrit ce texte au lendemain des interdictions successives des manifestations du Réseau-Identités et de Riposte Laïque, décidées de manière arbitraire par le Préfet Boucault  et attaquée pour la première en excès de pouvoir au Tribunal Administratif par le Réseau-Identités. La présidente rappelait à l’ordre Josiane, de manière assez sèche, lui signifiant que le tribunal n’était pas une tribune politique…

Présent dans la salle au moment de la plaidoirie de Me Gardères, je m’étonnais que le substitut du procureur qui avait tant insisté, quelques minutes avant, pour m’entendre alors que j’étais absent, n’en éprouvait soudainement plus le besoin…Accessoirement il demandait une peine de 1500 à 2000 Euros, pour chacun des accusés !

Maitre Gardères prenait ma défense sur le ton de l’humour : « Ce dossier dérisoire me fait penser à une cour de récréation dans la France de 1950. Richard et Bernard se chamaillent, et le premier qualifie le second de « bourricot ». Certes, le jeu de mot est facile. On peut penser qu’il rappelle les heures les plus sombres de son enfance à Bernard Boucault, qui a sans doute souffert plusieurs fois de ce surnom, et en a gardé des traumatismes irréversibles, d’où sa sur-réaction »…

Mais je n’ai pas dit le « bourricot de préfet », j’ai seulement écrit que toute analogie entre Boucault et Bourricot serait fortuite, ce qui est tout à fait différent, d’autant qu’il s’agit d’un propos venant en conclusion d’une fable de la Fontaine intitulée l’âne chargé de reliques. On savait La Fontaine subversif à son époque, mais 3 siècles et demi  plus tard…quelle fraicheur !

Le tribunal a préféré jouer dans « le feutré », mais pour notre camp, cette condamnation est un pétard mouillé même si nous avons bien ri d’un tel grand-écart ; soyons clair, soit l’on est coupable et l’on doit être condamné, soit l’on est innocent et l’on doit être relaxé, c’est ce qu’a évidemment plaidé notre avocat  en demandant la relaxe, avec en prime la condamnation du préfet Boucault à acquitter 2.500 euros de frais de justice.

A Carcassonne, surtout à Carcassonne, la bouteille de Corbières n’est jamais à moitié vide ou à moitié pleine, suivant comment souffle le « Cers ». Certes, il n’y a pas de quoi faire un fromage de cette affaire, mais les principes sont les principes et la liberté d’expression qui est la mère des libertés publiques ne doit pas déroger avec les principes et nous avons décidé, collectivement avec nos partenaires et notre conseil, de faire appel de ce jugement et de donner à cette affaire le lustre qu’elle mérite désormais.

En sortant du palais et en passant sous les murs de la Cité, je pensais à la figure emblématique de Raimond Roger Trencavel, vicomte de Béziers qui s’était levé lors de la croisade des Albigeois pour défendre son pays et ses libertés.

11:36 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Libé : un enfumage sans modération de l’Élysée ?

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La chronique de Philippe Randa

Boulevard Voltaire cliquez ici

Les plus méchants diront que le quotidien Libération est tellement aux abois qu’il en est réduit à ce titre de une dont on ne sait si elle est plus affligeante que provocatrice, plus stupide que pitoyable : « Droguez-vous avec modération »…

Ils en sont là ! Pour faire parler un « coup » ? Pour vendre une poignée d’exemplaires de plus ? Si au moins le journal annonçait dans la foulée son dépôt de bilan, les responsables – on ne sait plus très bien s’il y a vraiment un directeur ou si c’est un soviet de salariés qui entend dicter ses conditions au baron de Rothschild – pourraient ainsi finir en « beauté », mais non, il ne semble pas que le journal fondé par Jean-Paul Sartre et porté durant la Mitterrandie par Serge July en soit là… même si presque !

Alors ? Pourquoi cette une vantant la libéralisation de la drogue ? Pour rabâcher, encore et toujours, que la « prohibition [ayant échoué], la consommation de masse, addictive, est en pleine croissance », comme François Sergent, directeur adjoint de la rédaction (Ah si ! Il y a une « direction » à Libé !), l’affirme, ajoutant pour tenter tout de même de justifier l’injustifiable que le « climat répressif qui tourne autour des drogues […] empêche tout débat, toute discussion, toute information auprès des usagers [...]. Notamment des plus jeunes et des plus vulnérables… »

Bien évidemment, les réactions ne se sont pas fait attendre, à commencer par celle de Serge Lebigot, président de l’association des « Parents contre la drogue », qui rappelle dans Le Figaro : « Qu’il soit donné acte à notre association, apolitique, d’avoir alerté, tant M. Valls, alors ministre de l’Intérieur, que Mme Touraine, alors ministre de la Santé, sur la folie et l’incohérence de s’acharner à vouloir ouvrir une salle de shoot à Paris, avant sa généralisation en France. Nous n’avons, hélas, pas été écoutés. »

Et de tacler la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDCA, ex-Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie [MILDT]) qui, selon lui, « place sur le même pied d’égalité la dépendance au crack et à l’héroïne et celle aux jeux vidéo, pourquoi pas à l’addiction au café, [cela] en dit long de son nouvel état d’esprit ».

De même, Thomas Sotto, dans sa revue de presse sur Europe 1, fustige la provocation du quotidien passé de la gauche ultra à la gauche faillie, via la gauche caviar : « C’est à se demander ce qu’ils ont pris à Libé  ; [à] aucun moment ils [les journalistes de Libération] ne donnent la parole à un médecin ou un toxicologue qui pourrait mettre cela en perspective. »

À moins que… à moins que le locataire de l’Élysée n’ait simplement dealé avec le quotidien au bord du naufrage pour qu’il relance ce vieux débat polémique ? Les sondages annoncent, en effet, une nouvelle déconfiture du Parti socialiste aux élections européennes, le nouveau gouvernement – copie conforme du précédent – n’incitant pas les électeurs à épargner le parti au poing à la rose, désormais dirigé par Jean-Christophe Cambadélis…

Une façon comme une autre de détourner les esprits de la situation économique, comme l’année dernière la loi sur le mariage pour tous !… Bis repetita desperant ?

11:29 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |