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mercredi, 23 avril 2014

Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

Invité : Maître Nicolas Gardères,

avocat de Serge Ayoub lors de l'"affaire Méric" cliquez ici.

22:16 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER

RIVAROL N° 3137 du 17 avril 2014

 

AUCUN lecteur de RIVAROL n’ignorait que Manuel Valls était un dangereux fêlé. Voici que les cuisiniers de Matignon le découvrent aussi. Valls a, paraît-il, un « régime alimentaire », dixit le Figaro qui raconte qu’« en moins d’une semaine à son poste, le nouveau Premier ministre a déjà rendu fous les cuisiniers de Matignon » : celui-ci n’aime pas le poisson et ne mange « que de la viande rouge ». Manuel Valls est en outre allergique au gluten… Bon courage, camarades cuisiniers !

 

EMOUVANT

 

Plus de deux mois après avoir officiellement mis fin à leur relation, le président a toujours une photographie de lui et de son ex, Valérie Trierweiler, posée sur la cheminée de son bureau. Cette photo représente l’ex-couple, souriant, à Tulle le soir du 6 mai 2012. Alors que toutes les autres photos ont été retirées pas les services de l’Elysée ainsi que les textes faisant référence à elle (vieilles techniques apprises à l’école bolchevique), celle-ci trône toujours sur la cheminée du chef de l’Etat. C’est le Lab d’Europe 1 qui révèle cette importante information. Qu’en pense Julie Gayet ?

 

DUR, DUR, POUR SÉGOLÈNE ROYAL DE TROUVER UN SECRÉTAIRE D’ETAT

 

La nouvelle ministre de l’Ecologie rencontrerait des difficultés pour recruter un secrétaire d’Etat aux Transports, poste rattaché à son ministère. « Personne ne veut bosser avec Ségolène Royal », a déclaré, sous couvert d’anonymat, un proche du gouvernement. Elle a, il est vrai, la réputation d’être parfaitement épouvantable. Ses collaborateurs, ou pour la plupart ex-collaborateurs, de sa Région Poitou-Charentes en savent quelque chose… Sans tomber dans une misogynie que la morale réprouve, force est de constater que beaucoup de femmes qui sont sur le devant de la scène politique, mais aussi dans le monde des affaires, se conduisent comme d’insupportables tyranneaux.

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12:21 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roland Hélie ce soir sur Radio Courtoisie

index.jpgRoland Hélie, Directeur de Synthèse nationale, participera ce mercredi soir (entre 19 h 30 21 h) au Libre journal de la Résistance française de Martial Bild sur Radio Courtoisie cliquez ici.

Parmi les invités de la première partie de l'émission, vous pourrez écouter Thierry Frippiat qui nous parlera de la procession du samedi 17 mai pour le 800e anniversaire de Saint Louis cliquez là

09:57 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ukraine-Russie, ce conflit nous concerne-t-il ?

Logo_present.pngTexte de la Tribune libre de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale, publiée dans le quotidien Présent cliquez ici du mercredi 16 avril dernier.

Les événements qui se déroulent depuis quelques mois en Ukraine ont entrainé, surtout sur les réseaux sociaux, un débat animé au sein de notre famille d’idées. Cela est bien naturel et à le mérite de prouver, à ceux qui en doutaient, que les nationalistes français sont attentifs à ce qui se passe dans le reste de l’Europe. Les uns, au nom d’une vision romantique des choses soutiennent l’insurrection ukrainienne, tandis que les autres, par réalisme géopolitique et sans doute par admiration pour le style « direct » du Président Poutine, épousent la cause de la Russie.

Tout cela nous amène à quelques observations.

D’abord, force est d’admettre que les deux points de vue sont compréhensibles et il est dommage que certains en arrivent à s’insulter pour défendre celui qu’ils ont choisi.

Les nationalistes ukrainiens, et le peuple ukrainien dans son ensemble, ont souffert, c’est indéniable, du joug soviétique pendant plus de 70 ans. Cela à tel point qu’une partie n’a pas hésité dans un premier temps à se ranger aux côtés des forces de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais, au début, les raisons du soulèvement de l’hiver dernier étaient certainement plus à mettre sur le compte d’un refus des pouvoirs ukrainiens corrompus et incapables qui se sont succédés depuis l’indépendance, et sur celui de la misère sociale qui gangrène ce pays, que sur celui de la rancune envers les Russes. Même si celle-ci demeure vivace.

En tant que Français attachés à notre pays et en tant qu’Européens fiers de notre civilisation, nous pouvons comprendre les motivations des insurgés du Maïdan. Le problème c’est que ces motivations ne sont pas forcément les mêmes que celles de ceux qui ont tout intérêt à ce que l’Ukraine se détache de l’influence russe et qui œuvrent en sourdine depuis longtemps dans ce sens.

La sincérité ne doit pas engendrer la naïveté

J’ai pu le constater par moi-même, les nationalistes ukrainiens font parfois preuve d’une certaine candeur. J’ai eu l’occasion il y a un an, à Paris, de rencontrer des responsables de Svoboda, le principal parti nationaliste ukrainien. Sans douter un instant de la sincérité de ces gens, j’ai été frappé par leur fascination, frisant la naïveté, pour l’Union européenne. Leur vision du monstre bruxellois était totalement tronquée. Ils plaçaient toutes leurs espérances dans la reconnaissance par Bruxelles de leur action. Je suis resté sceptique suite à cette rencontre. Néanmoins, comme quoi en politique il ne faut jamais écarter « l’imprévu », quelle ne fut pas ma surprise de voir que, suite à la révolution, deux de mes interlocuteurs d’alors font désormais parti du nouveau gouvernement. Cela dit, il ne faut pas se leurrer. L’Europe, une fois qu’elle se sera bien servie des patriotes ukrainiens contre la Russie, se débarrassera d’eux vite fait car leur idéologie est malgré tout diamétralement opposée à ses projets mondialistes

Parlons maintenant de la position de la Russie de Vladimir Poutine.

Celle-ci estime, à juste titre, que l’Ukraine est « son berceau ». Elle ne peut en aucun cas laisser se développer, à ses frontières, des Etats qui lui seraient foncièrement hostiles. Ce d’autant plus que cela risquerait de faire « tache d’huile ».

La Russie est actuellement, malgré tous ses défauts, l’un des meilleurs remparts face aux intentions belliqueuses et aux menées hégémoniques de l’Empire de la Haute finance apatride. Qu’on le veuille ou non, la Russie d’aujourd’hui n’est pas l’URSS d’hier. Nous ne tomberons donc pas, bien évidemment, dans le piège tendu par les lobbys droits-de-l’hommistes stipendiés par les Fondations mondialistes qui voudraient faire passer Poutine pour un nouveau Staline. Les maîtres du Nouvel Ordre mondial croyaient en avoir fini, au lendemain de la chute du Mur de Berlin, avec l’Union soviétique. Ils pensaient que la Russie allait devenir une puissance déliquescente dirigée par des mafieux ou des ivrognes type Boris Eltsine. Ils se sont lourdement trompés car ils n’avaient pas imaginés l’émergence d’un Poutine capable, en quinze ans, de redonner à son pays sa fierté, comme on a pu le constater à l’occasion des magnifiques Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, et de lui offrir à nouveau une place essentielle dans le monde. Ce renouveau de la Russie peut, légitimement, susciter une grande sympathie auprès des patriotes français écœurés de voir leur pays « dirigé » par une bande de baudruches incapables.

Ne pas se tromper de combat

Nous le voyons, chacun peut trouver de nombreuses bonnes raisons de soutenir un camp ou un autre. Mais, est-ce bien à nous, nationalistes français et identitaires européens, de nous immiscer dans ce conflit qui, quoiqu’en disent tous les va-t’en-guerre de la terre style BHL, ne nous concerne pas vraiment ?

Notre rôle ne serait-il pas, plutôt, de chercher à apaiser ces antagonismes qui ne peuvent que servir les projets fumeux de ceux qui veulent justement anéantir les nations ?

Louis XIV, pour expliquer sa politique étrangère, disait que « la France n’a pas d’amis ni d’ennemis, elle n’a que des intérêts ». C’est ainsi que les nationalistes français, qui sont sensés mettre l’intérêt national au-dessus de tout, devraient voir les choses aujourd’hui. Plutôt que s’entredéchirer à propos de ce conflit qui, finalement, concerne avant tout les Ukrainiens et les Russes, ne serait-il pas plus judicieux de s’interroger sur ce qui sert le plus notre pays ?

La réalité, en France comme dans la plupart des pays, c’est que ce sont justement des gouvernements inféodés à la politique mondialiste qui sont aux affaires. Alors, ne nous trompons pas de combat. Au lieu de s’entredéchirer sur la question ukrainienne, les nationalistes français doivent se mobiliser totalement contre le Système qui, ici comme ailleurs, veut détruire notre nation et notre civilisation.

Or, face à ce Système, force est de reconnaître que la Russie, dans l’état actuel des choses, est un allié nécessaire.

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Le JT de TV Libertés de mardi soir...

00:44 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 11 mai : fête nationale de Jeanne d'Arc

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00:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |