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mardi, 30 septembre 2014

Quand La Voix du Nord veut se tapper l'incruste...

10580920_1573875856172891_7162860861324935921_o.jpgDepuis deux ans, Synthèse nationale organise une journée régionale au printemps à Nieppe près de Lille. La deuxième s'est tenue en avril dernier en présence de notre ami Gabriele Adinolfi cliquez ici. Ces journées sont publique et la presse locale y est invitée. Elle ne vient jamais...

Depuis deux ans, à l'initiative de plusieurs associations amies de Synthèse nationale, une journée amicale privée est organisée fin septembre au même endroit. Il s'agit d'une fête familiale dans la plus pure tradition flamande destinée aux militants de la cause nationaliste et identitaire de la région. La seconde du genre s'est déroulée dans une ambiance amicale samedi dernier. Cette réunion étant privée, la presse n'y est donc pas invitée.

Allez donc savoir pourquoi, il suffit que cette réunion soit privée pour que La Voix du Nord insiste lourdement  pour y assister. Des fois que la petite bête s'y serait sournoisement glissée...

Voici donc l'article que le quotidien nordiste n'a pas pu s'empêcher de consacrer à la journée familiale de samedi dernier (cliquez ici) :

Nieppe, fête familiale de Synthèse nationale

à la ferme de l’Épinette

Ce samedi, la ferme de l’Épinette a été louée par Synthèse nationale, revue d’extrême droite, pour une «grande journée familiale et militante». La deuxième, la première s’étant tenue en septembre de l’an passé. «Une fête privée, une journée de détente. On ne fait pas de politique» sourit Luc Pécharman à l’initiative de cette journée, où l’on ne pouvait assister que sur réservation moyennant 15 euros par repas. «C’est réservé aux militants», résume-t-il.

Pourquoi Synthèse nationale se réunit-elle toujours dans la région à l’Épinette ? Parce c’est fiable : pas de crainte de voir le loueur se désister au dernier moment dans la mesure où Gaston Lemaire, le propriétaire, est militant du Front National, troisième sur la liste Bleu Marine de Didier Lejeune à la dernière élection municipale où cette liste a obtenu un siège. Quand on rapproche son mouvement du Front national, Luc Pécharman qui a quitté le FN en 2007 et se trouve délégué régional de la Nouvelle droite populaire, s’indigne « On ne se reconnaît pas dans le Front de Marine de Pen ». Sa revue a lancé une nouvelle revue, Cahiers d’histoire du nationalisme. Léon Degrelle, Belge nazi, antisémite, xénophobe et négationniste, a fait l’objet du premier numéro. Jacques Doriot, à base d’archives du père de Didier Lejeune, est sorti le 11 septembre.

Quant à Gaston Lemaire, le propriétaire de la ferme, il avance qu’il loue à qui paie. C’est vrai qu’il y a des mariages, des fêtes étudiantes ou techno… Mais c’est vrai aussi que l’endroit est devenu le lieu de rassemblement de l’extrême droite de la région Flandre-Artois-Hainaut.

10:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quimper dit "NON !" au minaret... Mosquée turque, "Quimper Résistance" s’invite au conseil municipal

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Source Breiz Infos cliquez ici

Le projet de construction d’une mosquée turque à Quimper continue de faire polémique cliquez ici. Vendredi soir, à l’occasion du conseil municipal, une toute nouvelle association baptisée « Quimper Résistance » en a profité pour manifester devant la mairie son opposition au projet.

« Aujourd’hui, les communautés musulmanes de Quimper disposent déjà de deux mosquées, à Penhars et à Terre Noire. Or la communauté turque, forte de 350 familles, a déposé un permis de construire pour transformer celle de Terre Noire non plus en simple lieu de culte, mais en école coranique avec coupoles et minaret – de 14 mètres de hauteur ! » écrit l’association – proche du Parti de la France – dans un communiqué adressé à la presse.

Pendant une heure, les militants ont ainsi déployé une banderole dans la cour de la mairie, tout en distribuant des tracts aux riverains et aux Quimpéroises et Quimpérois venant assister au conseil municipal. « On ne comprend pas trop de quoi il s’agit » nous confie Martine, une riveraine « ce projet n a pas été médiatisé et expliqué aux Quimperois » poursuit-elle.

D’autres semblent plus virulents : « Les représentants de la communauté turque de Quimper sont liés au parti islamiste d’Erdogan en Turquie et veulent étendre leur influence dans la cité. Regardez l’état des libertés aujourd’hui en Turquie, et vous comprendrez le malaise qui peut s’installer dans notre petite cité du bout de l’Europe. » .

« Qu’il y ait construction ou pas, le maire perdra ou bien le vote de l’influente communauté turque, ou bien celui des nombreux électeurs proches du Front National qui ont contribué à faire battre Poignant. Il est à un tournant là. Il pourrait faire un référendum local pour s’en sortir. » commente un connaisseur de la vie politique quimpéroise.

Exigeant un référendum local sur la question, les militants du collectif « Quimper Résistance » ont lancé une pétition cliquez là afin d’obtenir la tenue de la consultation populaire sur cette question.

" L’association envisage d’autres opérations de dénonciation de cette aberration architecturale envers la nature profonde de la culture identitaire de la Bretagne, qui est aussi le signe d’une islamisation de moins en moins rampante de la capitale cornouaillaise. Lors du dépôt du permis de construire, elle sera à nouveau sur le terrain pour appuyer son refus avant d’entamer un recours administratif devant le tribunal de Rennes. " explique Claudine Dupont-Tingaud, une des porte-parole de l’association.

A noter que le Front National 29, qui avait au départ affiché son soutien à l’action entreprise, a finalement été dissuadé d’y participer par sa direction, au grand étonnement de certains militants locaux.

L’affaire s’annonce épineuse pour Ludovic Jolivet, le nouveau maire de Quimper, qui pourrait bien payer électoralement les conséquences de l’agrandissement – ou pas – de la 2e mosquée de la ville.

09:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A propos du dernier livre de Georges Feltin-Tracol, "En liberté surveillée"

GFT LIBSURV.jpgBastien Valorgues

Europe maxima cliquez ici

 

Le 10 septembre 2014, le tribunal de Paris condamnait à des amendes avec sursis les vigiles de Notre-Dame et relaxait les Femen qui avaient détérioré les nouvelles cloches de la cathédrale. Le jour même à Saint-Étienne, le tribunal de police acquittait un curé poursuivi pour l’hébergement de « sans-papiers ». Quelques jours plus tard, tandis qu’Alain Soral se voyait condamné à 7 000 euros (soit 2 000 euros d’amende, 2 000 euros de dommage et intérêts et 3 000 euros de frais de justice) pour diffamation envers le F.N. Louis Aliot, le militant panafricaniste radical Kémi Séba était arrêté le 14 septembre et écroué pour purger – en régime d’isolement ! – une peine de deux mois de prison. Le 16 septembre dernier, en Bretagne, le procureur de la République obtint de lourdes peines – dont un an et demi de prison ferme – à l’encontre de quatre Bonnets rouges accusés de la destruction de radars automatiques et de portiques d’éco-taxe. Le 20 septembre, enfin, après l’incendie justifié du centre des impôts et des bureaux de la M.S.A. (Mutuelle sociale agricole) à Morlaix, le gouvernement de Manuel Valls somma l’appareil judiciaire de retrouver leurs auteurs écrasés par les charges, les normes, les oukases de la grande distribution parasitaire et le contre-coup des sanctions occidentales anti-russes. Dans le même temps, le Parlement discute d’un projet de loi anti-terroriste, soixante-dix ans après le triomphe en France des « terroristes »…

 

Tous ces exemples auraient pu figurer dans le nouvel essai de Georges Feltin-Tracol, En liberté surveillée. Comme l’indique le sous-titre, il s’agit d’un virulent « Réquisitoire contre un système liberticide ». L’ouvrage était attendu. Sa lecture ne déçoit pas. Sollicité par l’éditeur Roland Hélie au moment de l’affaire Dieudonné en janvier, le livre devait à l’origine s’appeler La Quenelle interdite. Mais en mobilisant une multitude de faits prélevés dans la presse officielle depuis plusieurs années, le rédacteur en chef du site Europe Maxima a très rapidement élargi son enquête et nous livre un diagnostic complet, édifiant et terrifiant d’une tendance lourde du monde moderne.

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09:30 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : samedi 4 octobre, conférence à Bruxelles sur l'Aube dorée grec avec Gabriele Adinolfi

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09:30 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rivarol lourdement condamné

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Source Altermedia cliquez ici

La tristement célèbre 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, spécialisée dans la répression politique et la censure de la presse, a condamné vendredi le directeur de la publication de Rivarol à 8.000 euros d’amende. La justice a infligé l’amende sous forme de 100 jours amende à 80 euros : s’il n’est pas en mesure de – où s’il ne souhaite pas le faire – s’acquitter de la somme, Jérôme Bourbon risque 100 jours de prison.

Il a été reconnu coupable de « provocation à la haine » et « injure raciale » pour un article portant sur le « Festival de Kahn » en mai 2013 : « Cannes : le festival de l’impureté ». Durant l’enquête comme à l’audience, Jérôme Bourbon a refusé de dévoiler l’identité de l’auteur de l’article qui avait écrit sous pseudonyme.

Dans cette République bien connue pour sa séparation des pouvoirs, le très indépendant parquet de Paris avait ouvert une enquête à la demande expresse du ministère de l’Intérieur. Alors que l’auteur parlait des « désirs pervers de ces cinéastes étoilés » en référence claire aux « stars » et aux trottoirs d’Hollywood Boulevard, les juges ont vu une référence « évidente » à l’étoile jaune qui aurait été imposée aux israélites durant la Seconde Guerre mondiale. Selon la justice d’occupation, parler de perversité pour un homme convaincu d’avoir drogué et violé une adolescente serait donc antisémite puisque ce criminel est juif…

Le tribunal a également trouvé antisémite le fait d’évoquer « “un certain milieu” au sens des affaires crochu et aux griffes acérées ». Sans une seule seconde juger sur le fond et la réalité des faits, le tribunal affirme qu’en « associant les Juifs à l’impureté, à la pornographie, à la délinquance sexuelle, à l’amoralité, à la rapacité, à l’insolence de la richesse devant laquelle tout cède […], l’auteur de l’article, dont le but est évident, stigmatise les Juifs et les désigne clairement à la vindicte des lecteurs ». Autrement dit : même si une communauté commettait tous ces crimes, la justice de la République interdirait de le dénoncer.

Il faut souligner l’attitude courageuse de Jérôme Bourbon qui s’est solidarisé de son journaliste et ne s’est livré à aucun acte de repentance, bien au contraire : « Moi, rien ne me choque, il n’y a pas de quoi fouetter un chat, ce qui est dit est exact » a-t-il lancé à ses juges. Quant à cette nouvelle condamnation, qui s’ajoute à de nombreuses autres, il avait déjà déclaré : « Je les vois presque comme des décorations. »

00:06 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |