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samedi, 22 novembre 2014

Synthèse nationale au congrès européen du GUD à Nanterre...

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Roland Hélie au congrès du GUD : "Il y a 34 ans, c'était le 15 décembre 1980, le GUD avait organisé un tractage sur le campus universitaire de Nanterre. Ce tractage se termina par une véritable bataille rangée. Il y eu de nombreux blessés et plusieurs camarades furent arrêtés. Certains passèrent Noël en taule. Une rame de RER fut détruite et cela sembla plus offusquer les bienpensants du moment que la violence aveugle des gauchistes contre les nationalistes. Ce fut un désastre....

Aujourd'hui, 34 ans après cette véritable défaite militaire, le GUD tient son congrès à Nanterre. Nous sommes plusieurs centaines à ce congrès, le GUD est toujours bien vivant. Les gauchistes, eux, sont devenus des petits domestiques serviles du CAC 40. Pour nous, tenir aujourd'hui ce congrès à Nanterre, c'est une vraie victoire politique. Nos camarades blessés et emprisonnés en décembre 1980 sont vengés !"

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23:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse : Le congrès du GUD à Nanterre

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Le GUD invite Aube dorée pour son congrès

Le Figaro.fr cliquez ici

LE SCAN POLITIQUE - Le mouvement de jeunesse nationaliste organise ce samedi un congrès à Paris, en présence de nombreux groupes radicaux européens.

C'est une réunion peu courante qui doit se tenir près de Paris, samedi. A l'invitation du Groupe union défense, plus connu sous son acronyme de GUD, plusieurs formations politiques, à l'orientation nationaliste-révolutionnaire, sinon néofasciste, ont prévu de se retrouver pour un “congrès européen” intitulé “le réveil des nations”.

Ce congrès vient rappeler l'existence du syndicat étudiant après une période de moindre activité. Le GUD avait pourtant réussi à faire parler de lui, sur et hors des campus parisiens, lors de sa refondation en 2010: tractages parfois musclés et présence sous la bannière à la croix celtique lors de certaines manifestations assuraient la présence du syndicat sur le terrain. En 2011, une branche lyonnaise était créée. Mais l'année suivante, les dirigeants parisiens s'orientent vers un militantisme plus politique (le grand public les découvre, notamment, par la publication d'une photo de la soirée des 40 ans du FN où ils apparaissent à côté de Marion Maréchal-Le Pen). Le GUD Paris est alors repris en main par Logan Djian, qui revendique aujourd'hui une trentaine de membres.

Le GUD change régulièrement de visage, ainsi que le rappelle Nicolas Lebourg, historien spécialiste des droites extrêmes: «Le nom GUD n'est qu'une référence à un mythe, à celui des années 1970 à la fois violent et brillant dans sa propagande. Aujourd'hui, il n'y a plus de combats contre les gauchistes sur les campus. Depuis 30 ans il y a en réalité eu plusieurs GUD: est GUD qui réussit à tenir la marque avec l'aval des anciens.» «Le GUD se réorganise, estime de son côté un cadre du milieu nationaliste, qui sera présent samedi. Souvent, dans l'histoire de ce mouvement, de grands congrès ont été organisés de la sorte afin de le relancer.»

De nombreux invités

Le GUD s'offre un plateau européen de choix parmi divers mouvements radicaux pour son congrès. Outre les Français du MAS et de la revue Synthèse nationale, seront présent des Espagnols de la Liga Joven et du Mouvement social républicain. Les Belges de Nation seront également présents, tout comme la CasaPound, mouvement italien peu connu en France mais très populaire chez les jeunes nationalistes. Ses militants, qui se présentent eux-mêmes comme les “fascistes du IIIe millénaires”, ont adopté des pratiques plus courantes à l'extrême gauche qu'à l'extrême droite: squates d'immeubles, importance donnée à la musique et au culturel.

Enfin, deux assistants parlementaires grecs de l'Aube dorée, classée comme néonazie par certains chercheurs, seront à Paris alors que le parti n'est pas au mieux: plusieurs dizaines de ses membres, dont le président du parti et sa vingtaine de députés, dans le collimateur de la justice de leur pays.

“L'ambition de ce congrès, c'est de tisser des liens entre patriotes et nationalistes européens, de prendre conscience des problèmes qui existe dans chaque pays”, explique Logan Djian, leader du GUD. L'évènement est présenté sur la page Facebook du mouvement comme “le premier sommet de l'Europe réelle”. Pour la petite histoire, “L'Europe réelle” fut la revue du Nouvel ordre européen, un parti néonazi paneuropéen créé dans les années 1950.

Logan Djian reconnait que la référence n'a pas été placée par hasard, mais explique qu'elle va au-delà de la simple reprise. “L'Europe réelle que nous défendons, n'est pas celle du capital, des banques ou de Merkel. Elle est différente de celle vantée par les médias, qui déforment ce que sont des mouvements comme Aube dorée. Pour nous, ce ne sont des patriotes et des nationalistes.”

23:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution prochaine du n°4 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au Parti des Forces Nouvelles (1974 - 1984)

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Novembre 1974. A peine un an après la dissolution d’Ordre nouveau, au moment où la France se retrouve plongée dans le centre-mou giscardien, un nouveau parti nationaliste voit le jour. C’est le Parti des Forces nouvelles.

Pendant 10 ans, ce parti va incarner une droite nationale dynamique, moderne, adaptée aux réalités de son époque. Le PFN a été, pour toute une génération de militants, l’un des laboratoires de ce qui allait devenir par la suite, de la fin des années 80 jusqu’à aujourd’hui, le grand retour de la Droite nationale sur le devant  la scène politique française.

En ce quarantième anniversaire de la création du PFN, il nous a semblé intéressant de consacrer ce numéro 4 des Cahiers d’Histoire du Nationalisme à cette aventure qui marqua notre famille d’idée et qui continue à susciter bien des passions…

Nombreuses illustrations, reprise des textes fondamentaux :

■ Pour une nation nouvelle (1974),

■ Propositions pour une nouvelle droite politique (1979),

■ Perspectives d’actions (1982).

200 pages, 20 € (+ 3 € de port) à commander à :

Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris

Chèque à l'ordre de Synthèse nationale

Vous pouvez aussi le commander en cliquant ici

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