Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 05 décembre 2014

La Crèche interdite...

Creche.jpgFranck Deletraz

Présent cliquez ici

Jugée « incompatible avec la neutralité du service public » par le tribunal administratif de Nantes, la traditionnelle Crèche de Noël installée tous les ans dans le hall d’accueil du Conseil général de Vendée a dû être démontée mardi. Une décision profondément scandaleuse au moment où la fameuse loi de 1905 est quotidiennement piétinée par les musulmans en France, contre laquelle Bruno Retailleau, actuel président du Conseil, est bien décidé à se battre.

Christianophobie ambiante

A l’origine de ce jugement, un recours déposé par Jean Regourd, président de la fédération de la « Libre pensée » de Vendée. Brandissant mardi la loi de 1905, cet obscur laïcard devait expliquer que la Crèche « est un emblème religieux » et qu’« a priori, elle ne respecte pas ce que doit être la neutralité des bâtiments publics (…) et ne respecte pas la liberté de conscience d’un citoyen qui, rentrant au Conseil général, se voit quasiment imposer un emblème religieux et caractérisé comme tel ». De quoi faire rire nos concitoyens qui voient régulièrement leur liberté de conscience piétinée dans leur mairie lors de ces mariages musulmans accompagnés de youyous, drapeaux algériens et autres femmes voilées…

Bref, une décision grotesque, mais qui s’inscrit aussi dans un climat de christianophobie croissante et qui a suscité une importante vague d’indignation. A commencer par celle de Philippe de Villiers qui, tout en invitant « les élus du département à ne pas appliquer cette décision inique », a récusé « ce laïcisme totalitaire, qui est une forme de terreur moderne aux conséquences incalculables ». Une colère partagée par le SIEL, qui a déploré dans un communiqué que le juge administratif n’ait « pas suivi la voie de jurisprudences qui reconnaissent un héritage culturel pour admettre le maintien de traditions en dépit de leur conflit avec des règles plus récentes ».

« Nous irons jusqu’au bout »

En attendant, Bruno Retailleau, président du Conseil général, n’est pas décidé à céder. Soulignant mercredi que « de très nombreux Vendéens se sont émus, par mail, par téléphone ou sur les réseaux sociaux, du jugement du tribunal administratif », il a déclaré contester « avec la plus grande force cette décision » et annoncé que le Conseil général allait donc « utiliser tous les recours juridiques possibles pour faire annuler cette décision. Une demande de sursis à exécution va être déposée dans les jours qui viennent, en appui de l’appel du Conseil général devant la Cour administrative d’appel. Nous irons jusqu’au bout, devant le Conseil d’Etat et jusqu’à la Cour européenne des droits de l’domme s’il le faut ».

10:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Avortement : et le droit des pères ?

P1020933.JPGLa chronique de Philippe Randa

La France politiquement correcte a communié en cette fin novembre sur l’anniversaire de la « Loi Veil »  devenue, en quelques décennies, le contestable symbole d’une supposée libération de la femme… alors que c’est pourtant l’exact contraire de l’esprit dans laquelle la conceptrice de cette loi l’avait présentée à la Tribune de l’Assemblée nationale le 26 novembre 1974 : « L’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issues. (...) Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. C’est toujours un drame, cela restera toujours un drame. C’est pourquoi si le projet qui vous est présenté tient compte de la situation de fait existante, s’il admet la possibilité d’une interruption de grossesse, c’est pour la contrôler, et si possible en dissuader la femme. »

Celles qui se réclament aujourd’hui de Simone Veil la trahissent donc en interdisant tout débat autour de cette loi. Ainsi que la députée Marion Maréchal-Le Pen l’a rappelé, de tels talibans fustigent – en les renvoyant « dans le camp des extrémistes (…) et autres caricatures infâmantes tendant immédiatement  à (les) disqualifier moralement et politiquement » – tous ceux qui en demandent sinon l’abrogation, du moins que le remboursement intégral de l’IVG, aux frais du contribuable, ne soit simplement plus octroyé sans limite et sans condition.

Ces partisans d’un nouvel Ordre totalitaire s’insurgent en effet contre tous ceux qui demande simplement aux femmes en situation de détresse une réflexion sur leur choix, en les mettant en garde sur ses conséquences et leur rappelant que cet « ultime recours » restera pour elle, à jamais, un drame… comme l’a indiqué Simone Veil.

Celle-ci méritait-elle ses héritiers ? Sans doute est-ce sa punition pour avoir ouvert sans en mesurer toutes les conséquences, une telle boîte de pandore qui, en 40 ans, aura autorisé que 8 millions d’avortements aient été réalisés : soit autant de cas où, selon ses propres mots, personne n’a pu dissuader les mères d’un tel « ultime recours ».

Mais au-delà d’un débat confisqué où chacun n’est pas libre de s’exprimer sereinement, un aspect n’est jamais abordé : on se place en effet quasi exclusivement du point de vue de la mère et de son « droit à disposer de son corps », mais rarement (jamais ?) du point de vue du père et de son droit à lui aussi « aimer et élever son enfant »… Rappelons alors une évidence qui semble échapper à beaucoup : il faut tout de même être deux pour faire un bébé !

Combien sont-ils ces pères qui voudraient garder un enfant… dont les mères ne veulent pas ? Il est trop facile d'affirmer que les mâles se défilent toujours devant leurs responsabilités !

Dans la même semaine où la loi Veil était ainsi « célébrée », était pourtant médiatisé le cas de ce père biologique d’un enfant placé dans une famille d’accueil sans qu’il lui ait été demandé son avis et qui le réclamait par voie de justice.

Que la mère ait décidé de ne pas assumer son enfant – et l’on ne peut que se réjouir qu’elle ait préféré l’accouchement sous X à l’avortement – le fait est que les pères biologiques qui réclament leur droit naturel à garder leur enfant existent : ils ne sont ni un argument fallacieux, ni un fantasme délirant !

Simplement gênant, sans doute, pour les auto-proclamées garde-chiourmes du désormais « sacro-saint » droit à l’avortement.

10:34 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

01:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos de cette semaine :

couv.jpg

Pour télécharger, cliquez ICI

01:55 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce vendredi soir, sur Méridien zéro

meridien.jpg

01:52 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |