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samedi, 10 janvier 2015

Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

18:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La vérité :

592bfe96545823139a07ac761c088575.pngDisons que si, au lieu de s’en prendre à la rédaction de Charlie Hebdo, des terroristes avaient décimé celle de Valeurs actuelles, il est fort à parier que les réactions n’auraient pas été les mêmes. On n’aurait pas vu fleurir les « Je suis Valeurs » comme on a vu fleurir les « Je suis Charlie » (du verbe « être », je suppose, pas du verbe « suivre »). La classe politique gouvernementale n’aurait certainement pas parlé d’« union nationale » (thème mystificateur par excellence, d’ailleurs, car une telle « union » profite toujours à ceux qui détiennent le pouvoir et veulent bénéficier d’un consensus). Contrairement à son prédécesseur Hara Kiri, Charlie Hebdo, journal libéral-libertaire, était devenu l’un des organes de l’idéologie dominante. Celle-ci sait reconnaître les siens.


Alain de Benoist

17:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Liberté d’expression » : quand Charlie Hebdo réclamait l’interdiction du FN

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Extrait d’un article paru dans Libération en 1996 :

« Le 26 avril, Cavanna, Val et Charb (trois piliers du journal Charlie Hebdo) débarquent en estafette dans une annexe du ministère de l’Intérieur. Dans leur coffre, des cartons remplis de signatures qu’ils apportent à un conseiller de Jean-Louis Debré. En huit mois, 173 704 personnes ont répondu à l’appel « pionnier » de l’hebdomadaire pour demander l’interdiction du Front national. Loin de l’anonymat des sondages ou de la sempiternelle discussion sur la montée du FN, ces milliers de signataires ont apposé leur nom, profession, adresse, au bas d’un texte réclamant « de dissoudre le Front national, cette ligue dont le but politique est de faire disparaître la République ». Adressé au président de la République et au ministre de l’Intérieur, la pétition est précédée des articles 1, 2, 4, 6 et 7 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (elle constitue le préambule de la Constitution), avec lesquels « le Front national est en contradiction flagrante ».

Fin juin 1995, Cabu dessine, à la une de Charlie Hebdo, Jean-Marie Le Pen menottes aux mains entre deux policiers. En titre: « Que faire contre le Front national? L’interdire ! » »

Source Contre info.com cliquez ici

14:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Guerre islamiste : réaction de Carl Lang, Président du PdF.

14:00 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Faites attention en sortant de chez vous :

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13:28 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Que peuvent bien penser les morts de Charlie hebdo ?

Randa Philippe 11 2014 quadri.jpgLa chronique

de Philippe Randa

La France vit dans l’émotionnel : 17 morts, ce n’est pas rien, il est vrai… Des morts brutales, à motif terroriste ; si ce n’était le cas, qui s’en soucierait au-delà du cercle forcément restreint des proches ?

La Nation entière est ainsi appelée à se rassembler le dimanche 11 janvier pour une manifestation où on se devra d’être vu. S’y bousculera la quasi-totalité des personnalités politiques et sans doute people de notre pays, Président Hollande en tête. Mais aussi, nous annonce-t-on, bien des Chefs d’État d’Angela Merkel à David Cameron, en passant par Matteo Renzi, Mariano Rajoy… qui à peu près tous, ont eu pourtant à subir qui les caricatures humiliantes, qui les jeux de mots scatologiques de l’hebdomadaire satirique…

Même Marine Le Pen et les responsables du Front national, sans doute le mouvement le plus traîné dans la sanie par celui-ci, se plaignent d’en être écartés par le Parti socialiste et l’extrême-gauche, tandis que l’UMP et les centristes se trouve bien gênés d’une telle promiscuité…

Polémique qui consterne pourtant tous ceux qui ne veulent voir là qu’une occasion formidable de rassembler le peuple de France.

Occasion manquée, donc… Reste la récupération. Si ce n’est la nation française, qui donc tirera bénéfice de la « semaine sanglante » ?

Sûrement pas la mémoire des victimes des deux tueries, qu’elles soient celles du siège de Charlie hebdo ou de l’épicerie casher, deux jours plus tard.

Tout d’abord, il y a les victimes collatérales : le policier et l’agent d’entretien de la rue Nicolas-Appert, la policière municipale de Montrouge et les clients anonymes de la Porte de Vincennes… L’histoire ne retiendra pas plus leur nom ou leurs visages que ceux des « petites mains » de la rédaction ; seuls les quatre noms déjà connus de Cabu, Charb, Tignous et Wolinsky sont systématiquement repris par les médias…

D’ailleurs, que peuvent bien penser eux-mêmes ces quatre-là, où ils sont désormais, de ces démonstrations pour la plupart hypocrites, intéressées… ou contraire à tous leurs engagements passés ?

Que pensent-ils de ces trois jours de deuil national en leur honneur dans une Nation française qu’ils n’ont eu de cesse de singer ?

Que pensent-ils de ces Marseillaises qu’ils ont tant moquées, entonnées à leur mémoire dans tout le pays ?

Que pensent-ils de ces catholiques qu’ils ont tant injuriés, salis et moqués qui prient pour le salut de leur âme, appliquant leur principe du pardon des offenses ?

Que pensent-ils de ces responsables de la communauté musulmane proclamer “Je suis musulman, je suis Charlie”, malgré l’insulte faite à leur prophète ?

Que pensent-ils de ce Front national qu’ils combattaient et qui, seul de la classe politique, sonnait en vain le tocsin contre le danger islamiste… Combat frontiste, qui plus est, dénoncé avec tant de haine par Charlie hebdo ?

Que pensent-ils de ce million d’euros dont il est question que l’État donne pour que leur hebdomadaire puisse continuer à paraître, alors qu’il se faisait un point d’honneur, jusqu’alors, à ne pas accepter d’argent de la publicité ?

Trop d’honneurs tue l’honneur, dit-on… N’y aurait-il pas chez beaucoup un désir de vengeance à peine dissimulé à tuer ainsi la mémoire des morts de Charlie hebdo, alors que les tueurs fous d’Allah n’avaient pris que leur vie ?

12:25 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le commencement...

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Serge Ayoub Porte parole du courant solidariste français

Source Solidarisme cliquez ici

Je ne suis pas Charlie. Je suis français.

Moi et les miens avons été traités de beaufs, de racistes, de paranos, de brutes, de pro-Bachar, voire d’assassins haineux, par Charlie Hebdo. Aujourd’hui Charlie Hebdo est mort, décapité par de vrais assassins nourrissant contre lui une haine véritable. Charlie Hebdo est mort, quand bien même il continuerait quelques temps à paraître. Charb, Wolinski, Cabu, Tignous sont morts, et nous sommes tristes pour eux et pour leurs familles. Malgré leur détestation pavlovienne de ma personne, de ceux que j’admire et de ceux que je peux éventuellement inspirer, malgré les amalgames et les raccourcis, et l’humour de mauvais goût, ce sont douze et probablement plus de mes compatriotes qui sont morts aujourd’hui sous les balles d’ennemis féroces.

Quel message nous envoient-ils, ces ennemis ?

Une attaque contre la liberté de la presse ? Oui, mais ce n’est pas seulement ça. Il ne s’agit pas d’une campagne de musulmans conservateurs militants pour faire retirer tel numéro de Charlie Hebdo jugé insultant ou blasphématoire, afin de « faire jurisprudence » et d’imposer les nécessaires dérogations à l’émancipation d’un islam politique et juridique sur le territoire.

En réalité ce message est celui d’une vengeance et comme toute vengeance d’une sanction à valeur d’exemple. « Le prophète Mohammed a été vengé » a-t-on pu entendre l’un des tueurs s’exclamer. Vengé de quoi ? Des blasphèmes réitérés et assumés de la rédaction de Charlie Hebdo contre Mahomet et l’Islam. Une banalité dans notre République laïque, mais impensable en Islam. Il fallait laver l’affront dans le sang. Et en lavant cet affront, adresser un avertissement non pas seulement à toute la presse, mais à tous les Français : « Ne parlez pas mal de l’Islam. » Les terroristes se foutent de la liberté de la presse en France. Savoir si les journalistes sont écoutés, payés par des conglomérats, tenus en laisse idéologiquement par la précarisation de leurs revenus : tout cela n’a aucune espèce d’importance par rapport à leur projet qui est d’augmenter la puissance de leur courant religieux. Ce qui compte, c’est que tous les Français s’habituent à l’idée qu’on ne parle pas mal de l’Islam impunément. Moi la dernière fois que j’ai entendu parler d’atteinte à la liberté de la presse, c’est quand le FN a refoulé Mediapart d’un meeting. Et la fois d’avant, c’était quand Mélenchon s’était emporté contre le Petit Journal. Très honnêtement, je vois mal le rapport avec l’acte de terroriser tout un peuple en lui intimant le silence et un respect craintif.

Ce respect craintif transpire d’ailleurs dans chacune des interventions mesurées de nos responsables politiques. Dire que l’Islam n’a rien à voir avec cette barbarie n’est ni vrai ni faux. C’est simplement un moyen de ne pas attirer l’attention des terroristes. Inversement l’attitude guerrière, consiste justement dans l’amalgame et l’outrance. Historiquement, aussi injuste quelle soit la vengeance aveugle a toujours été une méthode très dissuasive. En cela, ceux qui parlent de ne pas rentrer dans le jeu guerrier des terroristes sont précisément ceux qui font leur jeu : ils se laissent terroriser.

Je vais préciser ce que je pense de cette fausse question de l’amalgame. On lit partout, « L’immense majorité des musulmans ne veut pas la guerre ou la violence. » C’est probable. « L’immense majorité des musulmans veut simplement qu’on la laisse pratiquer sa religion tranquille. » Comme la plupart des croyants, admettons-le. « L’immense majorité des musulmans n’aurait jamais fait de mal aux dessinateurs de Charlie Hebdo. » On peut le croire, et il y a même fort à parier que le policier nommé Ahmed, mort en service pour les défendre, achevé au sol parce qu’il représentait la France par son uniforme, était musulman. Cela ne change au demeurant rien au fait que l’Islam soit fondamentalement aussi exotique en Europe que le bouddhisme. Mais soit, oui, c’est vrai, « l’immense majorité des musulmans » n’a rien à voir avec la violence terroriste.

Et c’est pour ça qu’elle ne compte pas. Les musulmans qui comptent, ce sont ceux qui nous forcent à parler de l’Islam. Ceux qui nous forcent à nous inquiéter. Ceux sans lesquels la religion musulmane en tant que telle ne provoquerait que notre  indifférence, une indifférence identique à celle que suscite le culte des bouddhistes venus en nombre croissants de l’Empire du milieu, ou des chrétiens évangélistes, africains ou pas. Y a-t-il une bouddhistophobie ? Non.

Les musulmans qui comptent, ce sont ceux qui nous ont déclaré la guerre. S’il n’y avait pas de menace, cette inquiétude qui s’appelle islamophobie n’existerait pas. Le musulman qui compte, celui avec lequel il faut désormais compter c’est celui qui a la force d’instaurer un califat, pas celui qui a son petit rond de serviette au dîner du CRIF pour donner bonne conscience aux crétins qui nous gouvernent, et qui ne représente personne.

Car c’est bien une bande de crétins qui nous a amenés où nous sommes. Les vrais coupables ce sont eux, et c’est précisément dans ces moments de rage et de colère que c’est un devoir de le rappeler.

Quel est leur crime ?

Faire et laisser venir des immigrés musulmans par millions sans pouvoir les intégrer ni socialement ni culturellement.

Laisser la religion comme seule identité positive à leurs enfants déracinés.

Abrutir ceux-ci avec un discours antiraciste pour qu’ils votent pour eux.

Les manipuler pour qu’ils participent à leurs tentatives de coups d’État en Syrie ou ailleurs.

Les laisser, au nom de l’ouverture des frontières, revenir entrainés et aguerris.

Il faut y penser lorsqu’ils appellent à une marche « républicaine » pour les victimes de Charlie Hebdo, et pour celles qui suivront.

Les criminels, ce sont la gauche française, celle qui mérite de disparaître. Celle d’un gouvernement qui a décidé en août dernier de bombarder l’État islamique en dépit du bon sens, de l’efficacité tactique, et de nos intérêts stratégiques. En effet non seulement les frappes renforcent l’État Islamique, ainsi que nous l’avions prévu dans notre article contre ce que j’ai appelé Doctrine Chauprade, mais en s’y joignant, notre gouvernement a fait de la France une cible, et bientôt peut-être un champ de bataille. On ne rappellera néanmoins jamais assez leur trahison, et l’importance de se débarrasser de ces gens le plus vite possible.

Ce qui doit venir à la place de ces traîtres qui nous ont fabriqués un ennemi au sein de notre propre société ? Une force politique légitime, qui assume la violence de la réalité à laquelle nos sociétés européennes font face, et qui sache lui opposer une violence adéquate, légale et proportionnée à la menace. Ce rôle ne peut pas être tenu par le gouvernement socialiste. D’abord parce que ces assassinats islamistes sont une métastase de l’idéologie immigrationiste du PS. Ensuite parce que le ministre de l’Intérieur de ce gouvernement, malgré les menaces et ses services de renseignements, a été incapable de défendre ni ses concitoyens ni ses fonctionnaires. Il a donc failli à sa mission. D’ailleurs, quand bien même ils voudraient nous défendre, il suffit de les regarder pour savoir qu’ils en sont incapables.

Ce rôle ne peut pas être tenu non plus par une droite à moitié inféodée aux émirs qataris, dont le rôle dans la pseudo révolution syrienne (devenue un bourbier djihadistes) est pour le moins trouble.

Je vais être plus clair : le Front National est, d’après moi, non pas la solution, mais le seul espoir de solution et de victoire. Lui seul a eu le bon diagnostic sur la situation actuelle, lui seul, au-delà de toutes les erreurs de recrutement et de tactique qu’il peut commettre, est capable d’être porté par un peuple français qui retrouverait foi dans son destin, foi dans sa force et dans sa capacité à défendre ce qu’il est et ce qu’il doit rester.

Votez FN. Ce sera un commencement.

02:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |