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mardi, 13 janvier 2015

Fronde dans les collèges.

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David Charpen

Président de Résistance à l'immigration 

Suite aux attentats terroristes des 7 et 8 janvier dernier, la ministre de l'Education nationale, l'impayable Najat Vallad-Belcacem, a demandé aux enseignants d'imposer une minute de silence aux élèves. La conséquence de cette consigne est proprement terrifiante.

De son propre aveu, le ministère relève des incidents dans 700 collèges sur 5 000. Ces « incidents » sont suffisamment graves pour avoir nécessité l'intervention des chefs d'établissement dans les classes. Ceux-ci durent souvent être appuyés par les forces de l'ordre. Ils se sont caractérisés par des actes de rébellion à l'encontre des enseignants : sifflements, bras d'honneur, insultes, menaces, agressions...

Un ami de Synthèse nationale, délégué syndical dans un collège de Lyon, nous informe que des incidents mineurs se sont produits dans trois à quatre fois plus d'établissements, soit de 2 100 à 2 800 collèges sur 5 000 ! Nul ne doit plus douter que les enseignants, comme beaucoup de fonctionnaires, sont confrontés à un public de plus en plus violent nourrissant une haine farouche de la France. L'interdiction par le gouvernement des spectacles de Dieudonné et le recueillement de François Hollande et Manuel Valls accompagnant Benyamin Nétanyahou dans la grande synagogue de Paris, aurait aggravé les choses.

Les collèges et lycées de France sont en passe de devenir de véritables poudrières de moins en moins contrôlables ce qui corrobore les impressions que nous avions eues sur les réseaux sociaux lorsque de « bons Français » s'étaient précipités pour présenter les meurtriers de Charlie Hebdo et de la supérette en héros.

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Charlie Hebdo : 3 millions d'exemplaires à ne pas acheter !

3326131459.jpgYves Darchicourt

Quasiment en état de cessation des paiements depuis des lustres, ne tirant guère qu'à 60 000 exemplaires dont une bonne part alimentait ses stocks de bouillons, Charlie-Hebdo va tenter de rebondir en surfant sur la grande vague d'indignation lacrymogène - suscitée par l'attentat islamiste qui a pratiquement éliminé son état-major et ses "grandes signatures" - admirablement, il faut le reconnaître, alimentée et soutenue par les propagandistes et les réseaux de la pensée unique.

Il faut croire que la manipulation des esprits est fort prometteuse pour la feuille - déjà bénéficiaire d'une aide d'un million€ de fonds publics, ce qui va sans doute satisfaire les français sans ressources que l'on laisse croupir dans la misère - qui vient d'annoncer par l'intermédiaire de son "porte-parole" l'avocat Richard "charlie" Malka qu'à la demande de son distributeur - qui n'en doutons pas a assuré ses arrières y compris peut-être avec l'assurance que pouvoirs publics, lobbies et associations rafleront les invendus - le prochain numéro sera tiré à 3 millions d'exemplaires et distribué dans 25 pays.

Le bourrage de crâne va donc s'intensifier d'ici à demain mercredi et les jours suivant la sortie du "journal irresponsable" pour que chaque "indigné" y aille de son obole en achetant le numéro des survivants "écrit avec le sang et les larmes". Un numéro où figure en première page un Charlie Mahomet qui y va de sa petite larme! Un numéro quasi en vente forcée que les français de simple bon sens devraient avoir à coeur de ne surtout pas acheter même pour le parcourir d'un derrière distrait.

Sortez des rangs bêlants des moutons du Système ! Parce que l'idéologie dictatoriale actuellement en place vous y incite : ne continuez pas à être ou à suivre Charlie ! N'achetez pas Charlie-Hebdo !

22:07 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« CHARLIE HEBDO, LIBÉRAL-LIBERTAIRE, ETAIT DEVENU L’UN DES ORGANES DE L’IDÉOLOGIE DOMINANTE »

adb1.jpgUn entretien avec Alain de Benoist

Source Metamag cliquez ici

Au-delà de l’indignation légitime quant au massacre perpétré dans les locaux de Charlie Hebdo, quelles leçons tirer de cet événement ? Faut-il y voir, comme certains médias, la preuve qu’une « guerre totale » est déclarée entre islam et chrétienté, Orient et Occident ?

La manière abominable dont ont été massacrés les collaborateurs de Charlie Hebdo soulève le cœur, bien entendu. Et ce qu’il y a de plus difficile quand l’émotion submerge tout, c’est de raison garder. C’est pourtant ce qui est le plus nécessaire. S’imposer la distance intérieure qui permet d’analyser l’événement et d’en tirer des leçons. En face de quoi nous trouvons-nous ? En face d’une forme nouvelle de terrorisme, inaugurée en France avec les affaires Khaled Kelkal et Mohammed Merah. Elle se distingue des vagues de terrorisme précédentes (type 11 septembre ou attentat de Madrid), qui étaient conçues et mises en œuvre à partir de l’étranger par de grands réseaux internationaux organisés.

Ici, nous avons affaire à des attentats conçus en France par des individus qui se sont radicalisés de façon plus ou moins autonome. Ils sont passés progressivement de la délinquance au djihadisme, mais ce sont le plus souvent des recalés du djihad. Ils sont d’un grand sang-froid, savent utiliser leurs armes, et sont parfaitement indifférents à la vie d’autrui. En même temps, ce sont des amateurs, des branquignols, comme ces frères Kouachi qui décident d’aller décimer une rédaction « pour venger le prophète », mais commencent par se tromper d’adresse, laissent des traces partout, ne prévoient aucune stratégie de repli et oublient leur carte d’identité dans la voiture qu’ils viennent d’abandonner. Des branquignols imprévisibles, ce qui les rend d’autant plus dangereux.

Il faut aussi être attentif à la contagion mimétique. La même logique mimétique qui a suscité la communion émotionnelle des rassemblements spontanés en faveur de Charlie Hebdo ne va pas manquer d’inspirer les émules potentiels de Merah, des frères Kouachi ou d’Amedy Coulibaly. Imaginez l’hystérisation sociale que pourrait provoquer la répétition à brefs intervalles d’attentats tels que celui auquel nous venons d’assister. Dans un tel climat, toutes les manipulations deviennent possibles. On a déjà vu cela dans le passé. Cela s’appelle la « stratégie de la tension ».

Il faut évidemment faire la guerre à ceux qui nous la font, et la faire avec tous les moyens nécessaires. Mais parler de « guerre totale » ne veut pas dire grand-chose. Les djihadistes (ou les lanceurs de fatwas) sont aussi représentatifs de l’islam que le Ku Klux Klan est représentatif de la chrétienté. Au demeurant, ce ne sont pas les djihadistes, mais les Occidentaux qui ont les premiers agité le spectre du « clash des civilisations » après s’être employés à déstabiliser tout le Proche-Orient et à éliminer tous les chefs d’État arabo-musulmans qui, de Saddam Hussein à Kadhafi, avaient érigé des barrages contre l’islamisme radical. La nécessité de lutter contre les conséquences immédiates ne doit pas faire oublier la réflexion sur les causes premières.

Ce n’est pas la première fois qu’un journal est attaqué de façon violente. On se souvient notamment des attentats contre « Minute » ou « Le Choc du mois », certes sans victimes à déplorer. Pour autant, on avait enregistré moins d’empathie médiatique lors de ces violences qui auraient pu se révéler mortelles. Toujours la même histoire du deux poids deux mesures ?

Disons que si, au lieu de s’en prendre à la rédaction de Charlie Hebdo, des terroristes avaient décimé celle de Valeurs actuelles, il est fort à parier que les réactions n’auraient pas été les mêmes. On n’aurait pas vu fleurir les « Je suis Valeurs » comme on a vu fleurir les « Je suis Charlie » (du verbe « être », je suppose, pas du verbe « suivre »). La classe politique gouvernementale n’aurait certainement pas parlé d’« union nationale » (thème mystificateur par excellence, d’ailleurs, car une telle « union » profite toujours à ceux qui détiennent le pouvoir et veulent bénéficier d’un consensus). Contrairement à son prédécesseur Hara Kiri, Charlie Hebdo, journal libéral-libertaire, était devenu l’un des organes de l’idéologie dominante. Celle-ci sait reconnaître les siens.

Il nous est dit, de manière unanime, que Charlie Hebdo avait fait de la liberté d’expression son cheval de bataille. Mais quid des campagnes de délation ayant appelé à mettre Richard Millet à la porte du comité de lecture des Éditions Gallimard, à faire renvoyer Fabrice Le Quintrec de France Inter, ou Robert Ménard et Éric Zemmour d’i>Télé ? La liberté d’expression peut-elle avoir des limites ?

Assez d’hypocrisie. Le 26 avril 1999, les dirigeants de Charlie Hebdo avaient apporté au ministère de l’Intérieur des cartons contenant 173.700 signatures réclamant l’interdiction du Front national. En matière de défense de la liberté d’expression, on a fait mieux ! Voici quelques semaines encore, Manuel Valls déclarait que « le livre de Zemmour ne mérite pas qu’on le lise », tandis qu’un autre ministre demandait sans honte que « les plateaux TV et les colonnes des journaux cessent d’abriter de tels propos ». Et ne reparlons même pas de l’affaire Dieudonné. Cela dit, soyons justes : parmi ceux qui célèbrent la liberté d’expression quand il s’agit de Zemmour, il y en a malheureusement fort peu qui seraient prêts à la réclamer pour leurs adversaires. Or, « la liberté est toujours la liberté de celui qui pense autrement » (Rosa Luxemburg), ce qui veut dire qu’on n’a de mérite à la défendre que lorsqu’on est prêt à en faire aussi bénéficier ceux qu’on exècre. Mais c’est précisément ce que refuse l’idéologie dominante, y compris aux États-Unis, où le premier amendement permet à tout un chacun de dire ou d’écrire ce qu’il veut, mais où les opinions non conformistes sont encore plus marginalisées qu’elles ne le sont en France. De même que le droit au travail n’a jamais fourni un emploi, le droit de parler ne garantit pas la possibilité d’être entendu !

13:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ON A PLUS MARCHÉ DIMANCHE À RENNES, QU’À MARSEILLE OU À LILLE ! ALLEZ SAVOIR POURQUOI ?

561x360_heure-avant-debut-manifestation-esplanade-gaulle-deja-noire-monde.jpgPierre Picace

Le nouveau NH cliquez ici

Je ne voudrais pas plomber l’ambiance euphorique qui prévaut en ce lendemain de fête à Neuneu, ni même troubler la dégoulinante béatitude des observateurs politiques qui n’ont de cesse de nous marteler en boucle combien est historique (hystérique conviendrait mieux) la journée d’hier, qu’il y aura un avant et un après du style, la France Black, Blanc,Beur de 98.

Combien étaient-ils ? Nombreux, très nombreux à Paris ça ne fait aucun doute, mais combien exactement, nous le saurons jamais la Préfecture de police de Paris ne sachant pas compter au-delà du million, ce qui entre parenthèse arrange bien les médias et le gouvernement.

Succès donc… Oui, si l’on accepte le chiffre de 3,7 millions de participants pour cette marche « républicaine », c’est à dire moins de 6% des habitants de ce pays. Exprimée en pourcentage, l’unité nationale est beaucoup moins flamboyante.

Si à Paris, les pouvoirs publics ont mis les petits transports dans les grands pour assurer le succès de la « marche », en province les rassemblements ont été diversement suivis.

Il est intéressant de noter par exemple que dans la très comunautariste ville de Marseille, ils n’étaient que 60 000 à battre le pavé dimanche pour défendre la « liberté d’expression », le « vivre ensemble » et le « pasdamalgame ». C’est peu pour la seconde ville de France (850 636 habitants) en comparaison avec les 115 000 personnes qui selon le comptage des autorités ont défilé à Rennes (onzième commune la plus peuplée avec 209 860 habitants). De même Samedi, Lille et sa banlieue « multiculti » n’avaient mobilisé que 37 000 « Charlie » (Lille métropole, 1,2 million d’habitants, tout de même), quant au rassemblement du dimanche à peine 3 000 personnes y ont pris part, c’est dire…

Cependant pas de panique, les politologues de toutes obédiences trouveront à coup sûr une bonne explication à ces décalages.

13:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charlie'Barnum : Hollande, le survivant et le pigeon !

2157401980.jpgYves Darchicourt

Il n'y a pas que la Taubira à s'être bien fendue la poire lors de la cérémonie d'apothéose de dimanche dernier. Le dessinateur et disc-jockey Renald Luzier, (alias Luz, à gauche sur la photo) y est allé aussi de son fou rire lors du passage pourtant compassé de François Hollande, ému aux larmes à pouvoir serrer la pogne d'un "survivant" de la tuerie islamiste, lequel d'ailleurs ne doit son salut qu'au fait d être arrivé en retard à la conférence de rédaction à l'aboutissement tragique pour ses collègues de Charlie-Hebdo.

Il paraît que l'irrépressible rire du "survivant" était due à un pigeon facétieux qui, dans un piqué impeccable au nez et à la barbe des services de protection, était parvenu à déposer une fiente (très probablement islamiste, les analyses sont en cours) sur la veste présidentielle. Comme quoi on peut rire de tout en n'importe quelle circonstance ! Surtout de François Hollande !

13:00 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charlie et la pleurnicherie

563248010.2.jpgLa chronique

de Philippe Randa

L’hécatombe autour de la rédaction de Charlie hebdo et ses victimes collatérales(un agent d’entretien et un policier) horrifie à juste titre le pays tout entier. Une journée de deuil national a été déclarée et les drapeaux de la nation resteront en berne deux autres journées !

Beaucoup d’honneurs, donc… pour beaucoup de haine !

Et des condamnations unanimes de part et d’autres… mais qui, à part une poignée d’abrutis qui pour des raisons politiques, qui pour des raisons religieuses, pourraient donc bien approuver de tels crimes ?

Traitons, néanmoins, cet événement dramatique avec objectivité, ce qui n’a pas été le cas de la plupart des médias enivrés par l’emballement de l’audimat… et encore moins de la classe politique, particulièrement hypocrite en l’occurrence.

Rectifions déjà le motif exact de celle-ci : les journalistes de Charlie hebdo n’ont pas payé de leur vie un combat pour la liberté d’expression qui ne leur a jamais été remise en cause par le gouvernement actuel, ni par les précédents ; ils n’ont pas subi les foudres des lois Gayssot et Pleven des années 70 et 80 ou, plus récemment, comme Dieudonné a vu l’interdiction de ses spectacles…

Les journalistes de Charlie hebdo ont été abattus au seul motif des idées qu’ils défendaient. Ce que l’on ne peut que respecter, même si on ne les partage pas… et qui les assurent désormais d’une postérité indéniable.

Relativisons ensuite les manifestations à travers le pays : ce n’est pas la liberté d’expression, là non plus, que les foules sont venus défendre, mais simplement un sentiment de légitime révolte face à une tuerie sanglante. Là aussi, c’est respectable, à condition de ne tromper personne.

Guère d’entre ces manifestants indignés ne songeaient à défendre la liberté d’expression avant ce mercredi 7 janvier lorsqu’il aurait fallu la soutenir financièrement : comme l’ensemble de la presse française à de rares exceptions près, l’hebdo dirigé par Charb voyait ses abonnements chuter et ses ventes régulièrement diminuer.

Quant à la classe politique qui ne tarît plus déloges à son égard, elle doit être tout de même soulagé dans son ensemble par la disparition possible du titre, même s’il est déjà annoncé qu’il devrait perdurer, pendant un temps en tout cas et avec une équipe forcément différente et bien justement traumatisée !

L’hebdomadaire satirique n’épargnait en effet personne, même s’il maltraitait certains plus que d’autres… Et se voir, ou risquer de se voir, croquer dans des positions humiliantes ou très régulièrement recouvert d’injures devait finir par en irriter plus d’un tout de même !

Les croyants, catholiques et musulmans en premier, mais sans doute tous les croyants de quelque confession qu’il soit, une fois l’émotion passée – et l’actualité médiatique  va s’y entendre pour cela – ne seront pas peinés pas outre mesure par la disparition de dessins blasphématoires et de textes orduriers dont la défunte équipe s’était faite une spécialité. Si une nouvelle équipe devait se mettre en place, suivra-t-elle l’exemple ou se montrera-t-elle plus prudente ?

Pour ce qui est des musulmans les plus radicaux, ils ne tarderont guère, si ce n’est déjà fait ! à louer comme il se doit les deux frères « vengeurs du prophète » comme ils se sont eux-mêmes auto-proclamés… 

Trop de larmes de crocodiles n’aura sans doute pas été la façon la plus digne de saluer le départ d’une telle génération de journalistes… On se consolera en songeant que s’il s’était agit de la rédaction du quotidien Présent ou encore de celle de TV Libertés, par exemple, on n’aurait guère assisté à de tels simulacres de compassion. Peut-être aurait-on même pu entendre quelques bouchons de champagne sauter en certaines rédactions, dites pourtant satiriques…

 

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08:24 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : Manifestation contre l’abattage Halal : samedi 17 Janvier à St Martial le Vieux dans la Creuse.

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Un communiqué de l'association Vigilance Halal :

Vigilance Halal et son President le Dr Alain de Peretti vous invitent à participer à la manifestation du 17 Janvier contre l’usine d’engraissement de St Martial le Vieux (NDLR : dans la Creuse). Cette réalisation cumule toutes les tares de notre société assujettie au « veau d’or ».

Tout d’abord en terme de respect de la condition animale, on cumule un élevage industriel concentrationnaire ne respectant pas la physiologie des animaux finalisé par un abattage halal pour répondre à un marché appelé pudiquement « méditerranéen ». C’est la double peine pour ces animaux et c’est le premier scandale !

De plus, cet élevage est situé dans une zone où les espaces ne manquent pas, et régie par une charte de Parc Naturel Régional, qui est normalement le gage d’un développement durable et éthique : où sont passés les élus régionaux qui auraient dû s’opposer à cette réalisation ? Une fois de plus, on ne peut compter sur nos élus, cela devient la règle. Des arguments écologiques comme les panneaux photovoltaiques et la charpente en bois local ne peuvent occulter le problème des effluents et de la circulation des poids lourds .

Enfin, on peut s’interroger sur la viabilité du montage commercial, car avec un client unique la catastrophe financière semble inévitable : les Ets Jean Rozé trouveront certainement un fournisseur encore plus compréhensif, encore plus subventionné par le contribuable.

En conclusion on n’hésite pas à tout brader, par mercantilisme effréné, pour répondre au marché porteur en expansion de la viande halal. C’est oublier que, par exemple, la Nouvelle Zelande est restée le premier fournisseur mondial de viande de mouton vers les terres d’islam après avoir interdit l’abattage halal sur son territoire, tout simplement parce que sa production est de qualité et à un prix attractif. Il y a donc une énorme tartufferie derrière tout cela et des enjeux financiers énormes car n’oublions pas que la labellisation halal rapporte beaucoup d’argent dans des circuits particulièrement opaques. Cette analyse globale du problème nous donne des solutions d’actions diverses, notamment judiciaires.

Une 2e manifestation est prévue le 31 Janvier à l‘initiative de l’OEDA, abondance de biens ne nuit pas, la cause est juste et le nécessite, et cela permettra à tous de s’exprimer. 

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06:20 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang à Toulouse le samedi 31 janvier

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05:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |