Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 19 janvier 2015

Terrorisme islamiste chez Charlie : l'exemple vient de loin et de haut !

480703536.jpgYves Darchicourt

Pour les musulmans c'est le Coran qui est la source de la Loi et du comportement des croyants qui peuvent aussi se référer aux récits de la Vie du Prophète (la Sîra), à ses Actes et Paroles (la Sunna) - transmis oralement une centaine d'années environ - et qui, considérés comme infaillibles, ont été collationnés dès le IXe siècle pour servir de références exemplaires.

Il ressort nettement de ces textes que le Prophète de la religion d'amour et de paix, non seulement n'a pas rejeté, mais a prôné, prêché et participé à la violence guerrière et a eu recours à l'assassinat. Ainsi au printemps 624, après la victoire de Badr, Mahomet décide de faire exécuter ceux des prisonniers pour lesquels personne ne paierait rançon mais aussi deux hommes qui s'étaient moqués de lui et de ses révélations. C'est peu de temps après que fort courroucé par la diffusion de satires composées par un poète juif, le très vindicatif Mahomet commandita son assassinat. L'historien persan musulman Tabari ( 838-923) dans sa "Chronique : Histoire des Prophètes et des Rois" l'a relaté ainsi :

"ce fut dans le même mois de rabî'a premier que le Prophète envoya quelqu'un pour tuer Ka'ab, fils d'Aschraf, dont il avait essuyé beaucoup d'injures (...) un jour qu'il se trouvait au milieu de ses compagnons et que l'on parlait de ka'ab fils d'Aschraf, le Prophète se plaignit de lui et dit: " qui donnera sa vie à Dieu et tuera cet homme ?" L'un des Ançâr nommé Mohammed fils de Masmala dit : "Moi j'irai et je le tuerai ô apôtre de Dieu". Le Prophète le remercia vivement.

[ndlr :  les envoyés tuent le polémiste, ainsi que sa femme pour faire bonne mesure et reviennent rendre compte à Mahomet ]

Le jour commençait à poindre lorsqu'ils entrèrent dans la ville. Ils trouvèrent le Prophète occupé à prier et lui rendirent compte de ce qu'ils venaient d'accomplir. Le Prophète fut très heureux, rendit grâce à Dieu et les remercia".

Moralité : il ne faut surtout pas ironiser sur le Prophète au risque de la vie! L'incitation à la fureur homicide chez Charlie vient bien de fort loin et de très haut. Une religion d'amour et de paix on vous dit ! (à suivre)

19:29 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Big Brother à l'ENA

96567386_o.jpg

Claude Bourrinet

Les récentes manifestations d'unanimisme obligé, accompagnées de saines pulsions de haines contre les « ennemis de la liberté », à qui il ne faut accorder aucune possibilité de s'exprimer, ni même de rire (un rigolard s'est pris deux ans ferme pour avoir actionné ses zigomatiques à la nouvelle de l'attentat sanglant de la rue Nicolas Appert, que l'on rebaptisera sans doute rue Charlie), ni même de donner l'impression de mal penser, ou simplement de penser, ont montré, sinon démontré, combien la société, travaillée par un pathos envahissant doublé d'une crétinisation approfondie (si tant qu'on puisse accorder de la profondeur à la bêtise), a fait des progrès remarquable dans la voie du totalitarisme.

On a pu opposer le totalitarisme dur à un autre, qui serait mou. 1984, de George Orwell, par exemple, contraste, pas sa nature brutale, aussi féroce que l'était le régime soviétique, avec le Brave New World, d'Aldous Huxley, le « Meilleur des mondes », qui dépeint une société eugéniste, engluée dans un hédonisme aussi adhérent qu'un nougat, univers doux comme une fin de vie assistée, ou plutôt une fin de partie.

Il doit bien exister des raisons pour lesquelles ces contre-utopies ont été imaginées par une Angleterre qui, tout haïssable qu'elle passe pour un Français, semble receler des trésors de liberté dont notre pays, enclin aux emballements passagers pourvoyeurs de morts collectives, est dramatiquement dépourvu. Stendhal le notait déjà, sous l'Empire, malgré son patriotisme et son admiration pour le tyran italien qu'était Napoléon. Il redoutait que la Grande Armée envahît la perfide Albion, beaucoup plus attachée à la liberté réelle que nous, qui nous entichons d'abstractions, donc de dogmes, donc de machines perverses à broyer les singularités.

Cette digression, loin d'être vaine, sert plutôt à interroger les contemporains ébahis que nous sommes sur l'éventualité improbable qu'un Anglais eût pu avoir l'idée de doter la promotion de l'ENA 2015-2016 du nom de notre si ironique satirique, auteur du redoutable Animal Farm.

Certes, il n'existe pas d'ENA outre-Manche, le débat est donc clos. Mais il n'y a qu'en France qu'un tel cynisme puisse voir le jour, à moins que ce ne soit pure naïveté, puisqu'on apprend que ce sont les élèves de l’École qui ont, dans un débat fort long, décidé cette provocation, ce crime contre la mémoire d'un homme qui n'a cessé de dénoncer les dangers liberticides de l’État contemporain.

Les attendus de cette décision sentent, il est vrai, la novlangue à plein nez : "Fortement marqués par les attentats récents, les élèves avaient à cœur de réaffirmer leur attachement à la liberté d'expression et, de manière plus générale, aux libertés qu'il appartient avant tout aux pouvoirs publics de protéger". Il est vrai que la protection est, à Océania, une urgente obligation. Comme l'on sait que dans cet empire, la liberté, c'est l'esclavage, que la paix, c'est la guerre, etc., que tout y est inversé par le jeu de la propagande, on comprendra que la caste politique actuelle appelle de ses vœux un Patriot Act, à l'américaine, dont on sait que les libertés fondamentales ne sont pas dans le logiciel.Le communiqué commence par une des citations de l'écrivain: "Parler de liberté n'a de sens qu'à condition que ce soit la liberté de dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre". Dieudonné appréciera, et tous les « Je ne suis pas Charlistes », ainsi que tous les dissidents, qui sont loin de partager ces niaiseries dignes de cours d’Éducation à la Citoyenneté des lycées, de semblance si jacobine. La loi Gayssot, les différentes lois Taubira appartiennent aussi, probablement, à l'univers orwellien, mais pas dans le sens de ces apprentis apparatchiks de cabinets, qui doivent les considérer comme des remparts contre l'esclavage.

Mais saluons cette pirouette humoristique de l'Histoire, digne d'un Charlie Hebdo qui n'aurait pas dégénérer (car ce torchon était lui-même sa propre dérision, la négation de ses débuts). La réalité rejoint la fiction, et c'est, pour un observateur distancié, un effet d'art que l'on ne peut que saluer du chapeau.

Mais une distance est-elle encore possible ?

19:22 Publié dans Claude Bourrinet | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Première manifestation de PEGIDA en France, c'était dimanche à Montpellier !

3Wt1ILH.jpg

Richard Roudier, l'un des initiateurs de ce rassemblement

Ce dimanche, bon nombre de rassemblements s'opposant à l'islamisation de l'Europe ont été interdits, que ce soit à Paris, Bordeaux ou encore Lyon. Montpellier est au final une des seules villes où le mouvement PEGIDA est descendu dans la rue pour défendre la liberté d'expression et contrer l'islamisme.

Le rassemblement de Montpellier a réuni au débotté une soixantaine de participants, et ce, malgré les pressions des milices d'extrême gauche locales qui hurlaient leur haine à une petite centaine de mètres. Cinq intervenants représentants Résistance Républicaine, des Identitaires et des nationalistes se sont succédés au micro pour aborder le problème de l'islamisation de notre société avec les conséquences dramatiques que l'on a connues avec l'attentat contre Charlie Hebdo.

A ce titre, des pancartes détournant  le slogan officiel « Je Suis Charlie » étaient brandies par les manifestants.  Ainsi on pouvait voir des « Je Suis Beslan » et des « Je Suis les Moines de Tiberine » qui  côtoyaient des « Je Suis Résistance » et des « Je Suis au Chômage »...

Ces détournements permettaient de mieux cerner les véritables problèmes afin de ne pas se laisser prendre au piège de la honteuse récupération politique par le système. Symboliquement le lieu de la  manifestation avait été choisi Place des Martyrs de la Résistance et parmi les slogans lancés à tue-tête, on a pu entendre « Islamistes hors d’Europe » et « Liberté d’expression ».

Une fois encore, et ce n’est pas une surprise, on a pu voir l’extrême gauche aigrie collaborer avec les islamistes.

09:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Exécution de fatwas à Paris : à qui profite le crime ?

2746826741.2.jpg

François Hollande enregistre un bond de popularité historique de 21 points dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris-Match et Sud Radio publié aujourd'hui, ce qui le hisse à 40%.

Jamais auparavant une progression aussi forte n'avait été relevée par l'Ifop, doyen des instituts français de sondage, a indiqué Frédéric Dabi, qui dirige son département opinion. Manuel Valls gagne 17 points, ce qui le place à 61% de popularité, score supérieur à celui de son entrée à Matignon.

Source : Le Figaro

08:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos de cette semaine :

journal du chaos 3.jpg

Pour télécharger, cliquez ICI

07:35 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |