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mercredi, 11 mars 2015

Ce mercredi soir, Gabriele Adinolfi dédicacera son nouveau livre à la Librairie Contretemps (Paris VIIe)

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 Librairie Contretemps

41, rue Cler 75007 Paris - Métro Ecole Militaire

Sur le livre de Gabriele Adinolfi cliquez ici

12:31 Publié dans Livres, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Europe : plus de 230 000 entrées de clandestins en 2014 !

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Yves Darchicourt

Les chiffres publiés par FRONTEX (agence européenne de contrôle des frontières), repris récemment par le Figaro, parlent d'eux-mêmes pour illustrer le "grand remplacement" des peuples d'Europe qui est en train de s'opérer ! Encore s'agit-il là des entrées répertoriées, probablement comptabilisées ad minima, et ne tenant pas compte évidemment ni du nombre de clandestins passés entre les mailles (fort lâches) du filet, ni de l'immigration "légale".

Des clandestins, bien vite rebaptisés migrants ou réfugiés, qui dans leur immense majorité sont des hommes jeunes, en bonne santé et en parfaite condition physique, tout juste un peu stressés et affaiblis après les difficultés du "passage" terrestre ou maritime mais qui récupèrent bien vite après avoir été dorlotés trois ou quatre jours dans les structures sanitaires mises à leur disposition aux frais des contribuables européens dont on n'a pas demandé l'avis et qui sont ponctionnés pour financer un accueil forcé de surnuméraires et budgétivores allogènes.

On notera les chiffres effarants de la pression migratoire clandestine aux frontières européennes en 2014 par rapport à 2013 : +153% de clandestins interpellés (la moitié durant le seul 3e trimestre propice aux eaux calmes en Méditerranée) alors que le nombre des renvois effectifs diminue (-2%), ce qui induit un nombre croissant de clandestins séjournant illégalement en Europe (+21%) et de demandes d'asile (+38%). Et tous ces mâles clandestins, en majorité mahométans, ont pour objectif d'être régularisés, installés, soutenus et de faire venir leurs femmes, leurs familles et de reconstituer en Europe des clans soudés, des tribus fort prolifiques.

Il est bien évidemment politiquement incorrect de parler d'invasion. On dira simplement que c'est l'Italie (îles et sud de la péninsule) qui est en première ligne sur le front maritime suivie par l'Espagne pour les assauts en provenance d'Afrique noire via le Maroc ; l'offensive terrestre s'étendant des Balkans à la Pologne avec récemment des percées en Hongrie. On précisera que tout ce beau monde finit par majoritairement être "accueilli" dans les pays le plus propices à une occupation pérenne dont la France, pays des droidlome, au maillage serré d'associations collaborationnistes et à la législation partisane si favorable aux envahisseurs et si dure aux souchiens-résistants.

Bref, l'Europe risque bientôt de ne plus être qu'une citadelle investie, aux remparts écrêtés, aux tours minées, aux barbacanes détruites, aux fossés comblés, à la population démoralisée, défaitiste, pervertie par l'ennemi, corrompue par les traîtres, hostile même à ceux de ses défenseurs qui osent encore monter aux créneaux. Alors pendant qu'il et encore temps : tocsin, boute-selle et sonne tambour ! Défendons nous !

12:26 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

«JE ME SENS PLUS Â GAUCHE QUE MANUEL VALLS ! » Un entretien avec Alain de Benoist publié dans Le Point

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Source Le Point cliquez ici

La polémique fait rage entre Onfray et Valls. En jeu, l'intellectuel étiqueté (très) à droite Alain de Benoist. Nous lui avons demandé ce qu'il en pensait. Lauréline Dupont pour Le Point.

Le Point : Ce week-end, Manuel Valls a déclaré : «Quand un philosophe connu, apprécié par beaucoup de Français, Michel Onfray, explique qu'Alain de Benoist - qui était le philosophe de la Nouvelle Droite dans les années 70 et 80, qui d'une certaine manière a façonné la matrice idéologique du Front national, avec le Club de l'horloge, le Grece - [...] vaut mieux que Bernard-Henri Lévy, ça veut dire qu'on perd les repères." Manifestement, le Premier ministre préfère BHL à vous. Comment réagissez-vous à ses déclarations ? 

Alain de Benoist : Avec une certaine surprise, car c'est un propos inattendu. La question que je me pose est la suivante : pourquoi le Premier ministre, qui est en pleine campagne électorale, croit nécessaire, dans sa campagne électorale, de s'en prendre à Michel Onfray ? C'est un peu surréaliste. J'ai l'impression que Michel Onfray, dont Manuel Valls essaye de faire croire qu'il se "droitise" - ce qui à mon avis est tout à fait faux -, est le symbole d'une gauche restée fidèle à ses engagements de gauche. Onfray est un peu la statue du commandeur, il ne cache pas le mépris qu'il a pour la gauche sociale, libérale, réformiste incarnée par Manuel Valls. Il a été plus proche dans le passé du Front de gauche, donc, en s'en prenant à lui, Manuel Valls essaie de se débarrasser de quelqu'un qui le gêne parce qu'il lui donne mauvaise conscience. 

Deuxièmement, Manuel Valls lui reproche de préférer Alain de Benoist à BHL, je note que Michel Onfray n'a jamais dit cela. Il a dit qu'il préférait une idée juste émise par Alain de Benoist plutôt qu'une idée fausse émise par BHL, ce qui ne me paraît pas être une déclaration stupéfiante et révolutionnaire, mais, apparemment, cela pose des problèmes à Manuel Valls.

Troisièmement, voir Manuel Valls me faire cette publicité un peu involontaire est étonnant, car je ne doute pas qu'il ne connaît pas une ligne de ce que j'ai pu écrire dans ma vie. Il recopie les fiches qu'on lui a transmises. Je n'ai jamais fait partie du Club de l'horloge, il m'attribue la paternité de la matrice idéologique du FN, ce qui a dû bien faire rire les gens du Front. Bref, il parle de ce qu'il ne connaît pas. J'ai l'impression qu'il a complètement pété les plombs. C'est un homme ambitieux et nerveux qui fait des coups de menton un peu mussoliniens, mais cette espèce de mauvaise humeur perpétuelle cache plutôt un certain désarroi, une incertitude de soi. Il fait partie d'une classe dirigeante qui constate que tout est en crise, que tout s'effondre et qui a le sentiment que le sol se dérobe sous elle. Ses déclarations apocalyptiques selon lesquelles Marine Le Pen peut arriver au pouvoir en 2017 - ce que je ne crois pas - sont faites pour terroriser l'opinion, on est dans une espèce de climat de "terrorisation", si je peux employer ce terme. 

N'est-ce pas un peu schizophrénique de la part de Valls d'expliquer d'une part que la France va se fracasser contre le FN et d'autre part de stigmatiser ceux qui, à gauche, seraient coupables d'accointances avec une droite qu'il juge trop à droite ? Pointer du doigt Onfray revient à affirmer que la gauche est incapable d'évoluer, de se remettre en question, quelle que soit la menace. 

Je vais vous faire une confidence, je me sens beaucoup plus à gauche que Manuel Valls ! Apparemment, le Premier ministre s'adresse à des gens qui croient que le clivage gauche-droite garde une certaine validité, alors qu'il m'apparaît complètement obsolète, je crois qu'il a été remplacé par un clivage entre les partisans et les adversaires de la globalisation, ceux qui en profitent, ceux qui en souffrent. 

Dans le dernier numéro d'Éléments, vous appelez Michel Onfray à vous rejoindre... 

Pas à nous rejoindre ! Onfray a un souci aigu de son indépendance, je m'en voudrais d'y porter atteinte. Je pense que tous les gens qui se sentent un peu mal dans cette société dominée par les rapports de classes et la logique de l'argent ont tout intérêt à se rencontrer et à bavarder un peu. 

Entre lui et vous, lequel des deux a évolué ? 

Tout le monde évolue et surtout la situation évolue. Je ne dis pas ce que je disais il y a 25 ans, et c'est la même chose pour Michel Onfray. 

À vos yeux, le clivage droite-gauche est obsolète, vous participeriez aujourd'hui à une aventure qui s'appellerait la Nouvelle Droite ? 

La Nouvelle Droite n'a jamais été une autodésignation, ce sont les médias qui, en 1979, ont dit : "Ah, extraordinaire, il y a une nouvelle droite", à l'époque je n'étais pas ravi de cette expression, à la fois parce qu'elle avait un caractère très politique, alors que je ne suis pas un acteur de la vie politique, et aussi parce qu'elle nous enfermait dans une dénomination très réductrice. Au cours de ma vie, j'ai adressé des critiques incessantes à beaucoup de gens de droite, donc je n'ai jamais beaucoup aimé cette étiquette. Mais quand une étiquette a été lancée comme ça, on est obligé de l'assumer. Repartir dans une nouvelle aventure, oui, mais je ne le ferais certainement pas sous cette étiquette-là aujourd'hui.

09:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Valls ou comment tenter de torpiller ses adversaires en 10 leçons (assez grossières…)

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Gabrielle Cluzel Boulevard Voltaire cliquez ici

Stupeur et tremblement au gouvernement. Il suffit de voir les sondages, ça sent le sapin même quand le ministre des Finances n’est pas dans les parages. Tachycardie et mains moites à tous les étages. Manuel Valls, lui, est carrément en nage. Il faut peut-être desserrer sa cravate, l’allonger, appeler Anne Gravoin, qu’elle vienne lui tapoter la main ? C’est la crise d’anxiété caractérisée. Celle qu’on n’arrive plus à dissimuler.

On en parle à tout le monde : Manuel Valls « angoisse » face à la montée du FN. J’ai un doute : n’est-ce pas au gouvernement d’écouter les angoisses des Français… et non l’inverse ? On a connu bien d’autres pachas de navire en perdition, mais aucun n’est allé toquer aux portes des cabines pour confier ses sourdes inquiétudes, même pas celui du Costa Concordia.

On se raccroche à des réflexes infantiles qui rassurent : disserter sur Alain de Benoîst comme matrice idéologique du FN sent le topo entre étudiants acnéiques dans le local de l’UNEF en 1980. Pour se mettre à son niveau, le philosophe Michel Onfray, sur Twitter, vient de lui répondre par une blague Carambar traînant dans les cours de récré depuis à peu près la même époque : « On ne peut pas être Manuel et intellectuel. » Tout cela tire vraiment ce pays vers le haut.

On se passe un gant de toilette sur le visage et on retrouve la tête froide pour régler quelques dossiers courants. Comme saper l’UMP. Par le système – supervisé par le ministère de l’Intérieur – des « nuances » politiques, aussi scabreuses que celles du cinéma, désignant les candidats aux départementales. Laurent Wauquiez tempête, et on le comprend : si, dans un canton, il y a une alliance de l’UMP avec un autre parti de droite, le binôme sera plutôt étiqueté « divers droites ». Si au contraire, le PS s’unit à un autre parti de gauche, le tandem sera homologué « PS ». Bref, sur 2.054 cantons, on trouve 428 binômes UMP contre 997 PS, 1.173 estampillés « union de la droite » contre 587 « union de la gauche ». Pas mal. Le soir des élections, ce sera du meilleur effet visuel sur les camemberts à la télé.

Sauf qu’évidemment, on a oublié l’essentiel. Par le cordon sanitaire que l’on a soi-même tendu autour du FN, on lui a interdit, bêtement, toute alliance… Ne restent que des monômes, insubmersibles dans le marécage du « divers droites ».

Alors les nerfs lâchent. On tape rageusement, poings serrés, sans réfléchir : Manuel Valls, bon sang, n’a pas assez lu Marie Higgins Clark. La moindre des choses, quand on projette d’assassiner quelqu’un, est d’éviter de le menacer en public juste avant. Il se vante de vouloir « stigmatiser Marine Le Pen » et, d’un coup, Martin Schulz, à quelques jours des départementales, découvre 20 assistants parlementaires FN « fortement suspectés de ne jamais travailler sur le front européen » (Le Monde). Et le président du Parlement européen d’« avertir de son initiative » Christiane Taubira, et de lui « révéler des faits qui pourraient inciter le parquet national financier à se saisir du dossier », car « Les pratiques décrites pourraient être assimilées à du financement illicite de parti politique. »  

Je ne connais pas ces 20 assistants et n’ai donc pas la moindre idée de la façon dont ils meublent leur journée au bureau, s’ils s’occupent de l’Europe, du FN, ou de leurs courses sur auchan.fr quand leur frigo est vide. Mais je connais un gouvernement fortement suspecté de ne jamais travailler sur le front français, préférant se concentrer sur sa propre cuisine électorale. Et cela pourrait être assimilé aussi à du financement illicite de parti politique…

09:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une heureuse initiative de TV Libertés : le lancement prochain d'une émission consacrée à l'artisanat animée par deux spécialistes, Pierre Chabot et Patrick Rizzi

00:53 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |