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samedi, 14 mars 2015

RAPPEL : dimanche 15 mars, Roland Hélie interviendra lors des Assises pour la Liberté d'expression à Rungis

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Programme de la journée cliquez ici

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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DÉPARTEMENTALES : LE PdF PRÉSENT, MAIS EN NOMBRE LIMITÉ

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Le nouveau NH Pierre Picace cliquez ici

Alors que tous les yeux sont tournés vers le score que fera le Front national le 22 mars prochain, le Parti de la France présidé par Carl Lang présente des candidats dans six cantons. Une participation plus que modeste, le Parti de la France ne faisant pas de ces élections départementales une priorité, selon son secrétaire général, Thomas Joly cliquez là.

Dans un entretien accordé à Jeune Nation cliquez ici, Thomas Joly dévoile les raisons qui l’ont poussé à participer au scrutin « J’ai choisi de me présenter dans le canton de Beauvais 2 pour m’opposer à la chienlit socialiste et UMPiste mais aussi à la candidature du militant homosexualiste Sébastien Chenu qui portera les couleurs du Rassemblement Rose Marine. Il représente à lui seul la dégénérescence d’un parti politique… » qui poursuit « Contrairement à ces gens avec qui nous n’avons définitivement plus rien de commun, le Parti de la France se refuse à verser dans l’électoralisme. Nos scores importent peu. L’objectif de notre participation aux élections est de diffuser au plus grand nombre notre projet de défense de nos valeurs de civilisation. »

Voilà qui a le mérite d’être clair.

Le Parti de la France présente les candidats suivants :

  • Thomas Joly et Monique Thierry – Beauvais 2 – Oise
  • Monique Delevallet et Kévin Reche – Calais 2 – Pas-de-Calais
  • Katy Basseux et Dominique Slabolepszy – Marly – Nord
  • Pierre Deplanque et Dolorès Thomas – La Couronne – Charente
  • Dominique Chalard et Jean-Claude Perdreau – Pont-du-Château – Puy-de-Dôme
  • Patricia Goutay et Dominique Morel – Brassac-les-mines – Puy-de-Dôme

Le Parti de la France soutient les candidats suivants :

  • Jean-Christophe Fiaschi et Valeria Vecchio – Draguignan – Var
  • Magali Martinez et Thierry Vermeille – Sorgues – Vaucluse
  • Christophe Chagnon et Marie-France Veyret – Échirolles – Isère

14:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

EUROPE : LA LEÇON ISLANDAISE Ils ne veulent pas de cette Europe là

img_2-11778_drapeau_0_carte_islande.pngJean Bonnevey

Métamag cliquez ici

Alors que, pour cause de petite stratégie politicienne pour éviter le naufrage des départementales, les partis systémiques se rattachent à l’Europe, certains européens, eux, ne perdent pas le nord.

L’Islande a annoncé jeudi avoir retiré sa candidature à l’Union européenne, deux ans après l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement eurosceptique de centre-droit qui promettait de mettre un terme au processus lancé en 2009. Comme quoi, on peut tenir ses promesses électorales et se passer de l'UE.

Cette décision est l’application simple du programme de la coalition de centre droit arrivée au pouvoir en 2013, qui promettait de mettre fin au processus d’adhésion. « Les intérêts de l’Islande sont mieux servis en dehors de l’Union européenne », a justifié le ministère des Affaires étrangères.

Il avait fallu des circonstances très particulières pour que Reykjavik dépose sa candidature en 2009, le premier gouvernement de gauche de l’histoire du pays, une grave crise financière qui avait ébranlé la confiance des citoyens dans leurs institutions nationales et la chute de la valeur de la couronne, qui avait suscité l’envie d’adopter l’euro…envie vite passée depuis. Plus de six ans après, l'effondrement d'un secteur financier hypertrophié qui avait plongé l'île dans la récession, la principale préoccupation d'une majorité d'Islandais n'est pas l'UE, mais les emprunts contractés durant les années de "boom" économique qu'ils ont du mal à rembourser.

Les sociaux-démocrates islandais n’ont jamais réussi à expliquer à l’opinion comment ils allaient combler le fossé entre Bruxelles et Reykjavik sur les quotas de pêche. Ce sujet épineux n’aura même pas été abordé lors des négociations entre juin 2011 et janvier 2013.

L’Europe déteste les spécificités qui font les nations.

L’adhésion aurait soviétisée la principale ressource du pays. "Le gouvernement n'a pas l'intention d'organiser un reférendum", a précisé le ministère des Affaires étrangères. Et mieux, "si le processus doit être repris à l'avenir, le gouvernement actuel considère important de ne pas progresser sans en référer préalablement à la Nation".

Même si une majorité des électeurs aurait souhaité un reférendum, il semble difficile d'imaginer ce qui pourrait les amener à voter "oui" un jour, alors que le pays bénéficie déjà de nombreux avantages grâce à ses liens avec l'UE, sans souffrir des inconvénients. L'Islande est ainsi membre de l'Association européenne de libre échange (AELE) et applique la convention de Schengen qui permet la libre circulation des personnes. Cela permet au pays d'exporter ses produits de la mer vers le continent sans barrière tarifaire, alors même qu'il est engagé dans une "guerre du maquereau" avec l'UE. Depuis que l'Islande a relevé son quota de pêche en 2010, au motif que le réchauffement climatique aurait fait migrer l'espèce vers le nord, le conflit n'a pas pu être résolu malgré une multitude de réunions. Laisser Bruxelles décider du quota de pêche islandais paraît impensable sur l'île.

L'espace Schengen stimule une autre industrie importante pour le pays, le tourisme, crucial pour les entrées de devises. On peut donc être eurosceptique, européen  et hors de l'Union l’assumer et s’en bien porter. Gageons que Manuel Valls parlera peu de l'Islande avant le premier tour de la municipale.

13:27 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CRETINISME

484191219.jpegRichard Millet

Au sujet de Michel Onfray faisant le jeu du Front national parce qu’il préférerait un juste point de vue d’Alain de Benoist aux fausses analyses d’insignifiants sophistes de la gauche caviar (désignation oubliée au profit des Bobos, comme si l’on voulait, en temps de crise économique, faire oublier qu’on est immensément riche), la déclaration de M. Valls me rappelle celle d’un autre premier ministre, également socialiste, J.-M. Ayrault, à mon propos, pendant l’affaire qui porte mon nom : le crétinisme semble devenu la marque du socialisme français, pour peu qu’il ne l’ait pas toujours été, trouvant néanmoins sa perfection dans la fonction de premier ministre.

On ne saurait trop recommander à M. Valls d’abandonner ses coups de menton rhétoriques, qui sont l’apanage des hommes petits, pour lire un livre d’Alain de Benoist, par exemple le récent Traité transatlantique et autres menaces (paru chez Pierre-Guillaume de Roux) : il comprendrait ce qui menace réellement la France. L’hystérie anti Front national ne sert qu’à détourner l’attention des problèmes auxquels nul homme politique n’ose s’attaquer, en particulier du naufrage continu de l’enseignement public, origine de la plupart de nos maux. Elle recoupe aussi le point de vue de la presse de gauche charlifiée, anti-amalgamiste et pro-musulmane, dont les directeurs s’efforcent de trouver chez certains intellectuels l’origine, voire la fabrication des djihadistes, donc les vrais auteurs des attentats parisiens.

Il se trouve que j’ai dîné, la semaine dernière, avec Alain de Benoist, par la grâce d’une jeune amie. J’ai été frappé de l’attention que ce penseur, dont me sépare mon catholicisme et sans doute d’autres choses, porte à autrui : une attention très rare et précieuse pour moi qui ai dû supporter pendant des décennies la chiennerie d’un milieu, le littéraire, où abondent les narcissistes rebelles et persécuteurs. Nous avons surtout parlé de ce qui empêche la France d’être un pays libre, et non du Front national.

Pour en revenir à M. Valls, il faut sans doute voir l’origine de sa bévue dans son goût pour Le Clézio. On ne peut en effet aimer Le Clézio sans en être abêti ni se mettre à parler à tort et à travers. Doit-on penser, comme on le disait pour Harry Potter, qu’il vaut mieux lire ça que rien du tout, au contraire du chef de l’Etat, qui ne lit pas ? Non : ne pas lire Le Clézio est un réel avantage pour la pensée ; ce qui n’implique bien sûr pas qu’on pense : Hollande en est la preuve. C’est que l’œuvre du Clézio participe du crétinisme justement évoqué par Onfray dans sa réponse à M. Valls. Ce lamentin transatlantique, ce grand doudou ultramarin, cette belle tête molle nobélisée n’a pas, lui non plus, perdu l’occasion de se taire, Valls et Le Clézio dansant ensemble le tango de l’identité multiple : le bon immigré parfaitement assimilé (ce qui est vrai pour le Catalan) et le pseudo-Mauricien qui menace de rendre son passeport français si le Front national arrive au pouvoir, voilà qui prêterait à sourire si El Clézio, comme tous ceux qui parlent de s’exiler, ne révélait son mépris de la France jadis profonde et aujourd’hui périphérique et muette, dégradée par le pouvoir socialiste (dans lequel j’inclus la droite).

Nous aimerions, nous aussi, jouir d’un autre passeport et nous exiler dans notre pays d’origine, ou ailleurs. Nous n’avons pas la chance de ces gens dont on pourrait dire qu’ils ruinent la noblesse même d’exil si les voir partir ne dût pas être une chance pour la France, sans doute la dernière. Que Clézio méprise la France des petits Blancs et des pauvres, là n’est pas la question ; ce qu’il a écrit dans La Pravda du  16. I. 2015 est révélateur d’une bêtise non seulement insondable mais surtout blasphématoire, voire criminelle : « Trois assassins, nés et grandis en France, ont horrifié le monde par la barbarie de leur crime. Mais ils ne sont pas des barbares », explique le koala de la pensée mondialiste. Nés et grandis en France : on notera la hardiesse de l’anacoluthe pour désigner des criminels non-barbares qui n’ont eu que de mauvaises fréquentations. J’ignore quelle a été la réaction des proches des victimes de ces pauvres gamins de banlieue que l’horrible pouvoir républicain a rendus criminels.

On ne saurait donc assez recommander à M. Valls de changer de lecture et, outre Alain de Benoist, de lire Michel Onfray ; un homme qui a écrit La Religion du poignard, éloge de Charlotte Corday (Galilée) ne saurait  être tout à fait mauvais.

Source : site de Richard Millet cliquez ici

via Le Journal du Chaos

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