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mardi, 07 avril 2015

Le nouveau numéro de la revue Terre et peuple

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Numéro 63 - 7,00 € - cliquez ici

LENDEMAIN D'ELECTIONS

Pierre Vial

Terre et Peuple, mouvement d’action culturelle identitaire, ne peut et ne doit se désintéresser du terrain politique, qui est un domaine d’intervention parmi d’autres. C’est pourquoi, sans en faire une priorité, nous avons toujours répondu positivement à nos camarades qui nous demandaient s’ils pouvaient se positionner politiquement. Il est donc naturel de donner notre point de vue à l’issue des élections départementales.

Au-delà des affirmations par lesquelles les media aux ordres du Système essayent de se rassurer, selon la bonne vieille méthode du docteur Coué, certains constats s’imposent, si l’on veut bien regarder les réalités en face.

1 - Les abstentions. Elles n’ont pas atteint, nous dit-on, un record historique… La belle affaire. En fait, un électeur sur deux n’a pas jugé utile de se déplacer. La bonne question à se poser c’est : pourquoi ? La réponse est simple et évidente. Parce qu’il est convaincu que mettre un bout de papier dans l’urne ne sert à rien, ne changera rien par rapport aux soucis, voire aux angoisses, de sa vie quotidienne. Un électeur sur deux ne croit plus aux beaux discours des uns et des autres et sa conclusion est sans appel : tous pourris. Peut-on lui donner tort ? Evidemment non. Et il est très satisfaisant de voir qu’un grand nombre de Français ne sont plus dupes du jeu truqué droite-gauche et ont compris que ces deux faces du Système sont évidemment complémentaires et solidaires pour tenter de sauver leurs prébendes. Sont révélateurs, au sujet de l’évolution des mentalités, les résultats de l’enquête annuelle intitulée Baromètre de la confiance politique, réalisée par l’Institut OpinionWay en partenariat avec le Cevipof (centre de recherches politiques de Sciences Po). Ces résultats n’ont été que partiellement publiés par Le Monde (on comprend pourquoi …) mais révélés intégralement par Valeurs actuelles. Voici les plus significatifs : 75% des Français ne font plus confiance ni à l’Etat ni à la République ; 88% rejettent les partis politiques ; 50% ne croient plus à la démocratie… et 67% trouvent qu’il y a trop d’immigrés en France. Conclusion : les zigotos qui se gargarisent des « valeurs de la République » ont tout faux.

2 - Les résultats du FN. Quelles que soient les réserves que l’on puisse avoir sur le FN (concernant certaines prises de position ou la personnalité de certains dirigeants) le vote en faveur du FN exprime, en grande partie, un refus de l’immigration-invasion (formule de Giscard…) mais aussi le rejet d’un Système basé sur l’exploitation, le mépris des plus modestes et, globalement, de tous ceux qui travaillent beaucoup sans pouvoir bénéficier des fruits de leur travail, confisqués par la rapacité fiscale. Ce rejet de l’UMPS est bien sûr positif et prometteur pour l’avenir. Mais les résultats du FN montrent qu’il a encore beaucoup à faire, en se gardant de tout triomphalisme, pour marquer des points décisifs. 

UMP et PS ont fait bloc, évidemment, pour contrer la montée en puissance du FN et continuer à se partager entre « républicains » le gâteau. Raison de plus pour maintenir la ligne « Ni droite ni gauche » (pour laquelle j’avais prêché, il y a longtemps, auprès de JMLP…) et l’affirmation d’une plate-forme « Troisième Voie » (ce qui exclut les accords avec l’UMP, qui peuvent apporter des satisfactions ponctuelles mais plombent une ligne radicale : il faut refuser tout compromis avec les profiteurs du Système en place). Pour augmenter les voix en faveur du FN, seul le maintien d’une ligne ferme (en particulier sur l’immigration) pourra attirer les électeurs UMP.

Ceci étant, l’implantation locale est la clé de l’avenir. Elle exige de pouvoir présenter des candidats crédibles, c'est-à-dire formés au débat politique, capables d’intervenir publiquement d’une façon sensée et argumentée, présents sur le terrain par une action continue et non limitée aux périodes électorales. Un tissu d’implantation politique est un travail de longue haleine (voir l’exemple du Parti communiste…).

3 - Le PS est déchiré par les dissensions internes, l’UMP par les rivalités entre prétendants à la candidature pour l’élection présidentielle. Les bons résultats de l’UMP aux élections départementales ont été obtenus grâce à son alliance avec l’UDI. Problème pour Sarkozy : s’il veut draguer à son profit une partie de l’électorat FN, il lui faut tenir un discours relativement radical. Mais alors il se coupe de l’électorat centriste… Juppé, lui, veut la grande alliance entre « républicains raisonnables de droite et de gauche » : c’est sa recette « on coupe les deux extrémités de l’omelette, extrême droite et extrême gauche, et on gouverne au centre » (quelque chose comme l’accord entre SPD et CDU en Allemagne). Ce qui confirme le jeu des désistements entre PS et UMP pour faire barrage au FN. Celui-ci doit donc enfoncer le clou : PS et UMP, tous pourris. L’avenir ? Ne pas vouloir obtenir une place autour de la table de jeu mais renverser la table.

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Dans Rivarol de jeudi : un grand entretien explosif de Robert Spieler et Jérôme Bourbon avec Jean-Marie Le Pen

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En avant-première sur Synthèse nationale. Quelques phrases-chocs parmi d’autres de Jean-Marie Le Pen dans cette interview :

1)  A propos de la nouvelle affaire du détail et des réactions de la direction du FN :

 « On n’est jamais trahi que par les siens »

 « Je ne suis pas homme à changer d’avis ni à ramper »

 « J’ai cessé de marcher à quatre pattes depuis l’âge de 18 mois. Je ne suis pas l’homo a plat ventrus. »

 « Si l’on ne veut pas prendre de coups, mieux vaut rester ou rentrer chez soi, c’est plus sage. »

2) A propos du maintien définitif de sa candidature comme tête de liste du FN aux régionales en PACA :

 « Je suis candidat tête de liste pour mettre à la porte les socialo-communistes »

 « Je rappelle que j’ai fait aux dernières élections européennes, il y a moins d’un an, plus de 33 %  des voix dans la région PACA. Je suis donc légitime pour conduire la liste du Front national dans cette région où, de surcroît, je suis conseiller régional et président du groupe FN depuis 1992 »

3) A propos de sa volonté d’être président de la région PACA et de succéder à Michel Vauzelle :

 « Je suis candidat à la présidence de la région PACA par la logique des choses. »

4) A propos de la vision des dirigeants actuels du FN de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale :

 « Les nouvelles générations qui n’ont pas connu la guerre sont plus perméables que les anciennes au discours médiatiquement dominant et à une vision manichéenne de l’histoire, comme le faisait déjà remarquer François Mitterrand à Georges-Marc Benamou : “Jeune homme, vous ne savez pas de quoi vous parler” ».

5) Sur Pétain et le pétainisme :

 « Je n’ai jamais considéré le maréchal Pétain comme un traître »

 « L’on a été très sévère avec (Pétain) à la Libération »

 « Je n’ai jamais considéré comme de mauvais Français ou des gens infréquentables ceux qui ont conservé de l’estime pour le Maréchal. Ils ont selon moi leur place au Front national comme l’ont les défenseurs de l’Algérie française, mais aussi les gaullistes, les anciens communistes et tous les patriotes qui ont la France au cœur. »

6) Sur l’influence selon lui détestable du chevènementisme au FN, allusion claire à Florian Philippot, numéro 2 du FN :

 « Je crois que l’origine politique de certains actuels dirigeants du Front a plus d’importance que leur comportement personnel (NDLR : l’homosexualité). Je pense à l’influence nocive d’un homme que je trouve pour ma part tout à fait détestable : Jean-Pierre Chevènement. Il a les apparences d’un patriote alors qu’il est au fond un marxiste. L’influence chevènementiste, si elle continue de s’exercer, est nuisible. Cette tournure d’esprit m’est totalement étrangère. »

7) Sur le grand nombre et l’influence des homosexuels au sein du FN :

 « Il y a en effet un assez grand nombre d’homosexuels au Front national. »

 « Ils ont tendance à se regrouper, même s’ils se détestent les uns les autres. Ils forment une communauté. »

8) Sur « l’immigré » Manuel Valls :

 « Nous sommes gouvernés par des immigrés et des enfants d’immigrés à tous les niveaux »

 « Valls est Français depuis trente ans, moi je suis Français depuis mille ans »

 « Quel est l’attachement réel de Valls à la France ? Cet immigré a-t-il changé du tout au tout ? Qu’a-t-il apporté à notre pays ? »

9) Sur la République et la démocratie :

 « Ils commencent à me gonfler tous avec la République ! »

 «  Je comprends tout à fait qu’on mette en cause la démocratie, qu’on la combatte »

10) Sur les “dérapages” de candidats du FN :

 « Je n’ai pas retiré mon estime à Madame Leclère scandaleusement condamnée à neuf mois de prison ferme »

11) Sur la défense et la survie de la race blanche :

 « Nous devons impérativement nous entendre avec la Russie pour sauver l’Europe boréale et le monde blanc »

12) Sur la retraite à 60 ans proposée aujourd’hui par le FN :

 « J’ai essayé d’expliquer à Marine Le Pen et à ses conseillers que c’était une erreur. C’est ridicule de demander la retraite à 60 ans alors que moi, à la tête du FN, pendant des décennies, je l’ai demandé à 65 ! »

 « En politique on ne doit jamais sombrer dans la facilité ni faire de la démagogie. »

 « Il ne faut pas tomber dans le ridicule de paraître défendre le système de retraite à 60 ans parce que même si l’on y apporte des amodiations (comme les 40 ans d’annuités), elles ne sont pas audibles politiquement. Pourquoi s’accrocher là-dessus ? Je leur ai dis : « Rectifiez le tir ». En vain pour le moment. »

Jeudi, 3,50 €, chez votre marchand de journaux.

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Aramis et Roland Hélie invités mercredi par Benoît Mancheron sur Radio Courtoisie

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"ça calme", l'album d'Aramis cliquez là

En déposant plainte contre le dessinateur Ri7, Anne Hidalgo menace la liberté d'expression et le droit à la caricature

RI7Hidalgolechebabouches.jpgUn COMMUNIQUE DE RIPOSTE LAIQUE :

En déposant plainte contre le dessinateur Ri7, Anne Hidalgo menace le droit à la caricature et la liberté d’expression

Le 11 janvier 2015, le maire de Paris, Anne Hidalgo, était au premier rang des manifestants parisiens, affichait « Je suis Charlie » et affirmait défendre la liberté d’expression, notamment celle des dessinateurs sauvagement assassinés par des musulmans radicaux. Le 12 janvier, elle faisait le journal Charlie Hebdo citoyen d’honneur de la Ville de Paris.

Pourtant, irritée par une caricature du dessinateur Ri7, parue sur Riposte Laïque, à l’occasion de la commémoration du ramadan à la mairie de Paris, le 9 juillet 2014 (ce qui viole les principes laïques de notre pays), cette élue a oser déposer plainte contre cet artiste, estimant que ce dessin constitue « une injure publique envers un citoyen chargé d’un mandat public ».

Cette plainte est consternante, mais surtout très inquiétante. Quelle liberté resterait-il aux dessinateurs et aux caricaturistes, éternels esprits libres, si le dessin de Ri7 était reconnu injurieux ? La conception de la liberté d’expression du maire de Paris serait-elle à géométrie variable ? Caricaturer de manière très polémiste Nicolas Sarkozy ou Marine Le Pen (voir les illustrations en pièces jointes) relèverait-il de la liberté d’expression, alors que la dessiner, elle, dans une position de soumission à des religieux, deviendrait-il injurieux ?

Riposte Laïque espère qu’Anne Hidalgo retirera au plus vite une plainte qui apparait grotesque. En attendant, soucieux de la défense du droit à la caricature et à la parole libre, nous informons l’ensemble des médias de la grave menace que la démarche judiciaire du maire de Paris fait peser à l’ensemble de la profession et aux libertés publiques. Lors du premier procès de Charlie Hebdo, en 2007, intenté par le recteur Boubakeur et l’UOIF, la France entière s’était reconnue dans la phrase de Nicolas Sarkozy : « Plutôt un excès de caricature que pas de caricature du tout ».

Nous sommes obligés de constater que la démarche d’intimidation du maire de Paris rejoint, avec d’autres méthodes, celle des islamistes, et constituent une véritable agression contre le droit à la caricature, symbole d’un pays où les artistes sont encore libres.

Nous espérons que les journalistes qui écrivaient « Je suis Charlie », le 11 janvier ne couvriront pas, par leur silence, les dangereux agissements liberticides du maire de Paris, et lui demanderont des explications sur sa conception de la liberté, dans un pays où il est attribué à Voltaire cette célèbre phrase : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire ».

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La Ligue du Midi se mobilise pour soutenir le buraliste Luc Fournié

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Un communiqué de Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi :

« Je suis Luc Fournié » : on a tous en mémoire le calvaire de  René Galinier en 2010, ce vieux monsieur de 73 ans originaire de Nissan dans l’Hérault, placé malgré son âge, en détention préventive. L’émotion avait été si forte qu’Elie Aboud, le député de la circonscription avait rendu visite au prisonnier incarcéré à la maison d’arrêt de Béziers et qu’un soir, à la télé, Xavier Bertrand, alors ministre du travail déclarait  à une question qu’on ne lui posait pas  « s’il y a un scandale, c’est celui de ce vieux monsieur qui est en détention préventive pour avoir tiré sur deux cambrioleuses qui s’étaient introduites dans sa villa… ». Les choses n’avaient pas trainé et après un jeu de chaises musicales judiciaires, le détenu était libéré au bout de 60 jours grâce à un lobbying efficace des identitaires de la Ligue du Midi. « Papy » Galinier comme on le surnomma dès lors affectueusement devrait être jugé en juin de cette année 2015; la légitime défense sera au cœur des débats.

Cette fois-ci c’est dans le Tarn, que le buraliste  Luc Fournié a été condamné par la cour d’assises d’Albi à la peine disproportionnée de 7 ans d’emprisonnement et incarcéré sur le champ pour avoir abattu un cambrioleur chez lui, de nuit. Pourtant l’affaire paraissait simple et avait de fortes chances de déboucher sur un acquittement.  Mais en France, en matière de légitime défense, ce genre d’affaire n’est jamais simple. Résumé : le buraliste Luc Fournié est averti, par sa sœur, 4 jours avant les faits, que les barreaux d’une fenêtre avaient été sciés. Ce n’est pas la première fois que cela se produit. Le buraliste prévient les gendarmes –une fois de plus- et  décide de monter la garde dans sa boutique : «On était sur le qui-vive depuis plusieurs jours et je croyais que les gendarmes nous protégeaient ». Il dort  avec à proximité un fusil de chasse chargé et dispose quelques chaises en équilibre de façon à être réveillé en cas d’intrusion. En pleine nuit, il entend du bruit, distingue deux silhouettes et fait feu à deux reprises. Un des cambrioleurs meurt sur le coup, le second prend la fuite.

L’affaire, pour un jeune étudiant en droit, ne fait pas problème : il y a d’évidence légitime défense si l’on se réfère aux articles du Code pénal. En effet, l’article 122-6 stipule :

« Est présumé avoir agi en état de légitime défense celui qui accomplit l'acte : pour repousser, de nuit, l'entrée par effraction, violence ou ruse dans un lieu habité … »

Mais l’article 122-5 qui donne la définition de la légitime défense apporte une précision qui va s’immiscer au cœur du débat:

« N'est pas pénalement responsable la personne qui, devant une atteinte injustifiée envers elle-même ou autrui, accomplit, dans le même temps, un acte commandé par la nécessité de la légitime défense d'elle-même ou d'autrui, sauf s'il y a disproportion entre les moyens de défense employés et la gravité de l'atteinte ».

Dans cette affaire, les conditions du paragraphe 6 semblaient être remplies, en outre le buraliste  agissait pour défendre sa personne et sa famille et enfin le fait de se saisir d’un fusil de chasse dans le noir face à deux agresseurs semblait ressortir de la  notion de proportionnalité. Et bien NON et ce en raison du discours ambiant droit de l’hommiste  qui met  sur le même pied une racaille et un honnête commerçant. La légitime défense est un droit naturel qui implique, qu’à travers toutes les époques, on a le droit de se défendre quand on est attaqué, la notion de riposte proportionnée, n’étant qu’un faux nez destiné à incapaciter les braves gens.

Faudrait-il alors que tous les buralistes de France se mettent à la pratique du karaté –et encore pourrait-on leur reprocher que la pratique d’un art martial peut constituer une circonstance aggravante- ou alors, l’agressé devra t’il proportionner les coups qu’il va donner avec ceux qu’il est en train  de recevoir ; l’agressé devra t’il demander à ses agresseurs s’il peut prendre un temps de réflexion afin d’analyser si la riposte envisagée est proportionnée au millimètre près. Peut-être pourrait-il également inviter les malfaisants  autour d’une tasse de thé, leur demander s’ils sont eux aussi adeptes des sport de combat et s’ils ne dissimuleraient pas par hasard sous leurs vêtements, une arme blanche ou à feu. On en revient à l’affaire Galinier où un membre du parquet avait déclaré sans vergogne : « Galinier aurait dû s’enfermer dans une pièce et téléphoner à la gendarmerie ». Le problème, c’est que « Papy » avait déjà téléphoné à deux reprises à la gendarmerie et que préférant  faire confiance à l’adage, « il vaut mieux être vivant en prison que mort au cimetière », Galinier avait fait ce que son devoir d’homme lui imposait, à savoir assurer sa défense quand la société n’était pas capable d’y pourvoir. Je ne sais pas si cette réaction s’appelle de la légitime défense, mais je sais en tous cas que sa défense était légitime.

Aujourd’hui, les commerçants sont en première ligne dans le combat pour la reconnaissance de la légitime défense. En 2010 l’affaire Galinier, avait démontré le caractère insupportable d’une telle situation et les hommes politiques de droite n’ont pas eu plus de courage, hier, que ceux de gauche aujourd’hui pour renverser cette situation par une modification de la loi en instaurant, par la sanctuarisation du domicile, une présomption absolue de légitime défense dès lors qu’un logement ou une échoppe subit une intrusion maligne évidente.

Voilà pourquoi, jusqu’à la libération du buraliste de Lavaur, je suis Luc Fournié !

Ligue du Midi cliquez ici

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