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mardi, 14 avril 2015

A Poitiers, dimanche 7 juin : 1ère Rencontres Charles Martel

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A l'initiative du Cercle des Chats bottés, présidé par Jacques Soulis. Avec : Hugues Bouchu (Ligue francilienne), Pierre Cassen (Riposte laïque), Paul-Marie Couteaux (écrivain), Roland Hélie (Synthèse nationale), Carl Lang (Parti de la France), Richard Roudier (Ligue du Midi), Christine Tasin (Résistance républicaine), Pierre Vial (Terre et peuple)...

Retenez cette date !

19:41 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi 22 avril, à Aix-en-Provence : une conférence du Dr Alain de Peretti sur la problématique de l'abattage rituel

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19:33 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 26 avril 2015 : Thomas Joly interviendra lors de la 3e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale

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12:04 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Les Africains ne sont pas des Européens pauvres à la peau noire… »

lugan.jpegUn entretien avec

Bernard Lugan

publié sur

Boulevard Voltaire cliquez ici

Vous venez de signer Osons dire la vérité sur l'Afrique cliquez là consacré à l’Afrique noire. Le moins qu’on puisse dire est que le constat que vous en dressez n’est pas des plus brillants. À croire que, pire que la colonisation, il y a désormais la post-colonisation, avec les pillages de richesses, la corruption qui monte, conjointement avec la pauvreté…

En 1962, René Dumont publia L’Afrique noire est mal partie, livre dont le titre était aussi fort que faux car, à l’époque, le monde en perdition n’était pas l’Afrique mais l’Asie, alors ravagée par de terrifiantes famines et de sanglants conflits : guerre civile chinoise, guerres de Corée, guerres d’Indochine et guerres indo-pakistanaises. En comparaison, durant la décennie 1950-1960, les habitants de l’Afrique mangeaient à leur faim, étaient gratuitement soignés et pouvaient se déplacer le long de routes ou de pistes entretenues sans risquer de se faire attaquer et rançonner… Mais c’était au « temps des colonies », époque devenue « honteuse » et dont il n’est plus permis de parler que d’une manière négative.

Soixante-dix ans plus tard, le contraste est saisissant : du nord au sud et de l’est à l’ouest, le continent africain est meurtri. De la Méditerranée aux prolongements sahariens, la dislocation libyenne entretient un foyer majeur de déstabilisation. Dans le cône austral, ce qui fut la puissante Afrique du Sud sombre lentement dans un chaos social duquel émergent encore quelques secteurs ultra-performants, cependant que la criminalité réduit peu à peu à néant la fiction du « vivre ensemble ». De l’Atlantique à l’océan Indien, toute la bande sahélienne est enflammée par un mouvement à la fois fondamentaliste et mafieux dont les ancrages se situent au Mali, dans le nord du Nigeria et en Somalie ; plus au sud, la Centrafrique a explosé, cependant que l’immense République démocratique du Congo n’en finit pas de mourir.

Humainement, le désastre est total avec des dizaines de milliers de boat people qui se livrent au bon vouloir de gangs qui les lancent dans de mortelles traversées en direction de la « Terre promise » européenne. Les crises alimentaires sont permanentes, les infrastructures de santé ont disparu comme l’a montré la tragédie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, l’insécurité est généralisée et, contrairement à ce qu’affirment médias et « spécialistes », la pauvreté atteint des niveaux sidérants.

Économiquement, et à l’exception d’enclaves dévolues à l’exportation de ressources minières confiées à des sociétés transnationales sans lien avec l’économie locale, l’Afrique n’existe pas, même si certains pays-comptoirs connaissent une réelle prospérité.

Dans l’un de vos récents ouvrages, vous souligniez cette erreur commise par l’Occident consistant à croire que les Africains n’étaient que des Européens pauvres à la peau noire… Vouloir emprunter et imposer une culture étrangère au peuple ne serait-il pas l’une des errances majeures des dirigeants post-coloniaux ?

Selon moi, quatre grandes raisons expliquent ces échecs :

• La priorité donnée à l’économie : dans tous les modèles proposés ou imposés à l’Afrique subsaharienne, l’économique a en effet toujours été mis en avant. Or, les vrais problèmes du continent sont d’abord politiques, institutionnels et sociologiques. Ils découlent largement de la non-prise en compte de la réalité humaine qui est à base ethnique. Certes, l’ethnie n’explique pas tout, mais rien ne s’explique sans l’ethnie.

• Le refus d’admettre la différence : les Africains n’étant pas des Européens pauvres à la peau noire, c’est parce que le corps social africain n’est pas celui de l’Europe, ou de l’Asie, que les modèles transposés n’y ont pas réussi. Et si la greffe européenne n’a pas pris sur le porte-greffe africain, c’est parce que, comme le dit le proverbe congolais, « l’arbre qui pousse sur le bord du marigot ne deviendra pas crocodile… » Et cet échec s’explique parce que tous nos modèles sont à la fois universalistes et individualistes, alors que le corps social africain est communautaire et enraciné.

• Le diktat démocratique imposé à l’Afrique durant la décennie 1990. Il fut postulé que, si le développement avait échoué, c’était par déficit de démocratie. Voilà pourquoi l’Afrique a subi, et subit encore, un véritable « diktat démocratique » avec pour résultat que le pouvoir revient automatiquement aux ethnies les plus nombreuses grâce à l’ethno-mathématique électorale.

• La démographie suicidaire : plus rapide que les créations d’infrastructures, elle va provoquer des cataclysmes dont il est difficile d’imaginer l’ampleur.

Entretien réalisé par Nicolas Gauthier.

Osons dire la vérité sur l'Afrique, Éditions du Rocher, 223 pages, cahier de cartes couleur. 21 euros.

Les lecteurs souhaitant une dédicace peuvent commander directement le livre à l’Afrique Réelle (BP 45- 42360 Panissières) en ajoutant 6 euros de frais de port (colissimo exclusivement). Ne pas oublier de communiquer votre adresse électronique).

10:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Daniel Conversano à Amiens

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10:41 Publié dans Daniel Conversano | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Marie Le Pen face à la meute

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Jacques Martinez Boulevard Voltaire cliquez ici

Les Français sont divisés en deux communautés : celle des « bien-pensants » assiégés par celle de leurs opposants. Mme Marine Le Pen vient de passer des assiégeants aux assiégés, laissant son père du « mauvais » côté du mur…

La présidente du Front national était dans le camp des « mal-pensants » jusqu’au lendemain du poisson d’avril, le 2 avril, jour où Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV-RMC, voulant faire un coup – ce qui n’est un détail pour aucun organe de presse -, est revenu sur des déclarations en 1987 sur RTL (dont Jean-Jacques Bourdin était l’un des journalistes à l’époque), déclarations de celui qui était alors président du FN. Et selon la signification attribuée au mot réitéré – « partie d’un tout » ou « insignifiance », comme l’a si bien analysé Marc Tortarolo (« Et si on apprenait à parler français avant de se pincer le nez ? », Boulevard Voltaire du 8 avril 2015) -, c’est de nouveau la ruée ou plutôt l’hallali pour « enfin tuer la bête immonde » !

La fille ne voulant pas être une victime collatérale de la chasse à courre lancée contre son père s’est faufilée dans la meute, fermement tirée par la main par son plus proche conseiller. Cela en adoptant les arguments de cette meute pour s’y fondre au mieux. Meute emmenée de main de maître par les bien-pensants, tout naturellement de gauche – même ceux qui, opposés aux grandes chasses, ne vénèrent pas saint Hubert – et aux traces desquels colle tout ce qui est centre et quasiment toute la droite.

Le vieux sanglier a-t-il voulu cette sortie ? L’a-t-il préparée ? A-t-il prévu la souille où il s’allongera en attendant la meute ? Ou a-t-il plutôt anticipé un repli vers une bauge au plus profond de la forêt ? Là où plus aucun de ses poursuivants, même pas l’un de ses marcassins, ne pourra le rejoindre ? Sinon, peut-être, un marcassin de la troisième génération qui semble mieux le comprendre et qui, dans quelques années, supplantera le marcassin de la deuxième génération, celui qui vient d’intégrer la meute bien-pensante ?

Le vieux sanglier voit sa compagnie – dénomination d’une famille de sangliers – se disloquer… Est-il encore en âge d’en former une autre ? C’est possible, d’autant qu’à sa hure sont encore accrochées des défenses très acérées, longuement aiguisées au fil de décennies d’un combat politique souvent tumultueux. Et comme ne cessent de le répéter les commentateurs, « son pouvoir de nuisance est intact » car, tout le monde le sait, à droite n’existe qu’un « pouvoir de nuisance », jamais, au grand jamais, de « pouvoir de bienfaisance »… La « bienfaisance » est réservée à ceux de la meute.

Pourtant, si l’ensemble de l’électorat s’est, au fil des années, « droitisé » au détriment surtout de l’extrême gauche mais aussi du PS et de ses alliés dont les écolos, « droitisé » bien évidemment au bénéfice de l’UMP/UDI, n’est-ce pas parce que le FN a tiré et a attiré ces électeurs vers la droite ? Et le vieux sanglier n’y est-il pas pour une part, même petite ? Grâce, entre autres, à son « pouvoir de nuisance » ?

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Réaction de Renaud Camus après sa condamnation en appel

0b0a57389a7e9f784d1e5cb8a814f086.jpegUn communiqué du

Parti de l'in-nocence :

Le parti de l’In-nocence prend acte avec tristesse et indignation, mais sans surprise, de la condamnation en appel, sur requête du Mrap, de son président Renaud Camus pour le discours qu’il a prononcé le 18 décembre 2010 aux Assises sur l’islamisation, “La nocence, instrument du Grand Remplacement”.

Le parti de l’l’In-nocence, à l’heure de ce communiqué, ne connaît pas encore les attendus de l’arrêt mais il y attache la plus grande importance. De deux choses l’une, en effet :

— ou bien Renaud Camus est condamné pour avoir parlé de la colonisation démographique dont la France et l'Europe font l’objet, de la conquête en cours, du Grand Remplacement et du rôle que joue la délinquance dans la prise de contrôle du territoire par ses nouveaux maîtres ; et, comme c’est exactement ce qu’il a fait, sa condamnation prouve simplement que l’énoncé de ces tragiques vérités est désormais criminalisé, ce qui n’est pas très étonnant.

— ou bien Renaud Camus est condamné, comme la première fois, pour avoir mis en cause l’honnêteté de tous les musulmans, pour les avoir traités de “voyous”, pour avoir dit qu’ils étaient les soldats de la conquête et pour avoir incité à la violence à leur égard, non pas expressément, sans doute, mais au seul motif qu’il ne proposerait rien politiquement, alors que ce communiqué-ci est le mille huit cent dix-huitième du parti qu’il préside, que le programme de ce parti constitue un programme de six cents pages (où non seulement ne se trouve pas, non plus qu’en les communiqués, la moindre incitation à la violence mais où elle est constamment répudiée et condamnée), sans compter qu’il prenait la parole, le 18 décembre 2010, en tant que candidat à la candidature pour la présidence de la République, une initiative éminemment politique ; et, en ce cas-là, si ces motifs-là sont de nouveau retenus, bien qu’ils soient totalement contraires à la plus évidente vérité et qu’ils prêtent arbitrairement à Renaud Camus et à son parti les sentiments, les convictions et les intentions les plus éloignés de ceux qui sont vraiment les leurs, alors cette condamnation montre que plus aucun citoyen n’est à l’abri de l’arbitraire remplaciste des juges.

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