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mardi, 05 mai 2015

Une conférence sur le voyage en Syrie

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Lors de la conférence que nous avions organisée le 5 février dernier à Paris cliquez ici, un voyage en Syrie avait été annoncé. Celui-ci vient de se dérouler. Plusieurs amis de notre revue y ont participés. Une conférence est organisée dimanche prochain sur ce voyage.

20:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Crise au Front national : réaction de Pierre Vial

pierre vial4.JPGLa réaction de Pierre Vial :

Le spectacle donné par le Front National est consternant. La façon dont est traité Jean-Marie Le Pen est indigne. Les roquets aboient à qui mieux mieux aux basques du vieux sanglier. Mais ils devraient avoir la prudence de ne pas trop s’en approcher car il a encore de la ressource et, contrairement à eux, une âme bien trempée…

Cette pitoyable affaire aura eu au moins une utilité : chacun aura pu vérifier qui est qui. Carriérisme, appât du gain (voir les indemnités des élus), lâcheté, trahison… tout y est.

J’ai, sur certains personnages qui se bousculent aujourd’hui pour cracher plus fort que le voisin sur le vieux chef, des documents d’archives (placés en lieu sûr) datant d’une époque où ils se voulaient des fascistes purs et durs. Amusant, non ?

Mais il faut penser à l’avenir, surtout pour tous ces braves gens qui ont beaucoup donné — et parfois tout donné — pour un FN en lequel ils voyaient la seule planche de salut.

C’est pourquoi je propose que se mette en place, avec tous ceux, sans exclusive, qui croient encore que les valeurs fondatrices de notre identité méritent d’être affirmées et promues un FRONT DES PATRIOTES. Car le sort de notre peuple exige de voir au-delà des tristes personnages qui se drapent dans un FN devenu un fromage bien crémeux pour les arrivistes de tous poils. Leur destin est de se retrouver dans les poubelles de l’Histoire.

Laissons-les dans leur fange et battons-nous pour la seule cause qui vaille : l’avenir de nos enfants et des enfants de nos enfants. Il y a encore dans ce pays des hommes et des femmes qui refusent de se soumettre à un système qui veut tuer l’identité des individus et des peuples. Qu’ils se regroupent et s’organisent et tout deviendra possible.

19:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Marie Le Pen : "J'ai honte que la présidente du FN porte mon nom"

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Le Point.fr cliquez ici

"J'ai honte que la présidente du FN porte mon nom", a lancé le père de Marine Le Pen sur Europe 1 après l'annonce de sa suspension du parti et de la future suppression de son statut de président d'honneur. Cette décision a été prise lundi en début de soirée par le bureau exécutif du Front national pour sanctionner les déclarations de Jean-Marie Le Pen à Rivarol et sur BFM TV, condamnées par sa fille Marine, présidente du parti. Le fondateur du FN avait refusé, plutôt dans la journée, de se présenter devant cette instance.

"Je pense que c'est une félonie et je dois dire que j'ai honte que la présidente du Front national porte mon nom, a-t-il poursuivi. Et je souhaiterais d'ailleurs qu'elle le perde le plus rapidement possible. Elle peut le faire soit en se mariant avec son concubin, soit peut-être avec M. Philippot ou avec quelqu'un d'autre. Moi je ne souhaite pas que la présidente du Front national s'appelle Le Pen", a lâché l'ancien président du FN. "Qu'elle fasse campagne sous le nom de Marine Aliot, ou Marine Philippot, puisqu'elle traite son père et le président du Front national de façon absolument scandaleuse."

"Si on trouve mon cadavre"

Interrogé sur le fait de savoir s'il répudiait sa fille, Jean-Marie Le Pen a répondu : "Tout à fait, je ne me reconnais pas de lien avec quelqu'un qui me trahit de manière aussi scandaleuse." Enfin, "c'est la mort qui coupe les ponts", a répondu le père de Marine, interrogé sur le caractère définitif de cette répudiation.

De plus, Jean-Marie Le Pen a promis tous les recours juridiques possibles et assené que les membres du bureau exécutif "doivent s'attendre à tous les moyens", puis a assuré que les adhérents du parti "allaient être indignés par la félonie, en tout cas ceux qui ont le sens de l'honneur". A-t-il le soutien de la base ? "Ça a été vu l'autre jour lorsque je me suis présenté sur la tribune place de l'Opéra, j'ai rassemblé un accueil sans équivoque", a assuré Jean-Marie Le Pen, qui s'était invité sur la tribune juste avant que sa fille ne s'exprime lors du traditionnel défilé frontiste du 1er mai en l'honneur de Jeanne d'Arc, et qui avait été applaudi. "Je n'ai pas volé ce soutien, je ne l'ai pas reçu en héritage non plus", a-t-il aussi taclé, dans une critique à peine voilée envers sa fille.

Jean-Marie Le Pen, que sa fille avait appelé à se retirer de la politique, a promis qu'il irait "au bout de ses mandats". "Et si on trouve mon cadavre, sachez que je ne me serai pas suicidé", a-t-il lancé en riant.

11:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manuels scolaires pro-islam : retour à l’expéditeur ?

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Véronique Bouzou Boulevard Voltaire cliquez ici

La réforme du collège portée par Najat Vallaud-Belkacem a de quoi faire bondir : le projet de révision du programme d’histoire pour la classe de cinquième prévoit qu’à la rentée 2016, l’enseignement de l’islam restera obligatoire tandis que la chrétienté au Moyen Âge ou le siècle des Lumières deviendront… facultatifs ! Ce qui n’a pas manqué de provoquer – à juste titre – une levée de boucliers de la part de nombreux historiens, intellectuels, enseignants et politiques, à gauche comme à droite.

La décision de rendre obligatoire l’enseignement de l’islam dans l’école publique ne date pas d’hier : depuis 2010 déjà, les parents d’élèves de cinquième peuvent constater que dans certains manuels d’histoire de leur progéniture, c’est sur les débuts de l’islam à travers ses « fondements » et sa « civilisation brillante » que s’ouvrait l’année scolaire, faisant fi de la chronologie. Et si le chapitre sur « L’Église en Occident », relégué en quatrième position, fait naturellement mention de l’Inquisition, la religion musulmane n’est abordée que sous l’angle positif d’une religion de paix, tolérante à l’égard des infidèles. Sans aucune approche historique critique, comment dès lors s’étonner que certains élèves soient tentés d’aller faire le djihad ?

Alors que faire contre cette tentative éhontée de travestir l’Histoire ? Prendre la plume comme le font certains intellectuels ? À quoi bon : tout le monde sait que deux intellectuels assis vont moins loin qu’une brute qui marche. Soutenir les enseignants dans la grève programmée le 19 mai dans toute la France contre ces nouveaux programmes ? Pourquoi pas… Mais quand on sait le peu de cas fait par le gouvernement envers ceux qui ont défilé contre les nouveaux rythmes scolaires, on peut s’interroger sur l’efficacité de battre le bitume. Ne vaudrait-il pas mieux que les parents d’élèves de cinquième, écœurés par ces tentatives éhontées de manipulation des esprits, tapent là où ça fait mal – à savoir au portefeuille – et décident de renvoyer les manuels d’histoire en question aux différents éditeurs concernés ? Ce serait, sans doute, un bon moyen de leur signifier que non, ils ne sont pas d’accord, et que oui, ils ont décidé d’entrer en résistance !

Concluons sur cette anecdote rapportée publiquement par Éric Zemmour qui, après une émission télé où il avait débattu avec « un historien sociologue antiraciste », indique que ce dernier avait clos la discussion par cette conclusion triomphante : « De toute façon, tu peux dire ce que tu veux, on tient les programmes scolaires. » Les programmes scolaires, peut-être, mais pas les élèves à qui ils sont destinés. N’est-il pas grand temps de sonner la fin de la récréation et de poser clairement la question de l’indépendance de l’Éducation nationale face à la montée des revendications des communautarismes ?

07:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gabriele Adinolfie publie aux Bouquins de Synthèse nationale un livre sur l'Europe

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Gabriele Adinolfi nous expose dans ce petit livre de 80 pages, initialement édité en Italie, sa vision de l'Europe.

Partant du constat que dans le monde globalisé actuel les nations européennes ne peuvent plus, seules, avoir la force nécessaire pour faire face aux blocs (USA, Chine, Inde, pays émergents...), celles-ci risquent d'être amenées à disparaître de la compétition internationale.

Seule la création d'une Europe forte et unie, reposant sur la défense de ses identités nationales et régionales, peut inverser les choses. C'est ce à quoi Gabriele Adinolfi nous invite à réfléchir.

Jeudi prochain, 9 avril, Gabriele Adinolfi présentera son livre à Paris :

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Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez là

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