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mercredi, 01 juillet 2015

Caroline Fourest persona non grata chez Laurent Ruquier

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La chronique de Philippe Randa

Décidément, ça remue dans le petit monde des médias ! À grands coups de gueule, de prise-de-becs et… de bannissement ! Dernier exemple en date, la tragi-comédie jouée en direct dans l’émission On n’est pas couché de Laurent Ruquier entre Aymeric Caron et Caroline Fourest. Le premier ose rappeler à la seconde les accusations de diffamation qui l’ont visée en 2013 et du procès qui s’en est suivi.

L’accusation venait d’une jeune musulmane qui avait fait condamner Caroline Fourest à lui verser 3 000 euros de dommages et intérêts et 3 000 euros de frais de justice. »

Peu habituée à être ainsi malmenée, la nouvelle pasionaria des féministes anti-fascistes (elle en voit partout !), perd ses nerfs et aboie : « Je ne vais pas recevoir de leçons de vous. J’essaie d’être la plus rigoureuse possible, vraiment. Vous avez une obsession qui est celle de discréditer les gens, parce que vous avez un problème de confiance en soi. En fait, ça me fait chier de parler à quelqu’un d’aussi con que vous, je suis désolée. »

Et l’indignée d’affirmer qu’elle avait gagné en appel ce procès ! Dont acte… mais pas bon acte : d’après elle, la partie adverse aurait laissé filer le « délai de prescription » et abandonné les poursuites, ce que dément l'avocat de la partie civile ; l'affaire serait toujours en cours, la cour d'appel ne s'étant pas encore prononcée… Hou, la menteuse !

Si Dame Fourest n’accepte pas d’être prise à parti, Laurent Ruquier, lui, n’apprécie pas l’esclandre sur ses terres. Et de faire savoir haut et fort qu’il n’invitera plus la vilaine dans son émission.

Caroline Fourest devient donc persona non grata… comme la première Marine Le Pen venue !

13:41 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

QUAND LES DINDES LISSENT LEURS PLUMES

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Alain Rouet

Ayant assisté à la première du film « Si Paname m’était conté », de Patrick Buisson (1), deux oiselles le prennent violemment à parti, sans doute dans le but de sortir de l’anonymat du poulailler.

Auteuses d’une « lettre ouverte » cliquez ici publiée sur un site qui médit à part, l’une, Ruth Fiori, se présente comme « historienne du patrimoine » et l’autre, Pauline Duyck, comme « restauratrice du patrimoine ». A priori ces titres ronflants doivent recouvrir des gâches de fonctionnaires improductifs…

Elles se plaignent d’abord qu’il ne s’agisse pas « d’un film documentaire ». Outre le fait que la notion de « documentaire » est mouvante, le plus remarquable est que le film n’en porte pas l’estampille !

Il s’agit d’une mise en images de textes littéraires sur le Paname des années 50, la limite de l’exercice se trouvant soit dans l’absence de tels textes, soit en celles d’images correspondantes. C’est simple à comprendre, non ?

Le thème en est « Paname », c'est-à-dire le Paris-Popu. Il n’a pas échappé à l’auteur, pas plus qu’aux spectateurs, qu’à coté des bistrots populaires existaient le Flore ou le bar du Crillon, à coté du Vel d’Hiv’ les courses de Longchamp, à coté des taudis les immeubles post-haussmanniens et les hôtels particuliers des beaux quartiers, à coté des chanteurs de rue, les concerts et l’Opéra….mais ce n’est pas le sujet.

Contrairement à tous les autres spectateurs nos deux inconnues « n’ont pas compris le sens du film ». Le sens du film : ça y en a être le Paname disparu, toi y en a compris ?

Il faut dire qu’elles ont la comprenette difficile, regrettant « qu’extraits d’archives, extraits de films, citations littéraires et chansons populaires, le tout est littéralement fondu et lissé sans que ne soient mentionnes les sources de ces extraits au moment même de leur passage (…) et sans qu’ils nous soit donné de distinguer l’archive d’une production artistique ». Pourtant ce n’est pas compliqué : quand il y a de la musique écrite pour les paroles c’est une chanson ; quand il ya un dialogue avec Gabin c’est un extrait de film et quand il y a lecture par les trois « voix » du film il s’agit d’une citation littéraire !

Les 600 autres spectateurs l’avaient pigé, pas elles !

Le film ne fait évidemment pas, comme elles le prétendent, l’apologie de l’inconfort des logements de l’époque : il nous montre simplement que leurs occupants ne ressemblaient guère à ceux de nos beaux HLM parisiens d’aujourd’hui.

Libre à chacun de constater que si l’on a blanchi les façades des immeubles populaires on a sacrément foncé le contenu… et que le parigot de l’époque s’est vu substituer le bobo ou l’immigré.

Si nos deux critiques avaient quitté pédibus  la séance (mais elles ont peut-être des frais de taxi extensibles) elles auraient pu constater qu’il y avait autant de clochards que dans les années 50 mais qu’il s’agit maintenant de moldo-valaques…

Enfin elles regrettent  la présence de certains auteurs « dans ce marasme de passéisme et de discours populiste ». Se fiant à la consonance elles doivent prendre le marasme pour une sorte de marais ou de marécage… Or le marasme est une forme de consomption conduisant à l’arrêt d’activité… le contresens parfait ! Quand on se veut « historienne » ou « restauratrice » de notre patrimoine encore faut-il le connaître dans tous ses aspects…dont la langue française.

Le critique du « Figaro Magazine », qui consacrait 6 pages au film, a parfaitement compris son contenu. Comme il s’agit de Caracalla, précisons à nos deux « spécialistes » qu’il n’est pas empereur romain.

(1) La première s'est tenue à Paris le 21 juin. Ce film sera prochainement programmé sur la Chaîne Histoire cliquez ici

12:46 Publié dans Débat sur l'identité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La manif d'hier soir à Paris pour exiger la démission des sinistres Valls et Cazeneuve :

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Organiser en quelques jours un rassemblement à Paris, surtout en période de canicule, n'est pas une chose facile. C'est même un pari audacieux. Et malgré les risques que cela pouvait engendrer, Riposte laïque et Résistance républicaine, avec le soutien du Parti de la France, de Synthèse nationale et de quelques autres associations, ont remporté hier soir une belle victoire puisque, contrairement à ce qui s'était passé en janvier dernier, la manifestation qu'ils avaient annoncée pour demander la démission de Valls et de Cazeneuve a été autorisée.

A 18 h, les petits groupes se sont rassemblés devant la Bourse et là, premier hic, la direction de cette dernière, qui n'a sans doute pas d'autres chats à fouetter en ce moment, exigea que la grande banderole installée devant les grilles du Palais Brongiart soit retirée. Il ne faudrait pas que les islamistes s'imaginent un instant que la haute-finance soit complice des patriotes. Rassurez-vous ce n'est pas le cas !

Une fois cet incident réglé, Pierre Cassen, le dynamique Président de Riposte laïque, ouvrit, avec le talent que nous lui connaissons, la série d'interventions. Vous pourrez retrouver toutes celles-ci en cliquant ici.

Après l'horrible crime de vendredi dernier, il fallait que les responsables soient désignés. Or, ces responsables, comme l'a rappelé Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, ce sont ceux qui, par la politique immigrationiste qu'ils ont mené depuis plus de cinquante ans, ont installé sur notre sol les adeptes de l'islam radical. Les politiciens, les banquiers, les médias, tous sont responsables.

Carl Lang, Président du Parti de la France, pour sa part, rappela qu'ici, en France, nous ne sommes pas en terre d'Islam, mais en terre de libertés et que le combat de tous est nécessaire si l'on ne veut pas voir notre pays tomber sous le joug de la Charria. 

Il revenait à Christine Tasin, Présidente de Résistance républicaine, de conclure cette courageuse manifestation en proposant aux patriotes présents d'entonner notre hymne national, La Marseillaise.

Quelques interventions :

Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale

Carl Lang, Président du Parti de la France

 Pierre Cassen, Président de Riposte laïque

Simultanément, plusieurs rassemblements étaient organisés en France, en particulier à Quimper et à Montpellier... Nous en reparlerons.

11:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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10:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |