Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 04 juillet 2015

Écoutes américaines en France : comment faire confiance à un tel « allié » ?

MNR.jpgUn communiqué du MNR :

Les documents Wikileaks, (relayés par Mediapart) montrent que, non seulement trois chefs d'État français (J. Chirac, N. Sarkozy, F. hollande), mais aussi des ministres, des hauts fonctionnaires, des parlementaires et des diplomates ont été surveillés téléphoniquement pendant près d’une décennie par les services secrets américains (NSA). 

La NSA est le plus gros service de renseignement américain, chargé théoriquement de la lutte antiterroriste. A ce sujet, le président F. Hollande a déclaré : « Les États-Unis sont nos alliés, cela suppose que nous soyons respectés. » Mais aussi : «Ces révélations couvrent une période qui n’a plus à être prolongée compte tenu des engagements pris». Le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, a rejeté avec force les appels à une remise en question des relations avec les États-Unis et à la suspension des négociations du TTIP (Traité de libre-échange transatlantique), faisant valoir «qu’entre grandes nations, (…) on a des responsabilités dans le monde» et beaucoup d’intérêts économiques... » (Le Monde)

Ainsi donc, la réaction des autorités françaises est pratiquement inexistante. Comment ne pas faire le parallèle avec notre attitude à l'égard de la Russie (refus de livraison des porte-hélicoptères Mistral), à propos d'un conflit (Ukraine) qui ne nous concerne pas ?

Avec tous les patriotes, exigeons de nos gouvernants une attitude qui serve les intérêts de notre pays, et non pas un alignement servile sur les positions américaines.

18:28 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos de cette semaine :

2457982678.3.jpg

Pour le lire cliquez ici

17:12 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Marie Le Pen revient sur l'actualité :

17:06 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pouilly-en-Auxois, spot estival 2015 des résistants à l’oppression migratoire ?

ph21_pouillyenauxois.jpg

Véronique Bouzou Boulevard Voltaire cliquez ici

Vous faites partie de ces Français qui choisissent leur destination d’été à la dernière minute ? Pas toujours facile de privilégier l’exotisme avec un budget serré. Et si vous passiez vos prochaines vacances à… Pouilly-en-Auxois ? Cette charmante bourgade de Bourgogne de 1.600 âmes – ou plutôt 1.660, depuis que la commune est devenue bien malgré elle le lieu d’accueil de 60 migrants de la Corne de l’Afrique, tous en provenance du centre surchargé de Calais – a fait parler beaucoup d’elle ces derniers mois. En effet, le gouvernement, incapable de juguler les flux migratoires dans les grandes villes, a trouvé LA solution miracle : répartir en catimini sur l’ensemble du territoire un nombre croissant de migrants. Et Pouilly-en-Auxois n’est qu’un village pilote. À la rentrée, une vingtaine de départements devraient être concernés. Le député UDI Yves Jégo va encore plus loin, proposant que chaque commune accueille un quota de demandeurs d’asile. Nous sommes donc tous concernés, à plus ou moins brève échéance.

Pas de quoi dénaturer nos vertes campagnes, rétorqueront naïvement certains. À tort : les migrants en question, tous de jeunes hommes en parfaite condition physique à qui l’on offre le gîte et le couvert via l’argent du contribuable, se verront tôt ou tard proposer un travail subventionné sous prétexte que l’oisiveté est mère de tous les vices. Les petites gens du cru touchés par le chômage et la crise apprécieront… Et puis comme tout humain a le droit d’avoir des relations sexuelles et d’élever ses enfants, on décidera rapidement de faire venir les familles des migrants au village. Les quelques dizaines d’entre eux disséminés ça et là deviendront rapidement des centaines puis des milliers. Une fois le droit de vote des étrangers si cher à la gauche en vigueur, des communes entières passeront sous contrôle des migrants. Le Grand Remplacement est en marche…

Et pas question d’altérer l’image du formidable laboratoire migratoire qu’est en passe de devenir Pouilly-en-Auxois auprès de l’opinion publique. Toutes celles et ceux qui, au village, s’indignent de la présence des migrants sont muselés par les médias, ces derniers préférant s’attarder sur la poignée d’habitants ayant décidé d’aider bénévolement les nouveaux arrivants, comme monsieur le maire qui les a conduits, avec sa voiture, manger des crêpes dans un château quatre étoiles, deux institutrices à la retraite qui leur donnent des cours de français, ou bien ce monsieur qui les emmène le vendredi à la mosquée de Beaune.

Il serait donc grand temps que ceux qui lisent ces lignes profitent de la trêve estivale pour aller soutenir massivement et pacifiquement la majorité silencieuse de ce village gaulois bien démunie face au rouleau compresseur politico-médiatique. Plus nous serons nombreux à faire le déplacement, plus nous aurons de chance d’empêcher les expérimentations migratoires hasardeuses à venir qui, après avoir gangrené nos villes, menacent à présent nos campagnes. Bonnes vacances au vert…

11:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

René Galinier, 78 ans, cambriolé : ET C'EST ENCORE LUI LE COUPABLE !

rene-galinier-est-juge-pour-2-tentatives-de-meurtre-sur-2_1499691_667x333.png

Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

René Galinier, 78 ans, est manifestement un brave homme qui, jusqu’au 5 août 2010, coulait des jours à peu près tranquilles dans sa petite maison de Nissan-lez-Ensérune (Hérault). Et le voilà désormais jugé par la cour d’assises de l’Hérault, à Montpellier, où sa peine vient d’être prononcée : 5 ans de prison dont 4 ans avec sursis.

Son crime ? Ce même 5 août 2010, cambriolé une fois de plus, une fois de trop, il s’énerve, prend son fusil de chasse et tire par deux fois sur les intrus ; ou les intruses, pour être plus précis. Salena et Marina ; jeunes filles d’origine serbe, des « gens du voyage », comme l’on dit pudiquement. Il est un fait que lorsque papy Galinier sort le flingo, c’est pas pour faire les carreaux. D’où blessures évidentes pour les deux adolescentes. L’une n’enfantera jamais, l’autre traîne depuis une patte folle.

René Galinier, évidemment, qui n’est pas une brute, a exprimé ses « regrets sincères », formule de rigueur devant les juges. Mais bon, il était tout de même un peu chez lui, et ces deux gamines pas véritablement chez elles. Mais qui, détail d’importance, n’ont pas été poursuivies par la justice, alors que le motif était un brin évident. Le coupable, c’est René Galinier, forcément. Alors ? Alors, rien. Pourtant, même Le Parisien de ce vendredi admet : « Bien sûr, ce procès n’est pas celui des cambrioleuses […] mais un peu celui des casses organisés et du sentiment d’insécurité. Cette “crainte” qu’inspirent les “gens du voyage” à tout le village de Nissan, dont les habitants sont venus en masse soutenir leur ami et voisin surnommé “Néné”. Ils adhèrent à la thèse de “l’autodéfense” de l’accusé, défendu par les avocats Gilbert Collard (RBM-FN) et Josy-Jean Bousquet (non-inscrit). »

Mais là où l’affaire en vient à défier les lois du bon sens et de la raison la plus élémentaire, c’est quand Marina et Salena exposent leur système de défense, manifestement issu des cogitations stratosphériques d’un avocat qui devait au moins être ivre mort au moment des délibérations. Marina : « Je ne peux plus rien faire, je ne pourrai plus jamais travailler… » Et, à la légitime question posée par les juges, consistant à mieux déterminer en quoi consistait son travail, cette réponse, désarmante de naïveté : « Travailler ? C’est-à-dire voler… »

Malaise dans le prétoire, fort bien rendu par la journaliste du Parisien : « À l’évidence, Marina espère l’indemnisation qui compensera la gravité de ses blessures et peut-être… le manque à gagner. Elle se rend compte de la maladresse de son propos, son avocat, Silvio Rossi-Arnaud, conteste la traduction, mais le jury a bien entendu. » Bonne nouvelle ? René Galinier, quant à lui, explique son geste par la peur de perdre sa maison et ajoute : « J’ai pas eu de chance. Ça aurait pu arriver chez ma voisine et, malheureusement, c’est arrivé chez moi… »

Autrefois, on ne s’indignait pas que certains marins se noient en mer, que d’autres couvreurs tombent des toits, que tant de policiers décèdent en service et que d’innombrables soldats aient pu mourir au front. Il s’agissait simplement des risques de métiers que tous avaient choisis en connaissance de cause. Même les truands de naguère, quand ils partaient en prison, évoquaient seulement un « accident de travail ».

Tout cela pour dire que des voyous ou des voyouses, pénétrant par effraction dans le domicile d’un paisible vieillard, savent mieux que personne les périls qu’elles peuvent éventuellement encourir. Si elles n’assument pas, on manque encore de bras à La Poste…

Pour le reste, vive René Galinier, et une pensée émue pour Jean Gabin dans La Horse !

10:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |