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mercredi, 08 juillet 2015

Le congrès postal du FN mariniste annulé par la Justice

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La conférence organisée par Zénit à Bruxelles avec Gabriele Adinolfi sur l'Europe

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FAUT-IL VRAIMENT SE REJOUIR DU VOTE GREC ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Les Grecs ont voté majoritairement le dimanche 5 juillet dernier en faveur des thèses du gouvernement de Tsipras, autour de 60 % des suffrages exprimés. Certes, c’est  un « NON » massif adressé à la troïka mondialiste (FMI, Banque mondiale, Banque européenne), qu’il faut toutefois relativiser compte-tenu du nombre élevé d’abstentions. N’oublions pas non plus, contrairement à certains de nos amis qui ont « les yeux de Chimène » pour le Premier ministre d’Athènes, que ce dernier est issu des rangs communistes et que son parti, Syriza, est fortement ancré à l’extrême gauche du spectre politique grec et qu’il est, comme le Front de Gauche de Mélenchon, totalement « immigrationniste », ce qui devrait interpeller l’intelligence du premier parti d’opposition nationale en France…

Alors, se réjouir de la claque infligée par le peuple grec aux Eurocrates, pourquoi pas bien sûr, mais cela ne peut-être qu’une satisfaction morale, car la réalité de la situation est là, bien éloignée de tout romantisme libertaire ou révolutionnaire.

D’abord, il faut bien constater avec étonnement que les ennemis les plus déclarés de la thalassocratie américaine sont les mêmes qui jettent aux orties l’Euro. Drôle de façon irréfléchie de vouloir combattre l’influence mondiale du Dieu dollar en « flinguant » une tentative de monnaie de réserve alternative. La grande tare de l’Euro c’est  que l’on ait attelé la charrue avant les bœufs, c’est d’avoir été mis sur pied dans la hâte sans que la fiscalité et les régimes sociaux des futurs partenaires ne soient homogénéisés entre pays « responsables » , c’est-à-dire les membres du « Club Carolingien ». Dans mon village, il y a une écluse  sur la rivière, sans laquelle les péniches se fracasseraient en aval de la Seine ! C’est ce qui se passe dans l’Euro zone.

Comment un Etat incapable d’avoir mis sur pied un vrai cadastre, de faire rentrer l’argent des impôts, ou de taxer l’Eglise  orthodoxe et ses armateurs nomades aux fortunes vagabondes, pouvait-il devenir membre de l’Union européenne et, à plus forte raison, de son club monétaire ? Il y a là une double responsabilité : celles des Eurocrates bruxellois qui n’ont rien voulu voir et celle de l’oligarchie athénienne, qu’elle soit issue du PASOK ou de la Nouvelle Démocratie. Un véritable déni des réalités. Tout est à revoir, tout est à reconstruire, autant dans la capitale grecque qu’à Bruxelles, Strasbourg ou Luxembourg.

Si nous ne supportons plus cette « UE » mortifère, nous n’en sommes pas moins attachés – en tout cas un grand nombre de nationaux et de nationalistes – à cette grande Europe de la civilisation, à cette grande idée d’union qui permettra de dépasser les chicanes de voisinage et de sauver l’essentiel de l’intégrité de nos peuples. L’usine à gaz bruxelloise ne saurait être un idéal à proposer à nos différents ressortissants. Il faut inventer autre chose, faire table rase de ces mauvaises institutions, mais l’idée d’une monnaie commune sinon unique  était – est – un premier pas vers l’indépendance à reconquérir vis-à-vis des Etats-Unis. C’est là que mes amis souverainistes à tout crin font fausse route.

Pour l’instant, l’Europe qui marche c’est celle de la science, de l’espace, de l’aéronautique, pour le reste… Où sont les marines nationales européennes ? Elles font des ronds dans l’eau, absorbant comme l’agence FRONTEX devenue… « l’éponge SPONTEX », les clandestins toujours plus nombreux, prêts à coloniser nos « chers vieux pays » au lieu de les refouler sur les côtes africaines. Il faut avoir tous ces paramètres présents à l’esprit pour juger la situation de la Grèce : pragmatisme – le tonneau des Danaïdes, ça suffit – mais compréhension de sa position géopolitique. A ce jour rien n’est encore décidé. Pour conclure, une seule façon pratique et agréable de soutenir la Mère de notre civilisation, c’est d’aller « nous faire voir chez les Grecs » afin d’admirer les charmes de la « Belle Hellène » !

12:05 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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01:21 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier) | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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