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mardi, 18 août 2015

Cahier d'Histoire du nationalisme n°6 : Tixier-Vignancour, un franc-tireur du XXe siècle…

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Roland Hélie

Editorial du n°6 des Cahiers d’Histoire du nationalisme

Me Jean-Louis Tixier-Vignancour (1907-1989) fut sans doute l’une des figures les plus marquantes de la droite nationale française du XXe siècle.

Avocat talentueux, réputé pour sa voix de bronze, il défendit avec courage et témérité tous ceux qui, aux yeux du Système, étaient indéfendables. Qu’il s’agisse des réprouvés de « l’épuration », des simples lampistes aux plus illustres comme Louis-Ferdinand Céline, ou des combattants l’Algérie française, comme le général Salan, beaucoup d’entre eux trouvèrent en lui un redoutable défenseur qui leur permit d’échapper à un sort peu enviable.

Homme politique audacieux et parfois paradoxal, il participa de près ou de loin à tous les grands combats de la droite nationale des années 20 jusqu’à la fin des années 70. Il fut, en 1965, le premier candidat national à une élection présidentielle au suffrage universel sous la Ve République, ce qui lui donna une notoriété personnelle inégalée à l’époque. Il faut dire que Tixier-Vignancour était très motivé par le mépris que lui inspirait le général De Gaulle, son plus fidèle ennemi.

C’est donc à ce personnage incontournable de l’Histoire du nationalisme français que nous consacrons cette sixième livraison de nos Cahiers.

Afin de retracer la vie tumultueuse de Jean-Louis Tixier-Vignancour, nous nous sommes grandement inspirés de la remarquable biographie que lui a consacré, il y a une quinzaine d’années, l’avocat bordelais Thierry Bouclier. Celui-ci a eu la gentillesse de mettre à notre disposition son abondante documentation. Nous avons aussi rencontré des grands témoins de sa carrière politique comme Jean-Pierre Reveau et, le plus célèbre d’entre eux, Jean-Marie Le Pen qui nous a accordé un entretien dans lequel il revient sur la campagne et nous fait part de ses regrets de n’avoir pas été lui-même candidat..

Une évolution contrastée

De ses débuts, comme étudiant d’Action française, donc peu porté sur le débat démocratique, jusqu’à sa dernière campagne électorale, en 1979, comme tête de liste de l’Eurodroite présentée par le Parti des Forces nouvelles (cf. le n°4 des Cahiers d’Histoire du nationalisme) lors des premières élections européennes qui se tinrent, elles aussi, au suffrage universel, Tixier-Vignancour eut un parcours intéressant. Si les revirements conjoncturels furent nombreux, le socle resta toujours le même.

Certains lecteurs seront peut-être étonnés, voir agacés à juste titre, par les prises de position controversées de Tixier-Vignancour. Il convient cependant, pour bien les comprendre, de les replacer dans le contexte politique et géopolitique qui était celui de l’époque.

Une présidentielle prometteuse aux conséquences dramatiques

Nous avons attaché une importance particulière à la campagne présidentielle de 1965 car celle-ci constitue, à elle seule, le fait d’armes politique le plus important de Jean-Louis Tixier-Vignancour. Le fait d’armes judiciaire étant bien sûr d’avoir évité la peine de mort en général Salan.

Conduite efficacement par Jean-Marie Le Pen, qui en était à la fois le promoteur et l’organisateur, cette campagne suscita un immense espoir. Non seulement celle-ci fut intense, mais en plus elle fut originale et novatrice, en particulier avec la fameuse tournée des plages du « cirque Tixier » au cours de l’été 1965. Du jamais vu jusque là…

Si tout avait plutôt bien commencé, un certain nombre de paramètres inattendus, dont la candidature du centriste Jean Lecanuet, amenèrent Tixier-Vignancour à modifier considérablement son discours. Il avait commencé sa campagne comme « candidat national », puis, chemin faisant, il devint le « candidat national et libéral » et il termina sa course comme « candidat libéral ». Déjà à cette époque, la recherche d’une hypothétique respectabilité semblait être de mise. Néanmoins, ce recentrage ne fut guère payant puisqu’au soir du premier tour à peine un quart des électeurs escomptés avait voté pour Tixier. Ces résultats furent considérés comme étant décevants et, au lendemain de cet échec, ce fut la débandade. La droite nationale entama alors une traversée du désert qui dura près de 20 ans. Celle-ci fut dramatique car elle laissa le champ libre à une fausse droite libéralo-conservatrice qui passa son temps à prôner une politique d’ « ouverture à gauche » avec les conséquences que l’on sait.

Une certaine fidélité… malgré tout

Au cours de cette période, Jean-Louis Tixier-Vignancour tenta de continuer à exister politiquement en s’engageant de manière parfois un peu surprenante, comme ce fut le cas lors de la présidentielle de 1969 où, malgré son anti gaullisme forcené, il appela envers et contre tous à voter pour Georges Pompidou, l’ancien Premier ministre du général parjure. Son soutien à Israël lors de la Guerre des Six jours ne fut pas non plus apprécié par tous.

 A la fin de sa vie, au milieu des années 80, il s’engagea une dernière fois en apportant son soutien au Front national alors émergeant. En fait, Tixier-Vignancour n’était pas un homme d’appareil. Il était plutôt ce que l’on pourrait appeler « un franc-tireur politique ».

Malgré toutes ses circonvolutions et ses effets d’annonce, malgré tout ce qui peut lui être reprochés, Tixier-Vignancour, béarnais haut en couleurs, demeure une personnalité attachante de notre famille politique. Nous espérons que ce sixième Cahier d’Histoire du nationalisme contribuera à mieux vous le faire connaître.

Cahier d'Histoire du nationalisme n°6, 200 pages, cahier photos, juin 2015, 20,00 €

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Un nouveau magazine consacré à l'antiquité européenne

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Au sommaire de ce premier numéro trimestriel (août-septembre-octobre)  de nombreux articles sur :

LA GAULE ROMAINE : Evreux et Vieil-Evreux , ville et sanctuaire,
HISTOIRE ROMAINE : Antonin Le pieux, symbole de la vertu romaine,
CITÉ ANTIQUE : Le temple d’Antonin et Faustine,
ARMÉES ANTIQUES : Le hoplite à Marathon et L’armée romaine augustéenne,
CIVILISATION : L’âge du fer en Scandinavie et Le vin gaulois,
MYTHES ET RELIGIONS : Les Vestales,
ART ANTIQUE : La Niobide mourante et Sir Laurence Alma-Taméda,
MYTHES ET LÉGENDES : Le Festin de Pélée et Le Groupe du Laocoon,
CUISINE ANTIQUE : La cuisine romaine,
COLLECTIONS ANTIQUITÉS : Le Musée Imaginaire,
Des rubriques BIBLIOTHÈQUE et EN BREF
 
Editions Heimdal, en vente en kiosques, 9,50 €

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Aide aux « migrants » : compassion ou collaboration ?

migrant.jpgPierre-Emile Blairon

Un combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin. 

Un combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin. L’une de ces officines venant en aide aux « migrants » édite un « annuaire des acteurs associatifs et institutionnels » de plusieurs centaines d’entrées regroupant cette nébuleuse d’organisations (dont la plupart des dirigeants sont issus de l’extrême gauche) mis à la disposition des clandestins.

On connaît l’efficacité de ce réseau, d’autant plus qu’il est parrainé et subventionné par nos structures étatiques « républicaines ». On peut être surpris d’y trouver les mentions d’institutions vénérables comme la Croix-Rouge française (fondée par le maréchal Pétain le 4 août 1940 sous son appellation actuelle) ou le Secours catholique (fondé par l’abbé Rodhain, ouvertement pétainiste, décoré de l’ordre de la Francisque), dont la vocation initiale était de venir en aide aux Français en difficulté. Ces associations traditionnelles n’avaient d’autre but que compassionnel. Étrange pied de nez de l’Histoire : infiltrées par la gauche, elles se retrouvent à la pointe de la lutte antifrançaise, de la préférence étrangère, donnant tous les moyens légaux et surtout illégaux à ceux qui vont remplacer nos peuples européens, avec la bénédiction de nos gouvernants. On appelait ces gens, sous l’Occupation, des « collabos ».

 Ces militants illuminés n’ont plus de repères, de sol auquel se rattacher, ni de sang auquel appartenir, et se croient investis d’une mission universaliste ; ils vont affronter la saleté, les insultes, les violences (il y a quelques jours, en Italie, trois clandestins égyptiens ont frappé le responsable d’un centre d’accueil et violé son employée), en abandonnant délibérément nos pauvres qui souffrent. En effet, selon une enquête de 2012 effectuée par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), 40 % des SDF « francophones » ne reçoivent aucune aide, alors que la quasi-totalité des « migrants » sont pris en charge par l’armada des associations d’accueil des étrangers.

 C’est que nos bons samaritains sont persuadés d’être en charge de toute la misère du monde. Le prix de passage clandestin à bord d’un bateau s’élève en moyenne à 3.000 euros. Ou bien ces gens ne sont pas dans la misère, ou bien leur trajet est payé par des organismes privés ou étatiques ; lesquels ? Quel Français pourrait s’offrir un tel voyage ? Il faut aussi savoir que nombre de djihadistes pourraient être présents parmi les gentils demandeurs d’asile, selon Gilles de Kerchove, le coordinateur de l’Union européenne pour la lutte contre le terrorisme.

Si le Grand Remplacement n’est pas une lubie, le Grand Suicide – l’ethnomasochisme – de nos populations européennes ne l’est pas non plus. Lorsque ces bénévoles inconscients auront parmi leurs proches une personne égorgée ou victime d’un attentat, ils ne pourront pas invoquer la clause de l’ignorance. Ils seront donc alors complices.

(*) Pierre-Emile Blairon est journaliste et écrivain

Source : Boulevard Voltaire cliquez là

et Le Journal du Chaos cliquez ici

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Des Dieux, ces Aïeux du stade !

ph randa.jpgLa chronique de Philippe Randa

Les médias n’ont pas manqué de rapporter les extraordinaires prouesses à vélo  Robert Marchand : après avoir, à 102 ans, battu son propre record, soit 26,952 km en soixante minutes (2,692 km de mieux que l’année dernière en Suisse) en février 2014, il a grimpé le 26 novembre suivant un col en Ardèche qui porte son nom pour fêter ses 103 ans à l’issue d’une montée de 10 kilomètres avec 450 m de dénivelé en 56 minutes !

Une exception, Bob le magnifique ? Pas vraiment ! Ils sont ainsi 8 058 inscrits, de 98 nationalités différentes, classés par tranches de cinq ans à partir de 35 ans, à concourir pour le championnat du monde d’athlétisme vétérans.

Épreuve phare de ces jeux très particuliers, le 100 mètres qui verra s’affronter sur la piste du stade de Balmont, dans le quartier lyonnais de La Duchère, huit concurrents dans la catégorie « 90 ans et plus ».

Passe encore de vieillir ; mais courir à cet âge ! Tant pis pour les obsédés du jeunisme… et du carriérisme : les prouesses des « Aïeux du Stade » valent largement celles de bien des champions nationaux ou olympiques et même davantage que celles de bien des « stars » qui paradent sur les podiums, déguisés par la publicité comme des sapins de Noël et fiers de leurs juteux contrats dont ils clament sans vergogne les montants démentiels, prétextant que leur « carrière » est brève et qu’ils doivent ramasser un max au plus vite… Eux n’attendent de récompense ni sonnante, ni trébuchante. Un simple coup de chapeau fera l’affaire. Mais haut-de-forme, le chapeau !

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER 

RIVAROL N° 3199 du 30 juillet au 2 septembre 2015

 

JEAN-MARIE Le Pen confirme qu’une liste FN canal historique, qu’il se refuse à qualifier de dissidente, évoquant une « liste parallèle », est en train de se constituer en PACA en vue des élections régionales.

 

“JE SUIS DEPUIS PLUSIEURS SEMAINES SANS NOUVELLES DE MADAME MARÉCHAL”

 

« Un certain nombre de militants et de dirigeants qui me soutiennent ont imaginé créer des listes dans l’objectif de me demander d’en prendre la tête. Je ne suis pas à l’initiative de cette affaire, mais je la regarde avec intérêt », dit-il. Et il ajoute : « Je n’ai rien décidé. Je ne m’interdis rien. Je ne m’ordonne rien pour l’instant. Comme je suis depuis plusieurs semaines sans nouvelles de Madame Maréchal, je ne sais pas ce que ce genre d’initiative de la base lui suggère comme réflexion. » On notera que le Menhir retire le nom de Le Pen à Marion Maréchal ex-Le Pen. Il me confie : « Elle n’a jamais pris contact depuis plus d’un mois avec moi, depuis que je l’avais proposée comme candidate ». Et il ajoute : « C’est extravagant, irresponsable de ne pas avoir contacté le président du groupe FN au Conseil régional pour la constitution des listes ». Le président connaît en effet, mieux que personne, et en tout cas mieux que Marion Marechal, les élus de valeur qui pourraient apporter leurs qualités à la gestion de la région. Oui mais, des élus de valeur qui ne seraient pas fanatiquement marinistes n’ont aux yeux de ces Ganelones, aucune valeur. En attendant, comme on le sait, quinze élus de PACA sur vingt restent fidèles à leur président. 

 

A propos d’un des élus, Thibaut de La Tocnaye, qui a rejoint, malgré son passé, malgré ses postures, malgré ses convictions, malgré sa foi, le camp mariniste, à cause de la gamelle, ce qui est une insupportable trahison, Jean-Marie Le Pen dit : « Quos vult perdere Juppiter dementat » (Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre). Pour conclure notre entretien, le fondateur du FN, qui continue évidemment à être bien informé des affaires du mouvement, nous apprend que les adhésions et réadhésions au FN sont actuellement en chute libre. Le Menhir reproche à sa petite-fille de le snober (même si une rencontre discrète à son domicile à La Celle-Saint-Cloud a finalement eu lieu le 23 juillet), d’avoir refusé de prendre sur ses listes Bruno Gollnisch dont il souhaitait qu’il présidât la région en cas de victoire et d’avoir pris le parti de sa tante contre lui, se prononçant le 9 juillet pour la suppression de la présidence d’honneur de son grand-père auquel elle doit toute sa carrière politique et son mandat de député du Vaucluse, mandat aussi prestigieux que rémunérateur. Le Menhir conclut : « J’avais retiré ma candidature et soutenu celle de Madame Maréchal par volonté de conciliation. En échange j’ai été suspendu ! »

 

FLORIAN PHILIPPOT ACCUSÉ D’ÊTRE UN “AGENT DOUBLE” PAR JEAN-MARIE LE PEN

 

Jean-Marie Le Pen a décrit Florian Philippot, dans une interview au quotidien Le Parisien, comme « un agent double, envoyé par la droite, pour saboter le FN ». Le vice-président du FN mariniste, invité d’Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC tente de répliquer sur le ton de l’ironie, déclarant : « Mince, il a vu mon oreillette caché derrière l’oreille », ajoutant : « Marine Le Pen est une extraterrestre reptilienne et tout cela est un complot de la CIA et du KGB réunis ». Pour conclure, il assène, l’air grave : « Jean-Marie Le Pen crée un trouble phénoménal. C’est ridicule ». Mais qui est à l’origine de ce « trouble grave » et sans doute mortel quant aux espérances du FN de remporter des régions ou d’accéder à la présidence de la République ? Qui ?

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DÉCRYPTAGE DES “HEURES LES PLUS SOMBRES DE L’HISTOIRE DE FRANCE

 

Le Scan politique du Figaro s’amuse, si l’on peut dire, à décrypter ce qu’il qualifie de point Godwin en matière d’expression politique, le qualificatif ultime pour renvoyer une personnalité et ses idées hors du champ de l’acceptable au regard de la morale publique : « Les heures sombres de l’Histoire ». Référence, bien entendu, aux années d’occupation qui « constituent au sein de la classe politique le summum de l’inacceptable. Tout ce qui y est renvoyé se trouve marqué d’un sceau d’infamie ». Rappelons ce qu’est ce fameux « point Godwin ». La loi de Godwin dit que plus une discussion s’allonge sur internet, plus la probabilité que la Seconde Guerre mondiale soit évoquée est forte (nazis, camps de concentration, etc.). Quand cela arrive, on dit que la discussion a atteint le point Godwin, et on considère qu’il est inutile de la poursuivre (quels que soient les arguments avancés). Le Pingouin use évidemment et abuse de cette considération. Il le fait très bien au demeurant, la bouche en cul de poule, le front plissé de gravité, le postillon indigné. Récemment encore, il rendait hommage à Robert Chambeiron, membre fondateur du Conseil national de la résistance, évoquant un homme qui « avait incarné aux heures les plus sombres cet esprit, celui qui souffle encore aujourd’hui : l’esprit de résistance ». L’expression, note le Scan, n’a cependant pris toute sa force, et, disons-le, sa beauté, qu’à partir des années 1970-80 et l’adoption des lois Pleven (1972) et Gayssot (1990). On se souvient de cette belle sortie de Cécile Duflot contre Manuel Valls en pleine affaire Leonarda Dibrani, la Rrom qui fut expulsée de France : « Cette opération rappelle les heures les plus sombres de notre histoire et réveille en nous une monstrueuse évocation », « Les heures les plus sombres de l’Histoire », c’est Auschwitz, sans doute en pire.

 

Prenez le cas de Robert Ménard, le maire fasciste, voire plus si entente, de Béziers qui fut accusé de vouloir ficher les écoliers musulmans en fonction de l’origine présumée de leur prénom. Le ministère de l’Intérieur avait produit un communiqué affirmant que « ficher des enfants selon leur religion, c’est renvoyer aux heures les plus sombres de notre histoire ». Manière de laisser entendre que Ménard n’aurait pas hésité à ficher les enfants juifs, histoire de les envoyer en villégiature dans des wagons à bestiaux. L’expression fait florès. Même le député Patrick Balkany, d’origine juive, n’a pas hésité à invoquer les fameuses « heures sombres » pour commenter la levée de son immunité parlementaire après sa mise en examen en octobre 2014 pour corruption passive et blanchiment de fraude fiscale. Pathétique !

 

PETIT DÉRAPAGE DE SARKOZY, DIGNE DE HOLLANDE

 

On sait que Hollande est coutumier de petites blagues, pas toujours comprises ni appréciées par ses interlocuteurs. Voici que Sarkozy s’y met aussi. Le chef des Républicains était, il y a quelques jours, en visite à Tunis, voulant notamment rendre hommage aux victimes de l’attentat du musée Bardo. Il avait aussi des choses importantes à dire, concernant notamment la situation économique de la Tunisie. Et il les a dites. Evoquant la situation difficile du pays, il a eu cette phrase, hautement appréciée par les Algériens, qui sont fous de rage : « La Tunisie est frontalière avec l’Algérie, avec la Libye, ce n’est pas nouveau », a ainsi déclaré l’ancien chef d’État, ajoutant sur le ton de l’ironie : « vous n’avez pas choisi votre emplacement ». En d’autres termes, il pense que c’est l’emplacement géographique de la Tunisie qui pose problème, à savoir sa proximité avec l’Algérie et la Libye. Et si le vrai problème de la Tunisie était sa proximité avec l’islam ?

 

MARINE LE PEN, SOMMÉE D’EXCLURE MARION MARÉCHAL DU FN

 

Le député-maire de Nice Christian Estrosi (Les Républicains) a pris des leçons auprès de Marine Aliot. Il lui demande, dans une lettre ouverte, d’exclure sa nièce, Marion Maréchal, du FN mariniste. Ni plus, ni moins. 

 

Il reproche à la tête de liste FN pour les régionales en PACA de s’être alliée avec Philippe Vardon, un des leaders du bloc identitaire. Le représentant des identitaires niçois doit ainsi figurer en cinquième position sur la liste du FN dans les Alpes-Maritimes. Estrosi lui fait la leçon : « Par cette alliance, votre candidate franchit une ligne rouge que même votre père, adversaire politique pourtant bien plus féroce, n’avait jamais osé franchir ». Et il ajoute : « En prêtant allégeance au Bloc Identitaire et en scellant une alliance en bonne et due forme avec eux, elle s’inscrit dans la tradition d’une extrême droite non pas “Bleu Blanc Rouge” comme elle le prétend mais bel et bien “Bleu Brun, Noir”. » Rien que cela…

 

Après avoir rappelé que Philippe Vardon a été « condamné à 4 mois de prison pour reconstitution de ligue dissoute », Christian Estrosi la sermonne : « En avril dernier, vous vous êtes réveillée après 46 années d’aveuglement(ce qui signifie que bébé, elle était déjà aveuglée) en vous apercevant des déclarations nauséabondes de votre famille. Allez-vous avoir de nouveau la main qui tremble ou allez-vous vous comporter comme la femme d’Etat que vous prétendez être et exclure votre nièce du Front national ? » Après tout, elle a commencé à vouloir exterminer son père, pourquoi ne le ferait-elle pas aussi avec sa nièce, histoire de se faire bien voir du Système ?

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici. 

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Carl Lang sur Europe 1

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Carl Lang, Président du Parti de la France, était l'invité dimanche matin d'Emmanuel Faux sur Europe 1. Il est interrogé sur l'avenir de Jean-Marie Le Pen au Front national.

Pour écouter l'émission cliquez ici

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Jean-Marie Le Pen se rendra au Bureau exécutif du FN

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