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vendredi, 21 août 2015

La sionista, maladie fébrile.

Israel-mag-marinelepen.jpgLes diagnostics du Pr Rouet

Sionistologue-antipathe

La sionista frappe les touristes idéologiques dont les corps nationaux sont insuffisamment formés ou immunisés.

Elle s’attrape par l’absorbsion imprudente de pensées politiquement correctes acquises  dans certains souks médiatiques ou la consommation de mythes avalés tout crus.

La souche est mutante. On se souvient de la grande épidémie causée dans les années 1967 par la soustellite combattue à l’époque par les Professeurs Coston, Sidos, Bardèche et Duprat. La souche actuelle est principalement composée de marinophiles, cause d’incontinence verbale et de diarrhée programmatique, et par des philippèdes, inhibiteurs des défenses biologiques et de la fonction reproductive.

Dans un premier stade, dit de normalisation, le sujet est en proie à une forte fièvre électoraliste accompagnée d’une grande confusion mentale : il prend les détails pour l’essentiel, confond cause et effets et devient très agressif auprès du personnel soignant. Refusant les traitements prescrits il s’auto médique au moyen de purges, qui ne font que vider l’organisme de son corpus doctrinal, a recours à l’alliopathie, facteur d’abrutissement, et à l’homopathie qui entraîne une multiplication des phillipèdes.

A titre préventif la sionista peut être évitée par le recours à la vaccination notamment par injection de plusieurs volumes de drumontose et par des exercices réguliers de musculation doctrinale.

A titre curatif seule la naturopathie permet quelques espérances : le sujet doit être impérativement soralité, boire des décoctions de faurissonade, être enveloppé de pamphlets de célinomède  régulièrement imbibés par projections de dieudonnerie.

Malheureusement le malade, atteint  dans un second stade de délires et de visions lui prédisant le plus grand avenir, refuse ces soins, l’errance intellectuelle s’accompagnant alors d’une errance physique vers de pseudo-lieux miraculeux généralement situés dans l’actuelle Pologne ou dans l’ancienne Palestine.

Il entre alors au stade terminal : il est Fini suivant le terme consacré par l’Académie d’Italie.

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Afin de rétablir la vérité sur la Syrie :

bachar.jpgSource Les Communautés

syriennes de France

Juste pour mémoire... A lire et à diffuser largement.

Les "crimes" de Bachar Al-Assad depuis juin 2000 :

• Construction et restauration de 10.000 mosquées et de 500 églises.
• Construction et restauration de 8.000 écoles, de 2000 instituts et de 40 universités.
• Construction de plus 600.000 appartements/logements pour les jeunes.
• Construction et modernisation de plus de 6.000 hôpitaux et dispensaires. 
• Etablissement de 5 zones industrielles internationales.
• Ouverture de la Syrie à 60 banques internationales.
• Ouverture de la Syrie à 5 opérateurs de télécommunications (fournisseurs d'accès internet et GSM).
• Licences pour 20 journaux et magazines indépendants et 5 stations de télé par satellites.
• Développement de l'art de représentation, théâtre, comédie, tragédie. Plus de 20.000 acteurs syriens ont obtenu des Prix d'Excellence.
• Construction et modernisation de stades et de salles de sport. Grandes réputation mondiale des athlètes syriennes en équitation, en natation, en catch, en gymnastique et autres...
• augmentation des salaires de 300 %
• Développement et modernisation de l'Armée Arabe Syrienne.
• La situation économique de la Syrie est saine, alors que la crise économique atteint le monde entier.
• Des milliers d'exploitations nouvelles : Restaurants, hôtels, villes touristiques, Centres de loisirs, centres commerciaux, usines...
• La baisse du chômage de 28 % à 12 % malgré la hausse du nombre de personnes arrivant sur le marché du travail.
• Branchements : électrique, téléphonique, eau potable et sanitaire à plus d'un million de maisons et appartements à travers le pays.
• Remboursement de toutes les dettes du pays et augmentation des capacités agricoles et industrielles de 600 %.
• Développement du tourisme. La Syrie était le troisième pays le plus visité des pays arabes et le 83ème pays le plus visité du monde.
• La Syrie n'avait plus que 1 % d'analphabètes. Le meilleur score d'Asie et d'Afrique.
• Développement des moyens de transport publics, des aéroports, des ports et des gares routières et les prix sont maintenus bas.
• Constitution de milliers d'associations pour les pauvres, les orphelins et les handicapés. 
• La Syrie est le pays le plus important de la région, économiquement, politiquement, militairement... et le Président Al-Assad est la personnalité la plus influente.

Les crimes du Président Al-Assad :

• Opposition à la guerre en Irak,
• Opposition à la guerre à Gazza,
• Opposition à la guerre de juillet au Liban,
• Accueil de millions de réfugiés palestiniens, irakiens, libanais, libyens, soudanais et égyptiens, sans rien demander à personne (dignité et fierté syrienne),
• Soutien à toutes les résistances en Palestine, en Irak et au Liban,
• Soutien en eau et en électricité aux pays voisins (Le Liban et La Jordanie),
• Lancement du projet : Apprendre la langue arabe pour apprendre de Coran.
• Lancement du mouvement "Jérusalem, capitale des musulmans et capitale cuturelle,
• Lancement des projets de reconstruction du Liban, de Gaza et d'Irak.

Quant à la "Révolution" Syrienne...

• C'est la première révolution arabe qui jouit d'une "sécurité sociale" dans les hôpitaux d'Israël. 
• C'est la première révolution "pacifique" qui organise les premières manifestations avec des armes légères et lourdes, made in USA.
• C'est la première révolution qui recrute ses "combattants" à l'étranger : en Turquie, en Arabie Saoudite, en Afghanistan, en Tchétchénie et ailleurs...
• C'est la première révolution qui vole les récoltes agricoles, le pétrole et les usines pour les brader en Turquie.
• C'est la première révolution arabe soutenue par l'Union Européenne, Les Pays du Golfe, la Maison Blanche et Israël.
• C'est la première révolution dont les initiateurs ne sont pas sur place, ils ne sont pas de nationalité syrienne, ils sont logés dans des hôtels de grand standing à Paris et ailleurs.

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LE COUP DU GRAND CONSEIL

AVT_Galeazzo-Ciano_2725.jpgLe bloc-notes

de Jean-Claude Rolinat

Le samedi 24 juillet 1943 à Rome, il faisait beau.  C’était une belle journée de l’été italien. L’esprit de la conjuration hantait les murs du Palais de Venise, situé sur la place faisant face à l’immense monument  dressé à la gloire de Victor-Emmanuel, surnommé « la machine  à écrire »…

Devant les hiérarques du parti, le seul, l’unique, le parti fasciste national, Benito Mussolini prit la parole, défendant son bilan, au demeurant contestable après les terribles revers militaires subis. Les conseillers à sa suite, s’enhardirent, les uns s‘exprimant en faveur du Duce, minoritaires, les autres contre, Di Bono, Scorza, Federzoni, Bottai, Grandi, et puis ce fut le coup de poignard du ministre des Affaires étrangères, le comte Ciano, le propre gendre du « capo di governo », confirmant ainsi le dicton qui veut que l’on est jamais mieux trahi que par les siens…

Le Duce dit à son gendre : - « Toi, dès le premier jour où tu as mis les pieds dans ma maison, tu as commencé à me trahir ». Le comte, par ailleurs vaillant pilote, devait tout à son beau-père, le grand-père de ses enfants qu’il aimait par-dessus tout.  La funeste ingratitude dont il fit preuve trouvera sa « récompense » quelques mois plus tard  dans les fossés de Vérone….

Au bout de sept heures de débats, par 19 voix contre 7 et 2 abstentions, une motion de défiance totale envers le chef du gouvernement était votée. La suite on la connait : démission, arrestation et…résurrection !

Le 11 janvier 1944, dans les fossés de la forteresse de Vérone, pas loin des flots nerveux de l’Adige, cinq « traitres » étaient fusillés pour l’exemple. Parmi eux, l’époux chéri de la fille du chef de la République sociale italienne : Galéano Ciano ! Malgré les suppliques de sa fille, la main du Duce n’avait pas tremblée. Le comte, courageusement, tombait sous des balles italiennes, épilogue tragique d’une  épreuve familiale d’une intense dramaturgie….

Toute ressemblance avec des évènements ou des personnages d’une actualité contemporaine ne serait, bien entendu, qu’une pure et fortuite coïncidence.

11:57 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Vial nous parle d'Emmanuel Ratier

manu_ratier_2.jpgUn grand Résistant Identitaire s'est éteint ce 19 Aout 2015...

Emmanuel Ratier présent !

Nous, ses Amis, nous l’appelions Manu. On se connaissait depuis toujours. J’ai, dans mes archives, la collection de Fanal, bulletin ronéotypé incandescent que Manu réalisait alors qu’il était lycéen à Rouen. Il a été partie prenante de toutes nos aventures, de toutes nos -nombreuses- folies, nous qui sommes toujours restés les Don Quichotte de nos quinze ans. Jean Mabire avait pour Manu une grande estime (et il ne la distribuait qu’à bon escient…).

Pour beaucoup, Emmanuel Ratier c’est Faits et Documents, fruit d’un infatigable travail de bénédictin, accumulant des informations qui étaient autant de munitions pour notre camp. J’avais coutume de dire qu’Emmanuel avait, dans le genre, fait encore mieux qu’Henri Coston. Le compliment n’était pas mince et Manu le prenait pour tel, avec cette modestie qui, avec sa permanente gentillesse, le caractérisait.

Homme de travail et d’action, homme d’un courage aussi tranquille qu’imperturbable, Manu faisait face aux aléas de la vie avec la sérénité qui appartient à ceux qui ont le sentiment de mettre en application la vieille maxime des temps de la chevalerie médiévale : « Fais ce que dois ».

Chercheur dans l’âme, Manu avait réalisé de magistrales études sur les groupes de pression qui sont les véritables maîtres du jeu dans notre soi-disant démocratie. Avec, en 2011, un monument : Au cœur du pouvoir. Enquête sur le club le plus puissant de France (Ed. Facta). Tous les journalistes un tant soit peu informés pillent allègrement – sans bien sûr jamais le citer - ce livre consacré au Siècle , ce cercle où se retrouvent, copains comme cochons, les puissants du monde de la politique et de l’économie, qu’ils soient censés être de droite ou de gauche (étiquettes destinées à amuser les gogos).

Sachant qu’un livre est une arme, Manu avait réussi la gageure d’installer au cœur de Paris une librairie politiquement très incorrecte, la Librairie Facta, visée à plusieurs reprises par des attentats terroristes (dont les auteurs, parfaitement connus des services de police, n’ont bien sûr jamais été inquiétés…). Les camarades de nos provinces de passage à Paris savent trouver chez Facta de quoi faire provision de saines lectures.

Mais je ne veux surtout pas oublier que Manu fut avant tout un militant (c’est pour moi, n’en déplaise à certains, le plus beau des compliments car le militant c’est, étymologiquement, un « combattant »). Militant, Manu le fut partout et toujours, y compris dans ces camps de mouvements de jeunesse où il tint souvent le rôle, aussi ingrat que vital, de cuistot. Je l’ai vu, heureux comme un pape, en voyant que son rata était apprécié de jeunes estomacs affamés (mais aussi par les anciens venus constater que la relève était assurée).

Le meilleur hommage qu’on puisse rendre à Manu est de continuer le combat, avec ténacité, comme il l’a toujours fait, contre vents et marées. Et nous savons qu’il marche en esprit dans nos rangs.

Salut, Manu. Rendez-vous au Walhalla, en compagnie de tous nos vieux camarades.

Source Terre et peuple cliquez ici

11:23 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Maître Frédéric Joachim, avocat de Jean-Marie Le Pen, remet les pendules à l'heure

10:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

FN : "L'exclusion de Jean-Marie Le Pen aura un impact négatif"

Marie-Christine-Arnautu-Jean-Marie-Le-Pen_pics_390.jpg

Source Le JDD.fr cliquez ici

INTERVIEW - Présente jeudi au bureau exécutif du FN, à la suite duquel Jean-Marie Le Pen a été exclu du parti, l'eurodéputée Marie-Christine Arnautu, pourtant vice-présidente du FN, a appris par les journalistes la décision prise. Elle "déplore" la décision, réagissant "à chaud" pour leJDD.fr.Comprenez-vous l'exclusion, jeudi soir, de Jean-Marie Le Pen du Front national ?

Je viens de l'apprendre en lisant le communiqué publié. Je suis très surprise, d'autant qu'en quittant le siège du parti, tout à l'heure, j'avais compris que le bureau exécutif devait se retrouver vendredi matin pour discuter de nouveau le sujet.

Le communiqué publié jeudi soir indique que le bureau exécutif a pris sa décision "à la majorité requise". Et pourtant, vous n'avez pas été mise au courant ?

Certains, comme Louis Aliot ou moi-même, sont partis avant la fin des débats. Mais, encore une fois, nous devions nous revoir vendredi matin ou communiquer par mail. Je trouve très étonnant que le communiqué soit sorti aussi vite. C'est comme s'il avait été préparé en avance. Je réagis à chaud, mais je déplore cette décision et la méthode opérée. Tout cela est assez surprenant.

"Nous donnons l'image d'un parti divisé"

Vous étiez donc présente dans l'après-midi au siège du parti. Comment se sont passés les échanges ?

Chacun a exprimé son point de vue. Contrairement à ce qui a été dit, les échanges n'étaient pas tendus. Il y avait une écoute respectueuse et tout le monde a pu faire valoir sa position. Pour ma part, j'ai estimé que Jean-Marie Le Pen devait rester dans le mouvement. Son exclusion du parti aura un impact négatif sur le plan moral - on ne jette pas comme ça, à 86 ans, le père fondateur de son parti - mais aussi sur le plan politique pour le FN.

C'est-à-dire ?

Je peux me tromper, mais les candidats FN aux prochaines régionales risquent de subir les conséquences directes de cette décision. Nous donnons l'image d'un parti divisé et une partie de nos militants peuvent être déçus.

10:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Marie Le Pen exclu du FN

Après plus de trois heures de simulacre de débat, ce jeudi, au siège du Front national à Nanterre, le bureau exécutif a pris la décision, « à la majorité requise », d’exclure Jean-Marie Le Pen comme membre du parti dont il est le fondateur et la figure de proue depuis plus de 40 ans. 

L’avocat du président d’honneur a estimé que « le parti s’est tué » en faisant ce choix. « Par les trois décisions de justice qui ont été rendues, on pouvait dire qu’il s’était tiré 3 balles dans le pied. Maintenant, je crois que la balle, le FN vient de se la tirer en pleine tête », a estimé Me Frédéric Joachim. « Le Front national, en tuant son fondateur, vient de se suicider lui-même », a conclu l’avocat.

Source Thomas Joly cliquez ici

09:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |