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vendredi, 06 novembre 2015

Le pouvoir vient d'interdire la manifestation populaire organisée demain à Pouilly-en-Auxois par le Parti de la France

12122670_721523041314514_3213839876651373577_n.jpgUn communiqué

du Parti de la France :

Le préfet de Côte d’Or a répondu avec zèle, empressement et servilité à l’appel du MRAP, de la Ligue des Droits de l’homme et de divers collectifs d’extrême gauche qui demandaient depuis quelques jours l’interdiction de la manifestation du Parti de la France prévue le samedi 7 novembre à Pouilly-en-Auxois.

L’arrêté préfectoral d’interdiction de notre rassemblement est en lui-même une profession de foi politique :

Article 1 : La manifestation ayant pour objet de « dénoncer la présence de clandestins » à Pouilly-en-Auxois, projetée à Pouilly-en-Auxois le samedi 7 novembre 2015 est interdite.

Article 2 : Toute infraction au présent arrêté est passible de sanctions prévues par le code pénal.

La République socialiste interdit donc officiellement à des citoyens français, membres d’une organisation politique légale, d’organiser un rassemblement visant à dénoncer l’immigration clandestine.

La preuve est faite, une nouvelle fois, que la politique socialiste est une politique de collaboration active au service d’une immigration de masse, y compris illégale et que l’atteinte systématique aux droits et aux libertés fondamentales à l’égard des militants du Parti de la France est devenue une règle du pouvoir socialiste.

Carl Lang rappelle que selon les termes mêmes du Conseil d’Etat, « l’exercice de la liberté d’expression est une condition de la démocratie et l’une des garanties du respect des autres droits et libertés. Les atteintes portées, pour des exigences d’ordre public, à l’exercice de ces libertés fondamentales doivent être nécessaires, adaptées et proportionnées ».

L’arrêté préfectoral d’interdiction dont est victime le Parti de la France est une nouvelle atteinte portée à l’exercice de nos libertés fondamentales, cet arrêté n’étant ni nécessaire, ni adapté, ni proportionné. L’excès de pouvoir est manifeste et la décision parfaitement idéologique.

En conséquence, et dans l’attente d’autres actions politiques qui seront menées à Pouilly-en-Auxois par le Parti de la France, nous annulons le rassemblement prévu ce samedi 7 novembre.

Carl lang, président du Parti de la France, Thomas Joly, secrétaire général et les responsables régionaux du PdF seront cependant présents à Pouilly-en-Auxois, ce samedi 7 novembre, pour une rencontre avec la presse régionale afin de dénoncer les scandaleuses atteintes aux libertés d’opinion, d’expression et de réunion orchestrées par une Gauche sectaire, anti-nationale et liberticide.

18:13 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

PRÉSIDENTIELLE : VERS UNE CANDIDATURE DE VILLIERS Un mouvement traditionaliste dissident est en cours de formation

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Raoul Fougax Métamag cliquez ici

Le retour de Philippe de Villiers dans une arène politique qu’il avait déserté n’est pas un hasard. La sortie de son livre, un vrai succès, non plus. Pas plus que ses contacts avec les Zemmour et autres dissidents du politiquement correct.

Il y a une opération De Villiers dans l'air avec la participation des plus politiques de la "Manif pour tous", les militants du "Camp des saints" face au "Grand remplacement" ethnique et civilisationnel annoncé. Des couvertures dans l’Express ou Valeurs actuelles montrent bien que ce qui se passe est sérieux et interpelle. Bien sûr, le retour du chouan du Puy du fou peut changer la donne politique. Cela devrait provoquer une prise de conscience par « Les républicains » d’un discours pas à la hauteur du défi historique de la France des Sarkozy et autres Juppé. Mais cela aurait aussi toute chance d’empêcher Marine Le Pen d’accéder au second tour de la présidentielle. C’est pourquoi le Fn reste discret espérant qu’au bout du compte rien ne se fera. Il serait alors toujours temps d’accuser le dissident d’être en fait une créature du système pour torpiller la montée du mouvement national version bleue marine.

L’année 2014 s’était achevée avec un record de ventes pour le livre d’Éric Zemmour et 2015 va se terminer avec le succès considérable de celui de Philippe de Villiers, numéro un des ventes en librairie pour son ouvrage intitulé « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu ». Philippe de Villiers est le fondateur du Puy du Fou, président du Mouvement pour la France, ancien député européen et ancien candidat à l’élection présidentielle en 1995 et 2007. Une autre France donc qui bouge encore et qui hors le Fn, tente de s’organiser.

Le discours de Villiers est en tout cas plus clair que celui de Philippot. Pour le président du Mouvement pour la France, « la situation est très grave, la France peut mourir. Je pense que la France est en train de mourir et, s’il n’y a pas un gigantesque sursaut, la France glissera définitivement dans l’abîme. Elle est submergée de l’extérieur et effondrée de l’intérieur. Submergée de l’extérieur, parce que l’on a transféré notre souveraineté. J’ai entendu Monsieur Hollande dire : «On va faire ceci, on va faire cela…» Mais il sait très bien qu’il ment, puisqu’il n’a plus de pouvoir. Quand le pouvoir n’a plus le pouvoir, il ne peut plus rien faire pour nous. On a transféré la souveraineté et on n’a plus aucun pouvoir. On est un protectorat américain. La France est submergée de l’extérieur, puisqu’elle fait face à une invasion migratoire. Les gens qui viennent chez nous sont envoyés par l’État islamique, qui – c’est la vérité – nous avait promis en février dernier de nous envoyer ces gens. C’était annoncé. On a devant nous des envahisseurs. Il n’y a pas de chrétiens parmi ces gens-là. Les chrétiens restent chez eux…» Il dénonce « des BHL de service, des Attali et consorts qui expliquent que la France est une tache ignominieuse sur la carte des points précieux de la planète. En même temps, on interdit aux jeunes Français de connaître la France et de l’aimer. Donc, un pays qui n’a plus de contours et plus de compteurs ne reste plus et meurt. Les hommes politiques ont abattu les murs porteurs comme le caractère sacré de la vie, la filiation comme repère, la nation comme héritage, la frontière comme ancrage et le rêve français comme fenêtre sur le monde».

Un discours de candidat à la présidence, une dissidence catholique au nom du roman national et de la France, canal historique. « Le moment est venu pour dire ce que j'ai vu »... Certes mais pour certains le moment est venu pour un nouveau combat de celui qui soutient Nadine Morano et revendique les racines blanches et chrétiennes de la France. Patrick Buisson, Eric Zemmour et Philippe de Villiers auraient donc décidé de faire cause commune
.
Les nouveaux croisés de l'identité française peuvent-ils perturber l’offre politique à trois. On le saura prochainement, mais il se passe quelque chose.

13:17 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Incroyable ! Le FN vole au secours du maire de Pouilly-en-Auxois qui accueille les migrants dans sa ville contre la manifestation des patriotes prévue demain samedi...

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Un communiqué du Parti de la France :

Suite à l'annonce d'un rassemblement du Parti de la France ce samedi 7 novembre à Pouilly-en-Auxois pour protester contre l'immigration sauvage, le Front national vole au secours du maire immigrationiste et prend publiquement position contre les résistants nationaux du PdF.

Extrait de leur communiqué : « En conséquence, stigmatiser Bernard Milloir, maire de Pouilly, qualifié de "collabo de l'immigration" par le PDF sur son site internet, n’a pas plus de sens que stigmatiser les 45 migrants de Pouilly eux-mêmes... »

Voilà un bel exemple de la collusion du Front Philippot-mariniste avec la classe politicienne et le système en place contre les militants de la vraie droite nationale.

Après l'exclusion par le Front national de Jean-Marie Le Pen, la trahison suit son chemin...

13:05 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LA VICTOIRE D'ERDOGAN : ENCORE UNE NOUVELLE BONNE RAISON DE DIRE « NON » A L'ENTREE DE LA TURQUIE !

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Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Les élections se suivent, mais ne se ressemblent pas. Après les succès nationalistes, identitaires et conservateurs en Suisse et en Pologne, la Turquie nous a offert ce dimanche 1er novembre, un tout autre panorama politique.

L’homme, âgé de 61 ans, avait quitté la primature de son pays qu’il occupait depuis, en gros, une dizaine d’années, pour prendre les fonctions de Président de la République, laissant à son lieutenant Ahmet Datuvoglu le poste de Premier ministre. Avec l’arrière-pensée de modifier la constitution de 1980 pour présidentialiser le régime à son seul bénéfice. Le 7 juin dernier, cette espérance se fracassait sur les mauvais résultats des précédentes élections législatives : 40,8 % tout de même pour son parti islamo-conservateur l’AKP et 250 députés sur 550 sièges à pourvoir, loin donc de la majorité absolue et des deux tiers pour amender la constitution. Qu’à cela ne tienne, adoptant les bonnes vieilles méthodes pratiquées au sein de l’Union Européenne consistant à faire revoter les peuples jusqu’à ce que ces derniers donnent satisfaction, l’autocrate décidait que les Turcs revoteraient à l’automne ! C’est que pour lui, il y avait urgence : les Kurdes du HDP (Parti démocratique du peuple), venaient de faire leur entrée à l’Assemblée nationale avec un gros bataillon de 80 parlementaires, escortant le CHP, formation héritière du « Kémalisme laïc » avec 132 élus. D’autant que le climat politique, affairisme, corruption, népotisme, devenait franchement mauvais, en dépit d’un indéniable bond en avant économique, surtout visible dans la Turquie occidentale, aucun observateur objectif ne pourrait le nier.

LA FUITE EN AVANT

Avec une chambre ingouvernable, sans majorité possible, les partis représentés ayant des ambitions contradictoires et les nationalistes ultras du MHP (80 sièges) refusant de servir de rustine au groupe d’Erdogan, il ne restait plus à ce dernier qu’à provoquer d’autres élections, anticipées celles-ci.

La situation générale au Proche Orient allait le servir. En représailles à la rupture du dialogue avec les Kurdes – les « cocus » de l’histoire dans la région, une nation sans Etat – les rebelles nationalistes/marxistes du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) passaient à l’action, réactivant leurs "efficaces" méthodes terroristes. Tout en mettant à la disposition de ses alliés de l’OTAN la base aérienne d’Incirlik pour des raids contre l’Etat islamique, le gouvernement Turc frappait prioritairement les bases arrières du PKK aux confins de son pays et de l’Irak. D’ailleurs Erdogan mène une politique ambiguë à l’égard de l’E-I, laissant tantôt transiter armes, hommes et marchandises, tantôt bouclant sa frontière. Le quotidien kémaliste « Cumhuriyet » publiait à ce sujet des photos et une vidéo accablante tendant à prouver des livraisons d’armes aux rebelles extrémistes dès janvier 2014. Les services secrets turcs étant mis en cause, cette affaire aboutissait à l’arrestation d’une cinquantaine de personnes, tous gendarmes, soldats ou magistrats ! Le Président Erdogan était-il au courant, fermant les yeux sur ces manœuvres menées en coulisse, sa main droite ignorant ce que faisait sa main gauche ? Un peu comme les Soviétiques laissèrent en 1944 les nazis écraser les insurgés nationalistes polonais à Varsovie, il laissa se dérouler la tragédie de Kobané, ville kurde syrienne juste à sa frontière méridionale. 206 civils furent exécutés, femmes comme enfants, par les terroristes de l’E-I, les Kurdes accusant la Turquie d’avoir laissé passer les tueurs….Mais constatant l’inéluctable débordement de la guerre civile syrienne sur son territoire – deux millions de réfugiés, vrais ou faux ! - Ankara s’est alarmé des attentats commis sur son sol le 20 juillet à Suruk (32 morts), et le10 octobre dans la capitale (97 morts et 250 blessés). Les arrestations se sont multipliées, autant dans les milieux séparatistes kurdes que chez les djihadistes européens avec leur renvoi pour complicité avec l’E-I : plus de 1500 depuis mai et 1100 ont été interceptés à leur arrivée. Dans le même temps le pouvoir a déployé ses muscles à l’intérieur du pays, menaçant la presse d’opposition et rétablissant l’institution des « muhtars », ces sortes de maires quadrillant la Turquie à travers ses dizaines de milliers de villages, pour en faire des « mouchards » à la botte du régime.

PARI GAGNE

Quitte ou double pour le nouveau « Calife » d’Istanbul, « moi ou le chaos » en quelque sorte, un slogan avec un gout de déjà vu dans notre pays… Accusant l’Europe et l’occident en général d’être responsables du problème des réfugiés et autres migrants, ce qui n’est pas totalement faux - le maître d’Ankara n’a pas hésité à esquisser un certain chantage envers les oligarques de Bruxelles : « vous me payez ou je lâche mes deux millions de Syriens et d’Irakiens qui vivent dans des camps misérables » ! Ajoutant au passage qu’il considérait que ce même occident était coupable d’avoir transformé la Méditerranée en « un cimetière ». Galvanisés par ses meetings – retenons celui du Zénith de Strasbourg qui s’est tenu le 4 octobre au mépris de toute neutralité politique ! – le peuple Turc s’est déplacé en masse, apportant une nouvelle victoire au leader du Parti de la Justice et du Développement. Lequel ne se promène jamais lors de ses réunions électorales sans sa femme, la tête couverte, comme toutes les paysannes d’Anatolie, petit clin d’œil envers les musulmans intransigeants. Dimanche dernier, contre tous les pronostics, l’AKP en totalisant 49,4 % des suffrages raflait 317 des 550 sièges de députés, majorité absolue pour gouverner seul, insuffisante toutefois pour réformer la constitution dans le sens voulu par Erdogan. Qu’à cela ne tienne, ce dernier, dans la foulée de cette victoire, a évoqué la tenue d’un référendum. Et exigé la reprise des discussions, chapitre par chapitre, pour l’adhésion de son pays à l’Union européenne, vieux serpent de mer qui divise les eurocrates et autres europhiles.

N’AYONS PAS LA MEMOIRE COURTE

La Turquie n’est pas un pays européen, ni par sa géographie, ni par son histoire, ni par sa culture, ni par sa religion. Si la Turquie entrait dans l’Europe, nous assisterions d’une façon concomitante à une délocalisation accélérée de nos entreprises et à l’explosion d’une immigration supplémentaire sur l’ensemble des pays européens développés, conduisant à une aggravation incalculable du chômage. Sans parler du processus d’islamisation qui caractérise la société française !

D’autres sujets peuvent aussi nous interpeller :

- Chypre, membre de l’U-E, a un gros tiers de son territoire occupé par l’armée turque et 200 000 Chypriotes grecs ont été chassés de la zone où s’est constituée une prétendue « République turque de Chypre Nord, la « RTCN » ;

- la Turquie, c’est la négation du génocide arménien, 2 à 300 000 victimes en 1894, 1,5 million de morts entre 1915 et 1916 et 100 000 en 1919 ;

- la Turquie en Europe, c’est le conflit du Nagorny-Karabakh entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan s’invitant chez les 28, la Turquie développant une agressive politique pantouranienne ;

- la Turquie en Europe, c’est une violation permanente des fameux « droits de l’homme » ;

- la Turquie en Europe, c’est la porte ouverte aux grandes migrations asiatiques, la Turquie offrant sa nationalité aux peuples pantouraniens ;

- la Turquie en Europe, c’est accepter la négation du droit des minorités à parler leur langue et à vivre librement leur culture : qu’en pensent les Grecs, et les Arméniens qui rasent les murs en Turquie, ainsi que les Kurdes dont on nie, justement, ces mêmes droits ?

- la Turquie en Europe, c’est aussi un groupe de 90 députés aux parlements de Strasbourg et de Bruxelles, le plus fort contingent d’euro parlementaires…

Bref, si les mots ont un sens, l’Union européenne est… européenne et n’a pas vocation à devenir une Tour de Babel. Elle regroupe des peuples issus d’une même civilisation à l’ouest du continent eurasiatique, lesquels forment des projets communs et ont vocation à s’ouvrir à la Russie dans un partenariat intelligent, disons « gagnant/gagnant ». La Turquie, puissance musulmane incontournable du Proche-Orient, éminemment respectable, tout à la fois moderne et archaïque, ne devrait pas avoir pour objectif d’adhérer à un club qui n’est pas de même nature que sa société. En ce sens, Erdogan est une menace pour nous. Nous n’avons à offrir à ce grand pays que la coopération, toute la coopération, mais rien que la coopération. Il serait plus honnête de l’afficher clairement.

12:53 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |