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dimanche, 15 novembre 2015

Manifestations de joie en Turquie à l'annonce des attentats de Paris

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9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Pierre Vial

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de Synthèse nationale

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Le récent à prévoir : réflexions sur la fusillade parisienne et ses suites

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Julien Rochedy cliquez ici

Je réagis à chaud, presque hâtivement, mais je crois qu'il va falloir habituer ses nerfs et son cerveau à réagir de la sorte, car les événements vont désormais s'accélérer. Le temps des longues réflexions et des points de vue distants sont des luxes de temps de paix.

Je ne reviendrai pas sur le choc émotionnel et moral de ces attentats. D'une parce qu'il est évident, de deux parce qu'il ne sert à rien, et de trois, surtout, parce que je n'ai pas envie de faire plaisir aux sectateurs de l'Islam le plus violent, qui salivent comme des chiens à l'idée qu'ils aient pu nous choquer ou nous traumatiser.

C'est dur, c'est horrible, ça fait mal : ça s'appelle l'Histoire qui revient.

L'ennemi de l'intérieur

Hormis quelques (un seul ?) terroristes qui risquent bien d'être l'un de ces doux et gentils réfugiés qui venaient s'échouer en Grèce, la plupart d'entre eux semblent bien être de nationalité française, ou, tout du moins, d'avoir été aidés par des réseaux Français (et Belges).

Ce constat marque la quasi-inutilité de la fermeture des frontières décidée par François Hollande, mais elle appuie surtout sur la caractère illusoire du principe des nationalités dans l'Europe occidentale actuelle. En particulier, je fais référence à la nationalité française. Celle-ci, ayant été distribuée sans prudence et sans ménagement depuis déjà quarante ans, est absolument démonétisée. Elle ne garantie plus rien. Elle ne signifie plus rien. Des populations différentes, voire antagonistes, peuvent désormais avoir la même nationalité. Dans ce cas de figure, les éléments constitutifs de l'identité devront, demain, être cherchés ailleurs. Ces éléments seuls font naître et garantissent des morphologies politiques. Ou dirai-je : des communautés politiques.

De ce que je sais et de ce que je vois, si Paris, dans son intelligentsia, ne veut pas prendre la mesure d'un tel bouleversement et tentera de le nier (y compris les partis nationalistes du type Front National), les populations, elles, s'en aperçoivent. C'est déjà trop tard, les populations de nationalité française ne formeront plus jamais une communauté « une et indivisible ». Nous sommes désormais plusieurs et divisés, et nous allons devoir vivre ainsi pendant au moins plusieurs décennies.

La rencontre qui n'aura pas lieu

Acte 1

Dans un premier temps, la population va vouloir faire corps avec son État. Par peur, elle va naturellement se tourner vers lui, et lui demander de prendre des mesures puissantes, d'être plus fort, quitte même à ce que ça lui coûte sur le plan de ses libertés, déjà fortement réduites de toutes façons.

Comportement classique de toute population qui a peur. Élément renforcé, de surcroît, du fait que la population en question soit Française, c'est à dire absolument habituée à devoir tout à l’État, et à attendre tout de lui.

Acte 2, concomitant

L’État va prendre des « mesures », mais il ne maîtrise déjà plus rien. Ses forces sont trop faibles pour faire face à des populations hostiles en son propre sein. Car, en terme de terrorisme, nous nous exposons encore à deux choses : d'abord, des actes prévus et planifiés comme celui auquel nous avons été confrontés hier (13.11.15), qui ne vont pas s'arrêter de sitôt tant que le Moyen-Orient sera une poudrière ; ensuite, à des actes isolés de jeunes musulmans (comme ce fut le cas à Grenoble avec la tête coupée au mois de juin) qui fantasment l’État islamique. Ceux là sont très nombreux (1).  

Je sais, de sources policière proches (et très haut gradés), que les effectifs sont en sous-nombre et que le renseignement est défaillant. Mais sans même parler de logistique, l’État est désarmé idéologiquement pour faire face : il lui faudrait une énergie, d'autres idées, et, oserai-je, une violence, qu'il n'a pas, qu'il n'a plus.

Pire encore, en vertu de son logiciel, et comme c'est le cas pour tous les États défaillants et déjà morts dans l'Histoire, toutes les mesures qu'il prendra ne feront qu'aggraver le mal. Un seul exemple, bien qu'il y en aurait des dizaines : bêtement, il va s'en prendre au trafic d'armes. Mais comme il ne maîtrise plus les banlieues depuis longtemps, qu'il a ouvert ses frontières et qu'il est la proie de mille corruptions, tout ce qu'il pourra faire sera d'empêcher les Français (pas au sens de la carte d'identité, n'est-ce pas) de posséder des armes. De fait, il désarmera des gens qui seront pourtant de plus en plus dans la détresse. Pareillement, il continuera de tenter de désarmer les gens idéologiquement (propagande pour le vivre-ensemble, pas d'amalgames, etc.).

Acte 3

De fait, la rencontre entre la peur de la population et un État fort qui sera capable de la protéger, n'aura pas lieu. La première, turbide, existe. Le deuxième, et on le verra, n'est déjà plus qu'une fiction.

Épilogue

Comme à la fin de l'Empire romain et le haut moyen-âge, les gens vont commencer à se détourner des institutions pour tenter de s'organiser d'eux-mêmes. Le monde nouveau commencera : celui d'un monde en grappes.

Vous avez la le thème de l'essai que j'écris actuellement, puisqu'on me le demande souvent.

Résultat : encore une fois, prenons acte du monde qui décède sous nos yeux et entrons vite dans le suivant. Tout le reste n'est que dilatoire.

(1) J'ai moi-même été saisi par le nombre de racailles qui ont une très bonne opinion de leurs « frères » musulmans qui se battent en Orient. Au mois de juillet, j'ai même corrigé (et il a douillé...) un arabe qui, après s'être pris un vent par une jeune fille, la menaçait de lui « couper la tête » comme le font « ses frères ». Ces anecdotes ne manquent pas.   

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Un homme d'État s'adresse à François Hollande…

16:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un peu de musique pour se détendre…

En 1987, sur l'album Thulé, le groupe Légion 88 abordait la question du terrorisme avec un refrain entraînant :

Terroriste à mort, immigré dehors !

 

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Du sang et des larmes...

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Dr Bernard Plouvier

Lorsque, durant l’été de 1940, le sieur Churchill promettait à ses compatriotes du sang et des larmes, il ne mentait nullement – que non pas -, du moins agissait-il ! Après l’hécatombe du 13 novembre (et en attendant que d’autres blessés en état catastrophique n’alourdissent le bilan), le peuple français a sa ration de larmes, de trémolos d’indignation, d’hommages aux victimes (et surtout à leurs familles, composées d’électeurs)… mais l’on attend vainement des actes.

On se gargarise du fait que nos glorieux services de renseignements (« parmi les meilleurs du monde », paraît-il) avaient repéré divers auteurs des attentats, dont un avait d’ailleurs été signalé par la police grecque des frontières, après avoir été identifié sur l’île de Lemnos… mais, dans ce cas, pourquoi n’avoir pas pisté ces crapules (en herbe), n’avoir pas repéré leurs contacts et n’avoir pas procédé à des arrestations préventives. La réponse est simple : il ne fallait commettre ni amalgame entre jeune musulman et djihadiste (curieuse conception, d’ailleurs, puisque selon le « saint coran », le Djihâd est une obligation pour le muslim en bonne santé), ni vaguelette en période pré-électorale (mais quand n’est-on pas, dans notre pays lamentable, en période de ce type ?), durant laquelle une action en quartier musulman risque d’être vécue comme une « provocation », voire – horreur suprême – un acte « raciste » !

Nos mous de la République – les Hollande, Valls, Taubira et autre Cazeneuve – sont responsables d’incurie, de non-respect du principe de précaution, et coupables d’abstention délictueuse, frisant ici la non-assistance à personnes en danger de mort. Quand on accède à une fonction électorale, ce n’est pas pour faire la Une des tabloïds et autres peopleries, pour faire du scooter devant les caméras ou flirter avec des donzelles frelatées, c’est pour AGIR. Or nos mous ne savent que causer et gémir, agonir « l’extrême-droite » et les « racistes » (Blancs bien sûr, puisque nos excellences – pas plus que les fonctionnaires de la Halde - n’ont jamais ouï les propos, orduriers autant que racistes, des racailles de l’immigration colorée).

AGIR, cela ils ne le savent pas. C’est pourtant simple ! Dans notre malheureux pays, il y a plus d’un millier de cités de non-droit à nettoyer de leurs délinquants et criminels impunis. Il y a une foule de parasites sociaux à expulser du pays, pour lutter contre le déficit des caisses sociales, qui alimente notre Dette abyssale autant qu’irremboursable. Il y a une foule d’immigrés chômeurs professionnels, donc manifestement en surnombre dans notre pays, industriellement sinistré. Il y a une foule de réseaux de trafiquants de drogues, d’armes, d’objets volés ou de contrefaçon… et si nos mous, l’ignorent, les policiers de base peuvent les renseigner. Il y a une armée, une police, une gendarmerie, le corps des gardiens de prison à épurer des musulmans, qui forment une authentique 5e colonne en terres françaises, ce qui est intolérable – ou suicidaire, au choix – en période de guerre civile largement annoncée.

Agir ou Partir, telle est l’alternative de nos pseudo-gouvernants !

14:50 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi prochain, 21 novembre, dans l'Oise :

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14:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

TV Liberté sur les attentats (14 11 2015)

11:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Roger Holeindre

9 jni 11.jpgLa 9e Journée

de Synthèse nationale

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11:15 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

1914-2015 : ce n’est plus la même qualité de Français !

7780515982_un-homme-et-une-petite-fille-deposant-une-bougie-devant-le-bataclan-le-14-novembre-2015.jpgDr Bernard Plouvier

L’été de 1914, contre toute logique, contre tout bon sens, les nations européennes se ruent les unes à l’assaut des autres, avec enthousiasme (quoi qu’en aient dit un demi-siècle plus tard des historiens qui voulaient absolument donner raison, qui à ‘’Lénine’’, qui à Jaurès).

Le motif était futile : un énième assassinat de tête semi-couronnée. La situation n’était ni plus ni moins explosive que tout ce que l’on avait vécu lors des incidents coloniaux d’Afrique, durant les années 1890-1911, ou lors des conflits entre pays danubiens induits par la décomposition de l’Empire turc.

Le capitalisme financier et industriel, déjà largement cosmopolite, était – sauf en Russie où l’on travaillait, avec des capitaux étrangers, pour la seule consommation nationale - opposé à l’idée d’une guerre généralisée, tout au plus favorable à un conflit local qui raviverait la course aux armements et engendrerait ces destructions qui appellent depuis toujours une reconstruction, source de profits, mais sans remettre en question la répartition des terres en Europe (l’Alsace-Moselle ne faisait même plus recette en France depuis l’affaire Dreyfus : il fallait éviter de trop se pencher sur les affaires de Mulhouse… les initiés comprendront !).

Les conflits sociaux se réglaient alternativement, soit en faisant donner la troupe contre les grévistes (c’était, en France, une spécialité de Clemenceau et même d’Aristide Briand), au pire en augmentant un peu les salaires, ce qui faisait immanquablement monter les prix de vente de gros et au détail : rien ne bougeait dans l’équilibre final… c’était d’ailleurs ce que reprochaient les anarchistes et les marxistes à leurs ennemis, les socialistes réformateurs.

La caste militaire, quoi qu’on en ait dit depuis, ne manquait pas d’occasions de briller en zones coloniales et, après tout, il était moins périlleux de parader au milieu des civils, au pire de se battre contre des primitifs ou des arriérés, que de se lancer dans une guerre moderne, les exemples de la Civil War des USA et de la guerre russo-japonaise étant dans toutes les mémoires des généraux (du moins, ceux qui se donnaient la peine de lire) : une guerre moderne tuait beaucoup de monde.

On savait tout cela bien avant 1914 ; seuls les historiens qui ne lisent pas les journaux et revues de l’époque l’ignorent. Pourtant, la guerre se déclencha, puis se mondialisa. Et pour une raison simple : les hommes étaient d’une autre trempe que nos contemporains. Le confort moderne – rudimentaire à nos yeux – leur paraissait amollissant, l’ennui d’une vie trop prévisible dans un monde d’évidente stabilité sociale, morale et monétaire leur paraissait insupportable. Ils n’avaient aucun autre moyen que la lecture pour vivre une aventure par procuration - le cinéma était alors tellement grotesque qu’il faisait rire plutôt que rêver - et les romans étaient écrits en une si belle langue qu’ils en étaient ennuyeux !

La Grande Guerre, dans son illogisme, était la plus inévitable de toutes : les Européens étaient virils, partageant tous (sauf quelques esthètes qui affublaient leur couardise des oripeaux du pacifisme) le même chauvinisme, seul sport cérébral commun aux Européens, toutes classes et castes confondues.

2015 : des Français avachis, amollis physiquement par des excès alimentaires et un défaut d’exercices physiques, attendris par un demi-siècle de propagande doucereuse, lénifiante et tiers-mondiste, se comportent en parfaits capons, habitués aux caprices de leur(s) femelle(s), de leur(s) giton(s) ou de leur(s) enfant(s)-tyran(s)… après tout, on ne leur demande plus que de consommer, de s’endetter et de pleurer sur les misères exotiques.

Effectivement, les sauvages venus du Sud ou du Sud-Est ont beau jeu de ravager un pays riche, nullement défendu, ni par des politiciens ineptes, inaptes et corrompus (ni plus ni moins que leurs grands ancêtres, reconnaissons-le), ni par les « forces de l’ordre » (que l’on ferait mieux de qualifier de « faibles de notre déclin »), ni par les autochtones aussi lamentables que des Gallo-Romains du Bas-Empire.

1914-2015 : deux Frances que tout oppose, car les autochtones ont renié les qualités guerrières de leurs ancêtres. Il est stupide de pérorer sur notre niveau intellectuel, scientifique et technique, effectivement bien supérieur à celui de nos grands-parents (et arrière-grands-parents). Seules comptent les qualités morales dans les situations de crise : à quoi servent des dizaines de milliers de policiers, gendarmes et soldats si la mollesse ambiante refuse de les utiliser pour nettoyer les cités de non-droit et renvoyer en terres exotiques tous les trublions et toutes les canailles (voleurs, escrocs), et surtout si l’on n’élimine pas de façon irréversible les crapules (violeurs, assassins, terroristes, grossiums du trafic d’armes et de stupéfiants).

1914-2015 ; Poincaré-Hollande. Deux dates et deux noms symboliques, qui nous font mesurer l’ampleur de notre déchéance.  

10:11 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |