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mardi, 17 novembre 2015

On ose nous parler de "Justice"...

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Omar Ismaïl Mostefaï : terroriste, fiché S., condamné 8 fois entre 2004 et 2010 sans jamais être allé en prison !

Et là... pensons à Nicolas Bernard-Buss, jeune homme au casier vierge... Il avait passé trois semaines à la prison de Fleury-Mérogis en juin et juillet 2013 (à cause de son opposition à la loi Taubira)...

Repensons aussi à Esteban, militant solidariste, lâchement agressé avec ses amis par une bande de petits laquais du Système intitulée "antifa" en juin 2013 et qui passa quinze mois en prison pour s'être simplement défendu...

Un jour, il faudra que les responsabilités soient établies et que les coupables payent... 

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"La guerre" ce qu'en pense Eric Zemmour

12:28 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fantasme sécuritaire, réellement ?

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Dr Bernard Plouvier                         

« Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (Coran, sourate 8, verset 40).

Ce 16 novembre, alors que nos « chefs » décident de ne rien faire d’efficace, un leader de la gauche pseudo-marxiste (lui-même millionnaire en euros, histoire de le rendre plus crédible aux petites gens) vient éructer ses propos venimeux sur ce qu’il appelle un « fantasme sécuritaire ».

Fantasma, en langue espagnole, signifie « fantôme ». Où ce Titan de la pensée politique a-t-il vu que 130 morts, 350 blessés (dont un tiers en état grave) formaient un « fantasme » ? Un cauchemar peut-être, un songe sûrement pas. Après les stériles pleurnicheries, l’on a droit aux sarcasmes des aboyeurs et aux quart-de-mesure du mol président et de son évanescent gouvernement.

Quatre jours après le carnage parisien, nos frontières ne sont toujours pas fermées aux immigrants musulmans, alors même qu’un des assassins du 13 novembre faisait partie de la cohorte des « gentils réfugiés, fuyant la Syrie ». Et que l’on ne vienne pas dire à nouveau qu’il ne faut pas commettre d’amalgame entre musulman et djihadiste. Neuf sourates coraniques exigent la pratique du Djihâd de tout muslim (fidèle en langue arabe) « qui en est physiquement capable ». Par mesure humanitaire, l’on pourrait admettre les sujets trop débiles pour appuyer sur la détente d’une arme automatique… ce qui ne fait pas beaucoup de monde !

Quant aux autres mesures efficaces, il ne faut guère en attendre de la part de nos merveilleux élus, en période électorale. Sont-ils simplement des mous ou de parfaits incapables ? Après tout, en 2001, même le demi-débile George Bush junior a su prendre des mesures de salut public ! Il est vrai qu’en 2012 déjà, David Remer ironisait sur « l’ineptocratie » des gouvernants français : rien n’a changé depuis, en dépit de la gravité des événements.

Ce ne sont pourtant pas les actes nécessaires qui manquent :

  • Nettoyer le millier de cités de non-droit, où des canailles narguent les autorités du pays.
  • Décider le nécessaire rétablissement de la peine de mort et l’application de la véritable Démocratie qui est d’appliquer la même Justice à tous, quels que soient la race et la religion du justiciable, son appartenance à un parti politique ou à une secte, son état de fortune ou sa surface sociale.
  • Supprimer le scandale de la double allégeance en interdisant le principe même de la double nationalité : on ne peut être fidèle à deux entités souveraines, c’est une évidence !
  • Organiser d’urgence un referendum sur l’immigration extra-européenne, puisque seule la Nation est souveraine dans notre État et non les élus, qui ne détiennent qu’une délégation provisoire.
  • Réformer les conditions d’octroi de la nationalité : soit l’abolition de l’absurde Droit du sol ; la dénaturalisation automatique des canailles (voleurs, escrocs, trafiquants divers) et des crapules (violeurs, assassins, terroristes) issues de l’étranger ou rejetons de « l’immigration à problèmes » ; l’élaboration de conditions draconiennes à la naturalisation, car, après tout, c’est un immense honneur que l’on fait à un étranger de l’admettre au sein d’une communauté hautement civilisée.
  • Réformer le statut des élus du peuple : limitation du nombre des mandats et de la durée globale du statut d’élu, pour éviter la nuisible réalité du « politicien professionnel » ; diminution drastique – au nom des nécessaires économies d’un État surendetté – de leurs indemnités & frais de représentation et de déplacement ; réduction draconienne du nombre de leurs collaborateurs payés avec le produit des impôts ; lutte réelle contre la corruption et aggravation considérable des peines pour les politiciens prévaricateurs ou trafiquant de leur influence ; lutte contre les lobbies (ou groupes d’influence), au nom de la Déesse Égalité.
  • Attribuer le bénéfice des lois sociales aux seuls sujets ayant cotisé (ce qui est le principe même de ces lois), pour supprimer le coûteux et immoral parasitisme social.
  • Enfin, appliquer dans toute sa rigueur la Loi de 1905 qui sépare absolument les confessions religieuses de l’État… même si des milliardaires en pétro-dollars exigent (et jusqu’à présent obtiennent) des privilèges pour leurs coreligionnaires.

Et ce catalogue n’est nullement exhaustif. Nobles et courageux responsables de l’État, vous avez du travail !

12:18 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien avec Roland Hélie publié dans le dernier numéro de la revue Réfléchir et Agir :

COUV_croix.jpgPour quelles raisons avez-vous créé les Cahiers d’Histoire du nationalisme ?

Depuis trop longtemps, l’histoire de ce que l’on appelle « la droite nationale » au sens large du terme est racontée par nos ennemis. Ceux-ci la falsifient volontiers afin de nous discréditer. Nous nous sommes donc dit qu’il était temps de reprendre tout cela en main et d’immortaliser nous même cette histoire qui est la nôtre. On est jamais si bien servi que par sois même.

En 2012, nous avions lancé, parallèlement à la revue Synthèse nationale, une collection intitulée Les Bouquins de Synthèse nationale. Il s’agit de livres thématiques destinés à ceux qui veulent mieux connaître nos idées. Ainsi, nous avons édité, entre autres, une biographie du Président portugais Salazar, un recueil de textes sur José-Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, et un autre encore sur Dominique Venner. De là est venue l’idée, au début de l’année 2014, « standardiser » ces publications consacrées à des personnages, ou à des événements, qui ont marqué notre famille d’idées.

Voilà, en quelque sorte, la genèse des Cahiers d’Histoire du Nationalisme. Ceux-ci ont l’ambition, à terme, de devenir une véritable encyclopédie.

Peut-on dire qu'ils répondent aussi à un besoin de formation politique pour les jeunes militants ?

Tout d’abord, il convient de préciser que ces Cahiers ne sont pas apologétiques. L’histoire des nationalistes, qu’ils soient français ou d’ailleurs, n’est pas exempte de critiques ou de remises en cause. Nous essayons de l’aborder les thèmes choisis avec le recul nécessaire tout en respectant le contexte qui était celui de l’époque. L’essentiel est de rétablir quelques vérités souvent cachées par nos détracteurs afin de rééquilibrer les choses.

Notre démarche s’adresse à tous. Mais il est bien évident qu’elle vise surtout ceux, en particulier les jeunes bien sûr, qui n’ont pas connu ces hommes ou ces événements.

Vous n'avez pas commencé la série par du "léger" puisque les trois premiers numéros sont consacrés dans l'ordre à Degrelle, Duprat et Doriot. Etait-ce une volonté de taper très fort dès le départ ?

C’est un peu le hasard qui a bien fait les choses. Il se trouve qu’avril 2014 correspondait au vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle. Nous voulions rendre hommage à ce combattant haut en couleur qui a tant marqué son époque. C’est pour cela que nous avons confié à Christophe Georgy, Président de l’Association des Amis de Léon Degrelle, le soin de concevoir ce premier numéro auquel a collaboré une douzaine de personnes qui ont connu le chef du mouvement rexiste ou étudié son histoire.

Le deuxième volume a été consacré à François Duprat et au nationalisme révolutionnaire. C’est évidemment à Alain Renault, ancien secrétaire général du FN et proche collaborateur de Duprat, que nous avons demandé de superviser ce numéro. Celui sur Doriot a été rédigé grâce aux documents inédits de Bernard-Henri Lejeune, ancien responsable du PPF qui avait publié un livre sur ce parti en 1977. Nous devons le quatrième volume sur le Parti des Forces nouvelles à Didier Lecerf, qui fut l’un de ses responsables au début des années 80. Le cinquième nous raconte la formidable épopée du Maréchal Mannerheim, sauveur de la Finlande face à l’Armée rouge. Le sixième revient sur la vie de celui qui fut le premier candidat national à une présidentielle de la cinquième République, Jean-Louis Tixier-Vignancour.

Vous présentez de grandes figures, pour autant allez-vous aussi consacrer des numéros à certains doctrinaires historiques du nationalisme tels que Barrès, Maurras ?

Pourquoi pas ?

Vous mêmes, dans quelle famille du nationalisme vous inscrivez-vous ?

Pour ma part, j’ai commencé à militer dans les années 70 au PFN et je suis toujours resté attaché à la ligne nationaliste et européenne de ce parti. Mais le contexte politique et géopolitique d’aujourd’hui n’est plus le même. Il faut en tenir compte. La fidélité en politique ce n’est pas de faire toujours la même chose mais de faire des choses qui vont toujours dans le même sens.

Un petit mot sur les numéros à venir ?

Un numéro sur la croix celtique, un autre sur l’histoire controversée du NSDAP, un sur Codréanu, un sur Georges Valois, un sur le nationalisme hongrois, un sur le péronisme… Ce ne sont pas les sujets qui manquent tant est riche notre histoire…

Les Cahiers d’Histoire du nationalisme (200 pages, 20 €, abn 6 numéros 110 €) Synthèse nationale 116 rue de Charenton 75012 Paris. En savoir plus : cliquez ici

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01:20 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La ville d'Orange rend hommage aux victimes du terrorisme islamique

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01:07 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

APRES LA SANGLANTE TRAGÉDIE, L’INSUPPORTABLE COMÉDIE

Paris-13-novembre.jpgLa chronique de Philippe Randa

Un traducteur français avait imposé, dans la célèbre série des années 60 du siècle dernier Le Prisonnier, la phrase « Bonjour chez vous » comme apostrophe de « souhait par politesse »… Va-t-on voir de même l’apostrophe « bon courage » devenir l’usage à venir ?

C’est en effet la politesse dont a fait preuve ma boulangère ce matin. J’ai d’abord crû à de l’humour – je venais de lui acheter une baguette et un pain aux raisins – mais non, pas du tout…

Après m’être contenté pour ma part d’un aussi traditionnel que peu original « bonne journée », je la quittais en réalisant que j’avais effectivement entendu, ce lundi matin « post-sextuple attentats du vendredi 13 novembre dernier », un journaliste nous informer que les gens ne se disaient plus « bonne journée » comme à l’accoutumée, mais, donc, « Bon courage » !

Pourquoi « Bon courage » ?

Pour supporter, après deux jours de matraquage compassionnel, les informations diffusées par les médias ? Soit pas grand chose sur les réalités des commanditaires de l’attentat – quelques arrestations et beaucoup de blablas convenus – et énormément de témoignages de citoyens « anéantis », « bouleversés », « furieux », « vindicatifs », mais dans l’ensemble plutôt « effondrés » qu’un tel massacre ait pu avoir lieu… chez eux ! Chez nous ! En France, patrie auto-proclamée des droits-de-l’homme !

Et parmi tous ces témoignages, peu de proches ou de parents des victimes, ce qui serait compréhensible, non ! surtout, principalement, quasi-exclusivement des anonymes qui n’avaient rien à dire d’instructif, mais qui tenaient à le faire savoir pour les plus grands besoins des chaines d’informations qui occupent ainsi leur temps d’antenne à peu de frais, mais à grosses rentrées publicitaires, évènement oblige !

Suis-je donc un père insensible de n’avoir eu que le simple réflexe de joindre, sans trop d’appréhension, je l’avoue, mon fils aîné samedi matin pour m’assurer, tout de même ! qu’il n’était pas allé au Bataclan vendredi soir ? Cela aurait pu, puisqu’il apprécie tout particulièrement le guitariste du groupe qui s’y produisait…

Suis-je donc un père irresponsable pour ne pas même lui avoir demandé s’il était traumatisé par cette tuerie ? Et pour avoir simplement appris à mon fils cadet – qui dormait ce soir-là dans la chambre à côté de la mienne – ce qui s’était passé en concluant simplement, mais assez sentencieusement : « Ce sont de vrais morts, pas comme à la télé ou dans tes jeux vidéos… Comprends que la guerre, ça existe “pour de vrai ». Et pour tout le monde. Personne n’en est à l’abri. Jamais ! Depuis la nuit des temps ! »… et sans insister plus que cela afin qu’il évite d’en prendre prétexte pour rechigner d’aller à l’école ce lundi matin, arguant d’une prévention des risques de mise en danger d’écolier…

Suis-je donc un être infâme lorsque j’entends – mi-énervé, mi-effaré, mi-amusé (tout dépend de l’importance de chaque moitié, on sait cela) – cette institutrice témoigner avec des trémolos dans la voix qu’elle a réfléchit tout le week-end aux mots qu’elle allait dire à ses élèves ce lundi matin pour « leur en parler » ? Mots qu’elle ne trouvait pas, la pauvre femme ! Drame du vocabulaire, de l’intelligence ou du formatage politiquement correct, au choix… ou un peu tout ça, sans doute !

Suis-je enfin un monstre passible d’un quelconque pilori citoyen pour songer, au fond de moi : « Ah ! les cons ! » en entendant tous ceux qui se croient fins en martelant leur « Bon courage » compatissants toute cette journée du lundi 16 novembre, et encore le lendemain pour les plus acharnés ?

Peut-être que oui, je suis tout cela, mais avec quelques circonstances atténuantes, tout de même : je fais partie de cette poignée d’hérétiques qui n’ont eu de cesse, ces dernières décennies, de tenter d’avertir nos compatriotes que cela allait arriver. Quoi ? Le massacre de ce vendredi 13 novembre ! Après quelques autres, de moindre importance numérique, mais tout de même ! Ce n’était pas le premier.

Et vous savez quoi, plus probablement encore, pas le dernier !

Vous dormiez en paix, braves gens ? Les droits-de-l’homme veillaient ? Allez, bon courage à vous aussi… et sans rancune !

 

00:11 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |