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jeudi, 04 février 2016

PLANETE FINANCE : 2016, année de tous les dangers ?

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Pieter Kerstens

Alors que nombreux furent ceux à se réjouir de la nouvelle année « économique », les marchés financiers ne l’entendent pas de cette oreille et affichent des pertes de comprises entre 5% et 15% selon que l’on soit en Europe, aux Etats-Unis ou en Chine. Les raisons invoquées sont nombreuses, mais il s’agit vraisemblablement de la conjonction des facteurs suivants : une baisse persistante des cours du pétrole, une révision de la croissance chinoise, la fin de la politique monétaire « trop » souple des Etats-Unis, et les tensions géopolitiques au Proche-Orient et en Asie.

Si l’attention des opérateurs reste orientée vers la Chine et le ralentissement économique des pays émergents (comme la baisse de 8,3% de la production industrielle au Brésil en 2015), la chute importante de nombreuses devises de ces pays pèse sur leurs importations en provenance de la zone euro. La baisse de la production d’acier et d’électricité en Chine est la plus forte de ces 10 dernières années. La surcapacité dans ces secteurs s’ajoute à celle du charbon : l’industrie ralentit très fortement et les licenciements se comptent par millions !

Pour tenter de limiter la perte de richesse globale, la Chine tente de dévaluer sa devise, alors que cela s’avère inefficace : l’élasticité de la demande de produits concurrentiels est faible. En injectant des liquidités, en manipulant ses marchés financiers par des interventions, la Chine ne fait que renforcer la défiance vis-à-vis de son système financier et sa capacité à surmonter la crise économique.

Quand l’Oncle Sam tousse …

La déconnection permanente entre le monde financier et la réalité économique est une évidence : les chiffres économiques outre-Atlantique soufflent le chaud et le froid. L’emploi reste dynamique, avec un taux de chômage toujours faible mais les disparités de revenus augmentent.

Les experts restent divisés quant à savoir si l’économie des Etats-Unis est en ralentissement ou en récession. La consommation, véritable moteur de croissance, bénéficie de la baisse importante des prix du pétrole. Les ménages ont consommé à un rythme annuel de 3% contre moins de 2.5% sur base des 6 derniers mois. Par ailleurs la force du dollar entraîne également une baisse des exportations ce qui pèse sensiblement sur l’industrie manufacturière. A cela s'ajoute la faiblesse persistante de l'investissement des entreprises, sans parler d'un affaiblissement constant des gains de productivité. Autant de facteurs qui expliqueraient une croissance autour de 1,5% en 2016, contre 2.5 à 3% norme considérée satisfaisante en Europe mais pas aux Etats-Unis.

En décembre 2015, on notait une très faible augmentation des dépenses de construction aux USA, alors que le chiffre du mois de novembre a été révisé en baisse à - 0,6%. Et en janvier, l’indice ISM manufacturier s’est contracté pour le 4ème mois consécutif, ce qui confirme la faiblesse des ventes.

La préoccupation de nombreux économistes reste le manque de reprise de l’activité mondiale malgré les efforts conjugués des gouvernements et l’utilisation de tous les moyens à la disposition des banques centrales en particulier la politique monétaire. Tant les autorités chinoises que la BCE (banque centrale européenne) ou la banque centrale américaine (FED) injectent des milliards dans le système financier sans parvenir à relancer durablement l’économie.

A cet égard, l’exemple du Japon est particulièrement saisissant : depuis le début des années 90, soit plus de 25 ans déjà, la BOJ utilise l’arme des taux pour tenter de relancer la consommation : fiasco total. Ce qui n’a pas empêché la Banque centrale japonaise de décider encore d’accroître sa base monétaire de 675 milliards de dollars en rythme annuel par des acquisitions d’obligations d’Etat. Cette politique monétaire va entraîner de facto une dévaluation du yen et contraindre les autres banques centrales à dévaluer leur devise respective, ce qui va conduire à un ralentissement plus marqué de la croissance mondiale…

Les économies européennes et américaines ont déjà emboité le pas avec le même insuccès.

La relance par l’investissement privé semble une solution durable et efficace, mais l’un des préalables passe par la hausse des taux d’intérêt. En effet, les investisseurs comme les assureurs ou les fonds de pension, compte tenu des taux d’intérêts quasi nuls, ne peuvent qu’investir dans des actifs plus risqués : immobilier, actions et marginalement des projets d’infrastructures.

De même, les effets pervers de la réglementation et de la faiblesse des taux d’intérêt obligent les banques à limiter l‘octroi de prêts et poussent les gestionnaires de fonds à se substituer aux banquiers (shadow banking). Or le métier des gestionnaires n’est pas de prêter de l’argent, car ces intermédiaires n’ont pas les connaissances indispensables et suffisantes pour gérer cette activité. En outre, la faiblesse de leurs fonds propres constitue un danger en regard des risques pris dans leur activité de prêts. Les autorités régulatrices devront à nouveau encadrer ou limiter cette activité.

Depuis plusieurs mois, l’inquiétude gagne un nombre croissant de gestionnaires de fonds. En effet, indépendamment de la conjoncture, la structure même des marchés financiers se modifie : les participants n’ont plus le même rôle, les banques ne peuvent plus effectuer des opérations pour leur propre compte et les banques centrales exercent une influence significative en rachetant des emprunts et dettes diverses. Enfin, la capacité à vendre des actifs dans des conditions de marchés normales se réduit : les prix fluctuent plus amplement et les volumes se contractent et, en cas de ventes massives par les investisseurs, la baisse se fera plus importante.

De plus, le marché des obligations de sociétés aux Etats-Unis, en particulier celui des « Junk bonds » connaît une contraction significative, en liaison avec la baisse des prix du pétrole. Parce que de très nombreuses sociétés actives dans le secteur de l’énergie ont émises des obligations à haut rendement. Ces obligations étaient recherchées par les investisseurs en quête d’investissements importants. La chute des prix du pétrole entraînent une baisse des revenus de ces sociétés dont la capacité de remboursement de leurs dettes est donc rendue quasi caduque. En conséquence, les investisseurs se désengagent de ce secteur, parfois avec de lourdes pertes.

N’oublions quand même pas que la dette publique des Etats-Unis augmente maintenant de 67 milliards par semaine soit 3.500 milliards $ par an ! (source cliquez ici)

QUI va payer ? QUAND cela va-t-il s’arrêter ou... Exploser ?

….L’Europe éternue.

Au cours du mois de janvier, les cours de Bourse des principales banques italiennes ont chuté de près de 30%, suite au « mauvais » accord conclu entre la Commission Européenne et le gouvernement italien. En effet, le mécanisme de garantie publique ne s’apparente pas aux « bads banks » mises en place en Irlande ou en Espagne lors de la crise financière. Les banques ne pourront se débarrasser que d’une partie de leurs créances douteuses, mais dans quelles conditions et à quels prix ? De plus les banques moins « systémiques » devront passer ces créances en pertes et se recapitaliser si besoin est.

Enfin, la BCE reste inquiète quant à la capacité des banques européennes en particulier celles du sud de la Zone Euro à maintenir une rentabilité suffisante. En effet, le métier d’intermédiation consiste à gagner de l’argent sur le différentiel des taux longs par rapport aux taux courts. Or depuis qu’elle a engagé sa politique d’assouplissement quantitatif, de taux zéro et de planche à billets, la BCE réduit encore plus cette marge, grevant un peu plus la rentabilité du secteur bancaire. Les sources de rentabilité proviendront-elles d’un abaissement des critères d’octroi des crédits, de l’utilisation de financements à taux quasi-nul à court terme et/ou d’une prise de risque excessive ?

L’édifice financier de la planète commence à se lézarder, mais nos responsables se gargarisent de bons mots, évoquant un mauvais moment à passer. D’ailleurs, en Belgique, les autorités se veulent rassurantes quant à l’examen réussi haut la main par les fonds de pension. «  L'objectif de ce test était d'analyser la résistance du secteur européen des fonds de pension face à des secousses provoquées par des crises sur les marchés financiers. » précise la FSMA, l’autorité belge de supervision des marchés. Même en cas de situations extrêmes sur les marchés financiers, les fonds de pension belges résisteront bien. Dans ce cas, la garantie d’Etat devrait jouer, le risque étant si faible ! Pourquoi les affiliés de ces fonds ne proposeraient-ils pas cela ?

Comme je l’avais indiqué dans un article précédent, d’autres indicateurs laissent à penser que les dérives financières et bancaires imposées par les gnomes de Wall Street ont des effets directs sur l’économie mondiale à court et moyen terme.

Le Baltic Dry Index (BDI) reflète la santé des transports maritimes entre les continents. De 632 points le 2 février 2015, il est tombé à 298 points ce 5 février 2016, soit une chute de 53% ! Depuis le 1er janvier il est passé de 478 points à 298 soit une baisse de 38% en seulement 5 semaines, ce qui signifie une catastrophe dans l’affrètement des cargos vraquiers (du type du Modern Express sauvé in extremis d’un naufrage sur les côtes landaises) et l’annonce d’un fort recul des marchandises transportées pour les mois à venir.

Apparemment, les eurocrates de Bruxelles et les princes qui nous gouvernent n’ont pas la même anticipation, car leur vision est transformée par les lunettes roses du « vivre’ensemble », du « padamalgam », du multiculturel, du politiquement correct et de la Nouvelle Religion droits-de-l’hommiste, seules obsessions qui accaparent leurs neurones.

Heureusement, de plus en plus d’analystes commencent à s’inquiéter et tirent la sonnette d’alarme pour ce qui s’annonce comme une nouvelle « bulle » bien plus importante que celle qui avait éclaté en 2008, avec les conséquences que nous connaissons.

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3220 du 28 janvier 2016

NOUS nous étions quittés la semaine précédente en évoquant les tendres propos de Philippot à l’égard de Philippe Séguin, pourtant adversaire total du camp national. Et voici que Marine Le Pen en remet une couche, mais cette fois-ci à l’égard de Simone de Beauvoir, la compagne de Sartre, à qui elle fournissait des jeunes filles, et à l’égard d’Elizabeth Badinter. Marine Le Pen déclare que « le droit à l’intégrité corporelle, de quelque sexe que ce soit, est un droit parmi les plus essentiels ». Elle cite Beauvoir, démontrant ainsi qu’elle a des lettres, ce que d’aucuns niaient : « N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question », dénonçant « une politique migratoire insensée », qui la « remplit d’effroi ». Que Marine Le Pen se la joue féministe ne plaît évidemment pas du tout à la gauche qui voit ses icônes féministes récupérées. Mais cela ne plaît pas davantage à Bernard Antony qui pique sa rage, évoquant Simone de Beauvoir : « la compagne de Sartre dans tous ses combats gauchistes et si dévouée à lui recruter les jeunes filles dont le gourou était insatiable » et « Elisabeth Badinter, idéologue de toutes les “déconstructions”, selon le mot en vogue aujourd’hui. Elle a, on s’en souvient, défendu l’idée que, le progrès aidant, les hommes pourront enfin accoucher comme les femmes. Cette ardente partisane de la loi Veil ne précisait pas qu’ils pourraient donc aussi se faire avorter. Mais cela semble aller égalitairement de soi ». Et il poursuit : « Hors l’opposition à l’immigration, il semble évident que Marine Le Pen ne peut plus être taxée comme étant de droite mais qu’elle se manifeste beaucoup plus comme alignée sur les positions de l’intelligentsia de gauche et dans le triste conformisme d’un féminisme néo-marxiste. » Et pour conclure en toute humanité, voici ce que dit Bernard Antony du FN mariniste : « A force de vouloir être trop subtil et de faire un grand écart permanent, le FN ne devra pas s’étonner de l’engouement de certains électeurs de droite et fidèles aux valeurs traditionnelles qui se mettent à espérer un retour de Philippe de Villiers sur la scène politique. N’y avait-il pas d’autres femmes françaises à citer en référence plus audible ? » Certes, certes… Mais Villiers est-il vraiment la solution ?

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INDUSTRIE DE LA SHOAH : PAR ICI LA BONNE SOUPE !

C’est l’excellent site Contre-info qui raconte l’histoire. Des jeunes israéliens sont envoyés par milliers chaque année en Pologne pour visiter les camps. Soupçonnées de s’être entendues frauduleusement sur les prix demandés aux lycéens pour visiter Auschwitz et d’autres anciens camps de concentration nazis en Pologne, six agences de voyages sont dans le viseur de la police israélienne. Neuf cadres ont été arrêtés. Six agences sont sur le gril. Leurs bureaux ont été perquisitionnés et plusieurs suspects ont vu leurs comptes gelés. Ils avaient simplement violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs avant de répondre aux appels d’offres, leur objectif étant curieusement de tirer les prix vers le haut. « J’ai vraiment été très con et je me suis fait chopé (sic), j’ai vraiment honte… »

UN EX-OTAGE DE L’HYPER-CACHER ESCROQUE DES ÉDITEURS PARISIENS !

C’est l’hebdomadaire Le Point, pourtant peu suspect d’antisémitisme (y collabore BHL) qui le raconte : « Dans un courriel envoyé au printemps dernier aux plus prestigieuses maisons d’édition parisiennes, Flammarion, Calmann-Lévy, Fayard, Stock et d’autres encore, Patrick T. passe aux aveux. Démasqué, il raconte l’arnaque qu’il avait entrepris de monter avec son ami Jo (le prénom a été modifié), l’un des rescapés de l’Hyper Cacher, où quatre personnes avaient été abattues par Amedy Coulibaly. Les deux compères avaient échafaudé un plan qui devait leur rapporter beaucoup d’argent, au minimum 100 000 euros, et dont les éditeurs parisiens devaient être les victimes ».

Tout a commencé quelques semaines après les attentats de janvier 2015. Patrick T., qui se fait passer pour un communicant, démarche les éditeurs avec Jo qui aimerait faire publier son témoignage de la journée du 9 janvier. L’accueil est chaleureux et les directeurs de collection sont touchés par le récit de l’ex-otage. Les propositions d’à-valoir affluent : 20 000 euros ici, 30 000 là, 15 000 encore, mais avec un pourcentage plus important sur les ventes. L’intermédiaire, quinquagénaire verbeux, qui pose en lunettes de soleil sur son CV en ligne, insiste pour faire monter les enchères… Dans un mail adressé à Jo, que Le Point.fr a pu lire, Patrick T. récapitule ses négociations : « Untel garde une petite réserve financière de négoce sur l’à-valoir et les commissions bouquins pour quand les autres éditeurs vont vouloir rentrer dans la danse… »

En attendant les offres fermes des éditeurs, Patrick T. et Jo participent aussi aux négociations qui s’ouvrent entre les ex-victimes de Coulibaly et BFM TV, la chaîne qui avait révélé que des otages étaient cachés dans la chambre froide. Patrick T. sent vite que, dans cette affaire, il ne percevra aucun dédommagement. De fait, en accord avec les parties civiles, la chaîne versera finalement 60 000 euros au Fonds social juif unifié. Patrick T. accélère donc ses démarches auprès des éditeurs et fait écrire ceci à son complice : « Je n’en fais pas une question d’argent. J’ai l’intention de redistribuer tous mes droits d’auteur financiers à l’association des victimes de l’Hyper Cacher et à ma synagogue… Pour lui, la meilleure offre financière sera celle qui fera le plus pour la synagogue et l’association des victimes. » Pour faire monter les offres, il va jusqu’à falsifier la proposition financière de l’une des maisons, avant de la faire suivre à une concurrente. Au moins deux éditeurs mordent à l’hameçon, et Patrick et son ami signent deux contrats en même temps. Or, ces deux éditeurs appartiennent au même groupe et se rendent compte de la supercherie.

« Quand on a découvert le pot aux roses, explique un directeur de collection, Patrick T. nous a confié qu’il voulait faire signer un maximum de contrats à son auteur, il voulait d’ailleurs qu’on paie les deux tiers à la signature. Leur plan était d’empocher les virements et de fuir en Israël parce que, disait-il, il n’y a pas d’accord d’extradition. »

Démasqué, Patrick T. a fini par reconnaître la tentative d’arnaque, tout en dédouanant son acolyte. Ce dernier, après avoir été recalé par les plus importantes maisons d’édition, finira par publier son récit chez un petit éditeur. Ironie de l’histoire : lors de sa promotion, Jo n’a pas hésité à fustiger les gens malhonnêtes qui tentent de profiter du tragique attentat de l’Hyper Cacher…

De vrais petits Madoff en puissance !

LA BIBLE DES TERRORISTES ISLAMISTES

Un magazine de 58 pages de l’Etat islamique vient d’être mis en ligne, rédigé en anglais, destiné aux « loups solitaires » et candidats au djihad résidents ou nationaux européens qui n’ont jamais été fichés comme radicaux. Comment ne pas être détecté par les services occidentaux ? Réponse : « Rasez-vous, portez des vêtements occidentaux, sentez l’après- rasage, faites-vous passer pour chrétien, avant de tuer les mécréants, afin de ne pas être identifiés par les services de sécurité que vous préparez une attaque. Il n’y a aucun doute qu’aujourd’hui, à l’ère des loups solitaires, nos frères européens doivent apprendre quelques règles de sécurité afin d’assurer le succès de leurs opérations. Nous avons pensé que beaucoup de nos frères qui ne parlent pas l’arabe trouveront ceci intéressant et pourront le mettre en pratique dans leurs saintes opérations. Si vous pouvez éviter de porter la barbe, de porter un qamis (kurta, ou chemise blanche longue pour homme), d’utiliser des miswak (brosse à dent traditionnelle) et d’avoir un dhikr (livre de prière) sur vous, c’est mieux. Il est autorisé de porter un pendentif avec une croix. Comme vous devez le savoir, les chrétiens — ou même les athées occidentaux nés chrétiens — portent des croix sur leurs colliers. Mais ne portez une croix que si vous avez un nom chrétien sur votre passeport, car cela pourra paraître étrange. » Et les conseils continuent : « Si vous voulez utiliser du parfum, n’achetez pas les parfums à l’huile, sans alcool que les musulmans utilisent. Achetez les mêmes parfums que tout le monde, et si vous êtes un homme, achetez un parfum pour homme. » Le document conseille même aux djihadistes de se rendre dans les nightclubs avec de la musique très forte pour « discuter secrètement des détails d’une opération ».

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ET TOUJOURS, LA TERREUR ALLEMANDE À L’ENCONTRE DES NATIONALISTES

Dernière nouveauté inventée par le pire système répressif d’Europe : le gouvernement allemand veut une justice d’exception. Pas contre les djihadistes, certes non, mais contre les nationalistes. Le ministre de la Justice, le socialiste Heiko Maas, a ainsi annoncé dans le Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung la tenue le 10 mars prochain d’un « sommet de la justice », à Berlin, afin de « discuter des mesures les plus efficaces pour lutter contre la violence xénophobe ». Proposant des mesures très précises, le ministre veut que la magistrature allemande nomme des procureurs spécialement chargés de réprimer les opposants politiques refusant l’immigration de peuplement. Et notamment ceux qui « s’expriment sur les réseaux sociaux ». La cible privilégiée ? « L’extrême-droite ». Etonnant, non ?

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler.

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Samedi 9 avril : Rivarol organise un banquet pour fêter ses 65 ans

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Salaires, assistanat et dignité du travailleur

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Dr Bernard Plouvier

Indépendamment de l’énorme problème du chômage en Occident, nos maîtres commettent d’énormes erreurs psychologiques, qu’une étude de l’histoire moderne et une plus juste appréciation de la psychologie humaine auraient pu leur faire éviter.

L’homme, moderne ou antique – c’est tout un -, a toujours aimé se considérer comme un être efficace, productif : un individu de valeur. Du moins essaie-t-il de s’en persuader et d’en persuader ses proches. Pour obtenir ce résultat, il y eut longtemps la valeur guerrière –dévalorisée depuis quelques lustres, mais son heure de gloire reviendra et probablement plus vite que l’on croit en Occident. Il y eut toujours « le pain quotidien », de nos jours avec beurre et confiture, viande et barres chocolatées etc., gagné par le père de famille ou la mère célibataire, nouveauté de notre époque.

Or, depuis les débuts de l’ère mondialiste, nous en sommes revenus à une époque de bas salaires. Après défalcation du loyer – ou du prêt immobilier -, de la part de dépenses alimentaires (de nouveau croissante, alors qu’elle avait nettement chuté durant les années 1960-1995), des coûts en carburants et services – toujours plus variés et jugés « indispensables » -, du renouvellement des vêtements et chaussures, enfin des impôts, il ne reste guère de fonds pour de quelconques économies… c’est d’ailleurs le but de nos maîtres : obtenir une consommation intégrale du produit des salaires et allocations diverses.    

Pour compenser chômage et salaires insuffisants à la vie de consommation, l’État, au service du seul Pouvoir : l’économique, redistribue une part de plus en plus grande du produit des taxes et des emprunts en allocations diverses. Et tout semble fonctionner, sans autre émotion sociale notable que les fiestas pluriannuelles et les émeutes raciales, moins fréquentes, des fruits pourris de l’immigration extra-européenne.

Tant que les caisses sociales fonctionnent (quel qu’en soit le mode de financement), tant qu’il n’existe pas de mouvement insurrectionnel – par exemple déclenché par une guerre de races ou de religions -, le désordre profond des mentalités n’apparait pas… mais il n’en existe pas moins.

En 1918-19, les ouvriers allemands jouissaient, depuis les années 1880, des meilleures lois sociales de la planète, mais les salaires réels – l’augmentation du coût de la vie étant strictement corrélée aux augmentations de salaires - n’avaient absolument pas bougé durant les 25 années précédant la Grande Guerre, alors même qu’explosait la croissance industrielle et commerciale du IIe Reich. Une guerre perdue, même avec panache, suffit à les précipiter dans la sottise marxiste.

Une excellente législation sociale et des œuvres de bienfaisance (le patronat allemand était réellement de type paternaliste sous Guillaume II) ne remplacent jamais ce que l’on gagne par son labeur. Comme l’a écrit Jean Anouilh, lorsqu’un jour il décida de jouer au (très bon) fabuliste : « Jamais ce que l’on vous donne ne vaudra ce que l’on prend avec sa griffe et sa dent ».

La dignité humaine exige, intuitivement ou explicitement, que soit reconnue la valeur du travail fourni, en quantité et en qualité : c’est ce qui fait la notion de juste salaire. Un grand industriel, Henry Ford – le Ier de la lignée –, avait compris cette profonde vérité psychologique.

Nos politiciens ont cru acheter, à coup de milliards d’unités de compte, la paix sociale dans les sites d’immigration extra-européenne massive. On savait, dès la fin de la décennie 1980, que c’était un échec… très prévisible : la fierté des bons-à-rien était offensée par les subventions et allocations, tandis que le chômage de longue durée – qui ne faisait que refléter leur totale inadéquation au marché de l’emploi – ternissait leur image de marque, face à leurs proches et à leur miroir.

Les bas salaires représentent une forme identique de dépréciation des travailleurs, d’autant que, mois après mois, les réseaux sociaux voués à l’information claironnent les superbénéfices engrangés par certaines sociétés multinationales – et personne ne s’intéresse à celles qui stagnent ou sont en déficit. Le contraste entre le médiocre ratio : salaire/travail fourni (ou estimé fourni) et la très bonne santé d’un nombre plus ou moins grand de multinationales forme un cocktail explosif, qui demeure stable tant que les conditions d’embrasement social ne sont pas réunies.

Morosité et absence d’avenir sont les pires ingrédients sociaux. Ils deviennent réellement explosifs quand d’honnêtes parents estiment que l’avenir de leur(s) enfant(s) risque d’être pire que leur présent.

Nos maîtres sont peut-être des champions de la spéculation et de l’exploitation du travail humain et non-humain. Ils manquent néanmoins de connaissances historiques et de subtilité. Leur ego monstrueux, leur cynisme d’affairistes sont tels qu’ils ignorent une notion fondamentale : celle de la profonde dignité des êtres humains à forte conscience éthique. Cette carence dans l’information, liée à la fausseté de leur esprit, provoquera leur perte… et nul ne versera une larme sur leurs malheurs.      

13:50 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le rassemblement patriotique de samedi prochain à Montpellier aura bien lieu...

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Montpellier (Lengadoc Info) – Le rassemblement « Sauvons notre pays » aura bien lieu ce samedi 6 février à 15 h à Montpellier devant la préfecture. Des rassemblements similaires ont été interdit à Calais et à Saint-Brieuc mais à Montpellier, la manifestation a été autorisée. Interviewé par Pierre Cassen, le président de la Ligue du Midi et organisateur de la manifestation, Richard Roudier, revient sur les motivations d’un tel rassemblement deux mois et demi après les attentats de Paris et alors que la situation migratoire en Europe est désormais au cœur des débats politiques.

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Richard Roudier - Rencontre Charles Martel (Poitiers - juin 2015)

La Ligue du Midi, que tu présides, a immédiatement relayé l’appel de Pegida et de Tommy Robinson, et proposé un rassemblement à Montpellier, le 6 février, sur le thème « Sauvons notre pays ». Pourquoi ?

Richard Roudier : Le combat que nous menons est local, français, et européen. La question de l’Islam ne se poserait pas s’il n’ y avait pas eu l’immigration. Immigration dont on n’aurait jamais parlé s’il n’y avait pas eu à partir des années 70 des hommes politiques particulièrement veules et corrompus pour offrir au grand patronat une main d’œuvre peu exigeante en matière de conditions de travail et de salaire. En corollaire, à compter de cette date, le peuple français a dû subir des campagnes de culpabilisation d’un niveau jamais atteint pour lui faire baisser la garde devant cette invasion, alors que dans le même temps des « lanceurs d’alerte » tels Jean Raspail et Dominique Venner tiraient des sonnettes d’alarme que bien peu voulaient entendre. Le deuxième tome du « Camp des saints » est en train de s’écrire sous nos yeux avec des migrants dont les voyages sont payés par les multinationales et leurs stipendiés (faussement humanitaires), avec pour objectif ultime la création d’un gouvernement mondial « hors-sol » menant au fouet des populations grisâtres, sans identité, dont la seule liberté sera de pousser des caddies à l’intérieur des rayons d’hypermarchés.

Aujourd’hui, la machine infernale s’emballe et nombre de nos citoyens sont confrontés dans leur quotidien aux périls qui vouent notre pays à la disparition : le flot migratoire ininterrompu, les violences faites aux femmes qui ont retenti comme une véritable déclaration de guerre, le triomphe de l’islamisme dans la sphère publique, la menace terroriste que l’on ne sait ni prévenir ni endiguer, le chômage et la pauvreté qui touchent la plupart des familles, notre patrimoine industriel et commercial qu’on abandonne à la finance internationale et aux monarchies du golfe et par dessus tout, cette impression angoissante de ne plus être chez nous.

Vous avez multiplié, ces derniers temps, beaucoup d’initiatives, dont un courageux rassemblement à Lunel, fief des salafistes locaux. Penses-tu que cette fois, ce rassemblement dépassera en nombre ceux que vous organisez d’habitude ?

Le rassemblement de Lunel aura été un marqueur dans le développement de la ligue du Midi. En moins de 48 heures, trois jours après les attentats du « Bataclan » et dans un souci de sécurité pour les gens qui nous font confiance, nous avons pris la décision de ne pas appeler la population à manifester, mais d’organiser un rassemblement militant. C’était un pari risqué puisque nous aurions pu n’être qu’une poignée, mais la mobilisation a joué et nous fûmes une centaine, au même moment, avec trois lieux de rassemblement à Lunel, Nîmes et Alès.

J’ai à cœur de souligner l’attitude de la police municipale et de la gendarmerie (Lunel est en zone gendarmerie), puisque dans un contexte particulièrement tendu, la manifestation des identitaires a été très vite encadrée au pied levé par des gendarmes en gilets pare-balles armés de fusils d’assaut…mais pour une fois, pas pour nous chasser… Ce fut une expérience intéressante d’un point de vue militant puisque nous avons pu tester la discipline et la cohésion du groupe.

Pour en revenir à la mobilisation pour ce rassemblement, la seule comparaison que nous pouvons avancer, c’est par rapport au 18 janvier 2015 où nous avions relayé l’appel de Pegida et avions rassemblé en quelques jours près de 100 personnes devant la préfecture de Montpellier. Nous tablons sur 200 à 300 personnes pour le rassemblement du samedi 6 février, chiffre que nous avons d’ailleurs communiqué aux autorités. Je peux vous confirmer de source sûre que le rassemblement sera autorisé.

Comment les choses doivent-elles se dérouler ?

Il s’agit d’un rassemblement statique classique avec diverses prises de parole, sept au total, plus un message de Maurice Vidal qui sera lu par un camarade. Nous aurons Olivier Roudier de la Ligue du Midi, Jean Théron de Résistance républicaine-Provence, Michèle Bros Ligue du Midi-Alès porte-parole du Collectif des Femmes en Colère, le Docteur-vétérinaire Alain De Peretti de Vigilance Halal, Ester Gallego Présidente de « Som Catalans » , Pierre Vial, Président de « Terre et peuple » et moi même qui mènerai les débats et tirerai les conclusions de cette journée.

Nous avons tenu à ce que la campagne d’information soit la plus étirée possible et nous avons réalisé le premier envoi le 4 janvier afin de nous permettre d’atteindre en tirs croisés le maximum de nos compatriotes.

Une vingtaine d’appel de personnalités locales ou nationales ont été lancés depuis le 20 janvier à raison de une ou deux par jour. Merci à Renaud Camus et à tous les autres pour leur collaboration. Des milliers de tracts ont été diffusés de Perpignan à Beaucaire et plusieurs réunions militantes se sont tenues sur ce thème à Alès, Nîmes et Montpellier.

Crains-tu des provocations gauchistes, ou bien une interdiction des autorités ?

La Ligue du Midi est là pour gagner le combat des idées, remporter des victoires politiques, et non pas pour distribuer des horions. Mais cependant, nos adversaires le savent, nous avons une culture de la défense bien ancrée. Dans le cadre de ce type de manifestation, la police nationale assure l’ordre en dehors du rassemblement, ce qu’elle fait très bien la plupart du temps, et notre service de sécurité, lui, est chargé de faire respecter les consignes à l’intérieur du rassemblement et d’évacuer des perturbateurs ou d’éventuels provocateurs. Les seuls emblèmes autorisés sont le drapeau national, les bannières de région et les banderoles des organisateurs.

Nous avons choisi le marché aux fleurs pour son côté poétique, mais aussi parce qu’il est piétonnier et qu’il est contigu à la préfecture… et qu’il n’y a pas, a priori de lieu plus facile à sécuriser par les forces de l’ordre que la propre demeure du préfet…

Je précise que pour ce type de manifestation, il s’agit de remplir une simple déclaration et le préfet ne peut interdire qu’en cas de risque sérieux de troubles à l’ordre public qui ne pourraient d’ailleurs être fomentés que par des individus extérieurs au rassemblement. En outre, je souligne que le rassemblement du 18 janvier 2015 n’avait donné lieu à aucun incident notable et qu’il en sera de même samedi prochain.

Comment vois-tu la suite de la mobilisation, au lendemain des 6 et 7 février ?

Attendez, je sors ma boule de cristal ! En attendant commençons par le commencement, réussissons ce week-end des 6 et 7 février, puis nous verrons. Bonne chance à tous… Comme sait le dire Pierre Vial : la rue appartient à celui qui y descend !

Propos recueillis par Pierre Cassen

09:38 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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Le retour de Philippe de Villiers vu par BFM TV

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Remplacer les immigrés par des expatriés

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Le problème de l'immigration, et l'islamisation qui en découle, ne pourra véritablement être réglé que lorsque des solutions seront mises en place pour fixer les populations migrantes sur leurs sols d'origines. Mais certains affirment que les pays développés ont toujours eu besoin de faire venir de la main d'oeuvre étrangère pour réaliser les travaux refusés par les locaux. C'est en partie, en partie seulement, vrai. Alors, dans ces cas précis, pourquoi ne pas changer le statut de ces "travailleurs immigrés" en leur donnant celui de "travailleurs expatriés". La nuance a son importance. C'est ce à quoi François de Chassey s'attache à démontrer dans un petit opuscule qu'il a publié l'an passé et qui mérite d'être lu. 

Les propositions développées dans cette plaquette concernent évidemment que la petite partie des immigrés réguliers qui vient en France que dans l'unique but de travailler.

Pour se procurer cette brochure cliquez ici

Un entretien avec François de Chassey publié dans le magazine québécois Le Harfang cliquez là  de l'été 2015 :

11960061_663509047118864_7428535144002585544_n.pngPrésident et fondateur de l'Association Saint-Jacques, une organisation venant en aide aux pays défavorisés du Vietnam, François de Chassey vient de publier un livre choc aux Éditions des Cimes, « Les politiques doivent sauver la France » livre que nous abordons dans notre chronique Lectures dissidentes. L’Occident fonce droit dans le mur avec des politiques démographiques suicidaires et les politiciens doivent agir avant qu’il ne soit trop tard. Aider les autres, certainement! M. de Chassey y voue sa vie! Mais être plus forts ici pour mieux les aider là-bas est son motto.

Afin de clarifier certains points de son livre, M. de Chassey a accepté de répondre à nos questions.

Le Harfang - Après 50 ans d'inaction, croyez-vous réellement que les politiciens adopteront certaines des mesures que vous proposez ?

François de Chassey – Pour l'instant je ne crois rien ! D'autant plus qu'on aurait pu croire les politiciens de la fausse droite en France sur la bonne voie (voir les déclarations, dans le florilège récapitulatif, des années 1990-91-92). Ils ont été au pouvoir depuis ces années et n'ont strictement rien fait. Apriori on peut supposer qu'ils feront de même (c'est-à-dire rien) s'ils reviennent au pouvoir, peu importe les déclarations qu'ils font ou qu'ils feront (en vue de la présidentielle en France début 2017).

Quel est l'objectif de votre ouvrage ? S'adresse-t-il aux politiciens ou à vos concitoyens ?

Aux deux catégories, en espérant qu'il y ait une interaction pour qu'il y ait une stimulation réciproque ! Le titre est volontairement un peu provocateur, mais en réalité il reste à l'état de voeu pieu. Ce qui est certain c'est que la solution ne peut passer que par les politiques (donc les politiciens) : j'ai donné un exemple avec la candidature extra-politicienne de Renaud Camus contre le Grand Remplacement qui a fait 0,05 %.

Les Français ont une option que nous n'avons pas, soit le vote FN. Malgré tout, le FN a été boudé durant des décennies malgré le fait qu'il ait été le seul parti à lutter contre l'immigration. Comment expliquezvous ce comportement français de bouder le seul parti ayant une plateforme crédible en matière d'immigration ?

C'est difficile de donner une courte réponse à cette question (et ce n'est pas le lieu pour l'allonger). Je vais donner un avis (avec des mots fabriqués, PUT & marx-merdia, qui ne sont pas forcément à reprendre !) : les Français sont matraqués par la PUT (pensée unique totalitaire) divulguée par les marx-merdia ; ils ont beaucoup de mal à émerger (il faut qu'ils soient matraqués par les coups, au sens réel, et les attentats en contrepartie bien que ce ne soit nullement mon souhait).

Le modèle que vous préconisez pour le futur est celui de notre programme de Travailleurs temporaires étrangers, un programme qui s'il n'a pas d'impact démographique, donne le beau jeu au capital qui peut profiter du cheap labour étranger plutôt que de payer une main d'oeuvre locale plus dispendieuse. Comment éviter un tel problème ?

Comment éviter ? Comme les Africains (je les cite parce que ce sont ceux, les Africains francophones, que je connais) : un contrat n'est accepté par les autorités que si la place ne peut pas être prise par un autochtone. Aussi, comme je l'ai écrit, l'expatrié reviendra un peu plus cher (je ne sais pas s'il y a un salaire minimum garanti au Canada) parce qu'il faudra ajouter le prix du voyage aller-retour.

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