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vendredi, 05 février 2016

Ce soir, l'Invasion noire est sur Méridien zéro (et peut-être ailleurs…)

Ce soir, Méridien zéro, le décrochage français de Radio Bandiera Nera, consacrera son émission à une évocation du Colonel Driant (capitaine Danrit en littérature) à l'occasion du centenaire de sa mort héroïque, au tout début de la bataille de Verdun, le 22 février 1916.

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L'émission, animée par Monsieur PGL (Wilsdorf à la technique), aura pour invité Lionel Bosserelle qui a récemment réédité un des livres les plus prophétiques de celui qu'on a appelé le Jules Verne militaire : l'Invasion noire (cliquez ici)

Coffret, Invasion noire, Danrit

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Samedi à Montpellier et dimanche à Rungis : Sauvons notre pays !

Samedi 6 février à Montpellier :

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Avec Jean Théron (Riposte Laïque), Ester Gallego (Som Catalans), Alain De Peretti (Vigilance Hallal), Pierre Vial (Terre et Peuple) et Richard Roudier...

Dimanche 7 février, à Rungis :

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Espace Jean Monnet 47, rue des Solets Rungis SILIC

Stand de Synthèse nationale

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SYRIE : QUI VEUT LA PAIX, QUI VEUT LA GUERRE ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Coïncidence ou volonté de faire capoter dès le départ les négociations de « paix » qui devaient s’ouvrir à Genève en ce début de février sous l’égide des Nations Unies, un attentat suicide perpétré à Damas le 31 janvier dans le quartier chiite de Sayeda Zeïnal, a causé la mort d’au moins soixante personnes et en a blessé plus d’une centaine, dont certaines resteront marquées à vie dans leur chair. Comble du sadisme, un second tueur kamikaze a attendu que les secours arrivent sur le lieu de la première explosion pour activer une deuxième charge.

La Syrie entre dans sa cinquième année de guerre civile. On atteint des chiffres proches de ceux de l’ex conflit yougoslave en termes de victimes. Des millions de citoyens sont déplacés ou en exil, tandis que des centaines de milliers d’autres croupissent dans des poches territoriales tenues par les forces gouvernementales ou par les assassins de Dae’ch. Les merveilleux souks d’Alep sont en ruine, l’extraordinaire krak des chevaliers à la frontière libanaise était sous le feu des insurgés, tandis que l’incroyable site archéologique de Palmyre est entre les mains des « cinglés de Dieu ». Ce conflit s’inscrit dans la lutte séculaire que se livrent chiites et sunnites, les premiers étant soutenus par l’Iran qui retrouve sa place parmi les nations, les seconds par l’Arabie Saoudite, prête à tout pour casser les prix du pétrole et obliger ainsi son allié américain à retourner aux fondamentaux de l’alliance scellée en 1945 sur le croiseur Quincy, entre le Roi Saoud et le Président Roosevelt. Depuis l’entrée en lice de la Russie qui pèse de tout son poids en faveur de son champion, le régime baasiste de Damas, les donnes militaires du conflit ont changé. L’armée du régime marque des points et récupère lentement, des lambeaux de territoire. Les frappes aériennes, tant russes que celles des alliés occidentaux, privent petit à petit Dae’ch de ses sources de financement : le pétrole. (A noter que ce dernier est acheminé vers des clients indélicats, pas tant anonymes que cela, grâce à la complicité de « l’allié » turc).

UNE ENFANCE DIFFICILE

La Syrie a été enfantée dans la douleur. Comme ses voisins jordaniens, libanais et irakiens, elle est née au lendemain de la première Guerre mondiale, des accords Sykes-Picot qui répartissaient au Proche-Orient les zones d’influence respectives des Britanniques et des Français. Les deux négociateurs décidèrent avec leurs adjoints respectifs que ces divers territoires nés du démantèlement de l’Empire ottoman, donneraient naissance à des Etats protégés ou indépendants. Les Kurdes, contrairement aux promesses des alliés de l’époque, véritables « cocus » de l’histoire, n’obtinrent pas le leur, tandis que les Arméniens, devenus indépendants, étaient écrasés par les armées turques de la jeune République kémaliste, successeur des Sultans de la Grande Porte. C’est dans ce contexte que fut confié à la France le mandat de la Société des Nations (SDN) sur le Liban et la Syrie. Rien ne se passa comme prévu. Le 7 mars 1920, l’Emir Faycal était proclamé Roi de Syrie, dans « ses frontières naturelles, du Sinaï au Taurus ». Mais le général Gouraud, Haut-Commissaire français au Levant, ne l’entendait pas de cette oreille. Conseillé par le général britannique Allenby qui régnait, lui, sur la Palestine où se concrétisait, notamment, l’idée d’un foyer juif, l’Emir Faycal quittait subrepticement Damas le 28 juillet suivant, après quelques escarmouches entre ses partisans et l’armée française. Lot de consolation : le trône de Bagdad où il fut couronné souverain d’Irak, le 13 aout 1921. Tandis que les sujets de Sa gracieuse Majesté contrôlaient également la Transjordanie et les principautés de la péninsule arabique, la France « saucissonnait » la Syrie en plusieurs « gouvernements » : Damas, Alep, territoire des Alaouites (Lattaquié), Djebel Druze et Sandjak d’Alexandrette, future éphémère République du Hatay, rattachée arbitrairement à la Turquie en 1939. Comme pour le Liban, l’arrachement de cette sorte « d’Alsace Lorraine » annexée par Ankara avec la complicité française, ne sera jamais digéré par les futurs dirigeants syriens. Après moultes péripéties guerrières entre Syriens et Français, ces derniers finirent par reconnaitre solennellement par traité en date du 9 septembre 1936, le droit à l’indépendance du pays. Sans le Liban… Le 17 avril 1946, le dernier soldat français quittait la Syrie indépendante. Une instabilité chronique fut le marqueur numéro un de la vie politique syrienne, entre assassinats, crises parlementaires et putschs militaires. Doublé par le ministre des Affaires étrangères, Khaled Azem et le colonel Aziz Zbiri, chef des services secrets, tous deux prosoviétiques, le Président Choury Kouatli capitulait le 28 février 1958 face au colonel égyptien Nasser, le « Raïs » montant de la galaxie arabe. Tous deux proclamaient l’union de leurs pays respectifs au sein d’une République Arabe Unie, reléguant en fait sa province du Nord, la Syrie, à un rôle de potiche. Une fois l’enthousiasme de l’union envolé, l’éphémère structure vola en éclats le 28 septembre 1961 sous les coups d’une armée syrienne humiliée de voir son pays jouant un rôle de supplétif. Dès lors, jusqu’à la prise de pouvoir par le général d’aviation Hafez El Assad en 1969, la Syrie ne connut, à nouveau, que l’instabilité, avec toutefois, l’influence grandissante du parti Baas, adepte de la doctrine de son créateur, le chrétien Michel Aflak, un socialisme arabe nimbé de nationalisme.

UNE DICTATURE QUI ASSURAIT LA PAIX ET LA SECURITE A TOUTES LES COMMUNAUTES

Le père de Bachar, l’actuel Président, ophtalmologiste de formation, qui a hérité du pouvoir sans le vouloir, remplaçant à la tête de l’Etat un frère aimé mort accidentellement, n’était pas un tendre. Les murs de Hama gardent encore les traces de la fusillade qui envoya « ad patrès » en février 1982 des milliers de Frères musulmans. Le parti au pouvoir, le Baas, dominant ses associés au sein d’une sorte de Front patriotique, était dévoué à la cause d’Hafez El Assad lequel, issu de la communauté alaouïte – une sorte de secte schismatique du Chiisme – était roué, sans scrupules, sachant diviser pour mieux régner. Moyennant quoi, la mosaïque syrienne –Sunnites, Chiites, Alaouïtes, Chrétiens de tous rites et Druzes – vivait en paix. « Faites du business, laissez-moi la politique », telle aurait pu être la devise du dictateur local. La Syrie était-elle, - est-elle -, une démocratie ? Les pays africains, avec leur parti unique ou leur fractionnement tribal, le sont-ils ? Poser la question, c’est esquisser la réponse. Les ethnies dominantes, dans les élections, gagnent toujours, écrasant les plus faibles. Même en Occident, on peut remettre en cause les résultats d’élections dites « démocratiques » : comment expliquer, par exemple, qu’en Corse et dans d’autres régions françaises, une coalition minoritaire en voix soit majoritaire en sièges et s’empare ainsi du gouvernement local ? Comment expliquer qu’aux Etats-Unis, un candidat minoritaires en voix puisse avoir la majorité des Grands électeurs, c’est déjà arrivé, ou qu’en Grande-Bretagne le scrutin majoritaire uninominal à un tour empêche tout parti en dehors du système bipartisan d’avoir des élus en quantité raisonnable ? (C’est le cas d’UKIP de Nigel Farage, 12 %, qui n’a qu’un seul parlementaire !) De son palais-bunker du djebel Kassion, « big brother » et ses polices politiques dominaient le pays. Mais, comparé à la théocratie rétrogrades saoudienne, la Syrie ne coupait pas les mains des voleurs, garantissait la liberté de culte et les droits des femmes – combien de jolies jeunes femmes têtes nues, en jean ou mini-jupe,dans les rues de Ryad ? – même s’il ne faisait pas bon comploter contre le régime. Dans « l’Orient compliqué » comme disait De Gaulle avec raison, la démocratie à l’occidentale n’existe pas, elle ne peut être qu’organique et communautaire comme au Liban, ou même en Israël où les immigrés russes ont leurs parti, les religieux aussi, tout comme les arabes israéliens. Le « Bismarck de Kardaha » - le village natal du clan Assad situé derrière Lattaquié dans la montagne alaouïte, sorte de Provence comtadine à la sauce orientale ! – n’hésitait devant aucun sacrifice sur l’autel du pragmatisme, dans la première guerre du golfe, comme face à Israël, dont il était, en fait, « le meilleur ennemi ». Son fils a hérité de ses qualités sans tous ses défauts. (Même si « les droits de l’homme » dans son acceptation française et occidentale sont, de fait, largement « égratignés »). Mais sont-ils toujours respectés sous nos latitudes ? Toutefois, il a aussi la main dure pour ceux qui trahissent le régime, même si sa longue fréquentation de l’Occident, du Royaume-Uni plus particulièrement, lui a donné une attitude plus policée. L’élégante silhouette de son épouse ne l’a pas non plus desservi.

A LA CROISEE DES CHEMINS

Terre de soleil au riche patrimoine archéologique où, depuis des millénaires, se chevauchent de brillantes civilisations, la Syrie, ne le nions pas, vit donc sous un régime dictatorial, selon notre grille de lecture. Cette dernière ne s’applique pas, nous venons de le voir, dans cet imbroglio oriental. Sur le terrain, une coalition hétéroclite mène un combat féroce, cruel, sanguinaire, contre la société syrienne qui n’en peut plus. Les gens « votent avec leurs pieds », fuient le pays ou se réfugient dans les zones gouvernementales. La barbarie islamiste, soutenue et encouragée notamment par le Qatar et l’Arabie Saoudite, nos « bons alliés » fournisseurs de pétrole et de gaz, acheteurs de nos belles panoplies militaires, exporte sa férocité jusque dans nos murs. Et un Fabius, totalement dévalorisé ne trouve rien de mieux à dire en décembre 2012,que « le Front al-Nosra ,(branche d’Al Qaïda en Syrie), fait du bon boulot ? ». François Hollande, Président de la République élu par hasard, voulait même bombarder les forces gouvernementales syriennes ! Tout seul, avec ses petits bras ? Heureusement qu’Obama, bien inspiré pour une fois, a retenu cette inspiration inconsidérée. Ouvrir des négociations, c’est bien. Mais, pour discuter, il faut être deux. Nous venons de voir que l’opposition syrienne « raisonnable », c’est-à-dire celle qui ne représente RIEN sur le terrain, tergiversait et voulait que Damas fasse d’abord un geste. Les occidentaux, jusqu’à présent, semblaient poser un préalable inacceptable pour les gouvernementaux : le départ programmé de Bachar El Assad. Reviendront-ils sur leur position initiale ? Seul le peuple syrien au cours d’élections libres et surveillées, surtout en territoire contrôlé par les rebelles islamistes, pourra décider souverainement du sort de celui-ci. La nouveauté en matières stratégiques comme tactiques, c’est l’engagement résolu de Poutine aux côtés de son allié damascène et le retour de l’Iran sur la scène internationale. Fait nouveau, l’armée syrienne, hier malade de ses désertions, appuyée par l’aviation , part à la reconquête de points chauds tenus par Dae’ch et ses alliés objectifs de la résistance islamiste : Rabia ville située au nord-ouest du pays, est tombée le 24 janvier, deux semaines après la libération de Salma . Cette dernière était la plus grande localité tenue par les rebelles dans la montagne, à une portée d’arbalète du berceau de la famille présidentielle. Poche après poche, il faudra reconquérir le pays avant l’offensive finale sur Raqqa et Palmyre, ou tout au moins ce qu’il en restera. Si l’islamisme militaire est éradiqué, viendra le temps de la reconstruction. C’est une déchirure de voir dans quel état se trouvent, par exemple, les quartiers d’Alep à la périphérie de sa gigantesque citadelle. Les alliés occidentaux seront-ils capables de serrer le « kiki » aux commanditaires de Dae’ch et de coordonner leurs actions avec celles des Russes ? C’est tout le mal que l’on peut souhaiter à notre diplomatie : en finir avec l’amateurisme, plus aucun aventurisme, mais du pragmatisme !

10:29 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Syrie : après l’échec des pourparlers de paix, où en est-on sur le terrain ?

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Martial Roudier

Syrie (Lengadoc Info) – Comme nous l’annoncions en conclusion de notre article du 27 janvier, les négociations n’ont pas donné grand chose. Leur tenue vient même d’être carrément ajournée et devrait reprendre le 25 février 2016. A qui la faute? Chacun se renvoie la balle quant à la responsabilité de cet échec. L’opposition syrienne avait décidé de quitter la table des négociations, la Turquie renâclait quant à la présence de son ennemi kurde, l’Etat Islamique profitait de ces pourparlers pour effectuer un terrible attentat suicide dimanche 31 janvier dans le sanctuaire chiite de Sayeda Zeïnab faisant près de 70 morts et plus de 100 blessés (une voiture piégée suivie de deux kamikazes avec gilets explosifs). Mais l’opinion internationale impute cet échec aux forces pro-gouvernementales et bien évidemment à la Russie.

La situation en Syrie aujourd’hui

Que s’est il donc passé sur le terrain depuis notre dernier point de situation?

Les forces loyalistes n’ont pas chômé et ont obtenu des résultats significatifs. Essentiellement au nord du pays dans la région d’Alep.

Tout d’abord à partir de la base aérienne de Qweires et en direction de l’ouest où l’étau se resserresur Daech et où le saillant devrait se transformer d’ici peu en poche jihadiste. Les forces « pro-Bachar » n’ont plus « que » 4 kilomètres à travers champs à effectuer et la prise d’un seul village afin de réaliser l’encerclement total. La situation à Qweires s’est donc totalement inversée depuis 6 mois passant d’un encerclement par l’Etat Islamique à l’encerclement de L’Etat Islamique!

Mais ce n’est pas le point le plus significatif de l’avancée des forces loyalistes. Celui-ci se situe au nord immédiat de la ville d’Alep. Cette avancée nous a personnellement surpris autant que les rebelles de l’Armée Syrienne Libre que du Front Al-Nosra, les représentants d’Al-Qaida en Syrie. Nous venons d’assister à la libération de la poche de Nubl et Zarhaa enclavée depuis trois ans par les forces « rebelles ». L’attaque a été soudaine, brutale et rapide en prenant les forces rebelles sur deux fronts opposés dans un couloir de quelques kilomètres. L’appui aérien russe a bien évidemment été déterminant. Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov précisant que « Les frappes aériennes russes ne s’arrêteront pas tant que nous n’aurons pas réellement vaincu les organisations Etat islamique et le Front Al-Nosra ».

L’impact de cette victoire sur le moral des populations fidèles au pouvoir en Syrie est évidemment très important mais le point crucial revient au fait que cette jonction permet la fermeture de l’approvisionnement des forces « rebelles » depuis la Turquie. Le deuxième point important est que la situation militaire à Alep risque d’évoluer très rapidement puisque les forces pro-gouvernementales encerclent désormais la ville d’Alep sur trois cotés. En effet, seul l’accès ouest est encore aux mains de l’ASL et Al-Nosra.

Cette avancée fait dire à certains commentateurs que les forces loyalistes ont accompli là « une plus grande avancée en trois jours qu’en trois ans de combats« .

Sur le front au sud du pays, nous constatons la stabilisation de la situation à Sheikh Maskin mais également un début d’offensive plus au sud vers la ville de Daraa dans le village d’Athman qui devrait permettre d’élargir le couloir loyaliste et de consolider les positions pour de nouvelles offensives.

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Nos chers immigrés : déracinés ou transplantés ?

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Dr Bernard Plouvier

D’abord, il faut s’entendre sur l’adjectif accolé aux immigrés d’origine africaine et proche-orientale. Officiellement importés pour travailler, voire « financer les retraites des vieux Européens », ces immigrés coûtent beaucoup plus qu’ils ne rapportent aux États et aux Nations d’accueil (les chiffres ont été publiés par Yves-Marie Laulan et son Institut de Géopolitique des Populations).

Le produit du travail de ceux d’entre eux qui ne chôment pas est nettement inférieur au coût des allocations-subventions et de la construction d’infrastructures, vite dégradées par bêtise, négligence ou vandalisme, à l’exportation de capitaux vers les continents d’origine, enfin à l’énorme surcoût des actes de guérilla civile constatés depuis le début des années 1980. Tout cela est bien connu : nos immigrés d’origine africaine et proche-orientale nous sont chèrement onéreux… à la différence des immigrés extrême-orientaux calmes, travailleurs, inventifs.

Si l’on avait pris l’initiative de renvoyer en leur pays d’origine ces immigrés pour raison économique dès que le chômage massif s’est abattu sur les pays d’Europe occidentale et danubienne, l’actuelle situation économique et sociale serait plus claire et l’avenir moins préoccupant.

D’autre part, il est évident qu’un immigré honnête, travaillant de façon efficace, et dont les enfants se comportent en êtres civilisés, est infiniment plus utile à nos pays européens qu’un autochtone bon-à-rien, pilier de bar, philosophe de la canette et chômeur professionnel. Contrairement à ce que l’on voit écrit ici et là depuis l’An 2015, première année de la nouvelle invasion islamique, l’immigré pour raisons économiques est probablement moins nocif que le « réfugié politique ».

Toutefois, cet immigré est, par définition, un déraciné, ce qui ne manquera pas de poser problème, sauf désir et possibilité d’assimilation véritable à la Nation d’accueil, à ses usages et à ses lois. Un groupement étranger de grande taille dont les membres refusent de se reconnaître dans les us et coutumes du pays d’accueil ne peut qu’être un danger pour la Nation autochtone. Il convient de renvoyer à l’expéditeur ces êtres déracinés, refusant de s’adapter ou qu’il est impossible d’assimiler.

L’An 2015 nous a offert un autre spectacle, très mal analysé par les pitres des media et de la politique : celui d’un authentique essai de transplantation, si l’on préfère la greffe de nouveaux conquérants sur un ensemble de peuples avachis. Et c’est bien autre chose.

Expédiés, voyage payé, par des bienfaiteurs du monde islamique (les nababs du pétrodollar), ils se comportent en minorité turbulente (vols, vandalisme, agressions physiques et viols, rébellion contre les forces de l’ordre), en attendant de manifester le but réel de leur venue : faire passer de la théorie à la pratique la notion de Dâr al-Harb (le domaine de la guerre). Il est évident que les émirs et roitelets du pétrole et leur Frankenstein, le calife Abou Bakr II de Mossoul, ne s’attendent pas à une victoire immédiate, mais au contraire à une guerre longue. Toutefois, ils ne doutent pas un instant que ce Djihâd ne soit suivi d’une totale victoire en Europe faible et aveulie.

Les transplantés de l’islam ne sont pas déracinés : ils sont venus implanter le Dâr al-Islam en Europe. Il est grand temps de s’en préoccuper. L’avenir de nos enfants et petits-enfants, autant que l’honneur exigent une puissante réaction populaire. Il serait sot d’attendre quoi que ce soit du milieu politique occidental, abêti et / ou corrompu.

09:59 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : samedi 6 février à Paris...

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NDLR :

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07:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |