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mardi, 09 février 2016

Islamophobie ou christianophobie ?

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Dr Bernard Plouvier

Allez consulter le registre orthographique de votre ordinateur ou de très récents dictionnaires (en version papier, ça existe encore) et vous constaterez que s’ils ont enregistré une « islamophobie » et l’ultra-classique « antisémitisme », le mot « christianophobie » n’est pas prévu ! Pourtant, la réalité existe et depuis la fin des années 1980, corrélée - qui en eût douté ? - à l’immigration islamique. Il faut donc remettre à l’heure nos références de vocabulaire et surtout notre conception de la « vie ensemble »…voire se souvenir de ce qu’avait écrit Renan (et d’autres auteurs après lui) : on ne mêle pas impunément deux civilisations et les fidèles de plusieurs religions, surtout si l’une ou l’autre prêchent la « guerre sainte » ou le mépris des non-initiés.

Toute référence à de menus travers des Juifs – voire à d’énormes escroqueries - devient acte ou parole « antisémites » (alors qu’on devrait les qualifier d’antijuifs... et uniquement s’ils étaient calomnieux ou généralisant abusivement un comportement individuel). De la même façon, tout avertissement concernant les dangers évidents de l’invasion musulmane qui déferle sur l’Europe occidentale et danubienne devient « discours islamophobe »… et l’on n’est pas trop assuré que les commentateurs indignés aient lu le Coran et ses prescriptions sur le Djihâd, en résumé qu’ils sachent au nom de quoi ils s’indignent (sur commande).    

Des tombes juives ignoblement profanées et toute la France officielle tombe en pamoison, puis résonne d’indignations. Une mosquée-salle de sports de combat ou une boucherie hallal stupidement saccagées et politiciens & media hurlent à l’islamophobie… et l’on ne peut leur donner tort : une partie non négligeable des Français, des Britanniques, des Belges, des Allemands, des Scandinaves etc. ne supporte plus les ignominies des racailles, des fruits pourris de l’immigration-invasion. Que la réaction soit absurde autant que mal ciblée, on le reconnaît volontiers, mais la réalité devient insupportable en une multitude de villes d’Europe.

Or, ces actes d’islamophobie et de judéophobie, qui émeuvent tant les clowns des media aux ordres, ne sont quasiment rien au plan quantitatif en regard du nombre croissant d’actes anti-chrétiens, au point qu’a été créé un Observatoire de cette christianophobie, inconnue des dictionnaires les plus récents ! A priori, cet Observatoire - il en existe tellement – devrait être indifférent à l’athée (c’est le cas de l’auteur de ces lignes). Or, il est évident à tout Européen de souche que les sites, monuments et œuvres d’art chrétien font partie du Bien commun, au même titre que les vestiges de l’Antiquité gréco-romaine, celtique ou germano-scandinave.

Grâce à cet Observatoire, l’on apprend que pour le seul mois de janvier 2016 – et dans la plus totale indifférence des media aux ordres – 23 lieux de culte, cimetières, écoles et œuvres d’art chrétiens ont été vandalisés et/ou partiellement incendiés. Pour la seule Bretagne, ce sont 19 cas similaires qui ont été enregistrés durant l’année 2015, grand cru de l’immondice islamiste. Nos glorieux policiers et gendarmes n’enquêtent guère ou très mollement et presque toujours sans résultat… il faut reconnaitre qu’ils sont surmenés à force de verbaliser les automobilistes ou de réprimer les manifestations plus que légitimes d’autochtones excédés de la barbarie islamique (150 morts en 2015, pour la France) et des exactions quotidiennes des racailles de l’immigration-invasion.  

La situation française devient explosive. La Nation ne peut rien attendre des mols politiciens qui vont mendier leur pitance chez les islamo-pétroliers et sont donc des collaborateurs conscients non seulement de l’immigration-invasion, mais aussi des ravages exercés par les racailles sur notre vie sociale et sur notre patrimoine. À trop jouer avec la patience des Français (et des autres Européens de souche), l’islam conquérant et ses complices risquent fort d’être confrontés à une insurrection des autochtones, qui ressemblera fort aux combats de la Libération, inévitablement suivis d’une Épuration.

16:45 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A propos de la démocratie

16:07 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CALAIS : LÂCHÉS PAR PIQUEMAL, QUATRE MANIFESTANTS CONDAMNÉS HIER

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Forum SI cliquez là

Que s’est-il passé dans les geôles républicaines où nous avions laissé le général Piquemal (cf. notre article du 7 février cliquez ici) ? Hier, on apprenait que l’intéressé avait eu un malaise et que sa comparution devant les juges était reportée au 12 (et non au 13…) mai. Ce malaise était-il dû à l’un de ces traitements de type stalinien qui amènent un accusé à s’auto-flageller ? Toujours est-il que, malaise ou pas, le Général, libéré hier, a trouvé la force d’aller s’expliquer à RTL, où il s’est livré à une lamentable séance d’autocritique politiquement correcte (cf. cliquez ici).

Mais d’autres manifestants du 6 février n’ont pas eu de « malaise », quant à eux, qui ont été jugés hier à Boulogne-sur-Mer. Nous apprenons ainsi cliquez là que quatre condamnations ont été prononcées, dont deux à des peines de prison-ferme. Ces deux-là, lâchés par un général qui les avait encouragés à manifester, ne seront sûrement pas interviewés par RTL... Ils ont néanmoins bénéficié du soutien des nombreux légionnaires et parachutistes présents qui, venus pour appuyer le Général, ont finalement apporté leur appui à d’autres manifestants, semble-t-il bien plus honorables que lui.

Plutôt sympathique au départ, il semble que Piquemal soit dépourvu de toute formation politique, ce qui devrait suffire à expliquer la facilité avec laquelle il a été retourné. Il est certes toujours malsain de séjourner dans une prison républicaine, mais ce n’est pas une excuse suffisante pour retourner sa veste. Finalement, tout comme Boulanger, le brav’général Piquemal n’est qu’un officier républicain : n’est pas Salan qui veut !

15:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Serait-il possible qu’un jour un « penseur » différentie le Populisme de « l’Extrême droite » ?

medef-ps.jpgDr Bernard Plouvier

Lorsqu’à l’Assemblée, auto-proclamée Constituante en juillet 1789, on disposa les places de députés (ceux-là même qui avaient été envoyés aux États Généraux du royaume de France), les réactionnaires, partisans de la poursuite de l’institution monarchique de droit divin, siégèrent à l’extrême-droite du fauteuil présidentiel… depuis lors, l’on a toujours – et très justement – assimilé l’extrême-droite au conservatisme politique, économique et social.  

À dire vrai, certains monarchistes des années 1830 à 1914 étaient partisans de l’établissement de lois sociales et d’un salaire équitable. Certains d’entre eux inspirèrent à Léon XIII son encyclique Rerum novarum, rendue publique le 15 mai 1891… qui effraya tant le patronat européen. En France, ce patronat était généralement républicain, volontiers de tendance « radicale », voire affilié au Grand-Orient, mais ses membres ne voulaient ni de réformes sociales ni d’augmentation notable des salaires. L’histoire réelle – pas celle enseignée dans nos écoles & facultés – offre de petites joies au chercheur !

Comment qualifier des patriotes (voire des « nationalistes chauvins ») qui veulent améliorer le statut culturel et le pouvoir d’achat des couches les plus pauvres de la Nation ? Par le nom d’Extrême-droite, nous dit-on… mais pour un observateur lucide, cette appellation devrait plutôt être attribuée à un patronat rétrograde, qui permet, par son immobilisme et son égoïsme, aux marxistes, aux socialistes de salons et aux permanents syndicaux de donner périodiquement de la voix, justifiant ainsi leur existence et leur gagne-pain : sans patronat stupide et arriéré, pas de gauche ni d’extrême-gauche ! L’un et l’autre s’entretiennent en une cynique interaction, dont les pauvres font les frais. À octroyer trop vite de décentes conditions de vie au bon peuple, on risquerait de mettre au chômage les démagogues.

De nos jours, les deux groupes complices (patronat et pseudo-gauche) soutiennent l’immigration-invasion, utile pour fournir des travailleurs engagés à bas coût par les patrons – qui ne reculent pas devant l’emploi de « clandestins » davantage sous-payés encore -, utile pour gonfler des effectifs syndicaux désertés par des autochtones désabusés. Tous hurlent auprès des mols politiciens pour que l’on accroisse par des allocations de toutes sortes les bas salaires, ce qui est excellent pour la consommation, donc au premier chef pour la grande distribution.

Pour désigner les hommes et les femmes qui refusent l’invasion de la patrie par des éléments extra-européens, violents, incultes, importateurs d’une religion conquérante et meurtrière par son Djihâd (recommandé à tout musulman en bonne santé), ces patriotes qui réclament la priorité d’embauche pour les nationaux, une meilleure protection de la production nationale exposée à une concurrence extra-européenne qui bénéficie d’un dumping d’État ou de l’exploitation – selon nos critères européens – de populations encore peu exigeantes… pour les désigner, plutôt que d’user à tort du qualificatif d’extrême-droite (qui sous-entend un conservatisme économique et social), il convient de parler de Populisme, soit une doctrine de promotion de la culture en milieu populaire, de revalorisation du travail manuel, d’exigence d’un juste salaire – adapté à la qualité et à la quantité du travail fourni par chacun… bref, comme l’ont écrit divers théoriciens depuis le Moyen Âge, c’est une doctrine qui se résume par l’expression : à chacun selon son dû.  

On conçoit que ne soit guère à l’honneur cette notion très démocratique, qui définit la méritocratie, en une Europe des Économies Unies dans le cadre de cette économie globale et de cette mondialisation des vies politiques et sous-culturelle, qui sont plus proches de la merdocratie que de la méritocratie.

00:57 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A méditer :

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