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vendredi, 01 avril 2016

Bruno Mégret dédicacera son livre samedi 2 avril à la librairie Duquesne diffusion à Paris

i1.pngBruno Mégret dédicacera

son nouveau livre,

"Le Temps du phénix",

samedi 2 avril à partir de 16 h

à la librairie Duquesne Diffusion

27, avenue Duquesne, Paris 7e 

 

 

 

 

RAPPEL : MERCREDI 6 AVRIL à 19 H 30

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GOUVERNER, C’EST PREVOIR !

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Pieter Kerstens Notre correspondant à Bruxelles

On ne peut pas dire que les chefs d’Etat et de Gouvernement européens aient fait preuve de clairvoyance en ce qui concerne la Crise économique qui ne fait que s’éterniser, ensuite pour endiguer le raz-de-marée des centaines de milliers de clandestins qui nous submergent depuis 9 mois, et enfin pour éviter les attentats et les tueries diverses depuis Charlie Hebdo, en France comme en Belgique.

Car leur travail est tout de même d’organiser, préparer et envisager à l’avance les multiples options, difficultés ou situations qui se présentent à chaque Administration tous les jours et qui évoluent au fil du temps.

Au vu des résultats depuis plusieurs années, j’aurais tendance à dire qu’ils ne peuvent pas « AN-TI-CI-PER ».

Contre la peur ? Un comprimé de « Cépalislam » !

Pour des raisons de sécurité, la « Grande Marche Contre la Peur » prévue le dimanche 27 mars à Bruxelles Place de la Bourse (temple du capitalisme apatride) a été annulée et reportée à une date ultérieure. Il est consternant et révoltant de constater que les fonctionnaires siégeant à l’OCAM (service belge évaluant les risques terroristes) décrètent les niveaux du danger - de 1 à 4 – selon les conditions climatiques…

Après la cavale et l’arrestation de l’ennemi public n° 1, Salah Abdeslam, le niveau monte à 4 et redescend à 3 la veille des attentats du 22/3, pour remonter à 4 deux jours plus tard : autant prévoir le danger, en scrutant le marc de café !

Personne n’est infaillible, mais la situation actuelle impose la démission de tous les responsables de la sécurité et des Ministres du Gouvernement belge qui n’ont pas voulu reconnaitre et accepter les diagnostics établis par les acteurs du terrain : l’implantation du terrorisme arabo-musulman dans les zones de non-droit, quadrillées par les crapules criminelles multirécidivistes depuis plus de 30 ans et dont Molenbeek Saint-Jean est un cas d’école. C’est ce qui est d’ailleurs confirmé par un article détaillé en page 5 du quotidien économique belge l’Echo daté du 01 avril 2016 qui retrace l’historique du terrorisme musulman en Belgique, depuis la fin des années 70.

Ces politicards droits-de-l’ hommiste sont coupables de la situation que nous vivons et ils doivent être jugés et punis, au nom des victimes innocentes.

Ce ne sont pas les unités d’intervention qui sont en cause ici ; elles, elles agissent de manière efficace, mais doivent s’incliner devant les directives de la hiérarchie politisée.

« L’Islam n’est pas externe, il fait partie de l’Europe ! »

Le 22 mars les larmes de Federica Mogherini – Chef de la diplomatie européenne et de la politique de sécurité - durant sa conférence de presse à Amman, ont fait le tour du monde. Et il est instructif que je vous livre une partie de son interview dans le quotidien « Le Soir » du 24 mars 2016.

Elle demande que l’Europe passe à la vitesse supérieure et revient sur l’attentat du WTC le 11 septembre 2001 (et non le 21 comme écrit dans l’article) en citant un document du Conseil de l’Europe «  Une coopération accrue et l’échange d’informations entre les services de renseignement de toute l’Europe seront requis. Des équipes d’enquête communes seront constituées à cet effet. Les Etats membres partageront systématiquement et immédiatement avec Europol toutes les données utiles liées au terrorisme ». Immédiatement ? Ceci a été écrit il y a quinze ans, dit F.Mogherini.

Personne ne parle plus d’Interpol…et au lieu de milliers de textes de lois plus ineptes les unes que les autres, il serait de loin préférable, afin de protéger les personnes et les biens, de s’inspirer de la doctrine de Vladimir Poutine : «Il faudra aller buter les terroristes jusque dans les chiottes.» Sommes-nous en guerre, ou non ?

Elle veut encore plus d’Europe «  Je crois que nos peuples, nos citoyens européens, comprennent parfaitement que nous sommes tous unis dans cette épreuve. Et que notre force peut être notre intégration, nos systèmes communs. Au moment où nous recherchons une coordination et une coopération en matière d’antiterrorisme avec les pays hors de nos frontières, cela aurait-il un sens de ne pas coordonner au sein même de notre Union ? Après avoir autant accompli en termes de terrain commun et de compréhension ? »… « On m’a critiquée ces derniers mois pour avoir dit que l’Islam fait partie de l’Europe. Il est temps de réaliser qu’il ne s’agit pas d’une présence externe. Ces gens sont des citoyens européens, nés et ayant grandi en Europe. Si nous brandissons encore le choc des civilisations, cela voudra d’abord dire que nous n’avons pas compris ce qu’il s’est passé ces vingt dernières années. L’alliance, le dialogue, la coopération, la possibilité pour les différents courants religieux de vivre ensemble permettront de résoudre et de prévenir ces problèmes. Lorsque nous posons le problème en termes de « nous », les Européens chrétiens et « eux », les Arabes, musulmans terroristes, nous commençons par ne pas voir la vérité en face, car il s’agit d’Européens. »

Contrairement à ce que prétendent Mogherini and C°, l’Europe n’est pas un territoire vierge dans lequel n’importe qui peut s’installer n’importe quand. Il existe des lois et des règlements bafoués par ceux qui sont chargés de les faire respecter d’une part et que les millions de clandestins qui résident « hors-la-loi » sur notre continent, violent d’autre part.

Et ce n’est pas parce qu’un enfant d’expatriés blancs et européens, naît à Shanghai qu’il est chinois et qu’il est reconnu comme tel par les Asiatiques ! Idem pour l’enfant bantou, né au Pérou, qui ne sera pas andin !

Mais reprenons l’interview de F.Mogherini :

« Ensuite, nous alimentons ce sempiternel point de vue qui veut que la cohabitation ne soit pas possible. Quelles sont les valeurs que nous disons attaquées par les terroristes et que nous souhaitons protéger ? La valeur fondamentale de l’Europe est la capacité de travailler et de cohabiter, même dans la différence de nationalité, de culture ou de religion »… Et plus loin elle rajoute : « Aucun Européen n’est plus européen qu’un autre : il faut nous assurer que tout le monde se sente chez lui en Europe.»

Elle oublie de dire qu’il s’agit de peuples blancs et chrétiens. Et qui refuse cette intégration ? Qui s’oppose à l’assimilation ? Les Arabes ! A lire cette Commissaire, n°1 de la Diplomatie européenne, c’est le monde entier qui sera demain devant votre maison, comme à Calais !

Et en fin d’interview elle précise que « J’ai rencontré hier (23/03) des réfugiés en Jordanie et la veille au Liban. Je n’ai entendu qu’un seul message de leur part à tous, allant d’enfants de 5 ans à des grands-parents. La seule chose qu’ils demandent, c’est de savoir quand la paix sera faite en Syrie pour pouvoir rentrer chez eux. Ils n’ont pas même évoqué l’Europe une seule fois, ni comment se rendre en Europe.»

C’est très exactement ce que mes camarades nationalistes et moi-même avons entendu dans les camps de réfugiés à Zahlé en octobre 2014... il y a déjà 17 mois, et avant l’afflux de l’été 2015 !

Federica MOGHERINI est dangereuse !

Elle personnifie les dogmes et l’idéologie du Nouvel Ordre Mondial qui impose la chimère d’une société multiculturelle et pluriethnique à toutes les nations d’Europe, sans tenir aucun compte de notre culture et de notre civilisation. Madame Mogherini semble ignorer que ce n’est pas parce qu’un agneau naît dans un poulailler qu’on le nomme « poussin ».

Et c’est particulièrement contre les dérives de cette caste de hauts commissaires cooptés que nous devons nous défendre ; ceux-là mêmes qui ont vidé les églises pour remplir les mosquées.

Peu importe le maintien ou la sortie de la zone euro, l’essentiel se trouve dans la pérennité de l’héritage de 40 siècles de civilisation, érigée par nos aïeux et dont les valeurs ont franchi les océans au travers les siècles : abnégation, honneur, fidélité, famille, courage, foi dans les convictions, travail, esprit de sacrifice, entre’autres.

Sans corpus idéologique ni doctrine politique, la renaissance européenne sera vouée à l’échec face à l’Empire mondialiste.

Seul le refus de l’homo-consuméris, de la standardisation et de l’égalitarisme imbécile, versus « vivr’ensemble », pourra initier le combat contre les collaborateurs de la destruction de nos nations.

Et, sans volonté, sans détermination, sans courage, les peuples européens sont battus d’avance, face aux attaques terroristes dont ils sont la cible. AUX GRANDS MAUX, LES GRANDS REMEDES.

13:52 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Remarquable adaptation d'"Entretiens avec le Professeur Y ", de Céline, à Paris

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Prolongation jusqu'au 30 septembre 2016

Au milieu des années 50, Céline n'est plus vraiment en odeur de sainteté et il cherche un moyen pour revenir au devant de l'actualité. Il prend conscience de l'importance de la presse et il propose à son éditeur, Gaston Gallimard, de donner des entretiens aux journalistes. A condition bien sûr que ceux-ci veuillent bien le rencontrer.

C'est ainsi que, sous le pseudonyme de "Professeur Y", l'un d'entre eux se dévoue pour se prêter à cet exercice hautement périlleux sur les bancs du jardin des Arts et Métiers...

Le Théâtre du Nord-Ouest parisien nous offre la joie de pouvoir assister à ce dialogue méconnu écrit par Louis-Ferdinand Céline. Reprenant l'adaptation de Jean Rougerie et remarquablement interprétée par deux acteurs de talent, Jack Gallon et Rémy Oppert, ce spectacle sera finalement prolongé jusqu'à la fin du mois de septembre. C'est un vrai moment de bonheur où on retrouve un Céline désabusé qui porte un jugement cynique sur la société médiatique et le petit monde littéraire de l'après guerre.

Le drame, c'est que tout cela est toujours d'actualité...

Roland Hélie

Théâtre du Nord Ouest : 13, rue du Fg Montmartre 75009 Paris Tel : 01 47 70 32 75. Dates : cliquez ici

11:06 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Suppression de lits d’hôpitaux : gabegie ou nécessité ?

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Dr Bernard Plouvier

Du fait de coûts de fonctionnement trop élevés, tous les hôpitaux publics ont accumulé une énorme dette, les directeurs singeant nos glorieux politiciens. Au lieu de détecter et de corriger les nombreux comportements pervers (ce qui signifie : erronés) des directions, on prend la mesure la plus stupide qui soit dans un pays où la population vieillit, s’alcoolise et s’enfume de plus en plus, où l’on accueille des immigrants au profil sanitaire rarement satisfaisant (les maladies vénériennes ont explosé ces dernières années, notamment le Sida et la vérole) : on annonce la suppression de 16 000 lits hospitaliers, soit, selon les régions, de 5 à 12% du potentiel public.

Il est évident qu’il y a des économies budgétaires à réaliser dans les hôpitaux français, dont les salaires forment 80 à 85% des dépenses. Les coupes sombres doivent être toutefois intelligemment réalisées, ce qui ne peut plaire aux démagogues. Un peu plus de 41 années de pratique médicale en hôpital public (sans secteur privé, ce quasi-apanage des « médecins de gauche » !) ont appris à l’auteur de ces lignes un certain nombre de vérités déplaisantes.

Depuis les années 1980 et avec une croissance plus grande de lustre en décennie, les médecins hospitaliers ont vu s’amplifier les effectifs des agents administratifs, tout dévoués… à leur train-train ou à leur profil de carrière. Cette prolifération s’est accompagnée d’une débauche de circulaires et de règlements, dans lesquels des juristes ou des individus dépourvus de diplôme utile en milieu hospitalier et surtout de bon sens ont eu la prétention de dicter leur conduite aux médecins. Le dégraissage du mammouth administratif réduirait en partie la charge salariale et surtout économiserait beaucoup de temps perdu par le corps médical à répondre à d’inutiles enquêtes, destinées non seulement à justifier l’existence d’individus au comportement de parasites, mais encore à en accroître le nombre.

De la même façon, l’on a vu se multiplier les postes techniques, alors que les services de buanderie, de restauration, de nettoyage, de réparation pourraient être sous-traités à des entreprises privées, de bien meilleur rendement, dotées d’un coût de travail bien inférieur. Évidemment, cela ne ferait nullement les affaires des syndicats, qui recrutent essentiellement leurs effectifs dans le personnel extra-médical… et seul un inconscient des risques judiciaires oserait prétendre que les syndicats les plus démagogiques (traditionnellement liés aux dinosaures communistes et trotskistes) attirent préférentiellement les agents les plus médiocres et les moins travailleurs.

Le recrutement des médecins n’est pas non plus exempt de critiques. C’est avec effarement que l’on a constaté, depuis le milieu des années 1980, une embauche ou une cooptation, progressivement croissantes, de médecins issus de pays à faible niveau technique, le premier immigré ayant mis un pied dans un centre hospitalier servant de point de cristallisation à d’autres candidatures de même origine. Il faut noter, toutefois, que du côté des médecins autochtones, on recrute parfois des praticiens de très médiocre qualification, mais dotés d’appuis familial, politique ou maçonnique : le népotisme, le snobisme exotique et les ascenseurs sociaux traditionnels exercent toujours leurs charmes (variante : leurs ravages) dans le recrutement médical.

Vue l’extraordinaire multiplication des chefs de service d’origine non-européenne en hôpitaux de seconde catégorie (soit : hors CHU), on peut imaginer que, bientôt, d’ex-internes de CHU voire d’ex-chefs de clinique rempliront le rôle d’assistants de médecins exotiques sous-qualifiés… c’est en quelque sorte le monde à l’envers, mais l’on sait qu’en France, depuis les années 1980, l’on « marche sur la tête ».

La situation actuelle exige des remèdes, c’est évident. Parmi les solutions de bon sens, on ne voit aucune place pour la suppression de lits, dans une population qui croît et vieillit. En revanche, sont à réaliser de très substantielles économies de fonctionnement et un retour à la prise de décisions par les médecins. Après tout, un hôpital n’est pas fait pour caser des agents administratifs, des électeurs ou des amis d’élus locaux, mais pour soigner… et, pour ce faire, l’on n’a encore rien inventé de mieux qu’un médecin compétent et dévoué à la notion de service public. On rappelle cette évidence : les infirmières ne sont que des auxiliaires des médecins et n’ont en aucun cas de rôle à jouer dans les démarches diagnostique et thérapeutique… le temps perdu en conflits ridicules a également un coût.

En totale contradiction avec la logique féodale des maires, présidents-nés des conseils d’administration, il faut dégraisser les effectifs administratifs et techniques (ces derniers pouvant être remplacés avantageusement, en qualité et en quantité de travail, donc en coût, par une sous-traitance privée). Il faut envisager un recrutement démocratique des médecins : soit l’application du principe fondamental de la méritocratie, en opposition au favoritisme. Les concours sur titres et sur épreuves doivent être réintroduits et remplacer le principe trop souvent vicié de la cooptation.

Il faut en revenir à la notion de service public qui est, non pas une planque pour sous-doués ou clients d’une hiérarchie politicienne, mais un apostolat. Enfin, la médecine hospitalière doit en revenir à la stricte hiérarchie du savoir, dégagée de la démagogie des crétins, suffisants autant qu’ignares, des associations diverses et de l’ingérence trop souvent inepte des administrations centrale et régionales, où l’on sait fort bien plastronner, se créer un empire féodal et fustiger les dépenses d’autrui, mais où l’on se penche rarement sur les graves erreurs dites stratégiques, en réalité politico-administratives… le tout, sans penser à la finalité du système qui est d’apporter aux Français les soins les meilleurs et au coût le plus raisonnable.

On rappelle que les soins procurés aux étrangers doivent être payants. La Sécurité Sociale est un immense acquis des travailleurs ayant cotisé. Toute autre conception de cette avancée sociale relève de la plus basse démagogie. La démocratie a aussi pour fondement le principe : À chacun son dû.  

Si l’on devait un jour arbitrer, dans une logique d’organisation de dépenses, entre la conservation d’un service public de santé performant et le renvoi dans leur continent d’origine de millions d’immigrés désœuvrés, ne vivant que d’allocations et de subventions diverses, occasionnant un énorme surcoût en destructions, dégradations, actes de vandalisme, vols, viols et tueries, le choix serait vite fait !

L’État se doit de gérer le Bien commun, c’est-à-dire le domaine créé puis entretenu grâce à l’argent soutiré aux contribuables. C’est à ces derniers que doit revenir, en dernière analyse, le droit de choisir.

09:30 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Retour sur l'affaire Méric : Valls désavoué par la Justice

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31/03/2016 – PARIS (NOVOpress) : Après la mort du militant antifasciste Clément Méric, le 5 juin 2013 à Paris, Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avait dénoncé un « assassinat », c’est-à-dire un meurtre avec préméditation. L’enquête judiciaire, qui s’est récemment achevée, pulvérise la thèse de l’actuel premier ministre.

Selon l’AFP, qui a pris connaissance des conclusions de la justice – et des zones d’ombre qui demeurent –, « les juges d’instruction se sont orientés vers la thèse d’une bagarre qui tourne au drame » et ont « écarté une intention de tuer ». Le scénario du drame a pu être en partie reconstitué et « selon plusieurs témoins, les invectives [sont parties] des militants d’extrême gauche » !

De même, l’utilisation des poings américains n’est pas avérée. Toujours selon l’AFP, « les expertises médicales n’ont pas aidé à y voir plus clair. Selon l’une d’elles, les blessures constatées chez les antifascistes, dont Clément Méric, “ne sont pas évocatrices et en faveur de coups portés avec un “poing américain“. »

A ce stade, quatre personnes demeurent cependant mises en examen, dont deux encourent la cour d’assises, mais « la fin de l’enquête judiciaire ouvre un délai théorique de trois mois durant lequel les parties peuvent faire des observations ou demander de nouveaux actes d’enquête. Ensuite, il appartiendra au parquet de Paris de prendre ses réquisitions, avant la décision des juges d’instruction de renvoyer ou non les protagonistes en procès ».

L’Agence France Presse ajoute aussi cet élément qui éclaire un peu plus les violences d’extrême gauche : « Signe des tensions récurrentes entre ces militants, l’un des skinheads mis en examen avait été violemment agressé le 12 avril 2015 dans le XIIIe arrondissement de Paris. Un jeune homme et une jeune femme, proches de la mouvance antifasciste, ont été mis en examen pour cette agression, à coups de planche, visiblement préparée. » La préméditation n’était décidément pas là où Manuel Valls prétendait l’avoir vue…

NDLR : A propos de cette affaire lire cliquez ici

01:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 2 avril (12 h) : Jean-Claude Rolinat invité sur Radio Courtoisie à l'émission de Pascal Lassalle sur la révolution irlandaise

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Radio Courtoisie cliquez ici

Sur la révolution irlandaise :

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