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mercredi, 06 avril 2016

Panama Papers : « Pourquoi Assad et Platini, et pas Erdogan et Zidane ? » s’interroge Éric Zemmour

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Scandale du Panama – Bis repetita

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Dr Bernard Plouvier

Décidément, les Français s’amusent beaucoup avec les détails croustillants des investissements panaméens… encore faut-il avoir un peu de mémoire ou de culture pour s’en souvenir.

Le scandale de la liquidation judiciaire de la Compagnie du percement du Canal de Panama s’est étalé de 1891 à 1893. Il a démontré à quel point étaient pourris les milieux (dans tous les sens du terme) de la politique, du journalisme, de la banque, et même des hauts-fonctionnaires de la Justice et de la Sûreté de la IIIe République… les chéquards du Panama et leurs corrupteurs se referont une virginité grâce à l’affaire Dreyfus, d’autant que l’intérêt communautaire d’un grand nombre d’accusés le commandait.

En avril 2016, une officine chargée de révéler des scandales, au besoin un peu épicés de malice et de sous-entendus calomniateurs, lance l’affaire Panama Papers, soit une partie (soigneusement expurgée) des archives d’une société internationale de placements. Cette vertueuse officine se nomme pompeusement Center for Public Integrity… et là, on rigole franchement.

Parce que derrière cette dénomination éthiquement irréprochable, on trouve les Fondations globalo-mondialistes Carnegie, Ford et Rockefeller, ainsi que la plus honnête des officines bancaires cosmopolite la célébrissime et irréprochable société Goldman-Sachs (demandez aux Grecs ce qu’ils en pensent) et mieux encore : le sieur Soros, un archange de vertu kascher (casher serait plus juste).

Cet être irréprochable est le spéculateur juif le plus connu de la planète, qui a trafiqué (au sens commercial du terme, bien entendu) sur les monnaies et les matières premières. Né György Schwartz, il a préféré adopter le nom moins ashkénaze de George Soros (même après 1945, de nombreux Juifs sont restés des Fregoli du changement de patronyme). C’est un grand philanthrope, interdit de séjour en Russie. Ce très honnête homme a été condamné par la Justice française pour une canaillerie boursière ; il est donc partisan de l’immigration musulmane massive en notre pays et il la finance !

Évidemment, avec de telles cautions, l’on comprend que le CPI ait quelque peu (oh, trois fois rien !) trié ses révélations. Elles touchent le gouvernement islandais… qui a libéré en un temps record la Nation islandaise de la faillite et d’une Dette prodigieuse, ce qui n’a pas fait la joie des requins de la finance cosmopolite, qui voulaient mettre l’ile en coupe réglée.

De même, le vertueux CPI épingle Vladimir Poutine et ses soutiens, quelques dignitaires chinois et, qui en eût douté ? Bachar el–Hassad… bref, rien que des amis de la globalo-mondialisation ! Faut-il croire que le très bénin David Cameron ait pêché contre la pure doctrine pour être éclaboussé, via la mémoire de son père, ou qu’on l’incite à s’engager bien davantage dans la campagne électorale pour éviter la sortie de la Grande-Bretagne du business financier européen ?

En France, c’est – bien sûr – le Front national que l’on tente de salir par la bande (voire même hors des limites du billard politique)… alors que les plus belles canailleries de ces 15 dernières années sont venues du Parti socialiste et des ex-gaullistes (dont l’appellation change tellement souvent qu’on ne sait plus trop laquelle employer).

Pour être crédible, il faut être soi-même honnête : impartial dans l’information et propre dans les fonds de fonctionnement. Au moins a-t-on appris, grâce à ce scandale d’information partielle qui tourne à la désinformation, quels relents dégageait l’officine au très joli nom de Center of Public Integrity.

10:19 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

C'EST CE SOIR : conférence ce mercredi 6 avril, à 19 h 30 à Paris avec Bruno Mégret

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08:32 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Entretien avec Philippe Randa, directeur d’EuroLibertés, le site de la réinformation européenne

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Paru sur Breizh-info cliquez ici

Philippe Milliau, directeur de TV Libertés avait annoncé à l’occasion du deuxième anniversaire de la chaîne, la naissance prochaine d’Eurolibertés : c’est chose faite désormais, en attendant Radio Libertés, qui commencera à émettre sous peu.

Il s’agit du premier site de « réinformation européenne » , qui est dirigé par Philippe Randa,  ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale. Chroniqueur politique régulier (Présent, Synthèse nationale, Metamag, VoxNr, etc.) et éditeur (il a fondé les éditions Dualpha, Déterna et L’Æncre), il est également l’auteur de plus d’une centaine de livres.

L’équipe d’Eurolibertés est toutefois large, puisque l’on retrouve déjà de nombreuses plumes comme celle de Nicolas Bonnal, Lionel Baland, Thierry Bouzard, Gérard Dussouy Pieter Kerstens et beaucoup d’autres …

Nous avons interrogé Philippe Randa, pour découvrir ce nouveau média qui devrait secouer la réinfosphère !

Qu’est-ce qu’EuroLibertés ?

C’est un nouveau média quotidien de presse écrite. Il est bien évidemment proche – et même « contre, tout contre », selon la fameuse expression de Sacha Guitry – de ce qui est devenu en deux ans seulement le « Groupe Libertés », présidé par Philippe Milliau, avec une télévision, de nombreux sites régionaux et bientôt une Radio. Au-delà de ses lecteurs, EuroLibertés travaille bien évidemment avec tous les autres médias du Groupe en leur communiquant ses informations et en répercutant de mêmes les leurs lorsqu’elles sont en rapport avec l’Europe. Mais EuroLibertés est autonome avec des collaborateurs et des correspondants qui lui sont attachés, même si beaucoup participeront sans doute ou participent déjà à d’autres activités du « Groupe Libertés »… Olivier Pichon et Patrick Parment animent leurs propres émissions sur TVLibertés ; Nicolas Gauthier et moi-même participons à l’émission « Bistrot Liberté » de Martial Bild depuis sa naissance. On dit souvent d’internet que c’est une « toile » ; le « Groupe Libertés », c’est cela aussi. Ainsi, nous ambitionnons de toucher un public extrêmement vaste, quasiment illimité, puisque nos offres de réinformation sont multiples.

Quel est le but du site ?

Il se veut le premier site de la réinformation européenne. Il est né d’un constat : quelle que soit l’opinion que l’on porte sur l’Europe, que l’on soit partisan enthousiaste de sa construction ou eurosceptique, voire europhobe, l’information sur les problématiques de notre continent, que beaucoup s’imaginent importante, est en réalité assez mince… et la plupart du temps, biaisée. Soit par les Mondialistes qui veulent persuader les peuples européens que la construction mijotée à Bruxelles leur assurera prospérité et sécurité, alors que leurs buts, après avoir fait disparaître toutes les identités régionales et nationales, est de diluer l’Union européenne dans leur grand dessein d'un Monde unipolaire…. sous contrôle des U.S.A. Soit par les Souverainistes qui appréhendent l’Union européenne sous ses seules faiblesses – et elles sont aussi nombreuses que dangereuses, souvent ubuesques et insupportables – et n’envisagent qu’un retour aux frontières anciennes des Nations comme seule issue… Enfin, il y a ceux qui pensent que la construction européenne est incontournable, mais qu’elle est, à l’évidence, mal menée et pensent qu’on ne renie pas une patrie au prétexte que celle-ci est actuellement dirigée par des incapables, des corrompus ou des agents étrangers… Les uns pouvant être les trois à la fois, d’ailleurs ! Ceux enfin qui rêvent d'un Etat voire d'un Empire européen dans un monde multipolaire.

Que va t-il apporter dans l'information européenne ?

Outre certaines informations interdites de diffusion dans les médias institutionnels et que nos nombreux correspondants à travers le continent nous apporteront, nous appréhenderons toute information sous un angle différent des observateurs institutionnels qui ont perdu la confiance d’une grande majorité de citoyens. Ce n’est pas une accusation gratuite : ces mêmes médias institutionnels, aujourd’hui, se plaignent du manque d’intérêt qu’on leur porte… tout en ne songeant pas un instant, d’ailleurs, à remettre en question leur langue de bois… Des exemples ? Il y en a tellement que je me contenterais d’indiquer la montée incessante, partout en Europe, des partis dits « populistes » (faute d’autre terminologie plus adéquate)… ou même d’ailleurs aux États-Unis où les succès électoraux dans les primaires de Donald Trump chez les Républicains et de Bernie Sanders pour les Démocrates ont totalement démenti les pronostics des auto-proclamés « spécialistes »…

Qui sont vos correspondants ?

Ce sont des universitaires, des membres de la société civile et bien sûr des journalistes professionnels ; tous ont une grande habitude des médias pour apporter, dans leurs pays respectifs, des contributions régulières, sur internet ou dans la presse papier. Je ne vais pas les citer tous, d’autant que j’ai tenu à attendre que leurs propres médias soient en ligne pour contacter certains d’entre eux. Les premiers correspondants d’EuroLibertés sont indiqués sur notre site (« Pourquoi EuroLibertés ? Nos collaborateurs »)… J’invite vos lecteurs à s’y rendre pour les découvrir.

Pensez-vous vraiment que les Français s'intéressent à l'Europe aujourd'hui ?

La réponse est évidente, même si elle fait quelque peu cliché : de toutes façons, l’Europe, elle, s’intéresse à eux ; nous sommes donc tous concernés, qu’on le veuille ou non, par les problématiques de notre continent. Ne pas l’admettre, vouloir s’isoler dans une « tour d’ivoire » méprisante, c’est faire le jeu des Mondialistes qui, eux, ne demandent que cela : que les principaux intéressés ne s’occupent surtout pas de ce qui se passe autour d’eux ; ces Mondialistes – Monde de la Finance, lobbies communautaires ou militaires, militants associatifs, tous ceux qui rêvent d’un monde sans frontières, de peuples réduits à d’« idiots consommateurs utiles » – se chargeant de tout avec leur leitmotiv : « Il est minuit, braves citoyens du Monde, dormez en paix… Vous êtes le numéro… ». Nous nous adressons à tous ceux qui ne veulent pas se réveiller un jour et vivre cette scène :

« Où suis-je ? »

« Au village mondial ! »

« Qu’est-ce que voulez ? »

« Que vous consommiez ! Que vous consommiez, que vous consommiez, que vous consommiez… »

« Qui êtes-vous ? »

« Nous sommes tous des numéros… vous aussi ! »

Ce que nous voulons ? Que ceux qui ne veulent pas être des numéros, mais des hommes libres, ne s’endorment pas… EuroLibertés entend non seulement sonner le tocsin autant qu’il le faudra, mais également fournir les antidotes à toute pensée unique, forcément mortifère. Vaste programme, s’il en est !

EuroLibertés cliquez ici

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3228 du 24 mars 2016

C’EST un rapport de 37 pages mis en ligne le 14 mars par le jury de l’Ecole nationale d’administration (ENA). Il critique avec virulence la majorité des 950 candidats au concours d’entrée, dénonçant leur frilosité et leur conformisme. Francetv info l’a passé en revue. Florilège : Ils n’ont pas de sens critique sur l’Europe. « Les candidats donnent le sentiment de présenter l’Union européenne comme un ordre établi qui ne pourrait être différent, poursuit le rapport. La plupart d’entre eux témoignent d’une absence de sens critique et d’une incapacité ou d’une absence de volonté à imaginer d’autres modes de fonctionnement ». Le jury regrette « une prudence excessive ou une incapacité à prendre de la hauteur » et « un goût pour les “écrans de fumée” masquant l’incapacité à répondre à une question ». « Trop de candidats n’avouent jamais leur ignorance. Ces comportements particulièrement dangereux dans la vie professionnelle ont été sanctionnés », dit le rapport. Quant à « l’épreuve collective d’interaction », c’est tout un poème. Le candidat moyen est « trop souvent soucieux de ne froisser personne, d’être politiquement correct, confondant consensus et résultat équilibré, mal à l’aise dès qu’il s’agit d’émettre un jugement, timide face à un quelconque engagement ». Les membres du jury en sont venus « à douter de ses aptitudes à manager, rencontrer des organisations professionnelles, gérer des problèmes délicats de ressources humaines, conseiller, prendre des risques mesurés et éventuellement décider… » Sur l’épreuve de question contemporaine, le jury relève que nombre de titres cités « n’ont pas été lus ». Enfin, placer au même niveau des citations de grands philosophes tels Locke ou Hume et celles d’Éric Zemmour ne leur semble pas d’une folle pertinence…

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JEAN LASSALLE CANDIDAT À LA PRÉSIDENTIELLE

Jean Lassalle a annoncé qu’il serait candidat à l’élection présidentielle, en refusant de passer par la case des primaires. Le personnage est éminemment sympathique et courageux. Le député basco-béarnais, âgé de 60 ans, s’est mis en congé du MoDem de François Bayrou, qui a tenté, sans succès de le dissuader de tenter l’aventure. On se souvient des actions choc que Lassalle avait menées, dont une grève de la faim en 2006, à l’Assemblée nationale, destinée à empêcher (avec succès) la délocalisation d’une usine de sa commune, qui employait 150 salariés. Il arrêta la grève alors qu’il était hospitalisé d’urgence. Et puis, il y a l’hymne occitan qu’il avait entonné en 2003 dans les travées de l’Assemblée « Si canti io que canti, canti pas per jo… » Il protestait contre la fermeture d’une gendarmerie sur la route qui mène au tunnel de Somport, dans sa circonscription. L’affaire avait fait sensation et suscita la colère de Jean-Louis Debré qui menaça de le faire expulser. En 2013, il avait effectué une marche à travers l’hexagone (5 000 km en huit mois), recueillant les avis et plaintes des Français, qu’il publiera dans des « cahiers de l’espoir ». « 17 500 contacts enregistrés » et de multiples témoignages entendus. « Je ne pensais pas que la détestation des politiques atteindrait un tel degré », écrit-il par exemple. Il sera aussi l’un des rares parlementaires centristes à s’opposer à la loi Taubira et ajoutera : « Les notions de gestation pour autrui et de procréation médicalement assistée m’ont fait basculer vers le non ». Esprit libre et indépendant, il explique ainsi son refus de participer aux primaires : « Le peuple se sent déjà largement dépossédé de ses capacités de choix. Les primaires renforcent ce sentiment qu’il n’a plus d’autre option que de voter pour des candidats choisis en amont par les trois ou quatre partis dominants. »

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LA RÉPRESSION CONTRE LES MILITANTS IDENTITAIRES

Il y a dix jours, 80 militants de Génération identitaire bloquaient trois ponts à Calais. Leur objectif était d’interdire l’accès aux immigrés clandestins. Pour ce faire, ils se sont allongés durant deux heures avant d’être délogés par la police de Bernard Cazeneuve. La répression fut féroce. Ils ont été durement matraqués et gazés comme le prouvent les vidéos publiée sur le site Novopress. Un policier a même avoué devant le tribunal avoir mis deux coups au visage d’un militant pendant son transport vers le commissariat. Sans doute pour le plaisir… Ils viennent d’être jugés. Trois militants écopent de trois mois de prison ferme et d’amendes pour « faits de rébellion ». Une honte ! Quand on constate la clémence dont la justice socialiste fait preuve à l’égard des casseurs gauchistes et des immigrés clandestins… Bruno Gollnisch a exprimé son soutien aux jeunes Identitaires et s’est élevé dernièrement contre l’interdiction par le pouvoir, désormais quasi systématique, des manifestations patriotiques, notamment à Calais. Il constate aussi que « ce ne sont pas les militants de Génération Identitaire qui constituent une menace pour la sécurité des CRS et de nos compatriotes, mais bien certains immigrés particulièrement agressifs et vindicatifs, encadrés par les habituels idiots utiles d’extrême gauche. »

FN ET SIEL : FINIE LA DOUBLE APPARTENANCE

Le Siel est ce petit parti, associé au Rassemblement Bleu Marine et dirigé par Karim Ouchikh. Ce dernier, qui avait assisté au séminaire de début février à Etiolles, comme je l’ai raconté dans un récent RIVAROL, s’était autorisé à commettre quelques critiques sur la ligne politique (il prône le rassemblement de la droite et l’abandon de la stratégie du « ni gauche, ni droite »), ce qui fut fort mal apprécié. Les sanctions n’ont pas manqué de tomber, drues. « Lors de sa séance du 29 février, le bureau politique du Front national a décidé que la double appartenance entre le FN et le Siel, était désormais proscrite. » Que vont faire les quelques dizaines d’adhérents du Siel, concernés, et notamment l’avocat Frédéric Pichon ? Les personnes concernées disposent d’un délai d’un mois pour renoncer à l’une des deux appartenances. Ça ne rigole pas, au FN mariniste… En attendant les adhérents de la microscopique formation Patrie et Citoyenneté, rassemblant des « patriotes de gauche », membre du RBM, ne sont pas concernés par l’ukase. Au contraire. Son président, Bertrand Dutheil de la Rochère, a été chaleureusement accueilli par Laurent Brice, responsable de la fédération et premier adjoint au maire Steeve Briois à Hénin-Beaumont pour une conférence sur le thème islam et laïcité. Il s’est réjoui dans un tweet de « l’excellente et passionnante discussion avec les militants frontistes du Pas-de-Calais ». Florian Philippot a adoré et l’a rediffusé partout. Question que pose Minute : « Deux poids, deux mesures ? »

PARIONS QUE CELA FINIRA MAL ENTRE MARINE ET MARION LE PEN

Marine Le Pen est sur une étrange ligne de « la France apaisée ». Même si elle congédie à tour de bras tous ceux qui, au sein de son parti, lui déplaisent, elle fait montre de beaucoup d’humanité à l’égard de ceux qui, dans la société civile, comme on dit, sont quelque peu différents. Elle n’est certes pas pour le “mariage” homosexuel, mais pour un PACS “amélioré”, ce qui dans les faits revient au même, le pacs étant déjà égal au mariage civil sur le plan fiscal, successoral et patrimonial. A une époque, le FN était pour l’abrogation du PACS, mais il s’agissait d’une autre époque… Marion Le Pen, quant à elle, n’hésite pas à faire front, déclarant en Italie, où elle a rencontré les élus de la Ligue du Nord, que le “mariage” homosexuel risque « d’ouvrir la voie […] à de très nombreuses dérives. D’autres minorités chercheront à faire reconnaître leur forme d’amour, je pense notamment à la polygamie ». Notons qu’elle n’a cependant pas cité la pédophilie, ni la zoophilie, ce qui aurait fait hurler d’horreur tous les mignons du FN mariniste. Mais sa tante a deviné les obscures arrière-pensées de sa nièce, tranchant : « Ce débat, je crois honnêtement qu’on y a passé trop de temps ». En d’autres termes : « shut up ! » (ferme-la !) Marine Le Pen reconnaît un désaccord avec sa nièce, bien qu’il ne soit « pas un problème » à ses yeux. « Je crois qu’on est très loin de la reconnaissance de la polygamie dans notre pays », déclare-t-elle. L’inénarrable Wallerand de Saint-Just est venu avec la brosse à reluire en boutonnière à la rescousse de Marine Le Pen, expliquant du haut de son génie pourquoi il ne parle plus d’avortement : « Marine Le Pen nous dit que, dans une structure politique, la seule chose à faire, c’est de prendre en considération les problèmes des contemporains. » Ben, voyons ! L’avortement n’est pas un problème pour nos contemporains, si l’on en croit le FN mariniste ! Consternant… Parions que cela finira mal entre Marine et Marion Le Pen.

LA POLICE DE LA PENSÉE À L’ÉCOLE

Du 21 au 28 mars se tient, dans nos écoles, sous l’égide de l’Éducation nationale et de son ministre, « une semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme » La Licra en couine de joie. Résumé de ce que ces commissaires politiques vont marteler à nos enfants : « Faire reconnaître la diversité humaine et culturelle ; favoriser le respect des différences et combattre le repli sur soi ; cultiver la tolérance et l’enrichissement mutuel ; promouvoir une société solidaire et du vivre ensemble ; éveiller aux dérives du relativisme, de la rumeur, de l’obscurantisme, des théories du complot ; encourager l’esprit critique et la résistance face à l’injustice ; agir dans la durée pour faire évoluer les mentalités et instaurer une société plus fraternelle. » L’antiracisme unilatéral est vraiment une religion d’Etat.

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler .

RAPPEL :

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07:43 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 23 avril, à Bourges :

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