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jeudi, 28 avril 2016

Les Brigandes répondent à leurs accusateurs gauchistes et autres

Au mois d'octobre dernier Synthèse nationale avait invité Les Brigandes à se produire sur scène lors de la 9e Journée nationaliste et identitaire qui se déroulait à Rungis. Depuis deux ans nous avons en effet décidé de terminer nos journées annuelles par un concert. En 2014, ce fut le cas de Dr Merlin et Northmen Impact et en 2015 des Brigandes. On peut aimer ou ne pas aimer ces chanteurs, mais personne n'est obligé d'assister à leurs prestations. Ce qui nous intéresse, c'est leur engagement dans le combat contre le mondialisme qui est le même que le nôtre.

Depuis quelques semaines une campagne de dénigrement inspirée par quelques personnes aux motivations bien éloignées des nôtres a été amplifiée par le site gauchiste intitulé La Horde, et reprise par l'hebdomadaire mondialiste Le Point, contre Les Brigandes. Synthèse nationale étant considérée par La Horde cliquez ici comme un tremplin qui aurait permis à celles-ci de se faire connaitre (CQFD). Une telle affirmation aurait plutôt tendance à nous flatter mais il se trouve que ces jeunes artistes ne nous ont pas attendus pour percer, en particulier sur les réseaux sociaux de la mouvance non-conformiste. Ce qui est regrettable, c'est que les accusations des gauchistes soient reprises par certains média nationalistes d'habitude mieux avisés.

Quoiqu'il en soit, tout le monde peu se laisser abuser, y compris les journalistes de la presse libre. Afin de mettre fin à cette polémique stérile, nous publions ici le communiqué des Brigandes qui éclairera sans doute nos amis sur le fond de cette affaire.

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

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Communiqué du secrétariat des Brigandes :

Le qualificatif de secte ayant été apposé à l’image des Brigandes, les faits rapportés par les accusateurs constituent une cabale orchestrée par des gauchistes satanistes en vue de détruire la réputation de notre groupe dans les milieux de la Droite Nationale. Une femme nommée Annick Lovinfosse qui a déjà tenté de nuire en nous accusant d’être un « groupe néo-nazi » et qui s’est rétractée devant la police, a récidivé en montant un scénario de « gourou et de secte » par dépit amoureux comme elle l’a avoué dans une lettre de rétractation : « L’état pathologique où je me trouvais alors (dépression et violent ressentiment affectif lié au rejet amoureux d’un musicien du groupe) m’ont amené à un véritable désir de vengeance envers tous les auteurs ou spectateurs de mon drame personnel, j’ai alors mêlé la C.A.F. à mon délire de persécution et dénoncer des choses dont je ne sais en réalité rien, ou déformées ces choses par mon désir de nuire à ces personnes… » (copie de l’original disponible au secrétariat des Brigandes).

Cette personne est mobilisée par une haine farouche des idées nationalistes. Ayant été formée idéologiquement au sein des Jeunesses communistes révolutionnaires, elle appartient à présent à une organisation mondialiste centrée à Tal Aviv, dirigée par Delia Steinberg au plan international, et les sionistes Fernand Schwarz et Thierry Adda au plan national. (La Nouvelle Acropole, citée comme secte occultiste dans le rapport parlementaire sur les sectes de 1995).

Cette musicienne retraitée, jalouse d’avoir été évincée de notre réseau par des jeunes femmes, et inapte à chanter dans notre formation, cherche depuis des années à nous décrédibiliser. Pour ce faire, elle a réuni quelques accointances ayant participé à un collectif d’artistes bien avant que les Brigandes soient réunies et qu’elles ne connaissent même pas. Ces gauchiste furent repoussés par opposition idéologique. L’un d’eux est le chanteur Jean-Luc de Meyer du groupe électronique Front 242 considéré comme une référence musicale de la sphère sataniste par Marilyn Manson.

Quant au personnage cité comme « le gourou des Brigandes », il s’agit d’un ami retraité, fin connaisseur de la chanson et de la musique populaire et qui nous a aidé à nous structurer musicalement et financièrement. Ses idées originales façon new age ne regardent que lui et ne sont pas les nôtres. Mais, issu d’une famille proche de l’Action Française, sa sincérité patriotique est totale, autant que sa virulence antimondialiste, d’où la haine qu’il suscite chez les gauchistes qui l’ont approché et qui se sont constitués en bande organisée pour le diffamer pour mieux nous atteindre, comme au billard français.

Les détails sur cette affaire sont disponibles auprès d’Antoine, secrétaire des Brigandes qui fournira pièces et preuves contradictoires permettant d’anéantir les accusations des « témoins » à charge en précisant la source politique de l’attaque. A vu de leur position unique dans la chanson contestataire antimondialiste, les Brigandes sont soumises à une très forte pression. Elles voudraient que l’on juge l’arbre à ses fruits car les attaques de tous bords ne manqueront pas.

La lettre de rétractation de l'accusatrice : cliquez ici 

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Jean Raspail : « Il n’y aura pas de solution sans force ! »

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

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Les charmes vénéneux de la double appartenance

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Dr Bernard Plouvier

Tout le monde a entendu parler de cette triste maladie dénommée schizophrénie où, parmi bien d’autres symptômes, le patient développe un dédoublement de la personnalité. Depuis la plus haute Antiquité, bien des gens ont été tentés par ce que l’on appelle, faute de mieux, une double vie.

Cette dualité d’allégeances ou d’appartenances est très différente de la succession, somme toute naturelle, d’avis et de comportements différents, voire opposés, au cours d’une même existence. Chacun a pu voir que, depuis les années 1990, une majorité d’ex-communistes réputés purs et durs se sont admirablement adaptés aux joies de l’hyperconsommation, dans notre monde d’économie globale (donc de production délocalisée pour obtenir de moindres coûts de fabrication) et d’uniformisation de la propagande (sur un mode à la fois gnangnan et consumériste).

Seules quelques Nations réfractaires à la pensée unique au sein du grand village mondial admettent encore la phrase qui, selon Platon, définissait la vie politique : « Chacun doit avoir mêmes amis et mêmes ennemis que ceux de l’État » (in Les Lois).

Cinq siècles plus tard, Jésus de Nazareth était déjà plus ambigu. Certes, il affirmait : « Nul ne peut servir deux maîtres à la fois : Dieu et Mammon ». Mais en une autre occasion, il reconnaissait la dualité de tout homme, à la fois fidèle d’une religion et citoyen d’un État : « Rendez à César ce qui revient à César et à Dieu ce qui revient à Dieu »… en l’occurrence, il ne s’agissait que de s’acquitter de l’impôt, ce qui fut toujours ressenti comme une douloureuse corvée, alors que l’impôt était, au moins en principe, une source d’infrastructures indispensables à la vie organisée.

Depuis le XVIIIe siècle, se sont répandues en Europe des idées cosmopolites, résumées en une alternative proposée par Diderot : « Vaut-il mieux éclairer l’humanité qui durera toujours ou sauver et organiser une patrie qui doit finir ? ». C’était l’archétype du faux problème, puisque l’humanité n’était alors formée que de la juxtaposition de patries… du moins jusqu’à ce que la propagande mondialiste impose ce dogme : il n’existe ni races, ni patries ou nations, mais une seule humanité.

Pourtant, dans ce monde globalo-mondialisé (de façon artificielle et, a priori, fort transitoire) prospère la très curieuse notion de double nationalité… si le titulaire est en plus un croyant fanatique ou un membre d’une secte multinationale (appartenant, entre autres exemples possibles, à la Franc-maçonnerie ou à un réseau mondialiste), cela fait une triple allégeance et l’on peut multiplier ainsi les appartenances.

Lorsque l’on a accumulé l’expérience de plusieurs décennies de vie sociale et professionnelle, l’on sait que les joies d’une double vie (familiale, professionnelle, politique, syndicale etc.) sont très largement inférieures aux charges, ennuis divers et petits drames qu’elle entraîne.

Et cela n’est rien en comparaison de la dichotomie éthique… pour faire plus simple : des conséquences morales induites par deux attachements intensément vécus, d’ordre affectif, intellectuel et/ou spirituel.      

Un joli dicton viennois (prouvant que l’Autrichien n’est finalement pas si éloigné du Prussien, quoi qu’il affirme) prétend que : « La fidélité, c’est de ne pas avoir de second maître ». Chacun est libre de le méditer et de l’interpréter à sa guise.

Vivre, c’est faire preuve de libre-arbitre : vivre, c’est donc choisir. L’être humain étant seul, sur cette planète, doté de transcendance, se doit de choisir sans être obligé de se sentir diminué, humilié, meurtri par ses choix.

Il est évident que dans les années à venir tous les Européens doués de sens éthique devront faire un choix essentiel entre le consumérisme excessif (et à crédit), couplé à des sentiments et des actes tiers-mondistes, et le retour à l’indépendance européenne, politique, économique, ethnique… bref, le retour à ce que l’on connaissait avant la féérie globalo-mondialiste.         

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Sacrées Brigandes !

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Thierry Bouzard*

Apparues en 2014, le groupe de chanteuses s’est assez rapidement fait un nom dans la dissidence. Présentées par moi dans Rivarol et Synthèse nationale, je les avais fait venir pour leur premier concert en octobre dernier à Rungis lors de la journée annuelle de Synthèse nationale. Elles étaient annoncées le 8 mai prochain avant le défilé de Civitas, mais elles ont été décommandées suite à l’article (controversé) que leur consacre Rivarol de cette semaine. Elles appartiendraient, si l'on en croit cet article, à une secte démoniaque cornaquée par un gourou franc-maçon… Loin de moi l’idée de promouvoir les frères trois points, leurs pompes et leurs œuvres, mais il ne faut pas confondre les chansons et les chanteuses. D'une manière générale, l’homosexualité de l’un, les drogues de l’autre, l’affiliation à une secte ou une autre, les artistes — comme les hommes politiques — ne sont pas toujours des modèles même si on tente de nous les présenter comme tels. Leur vie privée les regarde, mais leurs chansons nous concernent.

Les Brigandes ont su attirer l’attention des milieux anticonformistes par des chansons engagées mises en scène dans des vidéos qui sont incontestablement du travail de pro. En retour, une certaine audience avec des scores de 50 000 vues en moyenne sur Youtube et des pointes à 170 000, ce qui est honorable sans être extraordinaire. Elles font quasiment jeu égal avec le chœur Montjoie. In Memoriam les dépasse un peu et elles sont devant FTP, mais encore loin du rappeur Kro Blanc qui fait des pointes à près de 400 000 vues, et encore plus loin de Jean-Pax Mefret qui, lui, chatouille souvent les 500 000.

L’affaire a été lancée par La Horde en octobre 2015 et relayée par un article du Point en février dernier. Le premier est un site antifa spécialisé dans la délationite aiguë de tout ce qui peut se faire dans la dissidence, le second héberge dans ses colonnes BHL, c’est dire comme il défend la culture française.

Car il s’agit bien du lien culturel. La jeunesse a déserté depuis longtemps les meetings politiques. Suivant les directives de Jdanov, le ministre de la Culture de Staline, les communistes ont été des précurseurs dans la prise de contrôle des artistes, les "compagnons de route", le terme de l’époque pour ne pas dire "collabo". Le meilleur exemple est la Fête de l’Huma. La grande majorité des jeunes qui venait écouter les grandes vedettes nationales et internationales ne votait pas forcément communiste, mais elle supportait sans broncher les discours des politiques avant le concert. Et ces grands concerts ne servent à rien d’autre qu’à passer des menottes culturelles à la jeunesse. Le torrent d’émotions collectives partagé lors de ces événements crée de puissants liens affectifs qui verrouillent les esprits dans une ambiance idéologique insidieuse. Elle est entretenue par les artistes qui interviennent au signal de leurs commanditaires pour rappeler pour qui va leur sympathie ou pour qui il ne faut pas voter. Cette technique bien rodée permet l’encadrement de toute la production musicale. Les concerts, grands et petits, fonctionnent avec des autorisations et des subventions, c’est-à-dire le feu vert des politiques. Outil d’expression à la portée de chacun, le monde de la musique est entièrement sous contrôle, verrouillé, cadenassé. Il suffit de rappeler le torrent d’indignations médiatiques après le concert de Fréjus en juillet dernier pour la prestation du groupe identitaire In Memoriam en ouverture de La Souris Déglinguée, ou les groupes dissidents condamnés à organiser des concerts clandestins pour contourner les annulations.

De par son origine, la dénonciation des Brigandes s’inscrit dans ce climat de persécutions systématiques déjà rencontré par tous les chanteurs de la dissidence, que ce soit ceux des déportés de l’Algérie française, les groupes du courant skinhead et puis ceux du rock identitaire. On entretient la population dans l’illusion que chacun peut écouter la musique qui lui plait, mais en réalité on écoute la musique que l’on nous fait entendre. Longtemps les maisons de disques, les radios et la télévision ont imposé leurs modes commerciales et l’arrivée d’internet n’a pas fondamentalement changé la donne. Si les maisons d’édition et les circuits de distribution se sont effondrés, l’organisation de concerts reste soigneusement sous contrôle. Or le CD ne se vend plus et aucun support alternatif n’est venu apporter un flux financier en rétribution de l’investissement des artistes : pourquoi payer ce que l’on trouve gratuitement en ligne ? Seule source de revenu subsistante, les concerts. L’aspect financier est essentiel car l’équation est simple, sans concert par de revenus, donc pas de répétitions, de moyens de déplacement ni d’organisation. La création est asséchée et l’exploitation du lien collectif créé par la musique est réservée à ceux qui détruisent l’identité de la communauté nationale française comme de l’identité européenne.

Dans ce contexte, s’il n’est pas indifférent de savoir comment fonctionnent les Brigandes, en revanche il est essentiel de savoir tirer un profit culturel de cet outil de communication. Les chiens de garde du système ne s’y sont pas trompés en les jetant en pâture, elles sont un réel danger, non pas pour la dissidence qui en a vu d’autres, mais pour son monopole culturel.

* Thierry Bouzard est chroniqueur musical au quotidien Présent. Il est l'organisateur des concerts lors des Journées nationalistes et identitaires de Synthèse nationale et il est l'auteur de Des Chansons contre la pensée unique, édition des cimes, 332 pages, 2014.

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Chronique de la France asservie et combattante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3231 du 14 avril 2016

FRANÇOIS Hollande sait que les carottes sont cuites, mais il n’en continue pas moins de pratiquer son humour. Sans doute se retrouve-t-il dans cette pensée de Boris Vian : « L’humour, c’est la politesse du désespoir ». L’Obs raconte que lors d’un récent déjeuner avec des écrivains, François Hollande aurait répondu sur le ton de la blague aux inquiétudes de Julia Cagé quant à la possibilité de voir le scénario de 2002 se reproduire en 2017. « Ne vous inquiétez pas, je ne crois pas que Jospin et Chirac aient l’intention de se représenter », lui aurait-il lâché. Reconnaissons-lui un certain sens de l’humour. L’été dernier, pendant le dîner annuel de la presse présidentielle, le locataire de l’Elysée avait plaisanté sur l’incompréhension qui domine selon lui entre l’électorat en général et les politiques. « Les électeurs votent même quand ils ne comprennent pas. Et quand ils votent, on ne les comprend pas toujours », avait-il déclaré… Mais cela pourrait être du Maurras !

LE CHANTEUR RENAUD : LES GÈNES, EUX, NE MENTENT PAS !

Renaud est ce chanteur populaire, anarchiste, de gauche et même davantage. Enfin, il l’était. Car il sème la consternation dans le Landerneau, stupéfie Saint-Germain-des-Prés, horrifie les sympathisants de gauche… Renaud vote désormais à droite ! Il l’a dit clairement ces derniers jours dans plusieurs interviews : « Plus jamais je ne voterai socialiste ! » clame-t-il dans Sud-Ouest. « La politique, entre guillemets de gauche, de ce gouvernement me débecte profondément », lâche-t-il dans Le Parisien. Cet ancien soixante-huitard des barricades, admirateur de Mitterrand, qui a toujours dénoncé le pouvoir, l’argent, les gradés, l’injustice et l’ordre établi rejoint le camp de la Réaction… On aura tout vu. Mélenchon s’en étrangle d’indignation, déclarant : « Quand on est Renaud, on ne vote pas Fillon ! » Nul doute que Renaud ne fera pas de vieux os à Charlie Hebdo où il signe à nouveau une rubrique. Dans une interview au quotidien belge Le Soir, Renaud est interrogé sur François Hollande, Manuel Valls et Emmanuel Macron. Réponse humaniste du chanteur : « Ce sont de grands naïfs, de grands imbéciles ou de grands criminels. Je ne le sais pas encore mais de grands incapables en tout cas. »

Bon, ceci dit, rassurons-nous, il n’a pas viré cependant à l’extrême-droite. « Entre la droite et l’extrême-droite, je voterais à droite », déclare-t-il. Et celui qui avait fréquenté assidûment les « Amitiés franco-chinoises » et créé un « Comité Viet-Nam » dans son lycée, ajoute : « Sauf Sarkozy, là j’irais pêcher à la ligne ». Renaud, qui se présente comme un anarchiste prolétarien, porte cependant en lui quelques gènes nauséabonds. Explication : Il est né dans une famille parfaitement bourgeoise. Son père, Olivier, issu d’une famille protestante des Cévennes, était professeur d’allemand et de néerlandais, traducteur et auteur de romans policiers et de livres pour enfants. Il a reçu le prix des Deux Magots en 1942 pour Les corps ont soif et a travaillé pendant la Seconde Guerre mondiale à Radio Paris comme traducteur.. Autant dire qu’il avait été ciblé ‘collabo. Son grand-père maternel, Oscar, mineur après avoir quitté l’école à l’âge de 13 ans, fut d’abord membre du Parti communiste, puis le quitta en 1937, déçu après un voyage en Union soviétique en 1932. Il rejoignit ensuite le Parti populaire français de Jacques Doriot, et fit un an de prison à la Libération pour faits de collaboration. Renaud ne fera jamais son service militaire : il est exempté ayant eu un demi-frère décédé lors des bombardements anglo-américains de la Seconde Guerre mondiale…

MARION-MARÉCHAL LE PEN SERA PRÉSENTE AU RENDEZ-VOUS DE BÉZIERS

C’est Novopress et L’Express qui nous en informent : Marion Maréchal-Le Pen a répondu favorablement à l’invitation de Robert Ménard qui fera de Béziers, fin mai, la capitale de la droite française. Elle sera présente au Rendez-Vous organisé dans sa ville par Ménard. Ces trois jours (les 27, 28 et 29 mai) ont pour objectif, a expliqué l’ancien président de Reporters sans frontières, de déterminer ce qui, « à droite, nous réunit », de voir « ce que les électeurs du Front national comme ceux des Républicains ont en commun » et de « bâtir le programme de salut public » sur lequel « l’ensemble des candidats de droite devraient se mettre d’accord ». Robert Ménard avait assisté au séminaire du FN mariniste, et cela ne s’était pas bien passé (voir mes précédentes chroniques). Marion-Maréchal Le Pen se rend-elle à Béziers avec l’aval de sa tante ou s’agit-il d’une démarche personnelle ? On voit mal Marine Le Pen et Philippot accepter des initiatives qu’ils ne contrôleraient pas. Nous verrons bien la suite des opérations.

ERIC ZEMMOUR : “QUAND JE VOIS SOROS QUELQUE PART, JE ME MÉFIE…”

Tous les lecteurs de RIVAROL connaissent George Soros, ce trafiquant financier juif qui a fait une immense fortune en spéculant contre la livre sterling. C’est aussi lui qui finance massivement toutes les organisations qui ont pour but, en Europe, en Russie, d’affaiblir les défenses immunitaires de nos peuples au profit de la finance apatride et vagabonde. Eric Zemmour, qui est décidément lucide, vient de déclarer : « C’est Soros qui était déjà là pour financer les révolutions orange […] c’est lui qui finance également l’immigration à tout-va dans les pays d’Europe […] », ajoutant : « Quand je vois Soros quelque part, je me méfie ».

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PRIMAIRES À DROITE : LA CAGE AUX FOLLES

La primaire de la droite compte désormais 12 candidatures, dont Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire, Nathalie Kosciusko-Morizet ou encore Jean-François Copé et Nadine Morano et Geoffroy Didier. Nicolas Sarkozy pourrait se déclarer cet été. Michèle Alliot-Marie, qui vient de lancer un nouveau parti politique, pourrait également se porter candidate. Ce n’est pas forcément une tâche facile. Ils doivent rassembler avant septembre les parrainages nécessaires (2.500 adhérents LR, 250 élus dont 20 parlementaires). Le dernier à avoir annoncé sa candidature est le député Les Républicains des Yvelines Jacques Myard, 68 ans, qui se définit comme « gaulliste depuis toujours ». Au demeurant, ce n’est pas le pire, car il a fait montre d’un certain courage en se rendant en Syrie, où il a rencontré le président Assad, suscitant la fureur de Fabius… Il n’est certes pas d’une finesse absolue, et d’aucuns ont pu le comparer à Donald Trump, à l’image du quotidien Aujourd’hui, qui titre « Le Donald Trump français, c’est lui ! ». A une journaliste croisée dans la salle des quatre colonnes, à l’Assemblée, il avait lancé un jour : « Vous faites le tapin ? »

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ILS SONT MÉCHANTS AVEC SARKOZY…

Les méchants sont méchants avec Sarkozy, qui, paraît-il, fait un peu plus jeune que son âge. L’ancien président est moqué par des proches d’Alain Juppé pour son utilisation probable du laser et autres techniques pour avoir une mine avenante. On lit ces informations passionnantes dans le livre de la journaliste Gaël Tchakaloff, Lapins et Merveilles. Sarkozy est soupçonné d’avoir recours, si ce n’est à la chirurgie esthétique, du moins au laser et à d’autres techniques qui donnent bonne mine. Il a mis les choses au point en déclarant : « Je ne considère pas comme de la chirurgie esthétique le fait de se faire stimuler le collagène naturel par un laser. Ça donne bonne mine ».

UNE MOSQUÉE CLANDESTINE À LA MAISON CENTRALE DE L’ÎLE DE RÉ !

En novembre 2015, Olivier Falorni, député non inscrit de Charente-Maritime (ex-PS, c’est lui qui avait planté Ségolène Royal), membre de la commission d’enquête sur les filières djihadistes, avait visité la maison centrale de l’île de Ré. Il avait alors découvert qu’un baraquement préfabriqué, pudiquement ou ironiquement appelé “casino”, abritait en fait une « mosquée salafiste clandestine », un « centre de formation pour apprentis djihadistes à l’attention de détenus condamnés à de très lourdes peines », selon ses propres mots. Plutôt obstiné et courageux, il avait alors écrit au ministre de la Justice de l’époque, Christiane Taubira, pour lui demander la destruction de ces préfabriqués. Il avait envoyé une question écrite au ministre et l’avait interpellé à l’Assemblée, le 13 octobre 2015. « Nos prisons ne peuvent pas, ne doivent pas être des pépinières à djihadistes, car c’est la sécurité de tous les Français qui est en jeu », avait-il dit. Taubira fit une réponse surréaliste, expliquant que des crédits avaient été débloqués pour construire de nouveaux bâtiments, ce qui permettra de détruire ces préfabriqués qui servent de mosquée. Un an après, rien n’a changé. La mosquée est toujours là. Les préfabriqués aussi…

L’“ÉVÊQUE” DE PONTOISE NE “SAURAIT PAS DIRE” SI LA PÉDOPHILIE EST UN PÉCHÉ

Stanislas Lalanne, “évêque” de Pontoise, est un oiseau assez exceptionnel. Pour lui, la pédophilie est « un mal » mais il ne « saurait pas dire si c’est un péché ». Voici ses propos qui ont évidemment violemment heurté (et on les comprend !) les victimes de clercs pédophiles : « La pédophilie est un mal. Est-ce que c’est de l’ordre du péché ? Ça, je ne saurai pas dire, c’est différent pour chaque personne. Mais c’est un mal et la première chose à faire c’est de protéger les victimes ou les éventuelles victimes », a-t-il déclaré mardi sur RCF, réseau de 63 radios chrétiennes francophones. Il intervenait dans le cadre d’une émission consacrée à « L’Église de France face à la pédophilie ». Devant les réactions peu amènes des auditeurs, il s’est senti obligé de préciser sa pensée, tout en s’enfonçant davantage : « C’est un mal profond. Les choses sont très, très claires. Est-ce que c’est péché ou pas ? Je ne sais pas et ça peut être différent suivant chacun. Donc on ne peut pas généraliser », a-t-il ajouté. Et puis, cette forte considération : « La difficulté, c’est quelle conscience la personne a de ce mal ? Comment elle s’en sent responsable ? […] Quand on commet un péché, on a conscience qu’on blesse la relation à l’autre et qu’en blessant la relation à l’autre, on blesse la relation avec Dieu », explique-t-il. « On est dans l’ordre du péché mais est-ce que cet homme est pécheur au sens strict du terme ? Je ne peux pas le dire, à chaque fois, on ne peut pas parler de façon générale », a conclu Stanislas Lalanne. Quel charabia ! Le moins que l’on puisse dire, c’est que ces “évêques” conciliaires ne sont pas très clairs sur la question, ce qui est tout sauf rassurant. En attendant, il a fallu que ce fût le ministre socialiste d’origine marocaine, Najat Vallaud-Belkacem, qui secouât cet imbécile de haut vol, en déclarant « Je lui demande de lever tout ambiguïté. Je pense que c’est absolument indispensable pour les familles, pour le message envoyé à la société, et je pense qu’il aura l’occasion de le faire ».

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler.

10:10 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A l'attention de nos lecteurs de l'Aisne :

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09:28 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |