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mercredi, 18 mai 2016

Le Journal du Chaos de cette semaine :

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20:06 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le thorium, la fin dr l'escroquerie "verte" ?

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Claude Brasseur Boulevard Voltaire cliquez ici

Les pays qui ont le plus investi dans l’éolien, énergie « verte », constatent depuis peu que cette énergie intermittente, qu’à ce jour on ne stocke pas, non seulement les ruine mais crée aussi une pollution jamais connue auparavant : l’énergie fossile consommée quand il n’y a pas de vent nourrit des centrales nécessairement souples… de mauvais rendement.

Le Danemark et l’Allemagne par exemple, constatent que polluer, se ruiner pour pouvoir se dire « vert » aux yeux du GIEC, de Greenpeace et des COP, est pour le moins absurde et la réaction contre l’éolien s’y précise. Le lobby éolien mondial, lui, voudrait continuer à engranger les milliards de subsides, Certificats Verts et autres. Avec une petite partie de ses milliards, il attaque vigoureusement les énergies vertes du futur, ne s’embarrasse pas d’objectivité ou de vérité.

Ses attaques contre le thorium en sont une illustration. Ainsi dans divers textes en ligne, on explique que le thorium serait rare, devra être acheté contrairement au vent qui est gratuit. On « oublie » de préciser que ce vent gratuit ne donne son énergie que quand il le veut bien et uniquement grâce à une infrastructure ultra coûteuse. Ils « ignorent » qu’il y a du thorium peu coûteux partout sur la planète et pour toujours. La France en a même « sous hangar » pour des milliers d’années… et des réserves minières en Bretagne !

Dans ce même texte, on prétend que les centrales au thorium ne seront opérationnelles que dans 50 ans, qu’il faut « préserver la planète pendant ce temps d’attente ». On « oublie » de dire que des centrales au thorium sont déjà opérationnelles en Inde et le seront en Chine en 2020. On cite AREVA qui n’arrive pas à terminer ses centrales… lesquelles n’ont rien à voir avec la 4e génération et avec le thorium !

On parle de « problèmes de milieu » alors que les centrales au thorium sont sans le moindre danger : elles consomment les déchets des centrales actuelles, tout le processus est sous contrôle et les sécurités prévues sont passives. Il y a moins de danger de pollution avec une centrale au thorium qu’avec n’importe quelle usine chimique.

En ce qui concerne la menace de prolifération d’armes – argument massue des opposants — le risque est théorique. La gestion par un État non terroriste d’une centrale nucléaire aux sels fondus de thorium évite tout risque de prolifération d’armes nucléaires car il ne s’accumule pas d’uranium 233 fissible et celui qui est dans le réacteur est inutilisable à cause des épouvantables rayons gamma des sels fondus.

Bref, maintenant que l’éolien bat de l’aile, il faut absolument dénigrer les solutions réelles au problème de l’énergie. Le thorium n’est pas la seule solution mais il est écologique, sans danger et peu coûteux. Ni le GIEC ni Greenpeace ni Westinghouse ni le lobby mondial éolien ne pourront empêcher plus longtemps l’apparition rapide des centrales à sels fondus de 4e génération. Ce seront les premiers réacteurs nucléaires civils et, en Belgique, le Centre de Mol permet de tester – grâce à MYRRHA – le fonctionnement d’un réacteur au thorium qui n’a même pas besoin d’un peu d’uranium 235 ou de plutonium 239 pour démarrer. La sécurité verte plutôt que la « paix verte » !

20:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le héros de la "hollandie" : UN SINISTRE MENTEUR !

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Lire Thomas Joly cliquez ici

19:52 Publié dans Contre le "vivre ensemble", la France bouge | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Substitution de populations en France : fantasme ou évidence ?

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Dr Bernard Plouvier

Plutôt que d’argumenter dans le vide, il est bon de s’accrocher aux chiffres, à condition qu’ils soient aussi exacts que possible.

En 2012, l’INSEE a publié – avec un retard significatif – le bilan démographique français de l’année 2008… mieux vaut tard que jamais !

On y apprenait qu’il n’y avait que du fantasme dans les arguments des féaux de Jean-Marie Le Pen et de sa fille qui naviguaient alors (presque) de conserve. Il n’y avait que 5,3 millions d’immigrés nés hors d’Europe (en quasi-totalité issus d’Afrique noire et maghrébine et du Proche-Orient) et il était hors de question de dénombrer les Antillais, par définition citoyens français, même s’ils n’étaient nullement de souche européenne.

Toutefois, en y regardant de plus près, ces 5,3 millions d’immigrés étaient associés à 6,7 millions de descendants, nés en France et ipso facto naturalisés… le « fantasme » pesait 12 millions, sur 66 millions de métropolitains (soit 18%). Le total reflétait assez bien la réalité que chacun pouvait apercevoir en grandes villes, à moins d’être aveugle et sourd.

Depuis lors, l’immigration extra-européenne amène, bon an mal an, au moins 100 000 individus annuels (non comptés les clandestins, régularisés à coup de 0,3 million à la fois aussi bien par les gouvernements Fillion que Valls). En huit années, cela fait près d’un million (beaucoup plus en fait si l’on pense aux clandestins)… et n’oublions pas que les Antillais ne sont toujours pas dénombrés.

Sur les 200 000 naissances métropolitaines annuelles, 25% sont « à risque de drépanocytose » (ce qui ne fut jamais une maladie de « Gaulois » et descendants… on en trouve chez des Européens d’origine sarde ou sicilienne, qui ont bénéficié de razzias de pirates mauresques jusqu’au milieu du XIXe siècle). Sur huit années, cela fait encore 0,4 million (en estimation basse : on ignore le chiffre des naissances exotiques clandestines).

À l’approche de l’année électorale 2017, la France métropolitaine est riche d’approximativement 13,5 à 14 millions d’extra-Européens, non comptés les clandestins ni une grande majorité d’Antillais (ce qui amoindrit singulièrement la fiabilité de l’estimation), le tout sur une population globale comprise entre 64 et 64,5 millions de résidants (20 à 21% de la population en estimation basse). Comble de bonheur, les 40 000 à 50 000 émigrants annuels sont presque tous des Français de souche européenne.

Comme le dit notre plantureux Président : « Tout va bien » ! Et le gros marchand de sable poursuit : « Dormez bien les petits ». Le réveil sera terrifiant. L’ennui est que l’on ne pourra balayer le cauchemar grâce à une pirouette mentale. Il faudra bien affronter d’une manière ou d’une autre l’épouvantable réalité. Jouera-t-on le scenario londonien ou le russe ?

10:27 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |