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samedi, 28 mai 2016

A l'occasion du soixantième anniversaire du soulèvement de Budapest, les Bouquins de Synthèse nationale publie le livre BUDAPEST 1956 de David Irving

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Il y a 60 ans, à Budapest, le peuple se soulevait contre l'oppression communiste. C'était la première fissure du Système qui s'était instauré à Yalta et qui devait durer pour l'éternité. 45 ans plus tard ce Système s'écroulera, emportant avec lui l'Union soviétique et le Pacte de Varsovie. Il s'imposera alors un "Nouvel Ordre mondial" dominé par la haute-finance apatride, qui, à son tour, commence aujourd'hui à avoir du plomb dans l'aile.

David Irving relate dans ce livre cette insurrection spontanée de Budapest en octobre 1956. La recherche de documents et de témoins le mena un peu partout en Europe et ailleurs entre 1975 et 1981, alors que la Hongrie se trouvait toujours sous la botte communiste. L'étude en résultant est celle de l'autopsie d'une révolution avortée, vue tant du côté des combattants de rue que de celui des salles de réunion feutrées des puissants. C'est un drame prenant avec prés de dix millions de figurants.

Pour ne pas s'être plié au "prêt à penser" dans les années 90, David Irving fut mis à l'index par les nouveaux maîtres du monde. Il fut écarté des média, calomnié et condamné. Son œuvre, non conformiste, devait tomber dans l'oublie. Mais Synthèse nationale, en accord avec lui, a décidé de la rééditer pour contribuer à la victoire de la Vérité...

Budapest 1956, l'insurrection (volume 1), est le premier livre de cet historien britannique de renom que nous publions. Le second volume sortira en octobre.

Premier volume : 330 pages, cahier photos, 22 €

TRADUCTION INTEGRALE ET INEDITE EN FRANCAIS DU TEXTE ORIGINAL DE DAVID IRVING !

Bulletin de commande

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18:44 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour fêter ses 10 ans, Synthèse nationale envoie une plaquette à ses 10 000 amis

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Il y a dix ans que Synthèse natio­nale appa­raissait sur la toile. D'abord sous la forme d'un mo­deste blog qui, petit à petit, s'est trans­formé en un véritable site d'in­formation ali­menté au moins trois fois par jour et qui est maintenant quo­tidienne­ment consulté par au minimum 3 000 personnes. Parfois, il ar­rive que le nombre des connexions dépasse les 25 000.

En dix ans, nous avons donné la parole à plus de 200 personnali­tés, responsables politiques as­sociatifs ou économiques, écri­vains, élus et acteurs se récla­mant de notre famille politique. Nous avons lancé deux revues, Synthèse na­tionale et les Cahiers d'Histoire du nationa­lisme, créé une mai­son d'édition, Les Bouquins de Synthèse na­tionale, et un service de diffu­sion en ligne. Nous avons mené plusieurs campagnes mili­tantes, contre l'islamisation, contre le Traité transatlantique, contre SOS-Racisme pour ne ci­ter que celles-ci. Nous avons aussi orga­nisé des dizaines de réunions, colloques et séances de dédica­ces tant à Paris qu'en Province, ce à quoi il faut ajou­ter nos journées nationalistes et identi­taires qui rassemblent de plus en plus de monde chaque année, à Lille en avril et à Rungis, près de Paris, en octobre.

Tout cela a été possible grâce à l'engagement d'une poignée de volontaires et au dévouement de l'équipe de contributeurs qui scrutent en permanence l'actualité afin de sélectionner l'essentiel à l'attention des militants et sym­pathisants de la cause nationale et identitaire. 

La seconde raison de la longé­vité et du développement de Synthèse nationale est la fidélité et la générosité de ses lecteurs. Beaucoup nous aident en s'abonnant à la revue éponyme ou aux Cahiers d'Histoire du na­tionalisme, certains en adhérant à l'association des Amis de Syn­thèse nationale, d'autres enfin en achetant régulièrement les livres que nous éditons ou pro­posons. Quoi qu'il en soit, nous tenons à tous vous remercier pour votre fidèle amitié. Sans vous, rien n'aurait été possible.

Synthèse nationale fait partie de ces pôles de résistance qui gê­nent le Système. Pour s'en convaincre, il suffit de constater la quantité d'endroits, qu'il s'agisse des services de l'Educa­tion dite nationale, des chaines d'hôtels internationaux, des en­treprises mondialisées, où l'accès à notre site est interdit. Cela ne nous décourage pas. Bien au contraire, cela nous incite à am­plifier notre action.

Le dimanche 2 octobre pro­chain à Rungis (94), ce sera la dixième jour­née nationaliste et identitaire annuelle, ce sera l'occasion de nous retrouver encore plus nombreux pour fêter ce dixième anniversaire. Le monde est en train de changer, l'heure du re­tour des peuples, des nations, des identités et des traditions européennes approche. Soyons tous mobilisés, rien n'est perdu, continuons le combat.

Retenez la date :

DIMANCHE 2 OCTOBRE 2016

Xe JOURNEE DE

SYNTHESE NATIONALE

RUNGIS - SILIC (94)

Pour marquer le 10e anniversaire de Synthèse nationale, une plaquette de 12 pages a été envoyée cette semaine aux 10 000 personnes qui, en dix ans, ont contacté Synthèse nationale.

Si vous souhaitez recevoir cette brochure, communiquez-nous vos coordonnées  : synthesenationale@club-inernet.fr 

synthese-editions.com

10:55 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce samedi à midi, sur Radio Courtoisie : une émission consacrée à Léon Degrelle avec Francis Bergeron et Roland Hélie

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Radio Courtoisie cliquez ici

Rediffusion dans l'après-midi

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Commander le CHN 1 (Léon Degrelle) cliquez ici

Commander le double CD cliquez là

10:53 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Madrid, Rome, le 21 mai dernier, réveil européen...

Madrid 

Rome 

09:08 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Immigration à Roscoff. « Qu’on ne prenne pas le risque d’avoir un mini Calais ici »

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Source Breizh infos cliquez ici

Depuis quelques semaines (mars 2016), entre vingt et trente immigrés clandestins se trouvent à Roscoff, en Finistère Nord. Leur objectif ? Passer en Angleterre. Roscoff est en effet, avec Saint-Malo, l’un des deux chemins d’accès à la Grande Bretagne, depuis notre région. Un chemin d’accès plus difficile que la région de Calais, mais plus discret aussi. C’est ce qui a poussé ces familles qui se disent pour la plupart Kurdes (d’Irak et de Syrie) à venir s’échouer ici, derrière un bunker, à quelques centaines de mètres du port du Bloscon.

Ces immigrés clandestins – que certains journalistes subventionnés et militants associatifs appellent « migrants » – ont tout d’abord occupé un bâtiment abandonné appartenant au président de la CCI de Morlaix, Jean-Paul Chapalain. Ce dernier a déposé plainte pour se protéger en cas d’accident (l’état du bâtiment laissant à désirer), tout en refusant de réclamer leur expulsion.

Par ailleurs, il est à noter que des militants associatifs, soutiens de ces immigrés en situation irrégulière sur le territoire français (ils n’ont pas demandé l’asile) ont raccordé l’installation de fortune à une ligne ErDF appartenant à des particuliers, sans les consulter. Ces derniers s’en sont plaints et ont réussi à obtenir gain de cause. Le Secours Populaire et les Restos du Coeur, à qui de nombreux Bretons donnent de la nourriture en pensant qu’elle ira à leurs compatriotes dans le besoin, s’activent pour aider ces familles à survivre ici, dans la misère.

Des familles dont la perspective est très limitée de passer en Angleterre. « A moins de complicité trouvée sur la Brittanny Ferries, ce que je ne peux pas croire, c’est impossible d’embarquer clandestinement ici. Roscoff n’est pas Calais » nous confie un agent portuaire qui ne souhaite qu’une chose : « qu’on ne prenne pas le risque d’avoir un mini Calais ici». Les contrôles des autorités sont en effet importants, et l’accès à Roscoff n’est pas le plus simple pour des candidats à la grande traversée.

Comme plusieurs Roscovites avec qui nous avons pu être mis en contact, Marie-Anne est inquiète que la situation perdure: « c’est bien normal de ne pas les laisser mourir de faim dans l’urgence. Mais la première chose à faire, ça devrait être des les contrôler et de les expulser. Là ça fait un appel d’air ». Elle ne comprend pas : « Pourquoi sont-ils là depuis deux mois maintenant pour certains ? Pourquoi on les laisse dans une telle situation ? Pourquoi la gendarmerie ne fait-t-elle rien hormis les contrôler de temps à autre ? ». Nous n’obtiendrons pas de réponse des autorités, qui n’acceptent manifestement de donner des informations sur ces vagues migratoires qu’à une certaine presse ou à un public bien précis.

Dans le pays de Morlaix en tout cas, il n’en aura pas fallu beaucoup plus pour que quelques militants politiques de gauche et d’extrême gauche lancent leur collectif de soutien aux migrants . Des collectifs qui se multiplient dans toute la Bretagne et qui font de l’humanitaire leur « fond de commerce idéologique», selon un processus parfaitement rôdé et accepté par la plupart des élus locaux et collectivités. « Ils aident des personnes qui sont des délinquants aux yeux du droit de la République française, et quand vous protestez, vous êtes forcément un raciste ! » nous adresse Luc, un internaute de Loguivy-Plougras (22) qui insiste : « on devrait expulser les membres des collectifs de soutien aux sans papiers avec leurs protégés, ça nous ferait de l’air ! Si ils en veulent tant, qu’ils partent avec eux» et qui conclut : « La Bretagne est une des régions qui se mobilise le plus en faveur des migrants . C’est pas un honneur, c’est une honte. On aide les mafias là… ».

Difficile de savoir si – comme l’affirme Luc – la région est en pointe dans la collaboration avec les réseaux d’immigration clandestine. Le tissu local associatif très développé (et largement subventionné) et particulièrement mobilisé sur la question, ainsi que le souhait affiché d’élus locaux d’accueillir des « réfugiés » ou des « migrants » sont toutefois significatifs.

A Séné, petite commune de 8000 habitants dans le Morbihan, un logement municipal a été récemment totalement réhabilité, au terme d’un travail en commun entre militants associatifs et employés communaux (au nombre de 5) , pour accueillir là encore une famille de réfugiés Afghans. Nul doute que des locaux auraient été heureux de pouvoir bénéficier d’une telle solidarité …

Info reprise par LVCI Cliquez là

08:58 Publié dans Banalisation... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Festival de Cannes : 219.000 € ... on connait enfin le prix de la merde

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Un communiqué de la Ligue du Midi

Nous venons d'apprendre qu'un film présenté au festival de Cannes avait touché 219.000 Euros de subvention diverses et encore ce n'est qu'une estimation puisque plusieurs autres partenaires -eux mêmes subventionnés- auraient craché au bassinet.

Il s'agit d une co-production: les Films du Worso en coproduction avec ARTE France Cinéma avec comme partenaires financiers, le CNC (Centre National du Cinéma), Canal+, Ciné+, Arte France, avec le soutien du département de Charente-Maritime et de la région Poitou-Charente, de la région Languedoc-Roussillon, de la région Midi-Pyrénées, ces dernières en partenariat avec le CNC.

« Rester vertical », c'est le nom de cette aventure « extraordinaire » du réalisateur Alain Guiraudie tournée partiellement en Charente-Maritime est soutenue à hauteur de 40 000 euros par l’ex-Région Poitou-Charentes et 50.000 euros par le département de Charente-Maritime. Mais le film a bénéficié également d’un soutien important (129 000 €) de l’Antenne Cinéma de la Région Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées. « Rester vertical » a reçu également le soutien logistique de la Commission du film Languedoc-Roussillon Cinéma. Il se murmure également qu'il aurait bénéficié de subventions de l’Union Européenne. Avec de telles aides, l'apport culturel aurait du être conséquent pensions-nous… Que nenni… et en tout cas, une fois encore, c'est nous qui payons.

Ce film, donc, raconte l’errance d’un cinéaste, Léo (Damien Bonnard), en panne d’inspiration et en mal de paternité. « Rester vertical » renvoie à une histoire de loup, mais surtout de phallus, car l'oeuvre du cinéaste tourne autour de ce sujet existentiel pour lui. Ce réalisateur avait déjà fait sensation à Cannes en 2013 avec L’Inconnu du lac, “un polar aux scènes très crues. [...]montrant de manière décomplexée des ébats dans des lieux de dragues homosexuelles…”. Mais cette fois-ci, Guiraudie explore aussi le féminin, l’instinct maternel, le genre (on s'y attendait un peu) pour séduire le lobbye LGTB.

Comme dirait Fabrice Luchini : “ Du point de vue du scénario, c'est hénaurme, c’est hallucinant”. Jugez-en : Marcel, un vieux monsieur, vit avec un jeune et ne veut pas mourir seul. Léo va l’assister dans son suicide. Jean-Louis, qui surveille ses moutons, a besoin de chaleur humaine et le « héros » (excusez moi, je n'ai pas trouvé de synonyme) “ va sodomiser le vieil homme pour l’euthanasier sous les yeux de son bébé “. Voilà, c'est ce film (excusez moi, je n'ai toujours pas trouvé de synonyme), qui a ouvert le jeudi 12 mai, la première journée de compétition du 69ème Festival de Cannes . Je vous passe le scènes où le réalisateur n’hésite pas à filmer en direct un accouchement, des sexes féminins et masculins filmés très gros plans , des moutons éventrés etc. Ce qui a permis au journaliste de France Info le 20/05/2016 de classer le film parmi les “ Top 10” dans la série des films “réalistes” avec ce commentaire de “très contemporain”. Heureusement ce réalisateur n’a pas été récompensée à Cannes en 2016, mais on peut parier qu’il a toutes ses chances pour les années à venir... Comme on, dit souvent: “ A Cannes ce n’est pas la qualité des films qui est importante, ce sont les discussions que soulèvent les films”

Alain Guiraudie qui est originaire d'un département rural, le Tarn, explique qu’il a conçu le film “avec l’idée de rendre l’invraisemblable crédible, l’impossible envisageable et de faire un grand voyage pas très loin de chez lui, de rapprocher “l’ailleurs“ et de s’évader au coin de la rue”. Il ajoute : “Le film se déroule dans une France que l’on appelle “profonde”, une diagonale qui va de la Lozère à Brest”.

Ce n'est pas parce que les champs de ces gens là sont jonchés de bouses qu'il faut, en plus, leur dédier de la merde...

01:45 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |