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mardi, 19 juillet 2016

Meurtres et crimes en permanence avec les djihadistes.

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Dr Bernard Plouvier

L’avantage que les badauds tirent de l’immigration-invasion musulmane est évident : pas un jour sans ses viols, pas un jour sans un « surinage » d’Européen(nes), au nom d’allah, le tout-puissant. Rien qu’en France et pour la seule journée du 19 juillet, on relève sur les blogs du Net 4 Européens (un homme et trois femmes et jeunes filles)… pour les cas répertoriés, car on sait l’extrême discrétion des media domestiqués.

Pour qui sait décrypter l’information des réseaux sociaux, il est évident qu’une ou plusieurs jeunes filles violées par « de jeunes lycéens » ont toute (mal)chance de l’avoir été par des fruits pourris de l’immigration africaine (noire et maghrébine), turque, syro-irakienne, afghane etc. De même, les Européens poignardés le sont généralement par d’honorables islamiques et la probabilité est de 100% quand il s’agit de femmes « surinées » en raison de « l’impudicité de leur tenue ».

Car nos honorables islamistes, si rudes avec leurs femmes et si doués pour les viols en tournante (hétéro-, mais aussi homo-sexuels, en dépit des avis contraires du coran : l’actualité allemande, scandinave et française l’a démontré), ont des vapeurs dès qu’ils voient une cuisse tant soit peu dénudée ou une poitrine féminine un peu trop décolletée. Un seul remède pour ces puceaux du regard : le retour dans le Dâr al-Islam, bref dans leurs gourbis.

Là où l’Européen sourit un peu, c’est lorsque sur le Net, il apprend qu’à Toulouse, Lille, Marseille ou Montpellier, c’est un honorable narco-trafiquant dévoué à l’islam, qui vient de se faire canarder à la « kala. », dans le cadre d’un « règlement de comptes ». C’est toujours plus efficace que notre Justice.

Entre deux fiestas islamiques : soit les attentats où l’on atteint voire dépasse la centaine de morts et où l’on double le score en blessés, l’on est sûr, en Europe aveulie (et la France occupe la tête du Hit-parade de l’abjection), d’avoir sa pâtée quotidienne de tueries islamo-immigrées et de viols de même origine.

À quand la réaction ? Parce que nous sommes encore largement majoritaires. La substitution de population ne se fera pas avant 30 à 50 ans (surtout si ces dames islamo-immigrées prennent des goûts européens en matière de fécondité). Alors, pourquoi ne pas agir dès à présent ? Militer dans un parti populiste, dit-on… avec les scores électoraux qu’ils traînent, c’est d’une efficacité douteuse, tant que l’économie ne vole pas en éclats.

L’exemple de Béziers et de sa milice d’autoprotection est bien plus intéressant. Causer, s’indigner, militer, pourquoi pas. Agir, c’est mieux. Lorsque les gouvernants trahissent les intérêts de la Nation, celle-ci a un Droit à l’insurrection. Vis-à-vis de sa descendance, ce Droit devient un devoir.    

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DEVOIR DE MEMOIRE : Stéphane ZANETACCI (19 juillet 1976)

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Pour mieux connaître l'histoire

des volontaires français au Liban cliquez ici

14:43 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans le nouveau numéro de Terre et peuple magazine : un entretien entre Pierre Vial et Roland Hélie

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Pierre Vial : Roland, nous nous connaissons depuis longtemps et nous travaillons ensemble d’une façon qui me paraît exemplaire car basée sur la confiance et une communauté de pensée. Tu diriges, entre autres activités, la revue Synthèse nationale, dont le titre est tout un programme puisqu’elle accueille divers rédacteurs qui, au-delà de leur profil spécifique, ont en commun leur attachement viscéral à ce que Saint-Loup appelait « les patries charnelles ». Peux-tu nous en dire plus ?

La revue Synthèse nationale a été créée en 2006. Cela fait donc dix ans que nous nous battons pour que les différents courants nationalistes et identitaires marchent dans le même sens. Au début, ce n'était pas évident. Surtout lorsque l'on se souvient des divisions "historiques" qui existaient entre les uns et les autres. Et pourtant, lors de nos nombreux colloques et réunions, nous avons invité la plupart des organisations a se retrouver sur les mêmes tribunes et, petit à petit, les querelles du passé se sont estompées. Il en a été de même dans les colonnes de la revue. Nous ne demandons pas aux nationalistes et aux identitaires de s'unir, ni même de se rassembler, nous les invitons seulement à coordonner leurs actions. Ce qui serait déjà pas mal.

Vu la situation dramatique dans laquelle la France et l'Europe sont plongées, pour notre camp l'heure ne doit plus être celle de la discorde mais bel et bien celle de l'offensive. "Pour une offensive nationaliste et identitaire" sera d'ailleurs le thème de notre Xe journée annuelle qui doit se tenir à Rungis, près de Paris, le dimanche 2 octobre prochain.

Je profite de l'occasion que tu me donnes, Mon Cher Pierre, pour remercier l'association Terre et peuple, qui dès le début a compris le sens de notre démarche, pour l'aide efficace qu'elle nous a toujours apportée.

PV : Quand je parle de Front des Patriotes, je souhaite inciter tous ceux pour qui la patrie, la « terre des pères », est la meilleure des causes, à regrouper, autant que faire se peut, leurs efforts, leurs énergies, leurs espérances. Qu’en penses-tu ?

C'est exactement le sens de notre démarche. Jamais nos idées ont été aussi "dans le vent". Depuis des décennies les nationalistes répètent inlassablement que la politique menée par les partis du Système devait mener immanquablement à la catastrophe. Pendant longtemps, nous n'avons pas été entendus. Et aujourd'hui, alors que la situation dégénère à grande vitesse, nos compatriotes se rendent compte de la véracité de nos dires. Nous ne pouvons que nous en réjouir.

Cela étant dit, la poussée de nos idées est beaucoup plus due à la radicalisation d'une partie de plus en plus importante des Français qu'à une quelconque dédiabolisation. Ce n'est donc pas le moment de flancher. Plus que jamais un Front des patriotes tel que tu le préconises est nécessaire. Un Front ne signifie pas une fusion mais une unité d'action.

PV : Quelles sont, selon toi, dans le monde où nous sommes, les principales urgences ?

Le choix est simple. D'un côté nous avons le mondialisme qui consiste à vouloir détruire toutes les identités, nationales, civilisationnelles et même sexuelles (comme on l'a vu avec la théorie du genre) afin de transformer le monde en un vaste marché aux dimensions planétaires dans lequel l'homme ne serait plus qu'un consommateur servile juste bon à enrichir les multinationales apatrides. De l'autre, nous avons les peuples qui veulent garder leurs libertés et leurs identités.

Bien sûr, l'immigration et l'islamisation qui en découle peuvent apparaitre comme le principal danger qui menace notre civilisation. Mais il ne faut pas oublier que celles-ci ne sont que la résultante du brassage de populations orchestré par les mondialistes. Il ne suffit pas de s'attaquer au effet, il faut détruire les causes. Or, si l'on veut arrêter le grand remplacement auquel nous assistons, il faut abattre le Système qui le suscite. Le combat contre le mondialisme est, à mon avis, la priorité absolue.

PV : Comment vois-tu l’avenir ?

Si nous continuons le combat, c'est que nous sommes animés par l'optimisme. Nous devons en permanence éloigner de nous le désespoir qui est, en substance, le pire de nos ennemis...

Je ne prendrai qu'un seul exemple : cette année, 2016, marque le soixantième anniversaire de l'insurrection patriotique de Budapest en 1956 contre le régime communiste qui accablait alors la Hongrie. Cette insurrection héroïque fut impitoyablement écrasée par les soviétiques en quelques semaines. Croyez-vous que les nationalistes hongrois, alors que leur mouvement était en pleine débâcle et que leur pays subissait une répression épouvantable, s'imaginaient un seul instant que, soixante ans plus tard, la Hongrie serait à l'avant garde du combat pour la résurgence européenne ? Certainement pas. Et pourtant, c'est ce qui arrive aujourd'hui.

Dominique Venner nous a enseigné que l'inattendu était une constante en politique et Charles Maurras que le désespoir était la pire des sottises. Voilà une belle synthèse...

PV : Merci Roland. Il est clair que nous allons continuer le combat côte à côte.  

TP_68_juin_2016.jpgLe n°68 de Terre et peuple magazine

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Solstice d'été,

52 pages, 8 €

11:17 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Valls ridiculisé à Nice

01:28 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Valls – Vaulx-en-Velin : hiatus ou délire ?

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Dr Bernard Plouvier

Ce 17 juillet 2016, notre bouillant Premier ministre vient faire part à la Nation de sa grande découverte : « Le risque zéro n’existe pas »… à dire vrai, on ne l’ignorait pas tout-à-fait, surtout en matière de vandalisme, d’incendies volontaires, de vols, de viols et autres agressions physiques commis par les fruits pourris de l’immigration extra-européenne.

Quant au terrorisme, il est par définition un phénomène aléatoire, donc parler à son propos d’imprévisibilité et d’inéluctabilité, c’est, au mieux une lapalissade, et plus probablement faire preuve du « degré zéro de la réflexion politique ». Car notre sémillant toréador n’a guère insisté sur l’islam et son Djihâd, sur la guerre de races et de religions qui fait rage en France depuis 2014, après avoir été une guérilla permanente dès les années 1980.

En outre, sortir des phrases du genre : « Ce gouvernement est celui qui en a fait le plus contre le terrorisme », c’est ou se moquer du monde ou faire preuve de bêtise. Parce qu’après tout, faire mieux que Chirac et Sarkozy, ce n’est pas difficile (en arithmétique de cours primaire, on apprend que « deux fois zéro, ça fait zéro »), et surtout que les attentats se poursuivent avec un degré de réussite étonnant (après les 130 morts du 13 novembre 2015, les 80 morts et 200 blessés du 14 juillet, c’est un score remarquable).

Dans la nuit qui a suivi la « lucide et courageuse » déclaration vallsienne, soit dans la nuit du 17 au 18 juillet, des « jeunes » et des moins jeunes, barbus et casqués, ont attaqué au mortier et aux cocktails Molotov une voiture de police, puis s’en sont pris à un commissariat de Vaulx-en-Velin, ville bien connue depuis les années 1980 pour ses « racailles » islamo-maghrébines, qui font bande, depuis les années 2000, avec des Noirs africains, pour égayer la vie des Européens autochtones.

Que nos brillants « chefs » soient désemparés par leur confrontation aux électrons libres du djihadisme, après avoir négocié une trêve avec les commanditaires sunnites, on le comprend volontiers. La lutte contre ces djihadistes artisanaux passe par une action secrète de renseignements, de capture, d’interrogatoire et d’exécution des complices et des apprentis. Ce doit être fait en toute discrétion. Que Valls n’en parle point, on le comprend… encore faut-il que les ordres idoines aient été donnés.

Le sont-ils ? On peut raisonnablement en douter. Le trio Hollande-Valls-Cazeneuve geint, rugit ou déblatère beaucoup, mais son activité paraît faible, voire inexistante. C’est là que gît l’hiatus entre causer et faire… dans le Nord, ma province d’origine, on dit « Grand causeux, p’tit faiseux ».

Pour l’autre problème, celui de la guerre civile permanente qui a succédé à la guérilla des années 1980, il y a aussi quelque chose à faire. Comme, par exemple, d’envoyer l’Armée nettoyer les cités de non-droit, en répondant au feu par le feu, après avoir par haut-parleurs ordonné aux civils d’évacuer chaque cité avant de procéder au nettoyage. C’est à cela que doit servir l’armée en temps de guerre.

Car nous sommes en état de guerre civile dans 2000 cités dites « françaises », où règnent imams, ulémas et trafiquants divers. Et ceci est un phénomène permanent, évident… sauf pour nos « chefs » qui ferment les yeux et les oreilles et se gargarisent de banalités à propos du terrorisme, phénomène différent dans son application aléatoire (ou stochastique, pour les amateurs de grands mots).

La réalité qui sous-tend les deux phénomènes est unique : cités de non-droit et terrorisme sont exclusivement liés au monde arabo-musulman, africano-musulman, et proche- ou moyen- oriental… bref, des immigrés qui perturbent la vie sociale au lieu de l’enrichir par le travail, qui enquiquinent tous les Européens avec une religion exotique barbare, rétrograde, obscurantiste dont nul Européen doté d’intelligence ne veut. Ne pas le reconnaître, c’est nier l’évidence des faits (soit, pour un médecin : délirer).

La solution, Valls, est simple : organiser le grand retour des musulmans dans le Dâr al-Islam (en termes moins savants : chez eux), pour que nous soyons de nouveau, Français de souche européenne, chez nous. Sinon, ce qui se passe quotidiennement à Vaulx s’étendra aux communes de France… et l’on verra comment réagissent de vrais fils de France. Et ce ne se fera pas « dans la dentelle » !

01:20 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'histoire du Canada français racontée par Jean-Claude Rolinat et Remi Tremblay

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Entretien avec Rémi Tremblay, auteur avec Jean-Claude Rolinat du livre Le Canada français, de Jacques Cartier au génocide tranquille, éditions Dualpha, préface de Richard Le Hir, ancien ministre.

(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

Quels sont les événements marquants du nationalisme au Québec ?

Le nationalisme moderne québécois débute évidemment après la Confédération en 1867. Avant, il y eut certes des mouvements qu’on pourrait qualifier de nationalistes canadiens-français comme les Métis de Louis Riel et même dans une certaine mesure les Patriotes, mais c’est avec la fondation du Canada que le nationalisme québécois prend réellement son sens. Depuis cette date, le nationalisme canadien-français s’oriente sur la survivance de notre peuple au sein du Canada (comme Lionel Groulx le préconisait) ou carrément en en sortant comme Paul Bouchard, les frères O’Leary, Raymond Barbeau et autres le préconisèrent dès les années trente du siècle dernier.

La sortie de la confédération, le souverainisme en d’autres mots, fut une idée relativement marginale, l’autonomie comme Maurice Duplessis, qui est en quelque sorte le Salazar québécois, le préconisa.

Dans les années soixante, elle revint par contre à l’avant-plan et devint plus acceptée par la population. Seulement, cela se fit en même temps que la Révolution Tranquille qui est, si on veut, un mai 1968 généralisé. Les Canadiens français devinrent des Québécois, la société fut laïcisée et le mouvement nationaliste qui était de droite jusqu’alors, vint à se transformer en mouvement de gauche faisant la promotion d’un souverainisme épuré de toute référence ethnique et religieuse. René Lévesque fut l’incarnation même de cette transformation en néonationalisme.

Depuis, avec le Parti Québécois membre de l’internationale socialiste, l’idée souverainiste est quasiment devenue un monopole de la gauche, bien que de nombreux hommes et femmes de la droite de conviction l’appuient silencieusement, considérant la souveraineté comme un objectif méritant de compromettre le reste.

Nous avons eu un référendum perdu en 1980 et ensuite en 1995. Seulement, ce dernier fut une défaite crève-cœur ; la majorité des Québécois de souche (Canadiens français) ayant voté en faveur de la souveraineté. Depuis, le Parti Québécois a été relégué au second plan et la domination libérale à Québec semble inébranlable.

Qu’en est-il de la sphère politique actuelle au Québec, le nationalisme y occupe-t-il toujours une place ?

Actuellement, le seul nationalisme encore promu est le nationalisme civique parfois teinté de nationalisme linguistique. Le Parti Québécois parle de souveraineté, mais pour eux, quiconque réside au Québec est Québécois et on adopte une certaine forme de multiculturalisme. On met des gants blancs pour parler de langue, on tente d’avancer l’idée de laïcité à la française pour enrayer la montée de l’Islam, mais dans les faits, le Parti Québécois partage la même vision de la nation que le Parti Libéral, à la seule différence qu’il souhaite l’indépendance de la province. Les arguments amenés sont surtout économiques et politiques, sur le poids du Québec notamment, mais cela devient un non-sens, puisque toutes les provinces pourraient parler d’indépendance en se basant sur ces deux critères. Ce qui donne un sens réel au combat souverainiste c’est bien que le Québec soit peuplé majoritairement d’un peuple, d’une nation à part entière qui est différente du reste du Canada.

Quelle est la réalité de l’immigration au Québec ?

De nombreux penseurs souverainistes ont eu par le passé la clairvoyance de voir dans l’immigration un moyen de faire des Québécois un peuple parmi tant d’autres au Canada et même de nous noyer dans notre propre province. La naturalisation de milliers d’étrangers à la veille du référendum nous prouve que l’immigration a été instrumentalisée pour mettre fin aux aspirations du Canada français.

Au Québec, le Parti libéral est maintenant capable de régner malgré la quasi-absence de soutien chez la majorité canadienne française. En étant supportée en bloc par les minorités ethniques et linguistiques, il réussit à se maintenir au pouvoir, les Québécois de souche divisant leur vote entre la Coalition Avenir Québec et le Parti Québécois. Le Parti libéral se doit donc, s’il veut survivre, de continuer à ouvrir les portes de l’immigration de masse. Logiquement les autres partis devraient s’y opposer, mais la chape du politiquement correct est telle que personne n’ose remettre en question ce paradigme, ce qui fait qu’il y a consensus en faveur de l’immigration auprès des élites politiques, bien que les sondages démontrent que les Québécois n’en veulent plus.

Montréal est devenue une ville cosmopolite, avec une minorité d’élèves canadiens français dans les écoles. C’est un fait, c’est tangible. C’est le Grand Remplacement prophétisé par Renaud Camus, ou le Génocide tranquille si on veut.

Le Québec a récemment eu la visite de Marine Le Pen et les médias ont rapporté un accueil plutôt froid chez vous…

Comme je l’ai écrit dans un article pour le quotidien Présent, la désinformation en France sur le voyage de Marine Le Pen au Québec était grotesque. L’accueil fut froid de la part des élites, c’est un fait, mais ce fut l’événement de l’hiver. Elle eut une couverture médiatique incroyable, inégalée même. Ses moindres paroles étaient rapportées dans les médias, ce qui fait que, pendant une semaine, on eut droit à un véritable débat sur l’immigration, ce que la journaliste de la chaîne gouvernementale Anne-Marie Dussault n’a certes pas apprécié !

Pour l’impact sur les groupes nationalistes, un événement tangible découlant de cette visite est la création du groupe Horizon Québec Actuel qui veut se faire le porte-parole des idées frontistes au Québec. Ce genre de groupe peut susciter le débat et nous espérons qu’il parviendra à se faire une place et remettra en cause l’immigration de masse, ce que la Fédération des Québécois de souche était seule à faire par le passé.

Le Canada français, de Jacques Cartier au génocide tranquille de Jean-Claude Rolinat et Rémi Tremblay, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 260 pages, 25 euros.

Le commander en ligne cliquez ici

Par correspondance : en envoyant 28 € (25 € + 3 € de port) à Synthèse nationale 116 rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement)

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