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mardi, 26 juillet 2016

La nation et le peuple en arme

Carl lang.jpgCarl Lang

Président du

Parti de la France

Le Parti de la France s’associe à la douleur des proches du prêtre égorgé et des fidèles blessés par les assassins islamistes et apporte à la communauté des catholiques de France son soutien indéfectible.

Il est temps que nos compatriotes comprennent que les niaiseries déclamatoires du « vivre ensemble », les appels répétés à la « fraternité citoyenne et républicaine » ainsi que les logorrhées politiques et médiatiques du « pas d’amalgame » ne sont pas une réponse aux actions révolutionnaires et terroristes menées par les « soldats de l’Islam ».

Le Parti de la France qui a déjà présenté ses mesures de sécurité nationale et de défense du peuple français rappelle l’urgente nécessité de constituer une garde nationale de 100 000 volontaires, formés, encadrés et armés en toutes circonstances, comme première étape d’une nation et d’un peuple en armes.

La France et son peuple sont aujourd’hui en état de légitime défense.

Les effectifs annoncés par le ministre de l’Intérieur de la « réserve opérationnelle » composée de 9 000 volontaires dans la gendarmerie et de 3 000 dans la police sont dérisoires au regard des enjeux de sécurité intérieure et de la guerre de religion que nous font les militants de l’Etat islamique.

La réponse se doit d’être aussi une réponse politique à cette guerre politico-religieuse et révolutionnaire.

Le Parti de la France appelle tous les sympathisants de la cause nationale attachés à la défense de notre modèle de civilisation, à notre sécurité et à nos libertés ainsi qu’au droit du peuple français à rester lui-même à s’engager à ses côtés afin d’organiser la résistance nationale.

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Egorgement d’un prêtre en France – Notre Sainte Colère

Alain-Escada-20juin2015.jpgAlain Escada

Président de Civitas

La France – et avec elle toute la Chrétienté – est à nouveau plongée dans l’effroi. L’Etat Islamique revendique l’envoi ce matin de deux hommes dans l’église de Saint-Etienne-du Rouvray, où ils ont égorgé un prêtre et blessé grièvement un fidèle. Les deux ignobles barbares sont ensuite morts sous les tirs de la police

Notre devoir est de prier pour le repos de l’âme de ce prêtre, de prier pour le fidèle blessé, de prier pour leurs familles.

Mais il est aussi de notre devoir de laisser éclater une sainte colère. “Le silence est la plus grande persécution. Jamais les saints ne se sont tus.” (Blaise Pascal)

De par le monde, et notamment au Proche-Orient, il n’est hélas pas rare que des prêtres et leurs fidèles payent encore le prix du sang. Leur martyre ne soulève pourtant que peu de compassion en cette Europe déchristianisée et laïciste.

Désormais, les barbares commettent leurs attentats et leurs crimes abominables à l’intérieur même de nos villes. Nous payons ainsi le prix de la folie des autorités politiques et religieuses.

En 1974, le président algérien Boumediene avertissait : “Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis.”

Hélas, nos gouvernements successifs, et avec eux une grande part du clergé, ainsi que les médias et la haute finance, ont livré notre continent européen à ce qu’il faut appeler une invasion migratoire.

Après avoir organisé le chaos en Irak, en Syrie, en Libye, des cercles mondialistes précipitent ainsi l’Europe dans une guerre sur son propre sol.

- C’est une sainte colère que nous avons à l’encontre de nos gouvernants dont la mission est d’assurer le bien commun de leur peuple mais qui ont tout fait pour l’abandonner au danger.

- C’est une sainte colère que nous avons à l’égard de cette part du clergé qui confond charité et grand remplacement.

- C’est avec une sainte colère que nous réclamons à la tête de la France des dirigeants qui, comme naguère à Poitiers, allient force et détermination pour stopper une invasion meurtrière.

- C’est avec une sainte colère que nous réclamons dans nos églises et nos évêchés un clergé qui, comme autrefois à Lépante, forme une armée priante aux côtés de l’armée combattante avec la volonté commune d’empêcher l’invasion.

“L’amour surnaturel de l’Eglise et l’amour naturel de la patrie procèdent du même et éternel principe. Tous les deux ont Dieu pour auteur et pour cause première, d’où il suit qu’il ne saurait y avoir entre les devoirs qu’ils imposent de répugnance ou de contradiction.” (Léon XIII, Encyclique Sapientiae Christianae)

- C’est avec une sainte colère que nous exigeons que des mesures immédiates soient prises pour mettre hors d’état de nuire tous les individus fichés pour appartenance ou sympathie avec un réseau islamiste proche de l’Etat Islamique, du Front al-Nosra ou de quelconque autre groupe d’égorgeurs présentés comme “modérés” lorsqu’ils agissent en Syrie et armés là-bas par nos gouvernants pour renverser Bachar el-Assad, groupes dont nous voyons aujourd’hui la véritable nature directement sur notre sol et qu’il faut éradiquer avec toute la force nécessaire.

- C’est avec une sainte colère que nous exigeons l’arrêt immédiat de toute immigration d’origine extra-européenne.

- C’est avec une sainte colère que nous exigeons le grand rembarquement de toute cette immigration d’origine extra-européenne arrivée avec la bénédiction de Madame Angela Merkel et de François Hollande.

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Pendant que les islamistes tuent, les politiciens s’invectivent.

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Bernard Plouvier

L’expérience des deux guerres mondiales et celle tirée de conflits plus récents ont largement démontré la pertinence de la phrase anglaise : Business as usual… les affaires se poursuivent, par tous les temps !

De fait, le sultan turc et son entourage commercialisent le pétrole de l’État Islamique de Mossoul, alors que l’État turc fait théoriquement partie de la coalition formée pour abattre Daesh et son calife autoproclamé, Abou Bakr II.

Chez nous, ce n’est pas mieux. En cet été de l’An 2016, où presque chaque jour amène son lot de faits-divers islamo-toxiques, nos vaillants politiciens échangent des injures. En ce 26 juillet, où des racailles musulmanes viennent d’égorger un prêtre lors de sa messe, dans une commune proche de Rouen, la polémique enfle, moins à propos des dramatiques carences de la Police nationale, à Nice, le soir du 14 juillet, que du mal à l’ego de notre distingué – et si efficace – ministre de l’Intérieur.

Or, si l’avenir politique des sieurs Estrosi et Cazeneuve est engagé – et un honnête citoyen peut considérer qu’il s’en moque royalement -, ce furent plus de 80 promeneurs qui trouvèrent la mort, ce soir-là, et 200 autres qui y débutèrent leur calvaire de blessés et, pour certains, d’invalides.

La polémique actuelle porte sur d’éventuelles pressions qui auraient été exercées par la hiérarchie policière, voire (c’est là que gît la bombe politique) par les honnêtes hauts-fonctionnaires du ministère de l’Intérieur, sur une agente de la Police municipale de Nice, dont les idées et l’engagement politique seraient proches de celles du Président de la région et adjoint du maire de Nice, dénommé Estrosi.

Aux dernières nouvelles, cette policière se plaindrait qu’on lui ait demandé de certifier qu’elle voyait une (ou des) voiture(s) de Police nationale là où elle n’en voyait point. Il devrait être simple de déterminer s’il existait ou non de telles voitures aux points où fonctionnent les appareils d’enregistrement… à condition de ne pas faire disparaître les traces de cette vidéo-surveillance !

Car, l’État français et sa merveilleuse Police nous ont habitués à certaines curiosités : ministres ô combien intègres et si respectueux de l’honneur féminin, policiers irréprochables (à Lyon et ailleurs), hauts-fonctionnaires tant économes de l’argent public, etc. Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur et des Cultes serait « nauséeux », nous apprend la presse de gauche. L’on espère surtout, pour la réputation de l’État, qu’il n’est pas nauséabond.

Mais, assez parlé de politicaille (à relents maçonniques, puisque l’on sait que la haute hiérarchie de la Police est fortement infiltrée de Frères Trois Points). On se moque des états d’âme d’un Cazeneuve comme de ceux d’un Estrosi. La question n’est vraiment pas là.

En France, l’été de 2016, des paumés de banlieue, des fruits pourris de l’immigration musulmane tuent de façon quasi-quotidienne : on tire, on égorge, on use de camions-béliers et l’on peut imaginer sans peine que, dès que l’approvisionnement sera de nouveau assuré, les petites frappes du djihadisme vont reprendre le maniement des explosifs.

Tous sont des musulmans, des haïsseurs d’infidèles, en même temps que des sociopathes, Ces abrutis, mal élevés par des parents indignes, sont passés de la délinquance au crime de droit commun. Ce sont des électrons-libres, non-contrôlés par qui que ce soit, qui veulent simplement faire parler d’eux, devenir des héros pour d’autres crétins de banlieues, et jouir du bizarre paradis (fait de banquets et d’orgies) d’un certain allah.

Face à ces déchets intellectuels et sociaux, les mesures à prendre doivent être radicales : les détecter par l’espionnage des banlieues et des mosquées-salles de sports de combat, les capturer discrètement, les interroger sans ménagement et les faire disparaître. Puis agir de même avec celles et ceux que les premiers capturés ont dénoncés ou qui les ont aidés.

Hélas, pour l’heure, alors que l’islam tue quotidiennement, on amuse la galerie avec l’ego surdimensionné de politiciens. Manifestement, la Ve Ripoublique, agonisant dans la bêtise et l’abjection, n’est plus adaptée à l’évolution de notre société.

À l’heure du péril, l’on n’a nullement besoin de raisonnements humanistes, mais de mesures de Salut Public. Nous sommes en guerre et, à la guerre, la modération est pure imbécillité.

15:17 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pendant que le gouvernement s'enlise dans l'affaire de Nice :

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13:36 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Après l'attentat islamiste de Rouen : la réaction de Thomas Joly (Parti de la France)

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Réaction de Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France

Dans une église située à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime). Deux pourritures islamistes armées sont entrées dans l'édifice alors qu’une messe se déroulait, égorgeant un prêtre (décédé) et un paroissien (grièvement blessé), et prenant en otage 5 personnes. La police a rapidement donné l'assaut et abattu les deux raclures musulmanes.

La guerre islamique continue en France et le gouvernement refuse de désigner l'ennemi ni même d'entrer en guerre contre le terrorisme directement lié à la clonisation migratoire.

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12:45 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |