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mardi, 25 octobre 2016

Une « culture du viol » ou une faiblesse coupable envers les pervers crapuleux ?

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Bernard Plouvier

À compter des années 1980 sq. (les « années Mitterrand », soit le début de l’invasion-immigration de masse), les Français ont appris à connaître les viols en tournante. Il a fallu beaucoup de temps pour que les media (pas tous, d’ailleurs) osent évoquer le grave problème de l’origine raciale de la quasi-totalité des violeurs et le caractère quasi-constamment européen ou extrême-oriental des victimes.

L’horreur de la soirée et de la nuit du 31 décembre 2015 à Hambourg, Stuttgart et surtout Cologne, reste dans toutes les mémoires des Européens qui ne supportent plus cette immigration arrogante, violente, quasi-bestiale (le viol collectif est bien connu chez nos « amies les bêtes », singulièrement chez les chiens et les singes)

Et pour l’exemple de Stuttgart, l’amateur d’histoire est comblé. Les petites-filles des violées de 1945 (par les soldats de couleur de la Ière Armée française) ont vécu – petitement – ce qu’avaient connu leurs aïeules. À l’époque, le scandale avait été considérable, au point que Dwight David Eisenhower avait ordonné à de Lattre de faire quitter la ville par ses troupes et les Allemands de Stuttgart furent temporairement administrés par l’US-Army.

Depuis, des études sociologiques ont démontré que les viols – soit des relations sexuelles forcées – perpétrés par les G.I.’s sur des Européennes étaient le fait de soldats noirs dans 75% des cas… même si ce genre d’étude des dossiers de la Justice militaire ne plait pas aux délicats enseignants dotés d’une structure mentale « libérale ».

Au Canada, les universités ne sont guère des havres de paix pour les étudiantes. Chaque année ou presque apporte son scandale de viols en série : en 2013, ce fut le cas de l’Université de Colombie-Britannique, en 2014, ce fut au tour de celle de la capitale fédérale (Ottawa). Dans la nuit du 14 au 15 octobre du cru 2016, ce sont les étudiantes de la prestigieuse Université Laval de Québec qui ont goûté aux charmes pervers du « brassage des races et des cultures ».

Dans la seconde partie de cette folle nuit, 15 d’entre elles ont été surprises dans leur sommeil par 3 étudiants. Jusqu’à présent, seules quatre ont porté plainte pour « agression sexuelle », d’autant plus que, dans un premier temps, les autorités de l’Université ont tout fait pour minimiser « l’incident »… en quelle que sorte, il s’agissait d’erreurs de localisation de gentils étudiants, qui s’étaient trompés d’étage ou de « piaule ».

Le tapage exercé par les parents a forcé les enquêteurs à sévir et deux des trois coupables ont été d’autant plus facilement arrêtés (avec une semaine de délai !) qu’ils étaient connus de tous. Les deux étudiants incarcérés sont du plus bel ébène (on ne sait encore pour le troisième) : un « Canadien » issu du Cameroun et un « Français » venu de Guinée. La sœur de ce Franco-guinéen se dit choquée, décrivant le petit frère (de 19 ans) comme un prix de vertu, « normal et calme », ajoutant même que la « famille comptait sur lui » !

Une fois séchées les larmes sur le sort de « l’innocent coupable » (exclu de l’université) – car les media canadiens bien-pensants et bien-écrivants, des media globalo-mondialistes, s’intéressent davantage à l’avenir des crapules perverses qu’au sort des victimes -, il est souhaitable de réfléchir un peu à la prolifération des viols à caractère raciste en Occident.

Dans toutes les races et dans toutes les sociétés existent des psychopathes et des pervers qui veulent faire immédiatement suivre leurs émois sexuels par un assouvissement, soit par la séduction, soit par la contrainte (physique ou par le moyen de l’alcool ou des tranquillisants administrés à la « cible »). Ce type de comportement a toujours existé, en tous pays.

Les nouveautés, du moins en Occident et en temps de paix officielle, ce sont les viols en série (plusieurs cibles touchées en peu de temps par la même crapule sexuelle) ou en tournante (une association de malfaiteurs débauchés portant sur la même personne). Ce type de comportement est bien connu des historiens : on le rencontre en période de guerre, singulièrement dirigé contre les populations vaincues ou occupées.

Bien plus que d’une « culture de viol », il s’agit d’une réaction de mâles conquérants, d’individus se croyant tout permis, se considérant d’une essence supérieure, car dominant des populations aveulies et amollies.

À ces déficients de la conscience éthique, les pseudo-motivations rationnelles ne manquent pas. Que ce soit au nom de leur race ou d’un dénommé allah, en éventuelle rétorsion des misères réelles ou supposées infligées à leurs (très lointains) frères de race par de vilains esclavagistes, tout est bon aux psychopathes, aux sociopathes, aux pervers pour justifier leurs actes.

Il est évident que la faute principale revient aux autorités des États où se perpètrent de telles atrocités. Le laxisme politico-judiciaire a transformé l’Occident en terrain de chasse pour les pires rejetons de l’immigration-invasion… et il serait bon que, de leur côté, les immigrés honnêtes condamnent fermement, ouvertement, leurs crapules perverses, au lieu de sortir des excuses minables, dictées par une absurde solidarité. On ne peut se sentir solidaire de l’abjection, d’où qu’elle vienne.

La répression doit être puissante, adaptée au crime commis et en tenant compte du risque de récidive : l’assassin doit être exécuté et le violeur amputé du membre dont il a fait un usage vil et non viril.

Pour re-pacifier nos cités, il faut retrouver un esprit mâle. La stricte équité commande que le coupable soit puni en proportion de son crime. Et ceci est bien plus réconfortant pour les victimes et leurs proches que toutes les « cellules de crise » et autres inutilités qui ne règlent rien, accroissant au contraire la frustration des sujets lésés. Moins de baratin gnangnan et de baragouin psychanalytique et davantage d’actes : c’est de cela dont l’Occident a besoin pour sortir de son marasme moral.               

11:00 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

60 ans après le soulèvement patriotique de Budapest : la Hongrie montre à nouveau l'exemple

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Faire de notre jeunesse une race de guerriers et de maîtres

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Un communiqué de Breiz Atao cliquez ici :

Que voulons-nous ? C’est la question qui se pose logiquement une fois que nous avons énoncé ce dont nous ne voulons pas et, plus précisément encore, ceux dont nous ne voulons pas.

Pour le peuple breton, le moment est venu d’en finir avec les résidus de socialisme post-chrétien qui, mâtinés de spasmes ovariens, tiennent lieu d’idéologie dominante à la bourgeoisie sénile qui milite activement pour notre destruction raciale.

Nous ne devons plus tolérer de compromis avec la vieillerie dégénérée qui chie son indignation compassionnelle dans les cerveaux frais de notre jeunesse. Notre tâche, notre mission historique face à l’invasion africaine et musulmane, consiste à dresser la jeunesse bretonne dans l’esprit guerrier, éveiller son instinct de conservation face aux ennemis de l’intérieur et de l’extérieur qui œuvrent activement à son anéantissement.

L’avenir de tout peuple repose sur les épaules de sa jeunesse. De celle-ci dépend la continuité d’une longue chaîne de transmission.

Des empoisonneurs conspirent actuellement pour l’assassiner par procuration. Les noms de cette fin de race au regard bovin sont connus : ce sont tous ces curés de l’humanitarisme à faces diarrhéiques qui se bousculent sur les ondes ou qui se répandent dans les colonnes de la presse humanitaro-marxiste pour lui ordonner de consentir au suicide ou à la mort lente.

Nous devons en finir avec les cagots armoricains du socialisme pourrissant dans la marmite de l’égalitarisme. La seule présence, au sein du corps national, de ces gardiens de vaches faisant dans leurs couches à la seule vue d’une manifestation de virilité confine à l’obscénité.

Pour nous et notre jeunesse, nous ne voulons pas nous déféquer dessus tout en pleurant afin de communier avec les masses inaptes du tiers-monde. Nous sommes des athées de cette religion de l’échec.

Nous voulons forger une race de maîtres, donc d’hommes libres. Nous ne voulons pas de la grande partouze négrificatrice que nous promet la curaille rouge de l’église antiraciste crépusculaire. Ce serait la fin de la civilisation et de la culture européennes.

La rage, la colère, la furie doivent se lever dans les cœurs de la jeunesse celtique. C’est cette colère primitive que nous devons réveiller, sursaut vital indispensable au salut de notre peuple. Notre objectif consiste à doter celle-ci d’une volonté d’acier et d’une haute conscience d’elle-même et de sa tâche. Nos conceptions doivent progressivement refonder son imaginaire afin qu’elle remette en mouvement notre peuple, fort de sa mémoire profonde.

Si nous voulons affranchir notre peuple, il nous faut dissiper les ferments de mort qui stagnent dans les marais puants qui nous entourent et qui conduisent actuellement nos enfants à l’abîme.

Et pour cela nous devons imposer l’élitisme et la culture de la guerre. Ce qui suppose une claire identification de l’ennemi.

09:37 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine

07:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Islamalgame, voyoucratie et utopisme

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Pieter Kerstens

Toute personne curieuse aura pu constater que les attentats commis depuis 25 ans en Europe (et depuis 1956 par le FLN et le MNA en France) sont majoritairement le fait de musulmans prétendus intégrés dans la société « multiculturelle ».

Les tueries de Charlie Hebdo en janvier 2015 et du super casher à Paris, du Bataclan et des terrasses le vendredi « noir » 13 novembre 2015 toujours à Paris et des attentats dans le métro et à l’aéroport de Bruxelles, le 22 mars 2016 ne sont donc pas des faits « nouveaux » et « imprévisibles » comme les médias et les politiciens ont essayé de nous le faire gober.

Il y a eu en 2001 les trois tours du WTC et l’explosion au Pentagone, puis en 2004 les attentats de la gare Atocha à Madrid et ceux commis en juillet 2005 dans les transports publics à Londres. Il ne faut pas venir nous raconter que c’est une « surprise » …d’autant plus qu’au fil des multiples enquêtes, il apparaît que tous ces massacres, tueries et attentats ne sont pas du tout la conséquence d’actes isolés commis par des « radicalisés récents », des « déséquilibrés » ou encore des « êtres fragilisés » en proie aux affres d’une société « stressante ».

De Khaled Kelkal au duo d’assassins qui ont égorgé le prêtre dans son église de Saint-Etienne du Rouvray, TOUS sont des fidèles d’ALLAH « le plus miséricordieux ».

TOUS ont été de petits voyous avant de devenir de grosses crapules.

TOUS ont tué pour répandre la terreur.

TOUS avaient un casier judiciaire abondamment fourni.

TOUS avaient pour but de massacrer des infidèles.

TOUS ont échappé à la vigilance des services de sécurité et au suivi de la Justice.

Alors pourquoi les gouvernements et le renseignement intérieur ne peuvent-ils pas mettre ces criminels hors d’état de nuire ?

Pourquoi, depuis 25 ans ces fanatiques ont-ils réussi à déjouer la Loi et l’Ordre ?

Pourquoi le Régime refuse-t-il de porter le fer dans la plaie, de nettoyer les quartiers « difficiles » et les 64 Zones de Sécurité Prioritaire, comme il le devrait ?

Par déni des réalités ? NON ! Par faiblesse, par lâcheté et par félonie.

Vidons ces ordures politiques - réels collabos de la cinquième colonne islamo-terroriste - ceux de la gôche caviar et de la droite cosmopolite, accoquinées aux Ecolos et aux Centristes & Humanistes...  Avant qu’il ne soit trop tard !

00:57 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lancement de la revue "Confrontation" : un entretien avec Jean-François Touzé, son rédacteur en chef, sur Riposte laïque

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Source Riposte laïque cliquez ici

Nous avons découvert une nouvelle revue, qui raconte des choses souvent semblables à ce qu’on lit dans Riposte Laïque. Raison de plus pour en savoir davantage sur les animateurs de « Confrontation ».

Riposte Laïque : Vous êtes assez connu dans certains milieux militants, mais pas de tous nos lecteurs. Pouvez-vous leur expliquer rapidement qui vous êtes ?

Jean-François Touzé : Je crains, en effet, d’être assez connu des services de police de la pensée politique. En trente cinq ans d’engagement militant au service de la France et de la civilisation européenne, j’ai essayé de rester fidèle à une certaine idée que je me fais de la Nation et de l’humanisme occidental. D’abord au Front National où, par deux fois, – de 1982 à 1989, puis de 1999 à 2008- j’ai exercé un certain nombre de responsabilités au sein de l’appareil – secrétaire national, membre du Bureau politique, directeur de campagne de Jean-Marie Le Pen, élu régional d’Ile de France et conseiller de Marine.

Ensuite, ou entre temps, en initiant d’autres aventures – mouvements, clubs, journaux- qui m’ont permis de tisser un réseau d’amitiés et de convictions fidèles, avec, bien sûr, en contrepartie, quelques détestations inévitables dans un parcours militant long et nécessairement accidenté lorsque, comme moi, on fait sienne la sentence du Cardinal de Retz : « Il faut parfois savoir changer de parti pour ne pas avoir à changer d’idées ». Au final, comme les parachutistes du REP, je ne regrette rien si ce n’est que, jusqu’à présent, nous n’avons pas su enrayer l’affreuse marche de notre pays vers sa mort. Pour le moment… Car, malgré les tendances lourdes de la décomposition, je demeure optimiste. Vouloir c’est encore pouvoir et la vie commence toujours demain.

Vous venez de publier le numéro un d’une nouvelle série, trimestrielle, appelée « Confrontation ». Le titre paraît sans ambiguïté : « Immigration, islamisation, faire face ». Pourquoi cette revue, et quels en sont les objectifs ?

Comme vous, Pierre Cassen, et comme des milliers de patriotes, je suis hanté par la montée des périls. L’offensive que mène contre le monde occidental le totalitarisme islamique- offensive qui n’est, au vrai, que la énième poussée de la ruée musulmane dans sa volonté millénaire, eschatologique et ininterrompue, de conquérir le monde au nom d’Allah- ne peut laisser la moindre place à la faiblesse, au découragement, au renoncement. Faire face c’est refuser de se résigner. C’est combattre avec les armes du moment et des circonstances, jusque à son dernier souffle, faute de quoi, ce que nous avons fait les uns et les autres depuis tant d’années n’aurait servi à rien. La situation nous oblige et les menaces nous commandent. C’est la raison pour laquelle lorsque Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, à qui me lient tant d’années d’amitiés et de combats, m’a proposé de prendre la responsabilité rédactionnelle d’une revue destinée à la réflexion mais aussi à la mobilisation et à l’action politique contre l’Islamisme, son vecteur principal l’immigration, les réseaux militants de l’ultra gauche qui ont fait la jonction avec lui, les intérêts économiques ou médiatiques qui les soutiennent, je n’ai pas hésité une seconde.

Ecrire, c’est clamer, parfois dans le désert, mais toujours utilement. Sachant qu’une revue n’est pas une fin en soi mais doit s’inscrire dans un ensemble qui lui-même doit être l’embryon d’un front commun pour le salut national dont je ne doute pas qu’il se fera un jour. Le plus tôt possible bien sûr, car les jours nous sont désormais comptés.

Vous venez de sortir le premier numéro, et éclate la crise des clandestins de Calais, que les populations rurales, mais aussi urbaines, ne veulent pas, mais aussi celle des policiers, qui ne supportent plus d’être envoyés au massacre par les socialistes et la hiérarchie policière. Quel est votre regard sur ce double phénomène ?

Nul doute que les Français prennent peu à peu conscience de la réalité d’une situation de désastre où les ont menés quarante ans de politique immigrationniste, de laxisme et de pratiques publiques du chien écrasé au fil de l’eau, conduites par une classe dirigeante, droite et gauche confondue, qui, par idéologie, par lâcheté ou simple facilité, ont laissé entrer chez nous des millions d’allogènes , immigration initialement « de travail », puis immigration de chômage et de délinquance, et enfin aujourd’hui immigration de peuplement et de colonisation.

Ce qui se passe à Calais est évidemment emblématique. Ces milliers d’hommes (peu, si peu de femmes, ce qui devrait alerter même les consciences les plus assoupies) qui s’entassent face à la mer… Ces milliers d’hommes qui vont être répartis dans nos campagnes… Ces milliers d’autres qui arrivent et remplaceront ceux qui auront été non pas expulsés mais déversés dans toute la France… C’est le tonneau des Danaïdes migratoires.

Quant aux policiers, au contact permanent avec la réalité de l’horreur des cités et, plus largement, de ce qu’est devenue la rue française, ils savent à quoi s’en tenir. La révolte actuelle trouvera sans doute ses limites, cette fois-ci encore par l’action des syndicats récupérateurs et les « cadeaux apaisants » du pouvoir. Encore une minute monsieur le bourreau. De la même manière les professeurs et proviseurs qui se font tabasser n’ont pas encore tout compris non plus que les personnels de santé. Et les capacités de « résilience » bobo de nos compatriotes confrontés aux massacres terroristes de masse arabo-musulmans restent immenses comme le montre la pratique de la bougie réparatrice après chaque attentat. Mais nous arrivons petit à petit au moment ultime où rien ne tiendra plus. Ce sera alors l’heure de vérité.

Dans nombre d’interviews, Philippe de Villiers accuse la classe politique française d’être vendue aux émirats, et profondément corrompue. Vous le croyez, et c’est une découverte pour vous ?

Villiers a parfaitement raison et il a le mérite de mettre à jour le secret de polichinelle longtemps scellé : « Malheur à toi si tu révèles le secret, malheur à toi si tu ne le révèles pas » dit le livre du Zohar. Depuis des décennies la classe politique entretient avec les pays arabes et les émirats en particulier des liens qui ne sont, certes, pas, que footballistiques ou hôteliers. Si l’Arabie Saoudite ou le Qatar « se paye » la France et nombre de ses dirigeants, ce n’est pas évidemment pas dans le seul souci de ses activités commerciales ou financières. Cela s’inscrit dans un dessein bien établi, bien conçu, ancien et travaillé. Comme les bolcheviques de Lénine, les islamistes n’ont pas de montre. Le temps travaille pour eux.

Mais les femmes et les hommes politiques qui, par cupidité ou habitude, se sont livrés pieds et mains liés aux pays arabes devront, le moment venu, répondre de ce crime de haute trahison.

Comment expliquez-vous que 70 % des Français ne veulent plus d’immigration, ne veulent plus entendre parler de l’islam, mais que le même nombre vote pour des candidats qui leur amènent ces deux fléaux ?

Le Système est bien fait qui sait encadrer les révoltes, endormir les rebellions et faire taire, par dérivation, les velléités libératoires. Le jeu infect des primaires, les amusements politiciens, les leurres médiatiques participent de ce grand sommeil. Mais la mouche tsé-tsé du pouvoir ne jouera plus très longtemps son rôle narcotique.

Toutes les initiatives qui sont prises aujourd’hui par les patriotes vont dans le sens du réveil. Encore faut il qu’ils sachent se rassembler et surtout qu’une offre politique claire, nette, sans ambiguïté réponde à la demande et à l’attente des Français. J’appelle de mes vœux ce sursaut vital.

Comment vous situez-vous, à présent, dans le paysage politique français ?

Je n’ai plus d’appartenance partisane depuis mon départ de la direction du FN en 2008 et la fin de mon mandat en 2010. Je continue d’animer mon petit réseau d’amis fidèles en espérant qu’il servira un jour. Et, à coté de Confrontation, d’être présent autant que je le peux sur les réseaux sociaux. Je regarde avec sympathie les initiatives prises par les uns et les autres qu’il faudra bien un jour sinon fédérer, au moins cimenter dans le but unique du relèvement de la France et de la conservation civilisationnelle. Je garde bien des amis aux FN dont je connais la flamme militante. D’autres l’ont quitté et sont aujourd’hui avec Carl Lang au sein du Parti de la France. Mais bien d’autres structures existent qui ne viennent pas de la droite nationale et sont constituées de patriotes exemplaires. Je pense ainsi à des responsables militants comme Jean-Marc Moskowicz dont je peux témoigner de l’amour de la France. Sans parler des intellectuels comme Eric Zemmour et quelques autres dont le rôle est majeur. Et bien entendu, vous Pierre Cassen et Christine Tasin qui, avec Riposte Laïque et Résistance républicaine, menez un combat de pointe.

Je crains, tout en souhaitant me tromper, que la prochaine présidentielle ne soit pas à la hauteur des espérances de nombre de patriotes. Je suis certain, en revanche, que le plus large rassemblement se fera pourtant très bientôt. Encore faut-il le permettre. C’est à cela que nous travaillons tous.

Comment peut-on se procurer « Confrontation » ?

En le commandant au numéro ou en s’abonnant auprès des éditions Synthèse nationale cliquez ici.

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Propos recueillis par Pierre Cassen

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Saint-Bauzille (34) : démission de tout le conseil municipal et action mercredi !

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Richard Roudier Porte-parole de la Ligue du Midi

« La seule liberté qui reste à un élu pour ne pas accepter une décision qu’il considère prise sans concertation, injuste et inéquitable, c’est de démissionner », c’est ainsi que la première adjointe de la mairie de Saint-Bauzille-de-Putois, Elisabeth Thérond, justifie sa décision dans un communiqué de presse dénonçant les oukases du Préfet de l’Hérault. Suite à la démission du maire Michel Issert annoncée en fin de matinée le vendredi 21 octobre, l’élue a réuni l’équipe municipale, vendredi à 18 heures, avant de rendre publique cette décision le lendemain, le samedi 22.

En moins de 24 heures, l’intégralité du Conseil municipal de Saint-Bauzille-de-Putois a décidé de démissionner par solidarité avec l’ancien édile. Ce qui fait que ce sont les dix-huit élus du Conseil municipal qui ont dénoncé l’absence de concertation du Préfet Pouëssel, qui a refusé d’entendre les soucis et les souhaits de la population. Dans la journée de dimanche on apprenait qu’un autre maire de la Communauté de commune de Ganges-Sumène aurait annoncé son intention de démissionner, laissant peut-être présager une réaction en chaine qui pourrait ne pas s’arrêter aux limites du canton.

Cette “affaire dans l’affaire” ne va pas renforcer le prestige du dit préfet car elle impliquerait, à la brève échéance de 2 mois, la tenue d’une nouvelle élection avec pour conséquence un vote protestataire inévitable. Dans le cas où la population souhaiterait sanctionner ce déni de démocratie en boudant le scrutin (en ne présentant pas de liste), la gestion de la commune passerait alors sous la tutelle du préfet en gestion directe, rappelant les pratiques du “Second Empire”. Rappelons que le vote populiste dans cette région des Basses Cévennes se situe selon les communes entre 25 et 45 % et que selon les experts, on serait encore loin du “plafond de verre”.

saintbauzillesansmigrantsFace à la morgue du préfet qui n’a apporté aucune réponse concrète aux exigences de la population énoncées lors de la réunion du jeudi 20 octobre, le collectif des mamans de Saint-Bauzille appelle à une manifestation pacifique le mercredi 26 octobre à 17 heures. Rendez-vous devant le “snack” avec des poussettes, des casseroles, des cuillères en bois et des sifflets.

Se mobiliser pour vaincre. Demain il sera trop tard!

00:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |