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lundi, 16 janvier 2017

TOUT ARRIVE : SORTIE IMMINENTE, FIN JANVIER, DU LIVRE "ÉOLIENNES UN SCANDALE D'ÉTAT"

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17:44 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine

11:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RÉFLEXIONS SUR L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE

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Pierre Vial, Président de Terre et peuple

Je n’ai aucune illusion sur Marine Le Pen et les gens de son entourage. Parler d’une « France apaisée » pour s’en faire une bannière constitue un déni du réel, ce qui est de mauvais augure pour quelqu’un qui prétend assumer les responsabilités du pouvoir.

Ceci étant, l’important n’est pas là car les suffrages qui vont se porter sur son nom ne reposent pas sur les qualités ou les défauts de la candidate. Ils seront en fait l’expression d’un ras-le-bol à l’égard du Système, d’un rejet pur et simple de ce Système et de ce qu’il véhicule, en particulier l’immigration-invasion et le Grand Remplacement qu’elle implique, qui scellerait la mort de notre identité et de notre liberté. Ces suffrages sont donc utiles car ils constituent un potentiel prérévolutionnaire.

Pourquoi ? Parce que les électeurs de Marine Le Pen seront forcément déçus (pour ne pas dire plus) un jour ou l’autre, par l’écart, puis le profond fossé existant entre les espoirs qu’ils mettent en elle et ce qu’elle prétend faire. Car, emprisonnée par son allégeance au Système, qu’elle dissimule de moins en moins, surtout sur l’immigration et la société multiraciale, elle suscitera une déception à la mesure des illusions qu’elle aura suscitées et entretenues.

Alors – et c’est là que tout peut arriver – il y aura des gens, beaucoup de gens, prêts à se rallier à l’idée que seule une solution radicale, mettant en question et rejetant l’ensemble du Système, pourra tirer du gouffre notre pays et notre peuple. Hypothèse peu probable, disent certains (pour se rassurer) mais qu’on ne peut cependant exclure totalement : si un certain nombre de Gaulois finissent, excédés, par réagir vraiment, c'est-à-dire physiquement, que se passera-t-il ? Cela s’appelle une Révolution. Une Révolution identitaire, portée par certains, dont nous sommes. Préparons-nous.

C’est à lire :

- Sylvain Tesson, Sur les chemins noirs, Gallimard, 2016, 144 pages, 15 euros.

- Philippe de Villiers, Les cloches sonneront-elles encore demain ?, Albin Michel, 2016, 316 pages, 22,50 euros.

- Michel Onfray, Décadence, Flammarion, 2017, 750 pages, 22,90 euros.

- Jean-Claude Michéa, Notre ennemi, le capital, Flammarion, 2017, 314 pages, 19 euros.

07:18 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une révolution de couleur à Varsovie ?

PiS.jpgGeorges Feltin-Tracol

La Pologne a connu une fin de mois de décembre 2016 très agitée. Dans la nuit du 16 au 17, des manifestants qualifiés par les médiats occidentaux de « démocrates » envahirent la Diète, le Parlement polonais, bloquèrent les députés et les empêchèrent de voter de nouvelles lois. Si au moment des oppositions en 2012 – 2013 sur l’horrible loi Taubira, La Manif pour Tous avait agi ainsi, le chœur médiatique aurait crié unanime au putsch, au coup d’État et à la République en danger. Il approuve au contraire ces actions illégales survenues à Varsovie.

Les élections législatives d’octobre 2015 a donné une majorité absolue au parti social-étatiste et national-conservateur eurosceptique, anti-russe, germanophobe et atlantiste Droit et justice (PiS en polonais). L’opposition libérale-conservatrice pro-européenne de la Plate-forme civique et les opposants de gauche progressiste, presque éliminés du Parlement, se sont entendus afin de rejeter les décisions du PiS.

La présidente du Conseil des ministres, Beata Szydlo, et le chef du PiS, Jaroslaw Kaczynski, sont des démocrates ancienne manière : ils n’acceptent pas que les choix souverains de la Diète soient contrecarrés par la rue, par des tribunaux dont le Tribunal constitutionnel largement composé d’adversaires politiques ainsi que par les instances supranationales de l’Union dite « européenne » qui enquêtent sans vergogne sur de supposées violations de l’« État de droit » par le nouveau gouvernement polonais. La majorité parlementaire ose en effet appliquer son programme, abaisser l’âge de la retraite, donner une allocation de 120 € par enfant à partir du deuxième, et s’attaquer à certaines vaches sacrées du Système comme le droit à l’avortement ou la suprématie des juges sur les élus.

Bruxelles et des ONG parmi lesquelles les habituelles stipendiées de l’oligarque mondialiste George Soros, excitent par conséquent une frange marginale et urbaine de nostalgiques déçus des résultats électoraux et de la grande popularité du PiS. Elle se manifeste au sein d’un fantomatique Comité de défense de la démocratie (KOD) qu’il faudrait plutôt appeler Comité d’adhésion à la ploutocratie.

L’hyper-classe eurocratique et les oligarques occidentaux ne veulent pas que la Pologne, forte de 38,5 millions d’habitants, rejoigne la Hongrie de Viktor Orban dans la catégorie novatrice et originale des démocraties illibérales au risque de susciter une contagion politique en Europe centrale, en Europe de l’Est, voire à l’Ouest. Ils montent donc un cordon sanitaire à l’extérieur et fomentent à l’intérieur une contestation dans les rues. Les dirigeants polonais sauront-ils faire face à ce début de révolution colorée ? Il faut les encourager à résister, s’il le faut, par tous les moyens.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 16, diffusée sur Radio-Libertés, le 13 janvier 2017.

07:17 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le discours en anglais de Macron à Berlin : trahison des élites !

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Marc Rousset

Marine Le Pen s’est indignée à juste titre du discours de Macron en anglais à Berlin. Tout un symbole de ce qu’est vraiment ce technocrate arriviste de la finance qui n’a pas le sens du peuple, qui n’a pas le sens de l’identité de la France, qui ne respecte pas sa langue. Macron n’a peut-être pas une tête de moule, comme il le déclarait, il y a une dizaine de jours, mais il est bien sorti de ce moule qu’on appelle l’ENA. Cette Ecole nationale d’Administration qui met aujourd’hui toute son énergie à fabriquer de jolis clones parfaitement compatibles avec la mondialisation. Des Macron en série.Rien n’est d’ailleurs laissé au hasard dans cette entreprise de démolition de la France.

L’attitude à Berlin de Macron, ancien élève de l’ENA, explique bien le scandale en cours actuellement dans cette école. Je veux parler de l’arrêté du 16 avril 2014, pris par le ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique. Cet arrêté aura pour effet que l’anglais sera, à partir de 2018, la seule et unique langue étrangère à maîtriser pour les candidats souhaitant entrer à l’ENA, alors que jusqu’à ce jour, en 2017, l’ENA pratique encore le multilinguisme. Il sera dorénavant inutile d’apprendre une autre langue que l’anglais pour entrer à l’ENA. IL en résultera une incitation très forte, à l’heure du Brexit, à poursuivre dans la voie de l’unilinguisme anglais et une démotivation pour les élèves d’apprendre dans l’enseignement secondaire une autre langue que l’anglais puisque les autres langues ne serviront à rien !

Lors de la journée de rencontre entre l’ENA et l’université allemande DUV Speyer, le 10 juin 2015 dans les locaux de l’ENA à Strasbourg, le discours introductif de la directrice de l’ENA, madame Nathalie Loiseau, devant 195 élèves allemands, français et étrangers, a été tenu en anglais. L’effet fut d’autant plus calamiteux pour le français, l’allemand et les autres langues nationales européennes, que le thème de la journée de la rencontre était : « Comment aller au-delà de nos spécificités nationales pour augmenter la coopération » ? Le discours introductif de la directrice tenu en anglais suggérait donc de renier la langue française ainsi que nos spécificités et nos identités linguistiques européennes !

Il est bien connu également que les hauts fonctionnaires français trahissent trop souvent la langue française à Bruxelles. Ce n’est pas pour rien que Pierre Moscovici a obtenu le Prix 2016 de la Carpette anglaise (1)… A quand une politique linguistique digne de ce nom d’un gouvernement français pour défendre et développer l’usage de la langue française en Europe ?

Macron aurait donc dû s’exprimer en français à Berlin en utilisant parfois quelques mots d’allemand et en ayant recours à la seule langue internationale qui est, comme l’a fait très justement remarquer Umberto Ecco, la traduction.

IL ne nous reste plus à espérer que, suite aux élections présidentielles de 2017, Macron ne soit pas élu, que le nouveau gouvernement français abrogera en 2017 l’arrêté scandaleux sur l’anglais, langue unique au concours de l’ENA, et que Macron tout comme l’ENA se verront attribués le Prix 2017 de la Carpette anglaise !

Notes:

1 - Le Prix de la Carpette anglaise est attribué chaque année par un comité d’intellectuels français, présidé par Philippe de Saint Robert, pour marquer d’infamie et livrer à la honte publique les personnalités qui trahissent la langue française et s’expriment uniquement en anglo-américain.

Source Blog de Marc Rousset

07:03 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du chaos de cette semaine

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07:00 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |