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vendredi, 20 janvier 2017

RAPPEL : Samedi 21 janvier, à Palavas-les-Flots (près de Montpellier), grand meeting de Jean-Marie Le Pen

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Et le dimanche 12 février, c'est à Mulhouse :

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19:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Arzon. Peines de prison requises à l’issue d’un procès très politique

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Nicolas Faure et son avocat, Maître Pichon

Vannes (Breizh-Info.com cliquez ici) – La salle d’audience était comble hier, jeudi 19 janvier, au Tribunal Correctionnel de Vannes. En effet, quatre manifestants, dont Ronan Le Gall et Nicolas Faure, respectivement président d’Adsav et du Lien, étaient jugés suite au rassemblement du 14 novembre 216 dénonçant une agression sexuelle commise par un migrant à Arzon.

Maître Pichon, l’avocat de Nicolas Faure, avait annoncé bien avant le procès les intentions du procureur de la République, M. Touron : ce serait un procès politique. De ce point de vue, l’audience d’hier a largement tenu ses promesses.

Les 4 prévenus comparaissaient pour des motifs différents :

Ronan Le Gall et Nicolas Faure étaient poursuivis pour avoir organisé une manifestation non déclarée. Depuis novembre, comme les autres prévenus, ils avaient interdiction de se rendre dans le Morbihan et étaient placés sous contrôle judiciaire. Ils étaient défendus respectivement par Maître Labbey-Guimard et Maître Pichon.

Les deux autres inculpés l’étaient pour des faits de violence sur les gendarmes et de forçage du portail de la CCAS durant la manifestation. S’ajoutait pour l’un d’eux des coups donnés à un employé du CCAS. Ils n’avaient pas d’avocat.

Lors des interrogatoires, le président s’en tiendra strictement à sa mission : établir les faits afin d’apprécier la responsabilité individuelle de chacun.

L’avocat du CCAS : maître Weyl, vieux militant PCF
Tout allait changer avec la plaidoirie de Maître Weyl et le réquisitoire du représentant du parquet, le procureur Touron.

Deux mondes se sont alors fait face hier après midi dans l’enceinte du tribunal. D’un côté, la majorité du nombreux public, opposée à l’invasion migratoire, venue soutenir les personnes poursuivies, de l’autre Me Weyl et le procureur Touron. Dans le public, on notait aussi la présence de Jean-Claude Blanchard et de Brigitte Nédélec, conseillers régionaux (FN) des Pays de la Loire et d’Eléonore Revel, secrétaire départementale adjointe du FN en Loire-Atlantique.

S’étant constitué partie civile, la CCAS d’Arzon – établissement qui dépend du Comité d’entrepris d’EDF -, avait fait appel au doyen du barreau de Paris, le militant et avocat historique du Parti communiste français, Roland Weyl. Un militantisme que se sont bien gardés de rappeler certains médias ayant couvert l’affaire. Qui n’ont par contre pas manqué de souligner celui – assumé – de Maître Pichon.

La mission normale d’un avocat de la partie civile est de démontrer le préjudice de ses mandants, en l’occurrence la détérioration du portail du CCAS et les conséquences des coups portés à l’employé. En fait, Me Weyl parlera « d’expédition punitive ». Ce qui entraînera une réaction de la salle. Il n’hésitera pas en habitué des méthodes communistes à remonter à la Libération et au nazisme évoquant « un danger qui participe de la peste brune » (sic) pour diaboliser les accusés et justifier sa demande de publication du jugement.

Suite de l’incident évoqué ci-dessus, le procureur avait menacé de ne pas prendre de réquisitions si la salle n’était pas évacuée. Le président ne l’avait pas suivi. Il va donc requérir. Mais, contrairement aux usages, au lieu de s’adresser aux membres du tribunal , il se tournera, comme pour un meeting, vers la salle. Va suivre une longue leçon de morale, au risque de susciter des réactions parmi un public manifestement acquis à la cause des prévenus.

« Avez vous pris du plaisir à frapper cet homme ? », ira jusqu’à demander le représentant du parquet au prévenu accusé de violence sur un employé du CCAS qu’il avait pris pour l’agresseur sexuel . Puis, au lieu d’argumenter sur les actes effectifs de chacun des accusés, il affirmera qu’il s’agit de faits d’une extrême gravité. Il développera très longuement un réquisitoire « républicain » et « antiraciste militant », se présentant comme le défenseur des lois de la République.

Dans sa plaidoirie, Maître Pichon lui demandera alors pourquoi la loi n’était pas appliquée à ces migrants illégaux qui devraient être expulsés avec une OQTF – Obligation de Quitter le Territoire Français – Il se demandera à l’écouter si « les colonnes infernales de Turreau n’étaient pas de retour ».

Finalement 18 mois de prison, dont un an ferme, 3 ans d’interdiction de séjour, 2 ans d’interdiction de manifester, ont été requis contre le jeune homme qui a frappé un employé du centre d’accueil (occasionnant une ITT de 2 jours de travail) . Contre les trois autres prévenus des peines de prison avec sursis sont requises : deux mois pour Ronan Le Gall et Nicolas Faure et 1000 euros d’amende, huit mois pour le troisième, ainsi qu’une interdiction de paraître à Arzon sur trois ans, et un stage de citoyenneté …

Un dossier « vide, très vide, trop vide », dira Maître Pichon qui, comme Maître Labbey Guimard, a plaidé la relaxe pour son client, en s’appuyant sur des jurisprudences concernant des manifestations non déclarées et en rappelant que la participation à une manifestation non autorisée n’était pas un délit, mais également qu’à aucun moment, celle d’Arzon ne fût interdite.

Le tribunal rendra sa décision le 16 mars.

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Actualité (éditoriale) du Groupe de Visegrád

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Aristide Leucate EuroLibertés cliquez ici

Si l’Union européenne s’effondrait, les pays constitutifs du groupe de Visegrád en assureraient la relève, mais sous une autre forme que celle qui aurait conduit inévitablement à sa perte. Telle est la conclusion de deux articles parus dans le dernier numéro de l’année 2016 de la revue Éléments (sous la signature autorisée de notre ami le journaliste Ferenc Almassy) et dans le premier de l’année 2017 de la déjà incontournable revue Conflits (sous la plume de l’historien non moins avisé Thierry Buron). La littérature généraliste étant plutôt indigente sur le sujet, on se félicitera de la publication de ses deux études aussi sérieuses et renseignées que complémentaires.

Comme le rappelle Thierry Buron, « le Groupe de Visegrád (V4) existe depuis 1991, lorsque les dirigeants de trois pays (Pologne [alors dirigée par Lech Wałęsa], Hongrie [de József Antall] et Tchécoslovaquie [de Václav Havel] bientôt divisée en République tchèque et Slovaquie) se réunirent dans le nord de la Hongrie pour coopérer afin d’adhérer à l’OTAN et à l’Union européenne ». Almassy s’empresse de préciser, pour sa part, qu’au-delà de cette « version officiellement retenue, […] en vérité, il y avait dès le départ une volonté de créer une structure qui favorise sur le long terme l’entente, la communication et la coopération régionale entre des voisins au passé commun, au présent semblable et au futur résolument interdépendant. Les pays de Visegrád partagent le même souci de garantir leur liberté et leur souveraineté. »

L’opinion a commencé à entendre parler du V4 à l’occasion de l’afflux invasif d’immigrants en provenance du Proche-Orient en 2015. Comme un seul homme ou presque, ces quatre pays se sont élevés contre le diktat bruxello-allemand leur enjoignant d’accueillir des quotas d’allogènes. Habile à simplifier jusqu’à la caricature, la caste médiatique eut vite fait de ravaler ces États irréductibles à un club rance de racistes populistes et réactionnaires. Comme le suggère implicitement Ferenc Almassy dans l’extrait précité, une telle approche serait non seulement fallacieuse, mais ferait aussi peu de cas de l’ADN originel du V4 dont les membres, note Thierry Buron « partagent des particularités géographiques et historiques fondamentales. Leur situation géographique, d’abord, à l’est de l’Europe occidentale, c’est-à-dire en première ligne au cours de l’histoire face aux invasions venues de l’est et du sud qui ont forgé chez eux la conscience d’être un rempart de la civilisation européenne. »

C’est dire que ces pays sont habités par une longue mémoire européenne renforcée par une claire et haute conscience de leurs singularités nationales, sans que leurs peuples et leurs dirigeants n’y voient une quelconque incompatibilité. À l’évidence, l’Europe supranationale de Bruxelles ne peut que contrevenir à leur sage conception de l’Europe des peuples et des nations, celle-là s’étant arrimée, mutatis mutandis, au processus allemand du Lebensraum économique et industriel. Vue de la Porte de Brandebourg, l’Union européenne apparaît comme la reviviscence pacifique mais résolue d’un expansionnisme prussien puisant ses lointaines racines dans le « Drang nach Osten » décidé au XIIIe siècle par l’empereur Frédéric II Hohenstaufen.

À juste titre, Almassy observe que l’un des principaux défis que devra relever le V4 consistera « tôt ou tard […] à se délivrer de l’hégémonie allemande », notamment dans le domaine industriel. Toutefois, prend-il soin d’alerter, « en cas de délitement européen, le véritable risque à l’heure actuelle réside dans la volonté américaine de pousser ses pions en Europe centrale, cible de choix pour créer une zone tampon face à la Russie et aller plus avant dans cette nouvelle guerre froide ». On ne saurait mieux dire, d’autant que malgré ses 26 ans d’existence, le V4 sorti de sa relative dormition par la crise migratoire, demeure une organisation, certes prometteuse, mais encore trop embryonnaire pour représenter une alternative de poids face à une UE moribonde (mais résiliente), sans pouvoir endiguer les appétits de l’hyperpuissance américaine.

(Pour connaître toute l’actualité du Groupe de Višegrad, consulter le site VPost).

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Amiens, samedi 21 janvier, galette des rois du Parti de la France

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09:56 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Précision pour la marche pour la vie de dimanche à Paris

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09:47 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'émission Synthèse de jeudi avec Jean-François Touzé

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Rediffusion : vendredi à 9 h et à 14 h, puis en lien sur ce site à partir de demain après-midi.

 

09:39 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |