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lundi, 23 janvier 2017

Les stratèges de la nouvelle ringardise

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Bernard Plouvier

Désertées par les électeurs spécialisés, mais jouissant d’une couverture médiatique comme s’il s’agissait d’un authentique bouleversement social, les « primaires de la gauche » débouchent sur la désignation du plus joli Bobo ringard de l’année, version « gauche » globalo-mondialiste.

Et que l’on y va du revenu universel, soit un salaire pour un non-travail, histoire d’améliorer la consommation. Bien entendu, super-ringard va alimenter le pays en électricité par les éoliennes et le très onéreux photovoltaïque, puisqu’il est « absolument nécessaire » de sortir du nucléaire… qui produit une électricité très bon marché et pour un risque écologique quasi-nul grâce à la très haute qualité technique des centrales françaises.

Le plus beau est à venir : le discours du vainqueur (provisoire) sur le travail. Chacun sait que notre distingué (et bedonnant) Président avait fait de son quinquennat celui de la Victoire sur le chômage… un peu comme dans un plan quinquennal stalinien. L’échec étant plus que patent, grotesque même, le nouvel Hamon des familles change de but.

Alors que les trois catégories de chômeurs (A,B et C) additionnées dépassent les 5 millions (c’est un record absolu en France), le candidat le mieux placé à l’investiture pour la déroute électorale estime qu’il est de la première urgence d’adapter le temps (à la baisse) et les conditions de travail pour ceux qui ont la chance d’en avoir encore un ! Certes, il s’agit de « travaux pénibles », mais tout médecin sait d’expérience que chaque salarié s’estime harassé, surmené, victime de conditions et de cadences de travail « insupportables ».

Bref, le menu peuple autochtone étant fidélisé par le Front national, la ringardise-bobo-socialo en revient à ses fondamentaux : on fait dans la plus élémentaire démagogie et l’on tente de renouer les liens avec les leaders syndicaux… entre compères démago, il est toujours aisé de s’entendre. Nul doute que le dénommé Mélenchon n’apprécie à sa juste valeur le Hamon piétineur de plates-bandes.

Le mignon Macron ne peut que se frotter les mains.

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DE WASHINGTON à BANJUL EN PASSANT PAR PARIS, AINSI VA LE MONDE...

Rolinat JCl.jpgLe bloc-notes

de Jean-Claude Rolinat

Ne le dîtes à personne, mais le 20 janvier 2017 Jean-Marie Le Pen est entré à la Maison blanche ! « America first », le slogan de Donald Trump, semblait résonner comme un écho venu d’outre-Atlantique à celui du leader du Front national d’hier, « La France et les Français d’abord ».

Toute la campagne du vainqueur de l’élection présidentielle aux Etats-Unis était axée sur la protection prioritaire de son pays et de ses citoyens, comme l’a démontré le premier bras de fer avec les constructeurs automobiles, ses promesses pour continuer le mur aux frontières avec le Mexique et la renégociation du traité de l’ALENA avec ce dernier pays et le Canada. Sans oublier une politique apaisée avec le géant russe et une approche plus offensive vis-à-vis de la Chine « capitalo-communiste »…

Ce sont donc les premières étapes de la mise en œuvre effective du concept de « préférence nationale » si cher à notre camp, celui de la Droite nationale, sociale et populaire. La pseudo élite de Washington ne s’y est pas « trumpée » en vouant aux gémonies le milliardaire à la crinière blonde. Tout – ou presque ? – aura été tenté pour déconsidérer le nouvel élu, frasques sexuelles supposées, tentative de le délégitimer en insistant sur le faible écart en voix à son détriment entre lui et sa concurrente. Mais la loi est la loi, et on ne change pas les règles du jeu en fin de partie !

Si les constituants américains ont privilégié le système des « Grands électeurs », c’est pour donner plus de poids aux Etats composant la Fédération américaine, ne l’oublions pas. Ce qui explique le différentiel des suffrages entre le plus peuplé, la Californie – deux sénateurs – et un « petit », le New Hampshire par exemple, deux sénateurs également. Et « le Donald » a ainsi gagné une énorme majorité d’Etats. (Les représentants d’une République si « jacobine » comme la France, ne peuvent pas, évidemment, comprendre cela).

A peine l’encre de la signature des premiers décrets présidentiels était-elle sèche, que des essaims d’anarchistes et autres fauteurs de troubles se ruaient sur la capitale fédérale, affrontant les forces de l’ordre et autre « troopers », rameutés pour assurer la tranquillité de la cérémonie d’inauguration. Entre parenthèses, la France n’y était représentée que par son ambassadeur, un certain Araud, qui s’était signalé par un tweet agressif à l’égard du Président à peine élu.

Quand on a un diplomate comme ça, on le colle dans le premier avion avec un plan-retraite anticipé ! (Ne pas oublier qu’aux obsèques de l’assassin communiste Fidel Castro, c’est un ministre d’Etat de la République qui représentait la France, Ségolène Royal. Voici ce qui peut expliquer, partiellement, le peu de cas que le nouvel élu semble faire de notre pays). Le lendemain, partout dans le monde, des meutes de féministes appuyées par tout ce que le monde alternatif compte de militants, déferlaient dans les artères des grandes cités, y compris et avant tout à Washington. Que reprochent au juste ces femmes au propriétaire de la Trump Tower ?

Des gauloiseries douteuses un peu trop appuyées sur la gent féminine ? Curieusement, lorsqu’il s’agit de défendre les droits bafoués de la femme musulmane, «  il n’y a plus d’abonné au numéro que vous demandez » ! Point de «femen » à l’horizon… Mais comme le dit un vieux dicton, « le chien aboie et la caravane passe ». Le nouveau Président US va contribuer à bouleverser la donne géostratégique planétaire.

Peut-être rendre le monde plus sûr. Attendons d’en voir les résultats avant de hurler avec les loups. « Wait and see » comme l’on dit de l’autre côté de la Manche.

La Blanche Neige du peuple de gauche et les sept nains

Sept, ils étaient sept comme dans le conte de notre enfance. Sept candidats à faire le beau devant les caméras de télévision. Sept « nains » politiques tentant de séduire un électorat de plus en plus fuyant. Mais la « Blanche Neige » électorale a boudé ses petits nains. En France, la primaire des socialistes a tourné à la farce.

Dans les QG des différents candidats, on cachait difficilement mais bien hypocritement, sa triste résignation devant un échec : seulement 1,6 million d’électeurs de gauche se sont déplacés pour couronner celui qui portera en avril les couleurs du PS. Entre un Montebourg plus que jamais bateleur d’estrade, un Hamon et son utopique revenu universel, un Monsieur Valls moins « screugneugneu » que d’habitude et un Benhamias au masque de « ravi de la crèche », la Blanche Neige du peuple de gauche a quitté la tanière des sept nains et est partie avec armes et bagages chez Macron ou Mélanchon.

La fameuse tenaille aux deux branches, l’une centriste, l’autre gauchiste, se refermant semble-t-il sur un PS anémié, en panne d’idées sérieuses et d’effectifs. « Tout ça pour ça » diront les militants et sympathisants socialistes restés fidèles à la rue de Solférino.

Cruelle déception dans les rangs d’un parti qui a bien plus que déçu ses partisans pendant tout le quinquennat – qui n’est , hélas, pas encore terminé – de François Hollande. (Lequel, soit-dit en passant, continue de porter la scoumoune : à peine avait-il quitté Gao au Mali, que ce pays était à nouveau ensanglanté pas des attaques terroristes ! Espérons pour le Chili où il était en visite officielle, qu’il n’y aura aucune secousse tellurique !).).

En Afrique, UBU est toujours Roi

Terminons ce petit tour d’horizon par une virée africaine. Chacun le sait, « qui a bu, boira ». Le Président gambien – la Gambie, vous savez, c’est ce « doigt » qui s’enfonce profondément sur la carte du Sénégal, séparant le nord du pays de la Casamance, au sud – l’islamiste Yahya Jammeh, avait perdu les élections du Ier décembre dernier face à son opposant Adama Barrow.

Après avoir reconnu sa défaite et gouté de cet élixir électoral pendant 22 ans, il changeait d’avis et décidait de se cramponner au pouvoir, défiant le suffrage universel et la volonté populaire. Mais, sous « l’amicale   pression  » de ses voisins de la Communauté des pays de l’Afrique de l’Ouest (CDAO), il a pris le chemin de l’exil. Destination ? La Guinée Equatoriale où la famille Obiang règne et pille sans partage ce petit pays riche en pétrole. (A noter que le fils du Président, lui-même Vice-Président - ça reste en famille - a des démêlés sérieux avec la justice française).

Dictateur un jour, dictateur toujours ? En tout cas, l’intervention musclée de la CDAO et principalement de l’armée sénégalaise, ont rendu ses droits constitutionnels au nouveau Président Barrow qui avait prêté serment, c’était plus sûr, à l’ambassade de son pays à Dakar. Seule ombre au tableau, le plus jeune de ses fils, un gamin âgé de huit ans resté apparemment sans surveillance au pays, a été mystérieusement dévoré par quatre pitbulls !

Dans les rues de Banjul la capitale, l’ex-Bathurst des Anglais, la rumeur populaire dit que c’est le dernier sacrifice ordonné avant de partir, par un Président féticheur et fétichiste qui avait fait de son petit pays une « République islamique ».

Terrible constat après le départ de Jammeh, le sang versé par cet innocent aura peut-être évité que ne coule celui de beaucoup d’autres Gambiens ? Insondable et imprévisible Afrique où les gris-gris ne dorment que d’un oeil….

15:00 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réinfo, le mag du Parti de la France, de cette semaine

10:45 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Toutes les forces nationales et identitaires d'Occitanie rassemblées à Montpellier autour de Jean-Marie Le Pen.

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La droite nationale rassemblée

Les forces nationales et identitaires d'Occitanie se sont retrouvées nombreuses samedi soir à Palavas-les-Flôts, près de Montpellier, à l'invitation du Comité Jeanne de l'Hérault autour de Jean-Marie Le Pen, Président d'honneur du Front national. Plus de 700 personnes s'étaient en effet inscrites pour le banquet et beaucoup d'autres sont venues écouter les intervenants. 

Il faut dire que la grande famille nationaliste était (presque) au complet puisque se sont succédés à la tribune les responsables des principales organisations patriotiques.

Ce fut d'abord, Stéphane Goepfert, Président du comité régional, qui fit un discours de bienvenue, puis se succédèrent : Lorrain de Sainte Affrique, Secrétaire général des Comités Jeanne, présenta son association aux multiples comités locaux, suivirent le délégué de Riposte laïque qui lu un message de Pierre Cassen, Président de cette courageuse organisation, retenu en Région parisienne ; Hocine Kader, émouvant représentant de la communauté Harquis très implantée dans la région rappela le sort peu enviable qui fut infligé aux siens par la Ve République ; Olivier Roudier, le dynamique animateur de la Ligue du Midi qui a largement contribué au succès de cette belle réunion ; Roland Hélie, au nom de Synthèse nationale, se félicita de voir se perpétuer ici, en terre languedocienne, l'esprit unitaire de notre dixième journée du 2 octobre dernier à Rungis cliquez ici, Pierre Vial, Président de Terre et peuple, fit une magnifique intervention avec la talent que nous lui connaissons et que nous apprécions ; Carl Lang, Président du Parti de la France, prouva avec brio que l'avenir de la droite nationale, sociale et populaire, au-delà des chimères momentanées de ceux qui veulent l'édulcorer de ses fondamentaux, est bien assuré.

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Jean-Marie Le Pen ovationné

Il revenait à Jean-Marie Le Pen, ovationné par la foule, de conclure ce meeting en redonnant l'espoir aux patriotes désorientés par les dérives des mauvais bergers qui sont sensés les représenter. Fidèle aux traditions, le fondateur du FN appela les Français à se retrouver nombreux le 1er mai prochain à Paris pour honorer Jeanne d'Arc. C'est à cette occasion qu'il donnera ses consignes de vote pour le second tour de l'élection présidentielle.

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 La salle bondé

Un peu avant minuit la soirée, admirablement encadrée par les Mousquetaires du Président et par le SEP (le service d'ordre du Parti de la France), se termina sans incident et chacun repartit avec le sentiment d'avoir assisté à un événement majeur pour notre famille politique. Aux législatives de juin prochain les nationalistes authentiques rassemblés seront présents dans de nombreuses circonscriptions, donnant ainsi à la France non reniée l'occasion de dire haut et fort sa volonté de renaître.

Synthèse nationale

 Dans les jours qui viennent, nous publierons d'autres informations sur cette réunion.

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De bonnes bières et de bonnes lectures

07:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Législatives 2017 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : Samedi 4 février, à Valenciennes

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07:33 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

28 janvier à Dijon : conférence sur la Phalange espagnole

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07:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hommage de l'Action française au Roi Louis XVI

07:28 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |