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mardi, 10 janvier 2023

Callac : le projet Horizon est abandonné !

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Communiqué du Comité d’Organisation contre le projet Horizon à Callac

C’est avec un plaisir non dissimulé que nous annonçons que le projet Horizon de la fondation MERCI est abandonné par le Conseil Municipal de Callac.

Ce projet prévoyait à l’origine la venue de 70 familles issues du continent africain. Soit au total environ 530 personnes (7,6 personnes par famille selon les chiffres de Ouest France du 14 septembre 2022) dans un petit bourg de Bretagne de 2 200 habitants. Cela représentait donc l’arrivée de 25 % de la population actuelle. Un projet insensé qui aurait été source de nombreux problèmes.

D’abord, ce projet était très injuste pour la population locale dont beaucoup sont des familles modestes. Pour les jeunes, il était inacceptable. Ils sont obligés de partir de Callac car il n’y a pas de travail pour eux. La municipalité déclarait ne pas avoir d’argent pour aider les gens modestes et les jeunes.

Mais subitement des millions arrivaient, ainsi que des emplois, pour accueillir des personnes venues de l’autre bout de la terre. De l’argent manifestement il y en a, mais pas pour les Français. Qui pouvait comprendre cela ?

Contre ce projet fou, l’Association « Les Amis de Callac et ses environs » (présidée par Mme Catherine Blein - NDLR) mené une bataille acharnée pendant des mois. Un combat remarquable et obstiné malgré l’adversité. Ses militants furent présents chaque mercredi sur le marché pour faire signer des pétitions, mobiliser la population et organiser les opposants au projet.

Des centaines de signatures ont été collectées. Des milliers de tracts furent distribués dans les boîtes aux lettres. Deux manifestations furent organisées, l’une le 17 septembre (environ 500 personnes) et l’autre le 5 novembre (environ 1000 personnes – 600 d’après la police). Face à ce combat acharné, pour défendre Callac contre cette invasion visant à y construire un village « multiculturel » rien ne nous fut épargné :

• Les insultes (« fascistes », « extrême-droite », « racistes », « xénophobes », …) d’abord,

• Les violences ensuite des antifas qui à chacune des deux manifestations ont tenté d’attaquer le rassemblement des patriotes avec le soutien actif des élus de la mairie de Callac, notamment la célèbre Laure Line Interbitzin, et de toute la « gauche » locale et régionale ainsi que des syndicats. Heureusement, les forces de gendarmerie, déployées sur ordre du Préfet, firent parfaitement leur travail lors des deux manifestations et empêchèrent les antifas de faire taire les patriotes, par la violence.

• La presse aux ordres (Le Télégramme, Ouest-France, Le Poher…), de son côté, ne manqua aucune occasion pour salir ce mouvement patriote.

En vain.

Très récemment, le conseil municipal s’est réuni, en secret, et a voté sur le projet Horizon. Le résultat du vote fut le suivant :

- 8 pour l’arrêt du projet Horizon (dont le maire lui-même)

- 6 pour continuer (2 membres de la majorité Interbitzin et Morcet et les 4 « opposants » de droite républicaine)

Résultat : le projet est abandonné ! Preuve est faite que lorsqu’on se bat, on peut gagner.

Nous nous étonnons seulement du silence de la mairie sur cette bonne nouvelle, alors que tout le monde le sait dans le village. Peut-être le maire se réserve-t-il de faire cette annonce lors de ses vœux à la population qui auront lieu dans les prochains jours ? Ce qui marquerait un excellent début de cette année 2023.

A l’heure ou la Loi de Transition Démographique va venir prochainement devant l’Assemblée nationale, plongeant - si elle est votée - de nombreuses municipalités dans les mêmes problèmes, sombrer dans le désespoir n’est pas la solution. Il faut s’organiser et se battre avec constance et obstination. La victoire est à ce prix.

Reste que les problèmes ne sont pas forcément définitivement réglés à Callac.

Quelle sera la position du Préfet des Côtes d'Armor qui dispose également des services de l’association Viltaïs pour reprendre le flambeau et tenter d’imposer la venue de migrants à Callac ? Le plus sage serait que tout projet soit abandonné à Callac. D’autant que pour le Préfet l’affaire s’annonce difficile :

• La mairie vient de jeter l’éponge

• Viltaïs est une association qui ne jouit pas d’une réputation « exemplaire »

• l’Association « Les amis de Callac et ses environs » est toujours en ordre de bataille et ne manquera pas de réactiver immédiatement son combat si Viltaïs tente de réaliser ce que la Fondation MERCI a raté.

Enfin, dernière information, la Fondation MERCI semble ne pas se consoler de son échec à Callac. Il se murmure qu’elle souhaite mettre en œuvre un nouveau projet… à Paimpol cette fois. Toujours dans le département des Côtes d’Armor. Nous lui promettons que l’accueil sera le même, voire plus frais encore, dans cette localité.

Le Comité d’organisation remercie tous ceux qui ont participé à son action et ont contribué à cette première victoire, notamment l’Association « Les Amis de Callac et ses environs », mais aussi Reconquête, Riposte Laïque, Résistance Républicaine, Les Patriotes et le Parti de la France. Nous n’oublions pas non plus de remercier tous ceux qui nous ont aidés : Gilbert Collard, Patrick Jardin, la Ligue du Midi, Place d’armes, Les Maires pour le bien commun, et toutes les personnes célèbres ou simples citoyens qui ont œuvré à nos côtés pour faire échouer ce projet mortifère.

La France doit rester la France

VIVE LA FRANCE !

Bernard Germain

Porte-parole du Comité d’organisation

contre le projet Horizon

Pour tout savoir sur "l'affaire Callac" :

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18:51 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Age de départ à la retraite :… le vrai problème c’est la Loi Touraine, votée par la gauche !

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Bernard Germain

63 ans, 64 ans, 65 ans… voire plus, comme âge de départ à la retraite ?

C’est la question qui fait le «buzz» en ce moment, auprès des partis politiques, syndicats et associations, suite à l’annonce faite par Macron de mettre en œuvre la réforme des retraites dès l’été prochain. 

La «Gauche» (partis, syndicats, …) est vent debout contre la modification voulue par Macron.

Une manifestation est appelée le 10 janvier à Paris (et ailleurs) sur le thème.

On notera d’abord que ceux qui appellent à cette manifestation sont pour le moins… gonflés.

En Avril 2022, ils ont tous appelé à voter Macron «pour empêcher la France de sombrer dans le fascisme».

Peut-être n’avaient-ils pas imaginé que Macron, une fois élu, allait reprendre la mise en œuvre de ses mesures anti-sociales ?

Son 1er quinquennat avait pourtant eu un bilan des plus consternants sur ce plan. Mais cela ne leur suffisait sans doute pas pour comprendre, ils ont donc remis une pièce dans le bastringue pour que ça continue 5 ans de plus.

Et ça continue…

On notera au passage que le RN a une position bien plus favorable aux salariés sur le sujet.

Mais … chuttt ! Le RN, c’est les « fascistes ». Donc, il ne faut pas dire qu’ils ont cette position.

Bref, s’ajoutant à la crise énergétique, le problème des retraites contribue à faire monter la tension sociale et le gouvernement est très inquiet quant à sa capacité à faire passer la mesure sans recours au 49.3, c’est à dire sans passer en force. En fait, tout va dépendre de la position des « Républicains » d’Eric Ciotti pour bâtir ou non une majorité au parlement sur ce point.

Reste que 49.3 ou majorité au parlement sur ce projet, le cocktail est explosif surtout en cette période ou une simple étincelle pourrait bien mettre le feu aux poudres.

Mais le problème se limite-t-il au problème de l’âge de départ à la retraite ?

Il se trouve que non, car l’affaire est bien plus compliquée qu’il n’y paraît.

Tout d’abord, il faut se souvenir que l’âge de départ n’est qu’un aspect du problème.

En effet, un second élément existe – très souvent oublié- qui est pourtant fort important : le nombre d’annuités nécessaires pour partir… à taux plein !

Partir à 62 ans, comme actuellement, est une chose, mais si c’est avec une décote qui ampute sérieusement le montant que le retraité touchera … est-ce une bonne affaire pour lui ?

Les syndicats, notamment, hurlent qu’il ne faut pas modifier l’âge de départ, mais ils ne disent pas que dans l’ombre, la réforme Touraine continue son œuvre d’érosion du montant des retraites versées. 

Concrètement, depuis la loi Touraine (merci les socialistes), votée en 2014 mais appliquée depuis 2020, la durée de cotisation pour obtenir une retraite à taux plein augmente d’un trimestre tous les trois ans. Premières à avoir été concernées en 2020, les générations nées entre 1958 et 1960, qui doivent désormais cotiser 167 trimestres (soit 41 ans et 9 mois). Suivront en 2023 celles nées entre 1961 et 1963 (168 trimestres), puis celles nées entre 1964 et 1965 (169 trimestres), etc. L’objectif étant d’atteindre 172 trimestres en 2035, soit 43 années de cotisation pour les Français ayant vu le jour en 1973.

Donc, et c’est simplement mathématique, si -dans ces conditions - on garde l’âge de départ à 62 ans, le montant des retraites va mécaniquement baisser jusqu’en 2035 à cause de la décote qui sera appliquée puisque le salarié aura de moins en moins le nombre d’annuités suffisantes pour bénéficier du taux plein.

Partir à 62 ans, c’est une chose, mais si on n’a pas de quoi vivre, … ça peut poser problème !

D’ailleurs, avec l’allongement de la durée de la scolarité, nous travaillons tous déjà plus longtemps que prévu, principalement pour éviter d’avoir une pension amputée. L’âge moyen de départ pointe ainsi à 62 ans et dix mois. Il est probable qu’il arrive à 64 ans d’ici une dizaine d’années.

Si on veut partir à taux plein !

C’est lorsqu’on reçoit le document de la caisse de retraite, vous indiquant le montant de votre retraite, que l’on prend la mesure du problème.

Au final, le problème n’est pas en soi l’âge de départ à la retraite, mais du fait du système pourri voté par les socialistes et autres en 2014 sur le nombre d’annuités nécessaires, qui s’applique depuis 2020, … A QUEL ÂGE DOIS-JE PARTIR POUR AVOIR UNE RETRAITE A TAUX PLEIN ?

Il est donc ridicule de s’arc-bouter sur 63, 64 ou 65 ans. Ce n’est qu’une partie du problème.

Élisabeth Borne a déclaré : «Nous n’irons pas au-delà de 43 ans de cotisations».

C’est à dire l’application pure et simple de la Loi Touraine des socialistes. Ce faisant sa déclaration montre bien que le vrai problème est là.

Et pour chaque salarié, le choix devient donc : «Est-ce que je veux absolument partir à 62 ans (condition actuelle) quitte à avoir une méchante décote qui va fortement réduire ma retraite du fait de la Loi Touraine ?».

Lorsqu’on pose la question ainsi, cela change nettement la discussion sur l’âge de départ.

En fait, mettre l’âge de la retraite à 63, 64 ou 65 ans ne ferait qu’officialiser ce que la Loi Touraine impose déjà. Pour avoir son taux plein.

Garder à tout prix 62 ans, comme âge de départ, implique qu’une décote importante sera appliquée aux salariés qui n’auront pas les annuités nécessaires. C’est à dire presque tout le monde, sauf ceux qui ont travaillé très jeunes, mais ils sont de moins en moins nombreux.

En résumé :

  • Si on garde 62 ans comme âge de départ, avec la Loi Touraine, au fur et mesure des années les salariés partiront avec une retraite amputée d’une décote de plus en plus conséquente
  • Si on recule l’âge de la retraite, du fait de l’entrée de plus en plus tardive dans la vie active, on réduira la décote qui s’appliquera. Ce qui ne fera qu’officialiser ce qu’on constate à savoir que beaucoup de salariés partent plus tard que l’âge légal car ils n’ont pas assez d’annuités et ne veulent pas subir de décote.

Ce débat sur l’âge de départ à la retraite, tel qu’il est présenté, est un débat totalement biaisé puisqu’il ne prend pas en compte la Loi Touraine et ses conséquences sur le montant de la retraite.

J’ajoute que s’ils étaient cohérents, ceux qui se veulent inflexibles sur les 62 ans, devraient demander l’abrogation de la Loi Touraine … mais c’est eux qui l’ont mise en place.

En fait, c’est, pardonnez-moi l’expression, un authentique « foutage de gueule ».

La « gauche » appelle les salariés à se mobiliser pour défendre les retraites, mais en cachant :

  • Que c’est eux qui ont élu Macron auteur de la réforme qu’ils prétendent combattre
  • Que c’est eux qui ont voté la Loi Touraine qui attaque gravement le montant des retraites

La gauche se présente comme défenseur des salariés, alors qu’en fait, ils en sont les fossoyeurs.

Le 10 janvier je ne cautionnerait pas cette ignoble farce.

Je n’irai pas manifester avec ces gens.

Bossuet disait : « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes »

Reste un problème que je n’ignore pas : les métiers pénibles.

Il serait socialement tout à fait juste qu’un régime spécial s’applique aux salariés concernés.

Afin qu’après avoir été usés par le travail, ils puissent partir en retraite plus jeune leur laissant espérer de profiter plus longtemps de leur retraite bien méritée.

Un système est actuellement en place qui permet d’accorder des « points ». Chaque tranche de 10 points donne droit à l’équivalent d’un trimestre cotisé.

Au moment du décompte final, cela permet soit de partir plus tôt, soit de compenser une décote.

Ce système pourrait certainement être affiné, voire amélioré.

Mais l’important est que la pénibilité soit prise en compte.

Un autre aspect du problème mérite d’être souligné : la tartufferie du pouvoir et surtout du patronat s’agissant de l’âge de départ à la retraite.

Le patronat et le gouvernement veulent repousser cet âge «afin d’équilibrer les comptes».

C’est une très mauvaise blague.

En effet, si l’on prétend «équilibrer les comptes» il faut avoir une vision globale du sujet. Pas en prenant simplement le problème des retraites.

Or, il est de notoriété publique que très nombreux sont les salariés qui sont licenciés par les entreprises autour de l’âge de 55 ans.

Donc, ils viennent grossir les rangs des chômeurs. Et sont donc à la charge de la collectivité, même si ce n’est pas sur la même ligne budgétaire qui est impactée.

Comment les employeurs peuvent-ils être pour le recul de l’âge de départ à la retraite « afin d’équilibrer les comptes » et virer en même temps les salariés de plus de 55 ans ce qui plombe les comptes de l’indemnisation du chômage ?

Il faudra m’expliquer cette contradiction. Et surtout que les gouvernements successifs laissent faire cela sans réagir.

Une dernière piste consiste à reconnaître un cynisme absolu à certains employeurs qui pratiquent ces licenciements systématiques vers 55 ans. Pourquoi les font-ils ? D’abord parce que ce sont les salariés qui coûtent le plus cher. Mais aussi et tout simplement parce que ces 7 à 8 ans ou 10 ans de baisse de revenu (période de chômage) auront un impact sur le montant des retraites des salariés concernés.

Nous rappelons que pour ce calcul, on ne prend pas en compte les 25 «meilleures» années (c’était l’ancien système), mais les 25 … dernières années (système actuel).

Et si vous avez 1/3 voire la moitié de ces 25 dernières années qui sont des périodes de chômage ça ne passera pas inaperçu au moment du calcul du montant de votre retraite.

Le nombre de salariés concernés, dans ce cas, n’est pas négligeable. Ce serait sans doute fort instructif de calculer l’impact que cela a sur le montant total des retraites versées

Dernier point : on est en droit de s’interroger sur les vraies raisons qui poussent Macron à vouloir à tout prix cette réforme, qui ne changera rien, pour les raisons indiquées.

Je n’en vois qu’une seule : l’Europe.

La France est couverte de dettes … plus de 3000 milliards.

Elle a absolument besoin de pouvoir emprunter sur les marchés financiers. Sinon c’est la faillite.

Or qui pilote tout cela … l’Europe dominée par les allemands, avec la BCE.

Dès lors, puisque l’Allemagne, donc l’Europe, veut à tout prix imposer cette réforme à la France, Macron n’a pas de marge de manœuvre.

Il faut qu’il s’exécute. D’où son acharnement à imposer la réforme des retraites.

Sauf à se couper toute possibilité d’obtenir des crédits.

C’est le même problème que la crise actuelle de l’énergie.

La seule solution sérieuse serait de sortir du système européen qui lie le prix de l’électricité à celui du gaz (et de supprimer en France le système de l’ARENH).

Mais qui a voulu ce système : … l’Allemagne. Pour contrer l’avantage que la France avait avec son parc nucléaire. Et l’Allemagne ne laissera pas facilement la France sortir du système, ce qui pourtant mettrait un terme en France à la crise que nous connaissons.

Pour preuve, le gouvernement, totalement affolé, indique toute une batterie de mesures … sauf de sortir du système européen imposé par l’Allemagne.

Les semaines et mois qui viennent ne vont pas être une sinécure pour le gouvernement … !

16:59 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Sur le Front national cliquez ici

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Samedi 28 janvier : Hommage à Roger Holeindre

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Sur Roger Holeindre cliquez ici

10:24 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Redécouvrir Homère...

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Scipion de Salm

Tout Homère est un ouvrage épais au titre ambitieux. Il propose tout d’abord l’œuvre d’Homère reconnue par les historiens et philologues sérieux, soit l’Iliade et l’Odyssée. On les relit toujours avec plaisir et profit.

Puis, suivent de nombreuses histoires complémentaires grecques antiques édifiées autour de la matière troyenne. Les attributions en sont plus problématiques pour les plus anciennes, tandis que des auteurs plus récents ont signé de leurs noms leurs développements de l’univers homérique. En effet, Homère a décrit dans ses deux longs poèmes fondamentaux un an du Siège de Troie, celui de la colère d’Achille, et ses conséquences, dans l’Iliade, et les pérégrinations d’Ulysse, de manière relativement concise, dans l’Odyssée.

Des épisodes fameux comme la mort d’Achille, la Prise de Troie, n’y figurent pas. Or, ce corpus immense, comprenant tous les registres, de l’épopée à la parodie et au roman d’amour, a pour l’essentiel disparu. Les fragments proposés n’en sont que plus précieux. Les traductions sont de qualité. Les commentaires sont pertinents et intéressants.

 

Tout Homère, Hélène Monsacre (direction), Albin Michel, Belles Lettres, 2019, 1300 pages, 35,00 €

10:21 Publié dans Livres, Scipion de Salm | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

France-Alemagne, le divorce inévitable

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On parle souvent dans les médias mainstream du couple franco-allemand. S’il y a couple, il faut le plus vite possible l’orienter vers le divorce tant les manipulations allemandes nuisent aux intérêts les plus élémentaires de la France, avec la complicité de notre classe politique. Une analyse rigoureuse de Roland Hureaux, agrégé d’histoire, ENA, et ancien haut fonctionnaire.

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Source : Mode et Vie, janvier 2023

10:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |