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mardi, 17 janvier 2023

Virginie Joron décrit la corruption des institutions européennes

Interview de la députée européenne Virginie Joron, qui décrit, du Pfizergate au Qatargate, la corruption au sein des institutions européennes. Accrochez-vous, ça envoie du bois !

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Source : Le Courrier des Stratèges

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Pierre De Gaulle : "Ils ont détruit la France de mon grand-père !"

Avec Pierre De Gaulle, petit-fils du général de Gaulle

Retrouvez Bercoff dans tous ses états avec André Bercoff du lundi au vendredi de 12 h 30 à 14 h sur #SudRadio.

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Alexis Arette, le paysan poète, militant infatigable de la cause nationale, est décédé

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Béarnais, agriculteur engagé, écrivain talentueux, poète, militant infatigable de la cause nationale, homme de qualité, Alexis Arette, né en 1923, vient de nous quitter. 

Après être parti se battre en Indochine en 1949, d'où il revint blessé (et aussi décoré de la Légion d'honneur et de quelques autres médailles), Alexis fut de tous les combats, socio-professionnels et politiques, de ces 70 dernières années.

Syndicaliste agricole, il défendit sans cesse l'enracinement et le travail de la Terre. Il fut en 1957 élu "Premier paysan de France" par le Conseil national des jeunes agriculteurs (CNJA) et finit par accéder, en 1982, à la présidence de la Fédération française de l'agriculture (FFA). Alexis Arette inscrivait son combat dans la continuité de celui du leader paysan des années 1930, Henri Dorgères. Il fut aussi l'un des promoteurs de l'agriculture biologique. 

Il en allait de même en politique. Après s'être engagé dans le combat pour l'Algérie française au début des années 1960 (ce qui lui valut de la prison pour militantisme pro-OAS), et avoir participé à tous les combats nationalistes, il devint, de 1986 à 1998, conseiller régional d'Aquitaine sous l'étiquette du Front national alors présidé par Jean-Marie Le Pen.

Alexis Arette témoigna à de nombreuses reprises son intérêt pour Synthèse nationale. Il intervint lors de notre première Journée nationale et identitaire en 2007 à Paris.

Depuis quelques années, il vivait retiré dans son Béarn qu'il aimait tant. RIP.

Roland Hélie

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Alexis Arette, premier à partir de la gauche, à côté de Jack Marchal, en octobre 2007 lors d'une Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale.

Les obsèques d'Alexis Arette se dérouleront ce mercredi 18 janvier, à 15 h. 00, en l'église de son village natal de Momas, près de Pau (64).

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Eléments pour une doctrine française de l’immigration

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La question de l’immigration n’en finit pas de susciter des controverses passionnées, où les points de vue nuancés ont depuis longtemps cédé la place aux slogans. Il est urgent de poser le problème en interrogeant les fondamentaux de la vie en société et la longue désagrégation sociale et sociétale de notre Europe. Alain de Benoist nous propose ici plusieurs points de départ pour reprendre à nouveaux frais la question migratoire, avant que la France ne devienne une sorte de terrain vague ouvert à toutes les formes de camping sauvage au nom de la libre circulation des personnes et des biens.

Lire la suite ICI

Source : Monde et Vie 30/12/2022

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Samedi 28 janvier, à La Flotte en Ré : rassemblement pour défendre la statue

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10:44 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La filière gaz et pétrole de schiste français doit être testée de façon urgente !

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Marc Rousset

L’hiver énergétique 2024 sera beaucoup plus difficile à surmonter que l’hiver 2023 car les températures seront probablement moins clémentes et parce que les stocks de gaz n’auront pas été remplis, comme en 2022, avec du gaz russe bon marché de Nordstream.

« The Shift project », groupe de réflexion français sur la transition énergétique, présidé par le polytechnicien Jean-Marc Jancovici, s’inquiète sur la situation difficile pour la France et l’UE, après 2023. Il prévoit des déficits structurels à venir en matière de gaz. Dans une étude conduite pour le ministère des Armées, le « Shift Project » estime qu’en cas d’arrêt durable des livraisons russes, 40 % des besoins de l’UE ne seraient pas couverts par des contrats d’importation déjà identifiés.

Or, suite à l’inacceptable sabotage des gazoducs Nord Stream par l’Angleterre, avec l’accord des États-Unis, il faut s’attendre à des années de faibles livraisons de gaz russe. La seule issue possible consisterait à diminuer fortement la consommation de gaz de l’UE car les livraisons de gaz GNL, en provenance du Qatar et des États-Unis ne seront pas suffisantes La demande de l’Asie est appelée en effet à dépasser celle de l’Europe et une concurrence pour s’approvisionner en GNL entre l’Europe de l’Ouest, l’Asie, et de nombreux pays en développements est à redouter. La concurrence jouera même, de surcroît, entre les pays membres de l’UE.

Le « Shift Project » s’insurge contre l’aveuglement et la naïveté de l’UE en matière de géopolitique de l’énergie. En Chine, par exemple, 100 % des besoins estimés de gaz en 2025 sont déjà couverts par des contrats à long terme. La France se doit donc d’étudier sérieusement la possibilité du gaz de schiste français, au lieu de se lancer d’une façon aveugle avec Macron dans la croissance des capacités d’énergie renouvelable dont les calamiteuses, polluantes, ruineuses éoliennes imposées d’une façon dictatoriale, contre l’avis des populations, dans les ahurissants et inimaginables actuels projets de loi.

Il se trouve que la France dispose d’un atout considérable qui est complètement exclu du débat public : l’exploitation du gaz de schiste dont les enjeux ne peuvent écartés pour des raisons idéologiques. Le gaz de schiste américain est exploité depuis la fin des années 2000 aux États-Unis. L’exploitation est actuellement interdite en France, suite aux pressions des bien-pensants, des Khmers verts et des gauchistes, alors que le rapport remis au ministre Arnaud Montebourg ouvrait des perspectives d’avenir.

Ce rapport souligne tout d’abord les quantités phénoménales de gaz et pétrole de schiste techniquement exploitable dans le sous-sol français. Situés principalement dans le nord-est et le sud-est de la France, les bassins d’extraction français pourraient fournir environ 16 milliards d’équivalents barils de pétrole, soit 26 ans de consommation française. En ce qui concerne le gaz, le potentiel estimé est de 3870 milliards de mètres cubes, soit 90 ans de consommation française. La rente économique de l’exploitation de ces hydrocarbures d’avenir pourrait atteindre 294 milliards d’euros en étant optimiste et au minimum 103 milliards d’euros en étant pessimiste, ce qui pour un pays en faillite, comme la France, présente un intérêt non négligeable.

Le rapport n’élude pas la question des conséquences environnementales et rejette catégoriquement la technique américaine de la fracturation hydraulique qui nécessite l’utilisation de grandes quantités d’eau ainsi que d’additifs. Le rapport souligne, par contre, et met en avant une autre technique de fracturation de la roche en utilisant de l’heptafluoropropane, gaz non inflammable qui permet de mettre la roche sous pression aussi efficacement qu’avec de l’eau, mais en minimisant les risques pour l’environnement et en limitant les risques industriels. Le sous-sol français est donc doté de réserves d’hydrocarbures considérables qui peuvent être exploitées par des techniques prometteuses et respectueuses de l’environnement.

L’indépendance énergétique de la France et de l’UE s’en trouverait considérablement accrue. L’UE se suicide économiquement en croyant se libérer de la dépendance énergétique russe, pour se mettre sous la dépendance énergétique des États-Unis, du Qatar, de l’Azerbaïdjan, comme on l’a vu lors du scandale des pots-de-vin qataris au Parlement européen, avec chantage et menaces de ruptures d’approvisionnement en provenance du Qatar.
De plus, nous importons des États-Unis à un prix astronomique du gaz de schiste que nous avons sous nos pieds, alors qu’il a été extrait avec la fracturation hydraulique que nous refusons d’employer en France. Enfin, en exploitant son propre gaz de schiste, la France éviterait la pollution des océans par les méthaniers et les pertes de gaz lors des processus de liquéfaction dans les pays fournisseurs et de regazéification à l’arrivée dans les ports européens. Ce gaz de schiste français permettrait à la France d’attendre avec plus de sérénité la mise en exploitation en 2035, au plus tôt, des 6 réacteurs nucléaires EPR.

En négligeant depuis 15 ans notre filière nucléaire, Macron et Cie ont mis à mal la souveraineté énergétique française. La France est obligée d’importer du gaz de schiste américain liquéfié qui pollue l’océan Atlantique et de faire à nouveau fonctionner ses centrales à charbon qui émettent 1058 grammes de CO2 par kWh ! La France doit donc vaincre le tabou de l’exploitation du gaz de schiste qui représente une opportunité unique et vitale dans l’attente de la construction des 6 réacteurs nucléaires en 2035, et plus vraisemblablement en 2040, puisqu’il aura fallu 16 ans pour construire Flamanville !

Avant de se jeter trop rapidement sur le renouvelable (solaire et éolienne) polluant et trop onéreux, de la même façon qu ’il a fermé stupidement et aussi vite Fessenheim, avec des actuels projets de loi dignes d’un régime totalitaire ne laissant aucune possibilité aux habitants concernés de s’opposer aux divers projets, Macron ferait mieux de faire auditer une exploitation pilote de gaz de schiste en France ! Avec bien évidemment les dernières techniques respectant l’environnement telles que celle de l’heptafluoropropane !

10:41 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |