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dimanche, 29 janvier 2023

La vraie fausse arrestation de Greta Thunberg et les médias de grand chemin

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Depuis sa percée médiatique en 2018, Greta Thunberg s’est hissée en égérie de la lutte contre le réchauffement climatique. La jeune Suédoise, souvent considérée comme une marionnette d’intérêts qui la dépassent, s’est illustrée à de nombreuses reprises dont la plus récente remonte au 17 janvier 2023.

Source EuroLibertés cliquez là

En ce mardi 17 janvier, l’activiste de 20 ans prenait part à un sit-in à l’ouest de l’Allemagne pour s’opposer à l’extension d’une mine à ciel ouvert de charbon. Situé dans le village de Lützerath, le site a vu se constituer, depuis près de deux ans, une ZAD. Une équipe de Reuters couvre l’événement. Soudain, voilà Thunberg, prise par les pieds et les mains par deux policiers et conduite un peu plus loin avec, sur son visage, une expression à mi-chemin entre le sourire narquois et une profonde sérénité.

Quelques secondes plus tard, revoilà notre héroïne remise sur pied par ces mêmes policiers se prêtant volontiers à une séance de photo. Tout sourire, elle semble parfaitement au courant qu’elle ne risque rien en présence des caméras. Finalement, tout le petit groupe est arrêté en même temps, et elle sera remise en liberté suite à un contrôle d’identité ayant pris quelques heures. Néanmoins, les sourires et la « douceur » de la maréchaussée lors de la manœuvre ont très vite amené une question : est-ce que cette arrestation ne serait pas une mise en scène ?

Retour en arrière

Pour tenter de répondre à cette question, revenons quelques jours en arrière. Le samedi 14 janvier, la police allemande procède à une évacuation musclée de la ZAD qui, depuis deux ans, donne du fil à retordre aux autorités locales. Le collectif Lützerath vit ! évoque des blessures pour des dizaines de ses militants, dont une vingtaine a dû être hospitalisée. Côté police, ce sont près de soixante-dix blessés, et cent-cinquante zadistes sont poursuivis pour des motifs variés. Des chiffres éloquents sur la violence des affrontements dont Greta Thunberg s’est d’ailleurs fait le relais sur sa page Twitter en diffusant des vidéos de la charge des policiers.

Notons le contraste entre cette violence, abondamment dénoncée par les opposants à la mine de charbon, et l’interpellation complaisante de Greta Thunberg. Sa notoriété, couplée à la présence des caméras, sont deux éléments qui expliquent la douceur de cette arrestation où la police peut montrer qu’elle agit avec tact et délicatesse. C’est d’ailleurs ce qu’a expliqué la police locale, en précisant avoir laissé les journalistes faire leur travail en réponse aux critiques reçues auparavant. Cette potentielle mise en scène aurait donc pu être l’occasion pour la police allemande de redorer son blason.

Ajoutons qu’au moment où Greta est venue sur les lieux, la situation était pratiquement pacifiée. Le risque d’échauffourée était nettement moindre que celui du samedi 14 janvier, et il s’agissait d’une prise de risque minime.

Mise en scène ?

Dans leurs déclarations diverses, journalistes et policiers étaient tous formels, la présence de Greta Thunberg n’était pas connue à l’avance. C’est l’un des éléments principaux qui rendrait impossible la mise en scène.

Cependant, celle-ci est loin d’être improbable puisque, comme le note Le Monde, Greta Thunberg faisait partie des organisateurs de la manifestation du 14 janvier. Il était donc possible et même probable qu’une organisatrice vienne participer à un moment ou à un autre à la manifestation.

Retour sur les écrans

Mais quel aurait été l’intérêt, pour Greta, d’une telle mise en scène ? Tout d’abord, il s’agirait de remettre un coup de projecteur sur une jeune fille que les tribulations n’ont pas permis de rendre visible dans le paysage de manière solide. Depuis un an, le phénomène Greta semble s’essouffler et cette arrestation a remis la lumière sur cette jeune Suédoise qui ferait trembler les grands. Ces grands, elle devait d’ailleurs les côtoyer au prochain forum de Davos qui se tenait quelques jours après l’arrestation. En outre, elle se drape d’une image de dissidente et permet à son combat d’être rangé dans la liste des combats qui vous font connaître les cellules de garde à vue.

D’ailleurs, elle n’a pas manqué de noter dans un tweet suite à son interpellation que celle-ci marquait la « criminalisation » de la lutte contre le changement climatique. Très vite, médias et politiques ont loué le courage de cette petite, confrontée à la police pour ses idées.

Pour finir, reposons la question : cette arrestation était-elle une mise en scène ? Des démentis ont été faits, par la police et par la presse. Dans tous les cas, il s’agit d’une opération de com rondement menée par celle qui, en quelques années, est devenue le visage de l’écologie mondialiste. Bien joué.

Article paru sur le site de l’OJIM

NDLR SN : sur Cretta Turnberg cliquez ici

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Dans Rivarol de cette semaine : un grand article sur le n°24 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au 50e anniversaire de la création du Front national

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Robert Spieler Rivarol cliquez ici

La sortie du vingt-quatrième titre de la collection "Les Cahiers d'histoire du nationalisme", édité par Synthèse nationale, correspond au cinquantième anniversaire de la création du Front national au cours de l'automne 1972. Le titre de l'ouvrage est:"Le Front national. Avoir eu tellement raison". Le livre propose une chronologie fort intéressante et dépeint aussi quelques événements marquants tels, entre autres, la campagne présidentielle de 1974, l' "invention" des Fêtes des Bleu Blanc Rouge par Michel Collinot, le  lancement de National Hebdo, l'entrée de députés FN à l'Assemblée nationale, et le "coup de tonnerre" du 21 avril 2002 avec la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la Présidentielle, mais aussi les différentes crises qui ont jalonné, du Parti des Forces nouvelles, en 1973, jusqu'à celle des Patriotes de Florian Philippot en 2017, l'histoire du Front.

Les débuts de l'aventure du Front national

L'aventure du Front national débute les 10 et 11 juin 1972 quand se tient dans les salons du Grand Hôtel, à Paris, le deuxième congrès d'Ordre Nouveau. Les délégués décident à une large majorité la participation du mouvement aux élections législatives de 1973, au sein d'une structure élargie nommée "Front national". La présidence du FN est proposée à Jean-Marie Le Pen, ancien député de Paris (1956-1962), retiré de la vie politique au lendemain de la campagne présidentielle de Tixier-Vignancour. Le Pen était alors directeur d'une société d'éditions de disques historiques appréciés, allant des chants de l'armée israélienne à ceux de la Waffen-SS. Le 5 octobre 1972 est créé le "Front national pour l'unité française" dont Le Pen et élu président et  François Brigneau vice-président. Dans son premier comité directeur, on trouve des nationalistes issus d'Ordre nouveau et du mensuel Militant de Pierre Bousquet, des nationaux, dont Jean-Marie Le Pen et Roger Holeindre, mais aussi des centristes antigaullistes issus du mouvement de Georges Bidault. Le 7 novembre 1972, le Palais de la Mutualité à Paris est bondé pour le premier meeting du Front national.

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Callac : Bernard Germain adresse une lettre-ouverte à M. Nicolas Heitz, Procureur de la République à Saint-Brieuc

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Suite à l'agression dont a été victime samedi matin Danielle Le Men, présidente de l'Association des Amis de Callac et de ses environs cliquez ici, Bernard Germain, porte-parole du Comité d'organisation de la campagne contre le projet Horizon, vient d'adresser une lettre ouverte à M. Nicolas Heitz, Procureur de la République à Saint-Brieuc, Nous la publions donc ci-dessous.

Rappelons que la semaine dernière, suite aux élucubrations fantaisistes des élus immigrationnistes de Callac, plusieurs responsables de la résistance patriotique locale avaient été entendus par la gendarmerie.

Il est temps d'arrêter de confondre les agresseurs et les agressés...

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Lettre au procureur de Saint-Brieuc

Monsieur le Procureur,

J’ai eu, comme plusieurs autres personnes, à répondre devant les gendarmes que vous avez chargés de m’interroger, dans le cadre de 12 plaintes déposées contre l’association « Les amis de Callac et ses environs » dont je suis membre.

Comme vient de le reconnaître en public le maire de Callac, samedi 28 janvier, nous ne sommes en rien concernés par les accusations portées par ceux qui ont déposé ces 12 plaintes.

Alors pourquoi cet acharnement contre notre association les « amis de Callac et ses environs ».

Nos actions sont menées à visage découvert et « à la loyale ». Nos actions sont uniquement politiques et en aucune manière violentes.

Par contre, Monsieur le Procureur, étrangement, vous restez sans réaction contre les organisateurs de deux contre-manifestations tenues les 17 septembre et 5 novembre 2022.

Ces manifestations n’ont pas été déclarées. Ce qui est absolument illégal.

Elles ont, de plus, été l’occasion d’affrontements très violents de la part d’antifas, contre les gendarmes qui les ont empêchés d’accéder à la place de la mairie où se déroulaient nos deux rassemblements pacifiques contre le projet Horizon.

Samedi 28 Janvier 2023, à l’occasion des vœux du Maire, des antifas ont encore eu recours à la violence. Ils ont agressé Mme Le Men, Présidente de l’association, pour l’empêcher d’accéder à la salle des vœux dans l’enceinte de la mairie. Fort heureusement, elle n’est pas blessée.

Ils ont par ailleurs également agressé les gendarmes présents, blessant l’un deux et dégradant un véhicule de gendarmerie.

Deux interpellations ont eu lieu.

Qu’attendez-vous Monsieur le Procureur, pour déclencher une enquête sur ces trois évènements où la violence des antifas s’est donnée libre cours à chaque fois ?

Qu’attendez-vous Monsieur le Procureur pour enquêter et poursuivre les membres de l’équipe municipale de Callac qui ont soutenus (voire organisé) les deux contre-manifestations illégales et « chauffé » les antifas pour qu’ils attaquent nos rassemblements pacifiques et à cette occasion agresser les gendarmes qui leur barraient la route ?

Combien de faits condamnables de ce type va-t-il falloir pour qu’enfin vous réagissiez et surtout que vous poursuiviez les responsables de ces faits et exactions ?

Enfin, un article du journal « Le Télégramme de Brest » paru ce jour, dimanche 29 janvier, m’amène à rajouter un paragraphe à cette lettre.

Cet article affirme, concernant les deux personnes appréhendées par les gendarmes :

« Inconnus de la police et de la justice, les jeunes interpellés ont été placés en garde à vue pendant 24 heures et sont sortis ce dimanche 29 janvier. Ils ont été déférés à la permanence du parquet de Saint-Brieuc et ils seront jugés, le 9 mai, pour actes de vandalisme. « Le parquet requiert un placement sous contrôle judiciaire et une interdiction de paraître dans le département des Côtes-d’Armor », indique le procureur de la république de Saint-Brieuc. »

Si ce que rapporte cet article est vrai, ma stupeur est totale.

En effet, aucune charge ne semble être retenue par vous, à l’encontre de ces deux antifas, pour avoir agressé des gendarmes, dont l’un d’eux a même été blessé.

Seul l’acte de « vandalisme », sans doute s’agit-il de la dégradation du véhicule de gendarmerie, est retenu contre eux.

Ne pas retenir comme charge, les violences exercées à l’encontre des forces de l’ordre va envoyer un terrible message à la mouvance des antifas.

Ces derniers ne manqueront pas de l’interpréter de manière désastreuse ce qui les conduira certainement à en conclure que « casser du flic » n’est guère risqué.

Je ne peux, Monsieur le procureur, que vous exprimer ma totale désapprobation s’agissant de votre refus de poursuivre ces individus quant aux violences faites aux force de l’ordre.

Veuillez agréer, Monsieur le Procureur, l’expression de mes salutations distinguées. »

Le 29 Janvier 2023

Bernard GERMAIN

Porte parole du Comité d’Organisation

Pour comprendre l'affaire de Callac cliquez ici

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Samedi 4 février : Hommage parisien à Robert Brasillach

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12:32 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Callac : les antifas agressent Danielle Le Men, Présidente des « Amis de Callac et ses environs »

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Bernard Germain

Samedi matin, à Callac, avaient lieu les vœux du maire.

Entre 20 et 30 antifas avaient fait le déplacement venant des quatre coins de la Bretagne. La raison de leur présence ne fait aucun doute : agresser ceux qui ont fait échouer le projet Horizon.

C’est Danielle Le Men, Présidente de l’Association « Les amis de Callac et ses environ » qui a mené la bataille à Callac avec son association pour empêcher la venue de 70 familles immigrés, venant d’Afrique, dans le cadre du projet Horizon de la fondation Merci de Mme Cohen.

Ce matin, lorsque Danielle Le Men a voulu entrer dans la Mairie, 3 antifas lui ont barré la route, en lui refusant l’accès.

Ne se laissant nullement impressionner (alors qu’elle mesure 1m60 pour 43 kg) Danielle Le Men a voulu forcer ce barrage.

Une bousculade a eu lieu amenant à l’intervention d’un gendarme pour protéger Danielle Le Men.

Cela déclencha un affrontement entre les antifas et les gendarmes présents. Des renforts furent appelés.

Un affrontement eut lieu devant la mairie entre les gendarmes et les antifas, avec grenades lacrymogènes, échanges de coups, … etc.

Bilan :

  • un gendarme blessé
  • un véhicule de gendarmerie tagué et endommagé
  • deux interpellations d’antifas
  • une manifestation de 15 antifas devant la gendarmerie de Callac pour que leurs « camarades » soient libérés.

Danielle Le Men n’est pas blessée, ni aucun membre des Amis de Callac.

Le Maire s’est entretenu avec Danielle Le Men et lui a dit qu’il regrettait ces violences mais que lui-même subissait des menaces.

Danielle Le Men lui a répondu : « Vous savez très bien que nous ne sommes pour rien dans les menaces que vous dites avoir reçues. Nous menons nos actions à visage découvert ».

Réponse du maire : « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces ! » 

Fabuleuse réponse … !

Le maire reconnaît publiquement que « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces».

C’est pourtant les « amis de Callac » (dont moi) qui sont convoqués à la gendarmerie pour répondre à 12 plaintes déposées contre nous par l’équipe municipale de Callac.

De ces évènements, il me semble utile de tirer quelques enseignements.

Une campagne nationale a lieu actuellement contre les « violences d’extrême droite ».

En vérité, est qualifiée de violence d’extrême droite, toute action, protestation ou remise en cause d’un projet des bien pensants, notamment contre l’arrivée massive d’immigrés dans notre pays et leur répartition dans les campagnes.

Les vraies violences, bien réelles celles-là, sont chaque fois l’œuvre des antifas. Elles ne sont jamais dénoncées par la presse bien pensante ni par les élus immigrationnistes.

Ces élus immigrationnistes sont les véritables responsables des violences et du climat délétère qui existe dans notre pays. Eux et eux seuls !

Ils n’acceptent pas de reconnaître que le peuple ne veut pas de leurs projets immigrationnistes.

Pour masquer ce refus de la population, ils inventent des soi-disant menaces, violences ou agressions imaginaires.

Ce qui provoque invariablement une considérable montée des tensions.

Par ailleurs, ils n’hésitent pas à exciter les antifas, comme ils l’ont fait à deux reprises les 17 septembre et 5 novembre 2022.

On retrouve partout ces comportements.

Il n’est pas possible qu’ils continuent à agir dans le dos des gens, en cachant leur projets et ensuite chercher à les imposer de force aux populations. Tout en accusant ceux qui les combattent, de violences afin de se poser en victimes alors qu’ils sont les responsables.

En agissant ainsi, ils ne peuvent que provoquer la colère de la population.

Et ce n’est pas en créant un climat délétère par leurs accusations mensongères qu’ils parviendront à leurs fins, … ni à échapper à la légitime colère de la population.

Pour comprendre l'affaire de Callac cliquez ici

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03:33 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |