Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 02 février 2023

Une source inépuisable d’érudition

DicoEur.jpgLa chronique flibustière

de Georges Feltin-Tracol

Il faut parfois savoir prendre du recul par rapport aux cadences chaotiques de l’actualité et évoquer les outils avec lesquels il importe de comprendre le monde et son temps. En 2008, les éditions Vuibert réimprimaient pour la troisième fois un travail original d’Yves Tissier. Ce lexicographe et historien est l’auteur d’un fantastique Dictionnaire de l’Europe, sous-titré États d’hier et d’aujourd’hui de 1789 à nos jours (716 p., hélas indisponible sauf erreur peut-être chez les bouquinistes en ligne).

Cette gigantesque somme se révèle être pour les chercheurs, les curieux et les érudits une formidable source de renseignements aux confins de l’histoire, du droit, de la géographie et de la diplomatie. L’auteur explique volontiers que « l’étude historique de l’évolution territoriale des États, que l’on nommait autrefois géographie politique, permet d’éclairer les données géopolitiques du monde d’aujourd’hui (p. 3) ».

D’un maniement aisé, ce dictionnaire se divise en quatre parties de taille inégale. La première présente une « Chronologie territoriale de l’Europe (1789 à nos jours) ». La deuxième est la plus longue puisqu’elle étudie « les États existants », de l’Albanie au Vatican en n’oubliant pas Andorre, Monaco et même l’Ordre de Malte. La troisième partie aborde « les États disparus ». Il faut comprendre des « États [qui] ont eu une existence, brève ou longue, entre 1789 et 2008 (p. 551) ». On pense bien sûr à la Tchécoslovaquie, à l’URSS et à la Yougoslavie, mais aussi à la République rauracienne dans le Jura suisse à la fin du XVIIIe siècle ou à la Régence italienne du Quarnero à Fiume. La quatrième et dernière partie regroupe différentes annexes. Il faut en outre mentionner quarante-deux magnifiques cartes en couleurs.

Cartes et annexes offrent aux curieux francophones des informations complètes habituellement disponibles qu’en anglais, en allemand et en néerlandais. Plusieurs cartes représentent à la veille de la Révolution française la localisation exacte des États héréditaires, des États ecclésiastiques et autres villes libres du Saint-Empire romain germanique. Leur visualisation cartographique confirme le caractère mosaïque de l’ensemble avec des espaces politiques fragmentés, disséminés et enclavés. Les annexes évoquent « les pays réservés de Napoléon Ier » tels le margraviat de Bayreuth « avec son enclave de Caulsdorf en Thuringe » ou les présides de Toscane, « cinq places fortes napolitaines sur le littoral toscan (p. 598) »; le fonctionnement de la Confédération du Rhin (1806 - 1813), puis de la Confédération germanique (1815 – 1866) et de la Confédération de l’Allemagne du Nord (1867 – 1871). L’ouvrage comporte une analyse serrée de la notion de « frontières naturelles » à travers des cas de cours d’eau, de montagnes et de mers. D’autres annexes attirent une attention immédiate. « Étrangetés, particularismes et anecdotes en tout genre » rapporte le cas de l’enclave espagnole de Llivia dans le département français des Pyrénées-Orientales ou d’autres incongruités géopolitiques surgies de l’histoire. L’auteur décrit les nombreuses « républiques-sœurs » du Directoire à la fin de la Révolution. Se souvient-on encore de la République ligurienne à Gènes, de la République cisalpine à Bologne, de la République parthénopéenne à Naples ? Il y a un « répertoire de concordance des noms de lieux ». La ville ukrainienne de Lviv s’appelle au cours des âges Lemberg, Leopol, Lwow et Lvov.

La première annexe examine avec maints détails le fonctionnement complexe du Saint-Empire. À côté du Collège électoral de huit membres en 1777 se tiennent le Collège des princes détenteur de cent voix réparties entre le banc ecclésiastique, soit trente-trois voix viriles (individuelles) et deux voix curiales (collectives), et le banc laïque (soixante-et-une voix viriles et quatre voix curiales), et le Collège des villes libres (cinquante-et-une voix) se divisant en « banc rhénan (quatorze voix) » et en « banc souabe (trente-sept voix) ». À cet agencement institutionnel s’ajoutent les dix cercles créés par Charles Quint dont le Cercle de Bourgogne qui correspond à peu près aux pays thiois.

Ouvrage de référence, le Dictionnaire de l’Europe examine la cohérence territoriale des États et la pertinence du tracé de leurs frontières. Ainsi les frontières du Portugal n’ont-elles pas changé depuis son indépendance regagnée en 1640. Mais, en 1801, l’Espagne reçoit le district d’Olivence (Olivença en portugais et Olivenza en espagnol) en Estrémadure sur la rive gauche du Guadiana. Au Congrès de Vienne en 1814 – 1815, Madrid refuse avec vigueur toute rétrocession. Lisbonne continue à en revendiquer la souveraineté. Des responsables politiques portugais considèrent toujours qu’il s’agit de leur Gibraltar.

On pense que la délimitation du territoire français s’achève en 1860 avec l’annexion de la Savoie et de Nice, nonobstant la particularité de l’Alsace – Moselle entre 1871 et 1945. On oublie que le traité de Paris du 10 octobre 1946 oblige l’Italie à céder à la France « un fragment de territoire au col du Petit-Saint-Bernard, le plateau du Mont-Cenis, le village de Clavière, au-delà du col du Montgenèvre et Tende, La Brigue et les crêtes de Vésubie et de Tinée » entérinée, pour ces quatre derniers lieux, par un plébiscite du 12 octobre 1947. Et dire que la République française avait déclaré la guerre le 3 septembre 1939 pour le maintien de l’intégrité de la Pologne...

Il ne fait aucun doute que la lecture, parfois aléatoire, du Dictionnaire de l’Europe est un véritable régal.

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°59, mise en ligne le 31 janvier 2023 sur Radio Méridien Zéro.

23:45 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Et, n'oubliez pas, ce soir c'est la Chandeleur...

323330642_1366994104111108_8653381598939648237_n.jpg

15:43 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Retraites : de quoi parle-t-on ?

pol.jpg

L’urgence, pour Natacha Polony, c’est de rassembler la nation, de valoriser le travail et la production. En un mot de recréer de la richesse et de la mieux répartir. Trop de sujets sont, par ailleurs, laissés à l’écart par le gouvernement et nos politiques comme le libre-échange, la dérégulation ou encore la politique familiale. Mais à en croire Sandrine Rousseau, l’écolo foldingue, il faut revendiquer le droit à la paresse parce que c’est CO2 compatible !

Lire la suite ICI

13:34 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Arméniens, Assyro-Chaldéens, Vendéens, même combat ?

JX552D.jpeg

Michel Festivi

Il y a plus de vingt ans, le parlement français, au grand dam du Sultan Erdogan, avait reconnu le génocide arménien, et ce n’était que justice ! On ne peut que regretter que cette reconnaissance légitime, n’ait pas été suivie de faits concrets, loin s’en faut, dans la défense de l’Arménie en proie à la volonté Azérie de la détruire. Très peu de pays ont apporté leur aide à cette très ancienne enclave chrétienne (qui existe depuis l’an 311) dans le Caucase, enserrée dans un océan islamiste, qui n’a qu’une idée en tête la faire disparaître, sans que cela n’émeuve beaucoup nos européistes mondialisés. La papauté a été aussi d’une discrétion de violette au regard du calvaire d’Erevan, et de l’enclave du Haut-Karabakh, pourtant le Pape François n’hésite pas à élever la voix dans la défense des migrants illégaux.

L’on comprend mieux alors, que le minuscule état d’Israël n’ait pas d’autres options que celles qu’il adopte actuellement, pour survivre, lui aussi encerclé par des ennemis sunnites ou chiites qui veulent l’anéantir.

Le peuple arménien a subi l’un des pires cataclysmes de son histoire récente, par une volonté affirmée des Ottomans, de le réduire en poussière, parce que chrétien, et ce à l’égal de la Shoah.

Mais les arméniens ne furent pas les seuls à subir les foudres des volontés islamistes de faire disparaître des chrétiens partout où ils se trouvaient en Orient ou en Asie. Les Assyro-Chaldéens ont subi un sort identique.

Justement, le Sénat français doit prochainement débattre d’une proposition de loi déposée par Bruneau Retailleau et Valérie Boyer, proposition signée par 70 Sénateurs, pour la reconnaissance de ce génocide. Un homme est à la pointe de ce combat, c’est Joseph Yacoub, professeur honoraire de sciences politiques à l’Université Catholique de Lyon et auteur de nombreux ouvrages sur ce sujet.

Car sous l’Empire Ottoman, de 1915 à 1918, un autre génocide s’est produit, celui des Assyro-Chaldéens, et « plus de la moitié d’une population estimée à 500 000 personnes fut martyrisée ». Comme le relève Joseph Yacoub dans une tribune du FigaroVox du 24 janvier 2023, « ce fut une politique d’élimination concertée et planifiée, appuyée par une abondante documentation en plusieurs langues. »

Cette proposition de loi, proposition de résolution en vertu de l’article 34-1 de notre constitution, invite le gouvernement français à reconnaître officiellement cette extermination de plus de 250 000 personnes par le gouvernement Jeunes-Turcs de l’époque, comme génocide. Cette loi, si elle était votée, ferait également du 24 avril la date commune de la commémoration des génocides arméniens et assyro-chaldéens.

Gageons que les autorités turques devenues totalement islamisées, et tous les islamo-gauchistes de nos assemblées vont monter au créneau pour s’opposer à cette proposition.

Car Erdogan, qui a transformé unilatéralement la lumineuse Cathédrale Sainte Sophie en mosquée, avait déclaré : « nos mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats », reprenant ainsi un poème turc.

Pourtant en 1934, Mustafa Kemal avait fait de Sainte Sophie « un musée offert à l’humanité ».

Selon Jacques Benoist-Méchin, le Père de la Turquie Moderne aurait déclaré : « Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux Sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. » In « Mustafa Kemal ou la mort d’un empire » de Jacques Benoist-Méchin.

Mais l’on sait qu’Erdogan a mis à bas toute la construction laïque de la Turquie, que Kemal Atatürk et ses successeurs avaient élaborée vaillamment depuis 1923, en interdisant le port du fez et du voile, en adoptant l’alphabet latin, en promouvant la scolarisation des femmes, et en reléguant hors de l’espace public les mollahs de toutes espèces, faisant de l’Armée turque la gardienne de cette laïcité.

Car ces génocides ont bien pour fondement des sourates du coran, qui très clairement, édictent l’anéantissement de tous ceux qui n’ont pas rejoint l’islam. « Lorsque les mois sacrés seront expirés, tuez tous les infidèles partout où vous les trouverez… » S 3, V 32. Ou encore : « Certes ceux qui ne croient pas à nos versets nous les brûlerons bientôt dans le feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, nous leur donneront d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Allah est certes puissant et sage. » S4, V 55-56.

Claude Sicard un spécialiste des textes coraniques explique cette logique islamique : « Mahomet ayant révélé à ses disciples que les chrétiens sont totalement dans l’erreur : Jésus n’est pas le fils de Dieu, il n’est pas mort sur la Croix, et le concept de Trinité relève du polythéisme. Les chrétiens encore qualifiés de « gens du livre » seront admis dans la société… mais on les traitera en citoyen de second rang, et on leur appliquera une fiscalité spécifique particulièrement dissuasive. » in le FigaroVox du 21 janvier 2016. Sachant qu’aujourd’hui en Turquie, il ne reste qu’environ 1% de chrétiens, contre plus de 40% en 1914.

Mais alors, pourquoi en titre, évoquer le « génocide Vendéen » ? Parce que l’actualité se télescope. Dans son article du 30 janvier dernier sur le site Eurolibertés, Philippe Randa nous a magistralement rendu compte de la « folie » furieuse qui s’est emparée des médias de gauche et des pseudo intellectuels ou journalistes de gauche qui n’ont pas eu de mots assez ineptes à la suite de la sortie en salle du film « Vaincre ou Mourir », pour le dézinguer, film qui relate un épisode des guerres de Vendée et des exploits de l’un de ses chefs emblématiques, François-Athanase de Charette. Il faut absolument aller voir ce film produit par Le Puy du Fou. Philippe de Villiers vient d’ailleurs de demander officiellement au Président Macron de « reconnaître le génocide Vendéen ».

Or Soljenitsyne, qui était venu en Vendée il y a plusieurs années, avait fait une analyse des plus pertinente sur la ressemblance entre les révoltes paysannes vendéenne et les révoltes paysannes russes contre les bolchéviques : « Pour moi, la Vendée est un symbole important : c’est l’analogie exacte de nos deux grandes révoltes contre les révolutionnaires et contre les bolchéviks ». Et il a mis en parallèle, l’insurrection paysanne russe de la région de Tambov en 1920/1921 qui eut pour leader Alexandre Antonov, révolte qui fut matée dans le sang, comme en Vendée.

Dans son fameux discours des Lucs, Soljenitsyne approfondira cela : « De nombreux procédés cruels de la Révolution française ont été docilement réappliqués sur le corps de la Russie par les communistes léniniens et par les socialistes internationalistes ; seuls leur degré d’organisation et leur caractère systématique ont largement dépassé ceux des Jacobins. » On le sait, et les travaux de Stéphane Courtois l’ont largement démontré (Exemple : « Lénine l’inventeur du totalitarisme » publié en 2017), Vladimir Ilitch Oulianov avait les yeux de Chimène pour les plus mortifères des révolutionnaires français comme le sinistre Robespierre, et il s’est inspiré de la « terreur révolutionnaire » française pour asseoir son pouvoir totalitaire.

Car en matière de génocide, tout se tient. Raphaël Lemkin, professeur de droit américain d’origine juive polonaise a été le premier à définir juridiquement ce phénomène, en étudiant justement les exterminations des Arméniens, des Assyro-Chaldéens, les massacres d’Assyriens en 1933 en Irak, puis, les crimes contre l’humanité perpétrés par les nazis contre les juifs et les tziganes.

Gracchus Babeuf, qui fut un révolutionnaire patenté, écrira en 1794 en plein massacre vendéen, un ouvrage : « Du système de dépopulation ou la vie et les crimes de Carrier », il nomme l’ensemble de ces crimes, commis par Carrier à Nantes, sous les ordres du Comité de Salut Public, comme étant un populicide. Cela sera repris tout dernièrement en France par l’excellent ouvrage de Jacques Villemain, diplomate et juriste, ayant travaillé à la Cour internationale de Justice à La Haye « Vendée 1793-1794 : Crime de guerre ? Crime contre l’humanité ? Génocide ? Une étude juridique » Edition du Cerf, où il démontre que si les massacres vendéens avaient eu lieu « aujourd’hui », le droit pénal international les qualifierait de « génocide », n’en déplaise à l’université française qui une fois de plus s’est couchée devant les totalitarismes communistes ou islamistes, mais on n’y est habitué.

 Sauf à relever ceux qui ont sauvé l’honneur de la pensée française, comme Reynal Secher, docteur d’Etat en Histoire et sa « La Vendée-Vengé, le génocide franco-français » publié en 1985, qui fut approuvé ardemment par notamment, Pierre Chaunu, Jean Tulard, Emmanuel Le Roy Ladurie, Stéphane Courtois, susnommé, qui avait relevé que Lénine a comparé « Les cosaques à la Vendée pendant la Révolution française et les a soumis avec plaisir à un programme que Gracchus Babeuf, l’inventeur du communisme moderne, a qualifié en 1795 de populicide ».

En 2012, Reynald Secher, après avoir retrouvé aux Archives nationales de nouveaux documents inédits, démontra, que ce génocide Vendéen avait été conçu, voté et mis en œuvre par le Comité de salut public (Vendée : « Du génocide au mémoricide » Editions du Cerf.)

Reynald Secher fut également soutenu directement ou indirectement par l’ancien rédacteur allemand de Die Zeit Michael Naumann, qui déclara le 28 janvier 2000 à Stockholm, lors d’un congrès officiel où il représentait son pays : « Le terme populicide a été inventé par Gracchus Babeuf en 1795 qui décrivait l’extermination de 117 000 fermiers de Vendée » ; par l’écrivain Michel Ragon, qui cite dans son livre : 1793 l’insurrection vendéenne et les malentendus de la liberté publié en 1992, l’envoyé du Comité de Salut Public le dénommé Francastel qui avait fait afficher à Angers la proclamation suivante : « La Vendée sera dépeuplée… Mes frères que la terreur ne cesse d’être à l’ordre du jour et tout ira bien, salut et fraternité », ou encore Carrier le massacreur de Nantes le 12 décembre 1793 : « il entre dans mes projets…d’en exterminer tous les habitants… ».

De nombreux députés ont également proposé au vote de l’Assemblée nationale, plusieurs propositions de lois pour faire reconnaître ce génocide vendéen. Il faut lire l’exposé des motifs de celle soumise le 16 janvier 2013, relative à la reconnaissance du génocide vendéen et signée par des hommes et des femmes aussi divers que Alain Marleix, aujourd’hui Président du Groupe Les Républicains, Marion Maréchal, Lionel Luca, Véronique Besse, Jacques Bompard, Yannik Moreau etc. Tout y est magistralement résumé, comme dans celle déposée en 2008 par de très nombreux députés dont Hervé de Charette, ou en 2018 par Mesdames les députés Emmanuelle Ménard et Marie-France Lorho.

Car quelque que soit l’idéologie, religieuse ou politique ou les deux, lorsque le totalitarisme affleure, le génocide n’est malheureusement jamais loin.

10:23 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le livre de Guillaume Faye L'Archéofuturisme a été réédité par L'AEncre

COUV Maquette SN REVUE copie 16.jpg

En savoir plus et

pour commander ce livre cliquez ici

01:17 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |