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dimanche, 20 janvier 2019

Extension des persécutions politiques

gilet-jaune.jpgGeorges Feltin-Tracol

Dans la soirée du 2 janvier 2019, non loin de l’avenue des Champs-Élysées, la police arrête Éric Drouet et le place une nouvelle fois en garde à vue pour le motif fallacieux d’« organisation d’une manifestation sans déclaration préalable ». Relâché une vingtaine d’heures plus tard, l’infortuné citoyen en colère comparaîtra en février prochain devant le tribunal correctionnel. Une seconde convocation l’attendra en juin prochain pour la détention supposée d’un bâton (et pourquoi pas un coton-tige ?). Ce chauffeur routier de 33 ans, devenu l’une des figures des « Gilets jaunes », avait auparavant été entendu dans un commissariat pour un soi-disant délit de « provocation à la commission d’un crime ». Il avait envisagé de manifester devant l’Élysée et, le cas échéant, d’y entrer. De quoi de plus normal pour un bâtiment de la République ?

Dans la matinée du 8 novembre 2018, Julien Coupat était victime d’une interpellation préventive dans l’Est de Paris. Les policiers découvraient dans son véhicule un masque, un gilet jaune et des bombes… de peinture ! Après une longue garde à vue, l’une des victimes de la machination étatico-policière sarközyste de Tarnac ressortait libre avec un rappel à la loi dans la poche.

Julien Coupat et Éric Drouet sont des proies du Régime. Tout l’arsenal répressif voté sous le calamiteux Sarközy se déploie pour la circonstance. Le Régime se veutintraitable envers l’opposition populaire pendant qu’il laisse le désordre s’installerdans les banlieues de l’immigration. Il paraît évident qu’Emmanuel Macron ne se fera pas photographier en enlaçant dans une pause presque érotique Julien Coupat, Éric Drouet et Nicolas Dupont-Aignan ! Le 7 décembre dernier, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner porta plainte contre le député non-inscrit de l’Essonne et président de Debout la France. Suite aux nombreuses dégradations commises à l’Arc de Triomphe, le 1er décembre, Nicolas Dupont-Aignan désignait les « petits casseurs de Castaner », soit des agents provocateurs, pas forcément subordonnés à la place Beauvau, infiltrés parmi les manifestants. C’est donc en France qu’un ministre se permet de poursuivre un élu de l’opposition, ancien candidat à l’élection présidentielle, qui s’interroge à haute voix. Si cette ignominie avait été commise à Moscou ou à Budapest, les sempiternelles associations humanitaires auraient hurlé à l’attentat contre les droits de l’homme. Or, c’est un silence assourdissant !

Ces mêmes associations parasitaires grassement subventionnées par Soros et nos impôts se taisent aussi au sujet des incroyables accusations portées contre Benoît Quennedey. Ce haut-fonctionnaire bourguignon de 42 ans a été mis en examen après quatre jours de garde à vue pour « trahison par livraison d’informations à une puissance étrangère ». L’énarque, membre du Parti radical de gauche jusqu’en 2017, préside l’Association de l’amitié franco-coréenne et est l’auteur chez Delga qui publieles œuvres de Michel Clouscard, de La Corée du Nord, cette inconnue, puis, aux éditions Les Indes Savantes, L’Économie de la Corée du Nord en 2012. Naissance d’un nouveau dragon asiatique ? La DGSI s’attaque donc à un haut-fonctionnaire qui officie à la direction de l’architecture, du patrimoine et des jardins du Sénat. Benoît Quennedey a peut-être fourni à Pyongyang les plans ultra-secrets du Jardin du Luxembourg ou bien les dates confidentielles d’élagage des arbres…

Le 2 octobre 2018, une vaste opération soi-disant anti-terroriste frappait à Grande-Synthe le Centre Zahra, une association culturelle musulmane chiite. Deux semaines plus tard, le préfet du Nord fermait pour six mois ce lieu accusé de diffuser l’islam radical chiite à l’échelle européenne. Dans le même temps, les terroristes d’Al Qaïdaet de Daech rentrent tranquillement en France ou quittent les prisons. Le Centre Zahra est une cible facile. Certains de ses animateurs dirigent le Parti anti-sioniste et ont soutenu en 2009 aux élections européennes en Île-de-France la liste de Dieudonné et d’Alain Soral, deux autres persécutés politiques.

Pendant que le Régime menace d’honnêtes gens, sa police avoue son impuissance face aux voyous du 9-3 et aux racailles du CAC 40. Au lieu de s’en prendre à de fantasmatiques agents à la solde de l’Iran, de la Corée du Nord ou de la Russie, le contre-espionnage devrait plutôt démanteler les puissants réseaux d’influence en France qui œuvrent pour les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Arabie Saoudite et le Qatar. Il devrait en particulier se pencher sur ces individus qui, à l’instar de cet éludes Français à l’étranger, servent d’abord les intérêts de la seule puissance nucléaire du Proche-Orient. Intérêts qui nuisent à l’avenir de la vraie France européenne.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°108, mise en ligne sur TVLibertés, le 14 janvier 2019.

23:42 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le journaliste indépendant Léopold Jimmy, de l'agence LDC News, agressé par des nervis du capital apatride intitulés "antifas"

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Un journaliste de l'agence vidéo indépendante LDC News a été agressé par des antifas à coups de barre de fer lors de la manifestation du 19 janvier à Paris. Il a remercié les Gilets jaunes pacifistes de lui avoir «sauvé la vie».

Léopold Jimmy, journaliste pour l'agence vidéo indépendante LDC News, a été pourchassé et passé à tabac le 19 janvier alors qu'il couvrait l'acte 10 de la mobilisation des Gilets jaunes, à Paris, rue de Tolbiac. Une vidéo mise en ligne sur les réseaux sociaux montre un groupe d'individus poursuivre Léopold Jimmy aux cris de « Paris, Paris ! Antifas ! ». Alors que plusieurs des poursuivants portent un gilet jaune, l'un d'entre eux sort une barre et frappe le journaliste, connu pour avoir été candidat du Front national aux élections cantonales en 2013.

Apprenant cette agression, Hugues Bouchu, délégué des Amis franciliens de Synthèse nationale, a immédiatement envoyé un message de sympathie au journaliste.

LDC News cliquez ici

 

23:36 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Beaucoup de monde à la Marche pour la Vie

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Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont participé ce dimanche à Paris, entre la Porte Dauphine et le Trocadéro, à la Marche pour la Vie. Comme chaque année au milieu du mois de janvier les mouvements anti-avortements ont fait une véritable démonstration de force.

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Plusieurs responsables politique comme Christian Baeckeroot, du Parti de la France (photo ci-dessus), Alexandre Simonot des Comités Jeanne ou Karim Ouchikh, Président du SIEL, sont venus apporter le soutien de leurs mouvements à cette manifestation.

En marge de la manif :

2018 01 ÉOLIENNES.jpgProfitant de l'occasion pour étendre le domaine des luttes, un tract de Synthèse nationale cliquez ici a été massivement distribué (à plus de 8000 exemplaires) pour sensibiliser les manifestants au scandale des éoliennes. Ce tract les invitait à lire le livre d'Alban d'Arguin Eoliennes, un scandale d'Etat cliquez ici.

 

23:03 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |