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lundi, 26 février 2024

Manif de Dol… Il serait peut-être temps d’arrêter les bêtises…

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Bernard Germain

Samedi 24 février 2024, Reconquête appelait à une manifestation contre l’installation d’un centre d’accueil pour mineurs non accompagnés (MNA) à Dol de Bretagne (35).

Grosse émotion des immigrationnistes sur place. Le discours des pro-migrants est des plus simples : « On ne va pas les laisser refaire un nouveau Callac ».

Refaire un nouveau Callac ?

Malheureusement, il n’y a aucun risque que cela arrive car depuis notre succès à Callac contre la mise en œuvre du projet Horizon, le duo Nicolas Bay (secrétaire général) – Damien Rieu (animateur des réseaux sociaux) n’a eu qu’une préoccupation : dénoncer la manière dont nous avons mené le combat et gagné à Callac.

Il ne fallait pas de royalistes, parce qu’ils sont royalistes, pas de représentants et militants du Parti de la France parce qu’ils sont « d’extrême droite », pas de Bretons parce que trop bretonnants, pas Riposte laïque parce que trop laïque, pas de Civitas parce que trop cathos, pas de représentants et militants des Patriotes parce que... etc, et surtout pas ces petits gars en noirs car ils sentent le soufre. 

Mais pourquoi cette volonté de Bay-Rieu de rejeter tous les patriotes organisés dans d’autres structures que Reconquête ?

Parce que Reconquête ne veut pas "salir" son identité et sa réputation par des actions communes avec ces gens. Un peu comme Marine Le Pen, Reconquête doit impérativement se « dédiaboliser » pour qu’on ne l’accuse pas d’être « l’extrême droite », afin de plaire à l’électeur. C’est pourquoi, aux yeux de certains de ses responsables (eux-même venus de la droite de l’extrême droite) un cordon sanitaire s’impose entre Reconquête et ces personnes trop marquées qui sont de ce fait des indésirables.

En conséquence, Nicolas Bay et Damien Rieu n’ont eu de cesse depuis nos succès de Callac de tout faire pour discréditer l’existence et l’action de la « Coordination Partout Callac » que nous avions créée pour aider tous ceux qui sont confrontés à ce type de problème. De même, avec constance, ils ont mis des bâtons dans les roues de nos actions dans toutes les localités où se menaient des combats contre l’installation de CADA, notamment en interdisant aux militants et responsables Reconquête de s’associer à ces initiatives.

Cela a commencé par Saint-Brévin (44) puis il y a eu Bélâbre (36) et d’autres localités dans plusieurs régions, à la suite.

Bélâbre a été la première défaite des opposants à l’instauration de CADA, consécutivement à la mise en œuvre de cette brillante stratégie d’isolement prônée et imposée par le tandem Bay-Rieu.

Samedi 25 février, à Dol (35), cette stratégie a de nouveau montré "ses remarquables perspicacité et efficacité".

Un centre pour mineurs isolés doit s’y installer prochainement. Reconquête a appelé à la mobilisation sur la ligne Bay – Rieu. Résultat : comme vous pouvez le voir sur la photo en haut de cet article… à peine une cinquantaine de personnes courageuses a répondu à l’appel de Reconquête. On est loin des grandes mobilisations à Callac. Pour mémoire, lors de notre première manifestation en septembre 2022 cliquez là nous étions plus de 400 personnes et lors de la seconde manifestation, le 5 novembre de la même année, nous étions 800 participants cliquez ici (selon le ministère de l’Intérieur).

La brillante stratégie du tandem Bay – Rieu aura eu comme résultat de couler de nombreux mouvements de contestation un peu partout en France.

Pour ce qui concerne le site internet de « Partout Callac », le 25 février également, il nous fallait renouveler l’abonnement du site chez notre hébergeur. Nous n’avons pas renouvelé, puisque Partout Callac, conçu comme une plateforme de rassemblement permettant de "ratisser large", dans les conditions que je viens de décrire, n’est utile à personne.

Défaites un peu partout en France quant aux combats contre CADA et Centre pour MNA, arrêt de l’action de la coordination Partout Callac... un beau bilan pour le tandem Bay – Rieu et leurs actions. Ils auront beaucoup plus fait pour couler Reconquête que pour sa progression. Au RN, ils en rigolent allègrement...

Si j’étais Eric Zemmour, je commencerais à m’interroger sur l’efficacité de ce « tandem de choc ». En imposant une telle ligne, ils ont placé Reconquête, né d’un formidable espoir en 2021, à la traine… loin derrière le RN. Et cela malgré le talent de sa tête de liste, Marion Maréchal.

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mardi, 28 novembre 2023

Libération immédiate de tous nos jeunes arrêtés à Romans !

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COMMUNIQUE DE LA COORDINATION PARTOUT CALLAC

Samedi 25 et dimanche 26 novembre 2023, deux manifestations ont eu lieu à Romans-sur-Isère organisées par ce que les médias et les bien-pensants appellent « l’ultra-droite », qui sont en réalité de jeunes patriotes.

La première a réuni une centaine de personnes, la seconde - le dimanche - une trentaine. Leur objet était simple : protester contre l’odieux assassinat raciste de Thomas, à coups de couteau, par des racailles de cité.

De très nombreux hommes politiques, la totalité de la « gauche », la plupart des médias et des bien pensants ont eu toutes les peines du monde à reconnaître la réalité des faits. Certains continuent à la nier.

Les uns ont parlé de « rixe ». Les autres de « bagarre » alors qu’il s’agissait pourtant très clairement d’un assassinat raciste. Les auteurs étant arrivés en criant « on va planter des blancs » ! Et c’est d’ailleurs ce qu’ils ont fait. Bilan : 1 mort et 17 blessés.

Leur forfaiture faite, les auteurs ont pris la fuite. Qualifiés de « Français, vivant en centre ville » par les autorités, ils ont été arrêtés à côté de Toulouse avec l’aide de 50 hommes du GIGN. Quel déploiement de force pour… des « Français » ordinaires.

En fait ces « Français de papier » étaient en route pour l’Espagne, direction le bled au Maghreb afin de s’y cacher.

Pendant des jours, le procureur et les autorités ont refusé de donner les prénoms et les noms des auteurs.

Peine perdue, tout le monde avait compris.

L’indignation est immense en France. La population est révulsée par cet acte odieux et barbare.

Pourquoi aucune star du show-biz n’a-t-elle jugé utile de s’indigner et de le dire ?

Pourquoi M’Bappé n’a-t-il pas dit qu’un « petit ange nous a quittés » ?

Pour Antoine Dupont et la FFR ont mis plus d’une semaine à réagir alors que Thomas était un rugbyman, capitaine de son équipe ?

Pourquoi n’y a-t-il pas eu une minute de silence à l’assemblée nationale, alors que la racaille Nahel y a eu droit ?

Pourquoi cette insupportable volonté des autorités de cacher les faits, les auteurs et les raisons de cette ignominie ?

C’est contre tout cela que des jeunes patriotes ont décidé de manifester à Romans-sur-Isère les 25 et 26 novembre.

Ils n’ont rien cassé. Ils n’ont blessé personne. Ils ont simplement exprimé leur colère et leur dégoût devant ces faits.

En réponse, le pouvoir leur a envoyé l’élite des forces anti-émeutes : la CRS 8. Et comme si cela ne suffisait pas, de manière absolument symbolique, les racailles locales qui ont tué Thomas, ont également agressé les jeunes manifestants.

L’un d’eux a été gravement blessé, après avoir été humilié - obligé de se dénuder - avant d’être passé à tabac. Sa voiture a été incendiée. Il est à l’hôpital.

Mais pour les autorités, la plupart des médias et toute la gauche, ce sont ces jeunes patriotes qui doivent être dénoncés comme étant des « bandes ultra-violentes d’extrême droite ».

Il ne semble être venu à l’idée d’aucun de leurs accusateurs que ceux qui avaient tué, ce n’était pas eux, mais les racailles locales.

Il ne semble être venu à l’idée de personne que leur manifestation s’est faite sans aucun dégât, contrairement à toutes celles durant lesquelles les black-blocs en ont fait tant (Réforme des retraites) tout en blessant des policiers... en toute impunité.

Il ne semble être venu à l’esprit d’aucun de leurs dénonciateurs que défendre son pays et sa population n’est ni crime ni un délit.

Pourtant, une vingtaine ont été arrêtés. Et 17 mis en garde à vue. Le lendemain, 6 d’entre eux sont passés au tribunal.

Une avalanche d’injures s’est abattue sur eux en provenance d’hommes politiques, de médias bien pensants et de la « gauche ».

La mansuétude coupable des juges lorsqu’il s’agit de « migrants », même auteurs de coups de couteaux, ne s’est pas exprimée.

C’est l’inverse qu’on a constaté : une justice impitoyable. Condamnation de 6 à 10 mois de prison avec incarcération immédiate.

En totale contradiction, ce jour s’est ouvert à Niort le procès des organisateurs de la manifestation contre « les bassines » qui a fait d’innombrables dégâts et plus de 50 blessés parmi les forces de l’ordre. Pour cela, ils risquent au maximum... 6 mois de prison.

Un « deux poids – deux mesures » insupportable qui discrédite totalement les juges qui ont prononcé ces sanctions et le pouvoir.

La Coordination Partout Callac condamne totalement cette justice partiale et à l’évidence totalement politique.

Ces jeunes patriotes avaient parfaitement le droit de manifester contre le crime raciste commis à Crépol par les racailles de la cité de « La Monnaie », d’autant qu’ils ont manifesté sans violence ni dégât.

Leur condamnation et leur emprisonnement est une décision honteusement arbitraire et totalement injuste.

La Coordination Partout Callac exige leur libération immédiate et sans condition !

Le 28 novembre 2023

Bernard Germain 

Porte-parole de la Coordination Partout Callac (www.partoutcallac.fr)

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samedi, 28 octobre 2023

Le « résistant » Erwan Chartier voulait nous ruiner : fiasco judiciaire mémorable.

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Bernard Germain

Erwan Chartier vous ne voyez pas de qui il s’agit ? C’est le rédacteur en chef du petit journal gauchiste « Le Poher » qui doit tirer à 1 000 ou 2 000 exemplaires par semaine et qui est basé pas très loin de Callac.

Ces derniers temps on voyait beaucoup le « résistant » Erwan Chartier sur les plateaux télé et dans la presse. Pensez donc il a même écrit un livre, un petit livre d’après ce que j’ai vu lorsqu’il l’a montré au cours d’une émission à sa gloire, sur FR3 me semble-t-il. Il paraît que dans ce livre il parle de la résistance notamment FTP (communiste) à Callac durant la seconde guerre mondiale et fait d’après ce que j’ai compris un parallèle avec le combat mené à Callac pour la venue de migrants et contre les horribles « fachos ».

En clair, dans le combat mené à Callac contre le projet Horizon qui entendait faire venir plusieurs centaines de migrants, nous étions les « nazis » et les immigrationnistes étaient les FTP des temps modernes.

N’ayant pas lu le livre, et je ne vais pas donner de l’argent à ce « résistant » pour en prendre connaissance, je me demande si dans sa glorification de l’action des FTP il a oublié ou pas d’indiquer que le 23 août 1939, était signé un pacte de non agression entre l’URSS et l’Allemagne nazie. Pacte connu sous le nom de pacte germano-soviétique.

Le pacte fut brisé le 22 juin 1941, par la décision d'Hitler d'attaquer l'URSS en déclenchant l'opération Barbarossa. Mais entre temps, c’est à dire pendant presque deux ans, le PCF malgré l’invasion de la France en juin 1940, a eu une politique de « fraternisation » avec les Allemands. À l’époque le PCF disait « Ne tirez pas sur un uniforme allemand. Derrière chaque uniforme il y a un travailleur. » Et il n’y avait aucune résistance communiste à cette époque. D’ailleurs ceux qui ont résisté avant que le PCF ne le décide, ont eu de sérieux ennuis. Par exemple Georges Guingouin dans le Limousin pour le maquis qu’il a monté à côté d’Eymoutiers en Haute-Vienne. Le PCF a essayé de l’assassiner à plusieurs reprises, ce qu’il explique entre autres dans son livre « Quatre ans de lutte sur le sol Limousin ». Mieux, le PCF a même été négocier la reparution légale de l’Humanité à la Kommandantur de Paris.

Quant à son secrétaire général, on n’oubliera pas de relever qu’il a déserté, a couru se réfugier en URSS et y est resté jusqu’à la fin de la guerre. C’est De Gaulle qui l’a amnistié pour ces faits infamants.

Toute cette période et ces évènements sont soigneusement cachés aux générations actuelles et ce qui leur est vendu c’est la fable du « Parti des 75.000 fusillés ». Il m’étonnerait que le livre du « résistant » les expose à ses lecteurs. Je pense qu’il participe plutôt à la propagation du mensonge du « Parti des fusillés ».

Il faut que je m’explique. Je dis le « résistant » car depuis la lourde défaite des immigrationnistes à Callac, il semble qu’il se sente investi d’une mission divine, reprendre le flambeau des immigrationnistes - flambeau tombé par terre - et pourfendre les « nazis » des temps modernes que nous serions en osant défendre notre pays contre l’invasion migratoire que nous subissons.

Ne pouvant revenir en arrière et empêcher le maire d’annoncer qu’il jetait l’éponge, notre « résistant » s’est mis en tête de faire payer les fachos pour cette victoire.

J’ai donc été clairement ciblé, pour un article paru en octobre 2022, qui répondait à un article d’une journaliste du Poher sur notre combat de Callac et qui n’a pas pu le faire sans nous traîner dans la boue et nous calomnier.

Nous avions répondu et cela n’a pas plu au « résistant » qui a donc saisi la justice. J’ai reçu une assignation au Tribunal le 30 janvier à mon domicile par exploit d’huissier.

Et bien sûr, ce qui devait arriver, arriva…

Quelques jours plus tard, le Télégramme de Brest ou Ouest-France - peu importe - publièrent un article dans lequel le « résistant » se disait victime d’une campagne de menaces téléphoniques et par mail ayant commencé… le lendemain du jour où j’ai reçu mon assignation au tribunal.

En clair et sans le dire, on m’accusait d’être à l’origine de ces menaces notamment de mort.

Et l’affaire ne s’est pas arrêtée là. Presque chaque jour il y avait des éléments nouveaux. Le « résistant » était à l’évidence la personne la plus menacée de Bretagne. Peut-être même de France.

La dernière invention fut une soi-disant alerte à la bombe qui provoqua l’arrivée massive de gendarmes, démineurs, avec évacuation des locaux. Le tout largement relayé par la presse régionale et même nationale.

En réalité, tout cela n’était que du théâtre. L’objectif était simple : comme l’audience au tribunal était prévue le 3 mars à Lorient il fallait, entre fin janvier et le 3 mars, créer l’ambiance afin que lors de notre comparution le « résistant » apparaisse comme une personne en grand danger et menacée par les horribles fachos, avec moi à leur tête et à la manœuvre.

Mais l’audience fut reportée au mois de septembre.

Curieusement, toutes les menaces cessèrent brusquement et, autre curiosité, les gendarmes qui pourtant ont de sacrés moyens n’ont jamais rien trouvé pour me mettre en cause ni aucun facho.

On me permettra d’être perplexe devant ce concours de circonstances. Arrêt brutal des menaces dès que la date du procès a changé et incapacité des gendarmes de trouver le moindre responsable alors qu’ils ont de puissants moyens et que le « résistant » était soi-disant assailli de menaces.

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lundi, 24 juillet 2023

Le maire de Callac ment, le maire de Callac est incohérent

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Jean-Yves Rolland, le maire qui voit des nazis partout

Catherine Blein

ancien conseiller régional de Bretagne

Décidément les maires de gauche, comme les media de gauche, ont tous les culots. Au cours d'une interview sur France Inter, le 17 juillet dernier à 17h46, qui revisitait un peu les événements liés au projet Horizon et à la bataille politique qu'il avait suscitée, le maire de Callac Jean Yves Rolland a eu l'aplomb invraisemblable de mentir à la journaliste Sandrine Etoa-Andègue en disant qu'il avait vu, lors des manifestations que nous avions organisées, « des drapeaux nazis sur la place ».

Dénoncer, comme il le fait, à la fois Reconquête ! et de soi-disant « drapeaux nazis » n'a en soi pas de sens. S'il avait une once de culture, le maire de Callac saurait que nazisme et Catholicisme n'ont jamais fait bon ménage, Hitler ayant décrété que Dieu n'existait pas et ayant aussi montré sa haine des Catholiques, tout comme il haïssait les Juifs.

L'immense majorité des militants de Reconquête ! est Chrétienne et Catholique, c'est un premier point, donc pas vraiment portée sur le nazisme. De plus elle est de droite, de la vraie droite, et si elle est « nationale », elle n'est pas franchement « socialiste ».. A bon entendeur.

Cette mise au point faite, l'essentiel est le deuxième point : il n'y a jamais eu le moindre drapeau nazi à Callac. Jean Yves Rolland est ainsi pris en flagrant délit de mensonge, ce qui est tout de même extrêmement grave pour un élu ! A moins qu'il ne soit victime d'hallucination, ce qui est envisageable après tout au vu de la trouille qu'il a manifestée face à l'opposition d'une grande partie de sa population, ou plus simplement qu'il prenne ses désirs pour des réalités. Quoi qu'il en soit Jean Yves Rolland ment, il ment à la journaliste, il ment aux Callacois, il ment à la France qui écoute France Inter. Et il doit nous présenter ses excuses, à nous les patriotes, qu'il insulte une fois de plus ce faisant.

On sait le mal qu'ont les gens de gauche à nous combattre sur le fond, car ils n'ont aucun argument qui tienne la route, alors ils ont pris cette habitude aussi sotte que lâche, de nous lancer la tarte à la crème du « nazisme » et du « facisme » qui ne convainc plus grand monde mais qui est, malgré tout, inacceptable. Aussi je demande officiellement au maire de Callac de retirer ses mensonges et de nous présenter ses excuses les plus plates, s'il a un tant soit peu d'honneur.

J'ajoute, par parenthèse, que j'ai déposé plainte contre Guy Joncour qui m'a traitée, dans le même esprit subtil et imaginatif, de « peste brune ». L'affaire est actuellement chez le Procureur, en espérant qu'une suite lui sera donnée. Je rappelle que j'ai été, et que bien d'autres patriotes ont été condamnés lourdement pour bien moins que ça !

Enfin un dernier point dans cette interview, qui me tire un petit rire narquois, c'est l'incohérence de ce pauvre maire qui décidément n'en loupe pas une.

Je cite ses propos : « j'ai du renoncer au projet Horizon, car le conseil municipal me pressait de prendre position. Sans quoi on serait tombé, il y aurait eu élections et l'extrême-droite s'installait à la tête de la commune ! » Ah bon ?

Je croyais que l'opposition ne concernait qu'une poignée de Callacois, entraînée et drivée par les militants de Reconquête ! venus du reste de la Bretagne !?

Menteur et incohérent, Jean Yves Rolland, qui s'interroge sur l'éventualité de sa candidature pour les prochaines municipales, n'a décidément pas l'étoffe.

Il n'ira sans doute pas loin dans les prochains combats, je lui conseille alors de profiter de son temps libre pour parfaire sa culture, cela lui évitera de dire des bêtises.

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vendredi, 23 juin 2023

Affolé par la résistance contre l'invasion des villages, le régime et ses médias veulent intimider les "meneurs"

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Un communiqué de la Coordination Partout Callac :

Nous assistons en ce moment en France à une formidable opération politico-médiatique. Son objectif est des plus simples : faire céder ceux qui se battent pour défendre leur identité, leur culture, leur pays et leur civilisation face à une invasion migratoire qui ne cesse d’amplifier.

Dans ce combat, ceux qui se prétendent du côté du « bien » ne reculent devant rien pour imposer leur point de vue. Mensonges, calomnies, pressions en tous genres, campagnes de presse honteusement mensongères, procédures judiciaires abusives, tout est bon pour faire taire les patriotes.

Ainsi, pour ne prendre que deux exemples :

  • À Saint-Brevin, le collectif qui combat contre un CADA est traîné dans la boue, accusé de tout et n’importe quoi, convoqué chez les gendarmes alors qu’ils n’ont rien fait de mal ni commis aucun délit. Leur seul crime c’est de vouloir protéger leurs enfants alors que des inconscients veulent construire un CADA juste à côté de l’école. Est-ce un crime de vouloir protéger ses enfants ? À Saint-Brevin, on est en droit de se poser la question vu le traitement réservé à ceux qui veulent protéger les gosses. D’ailleurs, la nouvelle maire de Saint-Brevin a déposé 4 plaintes en moins de 15 jours.

  • À Callac, la présidente de l’Association « Les Amis de Callac et ses environs » a été convoquée à la gendarmerie et traitée comme une délinquante, alors qu’elle ne fait que défendre la population de son village. Son crime ? Dire « il faut d’abord aider les Français qui en ont besoin. Les abandonner pour aider des gens venant de l’autre bout de la terre est une faute et même une trahison de nos compatriotes ». C’est parce que pour certains Français, leurs compatriotes ne sont pas prioritaires que de malheureux Français doivent dormir dans les rues. Parce qu’elle a osé dire cela, et défend cette opinion, la présidente de l’association « Les Amis de Callac et ses environs » a de nombreuses plaintes déposées contre elle.

Et puis il y a la campagne incroyable menée par la presse nationale et régionale pour salir et combattre tous ceux qui entendent résister. Ces journaux bien-pensants nous accusent, sans aucune preuve, des pires violences et exactions. Toutes imaginaires. Mais lorsque des violences bien réelles ont lieu comme récemment à Brest lors d’une réunion de dédicace d’Éric Zemmour, là aucun bien-pensant ne dénonce les coupables qui sont invariablement les mêmes : l’extrême gauche et les antifas.

Pour les sites qui dénoncent ces faits, tels Riposte Laïque et les animateurs comme Pierre Cassen, ils sont très souvent poursuivis devant les tribunaux afin de leur faire rendre gorge. C’est d’ailleurs le cas en ce moment pour Pierre qui est à Montpellier pour comparaître au tribunal à cause d’une plainte de la responsable locale de la Ligue des Droits de l’Homme à qui l’une de ses productions n’a pas plu.

Quant aux auteurs d’articles, telle ma petite personne, le même sort nous est non moins souvent réservé. Allez hop, au tribunal parce que l’un de vos articles n’a pas plu à un membre du camp du bien. Moi ce sera à Lorient, certainement au moment de la rentrée de septembre.

On pourrait tirer de tout cela que les choses vont très mal et qu’il y a des raisons de s’inquiéter.

Moi, j’en tire la leçon inverse. Pour de plus en plus de Français, les masques tombent. Mais au lieu de baisser les bras, ils se disent : «Ce n’est pas possible d’accepter cela», et donc cela produit l’effet inverse.

Au lieu de se coucher, de plus en plus de gens se «réveillent» et se mobilisent.

Pour moi, c’est sûr, ceux qui veulent nous faire plier sont très loin d’avoir gagné la partie.

Source cliquez ici

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lundi, 17 avril 2023

Violences antifas : les apprentis sorciers s’affolent

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Bernard Germain 

Samedi 15 avril, à Rennes d’innombrables violences eurent lieu. Officiellement pour protester contre la réforme des retraites que venait de valider le Conseil constitutionnel, après que Macron l’ait fait passer au parlement avec le 49.3. Colère légitime de la population, qui s’exprima à travers toute la France dans le cadre de défilés certes très remontés contre le pouvoir mais dans lesquels aucun incident notoire ne fut relevé. Ce dont nous voulons parler dans cet article, ce n’est pas de cette colère légitime, ni des manifestations pacifiques. Nous voulons parler des violences exercées en marge par ceux que l’on appelle des antifas.

Ils profitent bien sûr du contexte politique pour à chaque occasion laisser s’exprimer leur violence. Elles deviennent de plus en plus importantes et occasionnent des dégâts et des blessés. Un jour, ils finiront sans aucun doute par causer la mort d’une ou plusieurs personnes, qu’il s’agisse de simples citoyens ou de membres des forces de l’ordre. Ce jour là, c’est certain, c’est à qui ne sera pas responsable… Mais qui a permis à ces nervis de prospérer ? Indéniablement la gauche, les bien pensants et le pouvoir.

Et ce qui est le plus extravagant c’est que ceux qui les ont créés, les ont fait prospérer, les protègent et ne dénoncent jamais leurs exactions, semblent aujourd’hui pris de panique devant ce qui se passe.

Ainsi, le maire Nathalie Appéré (PS) a appelé l’État à l’aide pour « reconnaître la situation particulière » de Rennes.  Déclarant : « Les Rennais, les habitants du centre-ville et particulièrement nos commerçants, sont les victimes incrédules de ce déchaînement de violence. Les dommages se chiffrent en centaines de milliers d’euros. Après les événements de la nuit dernière, où la porte du Couvent des Jacobins et celle du commissariat de la rue de Penhoët ont été incendiées, et où des dégâts considérables sont à déplorer, que va-t-il se passer désormais ? Jusqu’où ira cette folie destructrice ? ».

« Reconnaître la situation particulière de Rennes »… on croit rêver. Mais qui a fait de Rennes une « situation particulière » sinon Mme Appéré elle-même ? Son laxisme, et même sa collusion avec les antifas et l’extrême gauche sont de notoriété publique. Tout comme son silence vis à vis des violences et dégradations des antifas.

Cela fait des mois que l’opposition au conseil municipal dénonce tout cela dans l’indifférence de la majorité municipale de gauche. Les violences de toutes sortes sont le quotidien des Rennais qui ne comptent plus les agressions. Les mineurs isolés sont légions dans les rues.

Bref, Rennes qui était une ville des plus sympathiques est devenue en quelques années une ville « pourrie », sous l’heureuse action et le laxisme de son maire PS. Et aujourd’hui Mme Appéré (Mme Apeurée) s’affole : « Jusqu’où ira cette violence destructrice ? ». Il est bien temps d’y penser et de se poser la question.

Reste que la situation est devenue tellement compliquée que le ministère de l’Intérieur a envoyé sur place la CRS 8, le corps d’élite des CRS, afin de faire face aux violences urbaines.

La situation est identique à Nantes, autre ville tenue par un autre maire PS, la célèbre Johanna Rolland. Elle aussi est un as dans son domaine.

Son budget municipal ne consacre que 1% à la police municipale. Celle-ci, en semaine arrête de travailler au milieu de la nuit. Et elle ne travaille pas le dimanche. Nantes, qui était une autre ville fort agréable, est devenue un authentique coupe-gorge. Comme Rennes. Et les antifas y prospèrent dans l’indifférence totale de la municipalité.

Ces élus tels Appéré ou Rolland, et tant d’élus d’extrême-gauche partout en France, ont soutenus ces nervis antifas et leurs violences comme à Sainte-Soline. La LDH a même été jusqu’à mettre des « observateurs » pour surveiller… la police. Mais pas les antifas alors que la manifestation était interdite.

A Callac, les élus de la municipalité de gauche ont soutenus les violences antifas contre les patriotes qui s’opposaient au projet du maire voulant faire venir des centaines de migrants.

C’est partout la même chose.

Tous ces élus qui répètent « pas de démocratie pour les ennemis de la démocratie » ont soutenu les antifas chargés, par la violence, de faire taire les opposants des bien pensants.

Sauf que le phénomène a pris une telle ampleur que les mêmes élus sont pris de panique aujourd’hui. Le monstre qu’ils ont créé et soutenu, leur échappe.

Cela me fait penser à cette scène de Fantasia, le film de Walt Disney, où l’on voit Mickey ensorceler un balai. Mais comme il n’est qu’un apprenti sorcier, il est incapable de contrôler la situation. Tous les balais s’ensorcellent et provoquent une catastrophe. C’est exactement la même chose avec les antifas, mais c’est autrement plus grave que des balais. Ces antifas sont devenus un véritable cancer pour notre société.

Le plus grave étant que personne ne semble vouloir prendre contre eux les mesures qui s’imposent. C’est notamment le cas du ministère de l’Intérieur, dont on aura du mal à me convaincre qu’il n’a pas identifié ces furieux. Alors pourquoi ne sont-ils pas arrêtés ? …jugés et condamnés à payer pour les dégâts commis et les blessures infligés à des citoyens et de policiers ou gendarmes ?

Pourquoi ne sont-ils pas interdits de manifestation et obligés de pointer dans une commissariat ou une gendarmerie à l’heure des manifestations ?

De même, pourquoi le procureur de la république des Côtes d’Armor n’a-t-il engagé aucune poursuite contre la municipalité de Callac pour deux contre-manifestations non déclarées, les 17 septembre et 05 novembre 2022 ? Pourtant c’est un délit condamnable.

Pourquoi ce procureur n’a-t-il lancé aucune poursuite contre les antifas qui ont exercé des violences à Callac à trois reprises ? Délit condamnable aussi. 

Au final, tous ces élus bien pensants ainsi que l’État sont les véritables responsables de ces situations chaque jour plus préoccupantes. Les uns parce qu’ils ont créé ce cancer, les autres parce qu’ils ne veulent pas le traiter. Attendent-ils qu’il y ait des morts pour finir par réagir ?

Et les médias bien pensants, à partir de quand vont-ils cesser de soutenir ces hordes violentes et les dénoncer pour ce qu’elles sont… des hordes fascistes ?

Le 29 avril, à St-Brévin aura lieu une nouvelle manifestation contre l’installation d’un CADA. Le préfet de Nantes va-t-il comme la dernière fois laisser la contre-manifestation des antifas approcher à quelques dizaines de mètres de notre rassemblement pacifique, ou va-t-il les contenir à plusieurs centaines de mètres ?

Ce n’est certes qu’un petit évènement par rapport à tout ce qui se passe en France, mais nous verrons ce jour là si l’État a tiré des leçons des évènements que nous vivons ou s’il souhaite continuer à laisser pourrir encore plus la situation.

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jeudi, 13 avril 2023

Bernard Germain à Breizh info : « La première et la plus importante conclusion que je tire du combat de Callac est que lorsqu’on se bat on peut gagner »

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Un grand entretien avec Bernard Germain, porte-parole de la Coordination Partout Callac, publié par Breizh Info cliquez ici

Le calme est revenu à Callac, commune des Côtes d’Armor qui s’est retrouvée, malgré elle, au centre de l’attention médiatique, du fait des tentatives d’y imposer à la population un accueil massif de migrants, sans consultation préalable de citoyens qui sont apparus très divisés sur la question, et avec une grosse partie franchement hostile.

Mais l’abandon du Projet Horizon n’a d’ailleurs pas empêché l’Etat d’imposer, en douce, des migrants dans la commune, puisque plusieurs familles (d’Afrique noire et du Moyen-Orient) sont arrivées depuis et occupent une habitation du centre de la commune. Ce qui n’est pas sans susciter incompréhension et interrogation dans le bourg.

Le combat contre l’implantation de migrants à Callac est résumé, en long, en large et en travers, par Bernard Germain dans un livre « Callac, mère de toutes les batailles », où celui qui a été l’un des acteurs de la contestation offre son point de vue et des informations, fournies, sur les évènements qui ont plongé cette petite commune du Centre-Bretagne dans un climat de tensions jamais connues sans doute, depuis la période de la Seconde guerre mondiale.

Nous l’avons interrogé sur son action et sur son livre, paru aux éditions Synthèse nationale commander ici).

Breizh-info.com : Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Bernard Germain : J’étais ingénieur logiciel. Aujourd’hui je suis retraité et je vis dans les Côtes d’Armor.

Je suis quelqu’un qui vient de la gauche. En 1981 j’ai voté Mitterrand et adhéré au PS. Je les ai quittés après le virage de la rigueur en 1983. Je n’avais pas voté pour cela.

J’ai ensuite partagé ma vie entre activités professionnelles et syndicalisme. S’agissant de mon activité de syndicaliste, j’ai été un responsable national de la Fédération FO des télécoms et à ce titre j’ai été l’un des négociateurs de la Convention Collective de Branche des Télécommunications (CCNT) pour ma Fédération. J’ai également été administrateur FO à la Sécurité Sociale pendant près de 20 ans dont 10 comme vice-président de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie des Yvelines.

Sur le plan politique, je n’ai eu aucune activité dans un parti depuis mon départ du PS. J’ai repris une carte politique récemment en adhérant à Reconquête lors de sa création, pour deux raisons : tout d’abord parce qu’Eric Zemmour m’est apparu comme un « politicien » honnête qui dit la vérité, et d’autre part parce que je pense que l’existence de la France telle que je l’ai connue est aujourd’hui gravement menacée, notamment du fait d’une immigration totalement incontrôlée.

Breizh-info.com : Avec quelques mois de recul sur la bataille de Callac, quelles sont les conclusions que vous en tirez ? Diriez vous que ce qui a fait le succès de la mobilisation, c’est surtout l’enracinement local d’une partie des opposants qui de facto, ne sont pas apparus comme “hors sol” dans la contestation comme cela peut parfois être le cas dans les manifestations contre l’immigration ?

Bernard Germain : La première et la plus importante conclusion que je tire du combat de Callac est que lorsqu’on se bat on peut gagner. Nous en avons fait la démonstration.

Indiscutablement, l’enracinement local des opposants a pesé lourd dans la balance. Cela a permis de discuter régulièrement avec la population et grandement aidé à la mobilisation car les gens comprenaient la justesse de notre combat puisqu’ils voyaient qu’ils allaient être directement touchés.

Maintenant, la présence de personnes « extérieures » lors des manifestations était normale. Le combat de Callac n’était pas seulement le combat de ce village, mais la mobilisation contre une politique nationale. Callac était le laboratoire de la mise œuvre de cette politique.

Breizh-info.com : Malgré l’abandon du projet Horizon, le projet Viltaïs semble lui mené tambour battant, y compris à Callac, puisque l’on y voit depuis quelques semaines plusieurs nouvelles (et nombreuses) familles. Envisagez vous de nouvelles mobilisations locales avec votre collectif ?

Bernard Germain : Callac a marqué un tournant dans la stratégie du gouvernement pour imposer sa « transition démographique ». Ils se sont rendus compte qu’un projet massif comme ils prévoyaient de le faire à Callac avec le projet Horizon, cela ne marche pas. Notamment parce qu’il reposait sur l’équipe municipale locale, qui s’est révélée incapable de résister à la pression et qui a craqué politiquement.

Le gouvernement en a tiré la leçon. Maintenant, ce sont les préfets qui pilotent avec des associations comme Viltaïs auxquelles ils sous-traitent la mise en œuvre moyennant d’abondantes subventions.

Second point important, il n’est plus question d’arrivées massives dans les villages mais de saupoudrage. Une famille par-ci, deux ou trois par là.

C’est beaucoup plus difficile de s’y opposer d’autant que tout est fait en secret et qu’on apprend l’arrivée des migrants à la dernière minute.

A Callac, deux familles sont arrivées ainsi dernièrement. L’Association « Les Amis de Callac et ses environs » a repris la mobilisation. Tracts et pétitions sont réapparus. L’affaire n’est nullement terminée.

Breizh-info.com : Quel est l’objectif de l’association « Callac Partout » ? Quelles actions avez vous mené ? A Saint-Brevin les Pins, une large partie de la population (beaucoup de résidences secondaires) que nous avons interrogée n’avait pas l’air hostile à l’accueil de migrants, comment l’expliquez-vous ?

Bernard Germain : La coordination « Partout Callac » a pour objectif d’aider tous ceux qui sont confrontés à l’arrivée de migrants dans leur localité et leur faire profiter de notre expérience pour mener le combat.

Nous avons d’ailleurs créé un site internet (www.partoutcallac.fr). Ceux qui le consulteront y trouveront des informations et des conseils pour mener l’action. Ils peuvent également nous contacter.

J’ajoute que j’ai également écrit un livre relatant le combat mené. Il s’appelle « Callac la mère des batailles » et peut être commandé chez www.synthese-editions.com.

Quant à St-Brévin, c’est comme partout. La plupart des gens au départ ne croit pas à la réalité des futurs problèmes que nous dénonçons. Et les discours incessants des médias immigrationnistes ne cessent de les intoxiquer. Donc, lorsqu’ils ont la preuve que ce que disions était vrai … il est souvent trop tard. Les immigrés que le préfet impose sont là. C’est pour cela qu’il faut mener le combat en amont, même si certaines personnes sont crédules et croient sur parole les médias.

Breizh-info.com : Ne pensez-vous pas que le fait de mettre trop en avant des organisations politiques (à Callac, on a beaucoup vu Reconquête) peut s’avérer contre productif, notamment dans des  communes rurales où la politique politicienne relève encore très souvent du domaine privé, à peine familial, et de celui des urnes ? (on a vu à Callac la fracture que pouvait engendrer le sujet, y compris dans les familles…)

Bernard Germain : J’étais le porte-parole du Comité d’Organisation, c’est à dire la structure qui regroupait l’Association « les amis de Callac et ses environs » et tous les partis politique et organisations qui menaient le combat.

Je n’ai jamais mis en avant que j’étais à Reconquête. Je parlais au nom du comité, donc de tout le monde. Il aurait été malhonnête de faire croire qu’il n’y avait que Reconquête. Étaient avec nous le Parti de la France, les Patriotes, Riposte Laïque, Résistance Républicaine, La ligue du Midi, Les Frères dissidents, entre autres.

D’ailleurs, pour faire partie du Comité d’Organisation nous ne demandions qu’une chose : être d’accord le mot d’ordre « Non au projet Horizon, Callac doit rester Callac ».

Tous ceux qui étaient d’accord avec cela étaient les bienvenus. On est donc très loin d’une appropriation du combat par Reconquête, même s’il est indéniable que Reconquête a été le principal acteur de tout cela.

En ce qui concerne les fractures au sein de la population, c’est Macron qui les a imposées.

Callac vivait tranquille. Mais Callac s’est retrouvé au milieu d’une mêlée découlant d’une politique nationale.

Le débat était inévitable au sein de la population. Certains étaient pour. D’autres, beaucoup plus nombreux, étaient contre. Il était inévitable que des fractures apparaissent.

Nous avons défendu Callac et cela a déplu à certaines personnes. C’est la vie.

Breizh-info.com : Un mot, pour conclure, sur les plaintes qui visent plusieurs organisateurs des manifestations callacoises, dont vous même, de la part notamment du quotidien Le Poher, qui a subi des menaces ces derniers mois ?

Bernard Germain : Le Poher est un petit journal gauchiste qui tire à quelques milliers d’exemplaires. Ils se sont crus obligés d’écrire des articles sur notre combat afin de le discréditer, employant à cette occasion une argumentation odieuse contre nous, allant jusqu’à faire la comparaison avec le combat des résistants contre les nazis.

J’ai donc répondu dans un article à ces attaques insupportables.

Mais ces gens ne supportent pas qu’on réponde. Eux ont le droit de nous insulter et de nous traîner dans la boue, mais ils exigent en retour notre silence.

Comme ma réponse ne leur a pas plu, ils ont décidé de me traîner au tribunal, ainsi que Christine Tasin la responsable du site Résistance Républicaine. L’audience était prévue le 3 avril mais a été reportée.

De plus, ils ont mis en scène toute une campagne de victimisation en déclarant recevoir des menaces de mort et même une alerte à la bombe. Le tout généreusement relayé par les médias nationaux et par les élus de gauche de Bretagne et autres associations pro-immigration.

L’objectif était à l’évidence d’accréditer l’idée qu’il existerait des violences d’extrême droite et que la France serait menacée de l’instauration du fascisme.

Je m’étonne, avec les moyens dont elle dispose, que la police n’ait toujours pas identifié les coupables.

Ce qui est sûr c’est que nous ne sommes nullement mêlés à cela. D’ailleurs nous désapprouvons ces méthodes.

Notre combat est politique, à visage découvert et « à la loyale ».

Propos recueillis par YV 

20:49 Publié dans Bernard Germain, Callac 22, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 08 avril 2023

La Coordination nationale Partout Callac envisage de porter plainte contre France 2

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Communiqué de la Coordination nationale Partout Callac :

Jeudi 06 Avril, France 2 diffusait son émission « Envoyé Spécial » d’Élise Lucet dont le thème principal était consacré à la bataille menée à Callac contre le projet Horizon de la fondation Merci, qui prévoyait une arrivée massive de migrants dans ce petit bourg des Côtes d’Armor, de 2200 habitants.

Cette émission fut un modèle de désinformation, de mensonges et de partialité, ne rendant nullement compte de ce qui s’est passé à Callac durant des mois, avant l’annonce de l’abandon du projet le 11 janvier 2023 par le maire, Jean-Yves Rolland.

Ainsi, pas un mot, pas une image ne montra l’action illégale des pro-migrants à l’occasion de deux manifestations non déclarées à Callac.

Pas un mot, pas une image ne montra non plus les violences des antifas, à trois reprises à Callac, dont la dernière, le jour des vœux du maire fin janvier, déboucha sur deux interpellations et mises en garde à vue.

De même, les images de notre manifestation du 5 novembre 2022 contre le projet Horizon ont été prises avant que les participants ne soient présents en nombre, donnant l’impression qu’il n’y avait quasiment personne.

Or, il y eut environ 800 personnes (600 d’après la police). 

De plus, s’agissant du temps de parole accordé aux deux parties, le visionnage de l’émission permet de constater que 90 à 95 % du temps fut accordé aux personnes favorables à l’arrivée des migrants.

Les opposants n’eurent droit qu’à moins de deux minutes sur plus de vingt pour l’ensemble du reportage.

Enfin, il est particulièrement remarquable de noter qu’à de multiples reprises des qualificatifs inadmissibles furent employés par des personnes interrogées et par le journaliste commentant le reportage à l’encontre des opposants au projet Horizon. Qualificatifs complaisamment diffusés par les responsables de cette production de France 2.

Nos avocats sont saisis et nous nous réservons le droit de porter plainte contre les personnes en cause ainsi que contre les responsables de ce reportage odieux par de nombreux aspects.

Le 8 Avril 2023.

Bernard GERMAIN

Porte-parole de la Coordination Partout Callac cliquez ici

22:52 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 07 avril 2023

Reportage-bidon de France2 sur Callac : la réaction de Catherine Blein, alors présidente des Amis de Callac et de ses environs

0.jpgCommuniqué
de Catherine Blein :
 
On connaît bien les tendances gauchistes d'Elise Lucet et je ne m'attendais pas à une présentation équitable de la bataille de Callac.
 
Mais là, on a atteint des sommets dans la manipulation !
 
J'avais, avec la journaliste Julie Benzoni, enregistré deux heures d'entretien posé, sérieux, au cours duquel j'exposais les raisons profondes et tout à fait respectables de notre opposition au projet Horizon. Pas une seule seconde de ces heures d'entretien n'a été diffusée. 
 
Quelques images, prises volontairement en début de manifestation quand tout le monde n'est pas encore là, une mise en scène entre deux "amis", Alban Chicouard, qui n'est pas représentatif du profil des vrais opposants, et Guy Joncour, un exalté immigrationiste amateur de whisky, les pleurnicheries d'un Morcet sur les soi-disant menaces de mort reçues par les élus, et surtout un amalgame scandaleux fait avec nous les Amis de Callac et Reconquéte! alors que ces menaces, si elles ont vraiment existé viennent d'on ne sait où et, en fin d'émission un parallèle, véritable propagande, entre des Panaméens qui bravent la jungle avec femmes et enfants pour gagner l'Amérique et les clandestins africains qui se font débarquer tranquillement sur nos plages, voilà le résumé de cette affaire.
 
Conclusion d'une émission à une heure de grande écoute: il y a d'un côté les sans coeur qui ne veulent pas des clandestins parce qu'ils sont xénophobes, les affreux, les " fachos" et de l'autre les généreux, les humanistes, qui, cerise sur le gâteau, répondraient, ce faisant, à une exigence de notre économie. 
 
Cette émission est un scandaleux détournement de la vérité, une larmoyante apologie du grand remplacement, mais aussi une atteinte à notre dignité d'opposants responsables et adultes, qui n'agissons que dans la légalité et n'avons pour seule motivation que la défense de l'intégrité de la France, son peuple, sa langue, sa civilisation face au déferlement croissant d'étrangers qui, par leur seule présence massive, leur culture et leur religion-doctrine politique, vont immanquablement modifier puis faire mourir le pays que nous aimons.
 
Elise Lucet, par ailleurs payée par nous contribuables, est une militante gauchiste qui ne devrait pas avoir sa place dans un service public d'information. Elle mérite d'étre attaquée par Reconquéte! et les Amis de Callac, (dont j'ai quitté la présidence), qu'elle assimile de façon honteuse à une bande de voyous menaçante et violente alors que la violence, les menaces et la casse c'est en face du côté des "antifas." Qu'elle se renseigne auprès de la Gendarmerie.

10:53 Publié dans Callac 22, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CALLAC : LA VÉRITÉ !

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00:37 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 06 avril 2023

CALLAC : après la diffusion ce soir d'un odieux "reportage" sur France 2, la réaction immédiate de Pierre Cassen

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Pierre Cassen, président de Riposte laïque

J'ai regardé. C'est grandiose. Un mélange d'Agence Tass et de Goebbels, au service de l'invasion migratoire.

On a eu la parole 30 secondes, et le reste a été pour les 6 meneurs immigrationnistes de Callac, qui nous ont vendu leur discours pseudo humaniste, moralisateur, et leurs insultes habituels. Du compassionnel à deux balles.

Et bien sûr, du Saint-Brévin ensuite, avec l'incendie de la maison du maire, et le duo Elise Lucet-Morez qui pleurnichent que les autorités ne font rien contre les très méchants fascistes qui terrorisent les paisibles élus.

Et cela se termine par un reportage manipulateur au possible, comparant les migrants africains à des Panaméens risquant leur vie pour traverser la jungle avec femmes et enfants. L'apologie de l'immigration clandestine, avec le discours que sans les clandestins, appelés migrants tout au long du reportage, les économies ne peuvent survivre.

Bref, ceux qui s'opposent à l'arrivée des migrants sont des salauds dépourvus de toute humanité. Une propagande qui a duré au total plus d'une heure, à un moment de grande écoute.

On va s'occuper d'eux dès ce soir. Bernard fait un article que nous mettrons en ligne dans environ une heure, et je ferai ma vidéo demain sur le sujet.

Pour visionner ce monument de

propagande gouvernementale cliquez ici

23:38 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 30 mars 2023

LE LIVRE DE BERNARD GERMAIN, "CALLAC, LA MÈRE DES BATAILLES", VIENT D'ÊTRE RÉÉDITÉ (actualisé et complété)

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Pour commander ce livre cliquez ici

LA PRÉSENTATION DE ROLAND HÉLIE :

Depuis quelques mois, « l'affaire de Callac » défraye régulièrement la chronique. Le combat de ce petit village breton - qui résiste héroïquement face à la volonté de quelques bobos parisiens de le transformer en laboratoire de la transition démographique voulue par le pouvoir - mérite qu'on s'y intéresse.

Cette opération humanitaro-lucrative aurait pu se dérouler dans l'indifférence totale. Mais, hélas pour ses promoteurs, il existe à Callac et dans ses environs un foyer d'irréductibles patriotes identitaires qui ne l'entendent pas ainsi. Parmi eux : Bernard Germain, l'auteur de ce livre, qui a déjà écrit deux autres titres publiés par Synthèse nationale.

Cet ouvrage est la deuxième édition, actualisée et complétée (la première ayant été diffusée en quelques semaines), relate les efforts entrepris par ce groupe de patriotes français (bretons insisteront certains), pour dénoncer le danger de grand remplacement qui menace la Bretagne, la France et l'ensemble de l'Europe...

Afin de dissiper tout malentendu, il convient de préciser que ce combat, et ce livre, sont totalement dénués d'animosité à l'encontre de quiconque. Chaque peuple, avec ses coutumes et son identité, est respectable. Là où les problèmes commencent, et les exemples sont légions, c'est lorsque par aveuglement idéologique on entreprend de mettre deux, ou pire, plusieurs peuples sur une même terre. C'est pour éviter cet engrenage périlleux que les Callacois se battent aujourd'hui.

Le meilleur moyen d'éviter que le « côte à côte » ne devienne un « face à face », c'est que chacun vive et s'épanouisse d'abord sur la terre de ses ancêtres. Les Africains en Afrique et les Européens en Europe. C'est encore, à notre avis, le meilleur moyen de préserver l'harmonie entre les peuples...

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Callac, la mère des batailles, seconde édition actualisée et complétée, Bernard Germain, Synthèse nationale, 218 p., mars 2023, 22,00 € (+ 6,00 € de port)

Préface de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque

12:20 Publié dans Callac 22, La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 15 mars 2023

Callac : Viltaïs traite comme du bétail dix Soudanais imposés à la population

viltais.jpgBernard Germain 

Le 11 janvier 2023, suite à notre action contre le projet Horizon (notamment grâce à l’association « Les Amis de Callac et ses environs »), le maire annonçait l’abandon du projet Horizon qui prévoyait l’arrivée de 70 familles immigrées, dans ce bourg de 2200 habitants.

Dans notre communiqué annonçant notre victoire nous écrivions :

« Pour l’instant, Callac est sauvé. A moins que le Préfet ne s’entête et veuille imposer avec Viltaïs ce qui a été évité avec la fondation MERCI et son projet horizon.

Le plus sage serait que le Préfet en reste là et que Callac retrouve son calme.

Mais s’il entend continuer, nous reprendrons la mobilisation et il nous trouvera sur sa route.

L’avenir nous dira rapidement à quoi nous en tenir... »

Malheureusement nos paroles n’ont pas été entendues par le préfet, et l’association Viltaïs continue à agir à Callac pour l’arrivée de migrants avec la complicité de la municipalité.

Certes, ces arrivées sont très réduites mais elles méritent toute notre attention.

En début de semaine, une famille soudanaise est arrivée à Callac, amenée par Viltaïs.

Cette famille est composée d’un couple et de 8 enfants, soit 10 personnes.

La femme est enceinte et le mari semble être malade. Ils ne parlent pas français.

Ce qui est incroyable, c’est les conditions d’installation que Viltaïs a réservées à cette famille.

Des matelas à même le sol du logement, un peu d’argent … et c’est tout.

Danielle Le Men, présidente de l’association des Amis de Callac dénonce : 

« Viltaïs propose l’asile à des migrants mais n’est même pas capable d’accueillir ces réfugiés dans des conditions décentes. Actuellement, ils sont traités comme du bétail. » 

Faut-il rappeler que Viltaïs a touché 2,5 millions d’€ au titre de 2022, payés en 2023, pour financer son action à Callac ?

Cet argent reçu par Viltaïs, ce sont des subventions, c’est à dire nos impôts !

Ils prétendent faire de l’humanitaire, mais en fait se comportent comme des négriers.

On croit rêver, 2,5 millions de subvention pour fournir quelques matelas à même le sol et un peu d’argent liquide. Ces gens n’ont aucune honte.

Je rappelle mon article, publié par Riposte Laïque « Le « business » pourri des associations à migrants » publié le 16 février 2023, dans lequel je dénonçais notamment l’association Viltaïs qui d’ailleurs a été épinglée par un rapport de la Cour des Comptes de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour sa gestion très « limite ».

Callac vient de nous en fournir un nouvel exemple consternant.

La situation est tellement honteuse et scandaleuse que la mairie de Callac, très gênée par cette situation alors qu’elle soutient l’arrivée de migrants avec Viltaïs, a mandaté le Secours Populaire local pour intervenir et venir en aide à cette famille totalement abandonnée.

Mais là aussi, le Secours Populaire ne peut vivre et agir que grâce aux subventions perçues, notamment dans le cas d’espèce grâce aux versements de la Mairie de Callac donc avec l’argent des callacois.

Au final, aucun callacois n’a demandé de faire venir ces pauvres gens. Ils ont même clairement dit qu’ils étaient contre cette immigration qui leur est imposée.

Pourtant les pro-immigration, notamment parmi les élus municipaux, continuent d’en faire venir via Viltaïs, malgré le rejet du projet Horizon.

Que va-t-il falloir pour que les élus du conseil municipal de Callac comprennent que les callacois ne veulent pas de ces arrivées d’immigrés ? Que ce soit avec Horizon ou Viltaïs.

Que va-t-il falloir pour que les élus municipaux de Callac comprennent que Viltaïs est une association qui « fait de l’argent » grâce aux migrants mais les traite comme du bétail 

Que va-t-il falloir pour que les élus municipaux de Callac comprennent que depuis les passeurs jusqu’aux associations de terrain telle Viltaïs, il y a toute une chaîne d’intervenants pour lesquels l’immigration n’est qu’un business comme les autres dont l’objet est simplement de gagner de l’argent sur la misère du monde, tout en prétendant défendre de grands principes généreux ?

Dans le réel, on est très loin des sentiments « généreux » invoqués pour nous faire la morale et culpabiliser et dénoncer comme « fasciste » ou « extrême-droite » quiconque ose s’élever contre cette politique immigrationniste qui va indiscutablement aboutir à détruire la France, sa culture et son identité en la noyant dans une population de plus en plus nombreuse mais qui malheureusement n’a, pour l’essentiel, nullement l’intention de s’assimiler et de vivre en bonne intelligence avec les populations locales.

Ce triste exemple, qui vient de se produire à Callac, ne fait que nous rappeler que tous les bien pensants sont totalement prisonniers de leur idéologie immigrationniste et n’arrivent même pas à tirer les leçons des évènements qu’ils ont pourtant sous les yeux.

A l’inverse, ces évènements sont pour nous la confirmation de la justesse de notre combat.

23:26 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 04 mars 2023

Bernard Germain remercie les patriotes qui lui ont apporté leurs soutiens

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Chers amis,

Le procès, que le journal Le Poher m’intente, devait avoir lieu ce vendredi 3 mars au tribunal judiciaire de Lorient cliquez ici. Il est reporté à une date ultérieure. Dès que nous la connaîtrons nous vous en informerons cliquez là.

N’ayant pas la possibilité de faire face aux frais de justice qui sont élevés, nous avons fait appel à la solidarité patriotique et nationale.

Les dons collectés, grâce à vos versements et au soutien que m'apporte Reconquête !, me permettent d’assumer les frais de la première instance.

Je remercie du fond du cœur tous ceux qui ont répondu à notre appel et me sont venus en aide.

La cagnotte restera en ligne pendant encore 6 jours.

Les nouveaux dons serviront à financer l’inévitable procès en Appel qui aura lieu à la suite.

Merci d’avance à ceux qui comprendront la situation et répondront à notre appel à la solidarité.

Avec tous mes remerciements

Bernard Germain

Pour ceux qui souhaitent faire

un don, c’est ici : cliquez là

12:12 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 02 mars 2023

Satisfaction de la Coordination Partout Callac suite aux encouragements de Jean-Marie Le Pen

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Bernard Germain et Jean-Marie Le Pen

Un communiqué de la Coordination Partout Callac

Jean-Marie Le Pen fut le premier en France à tirer le signal d’alarme sur les dangers de l’immigration. Surtout si elle est complètement incontrôlée comme actuellement.

En réponse, il fût insulté et ostracisé par presque toute la classe politique. Gauche et droite réunie.

Pendant des dizaines d’années. Aujourd’hui encore.

Pourtant il avait raison comme le prouve ce que nous vivons actuellement dans notre pays, qui est au bord de l’abîme et en passe de disparaître si l’évolution actuelle continue encore quelques années sans aucune mesure sérieuse pour l’arrêter.

Des hommes politiques ont eu les mêmes opinions que lui.

Ainsi :

  • Georges Marchais (PCF) pendant la campagne présidentielle de 1980-1981 a déclaré : « il faut arrêter immédiatement toute immigration légale et illégale ». Il faut dire que le PCF régnait sur tous les quartiers populaires. Et dans la « ceinture rouge » (les départements autour de Paris) il était aux premières loges pour constater les effets dévastateurs du regroupement familial que Giscard d’Estaing venait de mettre en œuvre.
  • Michel Rocard (PS) a également déclarer : « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde » Et à l’époque on était très loin de la situation actuelle. Que dirait-il s’il voyait la situation de notre pays ?
  • La Droite également, toutes tendances confondues, lors de la Convention de la droite a dit et voté une résolution se prononçant clairement pour l’arrêt de toute immigration. On trouvait même dans cette résolution que « l’islam est incompatible avec la République ».

Chirac élu en 1995 oublia tout cela et pratiqua une politique tournant radicalement le dos à ce qu’il avait voté en 1990 avec tous ses amis (Juppé, Sarkozy, Bayrou, … etc).

C’est à partir de ce moment qu’est apparue la « droite républicaine ».

Idem pour la gauche, qui oublia ce qu’avait dit Rocard. A l’inverse elle se mit à glorifier la « différence », les « chances pour la France » et le « vivre ensemble ». 

Seul Jean-Marie Le Pen et le Front national resta fidèle à ses convictions.

Quelques dizaines d’années plus tard, force est de constater que Jean-Marie Le Pen avait raison.

Et les Français l’ont bien compris.

En 1974, il obtenait 0 ,74 % des voix à l’élection présidentielle.

En 2022, Marine Le Pen… grâce à son nom, obtenait plus de 42 % des voix.

Aujourd’hui, Jean-Marie Le Pen, dans son Journal de bord hebdomadaire a commenté l’affaire de Callac ainsi que le site que nous avons lancé « Partout Callac » (www.partoutcallac.fr).

Non seulement il en a parlé, mais il soutient le combat que nous menons contre l’immigration folle que connaît notre pays.

Notre combat marche dans les pas qui étaient les siens. C’est avec fierté que nous entendons ses paroles sur notre combat.

Vous pourrez les entendre sur cette vidéo : cliquez ici.

23:26 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ATTENTION : LE PROCÈS DE BERNARD GERMAIN PRÉVU VENDREDI 3 MARS À LORIENT EST REPORTÉ

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Vous êtes nombreux à nous avoir fait part de votre intention de vous rendre à Lorient vendredi matin pour venir soutenir notre camarade Bernard Germain, et Christine Tasin, directrice de Résistance républicaine, trainés devant le tribunal suite à un article dénonçant les fantasmes de la presse remplaciste à Callac.

L'avocat de nos amis, Maître Frédéric Pichon, nous fait savoir que le procès est reporté à une date indéterminée. Nous vous demandons par conséquent de ne pas vous déplacer devant le tribunal de Lorient vendredi matin. Cependant, il est nécessaire de rester mobilisés. Nous vous tiendrons informés sur ce site de la suite des événements...

S N

 

Lire aussi : cliquez ici et cliquez là

10:02 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 27 février 2023

Des nouvelles du procès intenté contre Bernard Germain

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Nous vous en avons tenus informés sur ce site cliquez là, les mauvais perdants de Callac, les thuriféraires du grand remplacement, furieux d'avoir perdu la bataille se livrent maintenant à un acharnement judiciaire contre les porte-parole de la résistance identitaire. Ainsi, nos amis Bernard Germain, du comité d'organisation des manifestations, auteur du livre Callac, la mère des batailles cliquez ici et responsable de la Coordination nationale Partout Callac cliquez là, et Christine Tasin, directrice de Résistance républicaine, ont été convoqués suite à des plaintes fumeuses d'un canard gauchiste local en mal de pub, devant le tribunal de Lorient le 3 mars prochain. Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque cliquez ici, est lui-aussi inquiété pour des raisons similaires.

Rappelons le côté dérisoire de cette affaire : depuis quelques jours, une obscure gazette intitulée Le Poher, dont tout le monde chez nous, jusqu'à aujourd'hui, ignorait l'existence, serait la cible de menaces de la part du "mal absolu", entendez la droite nationale... Comme si les militants nationaux et identitaires n'avaient rien d'autre à faire que de se polariser sur ces gens-là. Donc, faute de recueillir l'assentiment du peuple breton, les pauvres chéris du Poher multiplient les plaintes contre nos amis encombrant ainsi honteusement les tribunaux et les gendarmeries qui, n'en doutons pas, ont bien d'autres affaires à régler.

Tout cela serait risible si ces plaintes n'occasionnaient pas des frais de justice que nos camarades doivent supporter. Voilà pourquoi, à Synthèse nationale, nous avons décidé de lancer une souscription cliquez là pour aider notre collaborateur et ami Bernard. En l'attaquant, c'est toute la résistance nationale et identitaire qui est attaquée. Cette souscription a déjà reçu, et c'est une bonne nouvelle, de nombreux soutiens que nous tenons à remercier ici (près de 2 000 € - cagnotte + chèques). Soulignons aussi que le parti Reconquête !, dont il est membre, lui apporte aussi un soutien. Grâce à ces nombreuses contributions, nos amis sont presque en position pour affronter sereinement leurs détracteurs.

Et, comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, nous venons d'apprendre par notre avocat, Maître Frédéric Pichon, que l'audience du 3 mars est repoussée...

Nous vous tiendrons ici au courant de la suite des événements.

S N

 

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mardi, 21 février 2023

ILS SE SONT BATTUS POUR QUE CALLAC GARDE SON IDENTITÉ, ILS SONT AUJOURD'HUI TRAINÉS DEVANT LES TRIBUNAUX !

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

L'acharnement hystérique de la part de quelques journalistes en mal de sensations contre nos amis Bernard Germain et Pierre Cassen commence à friser le ridicule, voire l'indécent...

Depuis sa cinglante défaite à Callac, le clan d'extrémistes remplacistes, qui entendait imposer à cette petite commune (2 200 habitants) des Côtes d'Armor l'arrivée de plusieurs centaines de migrants, ne sait plus quoi inventer pour se venger. Ayant été massivement rejetés par les Callacois conscients des difficultés qu'un tel projet allait engendrer, les immigrationnistes veulent aujourd'hui faire payer leurs turpitudes à ceux qui se sont courageusement battus pour sauver leur identité et leur liberté.

Leur dernière trouvaille : déposer des plaintes pour des "menaces" qu'ils prétendent avoir reçues...

À ce sujet, il est temps de rappeler certains faits afin de remettre les pendules à la bonne heure…

Si les deux collaborateurs de la feuille d'extrême gauche locale, intitulée Le Poher, ont reçu, comme ils l’affirment, des "menaces", la présidente de l'Association des Amis de Callac et ses environs, Danielle Le Men, elle, a bel et bien été agressée par une bande de pseudo-antifas (mais vrais enragés), le samedi 28 janvier, alors qu'elle se rendait seule à la cérémonie des vœux du maire de Callac (agression au cours de laquelle un gendarme a été blessé et un véhicule de la gendarmerie endommagé). Inutile de préciser que cette attaque lâche n'a suscité aucune protestation dans "le camp du bien", au sein des sourcilleux chiens de garde de la pensée conforme, spécialistes de l'indignation à géométrie variable.

Lors des deux manifestations (17 septembre et 5 novembre), qui furent les agresseurs et qui furent les agressés ? Les paisibles manifestants callacois venus s'opposer au projet remplaciste ou la horde de gauchistes ultra violents qui tenta de briser la manif ? Sans l'intervention des forces de l'ordre, je vous laisse imaginer les dégâts...

Puisque nous en sommes à parler "menaces de mort", permettez-moi, à ce stade du développement, quelques digressions d’ordre personnel :

• D’abord, après bientôt 50 ans de militantisme nationaliste, je ne compte plus les tentatives d’intimidation dont j’ai fait l’objet. Si j’avais porté plainte à chaque fois que j'ai reçu des messages menaçants ou retrouvé la cage d'escalier des différents immeubles où j'ai habité couverte de graffitis peu amènes, les postes de police locaux seraient devenus pour moi des prolongements de mon domicile... Lorsque l'on s'engage au service d’une cause, quelle qu'elle soit, il faut savoir en accepter les désagréments, apprendre à en supporter certaines conséquences et savoir garder la tête froide en toute circonstance.

• Ensuite, en mai 1983, une charge d’un kilo de plastic a fortement endommagé trois étages de l'immeuble parisien, boulevard de Sébastopol, où se trouvait le siège du Parti des forces nouvelles dont j'étais l'un des dirigeants. Mon bureau a été "soufflé". Par chance, ou grâce à la Providence, il n'y avait alors (à une demi-heure près) personne dans les locaux. J’ai encore en mémoire cette remarque d’un des enquêteurs (dont le "zèle" déboucha sur un classement "sans suite" de l'affaire) : « Les attentats sont rarement précédés de menaces et les menaces sont rarement suivies d’attentats ». Effectivement, aucun avertissement n’avait précédé cette explosion d’origine criminelle…

• Il y a quelques mois, j'ai reçu une enveloppe dans laquelle il y avait de la poudre (?) et un mot fort peu aimable. Pas de quoi en faire un drame. L'idée ne m'est d'ailleurs pas venue de porter plainte. Laissons cela aux froussards et aux donneurs de leçons patentés...

• Les poursuites dont Bernard Germain et Pierre Cassen font aujourd’hui l’objet me remettent aussi en mémoire cette journée mémorable du début des années 2010 où notre amie Claudine Dupont-Tingaud se retrouva devant la XVIIe Chambre correctionnelle de Paris pour avoir diffusé un tract dénonçant - de manière plutôt modérée - la mauvaise foi des organisateurs d'un festival cinématographique anticolonialiste. Le hasard fit que sa comparution devait avoir lieu quelques jours après la journée annuelle de Synthèse nationale, ce qui nous permit de lancer un appel à la mobilisation. Le jour venu, la salle du tribunal était pleine de patriotes qui eurent ainsi le plaisir d’assister à la déconfiture des cinq plaignants (communistes pour l'essentiel) : non seulement la cour les débouta mais elle leur reprocha fermement d'encombrer inutilement un tribunal qui avait bien d'autres affaires à traiter.

Je ne m’étendrai pas sur les multiples mensonges propagés par les valets du système pour tenter de discréditer la Résistance nationale et identitaire, mais je tiens à souligner et à dénoncer la hargne particulière dont ils font preuve à l'encontre de nos amis.

Pourquoi ? Peut-être tout simplement parce que Bernard et Pierre, avant de rejoindre le combat national, militaient, dans leur jeunesse respective, au sein d’organisations d'extrême gauche : l'OCI pour l’un et la LCR pour l’autre. Ils ne s'en sont jamais cachés et, pour ma part, je considère que c'est une fierté de les voir désormais à nos côtés. Sans doute est-ce là ce qui exaspère le plus les derniers suppôts de l'internationalisme communiste...

Quoi qu'il en soit, nous devons les soutenir par tous les moyens. Dans quelques jours, comme nous l'avons fait au moment où le pouvoir voulait dissoudre le Bastion social, il y a quelques années, nous allons lancer une pétition nationale de soutien à Germain et Cassen. Nous allons aussi envisager des actions militantes de soutien. Nous avons lancé la semaine dernière une cagnotte pour aider notre ami Germain à supporter les frais de justice. Celle-ci a déjà rassemblé près de 2 000 euros (cagnotte électronique + dons par chèques), ce dont nous vous remercions chaleureusement (nous avons encore besoin de moyens pour faire face... n'hésitez pas à nous aider).

Le procès ayant lieu le 3 mars prochain à Lorient, nous envisageons également une mobilisation populaire.

D'ici là, nos amis ne baissent pas les bras et, samedi prochain, 25 février, ils prendront la parole à Saint-Brévin-les-Pins (44) lors du grand rassemblement contre le projet d'implantation massive de migrants dans cette commune.

Ce qui ne tue pas rend plus fort...  L'obstination de nos adversaires renforce notre combativité ! Amis nationaux et nationalistes, ce nouveau combat vous appelle. Je sais qu’une fois de plus, vous saurez répondre présents et faire bloc autour de nos deux camarades. Par avance, merci !

La semaine dernière, pour aider notre camarade Bernard Germain, nous avons créé une cagnotte de soutien. Celle-ci est toujours en activité. Vous aussi, participez au vaste mouvement de solidarité nationale cliquez ici

Vous pouvez aussi adresser un chèque (mentionnez au dos "soutien BG") à Synthèse nationale BP 80135  22301 Lannion PDC

Bernard Germain fut candidat de Reconquête ! en juin dernier dans les Côtes d'Armor et il est l'auteur du livre "Callac, la mère des batailles" (Synthèse nationale) cliquez là
 
Pierre Cassen est le fondateur de Riposte laïque cliquez ici

ILS  SERONT À SAINT-BRÉVIN-LES-PINS

SAMEDI 25 FÉVRIER :

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jeudi, 16 février 2023

Saint-Brévin-les-Pins, samedi 25 février : Danielle Le Men, présidente des Amis de Callac et ses environs, prendra la parole

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mercredi, 15 février 2023

Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, prendra la parole samedi 25 février à Saint-Brévin-les-Pins

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mardi, 14 février 2023

Ne laissons pas tomber notre ami Bernard Germain

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Comme vous le savez peut-être, notre ami Bernard Germain, qui écrit régulièrement dans nos colonnes et notre revue, a été l’un des principaux animateurs du combat à Callac (en Bretagne) contre le projet Horizon de la fondation Merci. Ce projet visait à imposer à un village de 2200 habitants, l’arrivée de plus de 500 migrants d’origine africaine (25 % de la population).

Ce combat a été gagné et le projet Horizon abandonné par le maire, qui l’a annoncé publiquement le 11 janvier 2023. C’est une magnifique victoire pour les défenseurs de la France française.

Mais les remplacistes sont mauvais perdants. Leur rancœur et leur haine des patriotes les poussent à chercher des boucs émissaires sur qui s’acharner, afin de leur faire payer cette défaite cinglante qu'ils viennent de subir.

C’est ainsi que Bernard Germain, qui était particulièrement ciblé, se retrouve traîné au Tribunal Judiciaire de Lorient le 3 Mars prochain, pour un article sur Callac, publié il y a plusieurs mois.

L’objectif de ses accusateurs est clair : le faire taire en lui infligeant des frais de justice insupportables (il lui est réclamé près de 25.000€ au total).

Synthèse nationale appelle ses lecteurs attachés à la défense de notre pays, sa culture et son identité, à se mobiliser pour soutenir Bernard Germain.

Une cagnotte en ligne a été ouverte et des premiers résultats encourageants sont constatés.

Près de 1.000€ on déjà été collectés en 4 jours.

Mais c’est insuffisant.

C’est pourquoi, Synthèse nationale vous invite à répondre à son appel et à amplifier la mobilisation.

Défendons le patriote Bernard Germain !

Faites un don pour l’aider à payer ses frais de justice

Pour faire un don, cliquez sur ce lien …  cliquez ici

Merci d’avance à tous ceux qui répondront à cet appel.

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Le livre Callac, la mère des batailles cliquez là

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vendredi, 10 février 2023

Les revanchards de Callac

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

La bataille de Callac a été une superbe victoire pour les patriotes et les nationaux.

Pour l’État, les immigrationnistes, la « gauche » et l’extrême gauche, ce fut une cinglante défaite. Le moins qu’on puisse dire, c’est que tous ces immigrationnistes ont cette défaite en travers de gorge. Ils ont donc décidé de faire payer ce revers aux principaux acteurs de la résistance patriotique et identitaire.

Notre ami Bernard Germain, auteur du livre « Callac, la mère des batailles » (cliquez ici), qui écrit aussi régulièrement dans notre revue Synthèse nationale et sur notre site quotidien, a été l’un des principaux animateurs du combat de Callac. Il est de ce fait particulièrement ciblé par ces revanchards.

Ainsi, il est traîné en justice pour un article intitulé « À Callac, l’avenir de l’homme n’est pas la femme… c’est l’africain ». Cet article était une réponse à un article du journal gauchiste « Le Poher » qui attaquait très violemment ceux qui luttaient à Callac contre le projet Horizon de la fondation Merci soutenu par la municipalité de Callac.

Le vendredi 3 mars 2023 à 9H00, Bernard Germain comparaîtra devant le tribunal judiciaire de Lorient  afin d’y répondre des accusations portées contre lui par ce journal gauchiste.

À Synthèse nationale, nous avons donc décidé de soutenir notre ami et pour cela :

  • de créer un comité de soutien à Bernard Germain
  • d’appeler tous les patriotes à venir le soutenir au tribunal de Lorient le 3 mars à 9H00
  • de mettre en ligne un appel au don afin de le soutenir financièrement 

J’invite tous les patriotes, tous les défenseurs de la France, à se mobiliser pour la défense de Bernard Germain en répondant à notre appel et en versant des dons.

Ne laissons pas sans réponse

cette attaque contre un patriote

SOUTIEN TOTAL

À BERNARD GERMAIN !

Pour couvrir les frais de justice, Bernard Germain a besoin de votre aide à tous. Une structure va se mettre en place. En attendant, vous pouvez verser vos dons via le lien ci-dessous ou envoyer votre chèque (à l'ordre de Synthèse nationale en mentionnant au dos "soutien BG") à

Synthèse nationale BP 80135 22301 Lannion PDC

Pour soutenir en ligne Bernard Germain cliquez ici

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mardi, 31 janvier 2023

APRÈS CALLAC, SAINT BRÉVIN LES PINS !

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13:15 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 29 janvier 2023

Callac : Bernard Germain adresse une lettre-ouverte à M. Nicolas Heitz, Procureur de la République à Saint-Brieuc

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Suite à l'agression dont a été victime samedi matin Danielle Le Men, présidente de l'Association des Amis de Callac et de ses environs cliquez ici, Bernard Germain, porte-parole du Comité d'organisation de la campagne contre le projet Horizon, vient d'adresser une lettre ouverte à M. Nicolas Heitz, Procureur de la République à Saint-Brieuc, Nous la publions donc ci-dessous.

Rappelons que la semaine dernière, suite aux élucubrations fantaisistes des élus immigrationnistes de Callac, plusieurs responsables de la résistance patriotique locale avaient été entendus par la gendarmerie.

Il est temps d'arrêter de confondre les agresseurs et les agressés...

S N

Lettre au procureur de Saint-Brieuc

Monsieur le Procureur,

J’ai eu, comme plusieurs autres personnes, à répondre devant les gendarmes que vous avez chargés de m’interroger, dans le cadre de 12 plaintes déposées contre l’association « Les amis de Callac et ses environs » dont je suis membre.

Comme vient de le reconnaître en public le maire de Callac, samedi 28 janvier, nous ne sommes en rien concernés par les accusations portées par ceux qui ont déposé ces 12 plaintes.

Alors pourquoi cet acharnement contre notre association les « amis de Callac et ses environs ».

Nos actions sont menées à visage découvert et « à la loyale ». Nos actions sont uniquement politiques et en aucune manière violentes.

Par contre, Monsieur le Procureur, étrangement, vous restez sans réaction contre les organisateurs de deux contre-manifestations tenues les 17 septembre et 5 novembre 2022.

Ces manifestations n’ont pas été déclarées. Ce qui est absolument illégal.

Elles ont, de plus, été l’occasion d’affrontements très violents de la part d’antifas, contre les gendarmes qui les ont empêchés d’accéder à la place de la mairie où se déroulaient nos deux rassemblements pacifiques contre le projet Horizon.

Samedi 28 Janvier 2023, à l’occasion des vœux du Maire, des antifas ont encore eu recours à la violence. Ils ont agressé Mme Le Men, Présidente de l’association, pour l’empêcher d’accéder à la salle des vœux dans l’enceinte de la mairie. Fort heureusement, elle n’est pas blessée.

Ils ont par ailleurs également agressé les gendarmes présents, blessant l’un deux et dégradant un véhicule de gendarmerie.

Deux interpellations ont eu lieu.

Qu’attendez-vous Monsieur le Procureur, pour déclencher une enquête sur ces trois évènements où la violence des antifas s’est donnée libre cours à chaque fois ?

Qu’attendez-vous Monsieur le Procureur pour enquêter et poursuivre les membres de l’équipe municipale de Callac qui ont soutenus (voire organisé) les deux contre-manifestations illégales et « chauffé » les antifas pour qu’ils attaquent nos rassemblements pacifiques et à cette occasion agresser les gendarmes qui leur barraient la route ?

Combien de faits condamnables de ce type va-t-il falloir pour qu’enfin vous réagissiez et surtout que vous poursuiviez les responsables de ces faits et exactions ?

Enfin, un article du journal « Le Télégramme de Brest » paru ce jour, dimanche 29 janvier, m’amène à rajouter un paragraphe à cette lettre.

Cet article affirme, concernant les deux personnes appréhendées par les gendarmes :

« Inconnus de la police et de la justice, les jeunes interpellés ont été placés en garde à vue pendant 24 heures et sont sortis ce dimanche 29 janvier. Ils ont été déférés à la permanence du parquet de Saint-Brieuc et ils seront jugés, le 9 mai, pour actes de vandalisme. « Le parquet requiert un placement sous contrôle judiciaire et une interdiction de paraître dans le département des Côtes-d’Armor », indique le procureur de la république de Saint-Brieuc. »

Si ce que rapporte cet article est vrai, ma stupeur est totale.

En effet, aucune charge ne semble être retenue par vous, à l’encontre de ces deux antifas, pour avoir agressé des gendarmes, dont l’un d’eux a même été blessé.

Seul l’acte de « vandalisme », sans doute s’agit-il de la dégradation du véhicule de gendarmerie, est retenu contre eux.

Ne pas retenir comme charge, les violences exercées à l’encontre des forces de l’ordre va envoyer un terrible message à la mouvance des antifas.

Ces derniers ne manqueront pas de l’interpréter de manière désastreuse ce qui les conduira certainement à en conclure que « casser du flic » n’est guère risqué.

Je ne peux, Monsieur le procureur, que vous exprimer ma totale désapprobation s’agissant de votre refus de poursuivre ces individus quant aux violences faites aux force de l’ordre.

Veuillez agréer, Monsieur le Procureur, l’expression de mes salutations distinguées. »

Le 29 Janvier 2023

Bernard GERMAIN

Porte parole du Comité d’Organisation

Pour comprendre l'affaire de Callac cliquez ici

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Callac : les antifas agressent Danielle Le Men, Présidente des « Amis de Callac et ses environs »

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Bernard Germain

Samedi matin, à Callac, avaient lieu les vœux du maire.

Entre 20 et 30 antifas avaient fait le déplacement venant des quatre coins de la Bretagne. La raison de leur présence ne fait aucun doute : agresser ceux qui ont fait échouer le projet Horizon.

C’est Danielle Le Men, Présidente de l’Association « Les amis de Callac et ses environ » qui a mené la bataille à Callac avec son association pour empêcher la venue de 70 familles immigrés, venant d’Afrique, dans le cadre du projet Horizon de la fondation Merci de Mme Cohen.

Ce matin, lorsque Danielle Le Men a voulu entrer dans la Mairie, 3 antifas lui ont barré la route, en lui refusant l’accès.

Ne se laissant nullement impressionner (alors qu’elle mesure 1m60 pour 43 kg) Danielle Le Men a voulu forcer ce barrage.

Une bousculade a eu lieu amenant à l’intervention d’un gendarme pour protéger Danielle Le Men.

Cela déclencha un affrontement entre les antifas et les gendarmes présents. Des renforts furent appelés.

Un affrontement eut lieu devant la mairie entre les gendarmes et les antifas, avec grenades lacrymogènes, échanges de coups, … etc.

Bilan :

  • un gendarme blessé
  • un véhicule de gendarmerie tagué et endommagé
  • deux interpellations d’antifas
  • une manifestation de 15 antifas devant la gendarmerie de Callac pour que leurs « camarades » soient libérés.

Danielle Le Men n’est pas blessée, ni aucun membre des Amis de Callac.

Le Maire s’est entretenu avec Danielle Le Men et lui a dit qu’il regrettait ces violences mais que lui-même subissait des menaces.

Danielle Le Men lui a répondu : « Vous savez très bien que nous ne sommes pour rien dans les menaces que vous dites avoir reçues. Nous menons nos actions à visage découvert ».

Réponse du maire : « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces ! » 

Fabuleuse réponse … !

Le maire reconnaît publiquement que « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces».

C’est pourtant les « amis de Callac » (dont moi) qui sont convoqués à la gendarmerie pour répondre à 12 plaintes déposées contre nous par l’équipe municipale de Callac.

De ces évènements, il me semble utile de tirer quelques enseignements.

Une campagne nationale a lieu actuellement contre les « violences d’extrême droite ».

En vérité, est qualifiée de violence d’extrême droite, toute action, protestation ou remise en cause d’un projet des bien pensants, notamment contre l’arrivée massive d’immigrés dans notre pays et leur répartition dans les campagnes.

Les vraies violences, bien réelles celles-là, sont chaque fois l’œuvre des antifas. Elles ne sont jamais dénoncées par la presse bien pensante ni par les élus immigrationnistes.

Ces élus immigrationnistes sont les véritables responsables des violences et du climat délétère qui existe dans notre pays. Eux et eux seuls !

Ils n’acceptent pas de reconnaître que le peuple ne veut pas de leurs projets immigrationnistes.

Pour masquer ce refus de la population, ils inventent des soi-disant menaces, violences ou agressions imaginaires.

Ce qui provoque invariablement une considérable montée des tensions.

Par ailleurs, ils n’hésitent pas à exciter les antifas, comme ils l’ont fait à deux reprises les 17 septembre et 5 novembre 2022.

On retrouve partout ces comportements.

Il n’est pas possible qu’ils continuent à agir dans le dos des gens, en cachant leur projets et ensuite chercher à les imposer de force aux populations. Tout en accusant ceux qui les combattent, de violences afin de se poser en victimes alors qu’ils sont les responsables.

En agissant ainsi, ils ne peuvent que provoquer la colère de la population.

Et ce n’est pas en créant un climat délétère par leurs accusations mensongères qu’ils parviendront à leurs fins, … ni à échapper à la légitime colère de la population.

Pour comprendre l'affaire de Callac cliquez ici

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samedi, 28 janvier 2023

Callac nous concerne tous, l’exemple de la politique éducative du Gouvernement

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Claude Meunier-Berthelot, enseignante, essayiste 

Source Polémia cliquez ici

Callac, paisible commune bretonne, était au cœur d’un débat d’ampleur nationale ces derniers mois. Un projet d’accueil de migrants voulu par la Mairie et un fonds de dotation parisien a rencontré une farouche opposition populaire. Et si ce projet a heureusement était annulé suite à une belle mobilisation, les leçons de cette affaire restent de première importance. En voici un nouvel exemple avec une analyse de Claude Meunier-Berthelot.

Polémia

Que tous les Français prennent très au sérieux et à leur compte l’affaire de Callac, car nous sommes tous concernés par la programmation de la submersion migratoire dans nos campagnes : un cancer généralisé avant la « muerte » !

Le sujet n’est pas sorti subitement du chapeau de Macron, il s’agit d’un projet mûri et préparé de longue date et notamment en matière scolaire.

Le scénario s’est déroulé en trois temps :

  • Fermeture des classes rurales

  • Signature de « conventions ruralité »

  • Constitution de « territoires éducatifs ruraux » (TER)

1 – Fermeture des classes rurales

Ces dernières décennies, les communes rurales avaient organisé des regroupements pédagogiques inter-communaux pour gérer leurs effectifs le plus rationnellement possible, regroupements consistant  en ce que les élèves de tous les niveaux soient regroupés dans une même école ou bien par niveau sur différentes écoles de communes limitrophes, ce qui aboutissait dans tous les cas, à une moyenne de 23 élèves par classe.

A partir de 2014, sur décision préfectorale, une multitude de classes ont été fermées en milieu rural sous le prétexte que leur effectif était inférieur à 26 – au total, 808 fermetures à la rentrée 2019 – selon le principal syndicat du primaire, le SNUIpp-FSU – quand les postes supprimés ont été attribués aux REP* pour mettre en œuvre les dédoublements pour les élèves issus de l’immigration et aboutir à 12 élèves par classe !

2-  Signature de « conventions ruralité »

De façon concomitante, ont été instaurées des « conventions ruralité », accords conclus entre l’Etat et les collectivités territoriales afin d’établir un schéma territorial pluri-annuel d’évolution de l’organisation scolaire en zone rurale dans le but, non seulement d’une restructuration de l’offre scolaire avec une mise en réseaux des établissements scolaires, mais également en vue d’une amélioration de l’offre scolaire  et pour ce faire, les élus locaux ont dû accepter d’engager une démarche de travail avec l’Éducation nationale et entre eux.

Le 8/3/2018, le site du gouvernement titre « l’Education engagée en faveur d’une École rurale de qualité ».

Le 16/01/2019, invité de France-Info, JM. Blanquer déclare « développer une stratégie pour un rebond du monde rural, son but étant de LE RENDRE ATTRACTIF AFIN QUE DES FAMILLES S’Y INSTALLENT », mentionnant qu’un minimum de 2000 créations de postes par an serait nécessaire et 2300 postes créés dans cette optique dès la rentrée 2019.

Le 23/01/2019, sur LCI, au micro de JP Pernaud, avec son cynisme habituel, JM. Blanquer déclarait : « beaucoup de communes rurales craignent la suppression des classes…une crainte non fondée…ajoutant « si l’on se réfère à la nouvelle politique gouvernementale... » et …ce rebond passe par le développement des « conventions ruralité »

Un grand nombre d’écoles communales ont ainsi disparu au profit de réseaux, ce qui désespère non seulement les élus, mais aussi les populations rurales.

Cependant, le problème encore plus crucial est celui de savoir au profit de qui se fait cette « restructuration » et cette « amélioration de l’offre éducative » » (sic)

Sur le site du gouvernement du 8 mars 2018, le ministre mentionne le développement des classes bi-langues, l’enseignement du latin et du grec, l’implantation du dispositif « plus de maîtres que de classes » et cerise sur le gâteau, « la revitalisation de plus 2500 places à la rentrée 2018 des « internats d’excellence » en milieu rural.

Or, il faut savoir que tous ces dispositifs sont réservés uniquement aux élèves issus de l’immigration dans le cadre de la refondation de l’éducation prioritaire dans les REP et REP+ , refondation basée sur la recherche de l’excellence et qui a abouti à la création, par JM Blanquer, de « 200 cités de haute qualité éducative » bénéficiant à 1 million d’élèves issus de l’immigration, cités éducatives « sans mixité sociale » – entendez interdits à nos enfants- quand pour eux,  l’École, basée sur des activités et non des cours,  devient un simple lieu de vie, en conséquence de quoi, aucun de ces dispositifs ne se justifierait.

3 – Territoires éducatifs ruraux

Ces « conventions ruralité » ont abouti à la création de TER (territoires éducatifs ruraux) dont l’expérimentation a été lancée en janvier 2021 sur 23 territoires . A ce jour, ce dispositif concerne 88 collèges soit 26000 collégiens et 659 écoles, soit 20 000 élèves du primaire.

La réponse du ministre de l’Éducation nationale Pap N’Diaye à la question que lui posait un sénateur à ce sujet et publiée au JO du 24/11/2022 est éloquente :

« Ce dispositif entend renforcer l’accompagnement des élèves dans les TER, à l’instar des « cités éducatives » en zone urbaine…

« …Doté de plus de 100 millions d’euros pour prendre les mesures visant à augmenter le niveau général des élèves, encourager leur ambition et leur mobilité.

« … les projets portés par chacun des TER s’appuient en priorité sur des outils et dispositifs existants (ndlr. uniquement dans les REP et REP+) à savoir :

  • Stages de réussite,

  • École ouverte,

  • Devoirs faits,

  • Plan bibliothèque d’école,

  • Cordées de la réussite

  • Plan internats d’excellence.

Jamais aucun de ces dispositifs n’a été déployé dans l’École publique de nos enfants et ne le sera pas. Ces TER ne sont pas faits pour eux.

Dans le magazine du groupe « Caisse des dépôts », un éditorial du directeur général Eric Lombard, précise que « pour aider les élus des petites villes à accueillir de nouveaux arrivants et à revitaliser les petites communes, la caisse des dépôts participe activement au programme « petites villes de demain » lancé par le ministère de la cohésion des territoires en octobre 2020 »

La banque des territoires accompagne ainsi plus de 1600 communes rurales de moins de moins de 20 000 habitants

But : entre autres, rénover les écoles rurales !

La suppression des écoles communales a donc pour effet de pousser les populations autochtones vers les villes pour assurer la scolarisation de leurs enfants et les populations immigrées sont poussées à s’installer en milieu rural grâce, notamment, à ces dispositifs scolaires taillés sur mesure, « du cousu main » comme le disait à ce sujet Claude Allègre.

Voilà la politique du grand remplacement du ministre de l’Education en milieu rural : à la fois quantitatif et qualitatif : rien n’est trop beau pour les populations issues de l’immigration.

C’est le dispositif concocté par le gouvernement pour assurer la transition démographique de Monsieur Macron, c’est la politique qui avait été envisagée pour Callac, mais c’est aussi la politique voulue et préparée par le gouvernement sur tout le territoire français.

Callac s’est battu vaillamment avec l’aide d’associations valeureuses et a gagné.

Que cela soit, comme le souhaite et l’a écrit dans son livre Bernard Germain, « la mère des batailles » et que nous sachions, nous aussi, nous battre en connaissance de cause, car nous sommes tous concernés.

Notes :

* REP – Réseaux d’Education Prioritaire

Cf. ouvrages :

  • « Callac, la mère des batailles » –  186 p.  – Bernard Germain – Synthèse Edition

  • « C’est l’identité française qu’on assassine » – Claude Meunier-Berthelot 148 p.  Editions des trianons

  • « Blanquer le cynique » 182 p. -y (p.152 à 165) – Claude Meunier-Berthelot – Editions des trianons.

En vente dans toutes les libraires et sur le site de la « Librairie française ».

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vendredi, 13 janvier 2023

La victoire de Callac, tout le monde en parle...

Bernard Germain invité chez André Bercoff Sud Radio

Breizh Info

Radio Courtoisie

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IL N'Y A PAS DE FATALITÉ DU DÉCLIN : SEULES LA DÉTERMINATION ET LA FORCE PAYENT !

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Pour une fois que le courant national et identitaire remporte une victoire, nous n'allons pas cacher notre joie. Certes, celle-ci est modeste et ne concerne qu'une petite commune bretonne qui, s'il n'y avait pas eu une formidable mobilisation à la fois de sa population et des organisations de la droite nationale localement implantées, se serait réveillée en véritable laboratoire de la transition démographique tant souhaitée par le pouvoir macronien.

Depuis quelques mois en effet se tramait à Callac, bourg situé en Centre Bretagne, une affaire qui allait prendre une dimension nationale. En sourdine, la municipalité était en négociation avec une fondation parisienne, la "Fondation Merci", afin d'implanter dans cette commune (qui compte 2.200 âmes) 70 familles de migrants (soit environ 500 personnes). L'article de notre ami Erwan Houardon (en page 19 du n°62 de Synthèse nationale qui sortira la semaine prochaine cliquez ici) expose tout cela dans le détail.

Dans bien des cités, cela serait passé comme une lettre à la poste. Mais à Callac, nos thuriféraires du "vivre ensemble" sont mal tombés. Car il existe dans cette région un grand nombre de foyers de résistance nationale et identitaire qui n'entendent pas se laisser imposer le grand remplacement sans réagir. Dès le mois de juin, nationalistes français, autonomistes bretons (de droite) et identitaires européens décident de passer à l'offensive. Depuis, manifestations (rassemblant jusqu'à près d'un millier de personnes à celle du 5 novembre), réunions, tractages, collages, conférences de presse, édition d'un livre "Callac, la mère des batailles" (Bernard Germain, édité par Synthèse nationale cliquez ici), pétitions, prises de paroles lors des conseils municipaux... se sont succédés et, finalement, nous venons de l'apprendre, le maire vient de renoncer à ce funeste projet. Bien sûr, si nous savourons cette victoire, nous ne sommes pas dupes et nous savons que nos ennemis s'évertueront à trouver un autre endroit pour réaliser leur projet. Nous devons rester vigilants...

Mais, ce qui est intéressant dans cette affaire, au-delà du fait que les Callacoises et les Callacois échappent à un avenir sombre, c'est que la réaction militante a prouvé que, lorsqu'il y a une volonté, la détermination et la force peuvent faire reculer le processus de brassement des populations. Il n'y a pas de fatalité du déclin civilisationnel, Callac est désormais un exemple à suivre partout où notre identité française et européenne sera menacée.

Depuis un demi-siècle, le mouvement national, sous ses différentes formes, se bat sans relâche pour sauver notre patrie. Il a payé un lourd tribu (dissolutions, procès, incarcérations, assassinats...) pour défendre la cause du peuple et de la nation et pour faire reculer les trahisons de l'oligarchie. Aujourd'hui, avec cette "affaire Callac", la preuve est faite qu'il ne faut jamais reculer et que la victoire est toujours possible !  Il faut arrêter avec le désespoir et le défaitisme, là où on se bat, tout devient possible... Y compris la victoire. Qu'on se le tienne pour dit.... 

Editorial du n°62 (Hiver 2022 2023) de la revue Synthèse nationale (sortie 20 janvier 2023) cliquez ici 

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Pour commander ce livre cliquez ici

12:35 Publié dans Callac 22, Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quelques mots à Madame Cohen : sortez votre chéquier pour les Français

image-94.pngCatherine Blein

Présidente des Amis de Callac et ses environs

Les membres des Amis de Callac et ses environs et moi même avons pris connaissance, comme tout un chacun, du communiqué envoyé à la presse par la présidente du fonds de dotation Merci, à l’origine du projet Horizon.

Nous comprenons la déception de Madame Cohen devant l’annulation par le maire de Callac de son projet Horizon, devant l’évidence surtout que les Bretons, les Français en général, ne veulent pas de ces importations massives de populations qui sont étrangères à tout ce que nous sommes, non pas par xénophobie mais par simple bon sens et observation des lois naturelles.

Madame Cohen dénonce, dans ces lignes,  « la campagne de désinformation de groupes et de médias d’extrême droite, visant à diviser la population et à déstabiliser le conseil municipal ».

Là nous nous sentons visés, mes Amis et moi. Alors permettez-moi de vous répondre, Madame, que s’il y avait eu information, de votre part comme de celle du maire et du conseil, on aurait pu juger d’une éventuelle désinformation de la nôtre et mesurer son degré de nuisance. Mais comme il n’y a eu d’information ni de votre part, ni de celle du maire, votre remarque me semble être un coup d’épée dans l’eau.

Vous accusez les « groupes d’extrême droite »… Bien sûr les groupes qui s’opposent à l’islamisation de la France (en général « groupuscules » est choisi car plus méprisant encore), ces groupes donc sont dits « d’extrême droite. »

Le lecteur notera que lorsqu’il s’agit de la gauche, celle qui casse tout, brûle et empêche toute manifestation légale de la démocratie, elle est qualifiée, elle, de « radicale », terme beaucoup plus acceptable.

L’islam, lui aussi, a droit à l’adjectif plutôt gentillet de « radical »,même s’il égorge à tour de bras.

Mais nous, qui ne tuons ni ne brûlons, on nous relègue aux abominables et infréquentables « extrêmes », alors qu’au fond ce que nous voulons ce sont des mesures « radicales », c’est à dire qui visent à agir sur les causes profondes de nos maux, ou si vous préférez « efficaces »comme on les voit au Danemark, en Italie, en Hongrie, en Israël, mesures efficaces par opposition aux politiques « molles » menées depuis 40 ans et qui nous ont conduit à devenir une sorte de pays du tiers-monde où le plus armé et le plus violent fait la loi.

Vous parlez également, Madame, de « campagne nauséabonde, aux relents racistes et antisémites »

Ah! les trois adjectifs assassins sont là : nauséabond, raciste, antisémite ! Vous avez oublié fasciste, c’est bien aussi fasciste, ça fait toujours recette. Que du bonheur pour les gauchistes de tout poil.

Je n’ai pas à répondre sur ces allégations, ne me sentant, ni moi ni d’ailleurs aucun membre des Amis de Callac ou de Reconquête, concernée. Toutefois, j’ai le droit de dénoncer qu’une certaine ambiguïté est présente dans vos propos qui sentent fort l’amalgame, tant décrié par ailleurs…

J’ai le droit également de me demander pourquoi aucune de ces lettres anonymes, antisémites (?), menaces de mort, ou captures d’écran injurieuses n’a été divulguée à la presse. Cela aurait donné du poids à vos accusations.

J’ai le droit également de commenter vos propos et je m’autorise à les qualifier de communs et d’assez éculés.

Oui, une femme comme vous, qui expliquait il y a peu que sa vision de l’entreprenariat était de « ne pas être là où tout le monde est », se voit aujourd’hui prise en défaut, vous êtes, dans vos propos, là où tout le monde de gauche est, et c’est décevant de la part de quelqu’un de créatif !

Vous manquez d’arguments et votre discours est affligeant, répétitif, fatigant. Comme le disait Lénine, « quand vous n’avez pas d’arguments, traitez-les de fascistes, ça marche toujours ! »

Enfin, Madame, vous qui voulez vous consacrer «  à l’amélioration des conditions de vie des humains, sur les plans éducatif, social, sanitaire, économique et culturel… et accompagner la construction d’un monde plus juste, solidaire et durable », je vous invite à Callac, où l’on ne vous a jamais vue.

Je vous invite à venir dépenser les deux cent mille euros que vous prévoyiez pour les familles africaines pour construire une crèche et aider à l’installation de vrais commerçants, dynamiques et ouverts chaque jour, dont Callac a besoin.

Je vous invite aussi à venir avec votre chéquier pour restaurer par exemple des maisons, habitées par des personnes âgées en général, dont les sols sont encore en terre battue et l’isolation des murs très approximative. On y a froid, voyez vous !

Ces personnes auraient bien besoin d’un « projet Horizon », mais elles ne viennent pas d’Afrique, elles sont d’ici et ce n’est sans doute pas assez exotique pour vous.

Ou alors, je vais finir par croire que vous être Celtiphobe ou anti-celte, ce qui n’est pas un bon point pour votre image.

00:13 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 11 janvier 2023

Callac : un entretien avec Catherine Blein sur Riposte laïque

0.jpgSource cliquez ici

Riposte Laïque : Vous êtes la présidente des Amis de Callac et des environs. Pouvez-vous nous expliquer l’histoire de cette association ?

Catherine Blein : J’ai, avec d’autres, notamment Bernard Germain et Patrice Riou, entendu parler du projet Horizon au mois de juin, me semble t-il, et j’ai immédiatement pensé qu’il nous faudrait aider et participer à une lutte certainement difficile. Ne sachant pas trop, au tout début, si une initiative avait déjà été prise dans ce sens, j’ai commencé à prendre quelques contacts pour en savoir davantage. C’est ainsi que j’ai rencontré Danielle Le Men, dont on m’avait parlé comme étant la créatrice d’un collectif opposé à ce projet. Danielle avait donc réuni deux autres personnes afin de créer son collectif, lesquelles ne se sont pas montrées fiables et ont rapidement laissé tomber. Elle était donc seule, et ne sachant plus très bien comment elle allait parvenir à se battre. C’est alors que l’idée m’est venue de créer une association, indépendante de Reconquête mais proche toutefois, ne serait-ce que parce que je suis moi-même responsable de la 4e circonscription des Côtes d'Armor pour Reconquête et que des amis de notre formation politique ont très vite rejoint notre association..

Dans un premier temps, Les Amis de Callac ont fusionné avec le collectif de Danielle. C’est ainsi qu’est née l’association, dont j’ai pris la présidence et dont Danielle est vice-présidente. Nous ne sommes qu’une vingtaine d’adhérents véritables pour l’instant, mais il y a un noyau dur d’une dizaine de personnes qui est très militant et déterminé et c’est avec ce petit groupe que nous avons mené toute les actions. Lorsque, très vite en septembre nous avons envisagé la première manifestation, un comité d’organisation s’est crée, dont le porte-parole est Bernard Germain, et qui comprend vous le savez Riposte Laïque (toujours dans les bons coups), Résistance Républicaine, mais aussi Reconquête !, Place d’Armes, Les Maires pour le Bien commun, Les Patriotes de Philippot, le Parti de la France et les Vendéens d’Eric Monvoisin-Delavaud, ainsi que le Collectif de Saint Brévin dont j’oublie le nom exact.

Riposte Laïque : Vous avez donc appris que votre combat a été victorieux, et que le projet Horizon a été retiré. Quelle est votre première réaction ?

Catherine Blein: Une grande joie bien sûr, et la perspective d’un bon Champagne qui me séduit toujours ! Et puis j’ai immédiatement envoyé la bonne nouvelle à des amis, et à quelques journalistes que je connais, et j’ai twité goulument ! Malgré tout l’effet de surprise aura été relatif car on s’en doutait déjà depuis plusieurs jours. Pour ma part, j’ai également aussitôt pensé à l’étape suivante qui va être peut-être plus coriace, c’est à dire le combat contre un deuxième projet semblable à Horizon, à Callac toujours, et qui est porté par une association Viltaïs proche de Macron.

Riposte Laïque : Quels sont les faits qui vous ont le plus marqués, durant les longs mois de combats que vous avez menés, avec vos compagnons de lutte ?

Catherine Blein : Ce qui m’a le plus marquée c’est le décalage qu’il y a entre des gens comme nous, les vieux de la vieille, blanchis sous le harnais et qui avons la conscience aigüe de la réalité de la situation de notre pays et la candeur de ceux qui débarquent dans l’action politique… Alors, pour ne pas les froisser et les brutaliser psychiquement, il faut faire attention et y aller par étape, et ça, quand on a la hantise du temps qui presse, du fait que c’est peut-être déjà bien tard… c’est dur à vivre. Mais heureusement, ce qui m’a marquée également c’est justement le « chemin parcouru » par certains, leur évolution assez rapide et leur capacité, aujourd’hui, après six mois de combats et de discussions, à appréhender le problème dans sa globalité. Beaucoup durant les premiers mois ne voyaient dans ce combat que l’affaire Horizon, or notre combat est civilisationnel, Callac n’étant qu’une pièce du vaste puzzle à déconstruire.

Riposte Laïque : Considérez-vous cette victoire comme définitive ?

Catherine Blein : Il semble que pour Horizon à Callac, l’affaire soit dans le sac, mais le bruit court qu’ils vont tenter un projet similaire à Paimpol. A mon avis ils vont avoir quelques surprises dans l’accueil que vont leur réserver mes petits camarades de la 5e circo ! Et nous iront les aider bien sûr. Et puis Horizon en fait devient Viltaïs, et c’est un autre combat à livrer et à gagner. Il n’est pas question que la Bretagne devienne le camp de retranchement de tous les migrants en mal de territoire. Encore une fois, s’ils gagnent à Callac, ils gagneront ailleurs, puis ailleurs encore.Il faut donc tuer ces initiatives dans l’oeuf. Apparemment nos choix d’action ont été les bons et nous avons montré une grande pugnacité qui a impressionné les élus de Callac, peu habitués, comme le dit très justement notre ami Yann Vallerie, à un tel déploiement de force. Et c’est là qu’il a fallu convaincre les adhérents de l’association dont certains auraient souhaité des actions plus douces. Non ! Dans l’état où se trouve la France et avec ces menaces omniprésentes, et un chef d’Etat qui veut notre remplacement, il faut taper fort !

Riposte Laïque : Comment voyez-vous la suite de votre action, à la tête de l’association ?

Catherine Blein : On va déclarer la guerre à Viltaïs. Ça va commencer avec une Lettre ouverte des Amis de Callac aux Callacois dans la presse, en début de semaine prochaine, afin de les avertir, de les mettre en garde, de leur expliquer Viltaïs et de les inviter chaudement à nous rejoindre s’ils veulent gagner.

Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Catherine ?

Catherine Blein : Oui, merci à RL et à vous mon cher Pierre, toujours à la pointe du combat ! Horizon aura eu un point positif : ils sont nombreux à Callac à lire RL maintenant !

Et puis le grand enseignement, toujours le même: si on se bat vraiment on gagne ! Il va falloir nous battre, et nous battre encore, en espérant que des millions de Français se joindront à nous, car c’est aussi pour LEURS enfants qu’on fait ça !

Propos recueillis par Pierre Cassen

23:09 Publié dans Callac 22, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |