Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 02 juillet 2025

Raoul Raketitch, un militant de grande valeur de la cause nationale nous a quittés

EL198_L_1993_03_092_11_1_PF_02_0000.jpgJean-Claude Rolinat

Raoul Raketitch, militant de la première heure du Front National, est décédé le mois dernier pour rejoindre, nous l’espérons, de vertes prairies où l’herbe est meilleure que sur cette terre de France quotidiennement martyrisée.

Responsable du secteur sud de la Fédération FN des Hauts-de-Seine, il avait été victime d’une sauvage agression par une bande de  jeunes d’origine maghrébine, alors qu’il collait tranquillement des affiches du FN, à Chatillon. À l’issue de celle-ci, il avait perdu partiellement l’usage de l’ouïe, cette infirmité l’handicapant dans son travail, un emploi qui le mettait au service des autres.

J’avais eu, personnellement, une aimable controverse avec lui lors de la guerre en ex-Yougoslavie, lui penchant pour les Serbes, et moi pour les Croates et les Slovènes. Cette querelle n’avait eu aucune importance dans nos relations, toujours empreintes de respect et d’amitié. Il y a un an, il m’avait rendu visite sur « mes » terres de Seine-et-Marne et, moins d’un mois avant sa disparition, nous avions eu un  échange téléphonique. Je ne pouvais pas savoir que c’était le dernier. C’est à des hommes de cette valeur que les députés du Rassemblement national doivent leur confortable situation électorale.

Repose en paix, Cher Raoul, auprès de ton frère ainé qui fut, lui aussi, un militant exemplaire du FN, ainsi qu’aux côtés de ton épouse disparue trop tôt. La France réelle a perdu un de ses serviteurs, mais elle ne le sait pas !

19:08 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce n’est plus un fait divers

maxresdefault.jpg

Dans la soirée du 31 mai, 21 cambriolages ont été commis dans les environs du Parc des Princes. Dont un violent home-jacking. Une femme a été violemment agressé dans sa maison proche du parc des Princes, à la suite du match de foot qui a sacré le PSG contre l’Inter de Milan. Nous ne sommes plus dans le fait divers, mais dans le fait de société dans la mesure où cette délinquance d’une racaille qui ne respecte rien est devenu monnaie courante. Le Parisien rapporte les faits. On attend une réponse d’un Etat aux abonnés absents, quand bien même la police fait ce qu’elle peut malgré les embûches qu’elle rencontre.

Lire la suite ICI

Source : Le Parisien 2/7/2025. 

 

10:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Liberté d'expression : deux poids, deux mesures

image_0931529_20250701_ob_9fd0f1_boualem-sansal.png

Thomas Joly - Président du Parti de la France

Ça s’émeut, ça s’indigne, ça geint. Boualem Sansal, écrivain courageux, serait persécuté par le régime algérien. Quelle découverte ! Voilà soixante ans que l’Algérie est une dictature militaire corrompue, un pays tenu d’une main de fer par une caste d’anciens fellaghas reconvertis en oligarques. Mais il a fallu qu’un intellectuel parle un peu trop fort pour que nos belles âmes s’éveillent enfin.

Le plus grotesque dans cette affaire, c’est l’indignation sélective de nos gouvernants. Ces mêmes dirigeants français qui rampent devant Alger, qui mendient une entrevue ou un vague geste diplomatique, osent donner des leçons de liberté. Ils acceptent sans broncher que l’Algérie insulte la France, refuse de reprendre ses ressortissants sous OQTF, finance des mosquées radicales sur notre sol. La France officielle, celle des ministres sans colonne vertébrale, se couche, encore et toujours.

Et pendant qu’on feint de défendre la liberté d’expression à Alger, on la piétine à Paris. On condamne des Français pour des tweets, des tribunes, des propos dissidents. Une batterie de lois liberticides verrouille le débat public : loi Pleven, loi Gayssot, loi Avia, etc. Le délit d’opinion est devenu un sport national.

Cette affaire Sansal est l’illustration parfaite de l’hypocrisie occidentale : compassion pour les dissidents étrangers, mépris pour les résistants français. Une liberté d’expression à géométrie variable, au service d’un régime qui déteste la France et d’élites qui la trahissent.

01:00 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |