lundi, 31 mars 2025
Réalités multiracistes de la société multiraciale
La chronique de Philippe Randa
Il y a des faits-divers qui en disent long. Douloureusement.
Ainsi cette méprisable vidéo prise par les harceleurs de Lucas, un jeune collégien de Vénissieux (Rhône) et diffusée sur les réseaux sociaux pour attiser les instincts les plus malsains de ceux qui la visionneront : insulte, coups et fuite de la victime.
Pour Lucas, ce traitement humiliant n’était pas une première ; sa sœur a ainsi témoigné, via le réseau snapchat, que, depuis des mois, son frère était traité entre autres amabilités de « singe » et de « sale noir ».
Leurs parents ayant alerté les responsables scolaires, le rectorat de Lyon, d’une rare efficacité (sic !), n’a pas manqué de les assurer que leur enfant était « accompagné » depuis plusieurs mois par le lycée et suite, à la diffusion de la vidéo, qu’une « cellule non au harcèlement » (ça ne s’invente pas !) avait été « déclenchée » !
On se doute que les harceleurs en sont terrorisés et que leur victime est parfaitement rassurée. De là à ce que ce rectorat conseille, si ce n’est déjà fait, à ces parents d’aller voir ailleurs pour leur progéniture si l’herbe est sinon plus verte, du moins moins dangereuse, qu’à Vénissieux, il n’y a pas loin.
Mais là où ce fait-divers est lourd d’enseignement, c’est quand on apprend que les harceleurs, écrit la sœur de Lucas, sont « des élèves d’origine maghrébine », ce que confirme leur père en déclarant à Medave Prod, correspondant d’Actu Lyon : « Ce n’est pas la première fois que j’interpelle le directeur du collège contre le harcèlement scolaire et les agressions répétées de certains élèves d’origine maghrébine contre mon fils en raison de sa couleur de peau. »
Information qui bat en brêche toutes les idées rabachées par les auto-proclamés antiracistes, tout autant, qu’elle explose en plein vol les déclarations péremptoires du leader maximo de la France insoumise sur les fantasmes de créolisation de notre société : le racisme n’est en rien monopole des « Européens blancs », il est largement partagé par les « non-blancs d’origines non-européennes ». On se doute que le martyr du « petit noir » Lucas à Vénissieux n’est pas un cas isolé et qu’ailleurs, ce sont des petits « Mouloud » qui détalent devant des agresseurs originaires d’Afrique noir… sans oublier tous les « Moshé » ou « François » qui font la course ici ou là, un peu partout désormais dans cette France de moins en moins « doulce », ainsi que la chantait Charles Trenet en son temps… et peu réceptive à la créolisation comme on le voit.
Il y a près d’un quart de siècle désormais – c’était en 2002 –, Jean-Jacques Matringhem et moi-même avions publié un livre regroupant plusieurs contributeurs et intitulé Vers la société Multiraciste.(1) « La plupart de ces intervenants, écrivions-nous en introduction, sont d’accord sur un point : le racisme n’est pas là où le “politiquement correct” le brocarde habituellement. Ils sont également tous d’accord sur un point : il est grand temps d’aborder ce délicat sujet différemment afin que, peut-être, l’avenir ne soit pas celui de cette société multiraciste qui se bâtit chaque jour, depuis plusieurs dizaines d’années, sous nos yeux. »
Ce souhait a fait long feu. La preuve par Lucas, à Vénissieux.
J’écrivais alors que ce qui me semblait « le plus plausible, au regard des vingt dernières années et au constat des sociétés européennes actuelles, c’est que se met en place, progressivement, non pas la société multiraciale dont on nous rabat tant les oreilles, mais une société multiraciste, faite de quantité de ghettos… »
La société multiraciste, nous y sommes. Et même en plein dedans.
Note
(1) Vers la société Multiraciste, éditions Dualpha, sous la direction de Jean-Jacques Matringhem et Philippe Randa, avec les contributions de : Archimède Bontempi, Christian Bouchet, Alain Dumait, Fondation Brigitte Bardot, Roland Gaucher, Nicolas Gauthier, Philippe Gautier, Bruno Gheerbrant, Jean-Paul Gourevitch, Guillaume Faye, Pierre Lassieur, Jean-Jacques Matringhem, Catherine Mégret, Fabrice Robert, Jean-Claude Rolinat, Jean-Pierre Rondeau, Marc Rousset, Charlotte Sawyer, Philippe Randa, Robert Steuckers, Dominique Zardi.
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18:25 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Décès de Marie-Jeanne Vincent, combattante nationaliste à Calais
Militante déterminée de la cause nationale dans la ville de Calais, Marie-Jeanne Vincent a succombé, le 27 mars, à une longue maladie. Engagée contre le grand remplacement qui pourri sa ville depuis des années, elle avait été candidate pour Civitas dans la campagne législative très rugueuse de 2017.
Professeur de Lettres et de Théâtre au collège, elle avait été renvoyée de l’Éducation nationale suite à sa candidature. Les médias locaux et nationaux s’en étaient mêlés pour la dénoncer, sans la faire reculer, ce qui n’était pas simple au quotidien à Calais. Menaces, intimidations, diffamation, elle n’avait pas cédé.
En octobre 2018, elle était venue exposer la situation dramatique à laquelle les calaisiens sont confrontés lors de notre journée annuelle de Synthèse nationale à Rungis.
Que sa détermination serve d’exemple.
Th D
18:21 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Game over pour Marine Le Pen ?
15:09 Publié dans Arnaud Robert | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Marine out !
Le billet de Patrick Parment
Inutile de dire que ça va causer dans le Landerneau après la décision des juges de rendre la patronne du Rassemblement national inéligible pendant cinq ans, lui barrant ainsi la route à l’Elysée. Tous les sondages réalisés ces derniers temps la donnent largement en tête de 10 points sur son plus proche concurrent, Edouard Philippe, laissant loin derrière Mélenchon et autres zozos du parti socialiste, ecolos et d’ailleurs.
Mais ne nous y trompons pas, ce ne sont pas les juges qui ont décidé du sort de Marine Le Pen, c’est bel et bien ce que l’on appelle l’Etat profond, celui-là même qui a porté Emmaneul Macron au pouvoir. Désespérant de voir la gauche déboulonner le Front national hier, le Rassemblement aujourd’hui, les sbires qui tirent les ficelles de cette démocratie moribonde, craignant pour leurs affaires, sont donc passés par les tribunaux, sous des prétextes fallacieux pour sortir Marine Le Pen du jeu. Ces mêmes sbires de l’Etat profond qui se sont pris une belle trouille avec les Gilets jaunes. Pas question pour eux de rendre la parole au peuple, car on sait ce qu’il veut : foutre les immigrés à la porte, et rendre le pouvoir réel au peuple dans ses assemblées et plus précisément au Palais Bourbon. Hors de question de venir enrayer ce bel ordonnancement qui musèle le peuple via cette gauche cocue et son idéologie droits de lhommiste qui verrouille tous les esprits et en premier lieu la liberté de pensée. Les universitaires se taisent, les profs gangrènent les esprits, falsifient l’histoire. C’est ainsi que l’Education nationale est devenue une fabrique de crétins.
Autant dire que la guillotine qui vient de tomber sur la tête de Marine Le Pen inaugure les prémices d’événements à venir dont nul ne peut actuellement mesurer l’ampleur mais qui sourdent au sein d’une nation épuisée et qui n’en peut mais. Trop d’immigrés, trop de violences dues à ces mêmes immigrés, trop d’insécurité dans nos villes, trop de juges laxistes, trop de normes administratives qui gangrènent notre économie, trop d’impôts et de taxes, des institutions qui ne fonctionnent plus… la liste est trop longue de l’incurie du pouvoir depuis des décennies maintenant. On attend l’étincelle qui mettra le feu aux poudres et fera voler en éclat cet Etat profond. Marine Le Pen ou pas à la prochaine présidentielle.
14:48 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Condamnation de Marine Le Pen : la réaction d'Eric Zemmour
Réaction d'Eric Zemmour, président de Reconquête !
Ce n’est pas aux juges de décider pour qui doit voter le peuple. Quels que soient nos désaccords, Marine Le Pen est légitime pour se présenter devant le suffrage.
Je regrette que les politiciens aient donné d’eux-mêmes ce pouvoir exorbitant à la justice.
Il faudra tout changer.
14:11 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Condamnation de Marine Le Pen : la réaction de Thomas Joly
Réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :
Ainsi donc, Marine Le Pen est condamnée à l'inéligibilité avec exécution provisoire dans l’affaire des assistants parlementaires au Parlement européen. Une décision éminemment politique, bien sûr, car dans cette Europe technocratique, même le choix de son stylo devient suspect dès lors qu'on ne sert pas le dogme bruxellois. Mais ne nous y trompons pas : si le coup vient du Système, la cible a tendu la joue.
Cette affaire, grotesque dans sa forme, était prévisible dans le fond. Le Front National, devenu RN, a géré cette question avec un amateurisme consternant, indigne d’un parti prétendant gouverner. C’était gros comme une maison, et ils y sont allés la fleur au fusil, comme s’ils vivaient encore à l’époque des repas de famille à Montretout. Quel mépris des règles du jeu, mais surtout quelle naïveté politique.
Marine Le Pen a cru qu’en reniant son père, en purgeant les esprits libres de son parti, en se vautrant dans la dédiabolisation obsessionnelle, elle obtiendrait le sauf-conduit du Système. Elle a cru qu’en faisant des courbettes devant les médias, en abandonnant toute radicalité, en sacrifiant sur l'autel de la respectabilité les principes fondateurs du combat national, en excluant son propre père, elle serait acceptée dans le club fermé de la bien-pensance. Quelle erreur tragique ! Le Système ne pardonne jamais l’origine. Il ne tolère qu’un opposant soumis ou un traître utile. Marine Le Pen aura été les deux, successivement.
Oui, cette condamnation est scandaleuse. Oui, on devrait être libre d’employer ses assistants parlementaires comme bon nous semble. Ce flicage inquisitorial est une atteinte de plus à la souveraineté des élus. Mais le fond du problème est ailleurs : Marine Le Pen paie aujourd’hui le prix politique et moral de sa trahison. Elle a renié l’œuvre de son père, piétiné des décennies de lutte, pour finir chassée du terrain de jeu auquel elle rêvait d'appartenir.
Le peuple français mérite mieux que cette fausse rebelle devenue domestiquée. Le masque tombe, la farce s’achève. Bon débarras.
13:55 Publié dans Communiqués de presse, Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Notre confrère "Politique Magazine" consacre un article au livre de Thierry DeCruzy, "Les Brigandes, phénomène musical de la diddidence" (préfacé par Brigitte Bardot)
Hilaire de Crémiers
Elles ont enchanté les oreilles et les cœurs de milliers de Français, nationaux, « catho tradis » comme on dit, patriotes, écœurés du système existant qui impose sa loi au profit de politiciens pourris ou renégats, surtout au profit d’une machinerie du prêt-à-penser, du fric et de la consommation démocratique.
Toujours les mêmes qui tiennent tout, presse, radios, télévisions, réseaux politiques et économiques, avec une bien-pensance obligatoire qui empêche toute liberté de penser et de s’exprimer. Bref le système actuel, particulièrement prégnant en France avec ses valeurs de la République qui interdisent tout sursaut de protestation. De 2014 à 2021, les Brigandes, issues de petits groupes amicaux antérieurs et qui a toujours compté des hommes, se sont fait connaître par leurs chansons, de style réactionnaire, voire d’inspiration contre-révolutionnaire, sur des mélodies et des rythmes étonnants, à la fois de modernité populaire et de tradition presque troubadouresque. Avec un côté satirique, typiquement français, du genre : « impossible de s’en laisser compter par la bande des guignols qui nous dirigent et prétendent nous éduquer. »
Thierry DeCruzy retrace l’histoire, année après année, chanson après chanson, de cette dissidence musicale stupéfiante qui a osé affronter la domination toute puissante de ceux qui croient aussi posséder la musique comme ils possèdent le pouvoir, tous les moyens de communication et les finances publiques et souvent privées. Évidemment, tous les procédés ont été utilisés contre cette rébellion affichée, y compris les plus ignobles, et jusqu’à la suppression de leur chaîne You Tube. Et comme le groupe ne répondait pas à tous les critères d’une saine orthodoxie, en raison des théories particulières et quelque peu ésotériques des dirigeants, les bons milieux eux-mêmes se sont éloignés d’eux. Il fallut mettre fin à cette expérience et le groupe lui-même s’en est expliqué. Excellente analyse de Thierry DeCruzy, qui ne dissimule rien, qui répertorie l’ensemble de l’œuvre – 144 chansons originales, – et fait parler quelques-uns des principaux protagonistes, en particulier l’auteur-compositeur Joël Labruyère, qui fut à l’origine de cette stupéfiante initiative.
Thierry DeCruzy, Les Brigandes, phénomène musical de la dissidence, Préface de Brigitte Bardot, Synthèse nationale, 186 pages, 22 €. cliquez ici
Le site de Politique Magazine cliquez ici
11:54 Publié dans Revue de presse, Thierry DeCruzy | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le racisme anti-Blanc
Certains intellectuels et certains médias s’entêtent à nier le racisme anti-Blancs, car cette notion aurait été inventée par l’extrême droite. Seules les discriminations « systémiques » visant les personnes « racisées » constitueraient du racisme. Généalogie d’une manipulation idéologique.
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Source : Le Figaro 31/3/2025
10:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 30 mars 2025
Le Jarl est viré : nouvel exemple de la lâcheté ordinaire face à l’extrême gauche
Bernard Germain
Petit rappel des faits à l’origine de cette pitoyable annonce : le Jarl est licencié.
Le Jarl était le responsable de la sécurité de la boite de nuit appelée le « 1988 ». Il en était également le directeur adjoint.
Cet établissement de nuit est situé à Rennes au lieu nommé la « dalle du Colombier » considéré comme un véritable coupe gorge il y a encore seulement quelques années.
Ajoutons que globalement Rennes est une ville dirigée depuis de très longues années par la gauche (PS) qui est devenue totalement pourrie du fait de l’incroyable laxisme de la mairie mais aussi du fait des actions de l’extrême gauche, des antifas et de l’immigration incontrôlée qui est omniprésente dans cette ville.
Dans ce contexte particulièrement défavorable, le 1988 s’est forgé une réputation de boite où les clients pouvaient venir s’amuser en sachant qu’ils seraient en sécurité. C’est d’ailleurs la seule à Rennes à jouir de cette réputation.
Mais cela n’est pas tombé du ciel. Le Jarl a mis 3 ans avec son équipe pour « nettoyer » la Dalle notamment des dealers qui étaient partout. Et bien sûr, à plusieurs occasions, cela ne s’est pas passé avec une simple discussion.
Idem pour la boite elle-même. Les règles y sont strictes : tu fais le con, tu es viré sur le champ. Il y a même des punitions. Les fautifs sont interdits de revenir pendant une durée fonction de la gravité de ce qu’ils ont commis. Et ça fonctionne parfaitement.
Un fait doit également être relevé : il n’y a pas de couteau au 1988. La sécurité veille et fouille les clients. Résultat des dizaines de couteaux sont confisqués. Pas une soirée sans confiscation. Résultat, là aussi, pas de coups de couteau au 1988.
Alors, normalement tous et chacun devraient se féliciter de cette zone dans laquelle on peut venir l’esprit tranquille sans regarder tous les 10 m par dessus son épaule pour vérifier que personne ne s’apprête à vous sauter dessus pour vous détrousser.
Il se trouve qu’à Rennes, ce n’est pas le cas. C’est même exactement l’inverse, comme nous allons le voir.
Et d’où est venu le scandale ? Je vous le donne en mille… le scandale est venu de la député LFI Marie Mesmeur, dans la vie compagne de Louis Boyard dit « Loulou la came » petit nom charmant donné par de nombreuses personnes.
Cette dame s’est faite connaître en créant le syndicat étudiant portant le doux nom d’« Union Pirate ». Ce syndicat s’est fait remarqué récemment à Rennes 2, faculté qui a été totalement vandalisée ce dont j’avais rendu compte au travers d’un article au début de ce mois. Par ailleurs, ce syndicat et des antifas se sont aussi fait remarqué à la même période en agressant deux personnes qui ont été durement passées à tabac parce que membres du RN.
Au passage le lecteur voudra bien noter qu’aucune poursuite n’a été engagée pour ces faits, à ma connaissance. C’est important pour la suite de cet article.
Mais revenons à nos moutons.
Dans la nuit du 8 au 9 mars, des jeunes - 3 à 400 - liés aux antifas, au syndicat Union Pirate, à l’extrême gauche… etc, ont décidé de faire une « teuf » -non déclarée, ni autorisée- dans les locaux d’un cinéma désaffecté. Sauf que les portes étaient verrouillées. Donc y entrer est indiscutablement une violation de domicile ce qui, sur le papier, est puni par la Loi.
Par ailleurs, ce cinéma est situé sur la Dalle du Colombier tout près de la boite 1988. Le Jarl a donc immédiatement vu que cela risquait d’être source de sérieux problèmes pour sa clientèle vu la faune présente dans le cinéma. Faune dont nombre étaient alcoolisés et drogués.
Il appelle donc la police. Un bon moment après l’appel, une quinzaine de policiers arrive. Il n’y a pas plus d’effectifs disponibles la nuit sur Rennes. Pas assez nombreuse, la police balance dont des lacrymogènes dans le cinéma pour en chasser les teufeurs. Pas de chance, les sorties de secours sont juste à côté du 1988 et ce qui devait arriver est arrivé. De nombreux teufeurs commencent à s’en prendre aux clients du 1988, notamment en les insultant et en jetant des canettes en verre.
Le Jarl fait donc ce qu’il fait d’habitude dans ces circonstances, il intervient avec son équipe pour faire cesser ces agressions. La grande majorité des agresseurs courent vite et savent surtout insulter de loin. Quelques-uns se font attraper et repartent sur leurs pieds en s’étant fait sermonner mais aucun ne se retrouve à l’hôpital. On me permettra de dire… pourtant ils l’auraient bien mérité, eux qui agressent les gens à 30 ou 40 contre un ou deux. Comme ils l’ont fait à Rennes 2 avec les deux membres du RN.
Au final, aucun client du 1988 ne sera blessé. Une fois de plus, le Jarl a protégé sa clientèle et aucun crétin teufeur n’a été blessé non plus.
Sauf que cela n’a nullement plu aux décérébrés rennais de gauche, antifas et autres.
La député LFI, Marie Mesmeur, a saisi le procureur qui a engagé des poursuites. Le préfet aussi a été saisi par la député. Et le préfet a décidé en réponse de fermer le 1988. Quant au patron du Jarl, au lieu de féliciter son responsable de la sécurité, il l’a flanqué à la porte en le licenciant pour tout remerciement.
Enfin, la presse bien pensante s’est déchaînée contre le Jarl créant une atmosphère quasiment hystérique contre le Jarl, comme s’il avait commis un crime épouvantable, alors qu’il n’a fait que des choses de bon sens afin de protéger les clients de son établissement.
Aucun de ces gens n’a jugé utile de condamner la violation de domicile (cinéma) ni la teuf illégale, ni la drogue qui circulait, ni les insultes et agressions des clients du 1988. Non, ce qu’ils ont tous condamner c’est le Jarl et son action avec son équipe.
Alors, à ce stade, quel bilan tirer de tout cela ?
Tout d’abord que notre société est partie totalement à la dérive et qu’on est en droit de se demander s’il est encore possible d’espérer un sursaut salutaire de nature à nous éviter un naufrage total ?
Par exemple, comment peut-on accorder du crédit aux déclarations d’une Marie Mesmeur alors qu’elle soutient ceux qui ont agressé les deux personnes du RN agressées à Rennes 2 ?
Comment peut-on prendre au sérieux les dénonciations que cette député fait au procureur et au préfet lorsqu’il s’agit du 1988 et du Jarl, quand la même n’a pas un mot contre les violence dès lors que les mis en cause sont des antifas ou des membres de l’extrême gauche ? Tout comme elle n’a pas un mot contre la vandalisation de la faculté Rennes 2 par ses amis.
Comment cette député peut-elle condamner l’action du Jarl qui a pacifié la Dalle du Colombier et empêché les dérives notamment violentes ou de vente de drogue dans son établissement ?
Comment cette député peut-elle condamner et dénoncer le Jarl parce que lui et son équipe fouillent les clients et confisquent chaque soir des couteaux, au motif qu’il n’est pas membre de la police et n’aurait donc pas le droit de fouiller ?
Pour cette dame, il faudrait sans doute laisser les gens venir avec des couteaux et dire ensuite s’il y a des morts que c’est un… « fait divers ». Moi je crois qu’en plus elle accuserait le Jarl de ne pas avoir fait son travail ou pire de « non assistance à personne en danger ».
On me permettra d’ajouter qu’il est stupéfiant pour aller danser et s’amuser de juger qu’il faut avoir un couteau sur soi. Mais cela ne dérangerait visiblement pas cette député.
Pour elle le scandale c’est qu’on fouille une personne, pas qu’elle ait un couteau et que cela puisse déboucher sur un ou des morts.
Notre société est vraiment au bord de l’abîme. Aucun article de la presse ne s’est posé les questions de bon sens qui précèdent. Et tous hurlent avec les loups contre le Jarl qui n’a fait qu’imposer des règles qui ont assuré le calme et la sérénité sur la Dalle et au 1988 depuis son arrivée jusqu’à ce jour.
Mais c’est fini. Le Jarl a été viré et une partie de son équipe a démissionné.
La Dalle va redevenir rapidement un coupe gorge et le 1988 va aussi redevenir une boite comme les autres avec agressions, vente de drogue et bagarres.
La décomposition de la gauche et de l’extrême gauche alliée à la lâcheté des médias, des autorités et des hommes politiques font que nous sombrons lentement mais sûrement.
Pauvre France…
19:13 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Géopolitique de la paix
Jeffrey Sachs, est un économiste américain qui a été tout à la fois l’acteur et le témoin de l’ingérence américaine dans l’espace postsoviétique. Il est intervenu lors d’une réunion au Parlement européen, le 19 février dernier, où il a exposé son analyse de la guerre en Ukraine. Cette intervention n’a été que peu reprise par la presse européenne. Et pour cause, il dénonce l’attitude des Américains et la faiblesse des Européens. Henry Kissinger disait qu’il est dangereux d’être l’ennemi des Etats-Unis, mais il est fatal d’être son allié. Les Européens en font l’expérience depuis 1945.
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Source : Le Monde diplomatique, avril 2025.
12:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 29 mars 2025
Journal du chaos
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08:33 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 28 mars 2025
Le prochain numéro de Livr'arbitres :
13:41 Publié dans Revue de presse, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le nouveau numéro de la revue Eléments
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Gouvernement mondial des juges
La chronique flibustière de georges Feltin-Tracol
Le 11 mars dernier, alors qu’il revenait d’un court séjour à Hong Kong, l’ancien président des Philippines de 2016 à 2022, Rodrigo Duterte, est arrêté, mis dans un avion privé sans aucune décision judiciaire et déporté à La Haye aux Pays-Bas. Les autorités philippines justifient cette forfaiture en se référant à un mandat d’arrêt international émis en secret, le 7 mars dernier, par la Cour pénale internationale (CPI). Une fois encore, cette instance se fait tristement remarquer.
Cet enlèvement confirme l’installation progressive d’un gouvernement de juges à l’échelle planétaire. L’incroyable arrestation de l’ancien président s’interprète selon deux grilles de lecture non exclusives. La première concerne le contexte politique à Manille. Ferdinand Marcos dit « Bongbong », fils de Ferdinand Marcos, chef d’État anti-communiste de 1965 à 1986, succède en 2022 à Rodrigo Duterte avec son appui officiel. Élue au suffrage universel direct lors d’un autre scrutin le même jour que la présidentielle, la vice-présidente de Marcos s’appelle Sara Duterte, l’une de ses filles. Or, très vite, les familles Marcos et Duterte entrent en conflit. Par ailleurs, si Rodrigo Duterte incline plutôt vers la Chine populaire, « Bongbong » se tourne vers les États-Unis. Les tensions entre le président et sa vice-présidente atteignent une telle violence que la Chambre des représentants vote la destitution de Sara Duterte, le 5 février 2025. Cette décision doit maintenant être entérinée par le Sénat à la majorité des deux tiers.
En ordonnant l’arrestation de son prédécesseur, toujours populaire auprès des Philippins, « Bongbong » abat une carte majeure dans la perspective des échéances législatives à venir. Pas sûr que l’actuel chef d’État philippin réussisse son pari, car la scandaleuse détention de l’ancien président électrise une grande partie de l’opinion philippine en sa faveur. Le contentieux politico-judiciaire entre les familles Marcos et Duterte arrive à son paroxysme.
Le seconde lecture de cette arrestation soi-disant légale se rapporte au rôle néfaste qu’exerce la CPI dans les relations internationales. Fondée par le sordide Statut de Rome de 1998, cette institution supranationale entreprend des enquêtes, avec l’assistance d’ONG complices souvent subventionnées, organise des procès selon le droit anglo-saxon et prononce des condamnations. Elle a engagé des poursuites contre Rodrigo Duterte pour meurtres, tortures et viols considérés comme « crimes contre l’humanité ». La CPI possède un tableau de chasse fourni avec, pour victimes expiatoires, l’ex-président islamiste soudanais Omar el-Béchir ou l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo finalement acquitté en 2021 après huit longues années en prison ! L’extrême gauche habituellement si rétive à toutes formes d’incarcération ne proteste guère contre ces atteintes répétées au droit des peuples.
Ces derniers temps, la CPI a lancé d’autres mandats d’arrêt internationaux, fort médiatiques, contre le président russe Vladimir Poutine (mars 2023) et le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou (novembre 2024) alors que la Russie et Israël ne la reconnaissent pas. Les États-Unis méprisent aussi ce machin aberrant.
La CPI viole ouvertement la souveraineté des États et se moque de l’immunité de droit accordée aux chefs d’État et de gouvernement. Elle s’attaque à tout responsable qui refuse en fait le nouvel ordre mondial des cosmopolites. En revanche, ce tribunal supranational ne s’occupe guère du complotiste d’extrême-centre de l’Élysée qui manipule les peurs collectives (pandémies, insécurité, guerre) et qui a maltraité son propre peuple au moment des Gilets jaunes, de la fumisterie dramatique du covid et des manifestations massives contre la réforme débile des retraites.
Les magistrats hors-sol de la CPI accusent Rodrigo Duterte d’avoir commandé, soutenu et couvert des exactions pendant son mandat contre les usagers de la drogue. Le président des Philippines avait déclenché une guerre impitoyable contre les trafiquants de drogue et les consommateurs. Alors maire de Davao, il se félicitait que des unités spéciales nettoyassent quartiers et rues de toutes formes de racaille. Devenu président, il généralisa ces pratiques musclées. La CPI lui reproche donc le recours massif à des condamnations à mort extra-judiciaires. Le fléau des drogues ravage pourtant l’archipel. Rodrigo Duterte a agi en véritable « président-flingueur » et montré à ses concitoyens qu’il tenait ses promesses, quoi qu’il en coûte. À l’heure où les narco-trafics se répandent en Europe, le président Duterte devrait être remercié, célébré et salué au lieu d’être traité tel un paria. La CPI pratique l’inversion des valeurs. L’honnête homme devient un prévenu et la racaille une pauvre victime ! Honteux !
On a ici une mise en œuvre d’un nouveau délire, la toxicophobie, promu par les inévitables crasseux gauchistes. Critiquer les drogués, contester l’ouverture des salles de shoot, refuser la légalisation de la toxicomanie constitueraient des discriminations bientôt punies par la loi. Face à un fumeur de crack zombifié, il faudrait se taire, accepter et se soumettre. Et si la fameuse loi sur la fin de vie et l’assistance à mourir portait en priorité sur les drogués ? L’avortement post-natal devrait devenir un droit.
Pour revenir au président Dutertre, il est intéressant de savoir que la délivrance de son mandat d’arrêt relève d’un triumvirat de magistrates (où est donc la fameuse parité ?) d’origine ivoirienne, mexicaine et roumaine. Ce précédent devrait inquiéter les autorités belges et néerlandaises qui luttent avec difficulté contre les réseaux de narco-trafiquants qui gangrènent leurs pays. Il devrait aussi provoquer l’inquiétude chez les ministres français Retailleau et Darmanin en pointe médiatique contre ces mêmes milieux criminels. Enfin, le président salvadorien Nayib Bukele pourrait être la prochaine cible, lui qui a restauré l’ordre et la sécurité dans son pays par des moyens énergiques non conformes au dogme badintérien de l’excuse permanente accordée aux auteurs de crimes et de délits. On peut d’ailleurs s’interroger si la CPI ne serait pas sous l’influence des barons de la drogue…
La CPI croit défendre un supposé « droit international » ainsi que les mirifiques et fallacieux « droits de l’homme, de la femme, du non-binaire et d’autres genres ». Héritière des sinistres tribunaux de Nuremberg et de Tokyo si bien dénoncés en leur temps par Maurice Bardèche le visionnaire ainsi que des tribunaux pénaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et le Ruanda, cet aréopage de magistrats se pose en instance supérieure capable de surveiller les États. Les citoyens qui détiennent en théorie la souveraineté politique ont-ils été sollicité pour accepter ce surplomb politico-judiciaire ? On ne le pense pas…
Des rétorsion tombent enfin sur la CPI. La Russie a pour sa part émis des mandats d’arrêt internationaux contre ses différents responsables dont son procureur en chef Karim Khan. L’administration Trump a signé contre elle un décret de sanction. Il gèle ses avoirs détenus aux États-Unis; il interdit l’entrée sur leur sol de ses dirigeants, employés et agents ainsi que de leurs proches membres de famille. Certes, la CPI pourrait répliquer par des condamnations par contumace à cinq ans de prison pour quiconque limiterait son action. Or, face à Moscou, Washington et Tel-Aviv, on lui souhaite bien du plaisir d’autant qu’il est maintenant possible que des troupes étatsuniennes puissent intervenir manu militari à La Haye afin de libérer tout éventuel accusé emprisonné (citoyen étatsunien ou d’un État allié).
Des politiciens français dits de « droite nationale » critiquent régulièrement dans l’ordre intérieur le gouvernement des juges à travers l’omnipotence du Conseil constitutionnel, du Conseil d’État et de la Cour de cassation. Les plus téméraires d’entre eux dénoncent aussi la Cour européenne des droits de l’homme et la Cour de justice de l’Union européenne. Tous oublient l’action délétère de la CPI qui nie la volonté souveraine des communautés politiques, des peuples et des États. L’avènement d’un nouvel ordre multipolaire réellement pluriversel ne se réalisera pleinement que sur les ruines, fumantes ou non, de la Cour pénale internationale.
Salutations flibustières !
• « Vigie d’un monde en ébullition », n°149, mise en ligne le 25 mars 2025
00:21 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 27 mars 2025
Petit djihad personnel d’un héros d’Allah
La chronique de Philippe Randa
L’agression d’un rabbin à Orléans le 22 mars dernier par une jeune racaille (16 ans) sous les yeux de son jeune fils (9 ans, lui) a été longuement relayée dans certains médias, plus brièvement dans d’autres, mais n’aura guère émue les participants de la huitième édition de la Marche des solidarités, défilant contre « l’apathie de l’opinion face à la montée des intolérances », à Paris tout autant qu’en province…
C’est que chez ces « gens-là », pourtant si prompts à faire table rase de toute identité raciale, sexuelle, religieuse, historique ou culturelle, on ne mélange pas le soutien aux migrants, aux Palestiniens et aux LGBTYXZ+, nouveaux damnés de la terre, avec celui aux enfants d’Israël, fussent-ils tous compatriotes.
On s’en est beaucoup ému « à droite » de l’échiquier politique, guère à gauche (euphémisme) de celui-ci… On peut certes déplorer un tel constat.
Et plus encore que rien ne laisse espérer un changement quelconque des mentalités. Car notons que les premiers s’émeuvent habituellement peu à l’évocation des 42 000 morts à Gaza en un an (7 octobre 2023-7 octobre 2024)… et les seconds de la soixantaine d’otages encore aux mains du Hamas et de leurs conditions de survie ; si « vie » il y a encore pour tous.
Les habitudes ont la haine-de-l’autre dure.
Quant au « fait-divers » d’Orléans, si l’agressé est facilement identifiable par sa kippa, saluons le travail remarquable des forces de l’ordre qui ont réussi à appréhender l’agresseur qui avait tranquillement poursuivi son chemin après avoir accompli son petit « djihad » personnel.
La chose n’était guère aisée, le « héros d’Allah » étant connu sous pas moins de trois identités : une marocaine et deux palestiniennes, selon une source proche du dossier.
Jamais plus qu’à Orléans et jamais plus que ce 22 mars, « on ne sent combien c’est beau, combien c’est grand, combien c’est généreux la France ! Vive la République ! Vive la France ! » s’enthousiasmeront certains, tandis que d’autres s’étrangleront de rage en pastichant le célèbre discours du général De Gaulle, le 4 juin 1958 à Alger.
18:26 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Paris, samedi 29 mars : après-midi dédicaces des Amis d'Alain Pascal
16:59 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Islamisation : quand les pyromanes crient au feu
Thomas Joly, président du Parti de la France
À chaque soubresaut médiatique, nos gouvernants s’agrippent au chiffon rouge du voile islamique, comme des naufragés à une bouée crevée. Ils s’agitent, s’indignent, débattent à sur les plateaux télé comme au café du commerce, feignant la stupeur, jouant la comédie de la découverte. Mais de qui se moque-t-on ? Cela fait quarante ans qu’ils organisent, méthodiquement, l’installation de millions d’afro-musulmans sur notre sol. Ils ont méticuleusement importé l’islamisation qu’ils prétendent aujourd’hui combattre. Ils ont creusé eux-mêmes la tombe de la France et voilà qu’ils s’étonnent du trou.
Quant aux Frères musulmans, ces stratèges patients de la conquête, nos élites les ont laissés proliférer dans nos associations, nos universités, nos syndicats, nos conseils municipaux. Pendant que le peuple français s’inquiétait, eux souriaient, complices. Aujourd’hui, ils crient au loup, mais le loup est déjà dans la bergerie, et il y a bien longtemps qu’il a mangé le berger.
Les demi-mesures, les lois inutiles, les discours creux : tout cela ne suffira pas. Il ne s’agit plus de « réguler » l’immigration, de « contrôler » l’islam politique ou de « rappeler » les valeurs de la République. Il est trop tard pour les incantations. Il faut agir. Et agir avec une clarté brutale : seule une remigration massive des populations étrangères inassimilables pourra mettre fin à ce projet cosmopolite visant à dissoudre le peuple français dans le grand bain tiède du multiculturalisme.
02:06 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 26 mars 2025
Rassemblement pour la paix ce Jeudi 27 mars - Place de la République à Paris.
21:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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25 mars 1821 : début de la guerre d’indépendance grecque
Source Jeune nation cliquez ici
La guerre d’indépendance grecque (1821-1829), ou Révolution grecque (Ελληνική Επανάσταση του 1821), est le conflit durant lequel les Grecs, finalement soutenus par les grandes puissances (France, Royaume-Uni, Russie), réussirent à obtenir leur indépendance de l’Empire ottoman.
Le 25 mars 1821, les Grecs, définis d’abord en tant que chrétiens orthodoxes, se révoltèrent face à la domination de l’Empire ottoman. Cette révolte réussit, et l’indépendance de fait fut proclamée lors de l’Assemblée nationale d’Épidaure le 1er janvier 1822. L’opinion publique européenne était assez favorable au mouvement, à l’image des philhellènes.
Cependant, aucun gouvernement ne bougea à cause du poids politique et diplomatique de la Sainte-Alliance, et particulièrement de l’Autriche de Metternich, partisan acharné de l’ordre, de l’équilibre et du principe de légitimité instauré par le congrès de Vienne.
Des Grecs vivant hors de l’Empire ottoman, comme des habitants des Îles Ioniennes tels que Ioánnis Kapodístrias, et des membres de l’élite grecque de Constantinople et des Principautés danubiennes, les Phanariotes, apportèrent dès le début leur aide aux insurgés.
Pendant deux ans, les Grecs multiplièrent les victoires.
Cependant, ils commencèrent très vite à se déchirer, divisés entre « politiques » et « militaires ». La Sublime Porte appela en 1824 à l’aide son puissant vassal égyptien Méhémet Ali.
Pour les Grecs, les défaites et les surtout les massacres se succédèrent.
Cependant, les Russes souhaitaient de plus en plus ardemment intervenir, par solidarité orthodoxe mais aussi parce qu’ils avaient leur propre ordre du jour géostratégique.
Les Britanniques, quant à eux, désiraient au départ limiter l’influence russe dans la région mais finirent par s’allier avec la Russie.
Une expédition navale de démonstration fut suggérée lors du traité de Londres de 1827.
10:53 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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On peut-être un immense athlète et dire des sottises absolues, comme être « l’idiot utile de l’islam des frères musulmans »
Michel Festivi
Personne ne contestera que Teddy Riner est un immense sportif, peut-être le plus grand en nombre de médailles, aux jeux olympiques, et aux championnats du monde. Mais comme souvent, les sportifs feraient mieux de rester concentrés sur leur sport et ne pas se mêler de politique, du moins d’éviter les prises de paroles publiques. Et c’est exactement, ce qui s’est passé. Notre judoka national a eu la saugrenue idée de venir au secours de femmes qui entendent porter le voile lorsqu’elles pratiquent leur discipline. Il a prétendu que la liberté et l’égalité devraient être prioritaires et « ne pas s’acharner sur une seule et même religion ». Le problème que Teddy Riner ne voit pas ou refuse de voir, c’est que justement, seule une religion pose problème, et aucune autre.
C’est l’ex-champion du monde de boxe en 2003 et 2006, d’origine iranienne, mais naturalisé français, Mahyar Monshipour qui lui a répondu en renvoyant Teddy Riner dans son dojo, « pour lui dire qu’on ne peut pas prendre position sur certains sujets que l’on ne maîtrise pas ». Conseiller technique de la Fédération française de boxe, né à Téhéran, il connait lui, contrairement à Teddy Riner, ce que veut très précisément signifier, le port du voile. Pour Mahyar, « Il s’agit de rendre habituelle la présence du fait religieux. On ne parle pas du port d’une simple croix, mais de la volonté de cacher la femme avec le voile. Ce voile est un linceul et le signe visible d’une inégalité entre l’homme et la femme. ». En une phrase, bien sentie, Teddy Riner, est remis à sa place par ippon, celle d’un judoka, qu’il n’aurait jamais dû quitter.
Et d’en rajouter judicieusement « Teddy se trompe par méconnaissance du sujet, les sportifs...ne doivent pas devenir les idiots utiles de l’islam des frères musulmans... je le répète, une recommandation religieuse n’a rien à faire dans la pratique sportive, dans les activités culturelles ou à l’école. Le permettre, c’est accepter un petit pas de plus des frères musulmans dans notre société. »
Mahyar, dans cet entretien qu’il a donné au Figaro revient sur la manière dont le voile s’est imposé en Iran, et il lance ce cri « Réveillons-nous et réveillez-vous Teddy Riner... ils veulent rendre le port du voile classique, pour extraire les femmes du monde du sport ».
A cet égard, et suite à la proposition de loi sur l’interdiction du port du voile dans le sport, votée au Sénat et qui va être débattue à l’Assemblée nationale, la cacophonie s’est faite jour au sein du gouvernement « du en même temps » de François Bayrou. La ministre de sport et de l’éducation nationale avaient l’air de ne pas voir le problème, quand d’autres ministres comme celui de la Justice ou de l’intérieur se sont prononcés pour cette interdiction. Justement, Bruno Retailleau vient de se déclarer être radicalement opposé à Teddy Riner. « Le voile n’est pas le symbole de la liberté, c’est le symbole de la soumission. Il n’est pas non plus le marqueur de l’égalité, au contraire, il conteste radicalement l’égalité entre les hommes et les femmes, il est le signe de l’infériorisation du statut de la femme ... vous ne trouverez pas un seul islamiste qui ne souhaite pas que les femmes portent le voile ».
Dans le passé, on a connu les idiots utiles du communisme, on connait aujourd’hui, les idiots utiles de l’islam. Un dernier point, particulièrement troublant, qui démontre les ravages que la religion islamiste peut faire dans notre société. Selon un sondage, sur le fait religieux en entreprise, et d’après une enquête réalisée par Toluna-Harris interactive, du 11 au 14 février 2025, auprès de salariés âgés de 18 à 65 ans, travaillant dans une entreprise privée de 100 salariés et plus ou dans le secteur public, 46% des salariés de 18-24 ans jugent acceptable de refuser de s’asseoir, là ou une personne de l’autre sexe est assise et 42% contre 20% de l’ensemble des salariés, trouvent acceptable de refuser d’entrer en contact avec certains clients selon leur sexe. Mais pour certains, c’est peut-être aussi, une question d’égalité ou de liberté ? Réveillons-nous, s’il n’est déjà pas trop tard.
01:13 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 25 mars 2025
La restauration n’a pas besoin d’immigration !
Stéphane Manigold est le fondateur du groupe Eclore qui compte huit restaurants gastronomiques et six étoiles au Michelin. Il nous démontre dans cette chronique du Figaro que la restauration française n’a pas besoin d’un afflux massif de travailleurs étrangers, souvent des immigrés sans-papiers largement exploités dans le secteur de la restauration. Il nous explique pourquoi.
Lire la suite ICI
Source : Le Figaro 25/3/2025
10:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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En attendant 2027 ?
Yves Thréard
François Bayrou serait-il à la recherche d’un second souffle. Education, accès aux soins, simplification bureaucratique, finances publiques, tels sont les quatre chantiers qu’il promet d’ouvrir.
Personne n’est dupe. Cela fait trente ou quarante ans que tous les gouvernements butent sur ces sujets. On ne voit donc pas comment le premier ministre y parviendrait aujourd’hui, sans majorité et dans un paysage politique plus fragmenté que jamais. Depuis son arrivée à Matignon et l’adoption du budget par 49.3, il ne se passe d’ailleurs plus grand-chose au Parlement. Projets ou propositions de loi sont vidés de leur subs- tance ou reportés à des jours meilleurs. La France poursuit son bonhomme de chemin somnambulique vers nulle part, sans cap ni boussole. L’essentiel pour la dyarchie de l’exécutif, c’est de tenir. François Bayrou a même ressorti de la naphtaline le débat sur l’identité française qui s’était terminé en queue de poisson sous Nicolas Sarkozy. Faute de mieux, on spécule à tout-va. À quand la prochaine tentative de censure ? À l’occasion de la fin du conclave sur les retraites ou du prochain budget ? Certes, mais qui y aurait intérêt ? L’avenir du RN et de Marine Le Pen est suspendu à la décision de la justice, lundi prochain. Quant aux autres partis, à l’exception de LFI, qui veut à tout prix la chute du régie, ils ont tout à redouter de nouvelles élections législatives. Au sein du pouvoir exécutif, on fait mine d’examiner des voies d’action pour sortir du procès en immobilisme. Pourquoi ne pas recourir à des ordonnances ? Pourquoi ne pas demander au peuple de trancher directement par référendum ? En vue d’une meilleure maîtrise de l’immigration, notamment. Certes, mais Emmanuel Macron serait-il en mesure de prendre ce risque ?
Rien de décisif ne se fera avant la présidentielle de 2027, prédit Édouard Philippe. Une chose est sûre : en l’état actuel des forces politiques, pour beaucoup adeptes de la dépense publique ou de réformes démagogiques à grands frais, il serait préférable de pas ajouter une crise à la crise qui tenaille notre pays.
Source : Le Figaro 25/3/2025
09:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Fin mars, projection de "Silenced" à Avignon, Perpignan et Ganges...
01:40 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 24 mars 2025
François Martin : Macron humilié par Trump et Poutine
Alors que la guerre en Ukraine s’éternise, les négociations s’intensifient entre la Russie et les États-Unis. Donald Trump, fraîchement revenu à la Maison Blanche, bouleverse l’échiquier mondial avec sa diplomatie offensive. Le temps béni des néoconservateurs est terminé à Washington, le président américain et son entourage ont pris acte de la réorganisation d’un monde multipolaire où l’hégémonie américaine n’est plus une stratégie viable sur le plan géopolitique.
Que veulent réellement Poutine et Trump ?
Quelle réorganisation mondiale ?
Quel avenir pour l’OTAN ?
Pourquoi Emmanuel Macron est-il obsédé par la guerre en Ukraine ?
Quelle partition joue l’Europe ?
Nous décryptons les coulisses des négociations, les enjeux économiques et militaires, et les implications pour la France et l’Europe avec notre invité François Martin. Expert en géopolitique, diplômé de l’ESSEC, fort d’un MBA à HEC, auditeur de l’INHESJ et de l’IHEDN, il est l'auteur de "L’Ukraine, un basculement du monde" (disponible ici) et plus récemment "Le temps des fractures" (disponible ici), tous deux aux éditions Jean-Cyrille Godefroy.
15:59 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le "Nouveau Présent" annonce la parution du Cahier d'Histoire consacré à Jean-Marie Le Pen
Source Le Nouveau Présent cliquez ici
Né en 1928, Jean-Marie Le Pen s’éteignit le 7 janvier dernier, au terme d’une longue vie de combats, sur le terrain militaire mais surtout politique et civilisationnel comme il l’avait écrit dans ses Mémoires : « Si j’ai eu un sens, c’est de crier la vérité à temps et à contre-temps, d’être la voix qui refuse le mensonge […], une vigie, une sentinelle, un lanceur d’alertes », quels que soient les risques encourus.
Il méritait donc un hommage, celui que vient de lui rendre l’équipe de Synthèse nationale en lui consacrant son dernier Cahier d’histoire du nationalisme sous le titre Jean-Marie Le Pen — Le Menhir est éternel (1).
Dans ce document pour l’histoire réalisé sous la direction d’Aristide Leucate, est évoquée toute la carrière aussi longue que mouvementée du leader étudiant vite devenu le plus jeune député (sous l’égide de Pierre Poujade) que la République ait connu, avant de se porter volontaire dans la Légion étrangère pour servir son pays puis, à la tête du Front national, faire de ce qui n’était au départ qu’un groupuscule un élément incontournable du paysage politique français. Qu’on se souvienne du séisme provoqué par l’accession du Menhir au second tour de la présidentielle de 2002, après élimination du Premier ministre Jospin pourtant donné favori par tous les augures. Le « tour infernal » qui suivit montra l’ampleur de l’épouvante que cet exploit inspirait à l’anti-France.
Au hasard des dizaines de contributions — dont certaines dues à des camarades italiens, flamands ou québécois — les militants, les compagnons de route (ou parfois de galère…) et les adversaires revivront en lisant ce livre les combats menés, les accidents de parcours, mais aussi les succès qui, pour les nationaux, jalonnèrent grâce au « diable de la République » le dernier tiers du XXème siècle. On rêve à ce que serait devenu le FN si, plus jeune de vingt ans, le Breton avait pu se maintenir à sa tête et conduire les batailles actuelles…
En 2019, c’est à Jean-Marie Le Pen que, pour le premier tome de ses Mémoires intitulé Fils de la Nation, avait été remis le Prix des lecteurs et Amis de Présent. On ne s’étonnera donc pas de trouver parmi les auteurs des témoignages réunis dans cet ouvrage plusieurs journalistes de ce quotidien — devenu le Nouveau Présent — comme Anne Le Pape, Camille Galic, Françoise Monestier, Rémy Tremblay, Michel Festivi, Franck Delétraz ou Jean-Claude Rolinat.
La Rédaction
du Nouveau Présent
(1) Jean-Marie Le Pen, 250 pages avec bibliographie et de nombreuses illustrations, 250 pages, 24 euros. Commandes à www.synthese-editions.com
00:57 Publié dans Jean-Marie Le Pen, Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 23 mars 2025
Les scandaleux accords d’Evian de 1962
Bernard Lugan*
Il y a soixante-trois ans, les 18 et 19 mars 2022, la France signa les « accords d’Evian » et ordonna le « cessez-le-feu » en Algérie. Un double anniversaire : celui d’un abandon et celui d’une tragédie.
Le 18 mars 1962, à 17h 40, le général de Gaulle offrit en effet l’Algérie au FLN alors que l'armée française l’avait emporté sur le terrain. A cette date, 250 000 Algériens servaient sous le drapeau tricolore, soit cinq fois plus que les maquisards de l’intérieur et les membres de l’ALN stationnés en Tunisie ou au Maroc.
Sans la moindre garantie sérieuse, les évènements qui suivirent le démontrèrent tragiquement, plus d’un million d’Européens et plusieurs centaines de milliers de musulmans attachés à la France furent ainsi abandonnés au bon vouloir de l’ennemi d’hier (voir à ce sujet mes livres
Puis, le 8 avril 1962, par un référendum ségrégationniste puisque le pouvoir gaulliste l’avait ouvert aux seuls Français de métropole, les Français d’Algérie, pourtant les premiers concernés, en ayant été écartés (!!!), « les accords d’Evian » furent ratifiés par 90,81% de « oui ».
Aujourd’hui, les enfants de ces 90,81% paient à travers le « grand remplacement » et les humiliations algériennes, l’indifférence, le soulagement, la lâcheté et pour certains, la trahison de leurs parents.
(*) A retrouver sur son site ICI
13:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Manifs du 22 mars… un bide, mais aussi un signal clair et inquiétant.
Bernard Germain
La première chose qui frappe quand on regarde les images des cortèges du 22 mars, c’est qu’ils étaient faméliques. Ainsi entre 20 et 25.000 personnes à Paris alors qu’il y avait de nombreux syndicats, une multitude d’associations et tous les partis et organisations de gauche. En aucun cas on ne peut parler d’un succès.
À Nice, la presse annonce quelques centaines de personnes, donc moins de 1.000. À Orléans 350 manifestants, entre 3 et 400 personnes à Limoges… etc. Ce fut comme cela à peu près partout à travers le pays.
En apparence, c’est donc un bide. Sauf que ce serait une erreur de s’en tenir à l’écume des choses et ainsi se limiter à la seule approche comptable de ces évènements. Il me semble qu’à l’inverse, il faut approfondir l’analyse sinon on risque fort de passer à côté de leçons politiques importantes.
Commençons par les slogans qui figuraient sur les banderoles, notamment celles de la LFI.
Comme en atteste l’image en haut de cet article, leur manifestation était « contre le racisme et le fascisme ».
Avez-vous noté que « l’antisémitisme » a disparu ? Manifestement ce n’est plus un problème pour LFI et donc ils ne combattent plus l’antisémitisme. Cela vous étonne ?… pas moi. Nous avons eu sur ce plan, suffisamment de preuves du virage pris par la LFI depuis le 7 octobre 2023. Avant cette date certains avaient des doutes sur LFI, après le 7 octobre nombreux avaient des certitudes et aujourd’hui, c’est officiel comme le prouve cette image et les banderoles LFI, ce n’est plus un combat pour cette organisation.
Venons-en maintenant à la composition des cortèges du 22 mars. Il y a, à l’évidence, plusieurs catégories de manifestants.
Beaucoup de « cheveux blancs ». Des boomers qui n’ont rien compris de toute leur vie et en sont encore à « No pasaran » (« il ne passera pas »… le fascisme) alors qu’il n’y a aucune menace fasciste. Donc des vieux « cons » (désolé je ne trouve pas d’autre mot) comme la dizaine d’abrutis complets de 75 à 80 ans qui ont été pris en photo dans les Côtes d’Armor en venant « vérifier » que la réunion de Trégor & Goélo n’avait pas lieu suite à l’interdiction décidée par le maire de gauche de Lannion de laisser cette association projeter le film « Silenced » de Tommy Robinson, maire de gauche totalement soumis à la député LFI locale cliquez ici.
Hormis ces cheveux blancs, il y avait beaucoup de cheveux de toutes les couleurs (bleus, verts ou rouges). Les cheveux d’une jeunesse totalement dégénérée, absolument inculte et qui répète comme des mantras qu’il faut se mobiliser contre le fascisme et l’extrême droite, en étant absolument incapable de vous dire ce qu’est le fascisme ou l’extrême droite. Mais une jeunesse totalement soumise aux mœurs staliniennes, car je rappelle que celui qui a généralisé l’accusation de « fasciste » pour discréditer ses adversaires c’est Staline en personne. Ces pauvres idiots qui ne connaissent rien répètent aujourd’hui ce que leurs ancêtres disaient il y a un siècle. Mais ils ne le savent même pas. Il est vrai qu’il y a eu le procès de Nuremberg contre le nazisme, ce qui l’a définitivement discrédité au yeux de l’humanité. Mais il n’y a jamais eu de « Nuremberg » pour le communisme qui pourtant a tué plus de monde que le nazisme, 100 millions de morts à son compteur d’après le professeur Stéphane Courtois (1). Alors aujourd’hui, réutiliser les mêmes méthodes que Staline, cela ne pose pas de problème à ces gens ignares et totalement endoctrinés.
Après les cheveux blancs et les cheveux multicolores, il y avait aussi ce que Marx appelait le « lumpen prolétariat ». Cette frange totalement déclassée de la société, que d’autres nomment les « punks à chiens ».
Et puis il y avait les islamistes. Une floraison de drapeaux palestiniens en attestait, qui en l’occurrence étaient autant d’étendards pour manifester un soutien aux « résistants palestiniens », j’ai nommé le Hamas. Cette organisation terroriste que LFI refuse de qualifier ainsi. Les mots d’ordre étaient sans ambiguïté : « Israël, casse-toi, ton fascisme on n’en veut pas ».
Personne ne s’étonnera dès lors que « l’antisémitisme » ne soit plus un combat à mener pour les manifestants du 22 mars. On ne peut pas vouloir être ami avec les islamistes hurlant ces slogans et recueillir leurs votes tout en étant ami avec les juifs. LFI et la plupart des manifestants du 22 mars ont choisi : leurs amis sont islamistes. Pas juifs.
Il y avait aussi les représentants des partis politiques de « gauche » non LFI. Ils ont souhaité manifester avec des cortèges séparés. En apparence en divergence avec LFI surtout après le scandale de l’affiche LFI sur Hanouna qui était à l’évidence inspirée par ce que produisaient les nazis dans les années 30.
En réalité, leur présence dans cette manifestation est la preuve qu’ils ne rompront pas avec la LFI de Mélenchon. On en a déjà eu la preuve avec ce qui s’est passé durant l’été dernier suite à la dissolution de l’assemblée nationale.
Lorsque le NFP se réunira pour constituer les listes pour les élections municipales de 2026 ou la candidature de gauche des élections présidentielles de 2027 ainsi que pour les législatives qui suivront, ceux qui prétendent aujourd’hui avoir des pudeurs de gazelles vis à vis de LFI, ces gens tomberont le masque car pour eux lorsque leurs gamelles seront en jeu, plus rien d’autre ne comptera. Et ils trouveront immédiatement un accord avec LFI dès que le problème se posera, comme ils l’ont fait en juillet 2024.
Enfin, il y avait les inévitables milices du pouvoir macronien et de la LFI, les antifas qui n’hésitent jamais à agresser quiconque exprime une opinion différente de celle des bien pensants et de la gauche.
Au final, des manifestations qui ont montré que ceux qui ont défilé ont des profils bien particuliers, qui ne sont en aucun cas ce que la LFI a prétendu : « le peuple français est descendu dans la rue ». Non, le peuple français ce n’était nullement ce que nous avons vu. Le peuple français n’est pas descendu dans la rue, car le peuple français n’adhère absolument pas aux slogans et à la politique défendus par LFI, la gauche, les islamistes, les antifas et les bien pensants.
J’ajoute que ces profils sont assez inquiétants. Ils ne connaissent rien, ne réfléchissent nullement et sont prêts à recourir à la violence et aux mesures anti démocratiques pour imposer leur point de vue en se ralliant stupidement à des slogans à l’emporte pièce.
La grande leçon que je tire de ces manifestations c’est que la LFI vient de prouver qu’elle est capable de provoquer la mobilisation d’un nombre de gens qui commencent sérieusement à ressembler à ce que les nazis ont faits dans les années 30 en Allemagne avec les SA d’Ernst Röhm. Prélude à l’arrivée du nazisme.
À l’évidence, si la droite patriote devait gagner les élections en 2027, c’est à ces hordes et milices qu’elle sera confrontée. C’est inévitable.
Il serait irresponsable de sous-estimer cette réalité et de faire comme si ce problème n’existait pas.
(1) Stéphane Courtois, né le à Dreux, est un historien français, professeur à l'Institut catholique de Vendée (ICES) à La Roche-sur-Yon, après une carrière au CNRS. Il est l'auteur de plusieurs livre sur le communisme parmi lesquels Le livre noir du communisme (chez Robert Laffont, 1997).
00:27 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La marche des traîtres
Thomas Joly, président du Parti de la France
Aujourd’hui, samedi 22 mars, la chienlit d’extrême-gauche, les éternels professionnels de la subversion et du désordre, battent le pavé dans toute la France sous prétexte de « lutter contre l’extrême-droite ». En réalité, c’est la mobilisation des traîtres à la patrie, des fossoyeurs de notre civilisation millénaire.
Ces individus, véritables ethno-masochistes, se complaisent dans la haine de soi et n’ont qu’un objectif : accélérer le Grand Remplacement, c’est-à-dire remplacer le peuple français par une population venue d’ailleurs, étrangère à nos mœurs, à nos lois, à notre Histoire. Leur projet est limpide : détruire la France française, au nom d’un universalisme absurde et suicidaire.
Et que dire de leur définition de l’extrême-droite ? Pour ces enragés, elle va de Zemmour à Macron ! Tout ce qui n’est pas leur délire gauchiste est, pour eux, fasciste. Il faut croire que la raison a définitivement déserté leur camp.
Mais qu’ils ne s’y trompent pas : cette mobilisation de l’anti-France est marginale. Ce n’est pas le peuple, mais une caste minoritaire, bruyante, hystérique et soutenue par les médias du Système. Le vrai peuple, lui, regarde ces cortèges avec dégoût. Car il sait ce qu’ils incarnent : le mépris de l’identité française, le crachat au visage de ceux qui ne veulent être ni remplacés ni métissés.
La France éternelle, elle, ne descendra pas dans la rue aujourd’hui. Elle observe. Et elle se souviendra.
Source cliquez ici
00:23 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 22 mars 2025
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
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vendredi, 21 mars 2025
Prévisions cliodynamiques
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
N’en déplaise aux Occidentaux décadents qui se croient exceptionnels, la culture russe suscite toujours des personnalités étonnantes qui osent comprendre le monde d’une autre façon. Le mathématicien Anatoli Fomenko imagine le récentisme (ou « nouvelle chronologie ») dont les interprétations historiques restent sujettes à caution. En 2011, Le Cherche-Midi traduisait et publiait un ouvrage remarquable d’Alexandre P. Prokhorov, Le modèle russe de gouvernance, une étude non-conformiste qui explique pourquoi et comment la société russe souvent désorganisée, voire chaotique, parvient néanmoins à travers l’histoire à réaliser de grandes prouesses.
Né en 1957 en URSS, Piotr Valentinovitch Tourtchine émigre en 1977 aux États-Unis. Il travaille dans l’enseignement supérieur en écologue spécialisé dans la dynamique des populations des coléoptères et des mammifères. Ses obligations professionnelles le conduisent à recourir à l’outil informatique ainsi qu’aux biomathématiques. Cependant, en esprit curieux, il ne se limite bientôt plus à son seul champ de compétence. Il s’élargit aux événements historiques et à la mobilité des groupes sociaux au sein des sociétés industrialisées. Il conçoit la cliodynamique.
On sait qu’à la fin des années 1920, l’école française des Annales, en référence à la revue d’abord intitulée Annales. Histoire, Sciences sociales, encourageait l’histoire sérielle ou quantitative, c’est-à-dire une histoire socio-économique d’après l’utilisation systématique des sources statistiques. Sur ce modèle et en utilisant la rigueur scientifique et les premiers ordinateurs, des historiens, outre-Atlantique, lancèrent la cliométrie, soit l’analyse historique à partir des théories économiques et des données économétriques dont les statistiques. Devenu Peter Turchin, l’ancien émigré soviétique mentionne volontiers la psychohistoire de Hari Seldon imaginée par l’auteur étatsunien de science-fiction Isaac Asimov (1920 - 1992) dans sa célèbre saga de cinq - sept volumes : Fondation. Seldon voit la psychohistoire comme la prévision, inspirée de la physique statistique, de l’histoire humaine en s’appuyant sur les faits sociaux et la psychologie des individus. Mais ses prospectives spéculatives sur l’avenir sans encore connaître les implications de la théorie du chaos ignorent l’irruption du Mulet, un mutant aux pouvoirs psychiques redoutables.
Dans Le chaos qui vient. Élites, contre-élites et la voie de la désintégration politique (Le Cherche-Midi, 2024, 450 p., 23 €), Peter Turchin pense qu’« une science de l’histoire est non seulement possible, mais aussi et surtout précieuse : elle nous permet d’anticiper l’effet de nos choix collectifs présents sur l’amélioration de notre futur ». En croisant les applications mathématiques, les logarithmes et la modélisation informatique, la cliodynamique serait par conséquent une psychohistoire qui sait se déployer dans trois dimensions.
Plus concrètement, Peter Turchin propose une « approche structuralo-dynamique » adaptée aux systèmes complexes de la vie sociale. Pour lui, « la cliodynamique […] exploite les méthodes de la science des données, en appréhendant les sources historiques, compilées par des générations d’historiens, comme le big data. Elle se sert de modèles mathématiques pour cartographier le réseau d’interactions entre les différentes “ pièces mobiles “ des systèmes sociaux complexes que sont nos sociétés ». En examinant les résultats des ordinateurs à calcul, il considère que « l’effondrement d’un État, à savoir la désintégration soudaine du réseau de pouvoir régissant une société, est un phénomène fréquent ». Sociologue pour l’occasion, il désigne les élites comme les « individus les plus riches en pouvoir social ». Il détermine l’existence simultanée de quatre pouvoirs sociaux structurant ces sociétés complexes : le pouvoir de coercition, le pouvoir de la richesse ou, plus précisément, de l’accumulation des ressources matérielles, le pouvoir bureaucratique administratif et le pouvoir de l’idéologie qui passe en priorité par la persuasion. Pouvoirs et élites constituent des réseaux plus ou moins solides autour de fortes personnalités ou d’intérêts communs.
L’auteur n’a pas peur d’employer les termes de « ploutocratie » et d’« oligarchies » pour décrire les États-Unis. En effet, « la classe dirigeante américaine est une coalition des plus riches (1 %) et des plus diplômés (10 %) ». Par conséquent, « aux États-Unis, le pouvoir est étroitement lié à la richesse ». Il entend étudier les premiers effets de « la situation révolutionnaire des États-Unis ». Ce serait la troisième fois que les États-Unis connaîtraient cette situation après les décennies 1850 – 1860 marquées par la Guerre de Sécession, et les années 1920 – 1940 caractérisées par le consulat présidentiel de Franklin Delano Roosevelt et son New Deal. Il convient volontiers que « les factions oligarchiques se caractérisent par une relative fluidité, et les oligarques changent d’alliance au gré du contexte du moment ». Il argumente son point de vue en donnant l’exemple de l’Ukraine d’avant 2022. Les oligarques s’y « sont dispersés en plusieurs factions, opposées les uns aux autres et s’armant, dans leurs batailles, de politique électorale, de saisies semi-légales et même de prison ».
Même si l’auteur veut généraliser sa méthode aux autres sociétés, en particulier occidentales, sa démarche concerne surtout le pays de l’Oncle Sam. Il remarque que « conjuguée à l’appauvrissement des classes populaires, la surproduction d’élites et les conflits internes ainsi engendrés ont progressivement miné notre cohésion civique, le sens de la coopération nationale sans lequel les États pourrissent rapidement de l’intérieur ». Il note en outre que « les démocraties sont particulièrement vulnérables à la subversion ploutocratique ». Il annonce par ailleurs qu’« une évolution encore plus inquiétante est à voir dans la transition, au sein des démocraties occidentales, de “ systèmes de partis basés sur les classes “ à des “ systèmes de partis multi-élites “ ».
Le chaos qui vient sort aux États-Unis en 2023. Peter Turchin a pris acte de la présidence de Donald Trump entre 2017 et 2021. Il relève déjà que « les républicains sont en pleine transition pour devenir un véritable parti révolutionnaire ». Il présente même JD Vance, alors sénateur néophyte de l’Ohio, comme un élément-clé de cette transition. Il le dépeint en figure de proue du courant national-conservateur. Peter Turchin ignorait que Vance deviendrait le vice-président de Donald Trump…
La cliodynamique appartient-elle à la collapsologie si bien travaillée par Dmitry Orlov, lui aussi originaire de l’Union soviétique et arrivé aux États-Unis en 1974 ? Peter Turchin prévient d’un effondrement prochain sans s’attarder sur les suites plausibles. Dommage, car il aurait pu enfin faire entrer le survivalisme à l’université.
Salutations flibustières !
• « Vigie d’un monde en ébullition », n°148, mise en ligne le 19 mars 2025
23:40 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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