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lundi, 18 mars 2024

En Vendée, dimanche 14 avril à 15 h : conférence de Patrick Jardin

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Un communiqué de Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen :

Le 13 novembre 2015, Patrick Jardin perdait sa fille dans l'attentat politique commis au Bataclan. Un événement qui a bouleversé le cours de son existence.

"Si je peux, par mon action, si petite soit-elle, empêcher d’autres crimes odieux, ma fille ne sera pas morte pour rien", a-t-il récemment lancé... Il sera donc notre invité le dimanche 14 avril 2024 en Vendée (La Vieille Herse , chemin du Gué, 85300 Le Perrier). Patric Jardin nous présentera et dédicacera son livre : "Pas devant les caméras".

Ce livre est le cri de colère d'un père à qui on a arraché son enfant. Colère contre les barbares islamistes d'abord. Mais aussi colère contre la lâcheté des politiciens qui n'ont rien fait pour s'opposer à l'islamisation de la France !

Mais comment juger un homme qui a subi une perte si douloureuse ? Patrick Jardin n'a plus rien à perdre. Il n'a qu'un seul objectif : empêcher de nouvelles tragédies où disparaîtraient d'innocentes victimes comme sa chère Nathalie.

Je vous invite dès maintenant à réserver vos places : 

rassemblementvendeen@outlook.fr

Venez nombreux soutenir Patrick Jardin le dimanche 14 avril... Haut les coeurs.

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Il faut rompre avec l’UE, cette caricature d’Europe

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Alain de Benoist, Front populaire n° 16 cliquez ici

Dès le départ, la construction de l’Europe s est déroulée en dépit du bon sens.

Quatre erreurs essentielles ont été commises on est d’abord partis de l’économie et du commerce au lieu de partir de la politique et de la culture en s’imaginant que, par un effet de cliquet, la citoyenneté économique déboucherait mécaniquement sur la citoyenneté politique, ce qui était une illusion.

On a voulu créer l’Europe à partir du haut, au lieu de partir du bas.

On a préféré un élargissement hâtif à des pays mal préparés pour entrer dans l’Europe, à un approfondissement des structures existantes.

On n’a. enfin, jamais voulu statuer clairement sur les frontières de l’Europe et sur les finalités de la construction européenne. Dans de telles conditions, l’Union européenne ne pouvait être qu’un vecteur parmi d’autres d’une idéologie dominante dans laquelle elle a toujours baigne.

(…) Les États et les nations ont été amputés d’une grande partie de leur souveraineté qui a ensuite disparu dans un trou noir, sans que l’on voie s’affirmer une véritable souveraineté européenne. Une Europe-puissance pourrait avoir un sens existentiel pour les Européens, une Europe-marché n’en a aucun.

Source EuroLibertés cliquez ici

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Ne pas préférer Aya Nakamura n’est sûrement pas une faute morale

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Dans Valeurs Actuelles, le père Danziec réagit à la polémique autour de Aya Nakamura :

« Choisir, c’est renoncer » explique-t-on aux enfants. Les parents responsables savent que l’apprentissage de la gestion de ses frustrations fait partie du b.a.-ba de l’éducation. Mais décider, faire un choix, implique aussi de se positionner. Or l’actuelle dictature du politiquement correct modifie désormais les perspectives.

« Choisir, c’est renoncer », assurément et, hélas, plus que jamais ! Chacun se trouve sommé de faire un choix, mais pas n’importe lequel : celui qui convient aux normes du prêt-à-penser dominant. Finie l’heure du relativisme des années 2000, la doxa woke des années 2020 ordonne de choisir son camp. Et gare à celui qui, par malheur, ne choisirait pas celui du bien ! Faire tel ou tel choix discordant signifie renoncer à obtenir – ou conserver, c’est selon – son rond de serviette sur de nombreux plateaux.

Plus de Pilate possible, l’impératif est d’exprimer des préférences qui soient en adéquation avec la marche du monde. On ne peut passer son tour, il faut hurler avec la foule. Pour rester à flot, les conditions sont édictées : renouveler continuellement sa fidélité dans une certaine forme de transgression. No border, no limit.

L’affaire Aya Nakamura s’avère à cet égard éloquente de mauvaise foi. Les mêmes qui fustigeaient la prestation de Jean Dujardin, à leur goût trop franchouillarde, lors du lancement de la dernière coupe du monde de rugby, sont ceux qui se réjouissent à présent d’un indiscret publié dans L’Express

L’artiste franco-malienne aurait en effet été sollicitée par Emmanuel Macron pour chanter lors de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris de 2024. Cette information a immédiatement provoqué des réactions en chaine sur les réseaux sociaux et dans le monde politique. Choix disruptif de la Présidence, s’il venait à se confirmer ?

Il faut dire qu’en dépit des succès commerciaux d’Aya Nakamura, son champ lexical et le sujet de certaines de ses chansons peinent à faire spontanément l’unanimité. C’est peu de le dire. Bien sûr, la ministre des Sports s’est félicitée « du rythme » et « de la vitalité » de sa musique – « c’est ça que j’adore » confiait-elle dans un enthousiasme surfait au micro de C à vous – d’autres comme Gérard Larcher ou Marion Maréchal ont manifesté un enthousiasme inversement proportionné.

Des questions se posent pourtant : peut-on librement critiquer le choix d’Aya Nakamura pour représenter la France lors des prochains Jeux ? A-t-on le droit de considérer un tel projet comme un coup politique ?  D’estimer cette décision comme non avenue ? Et, dans le même temps, ne pas se voir soupçonné de racisme ?

Pourra-t-on encore demain se justifier de préférer un chant corse à une salsa brésilienne, les yodels d’outre-Rhin aux paroles équivoques de Djadja ? Aura-t-on le droit de choisir autre chose que ce que l’on nous propose, que ce que l’on nous impose ? Oserai-je à l’avenir, à l’instar d’un Julien Clerc, clamer sur les toits « Ma préférence à moi » ?

La question « des goûts et des couleurs », pour être abordée paisiblement, réclame de la nuance. Il est par exemple possible d’aimer Renaud, ses drôleries, ses rimes et ses trouvailles littéraires, d’avoir les yeux humides en écoutant Mistral Gagnant, de s’amuser de sa description de la France dans Hexagone, d’épouser son hommage au monde féminin dans Miss Magie, sans pour autant se retrouver dans ses idéaux de gauche.

De la même façon, il m’apparaît capital de pouvoir revendiquer un droit. Celui de ne pas se sentir à l’aise devant l’éventuel choix d’Aya Nakamura, le droit d’être circonspect à l’écoute de sa musique, le droit de ne pas se retrouver dans ses codes de langage ou vestimentaires sans pour autant devenir l’objet d’une reductio ad hitlerum. A-t-on, finalement, le droit de ne pas aimer ou d’apprécier quelqu’un sans que les procès d’intention fusent de toute part ?

Il y a exactement 40 ans, en février 1984, Jean-Marie Le Pen professait dans l’émission L’heure de vérité, croire aux choses réelles, aux attachements et aux devoirs hiérarchiques. Au journaliste d’Antenne 2, Albert du Roy, le fondateur du Front National partageait, décontracté et souriant, avec l’agilité oratoire qui fit sa réputation, son échelle des sentiments et des dilections :

« J’aime mieux mes filles que mes cousines, mes cousines que mes voisines, mes voisines que des inconnus, et des inconnus que mes ennemis. Par conséquent, j’aime mieux les Français. C’est mon droit. »

« C’est mon droit. » Certes ! Ce droit, proclamé de manière toute granitique, se prolonge aujourd’hui par un autre : le droit de ne pas souscrire au piège des sophismes. De ceux qui enferment et caricaturent. Vous n’êtes pas pour un engagement des forces armées françaises en Ukraine ? Vous êtes donc poutinistes béats. Vous appréciez CNews ? Vous vous complaisez dans une chaîne d’opinion.

Vous manifestez pour la défense du mariage entre un homme et une femme ? Vous sombrez dans l’homophobie. Vous émettez quelques réserves au sujet de la vaccination obligatoire du personnel soignant ? Vous délirez dans le complotisme. Vous préférez la messe en latin ? Vous grossissez les rangs de l’intégrisme.

Tous les oukases imaginables ne viendront pas à bout d’une vérité bien établie : l’amour véritable nécessite la liberté de ne pas aimer. Le Christ lui-même a accepté de s’y soumettre. Ne pas préférer Aya Nakamura n’est sûrement pas une faute morale. Il est sans doute même plutôt le signe qu’un amour plus fort sommeille dans le cœur de 73% des Français. Un amour qui, loin de l’esbroufe politique, ne demande qu’à être nourri en profondeur. A bon entendeur.

Article aussi publié sur Le Salin Beige cliquez là

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Stanislas Rigault, président de Génération Z, invité de Livre noir

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Pour info, la séance à l'Assemblée :

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18 mars 1978 : assassinat de François Duprat

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Pour mieux connaître la vie et

l'engagement de François Duprat cliquez ici

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dimanche, 17 mars 2024

RAPPEL : jeudi 21 mars, à Paris, Alban d'Arguin invité des Rendez-vous du Centre Charlier

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Alban d'Arguin est l'auteur de Réchauffement climatique, enquête sur une manipulation mondiale (Pardès, 2022)  et de Eoliennes, un scandale d'Etat (Synthèse nationale, 2017).

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À la découverte d’un conflit oublié

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Dans sa longue histoire belliqueuse, la France a fait la guerre à presque tous les peuples de la planète, directement ou quand ces derniers étaient des possessions coloniales de puissances européennes. Bien des Français pensent cependant que seules les États-Unis d’Amérique ont échappé à cet esprit guerrier.

Le livre d’Éric Schnakenbourg, professeur d’histoire moderne à l’Université de Nantes, rétablit une vérité oubliée. On ignore en effet qu’à la fin du XVIIIe siècle, les marines étatsunienne et française s’affrontent en Atlantique Nord, en mer des Caraïbes et aux Antilles. L’auteur rappelle que « construit en 1954, le Mémorial du corps des Marines des États-Unis […] est dédié à tous les Marines qui sont morts au service de leur pays depuis 1775. Le piédestal porte l’inscription des différentes guerres auxquelles ils ont participé. Il y a, d’abord, la guerre d’Indépendance (1775 – 1783), puis la French Naval War (1798 – 1801). La première guerre dans laquelle les États-Unis, comme nation indépendante, furent engagés les opposa à la France (p. 11) ».

À la « Guerre navale française », les historiens préfèrent parler de « Quasi-Guerre », d’où le titre de son ouvrage : La Quasi-Guerre. Le conflit entre la France et les États-Unis 1796 – 1800 (Tallandier, 2024, 320 p., 22,50 €). Pourquoi cette expression ? Parce que, d’une part, il n’y eut jamais de déclaration officielle de guerre, soit par la France, soit par les États-Unis, et, d’autre part, les combats uniquement en haute-mer causèrent une centaine de morts.

L’université hexagonale traite peu ce sujet. En revanche, l’historiographie anglo-saxonne déborde. Cette étude passionnante plonge le lecteur dans les méandres complexes d’un « proto-conflit » aux retentissements politiques, militaires, économiques, diplomatiques et financiers considérables.

La « Quasi-Guerre » s’apparente à une guerre de course classique. On y trouve des corsaires qui cherchent en priorité à interrompre les échanges commerciaux entre l’Angleterre et ses terres antillaises. Dans le contexte de la Révolution française, les marins français veulent aussi protéger leurs riches îles sucrières. Or, le 19 novembre 1794, les États-Unis signent avec l’Angleterre le traité de Jay dont les articles prévus contredisent, selon Paris, le traité commercial franco-américain de 1778. Jay n’empêche pas la Royal Navy d’enrôler de force sur ses bâtiments des citoyens américains perçus comme des sujets rétifs de Sa Gracieuse Majesté.

Par ailleurs, les tensions révolutionnaires en Europe ont de vives répercussions dans la vie politique de la jeune république américaine. Les Républicains – à ne pas confondre avec l’actuel parti républicain – suivent Thomas Jefferson et s’inspirent de l’exemple français, y compris des sans-culottes jacobins. Ils se mobilisent contre les Fédéralistes de John Adams qui développent une interprétation aristocratique de la Constitution de 1787. Leurs détracteurs les qualifient d’« Anglo-Fédéralistes »...

La lourde dette financière des États-Unis envers la France, la lenteur des communications, les maladresses des représentants français, la complexe affaire XYZ et le souci des États-Unis de conserver leur neutralité active et lucrative favorable aux flux commerciaux transatlantiques attisent les tensions franco-américaines. L’ouvrage ne verse pas dans l’« histoire-bataille ». Grâce à la consultation d’archives inédites, l’auteur s’intéresse au sort des Français présents aux États-Unis et des Étatsuniens installés en France. Plusieurs États fédérés se rallient à une francophobie exacerbée. Celle-ci est pourtant ancienne et fréquente. On peut sur ce point reprocher à l’auteur d’évacuer le féroce sentiment anti-français qui animait George Washington. Avant d’être le chef indépendantiste, il s’est formé à l’art de la guerre sous l’uniforme anglais avant même le début de la Guerre de Sept Ans (1756 – 1763), cette première guerre mondiale.

Mis sous pression, le gouvernement fédéral révoque ainsi l’autorisation accordée aux consuls d’exercer leurs fonctions. Les Fédéralistes au pouvoir adoptent en outre des lois d’exception : exclusion de tout étranger dangereux pour la sécurité nationale et la paix; arrestation et expulsion de tout étranger de plus de 14 ans dont le pays serait en guerre contre les États-Unis; définition de la sédition perçue « comme une trahison au service de la France (p. 200) ». Aujourd’hui perdurent toujours ces mesures légales déjà appliquées dans l’histoire : « internement de cent vingt mille Américains d’origine japonaise durant la Seconde Guerre mondiale au nom des lois sur les étrangers de 1798, ou encore des poursuites qu’aurait encourues Elon Musk en vertu du Logan Act de 1798, s’il avait été confirmé qu’il avait appelé Vladimir Poutine pour parler de paix dans le contexte de la guerre entre la Russie et l’Ukraine à l’automne 2022 (p. 245) ».

Cependant, les relations ne sont pas totalement rompues. Ministre des Relations extérieures de la République française, Talleyrand négocie avec difficulté avec trois émissaires étatsuniens. Il revient finalement au Premier Consul Napoléon Bonaparte de régler ce conflit. Le retour de la paix en mer impliquera en 1804 la vente du très vaste territoire de Louisiane. La Quasi-Guerre contraint enfin le gouvernement fédéral à lancer l’US Navy.

Les États-Unis remportent donc la Quasi-Guerre. Malgré leurs intentions isolationnistes, ils acquièrent un statut de puissance à la fois terrestre et océanique. Il est néanmoins dommage qu’Éric Schnakenbourg n’explique pas qu’un troisième conflit – la Seconde Guerre d’Indépendance contre la Grande-Bretagne (1812 - 1815) - fort bien étudié par Sylvain Roussillon en 2012, va accélérer les ambitions géopolitiques des États-Unis. Ils s’intéresseront bientôt à tout l’hémisphère occidental. Il en découlera - au-delà d’une fermeture formelle et partielle (les intérêts économiques priment sur les intérêts étatiques) - la doctrine Monroe en 1823, puis la « Destinée Manifeste » vers 1845. La Quasi-Guerre confirme surtout que la plus grave erreur de Louis XVI fut d’intervenir aux côtés des Insurgents américains.   

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°106, mise en ligne le 12 mars 2024 sur Radio Méridien Zéro.

23:38 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos

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vendredi, 15 mars 2024

À quatre jour du 19 mars, soixante-deux ans après le cessez-le-feu en Algérie, une réflexion, en passant…

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Synthèse nationale

Hier, jeudi 14 mars, sur Cnews, à L’heure des Pros. Question du magistrat honoraire Philippe Bilger à Pascal Praud : « À partir de quand, Pascal, à votre avis, la dénonciation absolue de la barbarie du 7 octobre, accompagnée de la demande d’un cessez-le-feu, peut n’être pas qualifiée de soutien à la cause palestinienne ? » Réponse de l’intéressé : « C’est le mot "cessez-le-feu" qui pose problème. Est-ce que vous cessez le feu avec une organisation terroriste ? (…) Le mot "cessez-le-feu" a en lui-même une ambiguïté »…

Pour mémoire, cette position était celle des partisans de l’Algérie française qui refusaient tout idée de négociation et, plus encore, de cessez-le-feu avec le FLN qui, alors, quelques décennies avant le Hamas, utilisait déjà l’islam et la terreur comme des armes au service de sa cause. On connaît la suite : le gouvernement gaulliste a négocié, a conclu un cessez-le-feu avec les fellagas et leur a finalement abandonné le territoire.

Soixante-deux ans après la fin de la « sale guerre », il est tout de même curieux de voir aujourd’hui cette compréhension pour la position de l’État d’Israël (parfaitement compréhensible) alors même qu’il continue d’être de bon ton de pourfendre celle des partisans du maintien de la France en Algérie…

En fait, cette contradiction trouve son explication dans une formule : « Malheur aux vaincus ! »… Les perdants ont toujours tort. Ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire…

20:43 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Interview d'Emmanuel Macron : une prestation pitoyable et grotesque.

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Retenez-moi ou je fais un malheur !

Synthèse nationale

Prisonnier de sa posture jusqu’au-boutiste, plus matamore que matador, un chiffon rouge dans une main, en guise de muleta, et un cure-dents dans l’autre, en lieu d’épée : Emmanuel Macron est apparu hier au soir, une fois de plus, dans sa criante, sa cruelle vérité. Celle d’un moulin à paroles creuses et à formules alambiquées qui prend ses désirs pour des réalités, brasse de l’air et, en fin de compte, ne produit que du vent.

Sa France, financièrement dans le rouge, est en quasi-faillite. Elle est l’un des États européens les plus désindustrialisés. Son taux de chômage reste à un niveau inquiétant. Son agriculture est au bord de l’asphyxie. Elle se révèle incapable de reprendre la main en matière d’immigration et sa communauté nationale se divise, se délite. Le wokisme abrutit ses universités et grandes écoles. Une partie de ses flics et de ses profs déclarent vivre désormais dans la peur. Une partie de ses maires jettent l’éponge. Ses banlieues menacent en permanence de s’enflammer au moindre prétexte tandis que des mafieux en noir y règlent leurs comptes à la kalachnikov. Son armée, dont le budget a jusqu’ici servi de variable d’ajustement, se trouve réduite à la portion congrue ; matériellement échantillonnaire,  manquant de munitions, sans véritable réserve, elle est incapable pour l’heure de faire face à une guerre de haute intensité… Et notre omniprésident, omniprésent, omniscient, omnipotent, nous parle de « fin de l’insouciance », de « guerre existentielle », de « sécurité des Français qui se joue en Ukraine ». Il nous enjoint d’être forts et de ne fixer aucune limite à notre soutien à Kiev…

Cette détermination feinte, ce virilisme de pacotille, ces coups de gueule surjoués, qui inquiètent notre population et nos alliés bien plus qu’ils ne les galvanisent, doivent bien faire rire à Moscou… Pathétique et grotesque : que dire, que retenir d’autres de ces trente-six minutes d’entretien ? Décidément, les trois années à venir vont être bien longues…

15:42 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ÉPUISÉ DEPUIS DES ANNÉES, LE LIVRE TÉMOIGNAGE CONSACRÉ À ORDRE NOUVEAU EST ENFIN REPARU...

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Cet ouvrage a été édité une première fois en septembre 2019, à l’occasion du cinquantième anniversaire de la création du mouvement Ordre nouveau. Ses concepteurs, Jacques Mayadoux et André Chanclu, avaient alors souhaité que cette première édition ait un tirage limité.

C’était sans doute sous-estimer l’intérêt que ce livre allait susciter, non seulement auprès des « anciens » qui ont connu cette période tumultueuse de l’après Mai 1968, mais aussi auprès des jeunes générations militantes pour lesquelles Ordre nouveau est devenu une référence.

Voilà pourquoi, pour répondre à cette forte demande, nous avons décidé, en accord avec Jacques Mayadoux et André Chanclu, de procéder à une seconde édition de ce livre-document.

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Sortie de la nouvelle édition : le 15 mars 2024

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Du Donbas à Gaza

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Certes me direz-vous le conflit israélo-palestinien nous concerne moins que le conflit qui oppose l’Ukraine à la Russie. Sauf que ce conflit entre juifs et palestiniens ne manque pas de répercussions dans notre pays où vivent plusieurs millions d’immigrés d’origine arabe et de confession musulmane. Qui restent plutôt calmes pour le moment. Macron préférant se focaliser sur les dangers que représentent les mouvements dits d’extrême droite où quelques dizaines de cinglés s’agitent… sans grand péril en la demeure. Non, ce qui retient notre attention, c’est bien la différence de nature de ces deux conflits. Là où les juifs entendent éradiquer le Hamas, ils détruisent non seulement les villes de la bande de Gaza mais encore affament des populations qu’ils sont en train de clochardiser. Le premier ministre Netanyahu n’écoute même plus les injonctions de son souteneur américain d’arrêter le massacre dans la bande de Gaza et de lever le pied.

Tout autre est la guerre en Ukraine où deux armées régulières se font face, où les attaques contre des civils ne sont en rien frontales. En Ukraine les populations ne sont pas affamées et les Ukrainiens continuent de vendre leur blé – entre autres – au reste du monde. On pourrait ajouter que les intérêts européens se situent nettement plus du côté de la Russie que de ce Moyen Orient où l’unique enjeu est le pétrole. Si Monsieur Macron avait un peu de bon sens, de la culture et savait lire une carte, au lieu de jouer les va-t-en-guerre, il engagerait les Européens de suggérer à Zelensky de rechercher les voies de la négociation plutôt que d’envoyer ses compatriotes au casse-pipe pour le seul profit des intérêts américains. En attendant, Natacha Polony dresse avec justesse un panorama du drame qui se joue à Gaza et des questions qui ne manquent pas de se poser.

Lire la suite ICI

Source : Marianne 14/2/2024

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jeudi, 14 mars 2024

Espagne : Près de 400 factieux indépendantistes catalans amnistiés par les Cortes

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Michel Festivi

Comme je l’annonçais la semaine dernière la loi d’amnistie exigée par Carles Puigdemont (en photo ci-dessus) le chef des indépendantistes catalans qui avait entraîné un mouvement considérable contre l’État espagnol, sa constitution et ses institutions vient d’être votée par 178 voix contre 172.

L’examen de la loi va désormais passer au Sénat dominé par le Parti populaire, mais malgré l’opposition de la chambre haute qui tentera de retarder l’application du texte, la loi sera sans doute entérinée définitivement fin mai selon les observateurs.

Cette mesure qui permet de blanchir même les actes de terrorisme et de trahison, et qui ne faisait pas partie du programme du PSOE (Parti socialiste ouvrier espagnol) du Premier ministre Pedro Sanchez en juillet 2023, au moment des élections législatives, constitue un détournement total du droit pénal espagnol au profit des seuls critères du droit européen comme l’ont reconnu les députés Junts, parti indépendantiste catalans, eux-mêmes lors du débat avant le vote, se félicitant de la conformité de ces dispositions au droit européen.

Alberto Feijoo le leader du Parti populaire, le premier parti aux Cortes a eu beau dénoncer la soumission de Sanchez aux indépendantistes catalans, et Santiago Abascal le chef de Vox (droite nationale espagnole) « un cas de corruption », rien n’y a fait. D’ailleurs Sanchez a refusé de participer aux débats, arrivant dans l’hémicycle juste avant le vote. Cette attitude hautaine et méprisante lui est habituelle.

Le 30 janvier, les sept députés Junts avaient refusé de voter la loi qui n’incluait pas les délits de terrorisme et de trahison. Immédiatement la plus haute instance judiciaire espagnole annonçait la reprise des poursuites contre Carles Puigdemont exilé en Belgique. Sanchez était donc soumis à une pression considérable des indépendantistes catalans.

Alberto Nunez Feijoo, président du Parti populaire, a pourtant dénoncé toujours et encore, comme Vox, la division de l’Espagne ainsi « qu’une absence absolue de conviction et de scrupules » de la part de Sanchez, et, comme en écho, un député catalan, Joseph Cervera rappelait au Premier ministre que de toute façon « le conflit politique entre la nation catalane et la nation espagnole existe toujours ». Comme quoi les indépendantistes catalans n’ont strictement aucune reconnaissance envers le PSOE, qui pourtant a fait exactement ce qui lui était demandé, le doigt sur la couture du pantalon. Jamais un tel exemple de soumission électoraliste n’avait été à ce point enregistré.

Cette affaire qui secoue grandement l’Espagne intervient de surcroît dans un climat délétère de plaintes nombreuses contre divers barons socialistes dont la présidente actuelle des Cortes Armengol, qui était alors présidente des Baléares jusqu’en mai 2023, pour des faits de prévarications lors de la crise sanitaire dans le cadre de marchés publics qui auraient été frauduleux.

Des élections auront lieu prochainement au Pays basque puis à l’automne en Catalogne. Il y a fort à parier que les indépendantistes de ces deux régions vont encore progresser. A moins que les élections européennes de juin ne rebattent les cartes pour la Catalogne ? L’éclatement de la nation espagnole n’a jamais été aussi proche. Cela contaminera-t-il d’autres pays européens comme la France ? Rien n’est moins impossible.

18:55 Publié dans En Europe et ailleurs..., Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Arrestations de militants identitaires : a-t-on encore le droit de faire de la politique nationaliste en France ?

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Xavier Eman

Gérald Darmanin poursuit inlassablement sa politique de répression visant les mouvements patriotes, catholiques et identitaires. C’est d’ailleurs le seul domaine où il se montre efficace, et même implacable.

Le ministre de l’intérieur a ainsi demandé l’ouverture d’une enquête, sur la base de l’article 40, pour des soupçons de reconstitution de ligue dissoute. Suite à cette décision, 12 militants du mouvement « Argos » ont été interpellés et 4 sont actuellement recherchés. Leur crime ? Faire partie d’un groupe politique présentant des ressemblances avec « Génération Identitaire », mouvement (honteusement) dissout en mars 2021 en Conseil des ministres. Sur cette base, le ministre de l’intérieur a donc décidé de mobiliser d’importants moyens judiciaires et policiers pour organiser l’arrestation de ces militants patriotes.

Voilà quelles sont les priorités de nos autorités dans un pays qui croule sous la délinquance et la criminalité et où l’insécurité la plus barbare règne sur des pans entiers du territoire !

Revenons par ailleurs sur ces fameuses « ressemblances » qui valent à ces jeunes gens d’être traités comme des criminels. Selon une source proche du dossier, citée par BFM TV, le groupe « Argos » serait accusé « de poursuivre les mêmes buts » que le mouvement dissout. Quels buts ? S’opposer à l’immigration de masse ? Dénoncer les conséquences néfastes de celle-ci sur la société ? Défendre la culture et l’identité française et européenne ?

Mais ne sont-ce pas là les « buts » de toute structure nationaliste et patriote digne de ce nom ? Et dans ce cas la tentative de criminalisation d’Argos n’est-elle pas de facto une tentative d’interdiction de tout discours critique sur l’immigration et, au final, de tout engagement identitaire ?

C’est pourquoi ces nouvelles interpellations n’ont rien d’anecdotiques et que les patriotes, de tous âges et de toutes obédiences, auraient bien tort de s’en désintéresser au prétexte qu’elles ne concernent qu’un « groupuscule ». Car ce crescendo de répression n’est rien de moins que la remise en cause progressive des libertés politiques dans notre pays et ce glissement autoritaire pourrait bientôt atteindre des structures ou partis qui se croient aujourd’hui « à l’abri », à tel point qu’ils en viennent même parfois à hurler avec les loups. Calcul peu digne et fort dangereux car lorsque le « cordon sanitaire » ne suffit plus, on peut aisément le renforcer ou le remplacer par un « cordon judiciaire ».

Nos libertés fondamentales, de pensée et d’expression, ne peuvent pas être sacrifiées sur l’autel de considérations médiatiques ou électoralistes.

Le Nouveau Présent cliquez ici

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J’espère que Macron ne va pas commémorer le 19 mars 1962 !

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Manuel Gomez

Je veux espérer que le Président Macron ne prendra pas la décision de commémorer le 19 mars 1962, comme le fit en son temps François Hollande, et cela pour plaire au Président algérien Tebboune qui nous rendra visite, paraît-il, en septembre ou octobre.

Le 19 mars 1962 et les « Accords d’Évian » ne peuvent être considérés comme la fin de la guerre d’Algérie mais uniquement comme « le cessez-le-feu » de notre côté et non pas de celui de nos ennemis, le FLN et l’ALN qui, eux, ont poursuivi les enlèvements, les exécutions, les assassinats de civils innocents, de jeunes militaires, alors que nos forces armées restaient « l’arme au pied ».

Et surtout si ces commémorations sont proposées sous les conseils de ce soi-disant historien, Benjamin Stora.

Cette année la France pourrait à la rigueur fêtée le 62e anniversaire de « la fin de la guerre d’Algérie » mais non pas de « l’indépendance de l’Algérie », laissons ce souvenir aux Algériens, il ne nous concerne pas !

Il y aurait, paraît-il, un « dossier mémoriel » qui causerait bien des soucis au président de la République, Emmanuel Macron, et à son gouvernement. Qu’on le rassure, qu’on les rassure : « On s’en bat les « lucioles » de vos repentances mémorielles !

Après la méprisante « génuflexion » d’Emmanuel Macron, lors de sa déclaration (« La colonisation fut un crime contre l’humanité »), le président a beaucoup à se faire pardonner, bien que, en ce qui me concerne, il n’aura jamais « mon pardon » car, depuis son élection, lui et les siens n’ont jamais cessé de donner des gages de repentance aux Algériens :

- La responsabilité de l’armée française dans la mort du militant communiste Maurice Audin, complice de nos ennemis et traître à sa patrie.

- Les crimes inexcusables, comme lors de la manifestation du 17 octobre 1961, ce « mensonge d’État », cette mascarade organisée de toutes pièces par le Parti communiste en accord avec le FLN.

Jamais un mot, une seule parole, pour honorer les dizaines de milliers de victimes du FLN et de l’ALN depuis le 1er novembre 1954 et jusqu’en juillet 1962.

Nous n’attendons, ni ne souhaitons, aucune reconnaissance de l’État actuel, ni des précédents d’ailleurs. Le « conflit des mémoires » est le cadet de nos soucis.

Nous savons qui furent les responsables de cette première « fracture » entre la métropole et les départements d’Algérie, concernant l’envoi des « Appelés » du contingent afin de « défendre ces colons milliardaires » : Guy Mollet et son gouvernement socialiste.

Nous savons la responsabilité de la France de l’époque concernant la fusillade du 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger, ordonnée par le ministre de l’Intérieur Christian Fouchet, sur ordre de De Gaulle.

Nous savons la responsabilité de la France de l’époque concernant le « massacre des innocents » dans les semaines qui ont précédé et suivi ce 19 mars et jusqu’au 5 juillet 1962 à Oran et le déshonneur de l’armée française « aveugle et invisible » par ordre du général Katz et du chef de l’État !

Vos « repentances mémorielles » vous pouvez les ranger « où je pense », monsieur le président et messieurs les ministres, nous n’en n’avons que faire.

- Le président Abdelmajib Tebboune réclame à notre pays les « souvenirs » que nous avons conservé de l’émir Abd el-Kader. Ne serait-il pas souhaitable de lui rappeler que ce patriote algérien a découvert la France, après sa défaite, et l’a adoptée jusqu’à la servir et cela comme la majorité des millions d’Algériens qui ont fui l’Algérie (et sa République populaire mais certes pas démocratique) ces dernières décennies !

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Ukraine : entretien avec Alexei Pouchkov

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Il n’est pas un seul militaire digne de ce nom qui oserait affirmer que l’armée ukrainienne serait en mesure de bouter les Russes hors de la région du Donbas qu’elle occupe solidement. Alors que les Américains semble se retirer du jeu, que les Européens doutent de plus en plus – sauf minus Macron saisit d’ukrainie subite – et que l’on peut lire tout et n’importe quoi dans la presse, Valeurs actuelles a pris l’heureuse initiative  d’interroger Alexei Pouchkov, ancien président, entre autres, de la commission des Affaires étrangères de la Douma, pour faire le point et dresser un état des lieux à ce stade du conflit. Il est par ailleurs l’auteur d’un ouvrage, le Jeu russe sur l’échiquier global (OMD éditions).

Lire la suite ICI

Source : Valeurs actuelles, 14/03/2024

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Lancement d'une nouvelle revue catholique : "Caritas", la revue du Pays réel

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Saluons la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Le numéro 1 sera consacré à la lutte contre la haine anticatholique. Article d'Alain Escada.

Pour en savoir plus cliquez ici

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mercredi, 13 mars 2024

Les élections européennes du 9 juin prochain : quelques enseignements du dernier de sondage Ipsos.

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Cette enquête d’opinion réalisée du 1er au 6 mars pour Le Monde, le Cevipof, la Fondation Jean Jaurès et l’Institut Montaigne nous offre un aperçu de la situation et du rapport de force actuels, à trois mois des élections européennes (trois mois durant lesquels beaucoup de choses peuvent changer).

Premier enseignement : le taux de participation devrait se situer dans la moyenne (faible) des précédentes élections européennes : pour l’heure, seules 44% des personnes interrogées déclarent avoir l’intention d’aller voter. Pour rappel, en 2019, 50% des inscrits se sont rendus dans les bureaux de vote contre 42,4% en 2014 et 40,6% en 2009…

Deuxième enseignement : cette faible participation, si elle se confirme, promet de nouveau un nombre de suffrages exprimés des plus réduits : entre 40 et 42% des électeurs inscrits (ce qui, une fois de plus, devrait poser le problème de la représentativité des futurs élus, puisque 58 à 60% des inscrits n’auront pas voté pour eux).

Troisième enseignement : comme pour les élections précédentes, les 60 ans et plus apparaissent comme les plus disposés à se rendre aux urnes : 58% ont l’intention de voter (55% des 60-69 ans et 62% des 70 ans et plus), contre 29,5% des 18-34 ans (soit deux fois moins).

Quatrième enseignement : parmi les personnes déclarant être certaines d’aller voter et exprimant une intention de vote, 31% choisissent le RN, 18% la liste macroniste, 11,5% celle du PS, 8,5% celle des verts, 7% celle de LFI, 7 % celle de LR, 5% celle de Reconquête, 3,5% celle du PCF et 2,5% celle de Debout la France…

Cinquième enseignement : parmi ces mêmes personnes déclarant être certaines d’aller voter et exprimant une intention de vote, 32% choisissent une liste clairement située à gauche ou à l’extrême gauche, 18% optent pour la liste macroniste et 46,5% pour une liste située en principe à droite (RN compris)…

Sixième enseignement : parmi les 18-24 ans déclarant être certains d’aller voter et exprimant une intention de vote, plus de la moitié (52%) choisissent une liste de gauche ou d’extrême gauche (35% se prononçant pour les verts et LFI ; 15% pour le PS et le PCF…), 31% optent pour le RN (faisant de sa liste la première dans cette classe d’âges), 6% se tournent vers LR, 4% choisissent la liste macroniste et 3% celle de Reconquête…

Septième enseignement : parmi les 18-34 ans déclarant être certains d’aller voter et exprimant une intention de vote, 45% se prononcent en faveur d’une liste de gauche et d’extrême gauche (29% pour les verts et LFI), 32,5% choisissent le RN, 8,5% la liste macroniste, 4,5% celle de LR et 3% celle de Reconquête…

Huitième enseignement : parmi les 60 ans et plus déclarant être certains d’aller voter et exprimant une intention de vote, 27% se prononcent en faveur d’une liste de gauche et d’extrême gauche (dont la moitié pour celle du PS), 27,5% choisissent le RN, 24% la liste macroniste, 9% celle de LR et 5,5% celle de Reconquête…

Neuvième enseignement : la liste RN réalise ses meilleurs scores parmi les 25-59 ans (35,5% en moyenne, contre 31% des 18-24 ans et 27,5% des 60 ans et plus), et parmi les ouvriers et les employés (50,5% en moyenne, contre 23,5% des cadres et des professions intermédiaires). En revanche, la liste Reconquête réalise ses meilleurs scores parmi les 50 ans et plus (5,5% en moyenne, contre 3% des 18-49 ans) et attire la même proportion (à peu près) de cadres, de professions intermédiaires, d’employés ou d’ouvriers (5% en moyenne pour les deux premières catégories, contre 4% en moyenne pour les deux dernières).

Dixième enseignement : la liste RN attire 58% des ouvriers déclarant être certains d’aller voter et exprimant une intention de vote ; ce qui, pour cette catégorie socio-professionnelle, la place loin devant celles des macronistes, des verts (7% des ouvriers chacune), de LFI (6%), du PS (5%) ou de Reconquête (4%)…

Onzième enseignement : la liste Reconquête attire deux fois plus d’ouvriers et d’employés (4%) que celles du PCF et de Lutte ouvrière (2% chacune en moyenne).

Douzième enseignement : un peu plus d’un quart (26%) des retraités déclarant être certains d’aller voter et exprimant une intention de vote choisissent le RN ; un deuxième quart opte pour Macron ; et un troisième pour le PS et l’extrême gauche (les verts, LFI, le PCF) ; 10% choisissent LR ; et 6% Reconquête…

En conclusion : pour les nationaux et nationalistes, le 9 juin, une seule liste, celle de Reconquête menée par Marion Maréchal !

En matière d’élection, comme en tout autre matière d’ailleurs, la macronie aime aller au plus facile. Son conformisme bien-pensant, son manque d’imagination et de courage la portent naturellement à se tourner vers les vieilles recettes, même les plus éculées. À trois mois des prochaines élections européennes, la voici donc qui, une nouvelle fois, déploie la tactique en deux temps à laquelle elle a déjà eu recours à l’occasion des précédents scrutins.

  1. Elle s’emploie à imposer l’idée que tout se joue entre elle-même et le RN.

  2. Elle s’efforce de « rediaboliser » ce dernier.

L’objectif de la manœuvre est clair. D’une part, provoquer un réflexe de « vote utile » en faveur des deux adversaires présentés comme étant les « principaux », afin de marginaliser tous les autres. D’autre part, susciter la peur dans une partie de l’électorat, avec l’espoir de se renforcer au détriment du parti de Marine Le Pen et de Jordan Bardella… La ficelle est un peu grosse mais puisqu’elle a déjà servi avec succès pourquoi ne pas nous en remettre une couche…

Pour notre part, nous ne marchons pas ! Les européennes sont en effet des élections à un seul tour, au scrutin de listes à la proportionnelle (à la plus forte moyenne). Ce qui signifie que la notion de « vote utile » n’a ici aucun sens. À condition de franchir la barre des 5%, toutes les voix obtenues permettent d’avoir des élus et donc de faire représenter ses idées au sein du Parlement européen. Il ne s’agit donc pas de voter pour la liste qui paraît la mieux placer face à celles que l’on veut contrecarrer mais de voter pour ses idées, pour la liste qui les incarne le mieux, c’est-à-dire, en ce qui concerne les nationaux et les nationalistes, pour celle de Reconquête menée par Marion Maréchal !

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19:18 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La dernière Darmarinade : 14 anciens militants de Génération Identitaire arrêtés !

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Lucette Jeanpierre Riposte laïque cliquez là

Gérald Darmanin, dit Moussa, aurait-il mal supporté que nos amis des Bobards d’Or se soient payé sa tête en le récompensant pour la brillante saison qu’il nous a faite, depuis les supporters anglais du Stade de France et les Kevin et Mattéo des émeutes, sans oublier d’autres exploits et notamment son épouvantable bilan, pour les Français, qu’il est payé pour protéger ?

Les amis de Jean-Yves Le Gallou ont donc inventé le mot “Darmarinade” pour évoquer les prouesses de Moussa. Celui-ci vient de justifier ce nouveau qualificatif en faisant arrêter quatorze anciens membres de Génération Identitaire, à Paris, à Lyon et en Savoie. Cliquez ici

Ont-ils attaqué des policiers, ou des adversaires politiques, comme le font régulièrement les gauchistes ? Ont-ils menacé de commettre des attentats, comme le font régulièrement les islamistes ? Ont-ils saccagé un centre-ville, comme le font systématiquement les casseurs de gauche, en toute impunité ? Ont-ils menacé la tenue des Jeux olympiques prochains ? C’est encore plus grave. Ils sont accusés de reconstitution d’association dissoute, rien de moins. Quelques-uns auraient créé une association, l’Argos, qui entre autres est allée apporter son soutien à Cherbourg à une jeune Française, Mégane, sauvagement violée avec un manche à balai par Oumar, une Chance pour la France multirécidiviste.

On parle également – mais cela n’est pas confirmé à cette heure – d’autres militants d’une association, l’Asla, qui soutient les lanceurs d’alerte. Faut-il rappeler que la dissolution, honteuse et scandaleuse, de Génération Identitaire, n’a été justifiée par aucune violence, mais qu’il est tout simplement reproché à ces militants d’aimer leur pays, de défendre ses frontières et de réclamer que les droits sociaux soient réservés en priorité aux Français. Dans cet esprit, ils ont dénoncé SOS Méditerranée et l’invasion sauvage organisée dans notre pays et dans toute l’Europe, et l’impunité du racisme anti-blanc. Il paraît que tout cela constitue un délit qui vous classe en dehors des valeurs de la République, et mérite, sous le règne de Macron et de Moussa, la dissolution.

Faut-il rappeler le contexte dans laquelle ces opérations de basse police se déroulent ? Nous sommes à quelques mois des Jeux olympiques, qui inquiètent de plus en plus, par les risques qu’ils comportent, et la légèreté de l’homme de Beauvau, selon de nombreux spécialistes. Dans le dernier Journal du Dimanche, des policiers s’inquiétaient notamment du recrutement de certains réservistes qui ont davantage un profil de terroriste que de policier ! On pourrait penser que l’ensemble des forces de police, dans ce contexte, est mobilisé pour surveiller les islamistes et les gauchistes, les seuls fauteurs de troubles possibles. Nous avons la preuve qu’il n’en est rien. Combien de policiers ont-ils été mobilisés pour écouter ces jeunes patriotes, les suivre, les surveiller, et finalement les arrêter ? Autant d’heures qui n’auront pas été utilisées contre les islamistes ! C’est tout simplement criminel, c’est de la non-assistance à peuple français en danger.

Depuis un an, Darmanin a accéléré la répression contre la mouvance patriote et identitaire. Au lendemain d’une manifestation en hommage à un militant nationaliste, Sébastien Deyzieu, Darmanin, sous la pression de la gauche, a sorti une circulaire liberticide, ordonnant à ses préfets d’interdire tout rassemblement “incitant à la haine”. Avec une telle circulaire, les rassemblements de Callac, Saint-Brevin, Bélâbre, Beyssenac, La Roche-sur-Yon et autres n’auraient jamais eu lieu.

Les décisions les plus invraisemblables, prenant des libertés avec l’État de droit dont ils se réclament, ont été prises. Des manifestations ont été interdites, comme celle de l’Action française, mais à chaque fois, le tribunal administratif désavoue le pouvoir, qui remet en cause un droit fondamental des libertés publiques, celui de se réunir, et de manifester. Mais il faut pour les associations financer un référé, qui coûte cher. On a même interdit à l’Iliade d’honorer, dans un lieu privé, la mémoire de Dominique Venner.

Darmanin a ensuite multiplié les dissolutions, avec des prétextes grotesques. Civitas s’est vu reprocher une phrase tenue par Pierre Hillard, qui n’est même pas membre de cette association, et se voit dissous en conseil des ministres pour antisémitisme, rien de moins ! Quand on entend les propos des députés Insoumis, de NPA et des pro-palestiniens qui, en toute impunité, comparent Israël à l’Allemagne nazie, on mesure encore plus le côté arbitraire d’une telle décision.

Comme si cela ne suffisait pas, c’est ensuite une association sans histoire, Academia Christiana, que Moussa, veut dissoudre. Cela se déroule dans un contexte où ce régime harcèle CNews, et où une commission parlementaire digne des procès de Moscou, impulsée par les Insoumis, a sommé la chaîne de rentrer dans l’ordre. Une quarantaine de jeunes ont voulu rendre hommage à Brasillach, ils ont passé 24 heures en garde à vue, et 48 heures pour celui présenté comme leur chef, Marc de Cacqueray-Valmenier. Notre site croule sous les plaintes (12 procès en attente), un de nos contributeurs, Charles Demassieux, a été placé à deux reprises en garde à vue, avec son matériel informatique espionné, tandis que notre fondateur, Pierre Cassen, a subi sa deuxième perquisition en sept ans, avec confiscation de tout son matériel informatique et téléphonique. Notre fondateur craint un coup tordu du pouvoir, et pense qu’il veut en finir par tous les moyens avec notre site. Rose Martin vient de prendre une plainte de la part du procureur de Rennes, Astruc, et d’un maire écolo, qui ont organisé une lecture pour enfants dans une bibliothèque municipale, effectuée par des drag queens. De jeunes militants identitaires de Rennes ont organisé une protestation pacifique. Le responsable a été condamné à 4 mois de prison ferme simplement pour avoir fait un discours expliquant pourquoi il était en désaccord avec l’attitude de la municipalité. Le procureur Astruc – encore lui – qui a la réputation d’un grand laxisme avec les racailles, en réclamait six ! Nos amis de Polemia ont dû changer de salle pour pouvoir tenir leur 15e Bobards d’Or, sous la pression du maire socialiste de Paris, soutenu par le sénateur communiste Ian Brossat. Et nos députés n’ont rien trouvé de mieux que de voter une loi qui criminalisera tout propos privé jugé haineux ! Sans oublier que Pierre Cassen vient d’être condamné, même avec du sursis, de manière ridicule… pour avoir donné des conseils de féminité à une avocate gauchiste, présidente de la LDH de Montpellier.

Voilà la France dans laquelle Darmanin nous entraîne tous les jours un peu plus. Des intimidations, des arrestations, des dissolutions, des perquisitions qui n’ont qu’un but : faire taire par tous les moyens la mouvance patriote et identitaire, quand les racailles et les migrants terrorisent les Français et multiplient les agressions et que les milices gauchistes, bras armés du régime, agissent en toute impunité, protégés par Darmanin.

Bien évidemment, chaque patriote doit apporter toute sa solidarité et tout son soutien aux militants politiques harcelés et pourchassés par ce régime de plus en plus totalitaire.

Le dossier de Darmanin s’alourdit passablement et le jour où il va passer devant un tribunal pour rendre des comptes sur son action au ministère de l’Intérieur, on lui souhaite de prendre de bons avocats. Et Dupond-Moretti ne sera pas disponible, car il sera dans le box avec lui, et beaucoup d’autres.

Pour informations sur le liberticide Darmanin :

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Samedi 6 avril, à Dunkerque : banquet de la Fédération du Nord du Parti de la France

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Samedi 6 avril, le Parti de la France organise un repas militant à Dunkerque (59) en présence de Thomas Joly, Président du Parti de la France, Maxime Leroy, Délégué régional du PdF, et Victor Jan de Lagillardaie, membre du Bureau politique du PdF.
 
Au menu : Welsh/Carbonade/Brioche perdue. PAF : 36 €.
Inscription obligatoire : pdfdunkerqueflandre@gmail.com
 
RAPPEL :

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mardi, 12 mars 2024

Général Harald Kujat à Berlin sur la guerre en Ukraine et le changement géopolitique

Peu avant le début de la Conférence de sécurité de Munich (MSC), l'ancien Inspecteur général de la Bundeswehr et président du Comité militaire de l'OTAN, Harald Kujat, a donné une conférence très suivie sur le thème : "La guerre en Ukraine, la rivalité des grandes puissances et l'affirmation de soi de l'Europe". L'invitation avait été lancée par le think tank "Eurasien Gesellschaft", qui se consacre, selon sa propre présentation, à une "coexistence pacifique et à des relations coopératives entre les pays de l'Eurasie".

Les NachDenkSeiten (Les sites critiques) étaient présents et ont filmé la conférence. Kujat, dans son discours, en plus d'une analyse complète de la situation militaire actuelle dans la guerre en Ukraine, a abordé des approches possibles de solutions, a regardé au-delà du cadre occidental-transatlantique et a également analysé le changement actuel vers un ordre mondial multipolaire ainsi que l'incapacité actuelle des élites européennes à s'adapter à ce changement.

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Avortement et euthanasie : Macron est devenu le croque-mort de la république

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Communiqué de Yann BALY, Président de Chrétienté-Solidarité

La cire ayant servi à sceller l’avortement dans la Constitution est à peine sèche que Macron-Néron annonce pour avril une loi visant à instaurer l’euthanasie et le suicide légal.

Plutôt que de mettre en place une véritable politique familiale et un vaste plan d’aide pour les mères isolées et en difficultés, la république macronienne, avec la complicité active des « oppositions » a inscrit le droit de tuer un enfant dans le ventre de sa mère comme norme suprême.

Au lieu de s’occuper sérieusement de notre système de santé en perdition et spécialement de développer, sur l’ensemble du territoire, les unités de soins palliatifs dont notre pays manque cruellement, les mêmes s’apprêtent à voter une loi qui réglera le problème des patients incurables par la mort chimiquement imposée.

Macron est devenu le croque-mort de la république. De panthéonisation en scellement constitutionnel, par ses gestes, son regard noir, ses tenues, il joue parfaitement et avec délectation ce rôle de garçon de chambre mortuaire.

Feu La République en Marche est devenue un corbillard et Renaissance un rassemblement de franche camaraderie.

Pour ces prochaines échéances mortifères, Macron sait qu’il pourra compter sur les oppositions fantoches qui, elles aussi, ont oublié le goût de la liberté et de la vie. Quand on a une opposition comme cela, on n’a vraiment pas besoin de majorité !

Puisse le peuple français se réveiller et sortir de ce cauchemar qui le mène à sa perte.

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Michel Onfray parle de l'Europe

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Soyez rassurés, la macronie trouve des solutions...

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11:30 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Politique Tyrannie républicaine. Bientôt la Police à votre domicile et une amende pour une blague jugée raciste en privé ?

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Mathieu Lefevre, député #Renaissance du 94 : grâce à sa proposition de loi adoptée à l’unanimité de l’Assemblée nationale vous pouvez aller en PRISON ou être soumis à RÉÉDUCATION pour une simple BLAGUE prononcée en PRIVÉ (si elle est présumée raciste, homophobe ou islamophobe)

Jean-Yves Le Gallou

 

Source Breizh Info cliquez ici

Les députés qui font les lois à l’Assemblée nationale ont été élus par une minorité de Français. Mais ils s’appliquent, à grande vitesse, à tricoter un arsenal de lois toutes aussi folles les unes que les autres. Dernier exemple en date de tyrannie républicaine, l’adoption, en première lecture (avant passage au Sénat donc), d’une « PROPOSITION DE LOI visant à renforcer la réponse pénale contre les infractions à caractère raciste, antisémite ou discriminatoire »

Une proposition de loi déposée par le député Mathieu Lefèvre, député Renaissance de la 5ème circonscription du Val de Marne. Elu en 2022 avec 23 010 voix (sur 90 000 inscrits sur les listes électorales dans la circonscription, c’est à dire en réalité qu’il peut voter et faire voter des lois en ne représentant que moins d’un quart des électeurs de sa circonscription, selon la loi républicaine française).

Il s’agit de modifier le code pénal, et notamment le chapitre V du titre II du livre II en créant un une section 3 ter ainsi rédigée : « Section 3 ter « Des provocations, diffamations et injures non publiques présentant un caractère raciste ou discriminatoire « Art. 225-16-4. – La provocation non publique à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée est punie d’une amende de 3 750 euros. « Est punie de la même peine la provocation non publique à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, vraie ou supposée, ou de leur handicap ainsi que la provocation non publique, à l’égard de ces mêmes personnes, aux discriminations prévues aux articles 225-2 et 432-7. « Lorsque les faits mentionnés aux premier et deuxième alinéas du présent article sont commis par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, les peines sont portées à un an d’emprisonnement et à 15 000 euros d’amende. « Art. 225-16-5. – La diffamation non publique commise envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie,          Commenté [Lois1]: amdt n° 1 – 3 – une nation, une prétendue race ou une religion déterminée est punie d’une amende de 3 750 euros. « Est punie de la même peine la diffamation non publique commise envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, vraie ou supposée, ou de leur handicap. « Lorsque les faits mentionnés aux premier et deuxième alinéas sont commis par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, les peines sont portées à un an d’emprisonnement et à 15 000 euros d’amende. « Art. 225-16-6. – L’injure non publique commise envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée est punie d’une amende de 3 750 euros. « Est punie de la même peine l’injure non publique commise envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, vraie ou supposée, ou de leur handicap. « Lorsque les faits mentionnés aux premier et deuxième alinéas sont commis par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, les peines sont portées à un an d’emprisonnement et à 15 000 euros d’amende.

Vous ne rêvez pas. Avec cette proposition de loi, une simple blague raciste, en privé, chez vous, ou un propos jugé « offensant » ou « discriminatoire » par votre neveu en crise d’adolescence, pourrait vous valoir amende, et condamnation (et même prison si vous êtes dépositaire de l’autorité publique).

Nous fournirons bien entendu la liste, dès que nous l’aurons, de tous les députés qui se sont prononcés en faveur de cette disposition, une de plus, qui vise à pénétrer jusque dans vos foyers. En espérant que le Sénat soit un peu courageux désormais.

Nous reproduisons ici le fil Twitter de Xavier Van Lierde, journaliste à Radio Courtoisie, qui décrypte l’incroyable mécanisme liberticide derrière cette loi.

Je me suis infligé de regarder la séance de l’Assemblée nationale consacrée à l’examen de la loi proposant de faire des propos privés jugés discriminatoires, un délit. C’est un spectacle éprouvant tant il révèle la dérive liberticide et totalitaire de notre société.

1. TOTALITARISME
Pas un député pour s’inquiéter de l’extension du délit d’opinion à la sphère privée, alors que l’abolition de la frontière entre public et privé caractérise le totalitarisme. Preuve de cette dimension totalitaire, ces délits seront instruits sur… “délation” !

2. VERS LE TOUT DISCRIMINATOIRE
Pour faire passer en douce ce projet totalitaire, les députés mettent en avant la hausse de l’antisémitisme. Mais la loi vise en fait tous les propos prétendument discriminatoires : par exemple, les propos relatifs à l’orientation sexuelle.

3. EXEMPLE CONCRET
Un parent qui argumente en famille contre la “transition de genre” de son enfant au motif qu’un être humain ne peut changer de sexe pourra-t-il demain être poursuivi pour “propos discriminatoire” par l’association LGBT qui tient son enfant sous son emprise ?

4. POLICE DE LA PENSÉE
Comme les précédentes lois anti-discriminations, celle-ci ne vise pas seulement les “actes” mais les “propos”.
La conséquence inévitable est l’instauration d’une “police de le pensée” chargée de traquer les propos divergents jusque dans la sphère privée.

5. VERS UNE EXTENSION À TOUS LES SUJETS DE CONTROVERSE ?
Dès lors que cette intrusion dans la sphère privée sera validée, pourquoi ne s’étendrait-elle pas à d’autres sujets de controverses. Au hasard : les politiques sanitaires, les questions climatiques, géopolitiques…

6. CONCLUSION
Quelles que soient ses intentions (chaque député y mettra les siennes), cette loi enclenche une effroyable mécanique liberticide et totalitaire que tous les amoureux de la pensée libre devraient combattre de toutes leurs forces. On peut (encore) rêver…

 

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lundi, 11 mars 2024

Portugal :  La droite de conviction en très forte hausse

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Michel Festivi 

La droite de conviction a très largement augmenté ses résultats d’hier soir dans le cadre d’élections législatives anticipées. En 2022 Chega (assez en portugais) avait réalisé une percée avec 7,2% et 12 députés. Cette fois ci avec plus de 18% il obtient 48 sièges ce qui est considérable dans une assemblée composée de 230 députés la majorité étant fixée à 116 sièges. Cela est d’autant plus méritoire que cette formation politique est très récente.

André Ventura (en photo ci-dessus) le patron de cette droite forte et de conviction peut jubiler il obtient 10 points de plus et 36 députés de plus.

Toutes les autres formations ont subi d’une manière ou d’une autre un revers. Les socialistes d’abord empêtrés dans une affaire de corruption à l’origine de ces élections anticipées. Le PS portugais qui avait obtenu la majorité absolue en 2022 perd 43 députés et près de 14 points.

Le conglomérat du centre ensuite, l’alliance démocratique, même si elle devient le premier parti au parlement elle obtient seulement 79 sièges deux de plus seulement que les socialistes et ne pourra pas réunir même avec les libéraux de majorité absolue.

Luis Montenegro le chef de cette alliance démocratique s’est déjà tiré une balle dans le pied en annonçant il y a quelques semaines que jamais il ne s’associerait avec Chega. Décidément même au Portugal la droite molle reste la plus bête du monde. En 2015 les socialistes n’avaient pas hésité eux à s’associer avec les communistes et les extrêmes pour gouverner alors qu’ils étaient arrivés en seconde position.

L’important reste le score de Chega. Les sondages ne lui donnait pas plus de 16% au maximum , il a battu ces prédictions. Il faut dire que l’insécurité et l’immigration massive favorisées par huit années consécutives de gouvernement socialiste ont joué en sa faveur. Il devient l’arbitre de la situation politique désormais.

Le Portugal, il y a cinquante ans avait failli passer dans le camp communiste, suite à la révolution dite des œillets, bien mal nommée, c’était plutôt la révolution de la faucille et du marteau.

Ce résultat est une très bonne nouvelle et espérons qu’il anticipe un très bon score de toutes les droites de conviction en Europe le 9 juin prochain. C’est le souhait que l’on peut, que l’on doit former. Le Portugal semble se réveiller, gageons que cela se généralise.

À propos du Portugal, pour information :

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dimanche, 10 mars 2024

Le magnifique meeting de Marion Maréchal à Paris ce dimanche après-midi

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Journal du chaos

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samedi, 09 mars 2024

RAPPEL : DEMAIN DIMANCHE, AU PALAIS DES SPORTS...

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Dimanche 7 avril, à Combourg (35) : grand Banquet du Parti de la France (Bretagne) avec Pierre Cassen, Roland Hélie et Pierre-Nicolas Nups

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