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samedi, 05 juillet 2025

Saga Le Pen : la tante règle ses comptes avec la nièce

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L'édito de Cyrano sur Riposte laïque cliquez là

Nous sommes à moins d’un an des élections municipales, où la plupart des grandes villes sont tenues par la gauche, avec des maires qui ont su rassembler l’ensemble des partis de ce courant et donner des postes, donc à manger, à tout le monde. Cela s’appelle l’Union de la Gauche, le Cercle républicain, la digue antifasciste ou tout autre habillage qui justifie que des partis qui passent leur vie à s’insulter savent se regrouper pour gagner des élections et sauver leurs appareils.

Chacun espère, dans ce contexte, que les grandes villes, mais aussi les villes moyennes, voire les petites communes tenues par la gauche, vont voir, dans un élan unitaire, toute la famille patriote se regrouper, faire des listes communes et préparer ainsi une démarche rassembleuse pour 2027.

C’est ainsi que cela devrait se passer. Chacun, du RN, de Reconquête, de l’UDR (Ciotti), de IDL (Marion), des Patriotes, devrait se mettre autour d’une table, regarder ensemble les villes gagnables et élaborer une stratégie efficace, en se mettant d’accord de manière équitable, en fonction du rapport de forces local et national, pour désigner une tête de liste. Charge à lui ensuite de rassembler les équipes sur le terrain pour dégager les nuisibles de gauche.

Hélas, on est loin du compte. Nul n’a oublié qu’au lendemain du premier tour des législatives de 2022, le RN a refusé toute alliance avec Reconquête, quand la gauche créait la Nupes ou le Nouveau Front Populaire. La priorité de Marine paraissait davantage d’éliminer définitivement le parti d’Éric Zemmour que de gagner les élections. Même stratégie en 2024, alors que, dans le même temps, Reconquête appelait à voter RN au deuxième tour.

En 2024, il y eut la scission violente entre Reconquête et Marion Maréchal. Celle-ci, promue tête de liste pour les européennes, paraissait miser sur cette élection pour se placer en rivale d’Éric Zemmour pour 2027, et, forte de sa popularité, de postuler pour la candidature. C’est à ce moment que Sarah Knafo est sortie du bois, avec le brio qu’on a découvert, et qu’à présent elle est devenue une interlocutrice incontournable de la scène politique et médiatique.

Marion, entre les deux tours, s’était vantée, suite à une rencontre avec sa tante et Jordan Bardella, d’être porteuse d’un accord national entre le RN et R!, avec 60 postes de députés réservés, à une condition : dégager Éric Zemmour. On sait ce qu’il advint : la tante avait manigancé un traquenard machiavélique à la nièce, et le lendemain, les propositions de la veille avaient disparu. Marion n’eut droit qu’à deux ou trois strapontins pour ses proches, et rien de plus. Bien sûr, la scission n’en fut que plus violente.

Depuis, la nièce a multiplié les signes de ralliement en direction de la tante, et on pouvait penser qu’à l’occasion de la première échéance électorale, en l’occurrence les municipales, un rapprochement serait officialisé. C’est ce qu’espérait Marion, qui avait proposé douze communes où des candidats d’Identité-Libertés seraient têtes de listes. Elle espérait un soutien du RN et s’engageait, en contre-partie, à soutenir les listes menées par le parti de Marine et Jordan. Et patatras, la tante a claqué la porte au visage de la nièce, provoquant des articles de bonne qualité commentant l’événement.

Lire aussi :

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Le message est hélas fort clair. Le RN ne veut d’alliance qu’avec Éric Ciotti, qui a un groupe parlementaire et fonctionne main dans la main, à l’Assemblée nationale, avec Marine Le Pen. Il ne veut pas entendre parler de Marion et encore moins de Reconquête. C’est pathétique, mais c’est ainsi.

La tante, contrairement à son père qui savait pardonner, a la rancune tenace contre sa nièce. Espérons que ce côté revanchard, que certains qualifieront de sectaire, n’amènera pas le RN à se comporter comme à Tarascon en 2020. Rappelons que pour punir Valérie Laupies, coupable d’avoir critiqué vertement la présidente du RN au lendemain du débat raté de 2017, l’état-major du RN avait envoyé un parachuté qui n’avait qu’une mission : faire perdre Valérie Laupies en lui collant une triangulaire, et sauver la mairie tenue par un LR. Objectif par ailleurs atteint !

Devant un tel spectacle, la gauche, qui finira par s’allier entre les deux tours, doit bien se marrer…

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Les 85 ans du massacre de Mers-el-Kébir

3 juillet 1940 - Attaque de Mers el-Kébir - Herodote.net

Maurice Bernard

Chaque 3 juillet (c’était il y a deux jours) représente un jour de deuil pour la France et sa marine. Le 3 juillet 1940, en effet, douze jours après la signature de l’armistice du 22 juin, sur ordre du Premier ministre Winston Churchill, une escadre britannique a attaqué les bâtiments français au mouillage à Mers-el-Kébir, dans la rade d’Oran.

En fait, ce qui se passe ce jour-là, devant les côtes de l’Algérie française, est un nouvel exemple d’une vieille habitude de la "perfide Albion". Faisons un saut rapide dans l’histoire… En août 1807, la Grande-Bretagne exige du royaume du Danemark qu’il lui livre sa flotte afin que l’empereur Napoléon ne puisse l’utiliser. Début septembre, devant le refus des Danois, l’escadre envoyée devant Copenhague bombarde la ville durant quatre jours. Finalement, les Anglais repartent avec une soixantaine de bâtiments danois, dont 18 vaisseaux de ligne. Cet épisode largement méconnu est à l’origine d’une expression : « Copenhaguer une flotte ».

Cent trente-trois ans plus tard, rebelote : le 3 juillet 1940, les Anglais entreprennent, avec l’opération Catapult, de "copenhaguer" les éléments de la flotte française qui se trouvent à leur portée. La raison officielle : éviter qu’ils ne tombent entre les mains des Allemands. Le point d’orgue : l’attaque de Mers-el-Kébir où, pourtant, ne se trouvent que 4% des bâtiments tricolores de l’époque. L’affaire est rapide mais sanglante. Après seulement treize minutes de bombardement, on dénombre en effet 1 300 morts français (dont 70% sont des Bretons) et 300 blessés.

Ces victimes des tirs britanniques de Mers-el-Kébir représentent tout de même 53% de l’ensemble des pertes de la marine française enregistrées entre septembre 1939 et juillet 1940 !

Pour finir cette évocation, il n’est pas inutile de rappeler un autre événement qui concerne directement ces 1 300 morts français.

De 1962 (année de l’indépendance de l’Algérie) à la fin des années 1990, le cimetière militaire où ils reposent a été entretenu par l'armée algérienne. Mais avec la guerre civile (entre le pouvoir militaire et les islamistes) qui a ensanglanté le pays durant les années 1990, le lieu a été laissé à l'abandon. Résultat : à la fin de cette décennie terrible, les premières dégradations ont été constatées et en avril 2005, des visiteurs de passage ont découvert un cimetière entièrement profané : croix martelées et brisées, plaques de cuivre portant les noms des défunts arrachées, ossuaire à ciel ouvert, ossements piétinés et mélangés à des gravats (cliquez ici)...

Durant la seconde moitié de l’année 2006, alors que Michèle Alliot-Marie était ministre de la Défense, les autorités françaises ont fait restaurer la nécropole… en veillant à la rendre la plus discrète possible afin de ne pas heurter la "sensibilité islamique à fleur de peau" de leurs "amis" algériens. Les croix blanche de naguère ont donc été remplacées par « de petites stèles discrètes » (site du ministère des Armées, juin 2014), en principe « inviolables », et ne comportant qu’une minuscule plaque d’identité accompagnée d’une croix encore plus minuscule…

Décidément, la culture de la mauvaise conscience et du repentir ne mène qu’à la lâcheté et à la soumission.

La profanation du cimetière de Mers-el-Kébir

Une partie du cimetière en 2005...

 

Pour en savoir plus...

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Eric Zemmour relaxé par le Tribunal de Paris

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Un communiqué de Eric Zemmour :

Mercredi 2 juillet, j'ai été relaxé par le tribunal de Paris : la justice a dû reconnaître mon innocence.

La justice a reconnu que mes propositions sur le lien entre immigration et délinquance ne concernaient ni de la haine, ni de l'appel à la haine. Ils relevaient d'un constat, que je partage avec des millions de Français. Un constat que tout le monde peut voir… mais que presque personne n'ose dire.

La vérité et le réel finissent toujours par gagner et s'imposent même à la justice. N'ayez plus peur de crier que : oui, il y a un lien entre l'immigration et la délinquance !

Depuis des années, je suis poursuivi, harcelé, pour ce que je dis. Parce que je nomme les choses. Parce que je refuse les euphémismes. Parce que je dis la vérité .

Cette décision du tribunal est une victoire pour la liberté d'expression. C'est aussi une victoire pour tous ceux qui refusent la censure des réalités.

À ceux qui veulent m'intimider, je réponds simplement : je ne reculerai jamais.

Je continuerai à dire ce que je vois (...). Vive la vérité. Vive la France !

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Un nouveau numéro du magazine Frontières

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Journal du chaos

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vendredi, 04 juillet 2025

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Comme l’Oncle Sam en Hexagone

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol 

On doit à Yannick Sauveur une excellente biographie de son ami Jean Thiriart parue en 2016 chez Pardès dans la collection « Qui suis-je ? ». Ce proche du fondateur de Jeune Europe a cependant commencé son militantisme aux débuts des années 1970 dans les rangs solidaristes. Il vient de publier une enquête très étayée et un réquisitoire solide sur un mal qui ravage la France.

L’américanisation de la société française. Acculturation et perte d’identité (L’Æncre, coll. « Nouveaux enjeux du XXIe siècle », 2025, 310 p., 35 €) met en lumière une tendance inquiétante qui atteint tout l’Hexagone. Les Français se rêvent de plus en plus en Texans de la Seine, en Californiens du Rhin, en Floridiens de la Garonne, en New Yorkais de la Loire et en Chicagoans du Rhône. Ce phénomène, particulièrement prégnant, est fort ancien. Il se manifeste à travers divers canaux de propagation dont ceux de la culture dite populaire : le cinématographe, la variété musicale, le roman et la bande dessinée.

Yannick Sauveur rappelle l’intervention primordiale de la CIA en matière culturelle afin de mieux façonner les « élites » d’Europe occidentale. Ainsi la construction européenne s’opère-t-elle dès le départ sous la tutelle implicite – mais réelle – des États-Unis d’Amérique ! Sous le prétexte facile de contrer la menace communiste soviétique, écrivains, journalistes et essayistes de renom s’engagent volontiers dans la promotion de l’atlantisme, de l’occidentalisme et du mondialisme sans toujours en connaître les aboutissements !

Déjà dénoncée en son temps par Régis Debray dans Civilisation. Comment nous sommes devenus américains (2017) et L’Édit de Caracalla. Ou plaidoyer pour les États-Unis d’Occident (2002), l’américanisation ne se limite pas au haut de la société; elle se diffuse partout, y compris et surtout dans les zones rurales où prolifèrent festivals, clubs et fêtes locales de country music chaque fin de semaine. La langue de Molière est sérieusement touchée par cette mode détestable. Par la faute du Conseil constitutionnel présidé par le délétère Robert Badinter, la loi Toubon de 1994 ne s’applique pas (ou si peu). On ne traduit plus les titres des films ! Une flopée d’anglicismes (« expérimentation », « létal » ou « dispatcher ») métastase le français courant. Maintes enseignes – et pas seulement les salons de coiffure ! – emploient des termes angloïdes, c’est-à-dire un sabir bâtard qui n’est finalement qu’un globish lamentable. Le grand remplacement n’est pas démographique; il est aussi linguistique.

L’Union dite européenne est en pointe dans cette invasion insidieuse. Malgré le Brexit, l’unique langue (officieuse) de travail de la Commission et du fumeux Parlement demeure l’anglais par la faute des responsables français qui, à partir de 1974, ont renoncé à soutenir leur propre langue. Mais est-ce si surprenant quand Yannick Sauveur rapporte que cette politogenèse soi-disant européenne est de confection étatsunienne et que de nombreux politiciens et politiciennes hexagonaux en tant que Young Leaders de la French American Foundation servent de relais majeurs d’influence étrangère ? Par ailleurs, l’entité terroriste planétaire appelée OTAN renforce l’intégration des États d’Europe dans une matrice occidentale cosmopolite.

On connaît bien maintenant les connexions entre les cénacles mondialistes et les instances de l’État profond US. Certes, il n’y a jamais une identité complète de vue, de projet et d’ambition entre eux. Toutefois, il importe de prendre en compte qu’en-dehors du courant isolationniste qui récuse souvent l’Ancien Monde s’affrontent une tendance hégémoniste pour qui les États-Unis doivent assumer seuls la direction politique du monde, quitte à s’emparer de nouvelles terres, et une faction globaliste chez qui l’expansion du modèle étatsunien doit susciter l’arasement total des cultures, des peuples et des nations. Pour ce dernier groupe, l’occidentalisation, l’américanisation et la mondialisation ne sont pas les étapes successives d’un seul et même procédé, mais les manifestations parfois simultanées d’une procédure d’homogénéisation de très longue durée.

Tel un déluge ou un raz-de-marée gigantesque, l’américanisation se retrouve partout, des arts dont l’art contemporain en est le fer de lance à la gastronomie. À la pause – déjeuner de Midi, le burger remplace le sandwich ! Quant aux divertissements, Disneyland – Paris attire un public venu de toute l’Europe pour déverser sur lui un récit détourné et dévoyé des mythes ancestraux européens. L’Oncle Sam pille sans retenue nos ressources, nos talents et notre imaginaire. Résultat, « l’aliénation culturelle, écrit Yannick Sauveur, va d’abord imprégner des enfants qui, dès le plus jeune âge, vont être conditionnés par l’american way of life. Ce n’est pas être excessif de dire que Disneyland symbolise à souhait l’impérialisme américain et l’américanisation culturelle et, circonstance aggravante, avec la complicité des dirigeants de notre pays ».

Les Français portent eux aussi une grand part de responsabilité dans cette   « McDonaldisation » qui « est aussi, à travers le succès de toutes ces chaînes commerciales d’origine américaine, prévient encore Yannick Sauveur, le spectacle peu réjouissant de la standardisation poussée à l’extrême et aussi avec pour conséquence la mort des centres villes et le déclin voire la disparition des petits commerces ». Le corollaire de ce triste constat correspond à l’essor d’un hyper-individualisme perceptible à l’hypertrophie de la place de l’automobile, élément central dans la surconsommation. Il serait peut-être temps que l’opinion avisée délaisse cet engouement pernicieux et s’intéresse à cette discipline novatrice lancée dès 1991 par Thomas Molnar : l’américanologie. 

Salutations flibustières ! 

• « Vigie d’un monde en ébullition », n°163, mis en ligne le 2 juillet 2025

Pour commander ce livre cliquez ici

11:13 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 18 juillet, à Paris : soirée Livr'arbitres consacrée à Jean Raspail

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11:13 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution du nouveau numéro (n°120) de la Lettre des Amitiés Franco-Espagnoles

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Sommaire :

  • Éditorial d’Hélène Grimaldi
  • En Espagne : « Mafia et démocratie » ; L’Espagne en panne ; À propos de la basilique ; 23 février 1981 : les Nationalistes se souviennent d’Antonio Tejero ; « L’Union des Patriotes pour l’Europe » signe « Make America Great Again » ; Sixte-Henri de Bourbon Parme : Prince fidèle ; José Manuel Albares : « Gaza appartient aux Palestiniens et aux habitants de Gaza » ; Le nouveau Pape Léon XIV et la guerre civile espagnole : un détail qui peut compter ; 1er avril 1939 : Fin de la guerre d’Espagne, victoire de la croisade antibolchevique ! ; Felipe VI prince des LGBTI
  • En France : Forum pour la paix – Paris -10 mai 2025 ; Fête officielle de Sainte Jeanne d’Arc ; Entretien d’une militante féminine du mouvement national-syndicaliste espagnol fondé par José Antonio avec Hilda Lefort, Caryatide ; Catholicisme traditionnel et nationalisme
  • À lire : Nouvelle lumière sur la répression franquiste : une étude révise la légende ; La légende noire espagnole et l’hégémonie anglo-saxonne
  • Brèves
  • Le CFH vous invite à soutenir

Pour la commander : cfh.grimaldi@free.fr

11:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 03 juillet 2025

FRANCE 2, ou l’anti-France à la manœuvre, en douce….

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Une fois n’est pas coutume, le mercredi deux courant, j’ai décidé, comme ça, par curiosité, et surtout attiré par deux noms prestigieux de la scène et de l’écran –, Claire Keim et Pierre Arditi - ce dernier étant autant à gôôôche qu’il est talentueux -, de regarder à 21 h un téléfilm sur la chaine publique « France 2 », anonymement intitulé « Le premier venu ».

Je n’ai pas été déçu du voyage. Par-delà une comédie un peu simpliste mais bon enfant, les poncifs de l’actuelle société « progressiste » - plutôt décadente ! -, étaient presque tous réunis. La trame était la suivante. Une présentatrice de télévision, riche héritière, spécialisée dans les courses hippiques, devait se marier à un simple professeur de mathématiques dont elle était, au début, follement amoureuse. Mais, on sait que Cupidon aime à jouer, parfois, les troublions. De fil en aiguille notre speakerine tombe amoureuse cette fois-ci, de son garagiste, un Martiniquais passionné de chevaux de course – comme par hasard -, dont les parents aiment à dire que, « pourquoi ne pas être racistes comme tous les Français » ?

Cet amour qui semble impossible, va probablement se terminer par un mariage mixte. Et cette union est encouragée et sanctifié par le père – très volage -, de la jeune femme, et par sa mère, un transgenre divorcé du premier en raison, justement, de son changement de « genre » ! Vous suivez ? Mais, cerise sur le gâteau si je puis dire, au cours du téléfilm, nous avons droit par deux fois à une scène de contrôle policier à l’encontre du héros, type « contrôle au faciès », effectué par deux « méchants « policiers. Ça ne vous rappelle rien ? Et après cette heure et demi de télé, circulez, il n’y a plus rien à voir !

Plus rien à voir, vraiment ? Sinon que notre argent a servi à financer une œuvre du service public – la télé officielle de la « belle République française » -, qui, doucement et mine de rien, gentiment, instille dans les esprits que le mariage mixte  serait devenu la norme, comme, sans doute, la transsexualité, sans parler de la banalisation du divorce. Mais là, pour le coup, il s’agit d’un véritable fait de société, quasiment irréversible.  

Cette fiction met en avant un supposé racisme primaire et caricatural, qui ne serait l’exclusivité que des seuls autochtones, à commencer par ses policiers.

Bref, sous un titre insignifiant, ce film qui aurait pu être une simple comédie de mœurs comme Labiche ou Feydeau savaient en faire – les portes claquaient et les amants se cachaient dans les armoires pour la plus grande joie des spectateurs -, nous avons assisté à une belle œuvre de sape des valeurs traditionnelles, et à une sournoise accusation de racisme « blanc ».

18:56 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Comment Synthèse nationale a été à l'avant-garde du combat anti éoliennes...

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Depuis la fin des années 1990, un peu partout en France (et ailleurs) surgissaient ces machines un peu curieuses et franchement laides que sont les éoliennes. Dans un premier temps, beaucoup pensèrent qu'il s'agissait d'une nouvelle lubie écologiste et que tout cela n'était pas destiné à proliférer... Hélas, la réalité fut tout autre et, plus le temps passait, plus la France se retrouvait recouverte par ces engins monstrueux et inutiles qui saccagent les paysages jadis magnifiques de notre cher pays.

Alors, pour se consoler, les Français se dirent que c'était peut-être le prix à payer pour avoir l'électricité chez eux. Faire marcher son ordi ou son four à micro-ondes, sans oublier son chauffage d'appoint, passerait donc, si l'on en croit la propagande gouvernementale (de tous bords), par un tel sacrifice.

Mais, très vite, certains commencèrent à se poser des questions sur l'utilité de ces machines infernales. Non seulement les éoliennes sont onéreuses et dangereuses, elles sont surtout, compte tenu de leurs capacités infimes de production d'énergies, totalement inutiles. Au début, ce fut le cas de la Fédération environnement durable (FED), une association créée en 2007 qui tenta, sans doute trop poliment, d'attirer l'attention des pouvoirs publics sur les côté néfastes de leur implantation massive. Mais elle ne fut guère entendue...

Un soir, en 2015, alors que nous dînions ensemble à Paris, mon ami Alban d'Arguin, qui venait de s'installer dans l'ouest de la France, me raconta comment, avec quelques voisins, il s'était engagé contre l'implantation d'un champ d'éoliennes à proximité de son village. Et comme Alban est avant tout un homme d'idées et de combat, doté de surcroit d'une solide formation juridique, il réussit, avec ses amis, à mettre à bas ce projet. À cette occasion, il découvrit toutes les arrière-pensées et les sources de profits gigantesques qui se dissimulaient derrière ces "bonnes intentions énergétiques". De là naquit l'idée d'éditer le livre "Éoliennes, un scandale d'État" qui sortit en janvier 2017.

Ce livre, qui remporta un vrai succès (près de 5.000 exemplaires vendus), remet les pendules à l'heure sur les prétentions écologistes et place le combat anti-éolien dans un contexte de lutte contre l'uniformisation planétaire voulue par les mondialistes.

"Éoliennes, un scandale d'État" inspira aussi, dans de nombreuses communes françaises, des foyers de résistance qui, bien souvent, eurent gain de cause. Les graines de la révolte étaient ainsi semées et les consortiums étrangers qui installent les éoliennes commençaient à faire grise mine.

Quelque temps plus tard, l'excellent Fabien Bouglé publia à son tour un livre (Éoliennes, la face noire de la transition écologique, aux Editions du Rocher) qui enfonçait le clou planté par Alban d'Arguin. Aujourd'hui, la France entière prend conscience de la supercherie, partout la résistance s'organise et la suite à donner au programme éolien est au centre de bien des débats parlementaires mettant ainsi l'ensemble des partis du Système (de LFI aux Républicains en passant par les macroniens) devant leurs responsabilités...

Je dois dire que, à Synthèse nationale, nous sommes assez fiers d'avoir été les premiers à donner une dimension politique à la contestation anti-éoliennes et que nous n'allons pas nous gêner, à chaque fois que nous en aurons l'occasion, pour le rappeler...

Roland Hélie

 

Le livre d'Alban d'Arguin, "Éoliennes, un scandale d'État", est toujours disponible, vous pouvez le commander en cliquant ici

11:03 Publié dans Combat anti-éoliennes, Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 02 juillet 2025

Une nouvelle série éditée en partenariat entre Synthèse nationale et Déterna : la "Bio collection"

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Le premier volume de la « Bio collection » :

Le Lyonnais Henri Béraud, personnage haut en couleur, fut à la fois l’un des grands reporters et l’un des grands polémistes engagés du début du siècle dernier. Auteur de nombreux ouvrages passionnant, il paya très cher ses prises de positions audacieuses après la Seconde Guerre mondiale.

Ce témoin de son temps, comme bien d’autres, hélas aujourd’hui trop souvent, au mieux, caricaturé ou, au pire, oublié mérite que l’on s’intéresse à lui et à son œuvre.

C’est ce à quoi s’est livré dans ce premier volume de la nouvelle série « Bio collection », que nous lançons cet été avec nos amis de Déterna, Francis Bergeron qui, depuis des années, milite pour la réhabilitation de ce grand écrivain.

Henri Béraud, le Lyonnais flamboyant, Francis Bergeron, Synthèse nationale et Déterna, collection « Bio collection », n°1, juillet 2025, 144 pages, 20,00 € 

Sortie, fin juillet 2025. Commandez-le dès maintenant cliquez ici

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Raoul Raketitch, un militant de grande valeur de la cause nationale nous a quittés

EL198_L_1993_03_092_11_1_PF_02_0000.jpgJean-Claude Rolinat

Raoul Raketitch, militant de la première heure du Front National, est décédé le mois dernier pour rejoindre, nous l’espérons, de vertes prairies où l’herbe est meilleure que sur cette terre de France quotidiennement martyrisée.

Responsable du secteur sud de la Fédération FN des Hauts-de-Seine, il avait été victime d’une sauvage agression par une bande de  jeunes d’origine maghrébine, alors qu’il collait tranquillement des affiches du FN, à Chatillon. À l’issue de celle-ci, il avait perdu partiellement l’usage de l’ouïe, cette infirmité l’handicapant dans son travail, un emploi qui le mettait au service des autres.

J’avais eu, personnellement, une aimable controverse avec lui lors de la guerre en ex-Yougoslavie, lui penchant pour les Serbes, et moi pour les Croates et les Slovènes. Cette querelle n’avait eu aucune importance dans nos relations, toujours empreintes de respect et d’amitié. Il y a un an, il m’avait rendu visite sur « mes » terres de Seine-et-Marne et, moins d’un mois avant sa disparition, nous avions eu un  échange téléphonique. Je ne pouvais pas savoir que c’était le dernier. C’est à des hommes de cette valeur que les députés du Rassemblement national doivent leur confortable situation électorale.

Repose en paix, Cher Raoul, auprès de ton frère ainé qui fut, lui aussi, un militant exemplaire du FN, ainsi qu’aux côtés de ton épouse disparue trop tôt. La France réelle a perdu un de ses serviteurs, mais elle ne le sait pas !

19:08 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce n’est plus un fait divers

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Dans la soirée du 31 mai, 21 cambriolages ont été commis dans les environs du Parc des Princes. Dont un violent home-jacking. Une femme a été violemment agressé dans sa maison proche du parc des Princes, à la suite du match de foot qui a sacré le PSG contre l’Inter de Milan. Nous ne sommes plus dans le fait divers, mais dans le fait de société dans la mesure où cette délinquance d’une racaille qui ne respecte rien est devenu monnaie courante. Le Parisien rapporte les faits. On attend une réponse d’un Etat aux abonnés absents, quand bien même la police fait ce qu’elle peut malgré les embûches qu’elle rencontre.

Lire la suite ICI

Source : Le Parisien 2/7/2025. 

 

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Liberté d'expression : deux poids, deux mesures

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Ça s’émeut, ça s’indigne, ça geint. Boualem Sansal, écrivain courageux, serait persécuté par le régime algérien. Quelle découverte ! Voilà soixante ans que l’Algérie est une dictature militaire corrompue, un pays tenu d’une main de fer par une caste d’anciens fellaghas reconvertis en oligarques. Mais il a fallu qu’un intellectuel parle un peu trop fort pour que nos belles âmes s’éveillent enfin.

Le plus grotesque dans cette affaire, c’est l’indignation sélective de nos gouvernants. Ces mêmes dirigeants français qui rampent devant Alger, qui mendient une entrevue ou un vague geste diplomatique, osent donner des leçons de liberté. Ils acceptent sans broncher que l’Algérie insulte la France, refuse de reprendre ses ressortissants sous OQTF, finance des mosquées radicales sur notre sol. La France officielle, celle des ministres sans colonne vertébrale, se couche, encore et toujours.

Et pendant qu’on feint de défendre la liberté d’expression à Alger, on la piétine à Paris. On condamne des Français pour des tweets, des tribunes, des propos dissidents. Une batterie de lois liberticides verrouille le débat public : loi Pleven, loi Gayssot, loi Avia, etc. Le délit d’opinion est devenu un sport national.

Cette affaire Sansal est l’illustration parfaite de l’hypocrisie occidentale : compassion pour les dissidents étrangers, mépris pour les résistants français. Une liberté d’expression à géométrie variable, au service d’un régime qui déteste la France et d’élites qui la trahissent.

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mardi, 01 juillet 2025

Il y a la France du policier Florian et celle de la racaille Nahel Merzou

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L'éditorial de Cyrano sur Riposte laïque cliquez ici

À l’occasion du deuxième anniversaire de la mort de la racaille Nahel Merzouk, qui a occasionné 6 jours d’émeutes, des centaines de policiers blessés et des pillages et vandalisations dans de nombreuses villes, il s’est trouvé un maire, celui de Nanterre, un nommé Raphaël Adam, pour proposer d’apposer une plaque en l’honneur du délinquant multirécidiviste. Cela à l’occasion d’un hommage qui fut un véritable flop, malgré la médiatisation et la présence des Insoumis et des Traoré.

Dans le même temps, curieusement, on retrouve un écrit du policier Florian – incarcéré durant 5 longs mois – durant les quatre premiers jours de sa mise en garde à vue. Manifestement, il avait déjà tout compris, même s’il n’envisageait pas encore tout ce qui allait suivre.

« Je me dis que je vais finir en détention provisoire pour calmer ces pauvres jeunes en colère. Tous les fonctionnaires de police que je croise jusqu’au dépôt sont dépités, ils se sentent trahis, abandonnés, livrés en pâture aux émeutiers. La colère d’une minorité de la rue l’a emporté, et un message d’impunité est envoyé aux délinquants. Ma tête sera servie sur un plateau aux médias pour calmer les esprits. »

Il ne savait pas encore le temps qu’allait durer son scandaleux emprisonnement, et encore moins que les juges de Nanterre allaient s’acharner contre lui, le traînant devant les assises pour meurtre.

On a vu, à cette occasion, deux France face à face pour reprendre les propos de l’ancien ministre de l’Intérieur de Macron, Gérard Collomb, aujourd’hui décédé. On a vu le camp patriotique défendre le policier Florian. On a vu Jean Messiha mettre en place une cagnotte qui atteindra rapidement 1,6 million d’euros, montrant une révolte populaire énorme qui s’est exprimée par le soutien financier au policier. On a vu les médias alternatifs patriotes rétablir les faits et dénoncer la manipulation de ceux qui pleuraient la mort de la racaille.

Mais en face, on a vu et entendu l’anti-France, la Nouvelle France, la France créolisée, les islamo-gauchistes, mais aussi l’ensemble d’un appareil d’État au service de la destruction de notre pays.

D’abord Emmanuel Macron qui, dès le premier jour, avait décidé que le policier était coupable, avant même que l’instruction ne soit commencée. Voilà qui nous rappelait la rapidité avec laquelle il fut décidé que l’incendie de Notre-Dame ne pouvait qu’être accidentel.

Et puis il y eut l’ensemble de la gauche, derrière les Insoumis, pour souffler sur les braises, hurler que la police raciste tue, et légitimer les émeutes et les dégâts qu’elles occasionnèrent.

Bien sûr, la racaille, celle que Karl Marx appelait la lie de la société, qui se moquait totalement du sort de Merzouk, en profita six jours durant pour mettre la France à feu et à sang, quand les policiers avaient l’ordre de se faire discrets et surtout de ne pas tirer.

Les juges de Nanterre firent leur part du travail, instruisant avec une partialité confondante, montrant leur idéologie et leur haine de la police, en s’acharnant – et ce n’est pas fini – sur le malheureux policier.

La presque totalité des médias de propagande, appartenant à des milliardaires qui arrosent la gauche, victimisèrent également la racaille victime de ses exactions et qualifièrent le policier d’assassin.

Bien sûr, les sportifs, comme Mbappé, et les artistes, comme Omar Sy, nous firent le coup de l’ange parti trop tôt.

Pour avoir fait son travail, et sans doute sauvé la vie de piétons ou d’automobilistes, le policier Florian a vu sa carrière brisée, sa famille menacée, l’obligation de déménager, et sa hiérarchie et le régime de Macron l’abandonner. Dans d’autres pays, il serait un héros.

Ces deux camps, celle de la France profonde et celle des racailles soutenues par toute la gauche, sont inconciliables et totalement antagoniques. L’une devra mettre l’autre hors de combat, et la gauche s’y prépare, en multipliant les agressions contre des patriotes et en cherchant à faire interdire toute parole alternative à sa conception totalitaire du monde.

Si le camp patriote vient à gagner les élections, il devra briser les reins et mettre hors de combat tous ceux qui sont payés pour briser la France. Et il y aura beaucoup de travail, tant ils sont nombreux. Mais ce sera le seul moyen de sauver le pays.

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Samedi 5 juillet, à Morlaix (29) : mobilisation anti éoliennes

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Pour information :

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Les Français souffrent, mais l’État jette leur argent par les fenêtres

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Michel Festivi  

Les Français qui travaillent, ou qui ont durement travaillé pour avoir une retraite décente, souffrent et sont pressurisés de toutes parts, mais nos gouvernants envisagent de nous taxer encore plus, et parallèlement, ils n’hésitent pas à jeter l’argent du contribuable par la fenêtre. Quelques exemples parmi bien d’autres, de cette gabegie volontaire, de ce tonneau des Danaïdes.

On vient d’apprendre que 165 bus, qui ont été utilisés notamment pendant les jeux olympiques et paralympiques, ont été remaniés, réparés, et sont devenus accessibles aux personnes dites à mobilité réduite, pour ni plus ni moins être envoyés en Tunisie, gratuitement, en cadeau ! Pendant ce temps, bien des villes, bien des villages en France ne disposent pas d’assez de véhicules de ce genre, et ils auraient pu en profiter. Les personnes qui prennent régulièrement les transports en commun, savent de quoi je parle. Ces bus auraient pu rendre de grands services dans nos territoires, trop souvent abandonnés par les élites politiques parisiennes.

Autre exemple et non des moindres. Il concerne notre agriculture. Chacun sait que nos agriculteurs, qui travaillent très durs pour souvent une rémunération des plus faibles, sont persécutés par les normes, les taxes, les coûts sans cesse plus haut de l’énergie et des intrants, comme les engrais. Et bien 15 millions d’euros d’aides européennes ne vont pas être versés ni à la France, ni à l’Espagne, ni à l’Italie ni au Portugal etc, mais à l’Afrique du Sud pour soutenir des initiatives en faveur « de la diversité », et « de l’inclusivité », dans sa filière agricole. L’Europe wokiste est passée par là.

Je ne savais pas que l’Afrique du Sud se trouvait en Europe, on n’en apprend tous les jours ! Visiblement Bruxelles n’a rien à faire des paysans européens, et ce d’autant plus que ces pays comme l’Afrique du Sud sont des concurrents déloyaux, qui écrasent les prix et qui plombent nos productions, n’étant pas enserrés dans des règlementations kafkaïennes. Que fait le Président de la république et le premier ministre pour s’insurger devant un tel scandale ? Pourtant la voix de la France porterait et pourrait entraîner d’autres nations dans son sillage. Macron préfère se prélasser à Séville dans le cadre d’une réunion internationale : « pour aider les pays du Sud », encore un futur gâchis de plus.

Sans vouloir polémiquer, je me permets de faire une petite parenthèse. En 2017 comme en 2020, les gros syndicats agricoles notamment céréaliers, comme la FNSEA et l’ensemble de ses relais départementaux, les FDSEA, ainsi que le Syndicats des Jeunes agriculteurs aligné sur la FNSEA, ont appelé méchamment et massivement à refuser Marine le Pen et à voter Macron. Je sais bien qu’il existe d’autres syndicats agricoles, mais il faudrait aussi, peut-être, que la profession fasse le ménage chez ses représentants.  

Quoiqu’il en soit le gaspillage étatique et permanent est à tous les niveaux. Le coût de l’audiovisuel public, est de plus de 4 milliards d’euros, il emploie 16 000 salariés qui possèdent tous un statut exorbitant du droit commun, et des avantages que le commun des mortels n’a pas. A-t-on encore besoin en France d’un service public pour les radios et les télévisions en 2025 ? Je dis non, trois fois non, d’autant que les chaînes et radios publiques sont les relais permanent du wokisme et de l’islamogauchisme, alors qu’elles se devraient de respecter le pluralisme. Il existe plus de 300 chaines de télévision, il existe YouTube et autres relais médiatiques pour s’informer utilement, il existe des télévisions et radios alternatives. Supprimons cette chape de plomb orwellienne, et la France se portera mieux, politiquement et financièrement. Mais pour agir ainsi, il faut une qualité, qu’aucun homme ou femme politique qui nous gouverne n’a, du courage et de la volonté. 

Si l’état et les collectivités arrêtaient de donner de l’argent à tort et à travers au monde entier ; si l’on abrogeait « l’odieux visuel public », comme l’a qualifié si judicieusement Gilles William Goldnadel ; si l’État avait enfin le courage de s’attaquer au mille -feuille administratif en éliminant les doublons et en limitant le nombre d’élus ; si l’on supprimait une quinzaine voire une vingtaine d’agences gouvernementales qui ne servent strictement à rien chacun le sait, Bayrou n’aurait plus besoin de se gratter les méninges pour trouver de l’argent pour les futurs retraités et pour baisser les charges qui minent l’emploi, ni d’inventer de nouveaux impôts et taxes. 

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lundi, 30 juin 2025

Sarah Knafo invitée chez Pascal Praud lundi matin sur C-News

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Selon la dernière note de l’OID, l’immigration « accentue les principaux maux de l’économie française »

Paris: des migrants établissent un campement devant l'Hôtel de Ville

Maurice Bernard

Note après note, l’Observatoire de l’immigration et de la démographie s’impose comme une précieuse source d’informations. Ce fait vient de trouver une nouvelle illustration avec la dernière publication de l’OID, L’impact de l’immigration sur l’économie française, réalisée à partir de données de l’OCDE et de l’Insee.

Les constats qu’on y trouve méritent qu’on s’y arrête. Ils sont sans appel.

Premier constat : « l’immigration n’améliore pas le taux d’emploi défaillant de la France mais, au contraire, le dégrade fortement ». En effet, dans un pays où le taux d’emploi des 15-64 ans est déjà faible comparé à celui des grands pays voisins (69,5% contre 74,5% au Royaume-Uni, 77,4% en Allemagne, 80,4% en Suisse et 82,5% aux Pays-Bas – au 2e trimestre de 2024), celui des immigrés est 7,1 points en-dessous : 62,4% (alors que le taux d’emploi des immigrés est de 67% dans les 27 pays de l’Union européenne et de 71,8% dans ceux de l’OCDE). Ainsi, en 2021, 30,5% des étrangers de 15 à 64 ans se trouvant sur le territoire national n’étaient ni en emploi, ni en études, ni en retraite, contre 13% des Français (soit 2,3 fois plus) ; et le taux d’emploi des descendants d’immigrés (2e génération) était de 59,7%, contre 70,7% pour les personnes sans ascendance migratoire…

Deuxième constat : en France, « l’immigration tend à réduire la productivité du travail ». Son impact négatif vient d’abord du niveau de qualification des immigrés, très inférieur à celui des personnes sans ascendance migratoire. Ainsi, en 2021, 37% des immigrés de 30 à 64 ans n’avaient aucun diplôme, contre 14% des personnes sans ascendance migratoire. Il tient aussi à la moindre présence des immigrés « dans des parcours propices à l’innovation » ou encore dans l’entrepreneuriat…

Troisième constat : « en France, l’immigration dégrade les comptes publics et réduit le pouvoir d’achat des natifs ». Selon la note de l’OID,  « le moindre taux d’emploi des immigrés et descendants d’immigrés représente une perte de PIB de 3,4 % et une perte de recettes fiscales et sociales de 1,5 point de PIB ». Ainsi, dans notre pays, les recettes budgétaires apportées par les immigrés ne représentent que 86% des dépenses publiques qui leur sont affectées, contre 140% au Portugal, 127% au Royaume-Uni ou 124% en Italie. En outre, en 2019, les immigrés ont perçu en moyenne 2.380 euros de prestations sociales - et ceux originaires d’Afrique 3.130 euros -, soit 2 fois plus que les personnes sans ascendance migratoire (1.200 euros)…

Quatrième et dernier constat : en France, « l’immigration bénéficie aux secteurs abrités de la concurrence internationale (en particulier la construction et la sécurité) et pénalise indirectement les secteurs exposés comme l’industrie par leur surimposition (induite par le plus faible taux d’emploi des immigrés), alors que nous avons un besoin absolu de les relancer pour redresser nos finances ».

Face à cet aggravation des maux qui affectent notre économie, la note de l’OID préconise la réforme conjointe de notre système de formation, de notre modèle social et de notre politique d’immigration ; toutes choses réclamées depuis quatre décennies par la droite nationale ! Malheureusement, compte tenu de la situation politique actuelle, il va nous falloir attendre encore pendant au moins deux ans. Après tout, si l'on en croit Vauvenargues, « la patience » n’est-elle pas « l’art d’espérer »…

Pour accéder à la note de l'OID, cliquez ici.

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Dimanche, dans les Côtes d'Armor, Reconquête ! réunissait ses militants

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Dimanche 29 juin, la fédération costarmoricaine de Reconquête ! organisait près de Saint-Brieuc son banquet amical d'été.

Près d'une centaine d'adhérents ont répondu présents, ce qui prouve la bonne forme du mouvement d'Eric Zemmour dans ce département breton. Ils purent ainsi écouter les interventions de Pierre-Yves Thomas, secrétaire départemental, qui en profita pour présenter le bureau, et celle d'Antoine Clamagirand, délégué régional de Reconquête !, qui parla des prochaines échéances électorales, à savoir les municipales de mars prochain et les éventuelles législatives qui se dérouleraient en cas de nouvelle dissolution (on ne sait jamais ce qui mijote dans la tête d'un Macron). Quoiqu'il en soit, Reconquête ! 22 se prépare pour participer à ces campagnes.

Un sympathique banquet, préparé par les militants briochins et très apprécié du public, suivit ces interventions. Ce fut l'occasion de resserrer les liens de franche camaraderie qui caractérisent le mouvement dans ces terres de mission que sont les Côtes d'Armor.

Plusieurs stands, dont celui de Synthèse nationale, étaient installés dans la salle et de nombreux amis profitèrent de l'occasion pour s'abonner à notre revue.

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était présent à cette  belle fête de Reconquête ! À droite, Margaret Studler, responsable de la 5e circonscription, et Pierre-Yves Thomas, secrétaire départemental 22.

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dimanche, 29 juin 2025

Le Président du Salvador éradique les gangs des trafiquants et les bandes criminelles

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Michel Festivi 

Lors d’un défilé de « la semaine de la mode » à Paris, parangon du wokisme absolu, un soi-disant « styliste » d’origine mexicaine, né aux États-Unis, Willy Chavarria, a cru devoir attaquer l’excellent Président salvadorien Nayib Bukele (ci-dessus), en faisant défiler des « mannequins » agenouillés et grimés en prisonniers, vêtus de maillots et shorts blancs, les mains dans le dos, vêtures qui s’apparenteraient à ceux portés par les détenus du Centre du confinement du terrorisme, la prison de haute sécurité construite par Bukele, pour parvenir à lutter contre les organisations hautement criminelles qui tenaient le pays avant son arrivée au pouvoir.

Aussitôt, Chavarria et ses sbires se sont pris une volée de bois vert du Président salvadorien qui a ironisé : « nous sommes prêts à les envoyer à Paris dès que nous recevrons le feu vert du gouvernement français ». C’est dire en quelle estime, il tient notre pays et son président, et on peut parfaitement le comprendre, tant la France est atteinte par des vagues migratoires illégales successives et permanentes, et totalement gangrénées par le narcotrafic, comme l’actualité nous en donne des exemples quotidiens.

D’ailleurs, si ce prétendu « styliste » était un tant soit peu honnête avec lui-même, il préconiserait pour son pays d’origine, le Mexique, la même politique que celle pratiquée au Salvador, cela éviterait bien des drames et des tueries, le Mexique étant le symbole absolu d’un État dominé par les maffias, de par l’impuissance absolue des gouvernements de gauche successifs.

Car Nayib Bukele Ortiz, Président du Salvador depuis 2019, avant d’avoir été maire de Nuevo Cuscatlán puis de San Salvador, la capitale du pays, âgé de seulement 43 ans, est un homme politique remarquable, comme on en aimerait beaucoup. Libéral sur le plan économique et conservateur dans le bon sens du terme sur le plan sociétal, il a pris un pays où le taux d’homicides était l’un des plus élevés du monde.

Il s’est délibérément affiché comme « antisystème », élu Président à 37 ans en 2019 (la valeur n’attend pas le nombre des années n’est-ce pas monsieur Villepin).  En 2024, il est réélu dès le premier tour avec 84,65%, et son parti Nouvelles Idées, remporte dans la foulée, 54 des 60 sièges de l’Assemblée salvadorienne. Son projet tient en deux mots, continuer à éradiquer les gangs, et améliorer l’économie du pays.

Dès 2019, par un plan « de contrôle territorial » visant à confier à l’armée des tâches de sécurité publique, il va réussir à faire baisser les homicides, le pourcentage passant de 51 pour 100 000 en 2018, à 2,5 pour 100 000 en 2023, et ce par une politique sécuritaire, qui va lui attirer les foudres de toutes les gauches et d’extrême gauches, preuve qu’elle est bonne et efficace. Grâce à un régime d’exception salutaire, près de 70 000 criminels seront arrêtés en 2023, faisant du Salvador l’un des pays avec le plus haut taux de détention au Monde. Cette politique va lui valoir, et à juste titre, une écrasante popularité, preuve s’il en était que du tréfonds du pays, cela était attendu et souhaité en silence.

Parallèlement, Bukele va rompre toute relation avec le Venezuela communiste de Maduro, expulser les diplomates vénézuéliens, et reconnaitre l’opposant Juan Guaido. Il cesse aussi toute accointance avec les Sahraouis, refuse l’ouverture d’une ambassade palestinienne et supprime les programmes cubains d’aide médicale. Du temps de Joe Biden, les liens avec les États-Unis étaient forcément exécrables, mais vont s’améliorer avec Trump, car il va proposer aux États Unis, d’emprisonner des criminels condamnés aux États-Unis, ce qui va lui procurer un financement bienvenu.

Suite à cette minable exposition parisienne, les services de la présidence salvadorienne ont fustigé Paris « qui rendait hommage aux criminels ». Bukele, tout comme Trump n’a peur de rien. Ce n’est ni un Macron, ni un Bayrou, voire un Retailleau, un Philippe ou un Bertrand. Le 1er juin dernier, lors d’un discours à la Nation, il n’a pas hésité à lancer : « Je me fiche qu’on me traite de dictateur, je préfère qu’on me traite de dictateur plutôt que de voir tuer des salvadoriens dans les rues ». Mais visiblement, toutes les gauches, les extrêmes gauches et les mollassons préféreraient le contraire.

Pourquoi ce qui réussit au Salvador, ne pourrait-il pas réussir dans notre malheureux pays ?

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Livres de médiathèque brûlés à Lanester (56) : entre imbécillité incendiaire et censure feutrée

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Julien Dir Breizh Info cliquez ici

Il ne faut jamais brûler de livres. Jamais. Ce geste est à la fois imbécile, contre-productif, et symboliquement chargé d’un imaginaire morbide qui ne fait honneur à aucune cause. Même lorsque ces livres vous exaspèrent, même lorsqu’ils sont les totems idéologiques d’une bien-pensance en roue libre, on ne répond pas à la censure culturelle par la cendre.

Mais il faut bien regarder la scène en face. Ce que les incendiaires anonymes de Lanester – dont l’acte débile ne devrait toutefois pas susciter autant d’appels publics à la quasi mise en prison, il faut savoir raison garder – ont fait dans un moment de bêtise provocatrice, des milliers de fonctionnaires et d’élus le pratiquent chaque jour, dans le silence et l’entre-soi. Ce ne sont pas les livres qu’ils brûlent. Non. Ils les rangent dans des arrière-salles ou les excluent des catalogues. Ils ne détruisent pas les idées : ils les empêchent simplement d’exister dans l’espace public subventionné. Voilà la vraie censure, sourde, grise, tranquille.

Allez faire un tour dans n’importe quelle bibliothèque municipale ou médiathèque de Bretagne. Parcourez les étals jeunesse, les tables d’accueil, les « coups de cœur des bibliothécaires ». Vous y trouverez une overdose de littérature LGBT+, d’albums sur l’identité de genre, sur les familles « arc-en-ciel », sur l’abolition des frontières, sur l’urgence de la déconstruction raciale. Une bouillie militante, souvent traduite de l’anglais, rarement écrite pour les enfants mais toujours imposée aux enfants.

Et vous n’y verrez jamais, ô jamais, dans les rayons adultes, un livre d’Éric Zemmour, de Laurent Obertone, d’Alain de Benoist ou de Guillaume Faye. Vous ne trouverez pas de livres sur l’école à la maison. Sur le retour à la terre. De plaidoyers pour la défense du nucléaire ou de la famille traditionnelle. Vous ne trouverez pas de critique sérieuse de l’immigration, ni de réflexion identitaire, ni de vision alternative à la mondialisation heureuse. Ces livres existent pourtant. Ils sont en librairie. Ils se vendent. Mais ils n’existent pas pour la République des médiathèques.

Et c’est bien là le cœur du problème : ce ne sont pas les autodafés qui menacent la diversité intellectuelle. Ce sont les rayons calibrés selon les dogmes d’une gauche culturelle qui pense éduquer alors qu’elle endoctrine. Et cela alors même que cette gauche a fait avec brio quelque chose que la droite s’est toujours montrée incapable de faire : rendre la culture accessible à tous, grâce au financement des contribuables. 

Cette omniprésence de la propagande gauchiste dans les espaces publics, en particulier à destination des enfants, constitue une véritable prise d’otage culturelle. On prétend défendre la liberté de lire, tout en verrouillant soigneusement ce à quoi le citoyen – et plus encore l’enfant – peut accéder dans sa bibliothèque de quartier. On parle d’inclusion, mais on exclut sciemment tout ce qui dérange l’ordre idéologique dominant, et surtout, quelques employés de bibliothèques qui oublient qu’ils sont payés par TOUS les contribuables.

Alors oui, brûler un livre est un acte imbécile et condamnable. Tout comme interdire des livres d’ailleurs (tiens tiens…) Mais prendre en otage des enfants, culturellement et pernicieusement, tout comme imposer un corpus de lecture officiel, monocorde, unilatéral, est un acte bien plus grave encore. Car il n’est pas spectaculaire. Il est insidieux. Il ne choque pas, il formate.

Ce qu’il faut, ce n’est pas des vidéos provocatrices et des gestes de pyromanes frustrés, pseudo « nazis » en retard d’un siècle qui ne servent qu’à donner quelques frissons (et arguments pour toutes les censures) aux gauchistes… Ce qu’il faut, c’est une contre-offensive culturelle structurée, organisée, intelligente. Il faut exiger que les bibliothèques, financées par tous, reflètent la diversité réelle des idées en France. Il faut que les parents puissent y trouver autre chose que la sempiternelle littérature des minorités victimaires. Il faut que le pays réel puisse y lire ses penseurs, ses écrivains, ses visions du monde.

Car aujourd’hui, les défenseurs autoproclamés de la liberté de lire pleurent pour quelques livres brûlés… mais se taisent sur des rayons entiers interdits à tout ce qui dépasse le périmètre idéologique de France Culture. Ils sont les premiers à hurler contre l’incendie, mais les derniers à dénoncer l’étouffement. Non, les idées ne se défendent pas en les effaçant. Pas plus en les brûlant qu’en les censurant. Et si la gauche culturelle veut que ses ouvrages soient respectés, qu’elle commence par cesser de faire des bibliothèques publiques ses temples militants.

La République se veut plurielle ? Qu’elle le prouve. Qu’elle ouvre les rayons. Qu’elle laisse le peuple lire tout ce qu’il veut. Et pas seulement ce que ses prêtres en jean-baskets ont sélectionné pour lui.

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samedi, 28 juin 2025

Toujours plus haut, toujours plus fort !

Sommet sur l'IA : Emmanuel Macron annonce 109 milliards d'euros  d'investissements en France

Amadeus Macron, Mozart de la finance : "In the baba"...

Synthèse nationale

Il y a un an, Paris et la France étaient sur le point d'accueillir les 33e Jeux de l'ère moderne. Manifestement, l'événement (à 6 milliards d'euros) a tellement fait rêver et mobiliser la Macronie qu'elle en a intégré la devise, Citius - Altius - Fortius : "Toujours plus vite, toujours plus haut, toujours plus fort", l'immigration, l'insécutité, le déclassement, l'endettement...

Ainsi, concernant ce dernier, l'Insee vient de rendre public sa nouvelle - et spectaculaire - progression : + 40,5 milliards d'euros pour le premier trimestre de 2025, soit dix fois plus que celle enregistrée au cours du trimestre précédent !

Sur un an (premier trimestre 2024-premier trimestre 2025), l'augmentation de la dette publique est de 185 milliards d'euros (de 3.160,8 milliards d'euros -110,4% du PIB- à 3.345,8 milliards d'euros -114% du PIB-) !

Comme le dit une vieille blague, un Etat en déficit, c'est un peu comme un pantalon sans ceinture ni bretelles. Ça peut tenir... Mais seulement un certain temps...

Face à ce nouveau dérapage, gageons que le gouvernement en exercice va s'employer, une fois de plus, avec le prochain budget, à pressurer au maximum le contribuable sans, toutefois, trop mécontenter l'électeur... La quadrature du cercle !

Merci qui ? Merci Macron !

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Journal du chaos

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DÉSIGNER L'ENNEMI PRIORITAIRE

 

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

L'éditorial du n°70 (été 2025) de la revue Synthèse nationale

Lorsque deux nationalismes s'affrontent, le choix est toujours difficile. Pour trancher, le pouvoir peut toujours s’en tenir à la fameuse phrase attribuée au général De Gaulle : "La France n'a pas d'ami, ni d'ennemi, elle n'a que ses intérêts". Cette phrase a le mérite du pragmatisme, même si l'on peut penser qu’elle relève plus de l'échappatoire que d'autre chose.

Ce qui est vrai pour la France, l'est aussi pour notre famille politique.

Autrefois, c'est-à-dire avant la chute du mur de Berlin, les choses étaient somme toute beaucoup plus simples. D'un côté, il y avait le "bloc communiste", à savoir les pays plus ou moins satellites de l'Union soviétique, et de l'autre, les puissances occidentales, libérales, plus ou moins inféodées aux États-Unis. Bien sûr, la situation était lourde de menaces, mais, au moins, la perspective de voir le "monde libre" tomber sous le joug communiste était source de mobilisation et d’engagement, en attendant des jours "meilleurs".

Brusquement, à l'automne de 1989, en quelques mois, l'empire rouge, que l'on croyait inébranlable, s'écroule. Un "nouvel ordre mondial", imposé par l'Amérique triomphante des Bush et autres Clinton, se met en place. Par naïveté ou par cupidité, les élites occidentales imaginent alors le monde devenir un vaste marché sans frontières où capitaux, marchandises et humains pourront s’écouler librement d’un continent à l’autre… « Tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil »…

C'était aller un peu vite en besogne. En effet, la menace communiste à peine évacuée, un nouveau danger (en vérité, pas si nouveau que cela) a surgi : l'Islam politique. L’événement déclencheur en a été la révolution iranienne de 1979. Favorisée, à ses débuts, par les Occidentaux, elle a eu de terribles conséquences.

Ce retour de l'islam conquérant intervient alors qu’à travers le monde déferlent les vagues migratoires aux fortes conséquences civilisationnelles. En France et en Europe, nous voici confrontés désormais à l'islamisation. Jour après jour, elle gagne du terrain. La République islamique d’Iran, dont le discours reste révolutionnaire, tiers-mondiste et en phase avec le projet des frères musulmans, ne peut qu’y trouver son compte…

La chute du régime des mollahs, si elle se produit, serait donc une bonne nouvelle. Mais son éradication ne peut s’accompagner de pertes importantes pour la population iranienne qui, depuis 46 ans, en subit les méfaits. Quoi qu’il en soit, au-delà de la fin du régime de Téhéran, c'est celle de l'immigration de masse, favorisée par le mondialisme wokisé, qu'il faut rechercher.

Parmi nos amis, certains avancent que la création d'Israël, en 1948, est à l'origine des conflits actuels au Moyen-Orient… Il y a là, sans doute, une part de vérité. Mais on ne peut oublier que cette création est le fruit d’une histoire particulièrement complexe et dramatique que l’on ne saurait occulter. De toute façon, aujourd’hui, l’État d’Israël est une réalité incontournable et il n'entend pas se laisser rayer de la carte… par ceux-là mêmes qui rêvent de nous soumettre un jour !

Actuellement, nul ne peut prédire l'issue de la guerre en cours. Sachons raison garder, préservons-nous de tout emballement. Seuls comptent les intérêts de notre nation, de notre civilisation. La grande leçon de toute cette affaire, nous la connaissons depuis longtemps : on ne peut faire vivre en paix deux peuples sur une même terre. Les exemples sont pléthores. Si l'on ne veut pas voir un jour la France devenir une "république islamique", il faut agir maintenant. En supprimant la cause et en en enrayant les effets.

Le 20 juin 2025

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vendredi, 27 juin 2025

Grand dérangement au Moyen-Orient

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Les dirigeants du Hamas se doutaient-ils qu’en lançant leur offensive–éclair le 7 octobre 2023, ils changeraient le visage du Moyen-Orient ? Ne faut-il pas maintenant s’interroger sur l’existence d’un enchâssement machiavélique de plans destinés à briser l’« Axe de la Résistance » contre Israël ? Les guerres de Benyamin Netanyahou lui permettront-elles de remodeler à sa guise toute une région et d’arrêter l’apparition d’un monde multipolaire aux valeurs pluriverselles ?

À l’origine, les services secrets israéliens ont encouragé l’essor du Hamas opposé à l’OLP de Yasser Arafat. Une fois encore, le golem s’est retourné contre ses maîtres. Malgré le départ des colons israéliens et le retrait des troupes de Tsahal en 2005 sur l’ordre du Premier ministre israélien d’alors Ariel Sharon, Tel-Aviv n’a jamais cessé de surveiller dans le détail la Bande de Gaza dont la superficie correspond à peu près à trois fois Paris (bois de Boulogne et de Vincennes inclus). Par ailleurs en pointe dans le contrôle numérique de masse, Israël a proscrit l’argent liquide et sait parfaitement identifier une population gazaouie désormais martyre.

En agressant l’Iran sans prendre la peine de lui déclarer la guerre tel un autre 1er septembre 1939, Israël ouvre un cinquième front à la suite de Gaza, de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est occupés, du Liban et de la Syrie. Ces différents conflits quasi-simultanés occultent les procès en corruption qui frappent Netanyahou et détournent l’attention de l’opinion publique du contentieux féroce entre la Cour suprême et l’exécutif. Cette nouvelle guerre préventive d’agression soude pour le moment les six partis de la coalition gouvernementale.

Le gouvernement Netanyahou invente un danger nucléaire iranien imminent alors que le premier Guide suprême de la Révolution, Rouhollah Khomeiny, avait émis une fatwa condamnant cette arme redoutable. Ce fait importe peu pour Tel-Aviv qui rêve de briser la « Pieuvre » tant ses tentacules que sa tête. Dans Le Figaro Magazine des 23 et 24 mai 2025, Alexandre Devecchio interroge Stéphane Simon, co-auteur avec Pierre Rehov du 7 Octobre. La Riposte (Fayard, 2025). Stéphane Simon déclare qu’« aujourd’hui, Israël prépare la dernière manche qui vise la fin du régime de Téhéran ». Pourquoi ? Parce que l’instant lui est propice.

La Syrie néo-baasiste de Bachar al-Assad a disparu en décembre 2024 au profit de forces islamistes subventionnées par la Turquie et le Qatar. L’état-major israélien a aussi tiré tous les enseignements de la guerre de 2006 contre le Hezbollah. Quelques exemples rapportent la haute fiabilité des réseaux de renseignement qui associent données satellitaires - numériques et collectes précises d’informations sur le terrain, d’où l’assassinat de Hassan Nasrallah, secrétaire général charismatique du Hezbollah, le 27 septembre 2024. Évoquons aussi le piège des talkies walkies et autres bipeurs qui a tué, blessé ou handicapé plusieurs milliers de cadres du Hezbollah. Produits en Israël, les trois grammes d’explosif implantés, les bipeurs sont cédés à une société hongroise qui les vend ensuite au Hezbollah. Israël avait donc bien préparé cette opération depuis plusieurs trimestres, voire années… Ainsi peut-on se demander si, à l’instar de Franklin Delano Roosevelt qui sût la veille du 7 décembre 1941 l’attaque-surprise japonaise sur Pearl Harbor, Benyamin Netanyahou était au courant de l’action sanglante du 7 octobre sans penser à son ampleur, ni à son impact tragique. Dès son premier mandat de Premier ministre (1996–1999), il considère l’Iran comme son ennemi principal. Il déteste l’Iran qui signifie « royaume des Aryens ». Cette appellation servirait-elle de prétexte à une susceptibilité mémorielle excessive ?

L’agression contre l’Iran n’est pas une foucade du régime suprémaciste de Tel-Aviv, mais une action de guerre mûrement réfléchie. Appliquant les méthodes opérationnelles de l’OTAN, l’aviation israélienne se serait rendue maîtresse du ciel iranien en dépit des 1 500 – 2 000 km de distance entre les deux États.

On reste toutefois pantois devant l’impréparation de l’Iran, pourtant puissance régionale de plus de 82 millions d’habitants, face à une guerre préventive aérienne : pas d’abris de défense pour les civils, sécurité publique déficiente, faiblesse de la protection autour des responsables militaires iraniens. À ces manques s’ajoute une absence flagrante de réactions de la part des « tentacules », à savoir d’alliés affaiblis (Hezbollah, Hamas), lointains (les « partisans d’Allah » houthistes du Yémen) ou dubitatifs (les milices populaires irakiennes). L’assassinat de hauts responsables militaires et scientifiques, la destruction de centres stratégiques militaires et nucléaires, le bombardement des locaux de la télévision officielle indiquent la présence en Iran d’agents secrets, de forces spéciales et de collaborateurs locaux, et ce depuis de nombreux mois, même de nombreuses années.

À la lumière des récents événements, deux faits confirment la forte implication d’Israël dans le désordre intérieur iranien. L’un se passe le 31 juillet 2024. Ce jour-là, le chef du Hamas, « Ismaël Haniyeh, rapporte encore Stéphane Simon, meurt dans sa chambre piégée d’une bombe au cœur d’une résidence sécurisée du palais présidentiel » iranien. Toujours pour Stéphane Simon, c’est « la démonstration de l’infiltration du Mossad au cœur du régime iranien ». Sous l’empire Pahlavi, le Shah d’Iran était un allié précieux pour Israël au même titre d’ailleurs que la Turquie laïque et les Kurdes d’Irak et de Syrie. Cette proximité stratégique n’a pas empêché les États-Unis de fomenter en partie la révolution islamique afin de surseoir au développement nucléaire de l’Iran.

Le second concerne la révolution de couleur « Femme – Vie – Liberté », processus incontestable de déstabilisation socio-politique qui s’apparente à une intense action de guerre psychologique. Les manifestants et les manifestantes hostiles aux institutions de la République islamique agissent en idiots utiles du suprémacisme israélien anti-iranien. À côté des actions clandestines montées par les services israéliens sur le sol iranien, « Femme–Vie–Liberté » signale la réalité d’une cinquième colonne qui a pour objectif le renversement de la république islamique. Par qui la remplacer ? Israël ne se tournera pas vers Maryam Radjavi, présidente des Moudjahiddines du peuple qui ont longtemps séjourné dans l’Irak baasiste de Saddam Hussein. Quant à recourir au prétendant impérial en exil Reza Pahlavi, ce ne serait guère judicieux, car il deviendrait aussitôt un nouveau repère d’unité nationale pour tous les Iraniens.

Il est possible que le gouvernement israélien mise sur un éclatement, effectif ou latent, de l’Iran en jouant sur des minorités ethniques. Au Sud-Est, les indépendantistes baloutches pourraient ériger un État qui attirerait ensuite vers lui le Baloutchistan pakistanais. Au Nord-Ouest, les Kurdes édifieraient un territoire autonome à l’image du Kurdistan irakien et, peut-être, du Rojava syrien. Au Sud-Ouest, les arabophones (plus d’un tiers de la population locale) du Khouzistan (ou Arabistan), assez rétifs à la tutelle de Téhéran, s’en sépareraient pour mieux se rapprocher de l’Irak. Mais la plus grande menace provient du Nord, des portes du Caucase.

Les Occidentaux oublient que l’Arménie, encerclée à l’Est et à l’Ouest par la Turquie et l’Azerbaïdjan, y compris par son exclave du Nakhitchevan, entretient d’assez mauvaises relations avec son voisin géorgien. Le seul État qui persiste à aider Erevan s’appelle l’Iran. Pendant la guerre de reconquête de l’Artsakh, l’Azerbaïdjan a bénéficié de l’aide militaire israélienne. La fragilisation poussée de l’Iran inciterait l’Azerbaïdjan à s’emparer des régions iraniennes de langue azérie au nom des vieilles revendications rattachistes, puis d’effacer définitivement l’Arménie des cartes en se partageant avec la Turquie son territoire. Un Grand Azerbaïdjan pèserait alors de tout son poids sur l’avenir non seulement de l’Iran, mais aussi de l’Asie centrale avec le risque accru d’irriter une Russie attentive à son étranger proche et d’encourager les forces islamistes les plus extrémistes à renverser les gouvernements du Kazakhstan, du Tadjikistan, de l’Ouzbékistan, du Turkménistan et du Kirghizistan à partir du foyer inflammable de la vaste vallée de la Ferghana.

L’effondrement de l’Iran assurerait à l’actuel gouvernement israélien la satisfaction de ses visées messianiques dans la reconfiguration géopolitique du Moyen-Orient. La fin de l’« Axe de la Résistance » lui faciliterait la déportation massive des Palestiniens de Gaza, de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est vers le Liban, la Syrie, la Jordanie et l’Égypte aux frontières redessinées, mais aussi vers l’Europe. Le régime de Tel-Aviv ferait deux pierres d’un coup : résoudre la question démographique palestinienne lancinante et semer les ferments de division multiculturalistes chez l’héritière d’Édom, la civilisation européenne d’essence boréenne, qu’il exècre. L’Iran ou le dernier avant-poste de l’Europe boréale ? L’histoire est plus que jamais imprévisible et surprenante.

Salutations flibustières ! 

• « Vigie d’un monde en ébullition », n°162, mise en ligne le 24 juin 2025 sur Radio Méridien zéro.

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jeudi, 26 juin 2025

Crimes communistes en Croatie

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Par Fabrice Dutilleul

Entretien avec Ghislain Dubois, auteur du livre Né français mort croate. Jean-Michel Nicolier, un Français à Vukovar aux éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire »

(propos recueillis par Fabrice Dutilleul). 

Ghislain-Dubois.jpgPourquoi un livre sur la Croatie et Jean-Michel Nicolier ?

Je suis avocat depuis 35 ans au Barreau de Liège en Belgique et suis également un homme de cœur et de convictions.

Après avoir aidé les Chrétiens du Liban entre 1985 et 2025, en me rendant à 15 reprises sur place et organisant un pèlerinage à Lourdes de 25 jeunes handicapés de guerre en septembre 1997, puis en 2010 le parrainage par 150 familles belges d’autant d’enfants orphelins de toutes confessions, les souffrances de la Croatie et sa guerre d’indépendance imposée par la Serbie communiste me conduisirent à organiser, entre octobre et décembre 1992, l’envoi de 7 camions de 22 tonnes chacun, de vivres, médicaments et vêtements, à destination de l’association Caritas à Zagreb, et à Dubrovnik assiégée.

En décembre 1991, je me suis rendu sur place et singulièrement sur la ligne de front afin de porter témoignage.

Quand j’ai appris, bien plus tard, le parcours de ce jeune français de Vesoul, Jean-Michel Nicolier, alors âgé, comme moi, de 25 ans, qui a voulu témoigner jusqu’au martyre de sa solidarité avec le peuple croate, j’ai voulu lui consacrer un livre.

Entre-temps, sa maman Lyliane et son frère Paul me demandèrent de les assister, comme avocat, dans leur quête pour retrouver le corps de Jean-Michel. Ce que j’ai accepté immédiatement. La boucle étant, en quelque sorte, bouclée.

Parlez-nous de Jean-Michel Nicolier…

Au printemps 1991, Jean-Michel a décidé de rejoindre les Croates dans leur guerre d’indépendance, touché par les souffrances qu’ils enduraient. Il n’était ni un militant ni un idéologue, mais seulement un jeune homme de cœur, un idéaliste. Il est arrivé seul et sans connaître qui que ce soit, à la gare de Zagreb, et s’est engagé dans la résistance. Il défendra Karlovac, puis Vukovar.

Blessé au cours des combats de Vukovar, en novembre 1991, il est hospitalisé à l’hôpital de la ville quand celle-ci tombe le 18 novembre 1991 après un long siège et de multiples victimes. Le 19, les milices serbes prennent possession de l’hôpital et le 20 évacuent par bus tous les hommes. Ceux-ci finissent leur sinistre voyage dans le hangar d’une ferme à Ovcara, à 4 kilomètres au sud-ouest de Vukovar.

Là, Jean-Michel et ses 264 compagnons d’infortunes sont battus avant d’être purement et simplement assassinés. La plupart au bord d’une fosse commune creusée par les Serbes, et quelques autres, comme Jean-Michel, abattus d’une balle dans la tête à la sortie du hangar. Son corps n’a, à ce jour, pas encore été retrouvé.

Quel est votre rôle d’avocat ?

Lyliane et Paul ont saisi la justice en vue de voir les coupables recherchés et condamnés, et surtout en vue de retrouver le corps de Jean-Michel, pour lui donner une digne sépulture.  Sa maman espère pouvoir être enterrée à ses côtés sur cette terre de Croatie qu’il a tant aimée.  Mon rôle est de les assister et de les aider dans ce combat autant humain que judiciaire.

Mon livre est une manière de les aider car il s’agit, notamment, de faire pression sur le gouvernement serbe actuel pour qu’il mette tout en œuvre pour livrer les coupables à la justice française et le corps de Jean-Michel, à sa famille.

Ghislain Dubois, auteur du Né français mort croate. Jean-Michel Nicolier, un Français à Vukovar aux éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », 180 pages, 25 €. Pour commander ce livre, cliquez ici

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Le Portugal muscle sa législation anti-immigrationniste

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Michel Festivi 

Beaucoup de français sincères, se déclarent découragés de se rendre aux urnes pour y déposer leurs bulletins, prétendant parfois, que de toutes façons, rien ne change. Certes, on peut comprendre cette attitude, mais qui en toutes circonstances est à bannir absolument. Refuser de voter pour le candidat ou le parti qui apparaît le moins mauvais, ou le plus proche de nos idées, même s’il y a parfois loin de la coupe aux lèvres, est une attitude à proscrire. Inévitablement, cela donne des points aux gauches, qui elles, savent toujours se rassembler pour le malheur du pays. J’ai coutume de rappeler que ne pas voter, ou voter blanc, c’est donner une voix à la gauche ou pire à l’extrême gauche, qu’on le veuille ou pas. C’est suicidaire à plus d’un titre.

Il y a quelques semaines, et je l’avais évoqué, les Portugais ont voté, et ont élu 60 députés du parti qui défend la patrie, le pays, et qui apparaît le plus drastique contre la délinquance et l’immigration, Chega. Certes, le centre droit portugais, l’Alliance démocratique, se refuse à tout accord avec lui pour le moment. Néanmoins le gouvernement centriste, fortement aiguillonné sur sa droite par Chega, vient d’annoncer des mesures conséquentes pour lutter contre l’immigration, mesures qu’il n’aurait jamais soumises au vote du parlement sans Chega à ses trousses.

Ces dernières années, sous les socialistes, l’immigration avait très fortement augmentée, et parallèlement il avait été demandé beaucoup d’efforts à ceux qui travaillent et qui paient l’impôt. La loi sur la nationalité portugaise va être modifiée. Tout d’abord les textes envisagent la création d’une Unité nationale des étrangers et de police de sécurité publique, pour mieux contrôler les entrées aux frontières, et effectuer des vérifications sur tout le territoire, arrêter et expulser les illégaux.

La future loi disposera qu’une demande expresse de nationalité devra être formulée, alors qu’aujourd’hui, cela reste automatique. Le délai minimal pour obtenir une naturalisation sera de 7 ans pour les citoyens de la communauté de langue portugaise, et 10 ans pour les autres. Le calcul sera effectué à partir de l’obtention du titre de séjour, et non pas de l’entrée sur le territoire. L’impétrant devra en outre posséder des connaissances suffisantes de la langue, de la culture portugaise et de l’organisation politique de la société. La naturalisation sera refusée en cas de condamnation à une peine d’emprisonnement, voire retirée à ceux qui commettraient des crimes violents, homicides, viols etc. Les critères du regroupement familial vont être renforcés, deux ans de résidence minimum, uniquement pour des enfants mineurs, avec la présentation de garanties de logements adéquats et de moyens de subsistance suffisant, hors prestations sociales, le respect des mesures d’intégration, apprentissage du portugais, suivi d’une scolarité régulière etc.

Une élue RN, députée de la Drôme, Lisette Piollet, qui a de la famille au Portugal a été interrogée par Boulevard Voltaire. Elle indique tout à fait justement que « le fait que les patriotes de Chega aient obtenu une soixantaine de députés et un vice-président à l’Assemblée n’a pu que peser dans ce choix ».

C’est incontestable, de multiples pays européens prennent désormais ou ont pris des dispositions plus sévères en matière de lutte contre l’immigration, et ce grâce aux nombreux députés patriotes qui sont de plus en plus nombreux, que ce soit en Suède, au Danemark, en Autriche, aux Pays-Bas, Grèce, sans parler de l’Italie. Même l’Allemagne s’y met, avec une AFD qui n’a jamais réalisé un score aussi élevé et qui pousse les centristes de la CDU à agir, sous peine d’être dépassés. 

Deux pays en Europe restent des passoires absolues : l’Espagne, gouvernée par des socialo-communistes et la France socialo-macroniste. L’immigration massive et non contrôlée, outre les problèmes sociétaux considérables qu’elle génère, s’avère être un gouffre financier. Une étude de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID), vient de préciser que la France se caractérise par le plus faible taux d’emploi des immigrés en Europe : 62,4%, alors que la moyenne européenne est de 67,5% et l’OCDE 71,8%. L’OID indique de plus, que le taux d’emploi des descendants d’immigrés est inférieur à celui de leurs parents, ce qui démontre l’inanité des thèses du soi-disant racisme des français et l’échec des politiques d’intégration. Pour L’OID, ce taux d’emploi bas chez les immigrés, représente une perte de 3,4% du PIB, soit une différence de 98 milliards en moins, et un manque de 45 milliards d’euros pour les comptes publics. Quand on sait que Bayrou recherche désespérément 40 milliards d’euros !

Autre enseignement de cette étude et non des moindres, le taux d’emploi en France de l’ensemble de la population est de 69%, contre 77,4% en Allemagne, 80,4% en Suisse et 82,5% au Danemark. Ne cherchons pas plus loin les causes de nos difficultés budgétaires. Alors citoyens, réveillez-vous et aux urnes.  

12:21 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En finir avec l'irresponsabilité pénale

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Le 26 mai 2022, Alban Gervaise, médecin militaire, a été sauvagement assassiné à coups de couteau et égorgé devant sa petite fille de 18 mois par un nord-africain nommé Mohamed L. Un crime d’une barbarie inouïe, motivé par une haine délirante, accompagné de cris fanatiques : « Laissez-moi le finir, au nom de Dieu. C’est le diable ! » Cet acte ignoble restera impuni. Pourquoi ? Parce que le meurtrier a été déclaré pénalement irresponsable au motif qu’il était drogué et dérangé mentalement.

Ce scandale insupportable illustre les dérives délirantes de notre justice contemporaine, qui préfère soigner les bourreaux plutôt que de rendre justice aux victimes. Un cinglé ou un drogué est-il moins coupable qu’un autre ? Depuis quand l’horreur est-elle excusée par le délire ? Pourquoi un automobiliste alcoolisé est-il condamné, mais un égorgeur « déséquilibré », non ? Pourquoi la justice s’incline-t-elle devant la pathologie mentale quand celle-ci aboutit au meurtre ?

Le Parti de la France exige l’abrogation immédiate de ce principe d'irresponsabilité pénale, qui nie le droit à la justice pour les victimes. Un criminel, qu’il soit fou, drogué ou mineur, doit répondre de ses actes. Point final.

Nous réclamons également le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus abominables, comme celui dont a été victime Alban Gervaise. La société doit cesser de protéger les monstres et recommencer à défendre les innocents.

Assez de cette lâcheté judiciaire : il est temps de rendre à la France une justice digne de ce nom.

11:03 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |