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lundi, 27 janvier 2025

RAPPEL, samedi 1er février, cimetière de Vaucresson (92) : hommage à Roger Holeindre

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À propos de Roger Holeindre :

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Vendredi 31 janvier, Paris : conférence sur Marinetti et le futurisme à l'Institut Georges Valois

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Trump, Élias, Union européenne... Sarah Knafo lundi matin sur Europe 1

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23:17 Publié dans Revue de presse, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’explosion de la délinquance et la faillite totale de la justice, surtout celle des mineurs, l’État incapable de protéger ses citoyens.

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Michel Festivi 

Tous les chiffres, d’années en années, font état d’une augmentation vertigineuse de la délinquance, surtout celle des mineurs ou de soi-disant mineurs. Parallèlement, la justice est en faillite absolue. Darmanin peut bien se tortiller dans tous les sens et faire des circulaires que personne ne lira, les juges sont majoritairement à gauche et font de la carcérophobie. De toute façon, des milliers de peines ne sont pas exécutées chaque année, et faute d’avoir depuis 15 ou 20 ans construits des places de prison, le laxisme judiciaire ne peut que perdurer, les exemples sont quotidiens. C’est là, l’effroyable résultat d’une politique pénale générale de l’excuse qui perdure depuis les années 1970, avec la gauchisation constante de l’École de la magistrature, aggravé par des personnalités comme Robert Badinter, Pierre Arpaillange, Christiane Taubira, Nicole Belloubet, Éric Dupond-Moretti qui ont fait du ministère de la justice, une entreprise tenant à justifier le crime et le criminel, victime de la société, avec de surcroit cette mansuétude permanente visant en miroir, à déconsidérer les victimes qui osent réclamer justice.

On ne dira jamais assez le mal qu’a fait Robert Badinter, icône moderne des gauches germanopratines, -et aussi une grande partie de la droite-, alors qu’il porte une responsabilité abyssale dans cette entreprise de démolition de la justice, en supprimant par pure idéologie la peine de mort, sans l’avoir remplacé par rien, sinon une simple perpétuité, qui à l’époque, sans les peines de sureté d’aujourd’hui, équivalait à guère plus de 10 ans de prison. La prime au crime était ainsi donnée. J’ai souvent été le témoin, durant ma carrière d’avocats des victimes, de constater que ces grands bourgeois de gauche, avocats, magistrats, personnalités diverses, faisaient des complexes de Stockholm vis-à-vis de criminels endurcis, de véritables fascinations, et n’ayant aucune compassion pour les malheureuses victimes ou leurs familles, qui elles, étaient condamnées à perpétuité à souffrir en silence.  Bien sûr des exceptions existent et ont existé, mais elles devaient et doivent déployer des efforts considérables, pour briser les lois de la complaisance généralisée, en étant en permanence sous le projecteur de la bien-pensance.

Mais le pire des pires, dans l’excuse, l’aveuglement face au réel, reste incontestablement la justice pour mineur. Depuis les ordonnances de 1945, jusqu’à une dernière loi inutile de 2021, la justice des mineurs est un véritable fiasco. Il faut dire, que la plupart des jeunes femmes qui sortent de l’école de la magistrature, veulent être juges pour « enfants », alors qu’elles ont en très grande majorité, une vocation d’assistantes sociales dévoyées, venant la plupart du temps aussi, des beaux quartiers parisiens ou versaillais.

Un pédopsychiatre remarquable, Maurice Berger, tire, lui, la sonnette d’alarme depuis plus de 35 ans, mais comme beaucoup, il prêche dans le désert, car il n’y a pas pire sourd que le monde judiciaire. Il vient de publier aux excellentes et courageuses éditions L’Artilleur : Mineurs violents, état inconsistant, pour une révolution pénale. Le docteur Berger a cette sentence épouvantable à lire, mais ô combien justifiée « Face aux mineurs extrêmement violents, la partie est presque perdue ».

Comme nous le rapporte Judith Waintraub, dans Le Figaro des 1ers et 25 janvier 2025, ses 35 années d’expérience, lui font décrire comme « bientôt hors de contrôle » la justice des mineurs, « car le déni continue de régner ». On l’a vu encore tout récemment, avec le meurtre horrible du jeune Elias, 14 ans, poignardé à mort par un mineur de 16 ou 17 ans, déjà connu de la police et de la justice, et ce pour n’avoir pas voulu donner son portable. On a entendu, avec stupéfaction, la maire socialiste puis écologiste du 14e arrondissement de Paris, être dans le déni le plus complet, n’ayant même pas un mot pour les parents de ce pauvre garçon -Cf Cnews du 26 janvier 2025-. Les deux agresseurs de 16 et 17 ans avaient pourtant interdiction de rentrer en contact l’un l’autre, belle justice que voilà ! Laurent Nuñez, préfet de police, vient de déclarer, que ces deux agresseurs étaient pourtant très connus, Cf le Figaro du 27 janvier 2025 « Une montée en puissance insupportable de la violence des mineurs ».

Que propose le Docteur Berger, des choses très simples et de bon sens, qui devraient normalement recueillir l’accord d’une très grande majorité de députés, si nous étions dans un pays normal, gouvernés par des gens normaux. Supprimer le code pénal des mineurs de 2021, qui « favorise l’explosion de la violence juvénile ». Créer une procédure de comparution immédiate, à l’égal de celle qui existe pour les majeurs. Elle a deux avantages, la rapidité, et la condamnation à une peine ferme peut être exécutoire immédiatement, même en cas d’appel. Une proposition de loi a été déposée en ce sens, mais a été totalement détricotée en commission des lois par les gauches et le groupe Liot. Je rajouterai, en finir avec l’excuse de minorité contenue dans le code pénal, qui fait que les peines pour mineurs sont divisées par deux par rapport à celles des majeurs, sauf exceptions.

Car le Docteur Berger mise sur les contraintes et non pas l’évangélisme, pour tenter de renverser la vapeur, si cela est encore possible.  Il dénonce les laxismes généralisés des placements des mineurs en centre éducatif fermé (CEF), qui peuvent ne pas respecter leur contrôle judiciaire, sans conséquence aucune. Maurice Berger souligne le cas emblématique d’un mineur qui avait sauvagement frappé un jeune homme de 25 ans, gratuitement, lui laissant des séquelles irrémédiables. La peine encourue était de 10 ans d’emprisonnement, il a écopé, malgré son état de récidive, de dix mois de prison avec sursis et le parquet n’a pas fait appel. Les théories mortifères et nébuleuses de Michel Foucault sont donc appliquées dans toutes leurs splendeurs. Les parquets minimisent bien souvent les qualifications pénales, pour faire comparaître des mineurs pour coups et violences volontaires, alors qu’il s’agissait de véritables tentatives de meurtres, voire d’assassinats, avec comme excuses, l’encombrement de la justice et le manque de place en prison.

Comme pour le tableau de Magritte qui avait peint une pipe et qui avait intitulé son tableau, « ceci n’est pas une pipe », on pourrait qualifier le fameux code pénal rouge du terme « ceci n’est pas un code pénal », nous dit astucieusement Maurice Berger pour dépeindre le drame de notre politique pénale. Autre exemple fourni par le Docteur Berger, le cas d’un malheureux étudiant en vélo sur une piste cyclable, pulvérisé par un criminel routier conduisant sous cannabis, alors que quelques mois auparavant, il avait déjà été arrêté pour conduite sous cannabis et condamné à une simple amende, alors que le code prévoyait alors deux ans de prison.

Le Docteur Berger nous dit « qu’il n’y a aucun pilote dans l’avion », et les déclarations véhémentes des ministres après chaque drame, sont autant de preuves de l’impuissance de la justice, car les juges se refusent globalement à sanctionner, malgré des exceptions très courageuses mais ultra minoritaires. Le Docteur Berger stigmatise cette addiction des juges et des auxiliaires de justice à tout considérer sous l’angle de la précarité ou de l’exclusion sociale. Il met le doigt sur un fonctionnement clanique, de ghetto, typique des banlieues et des zones de non droit, qui subissent de surcroit une immigration massive et incontrôlée, la dimension endogamique du clan est considérable. De plus, non, la prison n’est pas l’école du crime, le crime a déjà été commis bien avant que les portes des prisons ne s’entrouvrent. Car les effets positifs des courtes peines de prison réellement exécutées ont prouvé leur efficacité comme le révèle la Juge Béatrice Brugère et aux Pays Bas, les courtes peines de prison plus fréquentes, ont démontré une chute des agressions. Pour qu’un mineur en France, aille en prison, il faudra avoir à faire à un multi-multi-multirécidiviste, comme le souligne Béatrice Brugère « l’école du crime, c’est ce qui s’est passé avant la prison ».

Maurice Berger nous donne l’exemple de nos voisins suisses, où les CEF sont réellement clos, les fugues sont durement punies, et le placement s’effectue sans date de fin, la sortie n’est envisagée que si tous les critères initiaux de formation, de bon comportement, de non dangerosité, sont acquis. De plus les responsabilités parentales sont énormes, les familles ont totalement démissionné, le couperet de la fin des aides sociales est en France un tabou, que quasiment aucun homme politique n'ose braver, sans compter, dans de nombreux cas, notamment pour les affaires de stupéfiants la caution des parents, frapper durement au porte-monnaie et au patrimoine est capital. Comme pour l’immigration massive et invasive, l’État et nos politiques manquent cruellement de courage, car les solutions existent.  

18:12 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alors t’es écolo, Coco ?

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Le billet de Patrick Parment

Voici maintenant des décennies qu’on nous bassine avec l’écologie qui est devenu une sorte de fourre tout qui permet, une fois de plus, à quelques zozos de s’en mettre plein les poches. De nombreux scientifiques contestent le fameux « effet de serre », couche d’ozone et autre CO2.  Notre seule certitude, à ce jour, c’est en effet le réchauffement climatique ou plutôt un climat qui ne respecte plus à la lettre les saisons telles que nous les connaissions. La cause majeure de ces bouleversements climatiques n’a rien d’ésotérique, il s’agit tout simplement d’un cycle tel qu’en a connu la terre depuis qu’elle existe. Où s’alterne saison froide et saison chaude. Aussi venir nous seriner que ce réchauffement relève uniquement des méfaits de l’homme sur la nature est en grande partie faux. Car depuis plus d’un siècle, avec une industrialisation acoquinée au capitalisme, l’homme a profondément altéré son environnement et détruit de nombreux écosystèmes. La faune et la flore sont là pour en témoigner, sans parler de la mise en danger de nos océans amplement pollués par le plastique.

Le vrai problème est bien le système économique sur lequel repose l’exploitation éhontée des ressources terrestres et pas seulement du pétrole, du gaz et du charbon. Avec la découverte du pétrole, l’homme s’est retrouvé avec entre les mains une puissance énergétique jamais atteinte, ce qui a permis le développement de machines qui sont venues remplacer le labeur humain. Ce que démontre fort bien dans ses discours Jean-Marc Jancovici, polytechnicien et spécialiste des problèmes d’énergie. Industrialisation et capitalisme ont rapidement marché de concert. Mais, revers de la médaille, c’est aussi ce qui a entraîné une course folle à l’exploitation des ressources, car d’innovations en innovations, le capitalisme a engendré une société de consommation qui a accouché d’une surabondance d’objets dont beaucoup sont aussi éphémères qu’inutiles. Mais qui a par ailleurs aussi multiplié les besoins et donc l’augmentation perpétuelle d’énergie. D’autant que l’énergie nucléaire est venue renforcer les puissances énergétiques nécessaires.

Or, aujourd’hui, notre problème majeur, c’est moins le soi-disant CO2 que le modèle économique qui régit la société de consommation. Car, conjointement, le réchauffement climatique nous enjoint à modifier nos comportements face à l’exploitation de la nature. Ce qui en fait revient à mettre en cause le capitalisme, cette course effrénée du gain que transcrit fort bien la Bourse. Dommage collatéral du capitalisme, la négation des cultures et la marchandisation de l’homme. Signalons au passage quand même que la liberté d’entreprendre, voire la liberté tout court, n’est pas l’apanage du capitalisme. Et contrairement à une idée reçue labellisée républicaine, la monarchie n’est en rien un régime totalitaire.

Modifier nos comportements face à la nature n’est pas une mission impossible, loin s’en faut. Nos connaissances scientifiques nous permettent largement d’être moins nocif à l’égard de la nature, tout en restant au niveau de nos besoins énergétiques. Ce qu’il faut casser, c’est bien la logique de cette société de consommation et de ne produire que selon nos besoins. A titre d’exemple, prenons ce symbole des temps modernes qu’est la voiture. D’une part on sait faire de voitures peu gourmandes en carburant, dont la 2 CV est l’éminent symbole. D’autre part, il faut arrêter avec la voiture électrique qui nécessite un débordement d’énergie qui n’est plus de mise.  Par ailleurs, en matière d’énergie nous avons plusieurs solutions. La première, la plus efficace et la moins polluante est l’énergie nucléaire, mais pas inépuisable. Ensuite nous avons aussi la biomasse, la géothermie et surtout l’hydrogène dont on ne maîtrise pas encore toute la technologie. Toutes ces énergies peuvent être développées tant à grande qu’à petite échelle. Encore faut-il les mettre en route. Tout ceci nécessite évidemment une remise en cause de notre quotidien et imaginer d’autres modes de fonctionnement. Mais l’homme n’a-t-il pas fait que cela depuis qu’il est sur terre ?

 

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dimanche, 26 janvier 2025

Europe-Etats-Unis : le malaise ?

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Depuis qu’il a quitté les bancs de l’Assemblée nationale, Pierre Lellouche n’a pas pris sa retraite et continue ses activités éditoriales, notamment à Valeurs actuelles. Spécialiste de géopolitique, c’est un pragmatique peu dominé par l’idéologie ambiante. Ses analyses sont souvent pertinentes. Excellent connaisseur des Etats-Unis, défenseur d’une Europe qu’il aimerait indépendante, il livre ici, pour Le Journal du dimanche, ses réflexions sur l’arrivée de Donald Trump à la présidence et ses conséquences non seulement pour l’Europe mais pour le monde. Et de prévoir quelques bouleversements géopolitiques.

Source Le JDD. Lire la suite ICI

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samedi, 25 janvier 2025

Le grand retour du Journal du Chaos

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vendredi, 24 janvier 2025

Les Démocrates américains ont souvent trahi leur pays : un livre passionnant et nécessaire : « Plaidoyer pour Joseph McCarthy » de Paul-Louis Beaujour

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Michel Festivi

La dernière élection du Républicain Donald Trump, et ses premières décisions anti-immigration, anti-trans et anti-état profond, nous ravissent, nous nationaux français, mais ne doivent pas faire oublier, que souvent, les Présidents Démocrates américains, les élus Démocrates, ont soutenu et défendu ceux-là même qui voulaient abattre le monde libre, ceux-là même qui luttaient contre les communistes et les idéologies perverties et mortifères. De nos jours, les Démocrates sont et ont été les propagandistes du wokisme et de toutes les dérives totalitaires, nous en subissons en Europe les conséquences et singulièrement en France.

C’est Barak Obama qui avait fait disparaître Cuba de la liste des états terroristes, c’est de nouveau Joe Biden qui a agi de la même façon, quelques jours avant son départ du Bureau ovale. Trump vient de rayer d’un trait de plume cette décision scandaleuse. C’est sous la présidence de Carter, que les islamistes chiites avaient prospéré et les mollahs iraniens avaient humilié comme jamais les États-Unis, avant que Reagan ne redresse la barre. C’est aussi sous Joe Biden, que l’armée américaine a lâché piteusement l’Afghanistan, laissant les talibans maîtres du pays, avec à la clef, des milliers d’armements délaissés sur place par les américains. A contrario, c’est Ronald Reagan qui avait armé les milices anti-communistes, notamment au Nicaragua, et aussi lorsqu’il qu’il avait libéré l’ile de la Grenade, au début de son premier mandat grâce à une intervention rapide et efficace. Sa guerre des Etoiles a fini par pulvériser l’Empire du mal, l’Empire soviétique.

C’est pourquoi, le dernier livre de Paul-Louis Beaujour, Plaidoyer pour Joseph McCarthy, avec une préface d’Alain Sanders, qui vient d’être publié par les éditions Déterna, est particulièrement le bienvenu en ce momentum de la grandeur américaine retrouvée. Auteur de plusieurs biographies, Paul-Louis Beaujour, avec brio et documentations de première importance, nous retrace la vie de celui « qui fut l’homme le plus détesté de l’Amérique », pour avoir combattu l’idéologie et l’espionnage communiste qui se répandaient aux États-Unis comme une trainée de poudre, dans toutes les strates de la société.

Cinquième enfant d’une fratrie de sept, dans une famille modeste d’origine irlandaise, fermière dans le Wisconsin, McCarthy, qui toute sa vie sera considéré comme un « plouc », par l’intelligentsia de Washington, est l’archétype du self- made man américain. Il commence à travailler dès l’âge de 14 ans, multiplie les petits boulots, puis, tout en œuvrant durement, passe l’équivalent du baccalauréat, effectue ses études universitaires dont du droit, et devient avocat en 1935, à 27 ans. En 1939, il réussit, après une vigoureuse campagne électorale, à se faire élire Juge, il a à peine plus de 30 ans. En 1942, alors qu’il n’y était nullement contraint de par son âge et sa fonction, il s’engage dans le corps des Marines et ira se battre dans le Pacifique contre les Japonais. Après un premier échec en 1944, il est élu Sénateur du Wisconsin en 1946, il sera brillamment réélu en 1952.    

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Telle Notre-Dame de Paris, LA FRANCE RENAÎTRA !

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Notre livraison du mois de septembre titrait « 7 ans de macronie : La France éclatée ». Nous étions alors quelques mois après la débâcle du pouvoir, aux européennes puis aux législatives anticipées (et improvisées). Le psychodrame autour de la formation du futur nouveau gouvernement atteignait son paroxysme. Une question agitait le landerneau politico-médiatique : quelle figure providentielle, capable de séduire ce qui restait de la "macronie" et de calmer les ardeurs des oppositions, le Mandrake élyséen allait-il sortir de son chapeau ? Les supputations, les manœuvres allaient bon train… Depuis, en fait d’éclatement, la France se révèle plutôt atomisée. Elle est de nouveau ingouvernable. Le régime des partis fait son grand retour. La IVe République se rappelle à notre souvenir…

Installé en septembre, le gouvernement Barnier n’a tenu qu’un peu plus de deux mois. La motion de censure du NFP, votée par les députés marinistes et ciottistes, a eu raison de lui. Au moment où j’écris cet édito, il n’est plus que le gouvernement démissionnaire. Il gère les affaires courantes en attendant la nomination des nouveaux Premier ministre et ministres. Nous voici revenus à la case départ et aux interrogations de cet été. Une seule chose est sûre : l’heureux élu ne sera pas issu de la droite nationale et identitaire ! Selon toute vraisemblance, un centriste progressiste européiste succédera à un progressiste européiste centriste…

La France est devenue une puissance secondaire. À force de brader son indépendance, de déléguer sa souveraineté, d’"eurobétifier", elle se retrouve sous le joug des instances de l’UE et l’épée de Damoclès des agences de notation anglo-saxonnes. Le vrai pouvoir n’est plus à Paris mais à Bruxelles, Pékin, Washington, Davos... Ursula Von der Leyen se fiche éperdument des rodomontades d’Emmanuel Macron lorsqu’elle sacrifie l’agriculture française sur l’autel du Mercosur. Aux yeux des technocrates européens, les paysans hexagonaux pèsent moins que l’industrie allemande et que les intérêts (mieux défendus que les nôtres) d’un certain nombre de nos "partenaires"… Pour la Commission, libre-échangisme et globalisation restent à l’ordre du jour…

Le discours aux forts accents patriotiques (une fois n’est pas coutume) lu par Jupiter lors de la cérémonie de réouverture de Notre-Dame, devant un parterre de chefs d’État, de têtes couronnées et de politicards has been ne saurait donc suffire. Les paroles ont leur importance mais seules la détermination et l’action sont décisives.

Comment en est-on arrivé là ?

La succession aux affaires, ces 50 dernières années, de dirigeants dénués de conscience véritablement nationale (et d’arrière-pensées) a conduit notre pays là où il en est. Refusant de voir ce qu’ils voyaient, pratiquant volontiers la politique du chien crevé au fil de l’eau (illustré à merveille par leur aveuglement volontaire et leur laisser-faire en matière d’immigration), ils ont tous, de Giscard à Macron, une part de responsabilité dans la chute du pays. Tous, plus ou moins, ont eu les yeux de Chimène pour l’Europe supranationale, accompagné l’américanisation, l’anglicisation, pris leurs distances avec notre passé, notre identité religieuse, culturelle, ou capitulé devant les oukases des minorités… Tous, plus ou moins, se sont laissé enfermer dans le funeste isolement de leur tour d’ivoire parisienne, instaurant du même coup une distance et une incompréhension délétères entre eux et le pays réel. Certes, dans le même temps, des hommes et des mouvements n’ont cessé de mettre en garde. Mais hélas, ils n’ont pas été écoutés suffisamment.

Pourtant, le déclin n’est pas une fatalité.

À maintes reprises, durant sa longue et tumultueuse histoire, la France s’est trouvée au bord du gouffre. À chaque fois, elle s’est relevée. Un jour viendra où la grande majorité de notre peuple finira par ouvrir les yeux. Il y a un demi-siècle, la droite nationale était totalement marginalisée. Dans ce numéro, je reviens sur la création du Parti des forces nouvelles, en novembre 1974. Nationaux et nationalistes, quels que soient leur mouvement, étaient alors loin de penser qu’un jour leur famille d’idées serait en position d’accéder au pouvoir. Cela ne les a pas empêchés de continuer le combat avec détermination, voire enthousiasme, sous des formes différentes, mais avec le même objectif, défendre la France. La fidélité en politique, ce n’est pas de faire toujours la même chose mais de faire des choses qui vont toujours dans le même sens.

Il y a un cinq ans, la cathédrale de Paris a failli disparaître, victime d’un incendie (à la cause officiellement inconnue) et de l’imagination délirante de quelques "modernistes" forcenés. Grâce à Dieu, la raison a fini par l’emporter. Les projets plus ou moins farfelus ont été écartés. La volonté politique, la levée des obstacles administratifs, une maîtrise d’œuvre efficace, le savoir-faire des échafaudeurs et des artisans d’art ont fini par triompher. La conjugaison de leurs efforts a permis à la nef blessée de renaître de ses cendres et de ses gravats, nous donnant à la voir, aujourd’hui, comme on ne l’a pas vue sans doute depuis fort longtemps. Ce monument emblématique de notre histoire a retrouvé sa majesté et sa splendeur. Il est ressuscité. Or ce qui s’est passé pour Notre-Dame peut très bien se passer, demain, pour notre patrie. C’est au moment où l’on croit tout perdu que surgit l’inattendu. Écartons le doute, le pessimisme, l’autoflagellation, la désespérance car, telle la cathédrale, la France renaîtra, par la volonté, le travail, les efforts de la plupart de ses enfants, pour peu qu’on sache impulser le mouvement et leur indiquer un cap ! 

Le 12 décembre 2024     

Éditorial du n°68 de la revue Synthèse nationale

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Le nouveau numéro (n°102) de Terre & Peuple est sorti

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On dit souvent qu'un dessin vaut mieux qu'un long discours...

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Manigances post-démocratiques aux USA

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La tribune flibustière de Georges Feltin-Tracol

La momie de la Maison Blanche, Joe Biden, a prononcé dans la soirée du 15 janvier 2025 son ultime allocution télévisée. Au cours de cette intervention pathétique, il a dénoncé l’avènement d’une oligarchie. Il visait les soutiens de Donald Trump originaires de la Silicon Valley, en particulier Elon Musk et Peter Thiel.

En bon pantin de l’État profond yankee, Biden pratique l’inversion accusatoire. Son parti est depuis des décennies la marionnette de l’hyper-classe cosmopolite qui met en coupe réglée les États industriels de la planète. Son attaque insidieuse signale que la ploutocratie mondialiste à la tête de l’Occident global commence à s’inquiéter pour son avenir.

Le samedi 18 janvier, des anti-Trump manifestaient dans diverses villes contre l’investiture du 47e président des États-Unis. On lisait sur leurs banderoles : « Nous sommes le peuple ». Quelle prétention ! Ces manifestants ont perdu dans les urnes avec un écart de deux millions et demi de voix et ils persistent à croire qu’un nouveau Duce s’apprête à bâillonner la statue de la Liberté. Cette expression politique représente un autre symptôme de la post-démocratie dans l’Occident terminal.

En effet, la fin de l’année 2024 a connu de graves événements guère commentés par les officines médiatiques de grand chemin. Le 6 décembre, la Cour constitutionnelle roumaine fomentait un coup d’État en invalidant le premier tour de l’élection présidentielle deux jours avant le second tour et en annulant l’ensemble du scrutin. Tous nommés en alternance par les deux formations naguère hégémoniques du paysage politique roumain, les sociaux-démocrates et les nationaux-libéraux, les membres de cette instance justifient leur décision inouïe par la publication de rapports issus des services de renseignement de Bucarest, documents déclassifiés et autorisés par le président de la République, Klaus Iohannis alias la madone des aéroports internationaux.

Tout au long de ses deux mandats consécutifs de cinq ans, Iohannis a parcouru tous les continents aux frais des contribuables roumains. Populaire en 2014, il aurait dû quitter ses fonctions sous une impopularité record. Il renomme à la charge de premier ministre le social-démocrate Marcel Ciolacu pourtant arrivé troisième à la présidentielle avortée. Le succès inattendu d’une personnalité trouble, Calin Georgescu, ancien haut-fonctionnaire à l’ONU (22,94 %), s’accompagne, le 1er décembre suivant, d’une forte poussée nationale-populiste aux élections législatives (31,88 % pour l’AUR – Alliance pour l’union des Roumains -, SOS Roumanie et le Parti de la Jeunesse). Marcel Ciolacu dirige maintenant une coalition gouvernementale pro-européenne et pro-atlantiste avec les sociaux-démocrates, les nationaux-libéraux et les représentants de la minorité hongroise.

Le 12 janvier dernier, des milliers de personnes ont manifesté à Bucarest contre l’interruption du processus électoral présidentiel, la formation d’un gouvernement de vaincus et le maintien en place d’un chef de l’État illégitime. Il faut craindre que ces gigantesques démonstrations de force ne servent à rien. Il devient même plausible que Calin Georgescu ne puisse pas poser sa candidature pour les 4 et 18 mai prochains. Les autorités l’accusent de s’être servi des réseaux sociaux financés par la Russie. Or les dernières enquêtes démontrent au contraire l’intervention massive et discrète des nationaux-libéraux sur Internet dans les derniers jours de la campagne afin de contrecarrer le candidat national-conservateur George Simion. Mais Georgescu ne s’est-il pas inspiré de la campagne victorieuse de Barack Obama en 2008 ?

Depuis la pseudo-révolution de Noël 1989 marquée par la première grande opération de désinformation sur les charniers de Timisoara, la structure politique roumaine procède d’un puissant État profond. D’abord d’émanation gorbatchévienne, il s’est vite tourné vers l’atlantisme, l’occidentalisme et le financiarisme. Aujourd’hui encore, bien des politiciens roumains sont des pions de l’Occident globalitaire.

L’annulation de l’élection présidentielle roumaine indispose le premier ministre slovaque Robert Fico. Il n’oublie pas les réactions faibles et timorées des soi-disant démocraties de l’Ouest quand un illuminé, poète raté, lui tira dessus, le 15 mai 2024 à Handlova. Par chance, Robert Fico échappa à la mort malgré de graves blessures. Cet attentat concluait des semaines de campagne de presse violente orchestrée par des journaux, des radios et des télévisions inféodés au parti de la guerre contre la Russie. Bien sûr, si le déplorable Keir Starmer, premier ministre britannique de son état, avait reçu le moindre postillon de la part d’un fan d’Elon Musk, ce dernier aurait subi une tempête d’accusations maximales !

Les manigances post-démocratiques frappent un autre État européen au cœur du Caucase : la Géorgie. On assiste aux législatives du 26 octobre 2024 au triomphe du parti gouvernemental, Le Rêve géorgien fondé par le milliardaire Bidzina Ivanichvili (53,93 %). L’opposition pro-OTAN n’accepte pas sa défaite cuisante. Elle accuse la majorité de manipulations électorales, de corruption des électeurs et de trucages dans les urnes. Elle organise une révolution de couleur. Trump et Le Rêve géorgien gagnent les élections en 2016 et en 2024 grâce aux tricheries nombreuses et à l’ingérence numérique de Moscou selon cette opposition. En revanche, Joe Biden en 2020 et même Emmanuel Macron en 2017 accèdent à la présidence par le choix éclairé des électeurs hors de toute fraude ou de tout coup fourré médiatico-judiciaire. L’Occident global donne l’impression d’être très mauvais perdant. Du côté pile d’une pièce de monnaie, il gagne et, du côté face, son adversaire perd !

Dès le soir de l’élection parlementaire, des opposants protestaient à Tbilissi avec l’appui remarquée de la présidente de la République en fin de mandat, l’ancienne diplomate française Salomé Zourabichvili. Les psychiatres locaux devraient ausculter ces Géorgiens qui brandissent le drapeau de l’Union dite européenne. Il est rare d’observer des personnes prêtes à rejoindre un bagne à ciel ouvert et une prospérité économique illusoire qui masque l’endettement, la spéculation et le wokisme. Certes, la constitution géorgienne mentionne une obligation à moyen terme d’adhésion à l’OTAN et à l’UE. Mais le premier ministre géorgien ré-investi, Irakli Kobakhidze, ne goûte guère les mises en garde péremptoires et les sanctions économiques de la mafia de Bruxelles, d’où la suspension des négociations d’adhésion avec l’UE.

Le 14 décembre, le Parlement géorgien a élu un nouveau chef d’État, le premier au suffrage universel indirect, suite à une révision constitutionnelle adoptée en 2017. Le collège électoral compte 150 députés et 150 élus délégués des conseils municipaux et régionaux. Le nouveau président, Mikheïl Kavelachvili, est un ancien footballeur professionnel, d’abord passé au Rêve géorgien avant de fonder le mouvement Le Pouvoir au peuple. Cette élection a suscité un déluge de commentaires désagréables, expression d’un indéniable mépris de classe. Les manifestants conspuent Mikheïl Kavelachvili qui, faute de diplôme universitaire et incapable de parler l’anglais, n’aurait pas le niveau pour assumer sa charge. C’est du racisme de classe. Paris les encourage et oublie qu’en 1998, lors de la victoire douteuse des Français à la Coupe du monde de football, des milliers d’imbéciles beuglaient sur les Champs=Élysées « Zidane président ! »…

Salomé Zourabichvili prétend toujours être la seule présidente légitime. Elle a néanmoins eu la bienséance de libérer le palais présidentiel avant l’arrivée de son successeur, connu pour son franc-parler. Soutenue par le complexe occidental euratlantique, l’opposition aurait aimé renverser le gouvernement en place. Fort heureusement, la Géorgie possède d’excellents kinés de rue, de brillants ostéopathes casqués et d’exceptionnels masseurs en plein air. Sous le label générique de forces de police, ces spécialistes des chocs musculaires et osseux ont su avec dextérité, sang-froid et professionnalisme favoriser la circulation sanguine, l’assouplissement des articulations et la résistance du corps et du crâne de leurs compatriotes hypnotisés par l’eurofolie collective.

Tout en s’occupant des affaires intérieures roumaines et géorgiennes, le marécage politico-médiatique occidental s’indigne des supposées ingérences d’Elon Musk au Royaume Uni et en Allemagne. L’hypocrisie est totale. Les dernières semaines indiquent donc un moment où l’élection reste le prétexte futile pour travestir et détourner les justes aspirations populaires de changement radical. Jusqu’à quand cette mascarade institutionnelle va-t-elle durer ? Soeur 

Salutations flibustières !  

« Vigie d’un monde en ébullition », n°140, mise en ligne le 21 janvier 2025 sur Radio Méridien Zéro.

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Jean-Yves Le Gallou publie la liste des décrets signés par Trump : que du bonheur... pour les Américains

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Source cliquez ici
 
Le jour même de son investiture, Donald Trump a frappé un grand coup en signant des dizaines de décrets et circulaires administratives. En plus de 42 décrets officiels, Donald Trump a en effet choisi de consacrer les premiers instants de son mandat à liquider l’héritage de Joe Biden et à mettre en application ses promesses. La liste complète est à retrouver sur le site officiel de la Maison-Blanche cliquez ici. Sur les réseaux sociaux, une liste détaillée de 78 décrets pris par Donald Trump circule. Après vérification, si elle inclut en réalité de nombreuses circulaires en plus des 42 décrets officiels, elle est exacte et permet de se faire une bonne idée de ce début de mandat tonitruant. La lutte frontale contre la gauche semble assumée.

Cette liste est une quintuple transgression : remise en cause des délires sociétaux de la gauche, suppression de crédits aux ONG militantes, indifférence aux oukases politiquement et écologiquement correctes, mise en œuvre immédiate des promesses électorales, utilisation de la diabolisation comme tremplin du changement.

Rien à dire, si le reste du mandat de Donald Trump est du même acabit que ces premières heures d’exercice du pouvoir, cela promet de secouer outre-Atlantique !

Polémia

Abrogation de 78 décrets de l’administration Biden : Annulation de mesures concernant la baisse du prix de certains médicaments, les programmes de lutte contre les discriminations et les sanctions contre certains colons en Cisjordanie.

Déclaration d’une urgence nationale à la frontière mexicaine : Autorisation du déploiement de troupes américaines pour renforcer la sécurité frontalière.

Retrait des États-Unis de l’Accord de Paris sur le climat : Marque une rupture avec les engagements environnementaux internationaux.

Retrait des États-Unis de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : Coup d’arrêt à la collaboration avec l’OMS.

Grâce présidentielle pour plus de 1 500 personnes impliquées dans l’émeute du 6 janvier 2021 : Pardons accordés aux partisans impliqués dans l’assaut du Capitole.

Suspension du télétravail pour les employés fédéraux : Encouragement au retour au travail en présentiel.

Déclaration d’une urgence énergétique nationale : Augmentation de la production de pétrole et de gaz, retrait des subventions aux véhicules électriques et abandon de l’Accord de Paris.

Reconnaissance officielle de deux genres biologiques : Limitation des politiques de diversité et inclusion, reconnaissance uniquement des genres masculin et féminin.

Désignation des cartels de la drogue comme organisations terroristes : Renforcement des mesures contre les cartels et sanctions accrues.

Prolongation du délai pour TikTok : Suspension temporaire de l’interdiction de TikTok, accordant 75 jours supplémentaires pour se conformer aux réglementations américaines.

Fin des programmes de diversité, équité et inclusion dans les agences gouvernementales : Suppression des initiatives visant à promouvoir la diversité au sein des institutions fédérales.

Création du Service des Revenus Extérieurs : Établissement d’une nouvelle agence chargée de la perception des tarifs et droits de douane.

Renommage du Golfe du Mexique en Golfe d’Amérique : Changement symbolique de nom pour affirmer la souveraineté américaine.

Rétablissement du nom de Mont McKinley pour le Denali : Retour à l’appellation traditionnelle de la montagne en Alaska.

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Eric Zemmour invité de Pascal Praud jeudi soir sur C News

Le trumpisme est la volonté des peuples occidentaux de défendre leur identité et leur souhait d’utiliser le progrès technique pour faire avancer et grandir notre civilisation.

En 2020, la classe politique américaine disait : le Trumpisme, oui, mais sans Trump. Ils pensaient qu’il avait les bonnes idées, mais la mauvaise incarnation. On connaît la suite de l’histoire !

J’ai été très frappé par les images de l’inauguration de Notre-Dame, par les regards énamourés envers Trump et Musk. J’en ai tiré une conclusion : ce n’est pas la respectabilité et la dédiabolisation qui créent la victoire, mais la victoire qui crée la respectabilité.

Eric Zemmour

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Vendredi 7 février, au Mans : conférence de Christian Bouchet

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jeudi, 23 janvier 2025

Côtes d'Armor (22) : sympathique réunion du Cercle Trégor et Goëlo mardi soir en présence d'Alban d'Arguin sur l'escroquerie écologiste actuelle...

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Roland Hélie, Alban d'Arguin et Bernard Germain

Synthèse nationale

Mardi soir, 21 janvier, en Trégor (22), Alban d'Arguin, auteur de Éoliennes, un scandale d'État (Synthèse éditions cliquez ici) et de Réchauffement climatique, enquête sur une manipulation mondiale (Pardès éditions)  était invité à une conférence organisée par le Cercle Trégor et Goëlo cliquez là

Le 21 janvier, ne l'oublions pas, c'est le triste anniversaire de l'assassinat de Louis XVI. La conférence débuta donc par la lecture du magnifique testament laissé par celui-ci. Le Cercle Trégor et Goëlo étant aussi fort attristé par la disparition récente de Jean-Marie Le Pen, il fut lu son Appel de Mont Saint-Michel datant de 1987 et toujours d'actualité.

Après ces évocations, Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, présenta la conférence au cours de laquelle, Bernard Germain, président du Cercle et auteur, en 2022 d'un livre consacré à la méthanisation cliquez là, et Alban d'Arguin purent expliquer au public venu nombreux l'escroquerie anti-nationale que représentent les écologistes actuels sur l'échiquier politique français. Il fut évidemment rappelé que l'écologie était, à l'origine, une valeur "de droite" et que, aujourd'hui, elle est totalement dévoyée par l'extrême gauche wokiste. S'en suivit un débat fort enrichissant.

Pour conclure la soirée dans une ambiance conviviale, tous se délectèrent autour de la traditionnelle Galette des Rois qui, qu'on le veuille ou non, fait encore partie de nos traditions identitaires.

Nous publierons prochainement des résumés des interventions et une nouvelle conférence du Cercle Trégor et Goëlo aura lieu en mars prochain... 

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13:58 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce jeudi soir, 20 h, Eric Zemmour sur C News

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mercredi, 22 janvier 2025

Francis Bergeron présente son roman "Le hussard remonte le temps" sur TV Libertés.

Un jour froid de novembre, Julien Ardant a délaissé un instant ses grands papiers et ses manuscrits précieux pour lire quelques pages de "A l’épreuve du temps" de Jacques Benoist-Méchin. Une visiteuse interrompt cette lecture pour lui exposer une affaire pressante. Installée au château berrichon de "La Petite Roche", son association, le Super Catholique, subit les mauvais agissements du chatelain voisin qui n’est autre que le président de l’Assemblée nationale, le docteur Beauchêne. Un ennemi plutôt coriace qui va obliger Ardant à endosser de nouveau les habits du Hussard, flanqué de ses acolytes habituels, le Lansquenet et sa sœur Alice. Une enquête qui va aussi le ramener dans le Berry de son enfance, et ranimer le fantôme de Sophie, son épouse assassinée le 14 novembre 2015 par des terroristes islamistes.

Ancien directeur du quotidien Présent, Francis Bergeron présente son premier roman policier "Le hussard remonte le temps".

Pour le commander, cliquez ici

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Où est notre Trump ?

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Thomas Joly

Président du Parti de la France

Aux États-Unis, ils ont Donald Trump. Un chef qui a compris que la politique, c’est d’abord une question de volonté et de puissance. Trump est en train de secouer l’Amérique (et même le monde entier), il a réveillé les oubliés, les humbles, ceux qu’on appelle là-bas la « Rust Belt ». Il a dit non à la fatalité du déclin, non à la soumission aux modes du temps. Il a osé parler de frontières, d’immigration, de grandeur nationale, là où nos dirigeants balbutient des slogans creux et démissionnaires.

Et nous Français ? Nous avons des gestionnaires sans âme. Des comptables de l’effondrement, obsédés par leur image, prisonniers des logiques mondialistes, incapables de défendre ce qui fait la France. Ils détruisent notre Nation à coups de lois technocratiques et d’idées abstraites. Pendant que l’Amérique érige des murs, nous abattons les nôtres. Pendant que Trump défend son peuple, nos dirigeants encouragent la submersion migratoire, ce grand remplacement qu’ils feignent de ne pas voir.

Trump, avec ses outrances et ses provocations, m’inspire 100 fois plus de respect que nos gouvernants. Lui a compris que le rôle d’un chef d’État est de protéger son peuple, de le rassembler autour d’une fierté retrouvée. Ici, nous n’avons que des capitulards, des apprentis bureaucrates qui nous condamnent à disparaître dans un grand soupir résigné. Où est le Trump français ? Nous n’avons que des ombres.

16:25 Publié dans Communiqués de presse, Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ploërmel (56), dimanche 9 février : banquet breton du Parti de la France

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11:53 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Montpellier (34), mardi 11 février : projection du film "Silenced"

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11:51 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 21 janvier 2025

La France s'enfonce, la classe politique regarde et bavasse...

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Synthèse nationale

Au moment où Donald Trump vient d'entrer en fonction (avec la ferme intention de relancer vigoureusement l'économie américaine) et où la Banque de France vient de publier les (très mauvais) derniers chiffres concernant les défaillances d'entreprises (1), le visionnage de la dernière vidéo de l'économiste Marc Touati apparaît quasiment d'utilité publique, tant la gravité de notre situation appelle une prise de conscience urgente et une réaction nationale en conséquence...

Pour voir la vidéo, cliquez ici.

Le château brûle mais tout va très bien, Madame la marquise...

1. 65 764 défaillances d'entreprises, soit près de 11% de plus que pour la période 2010/2019 (mais une augmentation de 57% pour les transports et l'entreposage, de 47% pour les activités financières et l'assurance, de 34% pour l'information et la communication ou encore de 29% pour les activités immobilières....

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Dimanche dernier, à Paris : Philippe de Villiers à la Marche pour la Vie

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16:48 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sarah Knafo à Washington...

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16:28 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

21 janvier 1793 : assassinat de Louis XVI

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Pour Balzac, « le jour où on a coupé la tête du roi, on a coupé la tête de tous les pères de familles. » Pour Raymond Poincaré, la mort de Louis XVI fut « un suicide collectif ». Cette mort marque surtout d'une empreinte de sang la plus formidable opération d'amnésie collective de notre histoire.

 

16:18 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 20 janvier 2025

Sortie prochaine d'un nouveau Cahier d'Histoire du nationalisme (le n°29) consacré à Jean-Marie Le Pen

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Mardi 7 janvier 2025, décédait celui qui aura de fait le plus marqué, bien au-delà de l’histoire de la droite nationale, l’histoire de la vie politique française au cours de ces 70 dernières années, Jean-Marie Le Pen.

Réalisé à l’initiative d’Aristide Leucate, essayiste et chroniqueur réputé dans les milieux nationalistes, ce Cahier d’Histoire du nationalisme, le 29e, sortira début février 2025, quelques semaines après la disparition de celui que ses partisans appelaient, avec admiration et affection, en référence à sa qualité de Breton sans doute, « le menhir ».

Ce Cahier, essentiellement composé de témoignages de ceux qui l’ont suivi dans sa grande aventure salvatrice pour la France, raconte les différentes étapes de l’engagement de Le Pen. Il est aussi destiné à rappeler, ou à dévoiler, les aspects méconnus de cet homme de conviction et d’action qu’était Jean-Marie Le Pen.

Il s’agit, en plus, de réparer les injustices et les calomnies dont il a été, toute sa vie durant et au-delà de sa disparition, la victime.

Vous pouvez le commander dès maintenant.

CHN 29, 250 pages, 24,00 € (+6,00 € de port), 

Sortie : 15 février 2025

Bulletin de commande 

Pour commander en ligne ce livre cliquez ici

Le combat essentiel de la jeune Mila, une égérie française, pour les libertés françaises.

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Michel Festivi 

En Janvier 2020, Mila, alors âgée de 16 ans, qui comme beaucoup de jeunes discutent sur les réseaux sociaux, -elle disposait alors d’un compte sur un site qui totalisait plus de 9000 abonnés-, repousse vertement les avances graveleuses d’un musulman. Les propos tenus sur Mila étaient d’autant plus inadmissibles, que cette dernière n’avait jamais caché son homosexualité, ce qui est son droit le plus strict.

Le quidam musulman, ne fait pas mystère des fondements de sa religion et profère à son encontre de multiples injures homophobes et misogynes, se doublant d’appels au viol, à la violence, se référent en permanence au dieu de l’islam. Mila qui est tout sauf une poule mouillée, et qui n’a pas froid aux yeux, contre- attaque avec force, critiquant l’islam en des termes équivalents aux insultes et menaces qu’elle avait reçues. Les vidéos deviennent alors virales et l’affaire prend une ampleur nationale. Les politiques s’en mêlent, et les questions d’islamophobie, du droit au blasphème et de la liberté d’expression sont au cœur de cet évènement. Les Ségolène Royale, les Nicole Belloubet tiennent des propos infâmes sur Mila, justifiant les attaques qu’elle subit. L’une des réponses de Mila clairement anti-islam indique et je cite textuellement « Le Coran il n’y a que de la haine là-dedans, l’islam c’est de la merde...j’ai dit ce que j’en pensais, vous n’allez pas me le faire regretter », outre des propos encore plus scabreux. Cf l’article de Valentine Arama « L’affaire Mila : retour sur dix jours de polémiques, le point.fr 20 janvier 2020 

Mila va recevoir plus de 50 000 appels au meurtre, des sortes de fatwas, l’obligeant à être déscolarisée, puis à obtenir une protection policière. Elle va maintenir à plusieurs reprises qu’elle s’est contentée de critiquer, voire dénigrer une religion, sans jamais ni insulter, ni menacer quiconque. De multiples condamnations judiciaires vont ensuite survenir, dans les mois et les années qui viennent, contre différents insulteurs. Les intimidations vont néanmoins perdurer. Les émissions de télévisions diffusent ses propos, la polémique s’enflamme encore plus. L’éducation nationale démissionne lâchement, totalement, de ses responsabilités, comme on pouvait s’en douter.

Un point capital doit être souligné, suite à une plainte contre Mila, pour appel à la haine, le Procureur de la république, le 30 janvier 2020, classe cette plainte sans suite, car énonce-t-il : « Mila a démontré que les propos diffusés, quelle que soit leur tonalité outrageante, avaient pour seul objet d’exprimer une opinion personnelle à l’égard d’une religion, sans volonté d’exhorter à la haine ou à la violence contre des individus à raison de leur origine ou de leur appartenance à cette communauté de croyance. » Autrement dit, on a le droit, en France, de critiquer même très sévèrement une religion, sans encourir les foudres de la loi, s’il n’y a pas d’appel à la haine ou à la violence, contre des personnes qui pratiqueraient cette religion. C’est particulièrement important à souligner. Je pense notamment à ce professeur qui avait affiché des sourates haineuses du coran et qui a été durement sanctionné en première instance. Espérons qu’en appel, les juges en reviennent au droit et à la liberté d’expression.

Mila, vient d’être interrogée par Le Figaro, le 17 janvier dernier, 5 ans après le début de cette affaire. Après avoir résumé ce qui a été sa vie, menaces, protection policière, déscolarisation, lâcheté des médias et des politiques, sauf de courageuses exceptions, harcèlement au travail, elle fait montre d’un courage et d’une volonté en tout point remarquable. Elle pratique la musculation, pour devenir coach sportif, elle suit des cours de sport de combat, elle sort désormais sans protection policière. Mais elle est contrainte d’éviter certains quartiers, certaines zones de non droit.

Elle blâme le silence coupable des soi-disant associations féministes, reconnaissant que les soutiens lui viennent plutôt de la droite. La loi dite « Schiappa » sur l’introduction dans le code pénal du délit de « harcèlement groupé », a permis certaines condamnations judiciaires, mais elle explique que les personnes non médiatisées contrairement à elle, qui subissent les mêmes dangers, sont loin de recevoir une réponse judiciaire appropriée et rapide. Elle est furieuse, et à juste titre, contre l’institution scolaire « qui a perdu la bataille face à l’obscurantisme islamiste qui s’est introduit depuis bien longtemps dans nos institutions. »

Judicieusement, elle pointe le fait que pour lutter contre l’islamisme, pour qu’il recule, il faut imposer notre culture, notre mode de vie, et ne pas avoir honte « d’être un petit blanc français ». Elle refuse de s’encarter dans un parti politique, même si elle estime retrouver certaines valeurs dans les discours de Reconquête, et elle apprécie Sarah Knafo. Elle clame à l’égard des jeunes, qu’il faut qu’ils la soutiennent et assument leurs idées, « la droite est majoritaire en France, comme les dernières élections législatives nous l’ont rappelé. »

Elle entend combattre ceux qui prônent la haine et la violence comme les députés LFI, les délinquants sous OQTF, qu’ils défendent, ainsi que les militants trans activistes qui menacent et ostracisent ceux qui ne pensent pas comme eux. Elle exhorte le peuple à ne pas rester statique « J’invite à choisir la vie et le combat, sans en avoir honte ». Ce qui l’inquiète aussi, ce sont des jeunes de plus en plus amorphes « biberonnés aux influenceurs et dépourvus de libre arbitre ou de sens critique ». Au contraire, elle est admirative « de ces jeunes qui ont le courage d’affirmer leurs idées et de muscler leur rhétorique face aux arguments, souvent bien vides, de l’extrême gauche, lesquels se résument à des accusations de racisme ou de fascisme. Tant mieux s’ils répliquent ».

Bien sûr, le journal Le Monde y voit « une égérie de l’extrême droite » (18 Janvier 2025), c’est bon signe, être attaqué par Le Monde est un gage de sérieux, et que l’on touche juste, là ou cela fait mal. Ce journal devenu le relais des thèses de LFI et des totalitaristes palestiniens, n’hésite pas d’ailleurs à reproduire les termes mêmes des paroles prononcées par Mila, le 18 janvier 2020, contre l’islam « je déteste la religion...le coran il n’y a que de la haine là-dedans, c’est de la merde....Votre religion, c’est de la merde. Votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul », Le Monde l’ayant écrit, on peut donc en faire état, sans encourir les foudres de la loi, Le Figaro avait rapporté aussi les mêmes termes.

Comme l’invoque aussi Valeurs Actuelles, le 17 janvier 2025, Mila a écrit une chanson « Une ode à la France », contre les violences de l’extrême gauche, contre les députés LFI, les délinquants sous OQTF, contre les militants trans-activistes « ce sont eux que je considère comme des envahisseurs, qu’ils soient Français ou pas ».

Comme en miroir aux propos roboratifs de Mila, un Tribunal iranien vient de condamner à mort, un rappeur iranien de 37 ans pour « Blasphème, pour injure au Prophète ». Cet homme qui s’était refugié en Turquie en 2018, avait été remis à l’Iran, la Turquie ayant suivi un ordre du Tribunal des Mollahs de Téhéran, cela ne nous étonnera pas. Pourtant, Amir Tatalou, c’est son nom, avait été un temps, un soutien du régime. En tout cas, des jeunes comme Mila, il en faudrait des centaines, des milliers, en France et en Europe.

17:22 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : mardi 21 janvier 2025, en Trégor (22), une conférence d'Alban d'Arguin, auteur de "Eoliennes, un scandale d'Etat"

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Le livre "Eolienne, un scandale d'Etat" cliquez ici

Paris, vendredi 24 janvier : soirée Livr'arbitres

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08:34 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |