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samedi, 10 mai 2025

Journal du chaos

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vendredi, 09 mai 2025

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Une fin de semaine chargée pour les non-conformistes :

Samedi 10 mai, à Paris :

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En Bretagne :

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À Toulouse :

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Dimanche 11 mai, Fête de Jeanne d'Arc :

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23:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ces cent jours qui ont frappé le monde

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Investi 47e président des États-Unis d’Amérique le 20 janvier 2025, Donald Trump a atteint le centième jour de son mandat le 30 avril dernier. En dix décades, le locataire de la Maison Blanche a déjà bouleversé son pays, l’économie mondiale et les relations internationales. Dès le premier jour de sa présidence, il a signé vingt-six executive orders qui correspondraient en France à des ordonnances gouvernementales. Par comparaison, en 2021, Joe Biden en signa dès la fin de son investiture le 20 janvier 2021… neuf ! Cent jours plus tard, ce sont finalement cent quarante-trois décrets présidentiels qui ont été pris. Lors de son premier mandat en 2017, surpris par sa victoire face à Hillary Clinton et peu soutenu par les caciques proto-démocrates d’un parti républicain soumis aux injonctions de la gauche culturelle, Donald Trump n’avait signé que vingt-quatre décrets présidentiels en une centaine de jours.

Ayant compris ses erreurs, ses négligences et ses maladresses, le nouveau président s’est tourné vers les laboratoires d’idées, dont The Heritage Foundation, grands pourvoyeurs d’agents administratifs fiables, compétents et loyaux. Il a accepté de « noyer le marais » en ouvrant en même temps plusieurs fronts, d’où cette impression recherchée de tournis incessant. La méthode est excellente. Dans son roman de politique-fiction, Le temps du phénix (2016), Bruno Mégret soutenait cette méthode afin de saper toute mobilisation hostile intense. Cette pratique devrait s’appliquer en 2027. En effet, plutôt qu’organiser, par exemple, une seule grande réforme sur les retraites susceptible de cristalliser les mécontentements, le gouvernement aurait tout intérêt à lancer en même temps plusieurs réformes (retraites, audio-visuel, temps de travail, code de la nationalité, fiscalité, etc.). Dès lors, soit l’opposition répliquerait à l’ensemble des projets avec le risque de se disperser et de s’amoindrir, soit elle ne se concentrerait que sur une seule réforme et permettrait l’adoption des autres.

Par ses décrets et des sorties tonitruantes, Donald Trump tient ses promesses électorales. Quelle audace ! Pendant la campagne présidentielle, ne disait-il pas que les droits de douane fussent les plus beaux mots du vocabulaire ? Ne prévenait-il pas les pans de l’« État profond » qu’il effectuerait une purge draconienne sous la direction d’Elon Musk et du DOGE (Département de l’efficacité gouvernementale) ? Outre un accord qui expédie dans une prison de très haute sécurité au Salvador des migrants illégaux, des agents du FBI arrêtent en plein tribunal, le 25 avril, Hannah Dugan, juge élue au tribunal de circuit (l’équivalent d’une cour d’appel) du comté de Milwaukee dans le Wisconsin. Jubilons que d’autres juges, d’autres journalistes, d’autres universitaires connaissent eux aussi les menottes !

C’est en économie que le trumpisme en action a effectué le plus de changements. En augmentant considérablement les taxes douanières, puis en revenant sur ces tarifs prohibitifs, Donald Trump sait-il ce qu’il fait ? Oui ! Par la menace, il formule des exigences si hautes que ses interlocuteurs ouvrent aussitôt des négociations et recherchent le meilleur compromis commercial possible.

Favorable à une Amérique du Nord autarcique, élargie au Canada et au Groenland, Donald Trump, bien que non interventionniste belliciste pour l’instant, encourage une hégémonie mondiale sans complexe. L’Amérique d’abord ne signifie pas l’Amérique seule et isolée ! S’il somme les membres de l’OTAN d’augmenter leurs efforts de réarmement, il les pousse à se fournir que chez des groupes étatsuniens, quitte à mettre en péril les industries de défense du Vieux Monde. En parallèle, Washington s’indigne des amendes infligées par l’Union dite européenne à Apple (500 millions d’euros) et à Meta (200 millions). Les États-Unis ne se privent pourtant pas de sanctionner maints entreprises européennes sous couvert de l’extraterritorialité de leur droit au moindre prétexte. Trump II témoigne d’une incontestable volonté prédatrice, y compris envers les fonds sous-marins riches en nodules polymétalliques. La signature récente d’un accord sur les terres rares avec l’Ukraine en est une preuve tangible.

Les formidables pressions de la part des « seigneurs de la Tech », Elon Musk en premier, expliquent aussi le revirement de Donald Trump sur les droits de douane. Si le mouvement MAGA prêche le protectionnisme de bon aloi, son aile high tech, en bon perroquet libertarien, continue à défendre le libre-échange, un libre-échange biaisé en faveur de l’Oncle Sam. C’est la seconde fois en cent jours, après la dispute autour des visas accordés aux ingénieurs étrangers nécessaires aux firmes du numérique, que de fortes dissensions opposent Musk à Steve Bannon. Deux tendances au moins s’affrontent pour disposer ensuite du monopole idéologique sur la nébuleuse MAGA.

La volte-face présidentielle sur les questions douanières montre en tout cas la forte intégration commerciale de l’aire occidentale américanomorphe. Économie fortement internationalisée, la Hongrie illibérale récuse tout protectionnisme strict. Par ses initiatives erratiques, Donald Trump a le mérite de montrer qu’il n’est pas simple de se libérer du dogme libre-échangiste, ni de la réalité induite par cette croyance pathogène. Circonstance aggravante, sa reculade se comprend à l’approche des élections de mi-mandat en novembre 2026. La médiasphère spécule déjà sur une victoire des démocrates à la Chambre des représentants, voire aussi au Sénat. Ce pari journalistique serait trompeur.

En dressant de hautes barrières douanières qui stimulent l’inflation, Donald Trump espère inciter à la réindustrialisation des États-Unis avec des producteurs étatsuniens pour des consommateurs US. Preuve est faite qu’on ne peut pas rayer d’un simple trait de plume cinq décennies de libre- échangisme mondial. Une politique protectionniste nécessite de la durée incompatible avec les échéances électorales à venir. Sa réalisation effective signifierait la fin de l’opulence, la sortie du consumérisme effréné et la mise en place d’une décroissance planifiée tendant vers l’appauvrissement (et non la paupérisation) de la société. Un mode de vie pauvre, austère et frugale n’est guère l’idéal recherché aux temps de la démocratie massifiée et manipulée.

En cent jours, Donald Trump a réussi, après le plus formidable retour politique de l’histoire des États-Unis, à chambouler un monde qui perd à son corps défendant sa boussole américaine. Se dirige-t-on vers une multipolarité naissante, instable et partielle ? Difficile de l’affirmer nettement. La seconde présidence Trump parviendra-t-elle à enrayer le déclin des États-Unis ou bien va-t-elle au contraire l’amplifier ? L’occasion est toutefois propice pour que les Européens renouent enfin avec leur propre civilisation.       

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°155, mise en ligne le 6 mai 2025 sur Radio Méridien Zéro.

19:51 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quelques jours avant la journée de La Chapelle Basse Mer (samedi 17 mai, en Loire-Atlantique), Reynald Secher répond à Franck Abed

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00:07 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 08 mai 2025

Alexandre Hinger, candidat du Parti de la France dans la 5e circonscription de Saône-et-Loire, nous parle de sa campagne

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Election législative partielle des 18 et 25 mai 2025

23:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ILS VEULENT INTERDIRE LA MANIF DE DEMAIN : LE COMITÉ DU 9 MAI RÉAGIT

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19:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

8 mai : arrêtons de célébrer nos chaînes — Les Américains n’ont jamais été nos alliés

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Julien Dir

Le 8 mai 1945 est devenu un rituel nécrosé, un cérémonial de l’amnésie. Chaque année, les élites nous pressent de commémorer la « libération » de la France par les États-Unis. Chaque année, les enfants de l’école républicaine se prosternent devant l’oncle Sam, comme si la liberté était venue de l’Ouest, transportée dans les rations militaires et les chewing-gums (en oubliant bien vite les bombardements massifs, notamment sur la Bretagne et les victimes civiles qui vont avec, mais aussi la colonisation économique et mentale qui a suivi). Il est temps de dire la vérité : les Américains n’ont jamais été nos alliés. Jamais. Ils n’ont été que nos gestionnaires d’occupation.

L’Amérique n’a pas libéré l’Europe. Elle l’a soumise.

Le débarquement de Normandie ? Une opération géostratégique. Les GI ne sont pas morts pour les clochers de Bretagne ni pour l’honneur de la France, mais pour empêcher l’Armée rouge de planter son drapeau à Cherbourg. Ce n’est pas l’amour de la liberté qui guidait Roosevelt ou Eisenhower, mais le calcul froid d’un empire en expansion. Le sang des Européens, des Allemands comme des Français, n’a été pour eux qu’une variable d’ajustement.

Les bombes américaines et britanniques ont rasé Caen, Le Havre, Saint-Lô, Royan, Nantes, Brest tout comme Dresde par la suite… avec une brutalité indifférente. Des dizaines de milliers de civils français sont morts sous les « libérateurs ». Mais qui s’en souvient ? Certainement pas les ministres de la Mémoire, trop occupés à pleurer sur le sort des « déboulonneurs de statues ».

Une puissance construite sur le sang des autres.

L’Amérique, depuis 1776, s’est érigée dans le sang. Celui des Amérindiens, des Sudistes, des Mexicains, des Philippins, des Vietnamiens, des Irakiens, des Serbes, des Libyens, des Syriens. Elle ne libère jamais. Elle remplace les chaînes par ses dollars, ses bases militaires, ses McDonald’s et ses Netflix. Le soft power, c’est de l’occupation à visage souriant.

Et quand un président ose rompre avec la logique impériale – Donald Trump, malgré ses ambiguïtés – que fait-on ? On le diabolise. Parce qu’il était le premier président américain depuis un siècle à ne pas vouloir de guerre nouvelle. Une divine surprise, mais fugace. Car déjà, le vieux parti belliciste est de retour, plus hargneux, plus cynique, plus mondialiste que jamais.

Deux guerres mondiales : le sacrifice de la jeunesse européenne.

Les deux guerres mondiales furent des guerres civiles européennes. Des boucheries fratricides fomentées pour le profit d’une caste de banquiers, de spéculateurs et de puissances étrangères qui ne rêvaient que d’une chose : briser la colonne vertébrale de l’Europe, tuer dans l’œuf toute possibilité d’un empire continental.

La plus belle jeunesse d’Europe, de Verdun à Stalingrad, de la Somme à Berlin, a été jetée dans le broyeur. Pour quoi ? Pour que Londres devienne une succursale de Washington. Pour que l’hexagone oublie qu’elle regorge de peuples indomptables. Pour que l’Allemagne, humiliée, devienne l’atelier de l’Amérique.

Il n’y a rien à célébrer.

Le 8 mai ne marque pas une libération. Il marque la fin d’une occupation tyrannique et le début de notre dépendance, de notre provincialisation, de notre soumission intellectuelle, culturelle, militaire. Depuis 1945, la France, comme la Bretagne sont sous tutelle. Célébrer cette date, c’est célébrer l’abandon de notre souveraineté.

Nous ne devons ni gratitude ni allégeance aux États-Unis. Rien. Leur hégémonie est un poison lent. Leur amitié est un mensonge stratégique. Leur présence sur notre sol est une anomalie historique.

À l’heure où les tambours de guerre battent de nouveau, où le Vieux Continent doit choisir entre soumission ou souveraineté, le premier acte de lucidité consiste à brûler les idoles. Oui, les Etats-Unis ont vaincu les Nazis qui eux mêmes, étaient des occupants barbares. Non, les États-Unis ne sont pas nos alliés. Ils ne l’ont jamais été. Ils ne le seront jamais. Cessons de commémorer nos chaînes. Préparons notre réveil.

Source : Breizh info cliquez ici

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mercredi, 07 mai 2025

Sarah Knafo, l’invisible éclat d’une droite qui cogne

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Balbino Katz chroniqueur des vents et des marées

Il est des figures qui, pour briller, n’attendent ni les plateaux à grand renfort de projecteurs, ni les sondages calibrés par les antichambres d’une opinion sous influence. Il en est aussi qui, au lieu de s’incliner devant le théâtre obligé de la politique moderne, parlent droit, sans biaiser, à rebours du langage-miroir dans lequel les journalistes aiment à enfermer leurs invités. Sarah Knafo, députée européenne du parti Reconquête, appartient à cette race rare. Invitée sur France Inter dans l’émission Questions politiques, elle a offert, sans forfanterie, une prestation dont l’acuité, la rigueur et parfois l’audace tranchent singulièrement avec l’insignifiance soyeuse des entretiens convenus (NDLR SN : regarder l'émission cliquez ici).

L’occasion en était offerte : la presse dite de service public se voulait inquisitrice, presque accusatoire, sous des dehors courtois. Mais à mesure que se déroulait l’émission, ce n’est pas tant l’invitée que l’on découvrait, que l’appareil médiatique lui-même, nu dans ses réflexes et son impensé idéologique. En questionnant Sarah Knafo sur ses prises de position, ses fréquentations, ses appartenances européennes, les journalistes semblaient moins chercher à comprendre qu’à disqualifier — à l’ancienne, par insinuation, comparaison et réduction. À défaut d’arguments, on voudrait que la répétition d’un mot — « extrême droite » — suffise à clore toute analyse. Mais l’invitée, rompue aux joutes oratoires, manie le syllogisme comme d’autres le fouet. Elle ne se laisse pas réduire au silence.

Ce fut particulièrement éclatant lorsque, interrogée sur les manifestations ayant suivi la mort tragique d’un jeune Malien, Aboubakar Sissé, tué dans une mosquée, Sarah Knafo osa établir une comparaison crue, mais juste. Elle rappela la manière dont les médias publics — France Inter en tête — avaient traité l’affaire Lola, cette fillette de douze ans, française, assassinée à Paris. Quand Reconquête voulut organiser une marche silencieuse en sa mémoire, les mêmes voix qui aujourd’hui célèbrent la mobilisation autour de Sissé parlaient alors de « récupération ». Cette dissonance, Knafo la nomme sans détour. Elle ne nie ni le drame, ni la compassion, mais exige, et c’est tout le sens de son propos, la même décence pour toutes les douleurs. Ce n’est pas Lola contre Aboubakar. C’est la France contre la partialité d’un régime discursif qui, par peur ou par paresse, ne voit que ce qu’il attend.

Il faut ici souligner, sans effet de manche, le talent dialectique de l’intéressée. À chaque tentative d’enfermement dans une case rhétorique — « êtes-vous d’extrême droite ? », « ne trouvez-vous pas ce geste nazi choquant ? », « pourquoi siéger avec l’AfD ? » — Sarah Knafo oppose une réponse précise, parfois impitoyable, toujours structurée. Elle conteste la désignation, mais surtout, elle déplace le terrain: ce ne sont pas ses opinions qui posent problème, c’est leur disqualification systématique. Elle ne se retranche pas dans la posture victimaire. Elle affirme, elle expose, elle défie.

Ce qui surprend, dans cet échange, ce n’est pas la pugnacité de Sarah Knafo, qui n’est plus à prouver. C’est l’aveu involontaire du plateau : que l’on peut passer une heure à interroger une élue, sans jamais vraiment entendre ce qu’elle dit. Et pourtant, cette voix singulière — jeune, mais formée ; ferme, mais posée — dit quelque chose de ce que pense une partie non négligeable des Français. Elle dit aussi ce que d’autres, par précaution, ne disent plus.

Au Parlement européen, elle siège dans un groupe réduit, Europe des Nations souveraines, tandis que les élus du Rassemblement national occupent les bancs d’un groupe aux effectifs largement supérieurs. Et pourtant, à observer le vide doctrinal du RN dans l’hémicycle de Strasbourg, sa capacité à ne rien peser, à ne rien imposer, on se prend à penser que cette députée solitaire fait plus d’effet que toute la troupe. Elle propose, elle travaille, elle combat : sur les ZFE, l’aide publique au développement, ou la défense des frontières, elle agit avec une ardeur artisanale. Cela ne suffit pas à faire la une, mais cela change le réel, ce dont les formations pléthoriques sont aujourd’hui bien incapables.

On notera d’ailleurs que son absence des grands sondages de popularité n’est pas un oubli. C’est une décision. On évince ce qui dérange. Et dans une époque où le fait d’être une femme politique, défendant les thèses souverainistes et identitaires, rend inclassable, on préfère ignorer. Elle ne rentre pas dans les cases, et cela suffit à la rendre invisible aux yeux du système. Mais cette invisibilité est une ruse : elle agit dans l’angle mort de la République médiatique, et de là, fait émerger un discours que le peuple reconnaît.

Dans le désordre oratoire de la droite contemporaine, pleine d’élus sans verbe et de tribuns sans ancrage, Sarah Knafo est la conséquence heureuse du départ de Marion Maréchal : sans ce mouvement d’échiquier, peut-être n’aurait-elle pas accédé à cette pleine visibilité. Il arrive parfois que la lumière naisse d’une vacance. L’histoire politique n’est pas toujours affaire de nombre, mais d’énergie. Et celle-ci, indubitablement, irradie plus qu’on ne veut bien l’admettre.

Source Breizh info cliquez ici

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IL VAUT MIEUX VENIR DU MSI QUE DE LA BANQUE ROTHSCHILD

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Trois impératifs stratégiques pour sortir du déclin

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Bruno Mégret
 
La situation dramatique dans laquelle se trouve actuellement la France a fini par provoquer une double prise de conscience chez nos compatriotes qui sont maintenant de plus en plus lucides quant à la réalité des fléaux qui les menacent et à la responsabilité que portent dans ce désastre les hommes politiques actuellement ou anciennement au pouvoir. On peut donc aujourd’hui imaginer l’hypothèse, que certains jugeront bien optimiste, de la victoire en 2027 d’une force nouvelle, disons, pour simplifier, d’une force de droite composée autour du RN, du parti d’Éric Ciotti et pourquoi pas de Reconquête, voire du parti LR dans le cas, certes improbable, où il serait refondé après l’élection de son nouveau président.

Répondre à trois impératifs majeurs

Un tel séisme politique, s’il se produisait, représenterait, je pense, la dernière occasion de redresser notre pays et d’éviter qu’il sombre dans une décadence mortelle. Aussi ne faudrait-il pas que cette opportunité soit gâchée par un manque de volonté et surtout par une insuffisance d’audace.

Le risque existerait en effet que le nouveau pouvoir ne prenne pas des moyens et n’adopte pas des méthodes qui soient à la hauteur de la situation. Seule une démarche de rupture permettrait de reconstruire notre nation et d’engager sans coup férir le « grand changement » qui est maintenant nécessaire. Afin d’y voir clair sur cette question essentielle, j’ai identifié trois impératifs, trois exigences auxquelles le nouveau pouvoir devrait satisfaire pour rompre réellement avec les errements actuels et passés. Trois impératifs stratégiques majeurs sans lesquels rien ne serait possible mais avec lesquels le renouveau pourrait venir.

Remettre les juges à leur place

L’impuissance qui frappe le monde politique depuis une ou deux décennies s’explique par la suprématie malfaisante du pouvoir judiciaire sur les pouvoirs exécutif et législatif. Au nom d’un prétendu État de droit, le gouvernement des juges enferme l’exécutif et le Parlement dans le champ clos de l’idéologie politiquement correcte, mondialiste, libre-échangiste, individualiste, immigrationniste, islamophile et écolo-wokiste.

Ainsi en est-il principalement du Conseil constitutionnel composé de neuf membres nommés qui censurent sans appel et sur des critères idéologiques les lois votées par les députés et les sénateurs pourtant élus quant à eux par le peuple français. De même, la juridiction administrative et le Conseil d’État à sa tête annulent sans scrupule des décisions de l’exécutif non pas au regard du droit mais selon des critères d’opportunité. Quant à la juridiction pénale dominée par le Syndicat de la magistrature, elle prend, elle aussi, de nombreuses décisions politiques comme l‘élimination de candidats potentiellement vainqueurs de l’élection présidentielle mais jugés trop politiquement incorrects.

Certes, François Fillon et Marine Le Pen ont commis des fautes au regard d’une réglementation au demeurant fort discutable. Mais la date à laquelle a été lancée la mise en examen du premier à quelques mois du scrutin l’a mené à son échec en 2017. De même, la nature de la peine comportant l’inéligibilité immédiatement applicable pour la seconde va probablement la conduire à son élimination de la course présidentielle de 2027. En abusant outrancièrement des procédures et des codes, les juges s’arrogent le droit de torpiller des candidatures qui ne leur plaisent pas, imposant de fait leur volonté aux politiques.

Pour agir réellement sur le destin de notre nation, il faudra donc que les politiques reprennent le pouvoir et remettent les juges à leur place. En commençant par le Conseil constitutionnel auquel il faudra impérativement retirer le pouvoir exorbitant de rejeter des lois ou des articles de lois votées par les représentants du peuple. Si rien de tel n’est fait en début de mandat présidentiel, rien de déterminant ne pourra être réalisé ensuite.

Prendre des mesures d’exception fortes, simples et efficaces

Pour réussir le « grand changement », la situation impose par ailleurs que soient prises dans chaque domaine des mesures fortes et exceptionnelles. Ce n’est pas en votant une succession de lois classiques venant s’imbriquer dans le fatras législatif actuel et dont l’application risque d’être laborieuse que l’on pourra donner les coups d’arrêt nécessaires pour infléchir significativement les courbes funestes de notre destin. La situation de notre pays est tellement grave que le redressement passe nécessairement par le recours à des mesures d’exception spectaculaires, simples et efficaces.

Ainsi, sur la question migratoire, faudrait-il par exemple décider de stopper toute nouvelle immigration pendant une période exceptionnelle de dix ans en faisant voter une loi d’urgence qui suspendrait l’ensemble des dispositions, qu’elles soient réglementaires, législatives ou européennes, autorisant, facilitant ou encourageant l’immigration. Une loi qui entraînerait notamment l’arrêt de la délivrance de visas aux ressortissants des pays d’émigration, la fin du regroupement familial, la suspension du droit d’asile et l’abandon du système d’accueil des étudiants provenant des pays d’émigration.

Un tel moratoire sur l’immigration émettrait un signal fort en Europe et dans les pays d’où viennent les migrants. Il serait de plus difficilement contestable tant il paraît évident qu’avant de faire venir de nouveaux immigrés il est nécessaire de résoudre d’abord les problèmes posés par ceux qui sont déjà sur notre sol.

Pour restaurer la sécurité et rétablir l’autorité de l’État, on pourrait dans le même esprit imaginer le vote d’une loi d’urgence qui donnerait, pour une période de temps limitée à cinq ans par exemple, le droit au gouvernement d’enfermer dans des centres de relégation les voyous multirécidivistes arrêtés en flagrant délit. Ces individus que la justice libère aujourd’hui juste après leur arrestation et qui vont ensuite défier la police pourraient ainsi par simple arrêté préfectoral être enfermés dans un centre de relégation dès la fin de leur garde à vue, c’est-à-dire au plus tard quarante-huit heures après la commission de leurs méfaits. Ils seraient alors jugés depuis leur lieu d’incarcération non par les tribunaux ordinaires mais par des tribunaux d’exception nommés par le gouvernement. Ceux-ci vérifieraient la réalité des faits, décideraient pour les délinquants de la durée de la relégation et transféreraient à la justice ordinaire les auteurs de crimes graves.

Gageons qu’alors les policiers se feraient respecter, que la mise à l’écart des fauteurs de troubles améliorerait significativement la sécurité des Français et que ce choc d’autorité restaurerait le prestige de l’État régalien.

Des dispositifs du même ordre devraient être mis en place dans tous les domaines actuellement en crise comme la réduction des dépenses publiques, la baisse des charges sur les entreprises, la valorisation du travail, la réindustrialisation du pays, le retour à une école de l’excellence, le soutien à la famille et à la natalité française.

Ignorer la diabolisation

Enfin, il devient essentiel que la force nouvelle qui pourrait être portée au pouvoir pour assurer le redressement de la France se libère de la contrainte de la diabolisation. La gauche et les tenants du politiquement correct étant ultra-minoritaires chez les Français, il est scandaleux que, parce qu’ils sont omniprésents parmi les juges et dans les médias, ils puissent frapper d’excommunication ceux qui refusent de s’aligner sur l’idéologie officielle. La force porteuse du « grand changement » devrait donc se libérer de la pression que l’extrême gauche exerce ainsi sur ses ennemis. Pour ce faire, si elle devrait certes continuer à ne pas provoquer cette diabolisation par des propos intempestifs, elle devrait désormais l’ignorer purement et simplement.

Le moment est donc venu pour les partis de droite de ne plus se laisser intimider. Il serait en effet indigne que certains rechignent à prendre dans toute leur ampleur les mesures nécessaires par peur de la diabolisation. Ceci d’autant plus que beaucoup de Français ont maintenant bien compris que la diabolisation n’est rien d’autre qu’une manipulation de l’opinion.

Rompre avec l’impuissance politique notamment en neutralisant le Conseil constitutionnel, promulguer sur chaque grand sujet des lois d’exception efficaces, simples et spectaculaires, et ignorer la diabolisation pour retrouver une pleine liberté d’action, telles sont, me semble-t-il, les trois exigences stratégiques à satisfaire pour sortir la France du marasme où elle s’enlise.

Les partis de droite sont-ils prêts ?

Aussi peut-on s’interroger sur l’aptitude des partis de droite susceptibles de prendre le pouvoir en 2027 à satisfaire à ces trois impératifs.

S’agissant du premier, force est de constater que pas plus LR que le RN n’a développé de critiques claires et assumées sur le gouvernement des juges et sur la nécessité de remettre le pouvoir judiciaire à sa place et notamment le Conseil constitutionnel. Or, si cette réforme devait être menée à bien, encore faudrait-il l’expliquer aux Français dès avant l’échéance de 2027. La politique ne consiste pas seulement à répondre aux aspirations des Français telles qu’elles résultent des études d’opinion, elle doit viser aussi, notamment en dehors des périodes électorales, à les convaincre de la justesse des idées et des projets que l’on porte.

Concernant la nécessité de prendre des mesures de rupture, il n’est pas certain que la ligne de normalisation actuellement suivie par le RN soit très compatible avec cet impératif. Le Rassemblement national devrait en effet cesser de rechercher la normalisation. Si la stratégie de dédiabolisation a été utile pour atteindre les scores qui l’ont placé aux portes du pouvoir, il ne faudrait pas que la normalisation le conduise une fois aux commandes à pratiquer une politique « normale », c’est-à-dire comparable, sinon dans son orientation du moins dans son inefficacité, à celle des gouvernements des décennies passées.

Pour ce qui est de la diabolisation qu’il faut ignorer, le parti LR, s’il devait se refonder après l’élection de son nouveau président, devrait, parmi ses toutes premières initiatives, montrer qu’il se libère du prétendu danger de la diabolisation en proclamant publiquement la fin du cordon sanitaire autour du RN. Une attitude d’ostracisme qui l’a pénalisé peut-être même davantage que le RN.

La France pourrait sortir du déclin

On ne vaincra pas les forces délétères qui détruisent notre pays par les méthodes qui ont cours depuis près de cinquante ans. Si l’on veut que la France échappe au phénomène mortifère d’effacement dans lequel elle est aujourd’hui entraînée, il importe en réalité d’engager un processus de rupture et un changement de Système.

L’état de la France est si grave que le temps n’est plus aux mesurettes qui ne servent qu’à faire croire que l’on agit, l’heure est aux actions d’ampleur qui transforment le réel avec force et rapidité. Il ne s’agirait plus de promettre aux Français une augmentation de leur pouvoir d’achat mais de les inviter à se battre pour sauver leur nation et leur civilisation. Un combat plus exigeant mais beaucoup plus prometteur car, si la force nouvelle au pouvoir répondait aux trois exigences stratégiques que j’ai évoquées et si elle mettait en œuvre sur ces bases le « grand changement » qui est nécessaire, la France pourrait à nouveau se tourner vers l’avenir avec confiance.

Source Polémia cliquez ici

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Dien Bien Phu (7 mai 1954)...

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mardi, 06 mai 2025

Samedi 10 mai, à Laure-Minervois (11) : Rencontres culturelles patriotiques de Place d'Armes

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Revue de presse : « Secte sous l’emprise d’un couple » : Fabien Roussel fustige l’autoritarisme de Jean-Luc Mélenchon et de Sophia Chikirou au sein de LFI

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Lino Bauer, Frontières cliquez ici

Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, a comparé La France insoumise à une « secte » sous l’influence de Jean-Luc Mélenchon et Sophia Chikirou, dénonçant un manque de démocratie interne.

Ce mardi 6 mai, Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, a livré une charge virulente contre LFI sur BFMTV, qualifiant le parti de « secte sous l’emprise d’un couple », en référence à Jean-Luc Mélenchon et sa compagne, Sophia Chikirou.

Des propos qui font écho aux révélations d’un livre-enquête, signé par les journalistes Charlotte Belaïch et Olivier Pérou, à paraître le 7 mai. Fabien Roussel a pointé un « manque de démocratie » au sein du mouvement, dénonçant des pratiques internes qu’il juge « pas jolies à voir ». Pour lui, ces dysfonctionnements posent un « vrai sujet » pour la gauche, notamment en vue de l’élection présidentielle de 2027.

Mélenchon, un « mauvais choix » pour 2027

Fabien Roussel n’a pas épargné Jean-Luc Mélenchon, qu’il considère comme « ni un bon candidat, ni un bon choix pour la France ». Rappelant sa propre candidature face à Mélenchon au premier tour de la présidentielle de 2022, l’ancien député a appelé à une gauche « sincère, démocratique, républicaine, laïque » capable de porter « les espoirs d’un vrai changement ». Il a exprimé sa confiance en la « lucidité » des électeurs pour choisir, en 2027, un candidat incarnant ces valeurs au second tour.

Le livre-enquête s’appuie sur des témoignages d’anciens cadres de LFI, exclus lors des élections législatives de 2022 et 2024, tels que Danielle Simonet, Alexis Corbière, Raquel Garrido, François Ruffin et Clémentine Autain. Ces figures auraient été écartées pour s’être opposées aux pratiques internes du mouvement, selon les auteurs.

LFI rejette les accusations

Face à ces allégations, le coordinateur de LFI, Manuel Bompard, a balayé les critiques le 6 mai. Qualifiant le livre de « collage de ragots » et de « fausses informations », il a affirmé avoir relevé des « inexactitudes à presque toutes les pages ». Le député insoumis a alors adopté un ton léger, minimisant l’impact de ces révélations sur le parti.

Les déclarations de Fabien Roussel, alliées aux révélations du livre-enquête, relancent le débat sur la gouvernance de LFI et son rôle dans l’avenir de la gauche française. Alors que le PCF et LFI ont collaboré lors des législatives de 2022 et 2024, ces tensions pourraient compliquer les alliances futures, notamment en perspective de la présidentielle de 2027.

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Suite au décès de François Wagner : la réaction de Bernard Antony (fondateur de l'AGRIF)

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Un communiqué de Bernard Antony :

Ce samedi 3 mai 2025, au moment où nous bouclions ce numéro de La Griffe, Me Jérôme Triomphe nous appelait, très ému, pour nous informer du rappel à Dieu de son confrère et cher ami François Wagner, comme lui avocat de l’AGRIF.

Avec Jeanne Smits et Olivier Figueras, avec Cécile Montmirail, nous avons partagé la tristesse de Jérôme Triomphe.

François a été rappelé à Dieu après quarante-cinq ans d’exercice de sa vocation d’avocat au barreau de Paris. Digne fils de son père, le grand avocat Georges-Paul Wagner, François avait maintes fois plaidé pour l’AGRIF, et en bien d’autres affaires encore, pour la défense de l’identité française et chrétienne.

L’AGRIF exprime ses condoléances à son épouse Caroline, à son fils Erwan Wagner, chanoine de l’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre, et à toute leur famille.

Source cliquez là

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RAPPEL : un nouveau stock du journal "Pour un Ordre nouveau" refait surface...

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Le 28 juin 1973, suite à l’attaque par plusieurs milliers de gauchistes du meeting contre l’immigration sauvage qu’il avait organisé à la Mutualité (Paris) la semaine précédente, le Mouvement Ordre nouveau est interdit par le pouvoir gaulliste de l’époque.

Ordre nouveau éditait un mensuel de combat, Pour un Ordre nouveau, diffusé à plusieurs milliers d’exemplaires par ses militants. Après la dissolution, les stocks de journaux furent saisis. Quelques exemplaires cependant ont échappé aux rapaces de la police politique.

52 ans après, certains numéros, parmi les 20 livraisons éditées alors, sont ressortis du fond d’un grenier et remis en vente pour les collectionneurs et amateurs (1).

Nous vous proposons le n°15 (oct. 1972) qui est en grande partie consacré à la création du Front national. Vous trouverez dedans un article de Jean-Marie Le Pen.

Le reflet d’une époque, un document historique à ne pas manquer…

Pour le commander cliquez ici

D’autres numéros seront bientôt mis en vente…

(1) Déjà, en 2018, nous avions débusqué un stock de ce journal mythique mais celui-ci fut très vite épuisé.

11:20 Publié dans Pour un Ordre nouveau | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Darmanin avoue avoir préféré salir les Anglais plutôt que nommer l’ennemi intérieur

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Enfin ! Gérald Darmanin, ce petit préfet de la Macronie, a fini par lâcher le morceau. Après deux ans de mensonges, de dérobades, d’accusations mensongères contre les supporters anglais — qui n’étaient que des boucs émissaires commodes — il admet ce que tout le monde savait dès le lendemain de la finale de la ligue des champions : les véritables responsables des violences du 28 mai 2022 aux abords du Stade de France, ce n’étaient pas des hooligans de Liverpool, mais bien cette racaille locale, ce lumpenprolétariat du 93, ultra-violent, vomissant la France mais protégé par la religion d’État qu’est devenu l’antiracisme.

Darmanin n’a pas « commis une erreur ». Il a menti sciemment, pour ne pas nommer l’ennemi intérieur. Par lâcheté, par soumission idéologique, et par peur de stigmatiser ces « territoires perdus de la République » que plus personne n’ose appeler par leur nom. Le Stade de France, en mai 2022, c’était une démonstration éclatante de l’effondrement de l’autorité, de l’impuissance de l’État et du remplacement progressif d’un ordre républicain par la loi du plus fort — en l’occurrence, celle des bandes.

Le dispositif policier était non seulement insuffisant, mais volontairement mal orienté : on préférait contrôler des pères de famille anglais plutôt que de risquer l’émeute dans les cités voisines. Toute cette affaire est le symptôme d’un pays qui abdique, d’une classe dirigeante qui préfère calomnier les Anglais plutôt que d’assumer l’évidence : il y a une fracture raciale majeure dans notre société et elle explose au grand jour à chaque événement d’ampleur.

11:18 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 10 mai, à Paris : les consignes du C9M

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Et comme disait notre regretté Ami, Serge de Beketch :

"Ça va sans dire... Mais ça va mieux en le disant".

10:54 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 05 mai 2025

Eric Zemmour, le clairvoyant, face à Alain Duhamel, le timoré qui refuse de voir la vérité en face... C'était dimanche soir sur BFM TV

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Et Pierre Cassen dépose la cerise sur le gâteau :

11:07 Publié dans Revue de presse, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roumanie : George Simion, le candidat souverainiste, inflige un camouflet à l’oligarchie euro-atlantiste

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Source Breizh info cliquez ici

C’est un véritable bras d’honneur que le peuple roumain vient d’adresser à l’oligarchie bruxelloise et à ses relais. Le 5 mai, George Simion (Breizh-info est le seul média francophone à l’avoir déjà interviewé), leader du parti AUR (Alliance pour l’Union des Roumains), est arrivé largement en tête du premier tour de la présidentielle roumaine, avec plus de 40 % des voix, malgré un contexte politique explosif et des tentatives évidentes de manipulation électorale.

Alors que l’élection présidentielle de novembre dernier avait été annulée dans des circonstances plus que troubles — notamment après la victoire surprise du candidat antisystème Călin Georgescu — la Roumanie était appelée de nouveau aux urnes ce week-end. Et le résultat est sans appel : George Simion, qui a pris le relais politique malgré de nombreuses différences, de Georgescu, s’impose comme la figure de proue d’une Roumanie décidée à retrouver sa souveraineté.

Une victoire populaire contre le système

Avec 40,87 % des suffrages, Simion devance très largement le maire globaliste de Bucarest, Nicușor Dan (20,97 %), et l’actuel président par intérim Crin Antonescu (20,13 %), qui ne sera pas présent au second tour prévu pour le 18 mai.

Dans un discours offensif, Simion a salué « une victoire exceptionnelle » et affirmé : « Aujourd’hui, le peuple roumain s’est levé. Il est temps qu’il soit entendu. Malgré les obstacles, malgré les manipulations… les Roumains ont parlé. »

L’élection survient dans un climat de fortes tensions. En novembre dernier, Călin Georgescu, alors vainqueur du premier tour, avait vu sa candidature annulée sur fond d’accusations d’« ingérence russe ». L’Union européenne avait alors été pointée du doigt pour sa pression exercée sur Bucarest afin d’empêcher l’élection d’un président ouvertement eurosceptique et opposé à la ligne belliciste en Ukraine.

Arrêté en février, Georgescu est poursuivi pour des motifs politiques à peine voilés : « incitation à des actions contre l’ordre constitutionnel », « diffusion de fausses informations » ou encore « création d’une organisation à caractère fasciste ou xénophobe ». En mars, il a été officiellement interdit de se présenter à nouveau, pour avoir — selon la commission électorale — « violé l’obligation de défendre la démocratie ».

Un comble, lorsqu’on constate le sort réservé aux candidats qui contestent la ligne euro-atlantiste…

Un second tour décisif face au système

Malgré ces manœuvres, Simion a choisi d’incarner la relève. Dimanche, il s’est présenté aux urnes aux côtés de Georgescu et a affirmé avoir voté en son nom. « Nous sommes ici avec une seule mission : le retour à l’ordre constitutionnel, le retour à la démocratie », a-t-il déclaré.

Dans une interview accordée à Breitbart News, Simion a affirmé vouloir faire de la Roumanie un allié de la future administration Trump, qu’il considère comme idéologiquement proche du mouvement AUR : « Vous pouvez me considérer comme un candidat MAGA — le seul candidat MAGA dans l’élection roumaine. »

Simion ne cache pas son objectif : incarner une rébellion démocratique contre la tutelle de Bruxelles, en revendiquant les idéaux de la révolution roumaine de 1989, détournés selon lui par des décennies de domination euro-atlantiste.

« Nous avons oublié que des hommes sont morts pour la liberté, pour des élections libres. Le combat continue. Il doit se transmettre de génération en génération. »

Ce scrutin partiel roumain constitue bien plus qu’une élection nationale : c’est un signal lancé à l’Europe occidentale. En s’unissant autour d’un candidat antisystème, souverainiste et pro-Trump, les Roumains rappellent qu’un autre chemin est possible — un chemin libéré de l’emprise technocratique, des diktats bruxellois et des récits imposés.

Le second tour du 18 mai dira si ce sursaut populaire peut se transformer en véritable basculement historique.

Lire aussi le site de Lionel Baland cliquez là

08:43 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 04 mai 2025

Sur France Inter, Sarah Knafo, digne et courageuse, remet à leur place les thuriféraires du prêt à penser

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20:39 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Me François Wagner vient de nous quitter

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Toute sa vie, avec efficacité et ténacité, François Wagner, en tant que militant et en tant qu'avocat, a participé au combat monarchiste, national et catholique. Il faut dire qu'il avait de qui tenir puisqu'il était le fils de Me Georges-Paul Wagner, lui-même avocat de renom et député du Front national (1986-1988), décédé en 2006 cliquez ici.

François a été rappelé à Dieu, vendredi dernier, suite à un infarctus. Il avait 71 ans, rien ne laissait présager cette fin tragique. Sa mort est une terrible perte pour sa famille bien sûr, mais aussi pour le camp national dans son ensemble.

Ces derniers mois, il avait fait parler de lui en tant qu'avocat de plusieurs prévenus, dont Jean-Marie Le Pen, dans l'affaire dite des assistants parlementaires du RN. À chaque fois où je lui ai, y compris dans un passé récent, demandé d'assister un camarade ayant des problèmes (politiques) avec la Justice, il a toujours répondu "présent".

"Présent" justement, c'était aussi le titre du quotidien que son père avait contribué à créer et pour lequel il s'est battu jusqu'au bout, pour tenter de le sauver. Il présidait aussi une association destinée à soutenir la promotion de la presse nationale.

En outre, François était un homme sage qui savait passer au-dessus des querelles qui divisent de manière récurrente la droite de conviction.

Nous reviendrons bientôt sur cette triste disparition qui endeuille, dans son ensemble, tout notre camp.

À Caroline, son épouse, à son fils, à toute sa famille, la rédaction de Synthèse nationale présente ses sincères condoléances.

Roland Hélie

 

 

Il y a quelques jours, François Wagner était l'invité de l'Association Sainte Geneviève à Paris.

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samedi, 03 mai 2025

La bataille de l’énergie

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Le président Georges Pompidou était un homme sage et surtout de bon sens, tout sentiment qui échappera à ses successeurs. Pompidou est ce président qui, à la suite de De Gaulle, a industrialisé la France. Et pour se faire, il avait pour conseiller un certain Ambroise Roux, puissant patron de la CGE. Pompidou n’hésitait pas à suivre ses avis avisés. Depuis cette date, nos gouvernants ont fait tout et n’importe quoi, laissant ces imbéciles d’énarques de Bercy prendre de malheureuses initiatives. Certes, ils ne sont pas les seuls. Par-delà les enjeux d’idéologies souvent mortifères – socialisme autant que libéralisme outrancier -, l’industrie européenne n’a pu atteindre sa pleine puissance que par la maîtrise sans cesse plus efficace de l’énergie. L’énergie, c’est le réel nerf de la guerre. On le constate aujourd’hui dans la guerre que se livrent Américains, Russes, Chinois et une Europe à la traîne, victime de ses erreurs. Dans cet entretien au Figaro, Anne Lauvergeon, qui dirigea Areva et François Gemenne, politologue, membre du GIEC, dressent un constat alarmant de la politique européenne – et française – en matière d’énergie. C’est de notre avenir dont il est question par les choix que nous serons amenés à faire.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 3/05/2025

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Un vent de Liberté soufle sur le Royaume Uni

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Hier, se déroulaient outre Manche des élections équivalentes à nos élections municipales en France. Les premiers résultats sont là, ils indiquent une poussée spectaculaire du parti national anglais Réform UK de Nigel Farage (cf. tableau ci-dessus). Il s'agit d'un véritable camouflé pour les partis moribonds du Système qui s'écroulent totalement.

Il faut rappeler que la Grande Bretagne est victimes depuis des décennies d'une politique migratoire insensée qui engendre aujourd'hui un véritable état de guerre inter-ethnique extrêmement violent comme on a pu le constater l'été dernier à travers tout le royaume.

Or, face à cette situation qu'il a lui-même engendré, le pouvoir travailliste (en pleine déconfiture) a préféré jeter en prison l'un des plus courageux militants de la cause de l'identité britannique, l'éveilleur de peuple Tommy Robinson. 

Hier, les Anglais ont sonné la fin de la récréation et condamné sans appel les politiques de soumission aux diktats de Bruxelles, qu'elles soient menées par les travaillistes ou par les conservateurs. Un vent de liberté commence à souffler sur le Royaume Uni... 

S N

 

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RIVAROL MENACÉ DE DISPARITION À COURT TERME

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Notre confrère et ami Rivarol traverse actuellement une dure période. Depuis près de 75 ans, cet hebdomadaire d'opposition nationale mène un combat héroïque, en prenant souvent des risques importants, pour défendre notre Nation et notre Civilisation.

Certes, il nous arrive parfois d'être en désaccord avec certains articles, plus sur la forme que sur le fond, et certaines appréciations. Mais qu'importe... Rivarol a toujours été, et doit rester, l'un des principaux vecteurs de la pensée non-conformiste. Voilà pourquoi il faut le soutenir aujourd'hui.

Son directeur, Jérôme Bourbon, lance un appel que nous relayons bien volontiers. En aidant Rivarol a traverser les épreuves auxquelles il est confronté, vous soutenez aussi le même combat que celui que nous menons pour la France et pour la Civilisation européenne.

Roland Hélie

directeur de Synthèse nationale

 

RIVAROL MENACÉ DE

DISPARITION À COURT TERME

Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol

On ne doit céder à aucun affolement mais il faut regarder la vérité en face : si rien n’est fait, et si la tendance actuelle se poursuit, nous disparaîtrons d’ici quelques mois. Nous ne passerons pas l’année, et peut-être même pas l’été. Ce serait d’autant plus fâcheux que nous envisageons d’organiser un banquet (à prix réduit) pour nos trois quarts de siècle l’année prochaine. Rivarol soufflera en effet ses 75 bougies le 18 janvier 2026. Dans moins de neuf mois. Il y a longtemps que nous ne nous sommes pas retrouvés pour partager un moment convivial et chaleureux. D’abord à cause des ahurissantes  restrictions de liberté liées à la gestion gouvernementale du Covid de 2020 à 2022. Puis à cause de la circulaire Darmanin du 9 mai 2023 qui a interdit toute manifestation de « l’extrême droite ». Toutes choses qui nous ont hélas contraints à renoncer à fêter nos 70 ans dans le cadre d’un banquet comme nous le souhaitions. Nous avons aujourd’hui plusieurs pistes pour organiser en province chez des sympathisants une belle journée rivarolienne courant 2026. Il serait triste de devoir y renoncer parce que nous aurions entre-temps disparu.

Rivarol est de surcroît la dernière publication historique de la droite nationale et nationaliste en France après les disparitions successives ces dernières années du Libre journal de la France courtoise de Serge de Beketch (2007), de National-Hebdo et Français d’abord (2008), de l’Action française 2000 (2018), de Minute (2020), de Présent (2022) et de Militant (2024). Il faut absolument que nous continuions à paraître car Rivarol, ce n’est pas une exagération ni une forfanterie de le dire, n’a pas d’équivalent actuellement dans la presse. Ni par sa liberté de ton et d’analyse. Ni par la constance de ses positions. Ni par la liberté de ses rédacteurs et de son courrier des lecteurs, ce qui est aujourd’hui unique dans la presse. Si nous disparaissions, c’en serait fini des chroniques si talentueuses de l’ami Hannibal, des éditoriaux de votre serviteur, d’un droit aux lettres très libre, des contributions des différents rédacteurs et chroniqueurs, de Robert Spieler à Jean Terrien, de Léon Camus à Henri de Fersan, de Scipion de Salm à Paul-André Delorme, de Jean Beaumont à Jean-Philippe Robiquet, de Michelle Favard-Jirard à François-Xavier Rochette. On peut certes préférer tel rédacteur à tel autre, telle rubrique à telle autre. On peut trouver Rivarol trop ceci ou pas assez cela mais s’il disparaissait c’en serait fini de cette magnifique aventure de presse qui aura traversé les décennies et qui est aujourd’hui unique en Europe, le National Zeitung ayant disparu outre-Rhin en 2019 tout comme le Secolo d’Italia, le périodique de droite nationale fondé à Rome en 1952, et qui a définitivement cessé de paraître en 2012 dans son format papier.

En outre, il est vain de croire que lorsqu’un journal disparaît, il peut renaître de ses cendres. Les quelques expériences passées n’ont à cet égard pas été concluantes : la nouvelle version du Choc du mois n’aura duré qu’un lustre, les différentes résurrections du Crapouillot ont toutes été éphémères, la revue Flash fondé par d’anciens de National-Hebdo aura été une étoile filante. De même, le Nouveau Présent qui devait succéder au quotidien éponyme disparu le 30 juin 2022 n’aura été qu’un effet d’annonce et s’est réduit à un très modeste blog, quasiment vide de contenu. L’expérience l’atteste : quand un journal meurt, il ne renaît pas. Ou alors sa résurrection ne dure pas. C’est pourquoi il convient de maintenir Rivarol la tête hors de l’eau. Et de poursuivre, de maintenir contre vents et marées cette formidable aventure commencée en janvier 1951.

AIDEZ-NOUS AVANT

QU’IL NE SOIT TROP TARD !

Notre situation financière est aujourd’hui tellement dégradée que nous ne pouvons plus attendre. Il nous faut, partout où nous le pouvons encore, prendre urgemment des mesures d’économie. Si nous devons impérativement payer la Poste, l’imprimeur, le routeur, le régleur, les différents prestataires, il faut réduire la voilure partout où c’est possible. C’est pourquoi, dès le mois prochain, et pour une durée indéterminée, nous supprimerons le seize pages qui paraît traditionnellement le dernier mercredi de chaque mois, pour le remplacer par un douze pages comme c’est le cas pour les autres éditions. Nous économiserons partout où nous le pourrons encore mais cela ne sera pas suffisant pour tenir sans votre aide active et massive. Merci d’avance pour vos dons, vos abonnements, vos réabonnements anticipés. N’hésitez pas à abonner de la famille, des amis, des connaissances. Que ceux qui peuvent le faire sans se mettre en difficulté n’hésitent pas à souscrire à des abonnements de longue durée, à vie (2000 euros), de deux ans (340 euros), de propagande (300 euros) ou de soutien (250 euros) ou procèdent par prélèvement ou virement mensuel du montant de leur choix. Quelques gros dons ou un ou deux legs seraient évidemment de nature à nous redonner de l’oxygène car si les procès sont angoissants, se dire que demain ou après-demain on ne pourra plus payer l’imprimeur et qu’on devra mettre la clé sous la porte est une vraie torture. Tout ce qui peut nous aider à faire face à nos charges est le bienvenu, les petits dons comme les grands, sachant que les petits ruisseaux font les grandes rivières. Ne tardez pas. Tout geste nous est précieux et vital. La survie de notre publication en dépend. A TRÈS COURT TERME. Tout peut en effet s’arrêter brutalement dans quelques semaines ou quelques mois. L’avenir de Rivarol est plus que jamais entre vos mains.

Pour aider Rivarol : consultez son site cliquez ici (vous trouverez toutes les indications pour cela) ou faites un don cliquez là

 

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Journal du chaos

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RAPPEL : samedi 10 mai, à Scrignac (29), hommage à l'abbé Perrot, assassiné par les communistes en 1943

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Le Parti de la France a honoré Jeanne d'Arc et Jean-Marie Le Pen le 1er mai à Paris

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Le texte de la prise de parole de Thomas Joly, président du Parti de la France,  jeudi 1er mai 2025 à Paris, place Saint Augustin :

« Nous sommes réunis ici, comme chaque 1er mai, à l’ombre du souvenir immense de sainte Jeanne d’Arc. Et cette année, à la douleur poignante d’un adieu s’ajoute la force d’une promesse : celle de la fidélité.

Oui, ce 1er mai est tout entier placé sous le double signe du sacrifice et de l’espérance. Il porte les couleurs de la France éternelle et les accents du combat mené par celui qui fut son plus ardent défenseur durant des décennies : Jean-Marie Le Pen.

Ce jour du 1er mai n’a jamais été choisi par hasard. Ce n’était pas un caprice de calendrier, ni un clin d’œil aux syndicats rouges. Non ! Jean-Marie Le Pen avait voulu sceller dans une même cérémonie deux fidélités françaises : l’hommage à la vierge guerrière de Domrémy, et la célébration du travail français, cette vertu cardinale qui fonde la dignité des peuples libres.

Il avait compris, avec sa clarté visionnaire, que le 1er mai devait être repris à la gauche, reconquis, nettoyé de l’internationalisme marxiste, pour redevenir une fête nationale, enracinée, chrétienne et sociale. En un mot : française !

Et c’est ainsi qu’il créa la tradition du défilé et de l’hommage à Jeanne d’Arc, ce jour-là. Ce n’était pas une stratégie. C’était une profession de foi. Jeanne, c’est la France. Jeanne, c’est la paysanne devenue guerrière. Jeanne, c’est la voix de Dieu dans les plaines de Lorraine. Et Jean-Marie Le Pen, à sa manière, fut un soldat de cette même foi.

Hélas ! Aujourd’hui, le Rassemblement National a tourné le dos à cette tradition. Pire encore : il en a renié l’âme. Plus de Jeanne, plus de France, plus de travail glorifié. Rien que des calculs. Des sondages. Et du reniement.

Mais nous, au Parti de la France, nous ne renions rien. Nous ne trahissons pas. Nous continuons.

Nous portons ce flambeau, non par nostalgie, mais par devoir. Parce que notre peuple mérite mieux qu’un simulacre. Il mérite la vérité. Il mérite l’honneur. Il mérite l’héritage intact de Jean-Marie Le Pen.

Et en ce 1er mai, il faut redire ce qu’est le Travail, ce mot si galvaudé, mais si noble quand il est remis à sa juste place.

Le Travail, ce n’est pas l’exploitation des masses par la finance. Ce n’est pas la concurrence déloyale venue d’Asie ou des pays de l’Est. Ce n’est pas la précarité planifiée par Bruxelles.

Le Travail, c’est le sel de la terre, c’est le devoir quotidien de l’homme libre, c’est la construction lente et noble d’une civilisation. C’est pourquoi le Maréchal Pétain, dans une période tragique de notre Histoire, avait tenu à inscrire le Travail parmi les trois piliers de la Révolution nationale : Travail, Famille, Patrie.

Car sans travail, il n’y a pas de patrie vivante. Sans travail, il n’y a pas de famille digne. Sans travail, il n’y a pas de France debout.

C’est cette France que Jean-Marie Le Pen a toujours défendue. Cette France enracinée, laborieuse, loyale, catholique, chevaleresque. Une France de Jeanne et de Saint Louis, de Clovis et de Maurras, de soldats et de paysans.

Et c’est à ce grand Français, ce géant de l’histoire contemporaine, que nous rendons aujourd’hui un hommage vibrant et fraternel.

Jean-Marie Le Pen ne fut pas un politicien. Il fut un homme d’État au sens le plus noble, bien qu’il n’ait jamais gouverné.

Il fut un prophète moqué, mais dont toutes les paroles résonnent aujourd’hui avec une justesse glaçante.

Il fut un père pour des générations de militants, un éclaireur, un veilleur, un combattant.

Et pour lui, comme pour nous, Jeanne d’Arc était plus qu’une sainte : elle était une sœur d’armes.

Alors, mes amis, que ce 1er mai soit le serment d’une fidélité renouvelée.

À Jeanne, à la France. À Jean-Marie Le Pen, à son combat. Et que vive la France française ! »

Source cliquez ici

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Sarah Knafo invitée de France inter et France info dimanche midi

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vendredi, 02 mai 2025

Après la Roumanie et la France, l'Union européenne veut museler le réveil national allemand

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L'Office fédéral allemand pour la protection de la Constitution (BfV) a désigné le parti Alternative pour l'Allemagne (AfD) « organisation extrémiste de droite qui menace la démocratie et l'ordre constitutionnel ». Aux élections de février, l'AfD s'était classé deuxième, derrière les conservateurs du Cdu et devant les sociaux-démocrates du Spd. C'est-à-dire les deux partis qui ont conclu un accord pour former le nouveau gouvernement en Allemagne. Le Parlement peut même exiger la dissolution de l'AfD, comme il l'a déjà fait pour son organisation de jeunesse.

Après la Roumanie où le candidat nationaliste (donné vainqueur) a été interdit de se présenter ; après la France où une candidate nationale se retrouve dans la tourmente judiciaire ; les valets de Bruxelles, avec les mesures qu'ils préparent contre l'AfD, continuent à museler les peuples européens.

Le Système européo-mondialiste, en fin de parcours, ne sait plus quoi inventer pour sauver ses prébendes. Mais, malgré ses manoeuvres minables, l'heure approche où il devra rendre des comptes...

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