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samedi, 09 août 2025

Notre Ami Franck Buleux va publier chez notre excellent confrère Ars Magna une biographie de Françoise Dior

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Françoise Dior ou le crépuscule d'une Walkyrie, Franck Buleux, Ars Magna, 18,00 €

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vendredi, 08 août 2025

Après l'agression d'Erik Tegnér : Boutons hors de nos places les chevaliers braillards de l'antifascisme d'opérette

LES BIENFAITS DU COUP DE PIED AU CUL... - Olivier Masselot, Coach ICF,  auteur, consultant, formateur

Synthèse nationale

Dans le monde binaire des homo eructus, il y a d’un côté les "gentils", c’est-à-dire eux, les chevaliers braillards de l’antifascisme d’opérette, au blason coupé de gueules (rouge) et de sable (noir), veillant aux créneaux pour la défense de la veuve Anesthésie ; et de l’autre les "méchants", hordes mercenaires à la solde du grand vilain capital, ramassis de nazis-fascistes-racistes-suprémacistes blancs-islamophobes-homophobes répugnants.

Au fil de leurs interventions, sur les ondes, les réseaux sociaux ou dans l’espace public, l’histoire ne cesse de bégayer. La magie (noire) de leur verbe n’en finit plus de ressusciter l’entre-deux-guerres. À les en croire, comme aux "heures les plus sombres de notre histoire", la bête immonde, cornaquée par des milliardaires à la Bolloré ou à la Stérin, s’infiltrerait partout. Elle gagnerait en visibilité, en assurance, en malfaisance. Jusqu’à l’Assemblée nationale où Bayrou-Daladier copinerait avec Bardella-Vallat.

En fait, si les groupies des joueurs de pipeau "éléfiste" sont souvent jeunes en âge, leur pensée formatée, elle, est fortement faisandée. Elle est vieille comme Hérode-Mélenchon. Elle grésille sous l’action des lampes "audion" qui amplifient le signal des postes à galène. Depuis l’aube du XXe siècle, en effet, la lignée de clones robespierro-léninistes à laquelle appartiennent ces sombres hérauts du totalitarisme est de tous les combats "émancipateurs", "anticolonialistes", "antifascistes", "inclusifs"… À grand renfort d’injures et d’horions, au nom de l’"autodéfense" (car ainsi font les "antifas") ! Aussi leur mémoire de Mathusalem rouges se brouille-t-elle. Le temps se distord. Les souvenirs, les images, les combats s’entrechoquent, se mélangent. Les poupons de pépé Baudruchon, en plus d’être cons, sont gâteux. Sous la faible lueur d’une lampe à acétylène, ils tremblotent, ils ruminent, ils radotent. 

Ils nous servent la même soupe à la grimace "épuratrice". Elle est rance, imbuvable, indigeste. Elle pue la profanation de sépultures, le taguage de monuments, le vandalisme, les coups de poing et de trique, la tyrannie, la rééducation… Elle est à gerber ! Cependant, l’agueusie est suffisamment répandue parmi nos semblables pour que nombre d’entre eux la prennent encore pour un breuvage miraculeux et s’en délecte, jusqu’à la lie !

Oui, les chevaliers braillards de l’antifascisme d’opérette sont vieux, très vieux. Mais, ne nous y trompons pas, ils ont encore un avenir et un réel pouvoir de nuisance. Nous ne pouvons donc relâcher nos efforts. Sans faiblir, pied à pied, à Plouha, en Bretagne, (voir l’article précédent, ci-dessous) comme partout en France, nous devons, inlassablement, dénoncer, combattre leurs idées, démonter leurs mots, leurs argumentaires, montrer leur ridicule, leur nocivité, leur perversité et opposer notre détermination à leurs entreprises de terreur rouge. Nous devons participer à leur ringardisation et contribuer, avec l’ensemble du front du refus du cauchemar "éléfiste", à leur disparition future dans les tréfonds des poubelles de l’histoire, bien profond.

12:27 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une semaine après l'agression dont a été victime Erik Tegnér à Plouha (22) : mobilisation spontanée des patriotes pour le soutenir

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Erik Tegnér, avec Pierre-Yves Thomas (à droite), les responsables locaux de Reconquête ! 22, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, venu, en voisin, soutenir le directeur de la revue Frontières.

Synthèse nationale

La lâche agression dont ont été victimes, jeudi de la semaine dernière, à Plouha, dans les Côtes d'Armor, le journaliste non-conformiste Erik Tegnér, directeur de la revue Frontières, et sa fiancée, a suscité une vive émotion dans tout le département et bien au-delà. 

De plus, les pitoyables communiqués des partis et élus de gauche, en particulier ceux de LFI, ont été très mal ressentis par la population qui ne supporte plus les injonctions de ces groupes qui cautionnent le terrorisme. 

Ce jeudi, une nouvelle soirée festive était programmée dans le petit bourg du Goëlo. Erik Tegnér avait annoncé qu'il ne céderait pas aux menaces gauchistes et qu'il se rendrait en famille à cette fête villageoise.

Tout au long de la semaine, les réactions de soutien à notre ami se sont multipliées et de nombreux militants, en particulier ceux de Reconquête! 22 ainsi que du RN, ont spontanément décidé de venir à cette fête pour le soutenir et, éventuellement, l'épauler en cas de nouvelle agression. Évidemment, face à cette belle mobilisation patriotique, les fiers-à-bras de la gauche liberticide se sont fait très discrets... Dix contre deux, ça va pour eux... Mais, dix contre quarante : courage, on se cache !

Cette saine réaction des nationaux costarmoricains, au-delà des appareils respectifs, a prouvé que lorsque l'un des nôtres est agressé, c'est l'ensemble de la famille nationale qui, désormais, se mobilise. Qu'on se le dise !

Pour éviter que des événements comparables à ceux de la semaine précédente se reproduisent - et suite aux plaintes déposées par les agressés ainsi qu'aux nombreux articles et émissions qui ont dénoncé ces actes odieux -, les autorités avaient considérablement renforcé le dispositif policier.

Sur l'agression de la semaine dernière : cliquez ici

La réaction de Reconquête ! 22 : cliquez là

02:21 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 07 août 2025

Pour réfléchir au soleil, à trois semaines de la rentrée - (UNE PROF EN FRANCE) Le mythe du hussard noir : une saine nostalgie ?

Dictionnaire de pédagogie, de Ferdinand Buisson : le bréviaire des «hussards  noirs» de la République

Virginie Fontcalel (professeur de lettres) - Article publié sur Boulevard Voltaire, cliquez ici.

La formation des enseignants : avouons-le, elle n’a jamais été bonne. Élisabeth Borne prétend encore une fois la réformer. Pourquoi pas ? Écourter les études ? Pourquoi pas ? On n’a pas besoin d’un bac+5 pour enseigner à des 6e à moitié analphabètes. Quand on regarde l’Histoire, on voit que l’on a toujours tâtonné quant à la formation des enseignants. D’un côté, on a conscience qu’elle revêt une certaine importance et, dans le même temps, on se dit qu’on ne va pas investir dans quelque chose d’aussi aléatoire, d’aussi peu évaluable.

Les hussards noirs... de Péguy

D’aucuns vivent dans la nostalgie mythique des hussards noirs de la République et analysent le présent au filtre de cette époque bénie où des hordes de jeunes hommes sanglés de noir et de dignité déferlaient sur les campagnes françaises pour y déverser l’amour du Savoir et de la Patrie. Certes, certes. Je ne dis pas que cela n’a pas existé. Je ne dis pas que ce n’était pas une situation enviable, si l’on prend toutefois en considération la dimension idéologique du rouleau compresseur politique que cela a constitué. Mais ils ont appris à lire et à compter à quelques générations d’enfants, c’est indéniable. Saviez-vous que le terme de « hussards noirs de la République » venait de Charles Péguy ? L’ironie de l’Histoire et des mots d’auteurs.

On rêve tous d’un professeur se conformant à l’image du père-instituteur des romans de Pagnol. Cela semble aussi naïf que de rêver d’un homme aussi parfait que les héros des comédies romantiques américaines.

L'envers du mythe

Si l’on relit les textes de Victor Hugo ou de Jules Vallès, on découvre une facette moins glorieuse des enseignants du XIXe siècle et la dimension carcérale des écoles. On y voit des professeurs médiocres, malmenés, méprisés et mesquins, des élèves malheureux, abrutis d’exercices répétitifs et ineptes, brimés par les adultes et impitoyables entre eux. Même chose dans Les Caves du Vatican de Gide ou dans Le Petit Chose de Daudet. Alors, on peut mythifier le passé, mais force est de constater que la formation des enseignants, que ce soit sur le plan académique comme sur le plan pédagogique et humain, n’a jamais été parfaitement performante et n’a jamais trouvé de formule faisant l’unanimité.

Si on remonte plus loin, jusqu’au Moyen Âge voire à l’Antiquité, on trouve encore plus de défiance vis-à-vis des enseignants. Dans son remarquable ouvrage (Histoire de l’école. Maîtres et écoliers de Charlemagne à Jules Ferry), évoqué dans ma chronique précédente, Pierre Giolitto n’a pas de mots assez durs pour déplorer l’ignorance crasse et l’incompétence de la plupart des maîtres d’école sous l’Ancien Régime - si l’on excepte les congrégations religieuses qui avaient un mode de recrutement propre et plus "professionnel". Les faibles qualifications requises, l’absence de contrôle, la maigre rémunération, l’ingratitude d’une tâche dont peu de gens souhaitaient s’acquitter... tous ces facteurs concouraient à faire du maître d’école un pauvre hère à la condition peu enviable. On nous explique même parfois que deviennent maîtres d’école ceux qui ne peuvent vraiment rien faire d’autre : les culs-de-jatte, les boiteux, les borgnes… Et on les surveille de près, en imposant par exemple que les cours soient publics, de manière à contrôler leur moralité, sur laquelle pèsent de forts doutes.

On observe un lien très fort entre le niveau de rémunération et le niveau de compétence des maîtres : leur salaire étant bas et difficile à percevoir, on ne peut attendre en retour un service d’une haute qualité, les meilleurs esprits se dirigeant vers des carrières plus prestigieuses et socialement confortables. On se dit que les choses ont peu changé, aujourd’hui.

Baisse du niveau : sortir de l'hypocrisie ?

Finalement, tout a toujours été très mal, sauf quand on a la chance de tomber sur un individu qui sort du lot. Ces professeurs d’exception, qui font leur travail honnêtement et en ont les compétences, ne sont pas inexistants. Il n’y a donc pas de raison de s’inquiéter outre mesure de la réforme annoncée par Mme Borne, n’est-ce pas ? Pour une fois, on sort peut-être de l’hypocrisie et on arrête de prétendre qu’il faut cinq années d’études après le bac pour apprendre à des enfants la conjugaison de l’imparfait ou le théorème de Pythagore.

10:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Visiblement, Sandrine Rousseau n'est pas la bienvenue en Bretagne

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La Coordination rurale 29 cliquez ici

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mercredi, 06 août 2025

Agression d’Erik Tegner à Plouha (22). La droite des plaintes contre la gauche des poings..jusqu’à quand ?

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Y V Breizh info cliquez ici

Erik Tegnér a été agressé à Plouha. Une agression de plus. Un journaliste de droite, reconnu dans l’espace public, insulté, aspergé de bière, étranglé, pour avoir osé exister dans un espace censément “festif”, mais verrouillé culturellement et idéologiquement par les nervis de la gauche radicale (les Ramoneurs de Menhir, derrière leur aspect festif, diffusent avec succès et qualité musicale, leur idéologie antifa dans de nombreux villages de Bretagne depuis des années).

Ce n’est pas une première. C’est même devenu un rituel pavlovien de l’ultragauche : quiconque porte les idées de droite hors du cercle restreint des studios ou des cercles militants doit être humilié, molesté, pour l’exemple. Comme un rappel de territoire : “ici, c’est chez nous, les fachos dégagent.”

Toujours plus d’agressions. Toujours plus de silence.

L’université ? Les étudiants de droite y sont menacés, agressés réduits au silence. Les bars ? Quand ils ne sont pas interdits d’accès à certains militants, ils deviennent des guets-apens. Les manifestations ? Les cortèges pacifiques sont systématiquement infiltrés, cassés, provoqués. Même lorsque vous voulez exercer un métier, un sport, un hobby, il se trouvera toujours derrière un antifa ou un communiste pour venir tenter de vous harceler, de vous faire exclure. Vous n’avez pas le droit de respirer ni d’exister pour ces gens qui se parent en plus des draps de l’humanisme et de la bienveillance, de la préoccupation inconditionnelle de l’autre alors qu’il n y a pas plus haineux qu’eux.

Les antifas auraient un revolver, ils n’hésiteraient pas une seconde à appuyer sur la queue de détente, pour exterminer tout ce qui est considéré, de près comme de loin, comme un « faf ». Il n y a pas plus totalitaire, intolérant, hargneux et violents que ces individus…tant qu’ils ne sont pas mis au pas (quand c’est le cas, ils portent plainte, font des campagnes médiatiques en passant pour les victimes, exigent des dissolutions et les obtiennent, manifestent, médiatisent avec des complices leurs affaires, la musique est bien réglée).

Erik Tegnér n’est pas Superman. Pas plus que Marguerite Stern, les militantes de Némésis, Vincent Lapierre, Dieudonné, ou n’importe quel autre Breton ou Français identifié politiquement comme “non conforme”. Mais à force d’avaler les humiliations, de tendre la joue, de se répandre en vidéos larmoyantes sur X, la droite devient le punching-ball médiatique. Elle a troqué la force contre la plainte. Le rapport de force contre le hashtag.

Et pendant ce temps, les députés de La France insoumise exultent. Thomas Portes , Antoine Léaument, et Raphaël Arnault (camarade de route de la Jeune Garde antifasciste, groupe qui filme des agressions à 10 contre 1…) se félicitent presque de l’agression d’un journaliste. “La Bretagne sera toujours antifasciste”, clame le premier. “Dans les villages aussi, les fascistes se font virer”, jubile le second. Leur message est limpide : ils ont le monopole de la violence légitime. Et ils entendent bien la conserver. La député rennaise Mesmeur, LFI elle aussi , avait d’ailleurs soutenus des antifas pourtant coupables reconnus d’agression contre des militants de droite. Une gauche qui s’assume, et une droite qui baisse la tête.

La droite ne regagnera pas le respect dans les commissariats, mais dans la rue

Car que fait la droite parlementaire ? Elle compatit. Discrètement. Parfois. Du bout des lèvres. Le Rassemblement national salue le courage d’Erik Tegnér, mais reste terré dans sa ligne “présidentiable”. Pas de vague, pas de remous, pas d’ennemis, juste “les Français”. On avait déjà vu la même chose au moment où des députés d’extrême gauche avaient molesté des journalistes de Frontières, là encore, dans l’enceinte de l’assemblée nationale. Une dénonciation médiatique plutôt que d’aller porter physiquement secours à deux journalistes encerclés, menacés, ce qu’aurait fait sans hésiter un Jean-Marie Le Pen en son temps ( « Je vais tfaire courir moi …»).

Comme si tout cela finalement était normal. Comme si des gens qui prétendent redresser un pays de manière radicale avaient la moindre crédibilité en se montrant incapables de défendre d’abord, en premier, par tous les moyens, leur pré-carré.

Mais soyons sérieux. Un jeune de banlieue qui se fait insulter dans son quartier répond avec ses poings. Un chef de clan qui se fait bousculer envoie un message clair à ses agresseurs. Et à droite? On écrit des communiqués. On pleure devant les caméras. On dénonce “la violence”. et on lance une collecte (qui fonctionne bien souvent). Comme si la gauche radicale allait se laisser attendrir par un constat de victimisation. Comme si un bourreau avait déjà été freiné par les plaintes de sa victime.

À ce jeu-là, on finit par ressembler à ces gosses harcelés dans la cour d’école. On leur vole leurs goûters, on les frappe, et ils vont voir le surveillant qui ne dit jamais rien, incapable de faire régner l’ordre. Jusqu’au jour où l’un de ses gosses se sentant acculé, chope le chef de bande, lui colle une droite, lui claque la tête au sol, et gagne le respect de toute la cour.

On ne combat pas la terreur antifa par la morale ou les bons mots. Il est temps que les militants de droite, les journalistes de droite, les citoyens de droite, reprennent l’habitude du réflexe sain : se défendre. Légitimement. Immédiatement. Fermement. Un antifa te balance une bière dans un concert ou tente de t’empêcher de travailler, ou de t’amuser ? Il prend ton poing dans la mâchoire. Point final.

Ce n’est pas de la haine. Ce n’est pas de la violence gratuite. C’est de la légitime défense. Et c’est la seule pédagogie que comprennent ceux qui veulent vous interdire d’exister. Si jeudi prochain, à Plouha, fidèles de Cnews, lecteurs de Frontières, amis d’Erik Tegner, ou tout simplement citoyens excédés par les agissements permanents de ces exaltés « de gauche », venaient spontanément avec lui à la fête du village de Plouha, je peux vous garantir qu’aucun antifa ne viendrait la ramener, sous peine de se faire remettre à sa place. Il n y aurait même pas besoin du moindre échange verbal. Le nombre fait la force, encore faut-il ne pas avoir peur de son ombre.

Qu’Erik Tegnér ait porté plainte, très bien. C’est légitime. Que les faits soient exposés, diffusés, disséqués, très bien aussi. Mais cela ne suffit pas. Il faut cesser d’accepter le statut de victime. Il faut reconquérir l’espace public, les fêtes locales, les concerts, les amphis, les bars, les places, les idées. Et y marcher non pas tête basse, mais regard droit, épaules hautes, prêts à répondre. Dans l’état actuel des choses, la violence vient d’en face. Pas de débat d’idées, pas d’argumentation. Juste des coups, des menaces, des meutes. Face à cela, l’honneur commande de répondre.

Alors que chaque militant, chaque patriote, chaque homme libre, se le répète : la droite, le centre, ou tout simplement n’importe quel individu normalement constitué, ne sera jamais respectée tant qu’elle se contentera de pleurnicher quand elle se fait frapper. Il est temps d’arrêter d’encaisser. Il est temps de savoir rendre les coups. Et de les rendre avec panache.

« On est pas des beatniks ».

NDLR SN : Sur la lâche agression contre Erik Tegnér cliquez ici et cliquez là

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Cachez cette Gazaouie que nous ne saurions plus accueillir

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La chronique de Philippe Randa

Qu’importe nos 3.245,8 milliards de dettes à la fin du premier trimestre 2025 ! Qu’importe chômage, insécurité, réticences (euphémisme !) de quelques 80 et quelques % des Français à n’y être guère empressés (euphémisme !) : quand on veut accueillir, on accueille, point barre !

Oui mais… c’était sans compter sans la malchance d’avoir sélectionné la gazaouie Nour Atallah parmi les premiers gagnants d’un billet sans doute sans retour pour la patrie auto-proclamée des droits de l’étranger, de la Caf et du couscous pour tous.

C’est que cette facétieuse « étudiante » ne savait pas que dans notre auto-proclamée patrie des droits-de-l’homme, il était malvenu de saluer l’action d’Adolf Hitler et de vouer les fils de Sem aux pires tourments… Ni même de s’inquiéter de ce que coûtait la détention des derniers otages juifs encore en vie capturés en octobre 2023, au point de préconiser d’alléger définitivement leurs souffrances pour soulager la bourse du Hamas.

Des propos tellement « inacceptables » et « inquiétants » pour le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau que l’enquête judiciaire pour « apologie du terrorisme et apologie de crime contre l’humanité » n’aura même pas eu le temps d’être validée : après l’annulation de son inscription à Sciences Po Lille, la bienveillant péronelle est partie continuer son intéressant cursus universitaire au Qatar, pays certes moins sourcilleux sur l’antijudaïsme.

Des esprits chagrins, à l’énoncé de cette énième pantalonade des thuriféraires du droit d’asile tous azimuts, ne manqueront sans doute pas de rappeler que nombre de ceux qui se lamentent aujourd’hui dans notre pays du « scandale Nour Atallah » furent « en même temps », comme dirait l’actuel locataire de l’Élysée, les plus enthousiastes dans les cinquante dernières années à encourager le déferlement migratoire, à militer pour accueillir tout islamiste en mal d’asile, dont le futur grand Ayatollah si « démocrate » Rouhollah Moussavi Khomeini… et parmi les auto-proclamés représentants de la communuauté juive – du CRIF à SOS racisme – à favoriser de fait les plus haineux de ces « nouveaux Français ».

Hélas donc pour tous ceux qui, considérant la France, si belle ! si grande ! si généreuse ! voulaient déjà accueillir toute la misère de la bande de Gaza !

Mais quand ça ne veut pas, ça ne peut pas !

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mardi, 05 août 2025

Un été en France...

Refus d'obtempérer : Actualités, vidéos, images et infos en direct - 20  Minutes

Maurice Bernard

Le dimanche 20 juillet, à Bordères-sur-l’Échez (Hautes-Pyrénées), dans la soirée, deux hommes sur des motocross, en plein rodéo urbain (le "sport" préférés des zonards décérébrés), percutent une fillette de quatre ans, la blessent sérieusement au visage et prennent la fuite.

Le vendredi 25 juillet, à Oullins-Pierre-Bénite (Rhône), un homme à deux-roues percute volontairement un policier municipal à la suite d’un refus d’obtempérer, à proximité d’un point de deal, puis prend la fuite.

Le samedi 26 juillet, à Colomiers (Haute-Garonne), un homme au volant d’une puissante Mercedes immatriculée en Allemagne, roule à vive allure. Les forces de l’ordre tentent de l’intercepter mais il prend la fuite et finit par heurter violemment un véhicule transportant une femme et ses trois enfants. La mère et un des enfants sont blessés sérieusement et le chauffard s’enfuit à pied.

Le samedi 2 août, à Marseille, dans la soirée, un homme de 27 ans, bien connu des services de police, au volant d’une grosse Audi, fauche deux personnes et s’enfuit à pied…

Pendant ce temps, le policier auteur du coup de feu qui a entraîné la mort du jeune chauffard de Nanterre, le 27 juin 2023, attend d’être jugé pour « homicide volontaire » par la cour d’assises des Hauts-de-Seine, au deuxième ou au troisième trimestre de 2026…

On prête à Napoléon 1er cette formule : « L’art de la police est de ne pas voir ce qu’il est inutile qu’elle voie ». Gageons qu’avec de telles décisions, la police finira bien par trouver inutile de voir les rodéos urbains. Tremblez, braves gens, la justice française veille…

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L'obsessionnel antifa Nathan Colin-Aronovicz au tribunal mardi après-midi

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Ce mardi 5 août après-midi, à partir de 13 h, à la 23e chambre correctionnelle de Paris, Porte de Clichy. Soutenez les militantes de Némésis victimes du terrorisme "antifa".

Lire l'article suivant passé le 19 juin dernier sur Riposte laïque : cliquez ici

Voici le compte-rendu du procès publié par Riposte laïque cliquez là

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De la persévérance militante : la force d'un sermon

Persévérance Banque de photos, d'images et d'arrière-plans à télécharger  gratuitement

Jean Leclerc

Il y a quelques mois, j’assistais à la messe dominicale dans la chapelle d’une école "hors contrat", donc plus libre que d’autres quasi intégrées à l’Éducation nationale. L’évangile rappelait la parabole des ouvriers de la onzième heure. Un enseignement du Christ bien difficile à comprendre par nous autres, les militants politiques, qui nous méfions des personnages qui arrivent dans nos rangs au secours de la victoire !

Vint le temps du sermon par lequel le prédicateur voulait instruire ses jeunes ouailles de la vertu de persévérance. Nous étions alors quelque semaines après les funérailles de Jean-Marie Le Pen et je ne pus que faire le rapprochement avec l’engagement politique sans faille de notre Menhir breton ! Impressionné par le sermon, je demandai au prédicateur de me communiquer son texte. Je veux, ici, vous faire profiter de la partie la plus prégnante.

La persévérance…

Elle est une vertu annexe de la vertu cardinale de force, inséparable de la fermeté d’âme et du courage auxquels saint Thomas d’Aquin relie aussi la magnanimité, la magnificence, la patience et la persévérance.

La force est la vertu par laquelle nous surmontons la crainte des maux les plus grands, notamment la crainte de la mort. Elle nous fait dominer l’effroi que provoquent les difficultés. Elle nous permet d’entreprendre, de supporter, de faire face à l’adversité. Le courage ne consiste pas à ne pas éprouver la crainte, mais à dominer cette dernière, à ne pas se laisser paralyser par elle. Le grand Turenne ne se disait-il pas à lui-même : « Ah ! tu trembles carcasse. Tu tremblerais bien plus si tu savais où je te mène ! » Quant à la patience, elle nous fait supporter la tristesse causée par la présence d’un mal que nous sommes obligés de subir.

La persévérance nous fait tenir dans le temps, nous maintient à notre poste, malgré la longueur du combat, la durée de l’épreuve, la lassitude qui nous gagne. Tantôt nos épreuves sont momentanées dans le temps, tantôt elles durent et nous ignorons cette durée. Il faut combattre sans connaître le moment de la délivrance, tenir jusqu’au bout, tant qu’il le faut, jour après jour, heure après heure. Certains maux ne cessent qu’avec notre mort. Avancer dans le tunnel sans en voir le bout. La persévérance affermit l’âme devant cette durée des maux qui nous affectent. Elle nous permet de nous maintenir dans la pratique de la vertu en consentant aux efforts nécessaires. Elle n’est pas la vertu des assauts très durs, elle est celle des combats qui durent, des coups que l'on endure.

… contre la facilité, le dilettantisme, la superficialité

À un moment de son sermon, le prêtre cita le père Vuillermet, prêtre brancardier sur différents fronts de la Grande Guerre, qui remarquait : « Non seulement notre volonté est paresseuse, mais elle est atteinte du microbe du changement. Nous ignorons un art, sans lequel les autres ne sont rien, l’art de finir. Nous aimons à papillonner à droite et à gauche, à tout effleurer sans rien approfondir. En agissant ainsi, peut-être acquerrons-nous un certain vernis qui pourra tromper et éblouir les naïfs qui se laissent prendre à la piperie des mots, nous ne posséderons à fond aucune connaissance ».

L’abbé acheva sa péroraison par l’énumération des vices qui s’opposent à la persévérance. Il sont le danger qui nous guette : la mollesse, la faiblesse de tempérament, la recherche du succès immédiat, la démission de la volonté par le trop facile "À quoi bon !" et tout simplement, l'absence d'efforts dans la vie quotidienne. En somme, une conclusion qu’aurait pu faire sienne Jean-Marie Le Pen (ou que pourrait utiliser n’importe quel responsable politique) au terme d’une harangue adressée à ses militants.

Alors que j’écoutais ces fortes paroles, je me disais en moi-même : « Quelle chance ont ces jeunes élèves d’entendre un tel sermon, dans une si belle chapelle, dans une telle école où tout l’enseignement est exigeant et cohérent ! Une nouvelle jeunesse est là, qui se forme ! » Un sentiment d’espoir m’enveloppait. Non, tout n’est pas perdu ! Le combat continue !

Article paru dans le dernier numéro (n°70, été 2025) de la revue Synthèse nationale.

Pour vous procurer ce numéro, cliquez ici.

09:46 Publié dans François Floc'h | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 23 août : une journée en mémoire de Daria Dougina à Paris

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01:21 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 04 août 2025

Tarifs douaniers: un milliard d’euros de perte, selon les exportateurs français d’alcool

Vins et spiritueux : un immense secteur économique aux contours flous

Source : Le Nouveau Présent - Cliquez ici.

La Fédération française des exportateurs de vins et spiritueux (FEVS) a estimé à un milliard d’euros les pertes potentielles liées à l’introduction par les États-Unis de droits de douane de 15%. C’est ce qu’a rapporté l’agence Bloomberg.

Selon cette dernière, ces restrictions commerciales pourraient réduire d’un quart les exportations annuelles de spiritueux français et mettre en péril 600.000 emplois.

Bloomberg souligne que l’Union européenne, soutenue par les principaux acteurs du secteur, cherche à conclure un accord avec les États-Unis afin d’exclure les secteurs de l’alcool et de la viticulture du champ d’application des droits de douane.

« Nous attendons avec impatience cette exemption », a déclaré à l’agence Samuel Massé, président de la Confédération européenne des vignerons indépendants (CEVI). Il a souligné que l’instauration de ces droits « aurait également un impact considérable sur le marché américain », affectant « les consommateurs et les entreprises des États-Unis ».

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Suite à l'agression dont a été victime le journaliste Érik Tegnér : réaction de la Fédération costarmoricaine de Reconquête !

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La fédération costarmoricaine du parti Reconquête! d’Éric Zémmour dénonce avec vigueur l’agression verbale et physique subie par le journaliste de droite Erik Tegnér et sa famille sur la voie publique à Plouha (22) jeudi 31 juillet, agression produite par des sympathisants de gauche et d’extrême-gauche croisés inopinément à la fête communale ce soir-là.

Reconquête! des Côtes-d’Armor est très inquiet pour la société de ce fait marquant car il illustre une fois de plus l’intolérance croissante et banalisée de certains acteurs, dans cette tendance politique, à l’égard d’opinions individuelles et collectives différant des leurs.

On se souvient, au printemps dernier, de l’interdiction arbitraire et abusive de MM. Paul Le Bihan et Hervé Guihard, tous deux maires socialistes respectivement de Lannion et de Saint-Brieuc de la diffusion – totalement privée – dans leur commune du film documentaire sur les méfaits de l’immigration, Silenced. Dans la même veine, c’est jeudi dernier sur le territoire du maire communiste de Plouha, M. Xavier Compain, que s’est manifestée cette intolérance aux relents totalitaires, cette fois par la voie de la force illégitime, de l’intimidation et de la violence. On notera d’ailleurs que cette fête à Plouha hébergeait le même soir, sur deniers publics, le groupe musical Les Ramoneurs de Menhirs dont l’inclination supposément antifa n’est plus à démontrer, drainant inévitablement, parmi les amateurs, son lot de nervis d’extrême-gauche en quête de mauvais coups.

Reconquête! des Côtes-d’Armor condamne cette banalisation de la violence politique, demande des mesures fermes des autorités pour la prévenir et l’enrayer, et apporte tout son soutien à Erik TEGNÉR et à sa famille.

Pierre-Yves Thomas

Délégué départemental Reconquête ! 22

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dimanche, 03 août 2025

La chute de l’Inquisiteur : Media Matters vacille, et avec lui, la censure militante — Résonances françaises

Aujourd'hui marque la Journée mondiale contre la censure sur internet

Balbino Katz - Article paru sur Breizh-Info, cliquez ici.

Il est des nouvelles qui, en ce monde saturé de nouvelles mauvaises, brillent d’un éclat singulier, presque grisant. La quasi-faillite de Media Matters for America, machine inquisitoriale au service de la gauche américaine, en est une. Une sorte de jubilé du réel, où les justiciers masqués de la désinformation se retrouvent nus, ruinés, et seuls, dans l’arène qu’ils avaient eux-mêmes ensanglantée.

Fondé en 2003 par un certain David Brock, transfuge des milieux conservateurs devenu auxiliaire zélé du Parti démocrate, Media Matters s’est donné pour mission de surveiller, salir et faire taire tout ce qui s’écarte de la ligne progressiste. Financé par les officines de la bien-pensance, au premier rang desquelles l’inévitable George Soros et sa ménagerie de milliardaires dévots, le groupe s’est spécialisé dans les campagnes de pression sur les annonceurs, les attaques diffamatoires, la publication de pseudo "fact checks" et les chantages moraux pour obtenir des censures. Un tribunal révolutionnaire à l’âge numérique, aussi méthodique qu’impitoyable.

Mais à force de se prendre pour Torquemada, on finit par croiser plus rusé que soi. En novembre 2023, dans une opération de manipulation algorithmique aux relents de false flag, Media Matters fabrique de toutes pièces une controverse sur la plateforme X (anciennement Twitter), accusée de juxtaposer des publicités d’entreprises à des contenus néonazis. L’indignation programmée produit son effet : 75 millions de dollars d’annonceurs fuient, et l’on crie haro sur Elon Musk, maître des lieux. Problème : tout était truqué. La supercherie, une fois mise à jour, déclenche une riposte foudroyante.

Musk, ce mélange d’ingénieur libertarien et de gladiateur technologique, ne se contente pas de gémir. Il attaque. Plainte pour diffamation, actions en justice dans plusieurs pays, déclaration de guerre aux bailleurs de fonds. « Nous poursuivrons non seulement l’organisation, mais également quiconque la finance », tonne-t-il. Et les donateurs de détaler, tels des rats quittant le navire. Même les fidèles du début, comme Susie Tompkins Buell, héritière du prêt-à-porter éthique et mécène du wokisme, se volatilisent.

En coulisse, c’est la panique. Le cabinet Elias, pilier juridique du Parti démocrate, réclame 4 millions de dollars d’honoraires impayés. Les salariés se mutinent. Les caisses se vident. Quinze millions de dettes judiciaires s’accumulent. Et quand Media Matters propose de régler l’affaire par un petit "explicatif méthodologique" assorti d’un don caritatif, Musk exige tout simplement la fermeture définitive. Il ne s’agit plus de se défendre, il s’agit de châtier.

À cette offensive s’ajoutent les enquêtes fédérales. La Federal Trade Commission (FTC), désormais entre les mains d’un exécutif trumpiste, suspecte une collusion illégale entre Media Matters, d’autres ONG du même tonneau, et de grands annonceurs comme Disney. Le délit ? Entrave concertée à la liberté du commerce, conspiration visant à étrangler une entreprise (X) pour des raisons idéologiques. Si cela devait être prouvé, c’est tout l’édifice du censorship-industrial complex, cet entrelacs obscur de fondations, d’activistes, d’agences publiques et de multinationales progressistes, qui serait menacé de démantèlement.

La gauche américaine, si habile à se draper dans les mots de la liberté et de la démocratie, découvre soudain que la justice, même lente, peut mordre. Ceux qui ont passé vingt ans à traquer la moindre parole déviante, à faire perdre leur emploi à des animateurs radio, à faire interdire des livres, à bannir des chaînes YouTube, à faire pression sur les banques pour qu’elles ferment les comptes d’opposants, en viennent à découvrir la morsure du réel.

Et la France ? Elle suit, comme toujours, avec un temps de retard mais une fidélité remarquable à l’original.

Certes, nous n’avons pas, sur notre sol, l’équivalent institutionnel de Media Matters. Pas encore. Mais l’esprit y est, comme une buée sur la vitre, invisible si l’on ne regarde pas en biais. Le journal Libération a son CheckNews, sorte de concierge idéologique déguisé en service client. Le Monde, tout en gravité bourgeoise, dégaine son Décodex, outil de signalement vertueux à usage des âmes délicates. Acrimed, Basta !, ou encore les cellules d’analyse des contenus dits "haineux" de la LICRA ou du CRIF, assurent la patrouille permanente. RSF, enfin, autrefois sentinelle des libertés, devient parfois sélective dans ses indignations.

Mais c’est surtout dans les pratiques que la filiation est manifeste. Comme aux États-Unis, une organisation comme Sleeping Giants France, ramification francophone du groupe de pression états-unien, se charge de traquer les annonceurs coupables de financer des médias jugés déviants. Il ne s’agit pas d’argumenter, de débattre ou de réfuter, mais de priver d’oxygène publicitaire les médias qui déplaisent.Indépendants ou non. Breizh Info et d’autres, plus mainstream, en ont fait l’expérience.  Ces campagnes ont, sous des dehors philanthropiques, l’odeur rance de la délation.

Le même glissement s’observe dans la haute administration : CNCDH, Arcom, Conseil d’État, toutes ces instances, autrefois garantes d’équilibres, deviennent les auxiliaires zélés d’une morale officielle qui n’a plus grand-chose de républicain. La censure, chez nous, ne dit pas son nom. Elle s’habille de lois mémorielles, de chartes déontologiques, de chartes contre la haine, de contrôles algorithmiques, de modération "responsable".

Il serait temps de rappeler, comme le fit Ernst Jünger en son temps, que « la liberté n’est pas un état, mais un combat ». Elle se joue désormais non dans les hautes sphères, mais dans les marges, dans les bastions menacés, chez ceux qui tiennent, avec des bouts de ficelle et une obstination presque mystique, des lieux de parole libre.

La débâcle de Media Matters n’est pas un épilogue. Elle est un signal. Si l’Inquisiteur peut tomber, c’est que l’Inquisition est vulnérable. À condition de parler haut. De nommer les censeurs. Et de refuser de s’agenouiller.

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Une interview de Michel Festivi sur Breizh-Info

Les griffes de Staline sur l'Espagne républicaine (1936/1939) - FrancePhi  Diffusion

Synthèse nationale

Notre ami Michel Festivi, dont on peut lire un article dans chaque livraison de notre revue Synthèse nationale, vient d'accorder un entretien à l'excellent site de ré-information Breizh-Info, "sans peur, sans filtre, sans compromis", à l'occasion de la parution de son dernier livre : Les griffes de Staline sur l'Espagne républicaine.

Pour lire cet entretien, cliquez ici.

Pour commander cet ouvrage, cliquez là.

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samedi, 02 août 2025

Les macronistes veulent ripoliner les vestiges de leur cabine téléphonique

8 800+ Au Bord Du Gouffre Photos, taleaux et images libre de droits -  iStock | Vertige

Synthèse nationale

Selon BFMTV, Gabriel Attal, désormais secrétaire général de Renaissance a lancé une consultation interne portant sur un éventuel – et quatrième – changement de nom de la cabine téléphonique macroniste. En cause : la « faible notoriété » de la formation ectoplasmique du fantôme de l’Élysée que beaucoup, horresco referens, confondraient même avec Reconquête !, le parti d’Éric Zemmour.

Selon un cadre de Renaissance, cité par la chaîne d’information en continu, ce nom « n’a pas marqué les Français ». Qu’il nous soit permis de compléter son propos en ajoutant que les soi-disant réussites de sa politique non plus. En fait, ce n’est pas le nom ou la forme de l’emballage qu’il faut changer mais le contenu. "En marche", "La République en marche", "Renaissance" ou "Attal devant et tous derrière", peu importe, tant que l’identité du machin demeurera ce qu’elle est : une coterie de nantis du système, aux semelles de vent, sans véritable enracinement, ni vision, ni projet.

Toutefois, comme nous sommes bien élevés et charitables, nous allons quand même leur donner un coup de main en leur proposant "Bye-bye". C’est jeune, décontracté, ça devrait plaire aux Français et faire un tabac lors des prochaines élections…

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Les nervis d’extrême gauche ont encore frappé : le journaliste Érik Tegnér agressé sur son lieu de vacances

Extrême droite: Frontières, le magazine sans limites - l'Opinion

Synthèse nationale

Dans le nuit de jeudi à vendredi, le directeur de la rédaction de l’excellent magazine Frontières, accompagné de sa fiancée, a été reconnu et agressé par des "tricoteurs" d’extrême gauche alors qu’il participait à une fête, dans son village de Bretagne. Comme à leur habitude, les apprentis guépéistes ont agi en nette supériorité numérique : dix jeunes mous du bulbe contre un homme et une femme ; on n’est jamais trop prudent…

Ce n’est pas la première fois que des chiens de garde de la pensée conforme s’en prennent à des journalistes de cette publication ; et la liste de leurs méfaits (violences en tout genre, profanations diverses, de monuments, de sépultures…) ne cesse de s’allonger.

Depuis les années 1930, les nervis marxistes-léninistes s’emploient à imposer leur terreur. Dissimulant (de plus en plus mal) leur démarche totalitaire derrière l’alibi de l’antifascisme (qui trompe de moins en moins de monde), ils s’arrogent le droit de se constituer en bandes violentes et de décréter qui a le droit - ou non - de parler, d’écrire, de se réunir…

L’impunité dont ils ont joui jusqu’à présent n’a que trop duré. Les pouvoirs publics doivent prendre leurs responsabilités et faire ce pourquoi ils sont en place. La loi interdit les milices privées, les menaces, les violences : qu’ils la fassent respecter !

En attendant, Synthèse nationale apporte tout son soutien à Érik Tegnér, à sa fiancée et à toute l’équipe de Frontières. Les céphalopodes d’extrême gauche ne cessent d’éructer : « No pasarán ». Effectivement, « ils ne passeront pas ». Du moins, avec Frontières et toutes les autres publications ou les mouvements de la droite nationale au sens le plus large, nous continuerons de faire en sorte qu’il en soit ainsi. Malgré leurs insultes, leurs intimidations et leurs violences ! "Merde au roi d'Angleterre", disait Surcouf. Nous, nous disons : "Merde à l'extrême gauche" !

Pour en savoir plus sur cette agression, cliquez ici.

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Tambouille et gastronomie

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Le billet de Patrick Parment

Dans l’un de nos quotidiens, j’apprends que le chef étoilé Alain Passard a décidé de ne proposer désormais dans son restaurant qu’une tambouille purement végétarienne. De l’entrée au dessert, vous allez becter du fruit et du légume, mais rien d’animal ! Et ce mec a trois étoiles au fameux guide Michelin ! C’est un choix mais, dès lors, on ne peut plus parler de cuisine française, celle qui a fait notre renommée et qui demeure le fond de commerce aussi bien des restaurants – quel que soit leur niveau – que de la cuisine domestique, en référence souvent à celle de nos grands-mères. On fait évidemment exception de toute cette malbouffe qui va du plat cuisiné – sous vide en général -, au McDo et qui constitue néanmoins le quotidien d’une majorité de Français. Globalement dans la France d’aujourd’hui, on ne meurt plus de faim. Cela reste malgré tout un acquis de cette modernité et d’un système économique que l’on ne manque pas pour autant de critiquer.   

Ce qui m’amène à réagir au choix d’Alain Passard – que je ne critique pas au demeurant -, c’est qu’il décide ainsi de faire l’impasse sur des métiers de bouche, comme l’on dit, qui font le sel et la renommée de la cuisine française dans les domaines aussi variés que la charcuterie, la boucherie, la poissonnerie, la fromagerie, la boulangerie et les fruits et légumes. Monsieur Passard fait ainsi l’impasse sur tous ces artisans de France qui suent sang et eau et s’illustrent chaque année dans tous ces domaines auxquels, tout un chacun (c’est-à-dire les pékins que nous sommes) a accès. À côté de chez moi, j’ai deux ou trois magasins dont les propriétaires affichent fièrement leur diplôme d'un des « meilleurs ouvriers de France » : un charcutier, un fromager, un boulanger ! Mais sans aller jusque-là, il faut honorer tous ces artisans qui œuvrent à maintenir nos traditions culinaires et qui magnifient le travail de nos paysans. C’est cela que Monsieur Passard raye d’un trait. Rien de grave, me direz-vous, dans la mesure où ce que l’on nomme les temples de la gastronomie que sont les deux ou trois étoiles au Michelin ne concerne qu’1% de la population. Ces étoilés sont à la cuisine ce que les formules 1 sont à la guimbarde du prolétaire. Ils proposent une cuisine quasi expérimentale, fruit de leur imagination et d’une complexité d’exécution qui emprunte, certes, à la tradition mais pour la torturer et qui n’a rien à voir avec le bœuf mironton ou le gratin dauphinois de maman, si tant est qu’elle cuisine encore. Il ne reste plus à Monsieur Alain Passard que d’inviter Sandrine Rousseau -  « qu’en a rien à péter de la rentabilité » de nos agriculteurs - , à venir brouter dans son jardin.

PS/ Il serait judicieux de le retirer du Michelin étant donné qu’il n’illustre en rien la traditionnelle cuisine française. 

02:23 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 01 août 2025

Disparition subite de notre Ami Régis Arnaud, auteur du dernier Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Alexis Carrel

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Bien triste nouvelle, notre collaborateur et Ami Régis Arnaud (Loïc Bouquerel de son vrai nom) est décédé subitement mercredi dernier, chez lui dans l'Orne, suite à un arrêt cardiaque. Il avait 52 ans, il était l'auteur du dernier numéro paru des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Alexis Carrel.

Homme sympathique, cultivé et engagé, Régis était un militant, depuis sa jeunesse, de la cause nationale. Il fut candidat du Front national, puis du Mouvement national républicain, dans les années 2000. Après, il collabora au journal de l'Alliance royale. C'est à cette époque qu'il commença à s'intéresser au Dr Alexis Carrel, le célèbre auteur de L'Homme cet inconnu. Il y a quelques mois, il me fit part de son idée de rédiger un Cahier qui lui serait consacré. Ce Cahier est sorti au printemps dernier.

Enseignant à Alençon, Régis était aussi l'auteur de plusieurs ouvrages consacrés à l'histoire de la Normandie, sa région qu'il affectionnait particulièrement. 

Dimanche dernier, nous avions échangé quelques considérations par courriel, j'étais loin de m'imaginer que c'était la dernière fois. Nous envisagions aussi d'organiser dans le Trégor, là où Alexis Carrel avait sa demeure, une conférence sur sa vie et sur son oeuvre. Hélas, je crains que, Régis n'étant plus là, ce projet soit difficile à réaliser.

Il sera inhumé lundi prochain dans son village normand. 

À Annie, son épouse, et à toute sa famille, la rédaction de Synthèse nationale se joint à moi pour leur présenter nos sincères condoléances.

Roland Hélie

11:10 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 31 juillet 2025

Le stigmate de la soumission

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Philippe Gélie

Ceux qui, en Europe, acceptent comme un moindre mal l’imposition unilatérale de droits de douane de 15% et plus par les Etats-Unis, pensent avoir passé un accord avec un partenaire fiable, qui leur assure la stabilité et la visibilité nécessaire à leurs affaires. Un doute devrait pourtant les effleurer : le rançonnage et la vente forcée sont-ils les méthodes d’un chef d’État soucieux des intérêts de son pays ou celles d’un mafieux sur la parole duquel il ne faut pas trop compter? La lettre du 12 juillet, dans laquelle Donald Trump menaçait l’UE de barrières commerciales encore plus élevées, stipule : « Ces droits pourront être modifiés, à la hausse ou à la baisse, selon l’évolution de nos relations. »

Trump a testé le ventre mou de l’Europe et rien ne dit qu’il résistera à la tentation d’en abuser encore. La teneur des commentaires aux États-Unis en atteste : le président, ses supporteurs et même ses adversaires n’en reviennent pas d’avoir obtenu si facilement la reddition totale de la première puissance économique mondiale. C’en est presque embarrassant pour les prédécesseurs : que n’ont-ils été assez malins pour en profiter ? Le pari des droits de douane massifs présentait un risque réel pour l’économie américaine… jusqu’à ce que les victimes se précipitent pour payer ! Maintenant, le bénéfice comptable s’ajoute à la victoire politique.

Par peur de la guerre, l’Europe a accepté la défaite sans combattre. Et, pour ne pas souffrir, elle s’est offerte au bourreau ! L’Histoire regorge d’exemples sur le prix que porte ce genre de renoncement. Marque du stigmate de la soumission par un supposé allié que pèsera demain le Vieux Continent face à ses adversaires ? De Pékin à Moscou, on fait des mines compatissantes, mais le refus immanent du rapport de force n’y a échappé à personne. Pour avoir choisi la stratégie inverse, la Chine devrait sceller sous peu sa réconciliation avec l’Amérique de Trump : celui-ci est d’autant plus ouvert au compromis qu’il a déjà écrasé l’Europe.

Madame von der Leyen nous avait promis une « Commission géopolitique » à la tête d’un bloc devenu « puissance ». Sa légitimité est désormais entamée auprès des Européens eux-mêmes, auxquels on a rabâché que l’Union fait la force. Où sont l’une, et l’autre ?

Source : Le Figaro 30/7/2025

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Retour sur la guerre en Ukraine

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« Pour justifier la construction européenne, on a répété pendant un demi-siècle que « l’Europe, c’est la paix ». Aujourd’hui, l’Europe, c’est la guerre. Il y a maintenant trois ans et demi que les troupes russes sont entrées en Ukraine. Le bilan humain, évalué autour d’un million et demi de victimes (morts et blessés), est énorme. S’y ajoute la profonde tristesse de ceux qui, comme moi, ont à la fois des amis ukrainiens et des amis russes, et qui n’éprouvent qu’un sentiment d’horreur à l’idée qu’ils sont en train de se massacrer mutuellement. » Comme nous l’explique ici Alain de Benoist, au final ce sont les européens qui sont les grands perdants. 

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Source : Eléments

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mercredi, 30 juillet 2025

Après l’accord sur les droits de douane entre Donald Trump et la Commission européenne d’Ursula von der Leyen...

Maastricht et ses conséquences : là encore, nous avons vu (avec d’autres) ce qu’il fallait voir et dit ce qu’il fallait dire !

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Synthèse nationale

Les 9 et 10 décembre 1991, les chefs d’État et de gouvernement des douze pays membres de la Communauté économique européenne (CEE), réunis à Maastricht, se prononçaient pour un nouveau traité communautaire instituant une Union européenne.

Alors même que cet accord n’était pas encore connu, nous écrivions dans Espace nouveau (n°16, Non à l’Europe de Maastricht, 15 décembre 1991) - le bulletin du Mouvement d’initiatives nationales (MIN) que nous animions alors - : « Les quelques années qui viennent devront être marquées par une vraie mobilisation sans laquelle le règne de la Commission de Bruxelles, technocratique et irresponsable, sera définitivement assuré. L’Union politique et monétaire est un leurre. Derrière Strasbourg et Bruxelles : Washington… Derrière l’UEO : l’OTAN… Derrière Delors : Bush ! ».

Au printemps de 1992, dans Le Spectacle du Monde (n°363), le journaliste François d’Orcival prévenait ses lecteurs : « (…) La liberté du peuple allemand passe par le système de l’intégration dans un ensemble plus vaste qui dissout (les) alliances rivales (des autres puissances européennes). Cette intégration désarme à la fois la méfiance à l’égard de l’Allemagne et dissuade en son sein une explosion de nationalisme (en tant que tel ou sous sa forme neutraliste ou pacifiste). L’Allemagne veut donc se fondre dans l’espace européen, et dans toutes les dimensions. Quand François Mitterrand croit abolir la menace des conflits frontaliers d’avant 1914 en "ficelant" l’Allemagne, Helmut Kohl fait de l’union de Maastricht le nouveau cadre de l’Allemagne ».

De notre côté, au même moment, dans le n°19 d’Espace nouveau (Contre Maastricht, debout la France ! mai 1992), nous lancions une pétition pour « que (ce) traité (…) soit soumis à un référendum » (ce qui sera chose faite en septembre 1992, avec le résultat que l’on sait) tout en appelant à lui « dire non ». Maastricht, écrivions-nous alors, « c’est l’abandon de notre souveraineté nationale (…) ; c’est le triomphe de la bureaucratie bruxelloise : 80% des décisions essentielles seront désormais prises par la Commission, organe technocratique indépendant des États, uniquement composée de techniciens nommés et non pas élus (…) ; Maastricht, c’est la victoire des lobbies : à Bruxelles, les milieux d’affaires et les groupes de pression font déjà la loi ; une situation qui s’aggravera encore avec la mise en place du nouveau mode de décision à la majorité et non plus à l’unanimité ; c’est l’incohérence et la paralysie en matière diplomatique : cette Europe (…) a montré (…) qu’elle est incapable, fondamentalement, de s’entendre et d’agir de concert. Les vœux pieux exprimés dans le traité ne sont évidemment pas de nature à changer cette réalité. Surtout au moment où se reconstitue la grande Allemagne. Il ne suffit pas de décréter l’unité européenne dans le secret des antichambres lambrissées de la République socialiste et de l’eurocratie bruxelloise pour lui donner effectivement vie ; Maastricht, c’est le renforcement de l’influence américaine : il est clair, en effet, que Washington, par pragmatisme mais aussi pour affaiblir les volontés nationales et les velléités d’indépendance, préfère être confronté à un interlocuteur unique – le président de la Commission – plutôt qu’aux représentants des États, défenseurs, en principe, de leurs intérêts nationaux (…) »…

33 ans plus tard (33 ans de perdus), au moment où les classes politiques et les peuples des États membres de l’Union européenne créée par le traité de Maastricht se retrouvent désemparés face aux diverses conséquences de ce dernier, qu’il nous soit permis – sans plaisir aucun – de leur rappeler la célèbre remarque de Bossuet : « Dieu se rit des prières qu'on lui fait pour détourner les malheurs publics, quand on ne s'oppose pas à ce qui se fait pour les attirer ».

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Accord UE/US : Donald Trump défend les intérêts de son pays. Qui défend les nôtres ?

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Un communiqué de Sarah Knafo (Reconquête !)
 
Ursula von der Leyen vient d’accepter un accord UE-US désavantageux avec un lâche soulagement.
 
Il y a deux semaines à peine, je proposais qu’on censure Ursula von der Leyen et sa Commission.
 
Les amis de Monsieur Bayrou, les centristes et les LR ont refusé de voter cette Motion avec moi. Ils viennent pleurer aujourd’hui.
 
Le grand paradoxe : ceux qui se prétendent le plus « anti-trumpistes » sont ceux qui se soumettent le plus à lui.
 
Les autres comprennent sa philosophie et acceptent le rapport de force. Pour qui avait suivi sa campagne, la situation actuelle était d’ailleurs aisément prévisible.
 
Donald Trump défend les intérêts de son pays. Qui défend les nôtres ?
 
Sûrement pas ceux qui sont actuellement au pouvoir. Vivement que cela change !

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Le sénateur Laurent Duplomb a raison

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C’est le type même d’action du milieu fascisant écolo que cette pétition visant à pointer du doigt la proposition de loi du sénateur Laurent Duplomb. Et facile de mobiliser les gogos en leur laissant croire que quelques pesticides peuvent atteindre à leur vie. Les réseaux sociaux, c’est tout et n’importe quoi. Mais pour les écolos c’est du pain béni. Le problème est que la réalité est tout autre comme le démontre Mickaël Fonton dans Valeurs actuelles.

Lire la suite ICI

Source : Valeurs actuelles 30/7/2025

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Ce « pognon de dingue » pour les salauds

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La chronique de Philippe Randa

L’arrivée en ce début d’été des premiers détenus à la prison de haute sécurité de Vendin-le-vieil a suscité un bel enthousiasme « à droite » de l’échiquier politique et un silence plus gêné « à gauche » de celui-ci, mais qui ne dit mot consent, n’est-ce pas.

Quelques avocats directement concernés par ces « clients » et quelques autres plus compatissants envers les délinquants qu’envers leurs victimes, ont sonné le tocsin de l’indignation, du retour aux heures présumées les plus sombres de notre histoire, etc., etc., et Me Philippe Ohayon a même déposé une plainte pour abus d’autorité contre le ministre de la Justice Gérald Darmanin devant la Cour de Justice de la République (CJR) !

Difficile d’interpeller nos compatriotes quand, en ces premiers jours de vacances, leur intérêt était de savoir où et comment ils allaient bien pouvoir oublier ce monde de brutes.

Gérald Darmanin serait donc un ministre qui tient ses promesses. Ministre de la justice et ex-ministre de l’Intérieur, qui plus est. On a peine à y croire et pourtant…

Pourtant, ça y est : le 24 juillet dernier, 12 nouveaux malfrats ont rejoint à Vendin-le-vieil les 7 premiers qui les y avaient précédés. Nom de nom de scrongneugneu… et ce n’est qu’un début !

Qui douterait que les cellules ne continuent désormais à se remplir de tout le gratin du narco-trafic organisé ? Celles de Vendin-le-vieil, tout comme celles de l’autre prison de haute sécurité de Condé-sur-Sarthe ? Fort bien et quel honnête personne bouderait son plaisir à l’idée d’une telle perspective ?

Seuls des esprits tout aussi honnêtes, mais néanmoins plus chagrins, font remarquer le coût de telles prisons, estimés en mars dernier par Gérald Darmanin « entre 4 et 5 millions d’€ pour la prison de Vendin et sans doute le même montant pour la prison de Condé. »

Les bons comptes faisant parfois les désagréables constat, on ne manquera pas d’ajouter le cout mensuel d’un détenu ainsi « nourris, logés, blanchis » : à savoir en moyenne dans les 200 € selon un rapport parlementaire établi il y a 20 ans et ramené depuis (!) à seulement 105 € en moyenne par jour et par détenu.

Oui, mais dans un autre rapport de 2023 sur la surpopulation carcérale, ce chiffre, corrigé à 130 € par l’administation pénitentiaire pour des personnes en attente de leur procès ou qui purgent des peines courtes, double pour celles incarcérées dans des maisons centrales. En cause : la sécurité, évidemment !

Selon Benjamin Monnery, enseignant-chercheur en économie à l’Université Paris Nanterre et fondateur de l’Observatoire des disparités dans la justice pénale, « chaque place à la construction coûte entre 300.000 et 400.000 € à la collectivité. Un gros établissement un peu standard de 500 ou 600 places revient donc aux alentours de 200 millions d’€. En construire des dizaines, ça devient vite très cher, d’autant plus qu’à ces coûts de construction, il faut ajouter le coût de fonctionnement. Et donc, au total, un détenu, chaque année, coûte à la collectivité 50 000 €. »

Et encore ne parle-t-il là que des détenus « normaux », pas de ce que coûtent les 100 plus gros criminels « parmi les plus dangereux de France » qui pensionneront à Vendin-le-vieil et à Condé-sur-Sarthe.

On imagine aisément que leur « pension » mensuelle est forcément plus élevée : outre la sécurité renforcée, les salaires des personnels pénitentiaires sont probablement évalués en fonction des risques encourus autant que pour les dissuader de céder à de possibles offres de corruptions beaucoup plus importantes.

Les mêmes esprits chagrins ne manqueront pas alors de faire également remarquer que ces super-criminels ont assassinés, torturés ou ordonnés de torturer (peut-être nous expliquera-t-on que c’est moins grave et plus excusable) des êtres humains… mais leur existence est pour tous les abolitionnites de la peine de mort tellement sacrée que ceux-ci estiment sans doute en leur âme et conscience que cela vaut sans doute bien la peine que le vulgum pecus (les contribuables français) mette la main à la poche. Et le plus profondément possible !

Tant pis alors si tous l’argent que « ces humains-là » coûtent ne va pas plutôt dans les hôpitaux qui, on le sait bien, ne manquent nullement de moyens et dont le personnel est si grassement payé.

Ces hôpitaux où les contribuables français – on doute que les « 100 plus gros criminels parmi les plus dangereux de France » en fassent partie – espèrent se faire soigner décemment… et parfois même sauver la vie.

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00:25 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une fois n'est pas coutume : la réaction de la NAR aux accords Trump/von der Leyen

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Un communiqué de la Nouvelle Action Royaliste :

Le président des Etats-Unis vient d’obtenir la complète soumission économique, financière et commerciale de l’Union européenne, dont il avait déjà obtenu l’allégeance militaire lors du sommet de l’Otan en juin dernier.

Convoquée sur un terrain de golf écossais, la présidente de la Commission européenne a signé sa reddition sans même combattre. Depuis longtemps, les jeux étaient faits. Se consacrant uniquement, comme toujours, à défendre les intérêts allemands, Ursula von der Leyen n’a pas tenu compte des appels français à la fermeté et conclut un accord qui ménage les intérêts de son pays sous les applaudissements du chancelier Merz.

Pour Emmanuel Macron, la défaite est totale. L’accord du 27 juillet ne souligne pas seulement son échec tactique face à la Commission européenne : c’est sa vision fantasmatique de la “souveraineté européenne” qui vient d’être détruite.

S’effondre aussi le mythe de “l’Europe-puissance” grâce à son grand marché de 420 millions de consommateurs. La Commission européenne a accepté des droits de douane de 15% en faisant mine d’oublier la dépréciation du dollar qui vient également pénaliser ses exportations. Elle s’est engagée à importer pour 750 milliards de dollars de produits énergétiques américains au mépris de ses engagements écologiques. Elle a accepté d’investir 600 milliards de dollars supplémentaires aux Etats-Unis, alors que l’Union européenne souffre de sous-investissement. Elle a accepté d’acheter de “vastes montants” d’armements américains, au mépris de notre industrie de défense et sans aucune assurance quant à la liberté de l’utilisation effective de ces armes puisque le vendeur fournira les pièces détachées. Elle s’est engagée à ne prélever aucune taxe sur les produits et les services américains importés et à préserver les rentes des géants du numérique. La Commission européenne se félicite d'avoir évité le pire mais rien n’est pire qu’une complète soumission à une volonté de puissance impériale.

Dans un communiqué pitoyable, François Bayrou évoque “un jour sombre”. Du Premier ministre, qui “détermine et conduit la politique de la Nation”, nous n’attendons pas un commentaire mais une politique résolue. Il faut mettre en œuvre tous les moyens permettant de bloquer l’accord de vassalisation conclu le 27 juillet. Si l’on se contente de bonnes paroles, le gouvernement Bayrou n’aura plus aucune raison d’être.

Le Comité Directeur de la Nouvelle Action Royaliste

00:24 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 29 juillet 2025

Pierre Cassen nous met en garde face aux escroqueries des faux conseillers bancaires

Je vais vous raconter deux histoires authentiques, inquiétantes, d’amis victimes d’escroqueries bancaires, par des faux conseillers remarquablement habiles.

Soyez vraiment prudents, c’est déjà arrivé à 1 million de Français !

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11:44 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alerte du Syndicat de la Famille suite à la décision du Conseil d'Etat sur l'éducation sexuelle à l'école

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Un communiqué de Ludovine de La Rochère, présidente du Syndicat de la Famille :

Avec 300 parents d’enfants scolarisés et d’autres associations, nous avions saisi le Conseil d’État pour demander l’annulation du programme d’éducation sexuelle.

Ce programme, en effet, est imprégné d’idéologie, très insuffisamment respectueux de l’intimité et de la conscience des élèves et il piétine le rôle éducatif des parents.

Hélas, le Conseil d’État, comme l’Éducation nationale et nombre d’institutions, est gangrené par le wokisme : les nominations d’Emmanuel Macron et de ses gouvernements successifs expliquent largement cet "entre-soi" idéologique au sommet de l’État.

Le 27 juin dernier, le Conseil d’État a donc rendu une décision mensongère et hypocrite : le décret n’a pas été annulé au prétexte que le programme serait "neutre" (sic), qu’il serait "progressif" (mais il est loin de l’être suffisamment !) et que "le Droit de l’éducation n’obligerait pas à informer en détail les parents sur les séances d’éducation sexuelle" (ce programme n’existait pas encore lors de l'adoption des lois qui constituent le Droit de l'éducation !).

Bien évidemment, il n’est pas question d’abandonner la partie, l’enjeu est bien trop important pour l’équilibre, le respect, la conscience et l’éducation de nos enfants et petits-enfants.

A partir du 1er septembre, Le Syndicat de la Famille diffusera donc, partout en France, un tract d’informations et de conseils destinés à tous les parents d’élèves. Il est impératif, en effet, de les alerter et de les aider à protéger leurs enfants de la propagande wokiste et transactiviste.

Le tract du Syndicat de la Famille cliquez ici

10:17 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un peu plus d'un mois avant la rentrée : Éducation nationale, une jeunesse désarmée, des savoirs en déroute

Le recrutement des enseignants toujours en crise | Fondation pour l'Ecole

La rédaction de Breizh-Info (cliquez ici)

On pourrait croire à une mauvaise plaisanterie, à une farce de fin d’année scolaire. Mais les chiffres tombés (le) 9 juillet 2025, en provenance directe des services statistiques du ministère de l’Éducation nationale, n’ont rien d’un gag potache : moins d’un collégien de 3e sur deux maîtrise correctement le français et les mathématiques. Le socle commun est devenu terrain vague. Et dans ce marasme éducatif, les écarts de genre et de classe sociale tracent des frontières invisibles mais béantes, qui segmentent déjà la jeunesse comme une société de castes.

L’effondrement par les chiffres

46,6 % des élèves de 3e seulement atteignent le niveau jugé « satisfaisant » en français. À peine 45,7 % en mathématiques. Et encore : ces moyennes nationales masquent des réalités bien plus contrastées. Dans les quartiers dits « prioritaires », on chute à des niveaux dignes d’un pays sans école obligatoire. Tandis que les établissements « hors REP » (hors éducation prioritaire) affichent des résultats presque deux fois supérieurs.

Et il faudrait s’en satisfaire ? S’en remettre à des « plans ministériels » saupoudrés de slogans ? Pendant ce temps, les lycées professionnels deviennent des zones de relégation. Le bac est nivelé par le bas. Et les enseignants, eux-mêmes en proie à la perte de sens, désertent par centaines.

Quand le genre devient une barrière

Les filles, elles, sauvent les apparences… en français. 54,7 % d’entre elles atteignent le niveau attendu, contre seulement 38,7 % des garçons. Mais en mathématiques, les rôles s’inversent : 53 % des garçons s’en sortent contre à peine 40 % des filles. Des écarts que le ministère attribue à des « stéréotypes de genre » – ce qui revient à dire que l’on sait ce qui ne va pas, sans avoir jamais su corriger quoi que ce soit.

Faut-il y voir l’énième échec de la pédagogie égalitariste ? De l’absence de filières, de redoublement, de discipline et d’exigence ? Quand l’excellence est soupçonnée d’élitisme, il ne reste plus que la médiocrité comme horizon commun.

L’origine sociale, cette condamnation silencieuse

Plus inquiétant encore : le poids écrasant du déterminisme social. En classe de 5e déjà, les écarts entre les enfants d’ouvriers et ceux des classes favorisées doublent. La République, censée instruire pour libérer, semble désormais assigner à résidence. Et l’Éducation nationale, jadis matrice de l’ascenseur social, devient l’écho d’un monde figé où l’avenir se joue dès l’entrée au CP.

Lire un texte, comprendre une consigne, poser une division, structurer une pensée : autant d’aptitudes élémentaires qui s’effondrent. 16,8 % des élèves de 3e lisent moins bien qu’un écolier de CM2. C’est un signal d’alarme, un SOS éducatif. Et dans un monde de plus en plus technologique, complexe, instable, une jeunesse sans base solide devient une jeunesse vulnérable, livrée aux idéologies les plus simplistes ou aux écrans les plus abrutissants.

Et maintenant ?

La ministre Elisabeth Borne a lancé un « plan filles et maths ». Une mesure de communication, sans souffle ni ambition. Car le problème est plus vaste : c’est l’École dans son ensemble qui est malade. De sa déconstruction. De son abandon par les élites. De sa soumission aux dogmes pédagogiques les plus stériles.

Dans un pays où l’on réécrit les fables pour ne pas choquer, où l’on gomme la grammaire pour ne pas exclure, où l’on remplace les dictées par des devinettes de groupe, il n’est pas étonnant que la langue et la logique s’effacent.

Il est temps d’oser l’inverse : retrouver le goût de la rigueur, de la transmission, du mérite. Loin des lubies idéologiques, des injonctions victimaires, et des usines à gaz administratives. C’est cela, ou laisser la France devenir un pays de seconde zone – non pas par manque de ressources, mais par refus d’exigence.

L’urgence est là, palpable, vérifiable. La question n’est plus de savoir s’il faut agir. La vraie question, c’est : qu’est-ce qu’on attend ?

09:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Face à la gauche, le Mouvement des patriotes bretons ne baisse pas les bras

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Affichettes abondamment collées par le MPB actuellement un peu partout en Bretagne.

09:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |