mardi, 04 mars 2025
Samedi 29 mars 2025, à Paris, au Sénat : les 40 ans de l'AGRIF
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lundi, 03 mars 2025
L’épouvantail de l’expansion russe : un fantasme occidental
Thomas Joly, président du Parti de la France
Depuis trois ans, les chancelleries occidentales et leurs médias aux ordres répètent inlassablement le même mantra : si la Russie n’est pas arrêtée en Ukraine, elle envahira l’Europe. Ce narratif, digne d’une propagande de guerre, n’a qu’un objectif : justifier la poursuite d’un conflit absurde qui ravage l’Ukraine et angoisser les peuples européens. Pourtant, un examen sérieux des faits et de l’Histoire démontre que cette thèse relève du fantasme pur et simple.
Une puissance régionale, pas un empire expansionniste
L’argument selon lequel la Russie ambitionnerait d’envahir l’Europe repose sur une ignorance crasse de la réalité stratégique. La Russie n’est pas l’Union soviétique. Son PIB est celui de l’Espagne, son armée est loin d’être la machine de guerre invincible qu’on nous décrit, et son économie repose principalement sur les exportations de matières premières. À quel moment une telle puissance aurait-elle les moyens – et l’intérêt – de partir à la conquête de l’Europe ?
Même en Ukraine, la Russie n’a pas mené une guerre d’annexion totale. Ses objectifs ont toujours été limités : sécuriser le Donbass russophone et garantir que l’Ukraine ne devienne pas un avant-poste de l’OTAN. Loin d’une marche triomphale vers l’Atlantique, la guerre a démontré que l’armée russe rencontre déjà des difficultés face à une Ukraine surarmée par l’Occident. Imaginer qu’elle puisse se lancer dans une conquête de Varsovie, Berlin ou Paris relève du délire.
Un prétexte pour prolonger la guerre
L’idée d’une Russie impérialiste avide de conquête était avant tout un outil de propagande destiné à maintenir l’Europe sous tutelle américaine. Depuis 2022, les États-Unis - sous l'administration Biden - et leurs alliés ne cessent d’alimenter l’Ukraine en armes, au prix d’une escalade permanente. Plutôt que de favoriser la paix, ils ont attisé le conflit en prétendant qu’il s’agissait d’un combat existentiel contre un nouvel Hitler.
Or, qui veut réellement la paix aujourd’hui ? Les peuples européens, qui subissent de plein fouet les conséquences économiques de cette guerre. Les Ukrainiens, sacrifiés sur l’autel d’une stratégie qui ne vise qu’à affaiblir Moscou. Donald Trump qui a fait de la paix en Ukraine l'un de ses axes de campagne. Et même les Russes, qui n’ont aucun intérêt à voir ce conflit s’enliser indéfiniment.
La peur comme instrument de domination
Le discours sur une menace russe imminente n’est qu’un énième moyen de soumettre les opinions publiques européennes. Depuis des décennies, nos dirigeants ont recours à la peur pour justifier leurs politiques de contrôle de la population : après la crise sanitaire, voici venu le spectre de l’invasion russe. L’objectif est clair : maintenir les peuples sous pression et légitimer des dépenses extravagantes au profit d'un régime ukrainien ultra-corrompu et au détriment des priorités nationales.
La vérité, c’est que la Russie ne veut pas conquérir l’Europe. Elle veut simplement que l’Occident cesse d’étendre son influence à ses portes. La solution à ce conflit ne viendra pas des va-t-en-guerre de Bruxelles ni d'ailleurs, mais d’un retour à la diplomatie et au réalisme. Plus tôt nous comprendrons cela, plus tôt nous pourrons mettre fin à cette tragédie absurde.
22:45 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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MATHIEU BOCK-COTÉ DÉFEND L'ACTION FRANÇAISE ET JEAN-YVES LE GALLOU
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Un vrai scandale à Marseille, un lycée dénommé Simone de Beauvoir, crypto-pédophile, crypto-communiste et dépravée
Michel Festivi
Dans le 3e arrondissement de Marseille, un lycée flambant neuf porte le nom de Simone de Beauvoir depuis quelques mois. Un élu d’opposition LR, Guy Tessier, est courageusement monté au créneau du combat culturel en demandant à ce que l’on retire cette appellation, car ce lycée porte le patronyme d’une personne qui « à plusieurs reprises a pris fait et cause en faveur de la pédophilie... elle avait signé une pétition qui défend les relations sexuelles entre enfants et adultes ». Mais cette vérité d’évidence, nous allons y revenir, a rendu fou furieux et injurieux à souhait le Maire de gauche, Benoît Payan, car pour les gauches, on ne doit pas briser les icônes révolutionnaires qui ont œuvré pour le communisme, pour tous les totalitarismes rouges, en passant au demeurant par la collaboration décomplexée avec les nazis, et qui ont systématiquement pris position contre la France et les intérêts français.
Pourquoi accoler le nom de cette personne sulfureuse à une école fait justement et légitimement scandale. Simone de Beauvoir a été de toutes les errances délétères, de tous les combats contre la France, elle a multiplié les actes ignobles et est devenue intouchable. Cette très grande bourgeoise, qui a vomi toute sa vie sur sa classe sociale, n’a fait qu’attiser les haines pour la seule gloire de mettre à bas la société au bénéfice de dictatures les plus mortifères, de couleur rouge.
Elle fut suspendue de l’enseignement pour avoir séduit certaines de ces élèves mineures, trois d’entre-elles témoigneront plus tard, de ce que leurs relations intimes avec Simone de Beauvoir les avaient blessées psychologiquement. C’est sans doute pourquoi, elle va signer en 1977, au côté de 68 autres odieux personnages, une tribune de Gabriel Matzneff, dans Le Monde, demandant la relaxe de trois individus poursuivis pour avoir commis des agressions sexuelles sur mineurs (à l’époque on parlait de corruption de mineurs). Elle exigera ensuite, la révision du Code Pénal pour abroger les dispositions relatives « au détournement de mineur », pour, abjection suprême solliciter « une reconnaissance du droit de l’enfant et de l’adolescent à entretenir des relations avec les personnes de son choix ». Ces choix pro-pédophiles furent soutenus par Jean-Paul Sartre, Michel Foucault, Roland Barthes, Alain Robbe-Grillet, Jacques Derrida, Philippe Solers, Françoise Dolto. Par ce simple fait, donner le nom de cette personne à un Lycée est une véritable trahison des droits à l’intégrité des enfants, comme l’a souligné Guy Tessier. On remarquera que la gauche ne change pas et fait toujours sienne, implicitement mais nécessairement, des actes qui portent atteintes à la probité des enfants, qu’elle le veuille ou pas.
Une des victimes de Simone de Beauvoir, Bianca Lamblin née Bienenfeld, dans un livre écrit en 1993, Mémoires d’une jeune fille dérangée, Chez Balland, révèlera que Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre auraient abusé d’elle à l’âge de 16 ans (n’oublions pas qu’alors la majorité était à 21 ans), et écrit-elle « j’ai découvert que Simone de Beauvoir puisait dans ses classes de jeunes filles une chair fraîche à laquelle elle goutait avant de la refiler... à Sartre. » Simone de Beauvoir n’hésitera pas à affirmer dans ses carnets lorsque Sartre rompt avec Bianca « Elle hésite entre le camp de concentration et le suicide » proprement odieux. Ingrid Galster divulguera dans L’Histoire numéro 327 de janvier 2008 « elle parle quelque fois des juifs qu’elle a vus être menacés ou arrêtés avec une relative indifférence ». Mais cela ne semble pas émouvoir plus que cela M. Payan, Maire de Marseille, qui vraisemblablement trouve tout cela normal, si on en croit ses réactions infamantes contre son élu de l’opposition.
Mais Guy Tessier aurait pu, aurait dû en rajouter sur Simone de Beauvoir, qui s’est totalement disqualifiée en l’occurrence. Car si l’on reprend le parcours de cette égérie libertaire extrémiste, l’on s’aperçoit qu’elle a multiplié les ignominies. Professeur agrégée de philosophie, ce qui la rend d’autant plus responsable de ses actes, elle n’a pas hésité, en 1943, au plus fort de la répression nazie contre les juifs et les résistants, à collaborer avec Radio-Vichy, médium de la collaboration, grâce à la recommandation de Sartre, et ce jusqu’en 1944. Nous n’étions pas en 1940/1941, où les doutes pouvaient éventuellement être permis, mais dans la période la plus noire qui soit. Certes, on m’objectera qu’elle organisait des émissions historiques musicales, mais, elle ne pouvait pas ignorer les autres diffusions de Radio-Vichy dont celles de Philippe Henriot. Elle publiera, toujours cette même année, un roman chez Gallimard, comme quoi l’occupation allemande pouvait avoir du bon pour ces intellectuels dépravés. Avec Sartre, ils seront très amis avec un dénommé René Delange, directeur de l’hebdomadaire collaborationniste Comoedia, et avec le Sonder führer Gerhard Heller qui régnait sur la vie intellectuelle parisienne d’alors. En 1944/1945 on en a condamné à l’indignité nationale, voire à être fusillés pour moins que ça.
Après-guerre, l’on va passer de la collaboration, ou du moins de la non-résistance flagrante, à l’apologie du communisme et de ses plus de 100 millions de morts. Staline, Castro, Mao, vont devenir les maîtres à penser du couple Sartre/de Beauvoir. Ces derniers applaudiront au Stalinisme triomphant, déclareront que la liberté existe en URSS. Ils se feront les apologistes des pires tyrans, Castro, Mao, Pol Pot. Simone de Beauvoir avait les yeux de Chimène pour Fidel Castro, Che Guevara et pour Mao ; elle les encensa. Elle sera ensuite de tous les combats pour un féminisme radical et totalitaire, préfigurant le wokisme insupportable d’aujourd’hui.
Non, décidemment, faire porter le nom d’un lycée à cet exemple « d’abuseuse d’enfants » ou de « pédophile », comme la qualifie en 2008 la Britannique Carole Seymour-Jones, auteur de l’ouvrage, A dangerous liaison est une très mauvaise action. Marie-Jo Bonnet, a quant à elle, en 2015, étiqueté de « contrat pervers », les jeux sexuels de Beauvoir et Sartre, l’une séduisant de jeunes lycéennes pour les mettre entre les pattes de Sartre. Dans un très récent entretien avec Alexandre Devecchio, pour le Figaro Magazine, en date du 27 février 2025, Michel Onfray, accuse Sartre, de Beauvoir et d’autres intellectuels de gauche d’avoir été contaminés par l’antisémitisme. Décidément, rien ne pourra être épargné à Simone de Beauvoir.
Je suggère au Maire de Marseille de débaptiser au plus vite ce lycée, car des enfants, des adolescents ne méritent pas d’être représentés par ce type de personnages dévoyés. Je lui préconise le nom d’une grande française, une femme incontestable, Marie Madeleine Fourcade, née justement à Marseille en 1909. Très grande résistante de la première heure dès août 1940, elle va commander le réseau Alliance, après que son chef, le fondateur de l’organisation, Georges Loustaunau-Lacau sera arrêté en 1941. Elle sera faite Commandeur de la Légion d’honneur, Croix de guerre 1939/1945, Médaille de la Résistance, et de biens d’autres décorations.
Cet exemple est symptomatique du combat culturel que mènent systématiquement les gauches, les droites s’en désintéressant la plupart du temps par peur, par crainte, par ignorance. Dans mon dernier livre sur La désinformation autour du Parti communiste « français », j’ai relaté le combat méritoire et remarquable dont avait fait preuve Laurent Wetzel, alors élu d’opposition à Sartrouville, le maire communiste d’alors ayant choisi le nom de Marcel Paul pour le donner à une rue. Wetzel avait démontré que ce sinistre personnage, ministre communiste après la libération, n’avait jamais résisté aux allemands, soutenant le pacte Hitler/Staline, et avait tout fait au contraire pour favoriser les communistes au camp de Buchenwald au détriment des non-communistes, choisissant ceux qui devaient vivre ou mourir. Attaqué en justice par les communistes, Wetzel sera relaxé. Élu Maire ensuite, Wetzel fera débaptiser cette rue et de biens d’autres attribuées à des criminels communistes. Le combat culturel et des idées est un combat quotidien et permanent, il doit s’imposer pour la victoire des libertés.
12:21 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Philippe Randa invité sur la radio Méridien Zéro
Méridien Zéro vous propose un entretien passionnant avec Philippe Randa écrivain, romancier auteurs de romans policier, de science fiction et d’espionnage notamment pour les éditions Fleuve Noir et Presses de la Cité…. Il a notamment collaboré à plusieurs encyclopédies pour les éditions Atlas, ainsi qu’à la presse militaire et politique avant de fonder les éditions Dualpha, Déterna, L’Æncre et Dutan… Il dirige depuis 2012 le site Francephi diffusion et depuis 2016 le site de la réinformation européenne EuroLibertés.
À la barre de cette émission Wilsdorf & Arnaud Naudin !
Pour écouter l’émision, cliquez ici.
12:11 Publié dans Philippe Randa, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Belle journée patriotique aux Sables d'Olonne en Vendée : projection du film "Silenced" et conférence de Bruno Gollnisch. Bravo au Rassemblement vendéen !
Le public, nombreux et attentif, écoute Bruno Gollnisch.
Synthèse nationale
Aux Sables d'Olonne, ce dimanche après-midi, la projection du passionnant et éclairant film "Silenced" de l'anglais Tommy Robinson, suivie de la conférence sur la liberté d'expression de l'ancien député (FN) Bruno Gollnisch, toujours aussi brillant, ont rencontré un franc succès. Cette réunion, organisée par le Rassemblement vendéen, la force nouvelle qui monte dans ce département, a réuni une centaine de participants attentifs et enthousiastes.
Certes, quelques hystériques islamo-gauchistes et autres antifas d'opérette, rameutés de tout l'ouest de la France, ont tenté de faire interdire la réunion, mais ils ont dû y renoncer vu les maigres effectifs qui ont répondu à leurs appels pathétiques. Visiblement, la haine anti-française ne passe plus aux Sables d'Olonne. Dépités, ils ont tenté, à dix contre un, d'agresser notre Ami Éric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen. Fort heureusement, l'intervention rapide des forces de police, en nombre autour de la salle, a évité le pire. Une fois de plus les résidus de la gauche totalitaire se sont ridiculisés en montrant leur vrai visage, celui de la violence et de l'intolérance.
Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, de passage aux Sables, était présent.
Bravo au Rassemblement vendéen ainsi qu'aux jeunes nationalistes sablais, fiers descendants de ceux qui se sont levés en 1793 pour tenter de sauver la Liberté, qui défendaient la salle. Merci aussi à Yannick Moreau, courageux maire de la ville, qui n'a pas cédé aux diktats de la gauche cliquez ici et autorisé la tenue de cette belle conférence dans une grande salle municipale.
Bruno Gollnisch, Éric Mauvoisin-Delavaud et Roland Hélie.
12:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sur l’Ukraine, ouvrons les yeux
Les alliés de Kiev ont fait « un mauvais calcul stratégique» en ne voulant pas voir que la guerre en Ukraine était «existentielle» pour Moscou, déplore le professeur de stratégie, Olivier Zajec, qui analyse la brutalité inouïe de Donald Trump comme un tournant pour l’Ukraine, mais aussi pour l’Europe.
Rien n’était écrit, mais le résultat est là : l’Ukraine, héroïque et courageuse, luttant pour son identité et sa dignité, est à genoux, saignée démographiquement. Elle va perdre des territoires. Elle ne bénéficiera que d’une protection conditionnelle des États-Unis, du moins sous Donald Trump. Les Européens auront un grand mal à garantir sa sécurité. Kiev n’adhérera pas à l’Otan. L’Ukraine, à l’encan, va se faire piller par son ancien soutien. Elle vivra dans la peur. Quelles que soient nos options analytiques, nous devrions tous être dévastés de ce résultat.
Olivier Zajec, spécialiste français de la stratégie militaire, professeur à l’Ecole de guerre pendant douze ans, et auteur de nombreux ouvrages, nous livre ici son analyse sur la nouvelle donne géopolitique issue du conflit ukrainien et ses conséquences pour nous autres Européens.
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Source : Le Figaro 1/3/2025
09:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 02 mars 2025
Eric Zemmour était l'invité de BFM TV ce dimanche midi
L'émission sur BFM TV
J'étais l'invité de BFM Politique ce dimanche.
Il n’est pas question qu’Emmanuel Macron rende la dissuasion nucléaire européenne. Ce serait un acte de haute trahison. Il profite de la crise diplomatique entre Trump et Zelensky pour accélérer son agenda fédéraliste européen.
Quand je regardais l’échange entre Trump et Zelensky, j’ai pensé assez vite, avec gratitude, au Général De Gaulle qui nous a doté de l’arme atomique pour que plus jamais la France connaisse la dépendance militaire aux États-Unis.
Dans toute notre histoire, les grands mouvements idéologiques se sont répandus en Occident. Aujourd’hui, il y a un grand mouvement qui se diffuse dans l’Occident : la reprise en main de leur destin par les peuples occidentaux qui refusent de disparaître.
Eric Zemmour,
président de Reconquête !
18:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Trump tire le tapis sous les pieds des Européens
Face aux positions de Donald Trump concernant l’Ukraine et par-delà l’Union européenne, les Européens vont-ils pour une fois regarder la réalité en face ? Quels sont les conséquences et les enjeux du désengagement américain ? C’est à toutes ces questions que tente de réponde Pierrre Lellouche dans cet article percutant et réaliste du Journal du dimanche.
Lire la suite ICI
Source : Journal du dimanche 2/3/2025
10:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Malgré la ridicule prestation de la gauche (30 personnes) samedi, la projection ce dimanche à 15 h du film "Silenced" aux Sables d'Olonne aura bien lieu
09:29 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les César 2025 : la grande messe du wokisme
Thomas Joly, président du Parti de la France
Comme chaque année, la cérémonie des César s’est transformée en tribunal de la bien-pensance et en grand-messe du progressisme. Oubliés le talent, l’exigence, l’excellence artistique ! Place aux quotas, aux cases à cocher et aux bons sentiments dégoulinants.
Le triomphe d’Emilia Perez, un film centré sur un transsexuel, n’a rien d’un hasard : c’est un manifeste idéologique, un signal envoyé par l’industrie du cinéma qui ne jure plus que par la déconstruction de nos repères. Meilleur acteur et meilleure actrice ? Bien sûr, des représentants de la « diversité », parce que ce qui compte aujourd’hui, ce n’est plus la performance mais l’origine ethnique. Quant au prix de la révélation masculine, il ne pouvait évidemment revenir qu’à un migrant africain. Peu importe qu’il soit le meilleur ou non : il incarne le narratif que l’on veut nous imposer.
Et que dire de Catherine Deneuve, monument en ruine du cinéma français, réduite à livrer l’hommage attendu à l’Ukraine, comme pour rappeler que même dans la culture, il est interdit de dévier de la ligne atlantiste ?
Les César ne sont plus une célébration du cinéma français mais une farce militante, un concours de vertu où l’on récompense moins les films que leur conformité aux dogmes du moment. Affligeant.
09:21 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sarah Knafo parle de l'agriculture française
09:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 01 mars 2025
La dérive des continents
Philippe Gélie
L’Amérique de Donald Trump est déjà loin de l’Europe. Alignée de fait sur les positions de Moscou à l’orée d’une négociation qui engage la sécurité de notre continent, elle poursuit ses intérêts sans considération pour le passé, les alliances ou les « valeurs ». Ceux qui croient encore pouvoir rattraper le président américain par la manche, grâce à leur attrait économique ou un sursaut de conscience lui révélant ses vrais amis, se ménagent un réveil brutal. Dans la jungle de Trump, les amis sont des profiteurs qu’il faut traiter en vassaux.
Rien de bien neuf sous le ciel des relations internationales : chaque dirigeant se soucie avant tout des intérêts de son pays - la différence tient à la façon dont il les définit et les défend. En l’espèce, ranger toutes les décisions de Trump au rayon de la priorité nationale ne rend pas justice à sa singularité. L’homme d’affaires pragmatique se révèle extrêmement idéologique. Sa révolution vise à détruire un ordre dans lequel il estime que les États-Unis se font abuser - quand bien même ils l’ont eux-mêmes bâti et imposé.
Cette force hostile venue de l’ouest est relativement nouvelle pour les Européens. Elle les place en étau entre un autocrate belliqueux qui déstabilise le continent et un marchandeur sans scrupule qui négocie son parapluie sécuritaire, les menace d’une guerre commerciale et soutient en leur sein des forces radicales. À Moscou, Vladimir Poutine n’en croit sûrement pas ses yeux et ses oreilles : qui aurait parié sur une telle dérive des continents, dans laquelle l’Amérique se rapproche de la Russie en passant par-dessus l’Europe ?
En dépit de ce qu’il voit comme ses intérêts, Donald Trump n’a pas grand-chose à gagner dans son alignement sur le Kremlin. Il demande la paix à toute vitesse, mais l’autre veut la victoire et a tout son temps. L’Américain fait le jeu d’un tsar convaincu du déclin inéluctable de l’Occident démocratique et capitaliste, et qui voit en lui un accélérateur de l’Histoire. Certitude partagée par son homologue chinois, dont Washington espère briser l’alliance avec Moscou, sous-estimant la force de leur pacte idéologique. Problème : quand le chef de la Maison-Blanche se trompe de cible, c’est autant aux dépens de l’Europe que des États-Unis.
Source : Le Figaro 01/03/2025
11:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La diffusion du film pro vie "Unplanned" sur C8, juste avant sa mise à mort, provoque l'hystérie dans les rangs de la bien-pensance institutionnalisée...
Synthèse nationale
En programmant vendredi soir, à peine deux heures avant sa fermeture définitive imposée par l'Arcom, le magnifique film "Unplanned" (en Français, "Non planifié", sorti en 2020) relatant la prise de conscience par une jeune femme de ce qu'est réellement le Planning familial qui légitime chaque année des millions d'avortements, C8 a adressé un dernier pied de nez au "politiquement correct".
Évidemment, ce matin, toute la presse bien pensante s'égosille pour insulter la diffusion imprévue de ce long métrage non conformiste dénonçant l'industrie lucrative de l'avortement. La responsabilité de l'hyper classe mondialiste, incarnée par Sorros, Gate et consort, y est clairement dénoncée. Cela, les aboyeurs du Système ne peuvent le tolérer. Voilà pourquoi, aujourd'hui, ils font grise mine...
Qu'on le veuille ou non, même s'il peut en certains cas très précis être justifié, l'avortement, passé un court délais, est non seulement un drame mais aussi un crime.
En agissant ainsi, avec la projection imprévue de "Unplanned", C8 a voulu adresser un ultime message aux censeurs patentés de l'Arcom, (donc de la macronie) : vous pouvez faire avorter une chaine de télévision, mais vous ne réussirez pas à assassiner la Liberté...
Nous sommes là en plein dans la tradition de résistance de la famille Bolloré.
11:33 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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RAPPEL : À 15 H, À PARIS, PLACE DU PANTHÉON
11:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Zelensky, la fuite en avant d’un fou inconséquent
Thomas Joly, président du Parti de la France
L’Histoire jugera. L’instant était solennel, l’heure grave. Et pourtant, ce vendredi 28 février, Volodymyr Zelensky, sous les ors de la Maison-Blanche, s’est offert le luxe inouï de cracher dans la main qui le nourrit. Il n’est plus à une outrance près, cet histrion qui joue au chef de guerre comme d’autres jouent les matamores. Devant un Donald Trump patiemment revenu aux affaires et sincèrement désireux de trouver une issue au bourbier ukrainien, le président de Kiev a fait preuve d’une arrogance aussi déplacée qu’insensée.
Au lieu de saisir cette occasion historique, Zelensky a cru bon de s’ériger en donneur de leçons, lançant des piques méprisantes à son hôte, refusant tout compromis, affectant l’attitude du chef intraitable alors même que son pays ne tient que par la perfusion américaine. On aurait cru un roitelet sous amphétamines, habité par une excitation étrange, une nervosité suspecte. Aurait-il puisé son inspiration ailleurs que dans la raison d’État ? La question mérite d’être posée.
L’Ukraine, depuis deux ans, est devenue une épave errant dans les flots tumultueux d’une guerre qu’elle n’a plus les moyens de mener. Les milliards américains, distribués à jets continus sous l’ère Biden, ont maintenu sous respiration artificielle un régime gangrené par la corruption et l’influence étrangère. Trump, fidèle à son pragmatisme, veut mettre fin à cette mascarade et trouver une sortie de crise. Mais pour cela, encore faudrait-il que son interlocuteur soit un homme d’État et non un bouffon déguisé en stratège.
Naturellement, les gouvernements d’Europe occidentale – qui ont poussé à la guerre depuis trois ans – se sont empressés de voler au secours du comédien en chef. Il faut dire qu’en matière d’inversion accusatoire, nos élites n’ont plus rien à apprendre. Zelensky l’arrogant devient une victime, Trump le pacificateur devient le coupable. L’Ukraine, elle, continue de s’enfoncer, et ses soldats meurent pendant que leur président parade sur les plateaux et insulte ses bienfaiteurs.
Il y a une vérité cruelle que les Ukrainiens devront bien finir par affronter : leur salut ne viendra ni de Washington ni de Bruxelles. Tant que leur pays restera entre les mains de ce clown en treillis, ils seront condamnés à une guerre sans fin, un enfer absurde entretenu par l’orgueil et la corruption. La Russie, elle, attend patiemment que l’épuisement fasse son œuvre.
L’Histoire jugera, oui. Et elle se souviendra que, lorsque l’heure était venue de faire la paix, Volodymyr Zelensky a préféré fanfaronner, quitte à précipiter la ruine de son propre peuple.
11:31 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Journal du chaos
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vendredi, 28 février 2025
Bruneau Retailleau et les 80 imams algériens
Michel Festivi
Depuis plusieurs mois, que ce soit sous le gouvernement Barnier, ou actuellement sous le gouvernement Bayrou, notre ministre de l’intérieur se démène, parle, clame, propose, expose, vitupère, mais agit-il véritablement, concrètement ? C’est la seule et unique question, car on se souvient tous des frétillements sans fin d’un certain Nicolas Sarkozy, qui, au même poste dans les années 2003/2007, pour se faire élire Président - et ne rien faire ou pas grand-chose -, avait lui aussi décuplé les gesticulations, pour en somme des résultats plus que dérisoires, se rangeant même bien souvent dans les plis des diktats des gauches, comme nommer plusieurs personnalités de gauche à de postes importants.
Ah, pour siphonner les voix du Front national, il avait su y faire, mais pour renverser la table, à la manière d’un Trump par exemple, on attend encore. On le sait, depuis l’apostrophe célèbre d’un Maréchal de France, les Français ont la mémoire courte. C’est pour cela qu’il est plus qu’important, capital même de rappeler toujours et encore, que la valeur d’un homme politique ne se mesure pas à ses promesses, qui n’engagent que ceux qui les écoutent, mais à ses actes.
Bruneau Retailleau a eu des occasions certaines d’agir au bénéfice des français pour contrer l’immigration massive et sauvage. L’a-t-il fait ? Rien n’est moins sûr. Il y a quelques semaines, nous avons appris que des fonds considérables transitaient par le ministère de l’intérieur, pour aller abreuver des associations chargées de la gestion des migrants. Bruneau Retailleau a-t-il proposé des coupes sombres, à la manière d’un Trump ou d’un Milei ? A-t-il opéré des restrictions financières à certaines nébuleuses qui ne sont là que pour développer l’immigration ? On aimerait bien le savoir, mais poser la question, c’est hélas, je crois déjà connaître la réponse. À noter que son prédécesseur, très actif pour faire dissoudre des associations patriotes, n’avait pas eu non plus de politique spécifique en la matière, laissant prospérer des organisations, qui n’ont de cesse de briser les volontés de brider un tant soit peu l’immigration illégale ou clandestine.
Mais tout dernièrement, Bruneau Retailleau a eu une occasion en or, de démontrer aux français qu’il entendait pratiquer une adéquation certaine entre ses paroles et ses actes, et il a totalement manqué le coche, il a lamentablement échoué. Depuis des années, des mois, des semaines, la France se fait humilier par le pouvoir algérien, du fait essentiellement de la nullité de nos gouvernements et de nos élites, Emmanuel Macron a dans ce dossier une très lourde part de responsabilité, par ses déclarations insensées et sa politique pro-algérienne unilatérale, confiée à un ancien trotskiste.
Il ne se passe pas un jour, sans que l’Algérie refuse de reprendre ses ressortissants délinquants, que la France tente justement d’expulser. On vient d’apprendre, que s’agissant d’une énième expulsion, l’Algérie avait déjà par dix fois refusé que ce quidam ne rejoigne son sol national. Tous les jours, dans la presse, sur tous les médias, des anciens ambassadeurs, des experts auto-qualifiés, nous expliquent en long en large et en travers, les leviers dont la France dispose pour faire plier le pouvoir FLN qui nous nargue et qui emprisonne Boualem Sansal pour uniquement les opinions qu’il a proférées, sans commettre aucun délit de quelque nature que ce soit. On se croirait revenir à l’époque soviétique, ou des dissidents étaient internés pour avoir critiquer le régime dictatorial, sans que l’Occident ne s’en préoccupe beaucoup au demeurant.
Et bien, malgré ce contentieux très lourd, les autorités françaises viennent d’accorder des visas à 80 imams algériens à l’occasion du ramadan qui s’annonce. Aussitôt, le RN est tombé à bras raccourcis sur celui qui occupe la Place Beauvau, le qualifiant « de ministère de la parole ».
On avait là une occasion exceptionnelle pour s’opposer à cette délivrance de visas, d’autant que se sont environ 300 visas « ramadan », qui ont été accordés, qui l’on compte la Turquie, le Maroc et la Tunisie. Nos gouvernants pouvaient ainsi faire pression sur ces pays pour qu’ils soient enfin contraints de récupérer leurs nationaux expulsés par la France.
Les arguments invoqués en défense par Monsieur Retailleau, je le dis sans ambages, sont misérables et indignes. Premier argument, 80 ou 300 visas c’est une goutte d’eau dans l’océan par rapport aux 650 000 titres de séjour en cours de validité en 2024. Ce n’est pas le problème, d’une part les symboles sont, en politique hyper importants, et d’autre part c’était aussi sans doute l’occasion de se demander pourquoi nous accordons autant de titres de séjour, et de remettre à plat tout ce système qui fleure bon l’invasion.
Deuxième argument encore plus pervers et inepte, il ne faut pas entraver la liberté de culte, cela reviendrait à donner raison aux extrémistes ! Comme sophisme fallacieux, on ne fait pas mieux. La liberté de culte la belle affaire, quand on sait que bons nombres de mosquées sont des vecteurs de propagande islamiste. On pouvait par ce biais, démontrer notre volonté de ne pas se laisser faire, et de ne pas en remettre dans l’ignominie. Car au surplus, Bruneau Retailleau, le vendéen, celui qui nous assure qu’il est droit dans ses bottes, a osé prétendre qu’il s’agissait d’une volonté de réciprocité avec l’arrivée dans les diocèses français de prêtres africains, selon un accord avec le Vatican. Comme si les prêtres africains venaient en France pour propager des idéologies salafistes par exemple ! D’autant que comme le souligne Boulevard Voltaire, ces prêtres africains sont payés par les diocèses qui les accueillent, donc par les fidèles, alors que les imams sont payés par leurs pays d’origine, ce qui accentue leur dépendance à des pays étrangers.
D’autre part, sauf erreur de notre part, le Vatican ne retient prisonnier aucun ressortissant français, contrairement à l’Algérie. Dans ce pays, la liberté de culte est mise à mal tous les jours. Tout dernièrement, 47 églises protestantes chrétiennes ont été fermées par le pouvoir. Le pasteur Youssef Ourahmane, vice-président de l’Église protestante d’Algérie a été condamné à un an de prison ferme pour avoir célébré un culte non autorisé, car pour pratiquer une religion autre que l’islam, il faut y être autorisé, dans cette dictature théocrato-militaire. L’Église catholique en Algérie se garde bien de parader, car en terre d’islam, elle n’est que tolérée, provisoirement, elle courbe l’échine et fait profil bas.
Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France en Algérie, regrette le manque de fermeté de la France « le gouvernement s’y prend de la plus mauvaise façon », a-t-il déclaré lors d’un entretien du 27 février dernier dans Valeurs Actuelles. Il préconise la fermeture de consulats, bloquer Air-Algérie, prendre des mesures contre les circuits financiers algériens en France, mieux contrôler la mosquée de Paris et montrer une plus grande fermeté et cela sans faire ni conférence de presse, ni annonce tonitruante, bref agir et montrer une volonté inébranlable.
Non, véritablement, Bruneau Retailleau a manqué de courage et de fermeté et au surplus, il se noie dans un verre d’eau pour tenter d’expliquer ses impérities. Il n’est pas du tout à la hauteur des propos qu’il tient quotidiennement pour se faire élire Président des LR et puis ensuite... Bruneau Retailleau pourrait-il être comme Jacques Chirac, si bien décrit par Marie-France Garraud qui s’y connaissait en caractères et en tempéraments « Je croyais que Chirac était du marbre dont on fait les statues. En réalité il est de la faïence dont on fait les bidets ». Que le moment venu, les Français puissent s’en souvenir.
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C'est quoi, être de droite ? Éric Zemmour face à Laetitia Strauch-Bonart sur Le Figaro TV
18:42 Publié dans Eric Zemmour, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Pas de chancellerie pour le peuple !
Herbert Kickl, président du FPO
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Le 12 février dernier, les conservateurs de l’ÖVP (Parti populaire autrichien) rompaient les discussions avec les nationaux-populistes du FPÖ au terme de trente-quatre jours de pourparlers intenses. Sept mois après les élections législatives du 29 septembre 2024, Vienne n’a toujours pas de nouveau gouvernement. Pis, pour la seconde fois de sa carrière, le conservateur covidiste acharné Alexander Schallenberg est chancelier fédéral par intérim depuis le 10 janvier dernier.
Officiellement, le désaccord à l’origine de la rupture porte sur l’identité politique des titulaires aux ministères de l’Intérieur, de l’Économie, des Finances, des Affaires étrangères et de l’Agriculture. Bien que partenaires mineurs, les conservateurs exigent ces postes et réclament en plus la direction des services de renseignements. Deux demandes que n’acceptent pas les nationaux-populistes, grands vainqueurs au Conseil national avec 28,85 % des suffrages exprimés. En fait, à l’approche des législatives en Allemagne du 23 février, les conservateurs autrichiens ont obtempéré aux injonctions comminatoires de la droite molle allemande.
Historiquement, la démocratie chrétienne demeure étrangère à la vie politique autrichienne. L’équivalent autrichien de la CDU (Union chrétienne démocrate) n’existe pas. La matrice de la droite autrichienne est conservatrice avec une forte tradition du christianisme social. L’ÖVP compte de nombreuses affinités avec son homologue bavarois, la CSU (Union chrétienne sociale), allié et faire-valoir de la CDU auprès des électeurs souvent trompés et spoliés. Les dirigeants de la CSU, dont son président, par ailleurs ministre-président de l’État libre de Bavière, Markus Söder, ont estimé inimaginable d’assister à la formation d’un gouvernement FPÖ – ÖVP sous la conduite du FPÖ Herbert Kickl. Un tel gouvernement aurait eu un effet politique considérable sur l’opinion publique allemande.
Ce n’est pas la première fois que les Allemands s’occupent des affaires intérieures de l’Autriche. En mai 2019, la coalition gouvernementale entre l’ÖVP et le FPÖ explose à la suite de l’« Ibizagate ». Une vidéo aux origines suspectes montre en 2017 le futur vice-chancelier et chef alors du FPÖ, Heinz-Christian Strache, sur l’île espagnole d’Ibiza se faire piéger par une femme qui se présente en nièce d’un supposé oligarque russe afin de financer en douce le parti et d’acheter un journal assez connu, la Kronen Zeitung, en échange de l’obtention de marchés publics. La diffusion de ces images douteuses permet au jeune chancelier Sebastian Kurz d’écarter le FPÖ du pouvoir et de s’allier ensuite aux Verts. Le soi-disant scandale est une opération des services secrets allemands. L’extrême-centriste Angela Merkel, l’une des pires femmes de l’histoire, cherchait à briser cette alliance par tous les moyens.
La situation politique en Autriche est pour l’heure bloquée. Le FPÖ fait déjà campagne pour de nouvelles législatives bien que la présidence du Conseil national revienne à l’un de ses membres, Walter Rosenkranz. Cet échec ravit l’actuel président de la République fédérale d’Autriche, le Vert Alexander Van der Bellen. Ce dernier n’a jamais caché son mépris pour le FPÖ, ses responsables, ses cadres et ses électeurs.
Dès le 3 octobre dernier, le chef de l’État autrichien manœuvre afin d’empêcher Herbert Kickl, ministre fédéral de l’Intérieur de 2017 à 2019, de constituer une majorité gouvernementale stable et solide. Alexander Van der Bellen offre au chancelier sortant, le conservateur Karl Nehammer, la mission de nouer un accord qui maintiendrait dans l’opposition le FPÖ. Karl Nehammer commence des négociations avec le SPÖ (les sociaux-démocrates) et NEOS. Fondé vers 2012, NEOS - La nouvelle Autriche - Forum libéral est une formation libérale-progressiste pro-euro-atlantiste qui siège aux côtés des macronistes. Or, le 6 janvier 2025, les tractations butent sur des questions budgétaires liées à la réforme probable des retraites. Contrarié par cette mésentente soudaine, Alexander Van der Bellen confie alors de mauvaise grâce à Herbert Kickl le mandat de constituer un gouvernement. En vain !
Au cours de la campagne électorale de septembre 2024, Herbert Kickl qui se moque volontiers du concept défaitiste de dédiabolisation, s’est présenté auprès de ses compatriotes en futur « chancelier du peuple ». Cette simple allusion à la légitimité populaire de la fonction lui a valu de la part des médiacrates et de ses ennemis politiques des tombereaux d’accusations fallacieuses et fielleuses tant il est vrai que les récents chanceliers sont plutôt des « larbins de l’hyper-classe occidentale »…
Outre la question lancinante de l’immigration de peuplement, le FPÖ défend avec ardeur et constance la neutralité absolue de l’Autriche en dépit de son appartenance à l’Union dite européenne. Il refuse toute adhésion de la Turquie dans l’ensemble gérontocratique continental et exige, avec une belle régularité, la constitutionnalisation de l’usage des espèces monétaires dans la vie quotidienne. Il tient ainsi à répliquer par avance aux délires bureaucratiques du fumeux euro numérique.
Avec les Hongrois du Fidesz de Viktor Orban et les Tchèques d’ANO d’Andrej Babiš, le FPÖ est à l’origine des Patriotes pour l’Europe, le groupe qui, avec 86 membres, est le troisième au pseudo-parlement de Bruxelles – Strasbourg. Il aurait toutefois pu suivre l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) au sein du groupe Europe des nations souveraines. Cependant, la tonalité libérale – libertaire – libertarienne de la branche occidentale de l’AfD l’irrite en partie.
Bien des cadres du FPÖ proviennent des confréries étudiantes non mixtes qui pratiquent encore la Mensur, le duel au sabre, d’où une proximité certaine avec l’élu de Thuringe Björn Höcke, chef de file de l’aile identitaire, régulièrement persécuté par une « injustice » allemande. À la fin du mois de janvier 2025, un adhérent du FPÖ aurait par exemple financé pour deux millions d’euros la fabrication d’affiches en faveur de l’AfD. Figure bourgeoise par excellence, Alice Weidel, ancienne banquière chez Goldman Sachs, s’est référé pendant les réunions électorales à la « remigration ». C’est aussi le titre d’un essai paru l’an dernier (Remigration. Ein Vorschlag, soit « Remigration. Une suggestion ») de l’identitaire autrichien Martin Sellner, proche du FPÖ, lui aussi en proie à d’ignobles campagnes médiatico-judiciaires incessantes.
Une alliance tripartite « Feu tricolore à l’autrichienne » entre l’ÖVP, le SPÖ et les Verts est pour l’instant impossible à réaliser. Une entente entre l’ÖVP et le SPÖ est plus plausible, mais elle ne serait majoritaire que d’un seul siège (92 sur 183). Il est donc envisageable que l’Autriche connaisse à son tour des législatives anticipées dans les prochains mois.
Salutations flibustières !
PS : Ce 27 février, les conservateurs de l’ÖVP et les sociaux-démocrates du SPÖ ont conclu un accord de gouvernement avec les centristes libéraux de NEOS. L’Autriche aura sous peu un gouvernement tripartite.
• « Vigie d’un monde en ébullition », n°145, mise en ligne le 25 février
11:26 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 27 février 2025
Aux Sables d'Olonne, la Liberté a triomphé. Dimanche prochain, le film "Silenced" sera projeté...
Synthèse nationale
L'annonce de la projection dimanche prochain aux Sables d'Olonne, à l'initiative du Rassemblement vendéen, du film "Silenced", réalisé par Tommy Robinson, a provoqué l'hystérie de la gauche totalitaire et de ses petits valets, les antifas.
Depuis quelques jours, ces thuriféraires de la démocratie revue et corrigée par Mélanchon et autres Boyard s'égosillaient pour empêcher la tenue de cette séance cinématographique. Communiqués haineux, lâches intimidations, appels à manifester... ils ont tout tenté pour que la mairie de la belle station balnéaire interdise la projection de ce film non conformiste.
Beaucoup de municipalités auraient cédées mais aux Sables d'Olonne il y a un maire courageux, Yannick Moreau, qui n'a pas l'habitude de se plier devant les exigences des ennemis de la France. Il l'avait prouvé, il y a deux ans, au moment de "l'affaire de la statue de Saint-Michel". Souvenez-vous, deux fanatiques locaux de la libre-pensée avaient alors fait du foin pour que soit enlevée une statue de l'archange située dans un square de la ville. L'édile sablais n'avait pas cédé et la statue est toujours debout... Il en va de même aujourd'hui. Qu'il en soit ici félicité.
La gauche vendéenne (et oui, cela existe...) a donc une fois de plus perdu une occasion de la boucler. Grâce à ses incantations liberticides, dimanche prochain les patriotes viendront en nombre de toute la Vendée pour saluer le combat de Tommy Robinson, militant identitaire anglais actuellement en prison pour avoir dénoncé dans son film la collusion entre certains dirigeants politiques et les gangs de proxénètes pédophiles pakistanais sévissant en Grande Bretagne.
Rappelons que, suite à la projection de "Silenced", Bruno Gollnisch, ancien député, et Eric Mauvoisin Delavaud, président du Rassemblement vendéen, prendront la parole.
Dimanche 2 mars, 15 h, Les Sables d'Olonne, PAF 10,00 €, réservation : rassemblementvendeen@outlook.f
23:56 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Décidemment Jean-Michel Aphatie abhorre la France et les Français et nous ment sciemment
Michel Festivi
Cet homme hait la France et les Français. Chaque prise de paroles est pour lui l’occasion de vomir sur l’histoire de France. Il aurait été Bourguignon du temps de Jeanne d’Arc, il l’aurait regardée bruler vive, après l’avoir condamnée par principe. Non seulement il exècre tout ce qui touche de près ou de loin à la grandeur de la Patrie, mais qui plus est, il invente des fables historiques foireuses et nauséabondes, pour répandre son venin, sans être au demeurant interrompu par des journalistes insuffisants.
Affirmer, sans fondement aucun, sur RTL : « que les nazis se sont comportés comme les français en Algérie » démontre qu’il entend falsifier l’histoire de la colonisation française qui a connu en Algérie comme ailleurs, des réalisations particulièrement remarquables. Bons nombres d’historiens les ont récapitulées dans de multiples ouvrages, l’économiste Jacques Marseille avait démontré, que la colonisation avait coûté plus à la France qu’elle ne lui avait rapporté. Les traces et les sillons se vérifient toujours sur place : ponts, routes, hôpitaux, ports, bâtiments ; sans compter les écoles, les universités, les chemins de fer, et toutes les infrastructures remarquables que nos anciens ont construit par leur labeur, leur courage et leur volonté inébranlable de faire de ces contrées des exemples de la geste française.
Bien sûr des erreurs ont été commises, toutes les épopées humaines sont imparfaites, d’ailleurs ce sont les gauches sous la IIIe république qui en France, ont poussé à la colonisation, les droites y étaient bien moins favorables, préférant regarder « la ligne bleue des Vosges » et se concentrer à la reprise des provinces perdues. Je ne répéterai pas ici les harangues connues de Jules Ferry, de Léon Blum et de bien d’autres socialistes ou radicaux-socialistes, pour faire triompher la civilisation dans ces lointaines contrées.
Ferghane Azihari, essayiste et délégué général de l’Académie libre des sciences humaines, ayant publié, les écologistes contre la modernité, et, le procès de Prométhée, aborde la critique documentée des divagations abjectes de Jean-Michel Apathie, au travers de trois éléments fondamentaux, le statut des juifs en Algérie, l’esclavage musulman, et la rente mémorielle. (Cf Le Figaro du 26 février 2025).
Il contre opportunément notre Apathie de service, en lui rappelant qu’avant l’arrivée des Français en Algérie, les juifs étaient soumis à un statut très rude, la Dhimma, qui multipliait les discriminations politiques, sociales, économiques de toutes sortes. Ils devaient payer des impôts plus lourds que les musulmans, ils leur étaient interdit d’être propriétaire de terres, de porter des armes, de monter à cheval, et « entre autres humiliations quotidiennes ils devaient en permanence, marquer leur infériorité vis-à-vis des musulmans ». Ce statut d’infériorisation a toujours été appliqué dans tous les pays musulmans, c’est une espèce d’apartheid social. Les non-musulmans sont simplement tolérés dans le cadre d’un statut éminemment précaire et révocable ad nutum. D’ailleurs les sourates du coran, ne sont qu’une suite de servitudes, celles des musulmans sur les non-musulmans, celles des hommes sur les femmes etc...Ce cadre juridique de soumission, au demeurant, ne concernait pas que les juifs, mais aussi les chrétiens dans les pays musulmans.
Ferghane Azihari revient sur les multiples pogroms qui ont endeuillé la communauté juive. Celle de 1805 ; la décapitation du Grand rabbin d’Alger, Isaac Aboulker en 1815 ; des enlèvements de filles juives pour les harems islamiques à Constantine en 1817, pour la satisfaction du Dey. L’arrivée des Français va mettre fin à toutes ces pratiques, comme l’arrivée des Espagnols aux Amériques, va mettre fin au cannibalisme des Aztèques et des Incas. Mais bien sûr, Monsieur Apathie n’entend pas accabler l’islam par islamophilie revendiquée. Car ces agissements sont intrinsèquement liés au coran et à l’islam et à l’application de la charia. L’auteur souligne que « Pour la première fois, depuis les conquêtes arabes, juifs et musulmans sont momentanément sur un pied d’égalité, avant que les premiers n’accèdent à la citoyenneté française en raison de leur plus grande réceptivité aux idées républicaines modernes et occidentales... que les musulmans vont bouder en vertu de leur attachement à leur superstition ». Et d’envoyer un uppercut à la face d’Apathie « En 130 ans de présence française, la population juive va être multipliée par 7 ou 8. Je ne suis pas certain que le IIIe Reich puisse se targuer d’un tel bilan ». La population indigène musulmane va connaître aussi un essor considérable, grâce notamment à la médecine française, ce qui met à bat les théories débilitantes de notre Président de la République sur de soi-disant crimes contre l’humanité.
S’agissant de l’esclavage arabo-musulman, que Madame Taubira refuse obstinément de voir, esclavage qui a duré au moins 13 siècles et qui perdure encore dans certaines contrées, il est directement en phase avec de nombreuses sourates du coran qui le légitime complètement. Il suffit de lire le livre de Malek Chebel, L’esclavage en terre d’Islam. Le grand africaniste Bernard Lugan, nous en a fait des démonstrations implacables dans de nombreux documents dont notamment, Esclavage, histoire à l’endroit, aux éditions l’Afrique réelle. Comme l’appréhende Ferghane Azihari « l’esclavage était un système enraciné dans le monde arabo-musulman et au Maghreb, où les esclaves blancs, chrétiens et noirs ont transité par millions pendant plusieurs siècles... son reflux dans le monde musulman et en Algérie est exclusivement le produit des pressions impériales européennes : les sociétés musulmanes ont toujours refusé de penser l’abolition de ce système criminel avant l’intrusion de l’Europe. »
Car dès l’arrivée des Français en Algérie, des esclaves noirs par milliers ont fui leurs maîtres arabes, pour implorer la protection de la France. « Des militaires français prennent parfois l’initiative de libérer des esclaves, car le droit musulman permettait la possession d’esclaves noirs ». Après le décret de 1848 interdisant l’esclavage en Algérie, des Arabes vont tenter de le perpétuer en transférant leurs esclaves dans des zones tribales inaccessibles, comme nous le commente Ferghane Azihari. « On recensait encore des propriétaires d’esclaves musulmans dans la région d’Alger au début du XXème siècle et dans certaines régions reculées du Sahara algérien après l’indépendance. »
S’agissant de la rente coloniale, perpétuellement mise en avant par tous les gouvernements algériens depuis 1962, pour tenter de palier leur impéritie chronique, Ferghane Azihari entend apprendre à Monsieur Apathie, ce qu’il veut délibérément oculter que « l’efficacité de la rente mémorielle s’explique par le fait que cette nation (l’Algérie), ne déteste pas la France pour ce qu’elle a fait, mais pour ce qu’elle est : une nation de mécréants qui a l’arrogance de bénéficier d’une prospérité que l’Algérie est incapable de bâtir à ce jour. Cet affront contrevient aux « enseignements » du coran qui persuadent les musulmans de former « la meilleure communauté » (sourate 3 verset 110). La croyance de Mahomet contribue, par son arrogance et l’avilissement dans lequel elle plonge ses adeptes, à entretenir une blessure narcissique éternelle ».
Enfin, le coup de pied à Monsieur Apathie qui éructe en permanence contre la France « Si les Algériens détestaient la France pour ses crimes, ils seraient tout aussi intransigeants envers leur propre passé esclavagiste, les décès liés au fondamentalisme musulman, en particulier pendant la décennie noire, l’état lamentable des libertés publiques dans le monde arabe, sans parler de cette corruption qui maintient l’Algérie dans l’arriération. Je remarque qu’il n’en est rien et que les dirigeants algériens s’accommodent de toutes ces tares. »
Monsieur Apathie est un idéologue gauchisant, qui n’a qu’un but, avilir la France et les réalisations françaises. On le savait, il nous en donne en permanence la démonstration, en n’étant jamais contré, car il crache et expectore sur des médias qui ne le contrecarre jamais, par ignorance ou complicité, et qui le laissent faire son mauvais ouvrage, sans être repris par un régulateur. Monsieur Ferghane Azihari devrait enseigner et répéter à nos gouvernants pleutres et indécis que « Toutes les protestations d’amitié envers les Algériens seront vaines tant qu’ils ne remettront pas en cause leur mentalité, en admettant qu’ils ont beaucoup plus de travail à faire que les Français pour soigner leur rapport à l’altérité. »
19:58 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le film "Silenced" a pu être projeté à Bordeaux malgré le « harcèlement démocratique » antifa !
Alain de Peretti, Eric Mauvoisin-Delavaud et Yannis (Bastide bordelaise)
Alain de Peretti
La projection initialement prévue dans un restaurant a fait l’objet d’une attaque massive de ce dernier sur les réseaux sociaux par les gauchistes antifas bordelais qui ont fait une « amicale » pression sur ce dernier. Il s’est donc désisté.
Nous avions bien sûr prévu un plan B, d’autant plus que nos amis de la Ligue du Midi avaient eu eux aussi des difficultés sur le site initialement prévu.
Ce qui nous a laissé le temps de prévenir les inscrits sur un lieu tenu secret jusqu’au dernier moment.
Un grand merci à la Bastide Bordelaise qui a accepté de prendre le relais et dont la salle a pu accueillir une quarantaine de spectateurs.
Il faut diffuser ce film massivement. C’est un véritable « uppercut » même pour ceux qui, comme moi, sont avertis sur l’islam et la complicité active des élites européennes et des gauchistes. Tommy Robinson en effet, en décrivant de façon précise et argumentée, sur un cas unique de bagarre de cour d’école dans un collège entre un élève anglais de souche et un immigré syrien récupéré par le système pour faire avancer l’agenda de l’islamisation, décrit parfaitement ce qui se passe de façon massive en Grande Bretagne et plus généralement en Europe. Cet épisode somme toute banal a été instrumentalisé sans vergogne par la communauté musulmane, c’est devenu une affaire d’Etat, la grande presse organisant le lynchage du jeune anglais, le traitant de « vermine » à tel point que sa famille, menacée a dû déménager et l’avenir de cet élève est fortement compromis. La lutte contre le racisme et la haine est vraiment un moteur de leur haine par une véritable inversion accusatoire. Des avocats spécialisés dans la défense des jihadistes se sont saisi de l’affaire, et ont gagné beaucoup d’argent notamment avec une cagnotte destinée à aider le jeune syrien. Toute vérité a été bannie par le camp du bien. C’est le travail d’enquête journalistique auquel s’est attelé Tommy Robinson qui est retracé dans ce film. Les témoignages recueillis auprès des témoins réticents, le plus souvent en caméra cachée (du fait de la peur inspirée par ces populations exogènes et leurs séides gauchistes) ou visage flouté démontrent que le jeune syrien était une véritable terreur, notamment pour les femmes et les filles (conformément à l’islam…). Toutes ces preuves amenées devant le tribunal ont été rejetées au profit de la version de Jamal le jeune syrien qui pourtant n’avait cessé de mentir.
Tommy Robinson, dans sa quête de la vérité a été obligé de divorcer pour mettre sa femme et ses enfants en sécurité suite à des menaces et attaques de militants d’extrême gauche parfaitement connus des services de police qui n’ont jamais été inquiétés !
Incarcéré pour n’avoir pas respecté l’interdiction de diffuser ce film, nous assistons au naufrage de la justice britannique, la justice française n’ayant rien à lui envier !
Toute notre admiration pour le courage de Tommy Robinson, combattant infatigable pour la vérité.
Merci à Eric Mauvoisin Delavaud, lui aussi infatigable militant qui mouille la chemise, merci enfin à Yanis et la Bastide Bordelaise pour leur accueil.
Le combat continue. Il s’intensifie même, des mouvements dignes de la tectonique des plaques se produisent, sachons les utiliser, ne nous laissons pas intimider par le harcèlement « démocratique » qui est à la démocratie ce que le harcèlement sexuel est à l’amour !
Prochaine étape :
Source Riposte laïque
10:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 26 février 2025
Réforme du marché de l’électricité en France : vers une facture en forte hausse pour les consommateurs pris en otage ?
Source Breizh Info cliquez là
La réforme du marché de l’électricité prévue pour entrer en vigueur en janvier 2026 suscite une vive controverse. Loin d’apporter des solutions à la crise énergétique, elle risque d’entraîner une flambée des prix de l’électricité, pénalisant lourdement les ménages français. Une étude récente de l’UFC-Que Choisir révèle des impacts alarmants, mettant en évidence un alourdissement significatif des factures, notamment pour les foyers les plus dépendants à l’électricité cliquez ici.
Une réforme menée en toute opacité
La nouvelle régulation du marché de l’électricité a été négociée en toute discrétion entre le gouvernement et EDF, sans consultation des associations de consommateurs. Ce choix politique met fin au dispositif de l’ARENH (Accès régulé à l’électricité nucléaire historique), qui permettait jusqu’ici aux fournisseurs d’acheter une partie de l’électricité à un prix fixe auprès d’EDF. Désormais, l’intégralité de l’approvisionnement se fera sur le marché, exposant directement les consommateurs à la volatilité des prix de l’énergie.
Ce changement radical, intégré dans la loi de finances pour 2025, a été adopté sans débat approfondi au Parlement, malgré l’opposition de nombreuses organisations de défense des consommateurs. Le gouvernement justifie cette réforme en affirmant qu’elle assurera une plus grande transparence et permettra une redistribution des profits d’EDF vers les ménages. Mais l’étude de l’UFC-Que Choisir démontre au contraire que cette redistribution sera très limitée, et que la facture des consommateurs va mécaniquement s’alourdir.
Un impact financier considérable pour les ménages
Selon l’analyse de l’UFC-Que Choisir, si cette réforme avait été appliquée dès 2025, le coût d’approvisionnement de l’électricité aurait atteint 117,29 €/MWh, soit une hausse de 44 % par rapport au niveau actuel (81,37 €/MWh). En conséquence, la facture d’un foyer moyen aurait grimpé de 19 %, représentant un surcoût annuel de 250 euros pour un ménage consommant 6 000 kWh/an.
Les consommateurs les plus vulnérables, notamment ceux vivant dans des logements mal isolés et se chauffant à l’électricité, seraient les plus impactés. Les foyers situés en milieu rural, déjà confrontés à des hausses successives des prix de l’énergie, pourraient voir leurs dépenses exploser.
Une redistribution biaisée des profits d’EDF
Le gouvernement prétend que la nouvelle régulation garantira un reversement aux consommateurs des bénéfices générés par EDF sur les marchés de gros. Mais l’étude de l’UFC-Que Choisir révèle que cette redistribution sera extrêmement partielle. Seule une fraction des profits d’EDF sera restituée aux ménages, tandis qu’une part importante sera captée par l’État pour d’autres usages budgétaires.
En moyenne, seuls 58 % des recettes de la taxe sur les bénéfices d’EDF seront reversés aux consommateurs, le reste servant à financer le budget public. Concrètement, sur 1 MWh vendu à 120 € sur les marchés, EDF sera taxée à hauteur de 28,5 €, mais seuls 17,1 € seront réellement reversés aux ménages.
De plus, la mise en place d’un mécanisme d’écrêtement limite la taxation des superprofits d’EDF. Cette approche favorise une fois de plus l’opérateur public au détriment des consommateurs, qui voient leurs factures augmenter sans bénéficier pleinement des gains réalisés sur la production nucléaire.
Le choix du gouvernement : protéger EDF plutôt que les consommateurs
Cette réforme s’inscrit dans une volonté claire du gouvernement de privilégier la rentabilité d’EDF, dont il est l’unique actionnaire, au détriment des ménages français. Avec des bénéfices atteignant 10 milliards d’euros en 2023 et 7 milliards sur le premier semestre 2024, EDF n’a jamais été aussi prospère. Pourtant, au lieu de garantir aux Français un accès à une électricité abordable, l’État persiste dans une politique qui expose les consommateurs à des prix artificiellement élevés.
L’UFC-Que Choisir critique également l’absence de filet de sécurité pour EDF en cas de baisse des prix de l’électricité sur les marchés de gros. Contrairement à ce que laisse entendre le gouvernement, la suppression de l’ARENH ne garantit pas que l’opérateur public puisse vendre son électricité à un prix couvrant ses coûts de production. Si les prix de marché chutent en dessous du coût de revient du nucléaire, EDF pourrait se retrouver en difficulté. Le gouvernement justifie alors la taxation limitée des superprofits d’EDF comme une contrepartie pour ce risque… au détriment, une fois de plus, des consommateurs.
Vers une explosion des factures en 2026 ?
Si aucune modification n’est apportée à cette réforme, les consommateurs français se retrouveront dès janvier 2026 avec des factures bien plus lourdes. Loin d’apporter une stabilité tarifaire, ce nouveau système les soumettra encore plus aux fluctuations des prix de gros, pourtant peu représentatifs du coût réel de production de l’électricité en France.
Pour éviter un choc tarifaire en 2026, l’UFC-Que Choisir propose plusieurs mesures correctives :
- Une taxation renforcée des profits d’EDF, avec un taux plus élevé et un seuil d’écrêtement abaissé.
- Un reversement intégral aux consommateurs des recettes générées par cette taxation, directement sur leurs factures.
- Une refonte de la régulation du marché de l’électricité, incluant non seulement le nucléaire, mais aussi l’hydroélectricité et d’autres sources d’énergie à faible coût.
- La création d’un service public de l’électricité, garantissant des prix basés sur les coûts réels de production et non sur la spéculation des marchés.
Le gouvernement doit revoir sa copie avant qu’il ne soit trop tard. En l’état, cette réforme marque une rupture avec le principe d’accès à une électricité abordable pour tous, et risque de creuser encore davantage les inégalités entre les Français face à l’énergie. Quand est ce que ceux qui ont massacré le nucléaire depuis des décennies et bradé à d’autres notre énergie passeront devant la justice populaire pour crime contre leur propre peuple ?
12:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Français encore un effort
François Babeau, professeur des universités et fondateur du think tank Institut Sapiens, dresse, dans son ouvrage L’Ere de la flemme. Comment nous et nos enfants avons perdu le sens de l’effort (Buchet-Chastel), un réquisitoire contre l’abandon du sens de l’effort dans nos sociétés occidentales sujettes au libéralisme. Aujourd’hui, tout invite chacun à produire le moindre effort. Or, on oublie un peu trop que nos sociétés se sont bâties dans la sueur et le sang. On pourrait ajouter, mais l’auteur ne le fait pas, le fait que les Européens n’ont plus rien à conquérir, hormis le champ restreint de la science. Hier, la découverte du monde était un moteur puissant. Aujourd’hui on est face à une Europe inexistante qui se pose la question de savoir à quel âge doit-on partir à la retraite. Comme nous le disait le marquis de Sade : Français, encore un effort !
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Source : Le Figaro 26/2/2025
12:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 25 février 2025
Situation interpellante au gouvernement fédéral Belge : 66 milliards d'euros de subsides... ont disparu
En 2023, le gouvernement fédéral a distribué 66 milliards d'euros de subsides. Problème ? Aujourd'hui, un rapport présenté à la Chambre des représentants montre que l'argent a disparu. Personne ne sait où il est passé.
C'est une histoire chaotique à laquelle est aujourd'hui confronté le gouvernement fédéral en Affaires courantes. En 2023, quelque 66 milliards d'euros ont été octroyés sous forme de subsides. Problème ? On ne sait pas à qui, on ne sait pas pourquoi. C'est ce que relatent ce mercredi nos confrères du Het Laatste Nieuws.
Un récent rapport présenté à la Chambre des représentants montre en effet que l'argent a… disparu. Personne ne sait où il est passé. C'est le gouvernement d'Alexander De Croo qui, en 2023, avait demandé à des chercheurs du SPF BOSA, le service public fédéral Stratégie & Appui, de vérifier tous les subsides distribués au cours de l'année.
Et il apparaît aujourd'hui qu'il y a un manque de clarté flagrant quant à l'affectation des subsides. Il est pratiquement impossible d'avoir une vue d'ensemble sur tous les subsides octroyés par le gouvernement fédéral, pointe Het Laatste Nieuws. Même le terme de "subside" ne semble pas clair. "Nous avons remarqué que les services confondent certains termes et qu’il y a même une confusion dans la traduction entre le français et le néerlandais", a indiqué un chercheur à l'hémicycle.
Près de 40 milliards d'euros ont ainsi été passés à la loupe. Résultat ? Trois quarts de ce montant n'avaient fait l'objet d'aucun contrôle. Cela signifie que 30,2 milliards d'euros ont été versés par les services publics sans vérifier si les conditions d’octroi des subsides étaient bien remplies et sans contrôle sur l'utilisation de l'argent par la suite.
Manque de gestion des subsides
Dans leurs investigations, les chercheurs n'ont pas toujours trouvé les réponses nécessaires. "Certains services publics ont été en mesure de nous fournir toutes les informations presque immédiatement, mais d’autres ont mis beaucoup de temps à le faire. Pour d’autres encore, il n’y a même pas eu de réaction."
Tout cela montre le manque de gestion des subsides en Belgique. Les chercheurs ont donc fait plusieurs suggestions devant l'hémicycle. "Il y a un besoin urgent de transparence et d’évaluation. Pour ce faire, il faut travailler sur une définition claire et légale du terme ‘subside’ et créer un registre fédéral des subsides relié aux bases de données régionales", relaye Het Laatste Nieuws.
Ils suggèrent également la mise en place d’un service d’expertise central unique, capable d’assurer le monitoring et d’évaluer les flux de subsides.
Source : rtl.be
21:42 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Quel avenir pour notre santé ? Conférence de Christian Perronne à Colmar le samedi 8 mars 2025
E&R Alsace aura l’honneur de recevoir Christian Perronne à Colmar le samedi 8 mars 2025 à 15 h, pour une conférence intitulée « Mon corps, leurs choix. Quel avenir pour notre santé ? »
L’une des premières mesures de la nouvelle présidence de Donald Trump a été de signer un décret visant à retirer les États-Unis de l’Organisation mondiale de la Santé, qu’il avait par ailleurs vivement critiqué pour sa gestion du covid-19.
Il a également annoncé qu’il réintégrerait les membres des forces armées américains qui ont été renvoyés pour avoir refusé de se faire vacciner contre le covid-19, avec versement des salaires impayés.
Dans ce contexte de méfiance sanitaire vis-à-vis des plus hautes instances de la santé, les États-Unis renouent avec leur indépendance et leur bon sens.
Qu’en est-il aujourd’hui de la France ?
Cette conférence sera suivie d’une session de questions-réponses avec le public, puis d’une séance de dédicace.
Un hommage sera rendu au docteur Stéphane Gayet, qui aurait dû se trouver au côté du professeur Perronne.
- Entrée : 10 euros
- Inscription obligatoire sur le site er-alsace.com (Indiquez nom, prénom et numéro de téléphone)
- Présence d’une buvette et d’un stand Kontre Kulture
- L’adresse vous sera communiquée par e-mail le jour de la conférence dans la matinée
- Pour toute question ou problème, écrivez à alsace@e-r.fr
21:24 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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DE QUOI EST FAIT JORDAN BARDELLA ?
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Incontestable nouvelle star de la télévision, des autres médias et des réseaux sociaux – Tik-Tok entre autres -, lancé il y a quelques années avec fracas comme une nouvelle lessive révolutionnaire par son mentor, Marine Le Pen, le jeune talent ira sans doute loin, si les grosses et moins grosses « petites bêtes » ne le mangent pas….
Il enchaine séances de dédicaces avec plateaux de télé, visite au Salon de l’agriculture entre deux meetings. Il talonne Philippe de Villiers, Éric Zemmour et autre « Sarko » dans la course à la vente de leurs mémoires ! L’homme a de l’énergie à revendre, son jeune âge expliquant sans doute cela. Une petite ombre, toutefois, à ce tableau idyllique et sans tache, sa gaffe à propos de sa présence à la CEPAC, la conférence conservative américaine, en fin de semaine dernière, où il devait prendre la parole. Prétextant que Steve Bannon, vedette incontestable de la droite américaine aurait eu un geste inapproprié – un bras tendu évoquant vaguement, parait-il, un salut fââaâchiste -, il a refusé de prendre la parole à ce conclave, telle une Castafiore faisant un caprice de diva. Ou plutôt, triste constat : a-t-il cédé au « politiquement correct », pour ne pas ternir sa campagne de « dédiabolisation » ?
Voici un public attentif privé de la bonne parole d’une vedette montante de l’ex-Droite nationale française… Oui, ex-Droite nationale, car le RN, dont le jeune homme est le sémillant président, ne cesse de glisser à gauche sous l’influence stérile de sa « Mutti »… Dans l’espoir de conserver l’électorat ayant quitté le Parti communiste « français », ou réel changement de ligne politique ?
Dans un proche avenir, une réelle compétition s’engagera entre les jeunes espoirs de la droite française, de François-Xavier Bellamy à Sarah Knaffo, en passant par Marion Maréchal et, justement, Jordan. Qui l’emportera ? On sait que les deux femmes se sont « crêpé le chignon », au printemps dernier, au sein de Reconquête !, avant que la seconde ne quitte le mouvement d'Eric Zemmour. Bellamy roule pour Bruno Retailleau afin que le très sérieux ministre de l’Intérieur gagne la présidence des LR avant, peut-être, de se lancer dans la course pour la « grande élection ». Bardella, aimé d’un jeune public patriote, véritable gravure de mode rappelant un Delon de mes jeunes années - gendre rêvé par plus d’une putative belle-mère -, est-il fait d’assez de muscles d’acier, et armé d’une volonté d’airain, pour dominer ses concurrents ? Ou n’est-il, comme le disait Marie-France Garaud à propos de Chirac - qui savait de quoi elle parlait -, que « de la faïence dont on fait les bidets » ? À moins, surprise, qu’il n’échappe comme le Golem de la légende juive, à celle qui l’a enfanté politiquement, s’entend ?
Réponse après celle des juges, en mars prochain.
17:51 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La décarbonation : une lubie dogmatique qui sacrifie la France sur l'autel de l'idéologie
Thomas Joly, président du Parti de la France
La décarbonation est devenue le nouveau credo de la secte climatiste. Drapés dans leur vertueuse indignation, nos gouvernants et les technocrates de Bruxelles nous imposent un carcan réglementaire suicidaire, pendant que la Chine et l'Inde rient sous cape, brûlant chaque jour davantage de charbon et de pétrole pour alimenter leur expansion économique. Ce dogme absurde repose sur une vision partiale et biaisée du carbone, qui serait le mal absolu à combattre. Or, la science nous enseigne que le carbone est un élément fondamental à la vie sur Terre : il est le socle de la photosynthèse, le moteur de la croissance végétale et un régulateur climatique naturel depuis des millénaires.
La France, déjà l'un des pays les moins émetteurs de CO2 grâce à son parc nucléaire exemplaire, s'acharne pourtant à expier une faute imaginaire. Les fermetures de centrales à charbon, la fiscalité punitive sur l'essence et le gaz, les restrictions absurdes sur l'industrie automobile sont autant de boulets que nous nous imposons volontairement. Résultat ? Une destruction de notre industrie, une flambée des prix de l'énergie pour les ménages et une perte de compétitivité face à des nations moins scrupuleuses. Pendant ce temps, l'Allemagne, pourtant donneuse de leçons, relance son industrie charbonnière. Où est la logique ?
Mais cette folie n'est pas seulement écologique et économique : elle est aussi financière. L'arnaque du marché du carbone, avec ses « droits à polluer » achetables et revendables, est devenue une manne pour les spéculateurs. Qui profite de ce système ? Sûrement pas les citoyens français, ni les entreprises, rackettés à coups de taxes écologiques et de réglementations liberticides, mais bien les financiers et les bureaucrates européens, toujours plus gourmands en fonds publics.
Il est temps de réagir. Plutôt que de nous flageller en écoutant les prêches catastrophistes des nouveaux inquisiteurs du climat, reprenons le contrôle de notre politique énergétique. Défendons notre industrie, refusons cette hystérie collective et remettons la science et la raison au centre du débat. La France a besoin d'énergie, de croissance et de liberté, pas d'une austérité écologique mortifère.
17:34 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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NON à l’accord « Mercosur », Soutien à nos agriculteurs !
Un communiqué de Reconquête !
Les agriculteurs français se battent pour survivre et pour nourrir les Français. Mais Bruxelles veut nous imposer des aliments douteux.
Ursula von der Leyen, que vous n’avez pas élue, s’apprête à ratifier en force l’accord « Mercosur », contre la volonté des Français.
Cet accord ouvrirait grand les portes à :
- 99 000 tonnes de bœuf gavé aux hormones…
- 180 000 tonnes de poulets élevés sur des grillages métalliques…
- Des milliers de tonnes de céréales, gorgées de pesticides interdits en France…
Vous vous en doutez bien, la traçabilité des produits ne sera pas assurée comme elle l’est pour les produits français ! C’est la sécurité alimentaire des Français qui est directement menacée.
Pendant ce temps, la plupart de nos agriculteurs se tuent déjà à la tâche, à 70 h par semaine. 26 % des agriculteurs vivent sous le seuil de pauvreté. Pris à la gorge, certains n’arrivent même pas à dégager de revenu…
Ils croulent sous les normes toujours plus absurdes et doivent faire face à une concurrence déloyale.
Résultat ? Chaque jour, près de deux agriculteurs se suicident.
76 % des Français sont contre cet accord destructeur.
Notre pays doit dire NON à cette trahison !
Non, Madame von der Leyen ! La France n'est pas un vulgaire territoire à votre disposition. C'est un peuple millénaire, façonné par des générations de paysans qui ont fait de notre terre la plus fertile d'Europe.
Cette terre, c'est notre héritage, pas votre marché !
Nous exigeons :
- Le rejet immédiat et définitif de l'accord MERCOSUR
- La fin de la surtransposition des normes européennes qui pénalise uniquement nos agriculteurs
- La protection effective de notre souveraineté alimentaire
Notre agriculture n'est pas une variable d'ajustement.
C'est notre patrimoine, notre sécurité alimentaire, notre avenir.
Signez et faites signer cette pétition en cliquant ici
08:51 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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