Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 24 novembre 2025

Localisation sur X : la gauchosphère s’emballe… pour rien

boliviainteligente-G9uavj1fx4U-unsplash.jpg


Thomas Joly - Président du Parti de la France

L’agitation fébrile de la gauchosphère autour de la nouvelle fonctionnalité de localisation sur X relève une fois de plus de cette obsession quasi maladive qu’elle entretient pour le « débunking » à tout prix. À peine la mise à jour déployée, voilà déjà les habituels inquisiteurs numériques en train de se gargariser d’avoir soi-disant « démasqué » des bots russes, des brouteurs ou des comptes patriotes prétendument frauduleux, simplement parce que leur localisation ne correspond pas à celle qu’ils imaginaient.

Comme souvent, ils crient victoire avant même d’avoir compris de quoi il retourne. X a pourtant indiqué noir sur blanc que le système pouvait comporter des imprécisions. Mais surtout, un élément semble complètement leur échapper : une immense partie des internautes utilise aujourd’hui un VPN, que ce soit pour protéger leur vie privée, contourner la censure de certains pays ou même profiter de tarifs plus avantageux pour des achats ou des abonnements. Rien d’illégal, rien de mystérieux, rien de compromettant. Juste du bon sens numérique.

Qu’un utilisateur apparaisse en Islande, en Inde ou au Burkina Faso ne signifie strictement rien quant à son identité ou ses intentions. Cela indique simplement que la gauche en ligne découvre en 2025 ce que tout internaute un tant soit peu averti sait depuis dix ans.

Le plus comique, c’est que beaucoup de ceux qui hurlent aujourd’hui au complot utilisent eux-mêmes des VPN pour des raisons idéologiques ou militantes. Mais quand il s’agit d’alimenter la suspicion contre des comptes qu’ils détestent, plus aucune cohérence n’est de mise.

Bref, aucun « débunkage », aucune révélation sensationnelle : juste un nouvel épisode de ce réflexe pavlovien consistant à voir des fantômes partout, pourvu qu’ils servent les obsessions politiques du moment de la bien-pensance de gauche. Pendant ce temps, la droite poursuit le combat culturel et numérique avec toujours plus d'audience.

10:52 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 23 novembre 2025

Morad Aggoun, élu de gauche, condamné pour viols : en fuite en Algérie !

MoradAggoun.jpeg

Michel Festivi

Un ancien élu de gauche, Morad Aggoun, condamné pour viols et agressions sexuelles en France, en fuite en Algérie depuis un an, fait l’objet d’une notice rouge d’Interpol.

Affaire assez incroyable que celle-là, et peu relayée par les grands plateaux de radios et de télévisions, et pour cause. Un élu municipal de Vaulx-en-Velin, socialiste, ou radical de gauche, selon les médias, « figure issue des réseaux associatifs, militant pour porter la voix des quartiers », comme il est décrit, proche d’Abdelkader Lahmar, député LFI du Rhône, comme l’indique Boulevard Voltaire, est aujourd’hui visé par une notice rouge (la bien-nommée) d’Interpol. Ce même député LFI était celui qui avait osé traiter les harkis de traîtres.

Morad Aggoun était devenu, en 2014, le second adjoint d’Hélène Geoffroy, la maire socialiste de cette cité de la banlieue lyonnaise. Il avait entre autres la responsabilité du personnel communal. Rapidement des signaux vont s’amonceler : demandes de changements d’affectation, signalements divers, malaises persistants dans son entourage professionnel, etc. émanant essentiellement de secrétaires de mairie ou de personnels féminins… Les assises du Rhône vont le condamner, en 2023, à dix ans de réclusion criminelle pour des faits de viols et d’agressions sexuelles remontant entre 2014 et 2016.

Après avoir passé trois mois en détention provisoire, et ayant fait appel de cette décision, Morad Aggoun est placé sous simple contrôle judiciaire dans l’attente de son procès en appel. Il avait pourtant l’interdiction de quitter le territoire ! À l’approche du procès d’appel, Aggoun va quitter la France en passant par l’Espagne et rejoindre Oran par le port d’Almeria, selon les détails donnés ici et là. Il aurait été contrôlé dans cette ville du sud-est de l’Andalousie, sans qu’il se passe rien de plus.

Il aurait dû comparaître le 5 décembre 2024 devant la Cour d’assises d’appel de la Loire à Saint-Étienne mais ne s’est jamais présenté. En son absence, il a été reconnu de nouveau coupable et condamné à 15 années de réclusion criminelle. Il fait l’objet d’un mandat d’arrêt. Cela fait donc un an qu’il est en cavale. C’est pourquoi, Interpol a pris à son encontre une notice rouge.

Selon Mediapart, et l’information est reprise par BV, Hélène Geoffroy, la maire socialiste de Vaulx-en-Velin, n’aurait pas fait publier dans le magazine municipal la tribune d’un élu écologiste qui semblait fustiger la gestion de cette affaire, suite aux premières révélations, alors que la maire avait toujours affirmé avoir fait le nécessaire, en temps et en heure, auprès des autorités et contredira cet élu écologiste, contre lequel elle portera plainte pour diffamation. À plusieurs reprises, lors de conseils municipaux, elle lui avait coupé le micro, alors que l’élu, Richard Marion, voulait évoquer ce dossier et accusait clairement l’édile de vouloir tout faire pour que cette sordide affaire ne s’ébruite pas. Cf Lyon mag 16/05/2025. Depuis lors, Richard Marion est persona non grata même chez les écolos.

Comme l’a fait judicieusement remarquer BV, l’Algérie peut se révéler une terre particulièrement hostile lorsque l’on est par exemple un grand écrivain francophone et que l’on critique le régime… et être un havre de paix pour les délinquants sexuels qui cherchent à échapper à la justice.

J’imagine toujours quel aurait été le traitement médiatique d’une affaire similaire s’il s’était agi d’un élu de droite, de la droite de conviction par exemple. Je laisse le soin à votre imaginaire d’en deviner les suites.

Lire aussi sur Riposte laïque cliquez ici

18:19 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Allez, encore un petit coup de Pascal Praud

foto praud.jpg

Les médias officiels s’en prennent évidemment à Pascal Praud, affreux jojo populiste aux dires de Libération, du Monde, de l’Obs, bref de toute cette gauche qui nous ment depuis des décennies, oubliant qu’un certain Mitterrand les avait fait cocu avec sa Francisque. Sauf que ce bastion de mensonge est en train de vaciller. Macron n’est certes pas de gauche – quoique -, mais comme tout fout le camp, il a mandaté un général pour nous foutre la trouille. Pascal Praud s’empare de tout ça. Et le drame pour la gauche, c’est qu’il a une bonne plume.

Lire la suite ICI

Source : Journal du dimanche, 23/11/2025

11:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 22 novembre 2025

Les Nostalgériens de l’autre bord

france-algerie-1-2-9999x9999-c.jpg

La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Jeudi 30 octobre 2025. La république hexagonale vacille sur ses bases vermoulues. Le « cordon sanitaire » se déchire au Palais-Bourbon. Profitant de sa niche parlementaire annuelle, le groupe RN obtient une courte majorité en faveur de sa résolution qui réclame l’abrogation de l’accord franco-algérien de 1968. Certes, le texte passe de justesse : 184 contre et 185 pour grâce au vote décisif du président de séance, le RN Sébastien Chenu. Mais, à côté des voix marinistes et de leurs alliés de l’UDR ainsi que de trois non-inscrits et de deux élus du groupe transpartisan LIOT, 26 députés LR et 17 Horizons, soit deux composantes du fameux et fumeux « socle commun » gouvernemental, l’approuvent. Cette adoption fait l’effet d’un séisme politique maximal et enrage une gauche toujours plus hystérique.

Aussitôt le résultat connu, la présidente du groupe écologiste et social, Cyrielle Chatelain, député de l’Isère au bord des larmes, s’adresse aux journalistes. La scène est à enregistrer et à repasser les soirées de cafard pour retrouver une bonne humeur à l’instar d’ailleurs du visionnage des mines traumatisées des militants socialistes présents au siège de Lionel Jospin au soir du 21 avril 2002. Il y a parfois des moments d’intenses jubilations politiques. La réaction lacrymale des Verts prouve qu’ils devraient remplacer le tournesol par du soja. En plus de la « gauche-caviar », il faut maintenant se farcir la « gauche-soja » ! La combinaison culinaire qui en ressort, guère ragoûtante, incite à des vomissements immédiats…

Même si le Sénat entérine cette résolution, sa dénonciation dépend du seul pouvoir exécutif et, en premier lieu, du chef de l’État qui ne cesse de temporiser avec Alger. Pourquoi ? Les autorités algériennes auraient-elles quelques renseignements exclusifs et croustillants sur le cas d’une enseignante de français et de théâtre qui a dispensé quelques cours naguère en Algérie ?

Le régime algérien, militariste, oligarchique, ploutocratique et gérontocratique, a en soixante-trois ans ruiné l’Algérie et appauvri son peuple sans que les mauvaises conditions économiques et sociales ne freinent une explosion démographique démente. Soucieuse de jouir de la retombée financière des hydrocarbures, la clique au pouvoir encourage sa jeunesse à se rendre en France perçue à la fois comme le déversoir naturel de son excédent de population et la cause originelle du déclin. Elle y exporte aussi des activités interlopes. Installée à Marseille, la tristement célèbre DZ Mafia en est une démonstration. Apparu au début de la décennie 2010, ce cartel criminel revendique son origine algérienne avec l’indicatif de codification des pays : DZ signifie « el-Djazaïr », le nom arabe d’Algérie.

L’Algérie dispose ainsi dans l’Hexagone de nombreux relais prêts à faire pression sur le gouvernement français et les corps constitués. Outre des centaines de milliers de bi-nationaux, il existe parmi les Français de racines européennes des « Nostalgériens » qui rêvent non pas d’une Algérie française illusoire, mais d’une France algérienne cauchemardesque. Ce milieu poursuit l’action ignoble des « porteurs de valises » du FLN (Front de libération nationale). Ces stipendiés – ou non – d’Alger hurlent aux massacres perpétrés pendant la conquête au XIXe siècle par le général Bugeaud. Ils s’indignent des tortures pratiquées au cours de la bataille d’Alger en 1957 contre le terrorisme et du prétendu massacre du 17 octobre 1961 si bien déconstruit par Bernard Lugan. Non seulement ces bien-pensants « algériolâtres » se taisent sur le génocide vendéen de 1793 – 1794, mais ils n’admettent pas qu’Alger fut jusqu’en 1830 la plaque tournante de la piraterie barbaresque. Des équipages cabotaient le long des rivages septentrionaux de la Méditerranée, voire dans l’Atlantique Nord. Ils organisaient des razzias meurtrières, commettaient de nombreux pillages et ramenaient au Maghreb des milliers d’esclaves européens. Les descendants de ces victimes blanches attendent toujours des excuses officielles et de justes réparations financières de la part d’Alger.

Le vote de la résolution du 30 octobre permet de mettre des noms et des visages à ces « Nostalgériens » de l’autre bord. Dans le quotidien sur-subventionné Libération de 3 novembre 2025, un certain Paul-Max Morin voit dans ce vote historique « la fiction d’une France qui pourrait nier sa part algérienne ». Ben voyons ! Ce sociologue – immense respect ! – estime que « l’immigration algérienne, loin d’être un “problème”, est constitutive de ce que nous sommes. Elle a bâti les routes, les usines, les voitures, les villes ». Or, entre 1944 et 1948 environ, selon le même raisonnement, des milliers de prisonniers de guerre allemands ont eux aussi contribué à la reconstruction de la France. Doit-on insister sur la part allemande de la France ?

Furieux de ce vote transgressif, Jean-Luc Mélenchon écrit sur X dès Midi que « l’Algérie, le Maroc [sa terre natale], la Tunisie sont des nations-sœurs de la France. Nos peuples ont tant de familles et d’amour en commun ! ». Ah bon ? Le chef de file de la soi-disant France Insoumise tord l’histoire. Les vraies nations-sœurs de la France, exception faite pour l’espace de la Francité, se nomment l’Italie, l’Allemagne, voire l’Angleterre. L’historien Thierry Dutour écrit dans La France hors la France. L’identité avant la nation XIIe–XVe siècles (Vendémiaire, 2022) que les premiers textes en français médiéval apparaissent en Angleterre normande. Il est prévu que la minable Commission de Bruxelles étende le programme Erasmus au Maghreb qui, tout le monde en convient, appartient au continent européen. À quand son prolongement à l’Érythrée ou à la République populaire et démocratique de Corée ?

La coterie hexagonale pro-algérienne oublie enfin que l’Algérie est une création française récente. Le territoire nominal rassemble une certaine diversité de peuples, de terroirs et de paysages. Bernard Lugan titre avec raison son dernier essai Histoire des Algéries (Éditions Ellipses, 2025, 26 €). Le Sahara donné au FLN sans aucune contrepartie, ni aucun lien historique véritable devait devenir à l’origine un condominium franco-africain. L’Ouest de l’Algérie (Tindouf, Colomb-Béchar, Adrar, Tlemcen, Figuig et le Touat) sont d’anciennes terres marocaines. Quant à la Kabylie, portion majeure des Berbères, son peuple fier et courageux porte en lui un héritage boréen dû à la présence de légionnaires romains d’origine latine et celte et à l’installation à la fin de l’Antiquité des Vandales d’origine germanique. L’Algérie n’est qu’un agrégat étatique artificiel qui parvient à se brouiller avec la Confédération des États du Sahel (Mali, Niger et Burkina Faso).

Tandis que le Maroc prend un net ascendant diplomatique en Afrique noire ex-francophone (et pas seulement !), l’Algérie sclérosée s’enfonce dans la kleptocratie et le ressentiment anti-français. Plutôt que de se préparer à une hypothétique guerre en Europe de l’Est, les généraux français – des combattants de bureau ou de salon – devraient plutôt envisager un conflit majeur sur notre flanc méridional avec un État failli, revanchard et agressif.        

Salutations flibustières ! 

• « Vigie d’un monde en ébullition », n°175, mise en ligne le 22 novembre

15:03 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour était ce samedi matin l'invité de Elise Blaise sur TV Libertés

584386118_1273637214793767_437865862965711868_n.jpg

13:45 Publié dans Eric Zemmour | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 23 novembre : Sarah Knafo invitée du Grand Jury RTL - Public Sénat

588101610_122206481066300130_6094763195850786574_n.jpg

|

Samedi 17 janvier 2026, à Paris : Honneur à Sainte Geneviève, marche de la Fierté parisienne

FB_IMG_1763805852157.jpg

12:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 29 novembre, à Strasbourg : journée de mobilisation identitaire

Nouveau Bundschuh - Affiche officielle commémoration via 3R pour le 29 novembre 2025.jpg

Affiche 3R pro paix 29 nov 2025.jpg

Affiche @UrticaUrtica du 29 nov 2025.jpg

10:47 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le maire gauchiste de Verdun, Samuel Hazard, porte plainte contre le Parti de la France !

image_0931529_20251122_ob_4d4082_hazard-2.jpg

Thomas Joly - Président du Parti de la France

Il semble que le maire de Verdun, l'exécrable gauchiste Samuel Hazard, soit incapable de supporter le libre débat public et surtout la contradiction politique.

Après avoir voulu faire interdire une messe célébrée à la mémoire du Maréchal Pétain et des poilus de Verdun, voilà que cet individu grotesque et acariâtre prétend porter plainte contre Pierre-Nicolas Nups et le Parti de la France parce qu'il aurait été qualifié de « sale gauchiste » et qu'une vague allusion à des « réseaux franc-maçons » aurait été évoquée.

Les Verdunois apprécieront que, pour régler ses comptes personnels, leur maire utilise l'avocat de la commune et que les frais de cette procédure absurde et politicienne seront à leur charge !

Monsieur Hazard, les différends politiques se règlent dans les urnes, pas devant les tribunaux, mais encore faut-il pour cela avoir un peu de courage politique.

Qu'il soit assuré que le Parti de la France mettra tout en œuvre pour qu'il soit battu en 2026 et que sa sinistre mandature ne soit plus qu'un mauvais souvenir pour la belle ville de Verdun.

La réponse de Pierre-Nicolas Nups à Monsieur Hazard : cliquez ici

10:12 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les propos controversés du général Mandon : les réactions du Père Richard Kalka et de Philippe de Villiers

image (1).jpg

Les propos tenus par le général Mandon lors du congrès des maires de France sont loin de faire l'unanimité. Voici les réactions du père Richard Kalka, ancien aumônier des parachutistes, publiée sur le site Place d'Armes cliquez ici, et celle de Philippe de Villiers sur C-news vendredi soir.

Monsieur Fabien Mandon,

Mon Général,

Je ne vous connais pas personnellement, comme beaucoup de mes frères d’armes, d’où le vouvoiement de rigueur que j’adopte dans cette missive. Vous avez passé le plus clair de votre temps dans l’Armée de l’air. Vous avez été, je suppose, un bon pilote de chasse.
 
Mes connaissances de l’aviation militaire sont vagues. J’ai servi pendant trois ans, avant d’épouser le monde parachutiste, dans les bases de Saintes, Rochefort et Cognac.

J’ai aussi eu beaucoup de contacts avec les aviateurs au cours de mes nombreuses opérations extérieures (à Kandahar en Afghanistan, entre autres).

Je sais que l’Armée de l’air se compose de deux corps : le corps des mécanos avion et celui des pilotes.

Parmi ces derniers, on distingue clairement les pilotes de transport - de bons vivants, sympas et arrangeants - des pilotes de chasse, véritable aristocratie volante, elle- même peu homogène au sein de laquelle se côtoient, d’assez loin, les « confréries » ou plutôt les « sectes » établies selon les différents types d’avion. Entre les pilotes des Mystère, Alpha Jet, Mirage ou Rafale, on ne se mélange pas, Monsieur !

Et vous êtes bien placé pour savoir que je n’invente rien puisque vous-même avez longtemps été membre de la « secte Mirage » jusqu’à piloter le Mirage 2000D, véritable exploit d’un jeune et brillant pilote.

Quelle mouche vous a donc piqué pour devenir le porte-parole, ou plutôt le perroquet du Président de la République ? Votre intervention au Congrès des Maires, outrepassant votre rôle de chef militaire, est à la fois affligeante et stupidement anxiogène. Puisque la Russie, disiez-vous, va bientôt nous déclarer la guerre, il faudra s’y préparer très sérieusement.

Les Français manquent-ils à ce point de force d’âme à vos yeux ?! Il faut qu’ils se fassent mal, très mal, pour défendre la nation. Et, brevet de pilote sur le gâteau, qu’ils soient prêts à sacrifier leurs enfants et à souffrir économiquement !

Mon pauvre gars, où as-tu été piocher tout ça ? Désolé pour le tutoiement, mais de telles bêtises prononcées publiquement et à haute voix me rendent malpoli.

Mets toi bien dans ta casquette de pilote que la Russie, contrairement à notre Président, aime la France et qu’aucune guerre n’est programmée ni envisagée de son côté, sauf si... Justement, sauf si l’illuminé gourou en chef de notre pays va trop loin dans la provocation verbale et militaire.

Monsieur Mandon, mon général, retourne dans ton bureau, assieds-toi confortablement, prends un bon café (pas une bière, la binouse c’est chez les paras) et commence à réfléchir.

Père Richard Kalka

La réaction de Philippe de Villiers : 

 
Aller à 40 minutes 50 secondes, ce qui n'interdit pas, évidemment, d'écouter le reste...

10:05 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un plan de paix pour l’Ukraine

plan-de-trump-pour-l-ukraine-un-cadeau-a-poutine-90a72e-0@1x.jpg

Le billet de Patrick Parment

Comme à son habitude, Donald Trump y va à la hache dans ses rapports avec le reste du monde qu’il s’agisse de l’Europe ou de l’Asie. Son dernier éclat concerne le plan de paix qu’il a proposé à Volodymyr Zelensky, en 28 points dont presque tous, il faut bien le reconnaitre, ont été concoctés par le Kremlin. Il fallait s’y attendre, Zelensky l’a refusé en bloc.

Le problème depuis que cette guerre dure, est qu’on n’en voit pas la fin. On finit par ne plus savoir par quel bout la prendre. Et on s’étonne de l’obstination des Européens de vouloir soutenir un régime pour le moins corrompu et ce depuis des décennies. De ce nouveau plan de paix, les Européens ont été exclus. A cela une bonne raison, l’Europe n’intéresse pas Donald Trump et Poutine nourrit un mépris certain pour cette Europe en déclin. Les deux hommes, ne connaissent que les rapports de force.

De surcroît, les préoccupations de Trump vont vers la Chine et certainement pas la Russie et donc encore moins l’Ukraine. On pourrait même avancer qu’il nourrit de la sympathie pour Poutine, la preuve étant tout entière contenue dans ce plan de paix qui fait la part belle au Kremlin, ignore l’Europe et met le couteau sous la gorge de Zelensky. Si d’aventure, les Etats-Unis retiraient leur soutien financier et militaire à l’Ukraine, ce ne sont pas les Européens qui seront en mesure de prendre le relais. A la fois sur le plan financier et encore moins militaire. Zelensky a été jusqu’au ridicule, face à Emmanuel Macron qui l’a reçu récemment à l’Elysée, de vouloir acheter une centaine d’avions Rafale, quand les usines Dassult n’en produisent que trois par mois. Et puis, qui paiera ?

Preuve aussi que l’on ne sait plus sur quel pied danser, quand un général, patron de l’état-major des Armées, Fabien Mandon, balance sans filet que face à la menace russe – on la cherche encore -, il fallait être prêt à accepter « la perte de nos enfants ». Là, le ciel nous tombe sur la tête. Bon d’accord, c’est bien Emmanuel Macron qui lui a soufflé ça à l’oreille. Mais souscrire aux fantasmes guerriers des pays de l’Est – pays baltes, Pologne – voire même de l’Allemagne, on se dit que certains chefs d’Etat européens sont en train de se bourrer le mou. Vu l’état moral dans lequel se trouve notre pays, pas un seul Gaulois et encore moins les jeunes immigrés n’accepteront d’aller se battre pour défendre l’Ukraine dont ils se foutent complètement.

Les Européens sont en pleine confusion d’esprit. Que feront-ils quand Trump aura bel et bien abandonné toute aide aux Ukrainiens ? D’autant que les sanctions votées notamment par l’UE contre la Russie n’ont eu que peu d’effet, celles-ci se sont même retournées contre nous. La fermeture de nos approvisionnements en gaz et pétrole russes n’a fait qu’augmenter notre facture énergétique. Grand bénéficiaire : les Américains qui sont de moins en moins nos amis.

Si l’on voit mal l’issue de ce conflit, en revanche on constate la montée en puissance, partout en Europe, de ce que nos médias officiels appellent l’extrême droite. Espérons un grand coup de balai et le retour d’une « real politique ».

08:21 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le journal du chaos

couv xx.jpg

Pour télécharger, cliquez ICI 

04:19 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Top 5 de l'édition se situe résolument à droite de la droite

582813758_1273001828190639_5326758755491269779_n.jpg

Info TV Libertés
 
Le Parisien a publié le classement des livres politiques les plus vendus ces derniers mois. Le top 5 est uniquement composé de Philippe de Villiers, Eric Zemmour (deux livres) et Jordan Bardella (deux livres). Le livre de ce dernier, publié le 29 octobre dernier, affiche déjà 42.000 ventes.
 
Les figures de gauche ne vendent pas : Ségolène Royal, Marine Tondelier et Agnès Buzyn ont vendu... moins de 200 exemplaires !
 
Xavier Bertrand, qui réfléchit sérieusement à se présenter à l'élection présidentielle 2027, n'a pour sa part écoulé que 207 ouvrages...
 

00:34 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 21 novembre 2025

80 ans après son assassinat, découverte d'un livre inédit de Robert Brasillach

Diapositive1 copie 2.jpg

Le lecteur va découvrir ici une bien singulière pépite qui n’était pas destinée à être exhumée quatre-vingts ans après la mort de son créateur, alors jeune homme de 19 ans. Dans ce texte inédit que Brasillach qualifiait de « semble-roman », on peut déjà déceler les ébauches des thèmes qui nourriront son œuvre future. 

Sans être autobiographique, cet ouvrage s’inspire évidemment de la vie de son jeune auteur. Les familiers de Robert Brasillach reconnaîtront Sens, Collioure, la plage de Canet ; ils identifieront certains visages venus de camaraderies estudiantines toutes fraîches; ils retrouveront les goûts littéraires du khâgneux. Les autres seront sensibles à la peinture un peu surannée de la jeunesse représentative de la classe moyenne des années trente. 

Avec une sorte de nonchalance paresseuse, parfois lascive, le personnage principal, André Vérane, s’épanche sur les vacances, la mer, les jeunes filles en fleur – à une époque où les garçons regardaient ces créatures comme autant d’êtres attirants et mystérieux. Il médite longuement sur l’amitié, la vraie, celle de Montaigne et La Boétie, qu’il découvre cette année-là, reflet de celle qui unira pour la vie Robert Brasillach à Maurice Bardèche. Et, surtout, André Vérane a le goût de sa propre jeunesse : âgé de dix-huit ans, il se souvient de ses seize ans ; il nous invite à savourer les heures qui s’écoulent, avec un bonheur teinté d’inquiétude, déjà soucieux du souvenir qu’il en gardera, comme d’une nostalgie future. 

La préface est de Philippe d’Hugues, enthousiasmé par cette découverte littéraire. Une postface du professeur Alain Lanavère, suivie de notes abondantes, vient éclairer le texte par une étude critique montrant tout ce qui est en gestation dans le travail du romancier en herbe qui deviendra un des meilleurs espoirs des lettres françaises avant de finir tragiquement face à un peloton d’exécution, 17 ans plus tard. 

Les Vacances, Robert Brasillach, Les Sept couleurs, préface de Philippe d'Huges, postface de Alain Lanvère, 2025, Brochage traditionnel, cousu-collé, 15,5x22,5, 248 pages, 22,00 € cliquez ici

Publié aux Sept Couleurs par l'Association des Amis de Robert Brasillach.

16:18 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi prochain, au Dôme de Paris : soirée du JDD avec, entre autres Eric Zemmour, Michel Onfray et Sarah Knafo

unnamed (1).jpg

Un communiqué de Reconquête ! :

Éric Zemmour et Sarah Knafo participeront à la soirée du Journal Du Dimanche, « Face à Vous » au Dôme de Paris (NDLR SN : ancien Palais des Sports), le mardi 25 novembre.

Au cœur de la soirée : les grands enjeux de demain.

  • Comment restaurer la confiance dans la justice ?
  • Quelle place pour l’école dans une société fragmentée ?
  • Que disent les municipales à venir de l’état du pays ?...

Autant de questions qui façonnent notre avenir commun, et qui trouveront, ce soir-là, une scène à la mesure de leur importance.

Inscrivez-vous en cliquant ici  

unnamed (2).jpg

16:17 Publié dans Communiqués de presse, Eric Zemmour | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Propos du général Mandon : la provocation de trop

image_0931529_20251121_ob_616aa9_mandon-macron.png

Thomas Joly - Président du Parti de la France

Médias et macronistes feignent de ne pas comprendre la levée de boucliers dans l'opinion suite aux propos du très maniéré Général Mandon - par ailleurs ami personnel d'Emmanuel Macron. Selon lui, les Français doivent « accepter de perdre [leurs] enfants » en cas de conflit avec la Russie.

Or ce n'est pas par anti-patriotisme que les Français sont outrés par cette saillie délirante, c'est parce que la majorité de nos compatriotes, contrairement à une minorité de boomers fêlés, ne se sentent nullement menacés par la Russie, malgré les tensions provoquées par nos gouvernants depuis trois ans.

Que des militaires meurent au combat, cela fait partie des conditions de l'engagement, l'ultime sacrifice pour défendre la Patrie, personne ne le conteste. Mais que des Français aillent mourir en Ukraine pour des intérêts obscurs qui ne sont pas les nôtres, c'est non.

À l'inverse, si l'exécutif avait la même fibre guerrière contre les satrapes qui dirigent l'Algérie et cette 5e colonne que constitue la diaspora algérienne en France, nul doute qu'il recueillerait un fort assentiment populaire.

Nos dirigeants sont des fous dangereux, il faut dégager du pouvoir cette engeance qui nous mène à l'effondrement et au chaos.

10:28 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SATIRE À VUE] Une journaliste de BFM voit une montée inquiétante de l’intégrisme catholique

IL20251120161616-amelie-rosique-bfmtv-scaled-929x522.jpg

Avec son intervention, la journaliste Amélie Rosique fait sont entrée en bourse en tant que multinationale du déni.

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Sur le plateau de BFMTV, la journaliste Amélie Rosique alerte les téléspectateurs de la montée d'un intégrisme catholique. Dans les prisons françaises, il y aurait une flambée de cet extrémisme religieux. La pauvre femme est terrorisée.

BFM nous offre une pépite. La séquence doit être considérée comme un placement. Les petits porteurs se l'arrachent, les téléspectateurs la congèlent. Les générations futures dégusteront sans modération cette inversion de la réalité qui affectait leurs ancêtres. Avec son intervention, la journaliste Amélie Rosique fait sont entrée en bourse en tant que multinationale du déni. Dès les premières secondes, le cours du réel s'effondre. Mission accomplie.

Les fous de Jésus

Pour parvenir à ciseler ce diamant, l'orfèvre de BFM tremble de tout son être : « Moi, ce qui m'inquiète, c'est la montée des intégrismes en général, on le voit aux Etats-Unis, c'est l'intégrisme catholique » Le bijou prend forme. Il prend tout son éclat avec la suite du constat : « On le voit aussi dans les prisons françaises... » A vrai dire, nous pressentions la catastrophe : « Il y a eu un rapport tout récemment de la montée dans les prisons françaises de détenus qui se réclament de ce mouvement extrémiste là. » Google et chat GPT réunis n'ont pas trouvé trace de ce rapport. Peu importe. La voyante de BFM TV a vu des attentats commis par des fous de Jésus. Il est temps de ranger ce joyau dans son écrin. Jamais telle pureté du déni n'avait été atteinte. 3.000 carats. C'est le « Youkounkoun » que Bourvil transportait dans sa limousine. « Je crois qu'il y a une recherche de sens et de terreur, qui, moi, me terrorise » conclut Amélie Rosique.

Les services de sécurité de BFM raccompagnèrent la journaliste jusqu'à son domicile. Passant devant une église, il vérifièrent qu'aucune hostie explosive n'avait été dissimulée aux alentours. Les chants grégoriens qui sortaient des fenêtres de la prison de la Santé finirent de glacer la jeune femme. Vivant de repas chauds portés par la rédaction, Amélie Rosique ne sort plus que pour venir alerter les téléspectateurs du danger catholique qui menace la France. Sa recherche d'exemples concrets monopolise son quotidien. Les coupures de journaux de ces 30 dernières années sont disséquées, les 20 heures de Claire Chazal revisionnés au ralenti. Le journalisme hallucinatoire est une quête de tous les instants. Un atome de preuve, une particule de fait tangible et c'est la gloire. Réception en grandes pompes à LFI et tapis rouge à l'Elysée. Remplacer le mot islamisme par catholicisme... Seuls les héros parviennent à cet exploit !

10:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Franco : le « camp du bien » ne s’embarrasse ni de la vérité historique ni de la décence

RETRATO_DEL_GRAL._FRANCISCO_FRANCO_BAHAMONDE_(adjusted_levels).jpg

Quelques jours après la messe à Verdun pour Pétain, une nouvelle controverse éclate : une cérémonie en hommage à Franco. Organisée le 29 novembre par le Cercle Franco-Hispanique, elle se tiendra à la chapelle Notre-Dame de Consolation (VIIIe arrondissement de Paris). L’association appelle au recueillement pour le cinquantième anniversaire de la mort du dictateur espagnol et de l’assassinat en 1936 de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange, mouvement fasciste opposé aux républicains durant la guerre civile espagnole. De quoi faire enrager les militants de gauche, à commencer par Ian Brossat, membre du Parti communiste français, qui réclame l’interdiction de cette messe (NDLR SN : le Cercle franco-hispannique vient de reporter cet événement cliquez ici).

À cette occasion, nous republions un texte déjà diffusé sur Polémia à propos de Franco, qui relate notamment la visite du Général De Gaulle au caudillo en 1970. De quoi rappeler aux communistes qui osent pérorer sur le bilan de Franco que l’histoire est éminemment complexe. Sur ce sujet, nous vous renvoyons également vers deux autres textes : Répression sous Franco : les faussaires historiques de gauche démasqués et Une figure socialiste explique son opposition à l’exhumation de Franco.

Polémia

Par Sylvain Pérignon,

contributeur du Cercle Aristote cliquez ici

Lorsque De Gaulle quitta le pouvoir en 1969 il rendit visite deux chefs d’Etat : l’irlandais Eamon de Valera, l’espagnol Francisco Franco. Deux hommes qui étaient parvenus au pouvoir à l’issue d’une guerre civile. Et qui avaient su faire la paix et entreprendre la réconciliation.

40 ans plus tard le gouvernement mondialiste espagnol veut déterrer la dépouille du Général Franco et certains en France demandent que lui soit retiré à titre posthume la légion d’honneur. Contributeur du blog du Cercle Aristote, juriste et essayiste Sylvain Pérignon fait le point. Et dénonce les délires mémoriels du « camp du bien ».

Polemia

L’indécence du camp du Bien

Les guerres mémorielles menées par le camp du Bien ne s’embarrassent plus ni de la vérité historique, ni de l’honnêteté intellectuelle, ni de la décence commune.

En témoignent les récents épisodes de l’inlassable combat pour imposer une vision de plus en plus caricaturale de l’histoire espagnole, non seulement de la guerre civile mais aussi de ce qu’il est convenu d’appeler la transition démocratique, après la mort de Franco en 1975.

On sait que Franco avait été nommé officier de la Légion d’honneur par décret du 22 février 1928, puis commandeur par décret du 26 octobre 1930, au vu de son action décisive lors du débarquement d’Al Hoceima, opération combinée franco-espagnole qui mit fin en septembre 1925 à la guerre du Rif, et qui lui valut d’être promu le plus jeune général d’Europe.

Il s’est trouvé un militant, fils d’un républicain espagnol, pour demander au grand chancelier de la Légion d’honneur de proposer au président de la République de retirer à Franco la distinction de la Légion d’honneur, et pour ensuite demander au juge administratif de prononcer l’annulation de la décision de refus du grand Chancelier. Par jugement du 16 février 2018, le tribunal administratif de Paris a rappelé que l’article R.135-2 du code de la Légion d’honneur rend possible de retirer à un étranger cette distinction « si celui-ci a commis des actes ou eu un comportement susceptibles d’être déclarés contraires à l’honneur ou de nature à nuire aux intérêts de la France à l’étranger ou aux causes qu’elle soutient dans le monde ». Mais, sans qu’il soit besoin de statuer sur l’application de cet article, le tribunal a rappelé qu’en tout état de cause un retrait post-mortem de la décoration ne saurait être prononcé en l’absence de dispositions expresses le prévoyant. Il est en effet difficile à un mort de présenter sa défense et de faire ainsi respecter le principe du contradictoire…

Le général De Gaulle, soutien de Franco ?

Toutes les tentatives de diabolisation absolue de Franco, pour le réduire à n’être qu’une sorte de Hitler ibérique, se heurtaient à un obstacle gênant : la visite que De Gaulle rendit au Caudillo le 8 juin 1970 et la lettre qu’il adressa ensuite à ce dernier, remerciant de son accueil « l’homme qui assume, au plan le plus illustre, l’unité, le progrès et la grandeur de l’Espagne ». On devine les réactions à cette démarche et à ces mots. Il fallait venger l’affront. Claude Sérillon s’y est récemment attelé dans un court roman intitulé Un déjeuner à Madrid, publié aux éditions du Cherche midi.

Après un prologue relatif au voyage espagnol de De Gaulle, l’auteur invente de toutes pièces un dialogue entre les deux hommes, sur lequel rien n’avait jamais filtré. Mais cette liberté du romancier cache mal un véritable pamphlet qui reprend sans nuances toute la légende noire du franquisme, et se termine par une violente attaque contre De Gaulle : « Le héros était donc faillible. Il n’a pas tenu la distance… De Gaulle a flanché ». Il n’est pas venu à l’idée de Claude Sérillon que De Gaulle, au soir de sa vie, avait pu jeter un regard d’homme d’Etat sur le bilan du franquisme et estimer que celui-ci était globalement positif.

Déterrer un mort au nom de la concorde nationale ?

Mais tout ceci n’est que broutille. Le nouveau premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, apparatchik socialiste arrivé au pouvoir par effraction et ne disposant pas d’une incontestable légitimité, a proclamé d’emblée sa volonté de retirer sans délai la dépouille de Franco du mausolée où il repose, et de faire de « El valle de los caidos *» un mémorial des victimes du fascisme. L’église espagnole, responsable de la Basilique Sainte-Croix où est inhumé Franco, a fait courageusement savoir qu’elle s’en lavait les mains.

La gauche espagnole ne saurait trop conseiller à Pedro Sanchez de ne pas jouer petit bras et de faire incinérer les restes de Franco, les cendres étant dispersées en mer, au-delà des eaux territoriales, afin de ne pas souiller le sol espagnol !

Cette démarche exemplaire, déterrer un mort pour assurer la concorde nationale, ne devrait pas rester sans inspirer d’autres démarches. Que fait le cercueil de Napoléon, tyran et esclavagiste, sous le dôme de l’hôtel des Invalides ? L’en expulser est le rêve du groupuscule qui s’intitule sobrement « Conseil représentatif des associations noires de France » (CRAN). On pourrait penser également aux tombeaux des rois de France, mais l’exhumation a déjà eu lieu en octobre 1793, lors de manifestations populaires particulièrement festives.

Pedro Sanchez prévoit également le même sort à la dépouille voisine de celle de Franco, celle de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole **. Apparemment, l’avoir fusillé le 20 novembre 1936 ne suffit pas à la gauche espagnole pour solder les comptes.

Nous sommes entrés dans une phase de régression intellectuelle

On imagine aisément ce que sera le « mémorial des victimes du fascisme » où l’on emmènera les écoliers et collégiens apprendre ce qui sera devenu l’histoire officielle de la guerre civile. Franco sera présenté comme un tyran génocidaire, et nul doute que Paul Preston constituera la seule source autorisée en la matière. On mesure l’objectivité de cet « historien » lorsque l’on sait que son œuvre majeure, récemment traduite en Français sous le titre Une guerre d’extermination, s’intitulait, dans sa version originale anglaise The Spanish Holocaust. Inquisition and extermination in Twentieth-Century Spain (HarperCollins, 2012). L’indécence du titre éclaire toute la démarche.

Mais à quoi bon argumenter, rappeler que l’histoire écrite par les vaincus ne vaut pas mieux que celle écrite par les vainqueurs, évoquer plusieurs décennies de travaux d’historiens soucieux d’impartialité et de rigueur, dont Stanley Payne a donné une synthèse magistrale (***). Nous sommes maintenant dans une phase de régression, qui ne connaît plus que l’exorcisme, l’instrumentalisation et la manipulation.

Cette phase de régression avait été puissamment encouragée par le gouvernement socialiste de José Luis Rodriguez Zapatero, qui fit voter en 2007 une « loi sur la mémoire historique » qui, sous couvert de motifs honorables, visait avant tout à discréditer la transition démocratique des années 70, et notamment la loi d’amnistie du 15 octobre 1977. Cette loi de pardon réciproque, adoptée par la quasi-totalité de la classe politique, et qui n’avait pas été remise en cause par les gouvernements socialistes de Felipe Gonzales****, actait le partage des responsabilités s’agissant de la guerre civile et de ses horreurs. Mais elle visait profondément à exclure du champ politique toute instrumentalisation du souvenir et des séquelles de la guerre civile au profit de jeux politiciens. C’est ce qui a été insupportable à la génération des actuels socialistes espagnols, qui veut déterrer la hache de guerre civile, au nom bien évidemment de la réconciliation nationale.

* Sur la construction de cet imposant complexe monumental, de 1940 à 1959, la thèse de doctorat du professeur Alberto Barcena Perez, Los presos del Valle de los Caidos, (Madrid, San Roman, 2015), fait définitivement justice des outrances polémiques décrivant un enfer du travail forcé pour les prisonniers républicains qui y ont contribué. Ces derniers, volontaires pour ce chantier, bénéficiaient du même traitement que les autres travailleurs, et voyaient leur peine réduite dans des proportions particulièrement avantageuses.

** [Précision de Javier Portella à la lecture de cet article] : Ce serait fort logique, mais ils en ont déjà assez avec la dépouille de Franco. Pedro Sánchez a en effet déclaré qu’il n’allait pas enlever celle de José Antonio, pour la bonne raison qu’il est, lui, une « victime de la guerre ». Il a seulement menacé de la déplacer hors du grand-autel où elle se trouve à présent. Or, ils n’ont pas les moyens juridiques de le faire, l’agencement intérieur de la Basilique étant évidemment du ressort des seuls moines bénédictins du monastère, lesquels s’y opposent. C’est là, d’ailleurs, une des raisons qui rendent compliquée pour le gouvernement l’exhumation de Franco lui-même.

*** Stanley Payne, La guerre d’Espagne, l’histoire face à la confusion mémorielle, préfacé par Arnaud Imatz, Les éditions du Cerf, 2010, paru en Espagne en 2006 sous le titre original 40 preguntas fundamentales sobre la guerra civil.

**** Felipe González, alors Président du gouvernement espagnol, déclarait en 1985 : « Il faut assumer son histoire… Je suis personnellement capable d’affronter l’Histoire de l’Espagne… Franco… est là… Jamais je n’aurais l’idée de renverser une statue de Franco. Jamais ! Je pense que c’est stupide d’aller faire tomber les statues de Franco… Franco fait désormais partie de l’Histoire d’Espagne. Nous ne pouvons pas effacer l’Histoire… J’ai toujours pensé que si quelqu’un croyait que c’était méritoire de renverser Franco de son cheval, il devait le faire de son vivant » (Juan Luis Cebrian, “Entretien avec Felipe González”, El País, Madrid, 17 novembre 1985) . Il a par la suite nettement manifesté son hostilité à la « Loi sur la mémoire historique », y voyant à juste titre une remise en cause de la transition démocratique dont il avait été l’un des acteurs.

Diapositive1 copie 5.jpg

Sur le général Franco : cliquez ici

Sur José Antonio : cliquez là

09:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

AU MOMENT OÙ LES VA-T-EN-GUERRES MACRONISTES S'ÉGOSILLENT, IL EST TEMPS D'ÉCOUTER À NOUVEAU CE QUE NOUS ENSEIGNAIT JEAN-MARIE LE PEN

C'était le dimanche 13 octobre 2019, à Rungis (94), au Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale cliquez ici.

2536622375.jpg

À propos de Jean-Marie Le Pen cliquez ici

00:25 Publié dans Jean-Marie Le Pen | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 20 novembre 2025

Nouvelle ignominie d’Élisabeth Borne : le RN serait l’héritier de Pétain !

WS2EPHCV7NGT7OQFNQ2HMCAWIA.jpg

Michel Festivi
 
La gauche vent debout contre Bardella, qui a l’a accusée d’avoir voté les pouvoir spéciaux au maréchal Pétain. Ils disent que c’est pas vrai et que le RN et Pétain, c’est pareil ! Ils font même le coup de l’antisémitisme à Bardella, parce qu’il a allumé Borne, et que le grand-père de Borne a été déporté. Tout est bon ! Notre ami Michel Festivi nous signale un article sur le cas Borne et l’histoire, paru en 2023 sur Euro-Libertés. Ce texte n’a pas pris une ride. 

Élisabeth Borne vient de nouveau de se distinguer dans l’abject et la soumission au politiquement correct. De plus, comme son collègue Darmanin et son président Macron, elle ne connaît pas l’Histoire, où feint de ne pas la connaître, ce qui est en réalité encore plus grave.

Elle a en effet déclaré que le RN était un parti « héritier de Pétain ». Une fois de plus, nos dirigeants de la macronie s’illustrent par leur nullité intellectuelle crasse et leur volonté de nuire en faisant le lit et le jeu de l’extrême gauche toujours plus violente. À juste titre, Marine le Pen et Jordan Bardella ont dénoncé « des propos mensongers et injurieux », où « des propos infâmes et indignes ».

Une première raison d’évidence, le Front National fut créé en 1972 et le RN il y a seulement quelques années. Les actuels députés RN n’étaient pour la plupart pas nés 20 ou 30 ans après la Deuxième Guerre mondiale, en tout cas ils sont tous nés largement après 1945.

De plus, ces lancers de venin sont historiquement totalement infondés. Faut-il sempiternellement rappeler que c’est la Chambre qui fit le Front populaire et les gros bataillons des radicaux-socialistes du Sénat qui votèrent massivement les pleins pouvoirs à Philippe Pétain le 10 juillet 1940, et ce grâce à l’intervention décisive d’un socialiste pacifiste, socialiste de la première heure et de toujours, Pierre Laval (cf. l’excellente biographie de Pierre Laval par Fred Kupferman rééditée par Tallandier en 2006).

Que les deux piliers de la collaboration avec les nazis tout au long de l’occupation de la France étaient l’un socialiste, ancien membre de la SFIO, Marcel Déat, et l’autre un ancien chef du parti communiste français, ancien membre de l’internationale communiste, Jacques Doriot. Que de très nombreux socialistes et communistes se retrouvèrent dans la collaboration avec Hitler. Maurice Thorez n’hésitant pas en pleine guerre, en octobre 1939 à déserter pour rejoindre l’URSS.

Faudra-t-il systématiquement indiquer que le premier gouvernement Pétain de juin 1940 n’était composé quasiment que d’hommes de gauche, comme Camille Chautemps, Adrien Marquet, Ludovic Frossard, Albert Chichery, Charles Pomaret, et que Léon Blum avait donné son accord pour qu’Albert Rivière et André Février, deux socialistes, restent au gouvernement Pétain.

Qu’Édouard Herriot, président de la Chambre des députés, et Jules Jeanneney, président du Sénat, grands Manitous des gauches, ont tenu des propos dithyrambiques et laudateurs sur Philippe Pétain, encourageant par leurs paroles pleines de louanges et à la limite de l’obséquiosité à faire encore plus pour que les parlementaires votent en faveur du futur chef de l’État. Par leurs discours et leurs manœuvres, ils ont même empêché des voix dissidentes de se faire entendre.

Quant aux députés communistes, comme ils avaient pris fait et cause pour le pacte Hitler-Staline dès le 23 août 1939, et qu’ils dénonçaient « les capitalistes de la City » louant la fraternisation franco-allemande, sans un mot contre les nazis, le gouvernement de gauche d’Édouard Daladier les avait déchus de leur mandat avec l’assentiment de tous les élus y compris ceux de la SFIO.

Que François Billoux, ancien député communiste, écrira une lettre d’une courtoisie extrême à Philippe Pétain, le 19 décembre 1940, pour au nom de 27 de ses collègues, demander leur libération, car expliquait-il, ils avaient toujours été contre la guerre avec l’Allemagne, mettant notamment en exergue le pacte Hitler-Staline.

Il faut dire que les anciens députés communistes ne vont pas hésiter non plus à entreprendre des démarches auprès de Philippe Pétain et du président de la Cour de Justice de Riom pour pouvoir témoigner à charge contre Daladier et Léon Blum.

Deux historiens ont retrouvé dans les archives de la ville de Paris, des carnets manuscrits ayant été saisis sur Denise Ginollin, membre du Parti Communiste. Ces notes listaient les arguments des communistes français à utiliser vis-à-vis des nazis pour parvenir à la reparution légale de l’Humanité.

Parmi ces arguments il était mis en exergue le fait que le PCF avait toujours « combattu le juif Mandel » terme antisémite qui revenait à de nombreuses reprises : « Nous sommes contre le juif Mandel ». Il faut dire que Georges Mandel qui fut le dernier ministre de l’Intérieur de Paul Reynaud, avait été un adversaire redoutable des communistes (cf. Juin 1940, la négociation secrète, les communistes français et les autorités allemandes, de JP Besse et C. Pennetier, Éditions Atelier, 2006).

Feu le député-maire Alain Griotteray, résistant de la première heure au réseau Orion, avait écrit en 1985, un livre remarquable, 1940 la droite était au rendez-vous. Qui furent les premiers résistants ? paru chez Robert Laffont, où il passe en revue vingt-trois très grands résistants de la première heure, de juillet-août 1940, et c’étaient tous des hommes de droite ou d’extrême droite, comme Honoré d’Estienne d’Orves, martyr de la Résistance, Henri d’Astier de la Vigerie, le futur général Loustauneau-Lacau, le Colonel Rémy soit Gilbert Renault, militant de l’Action française, il fit le coup de main le 6 février 1934, il rejoindra Londres en juin 1940 avec l’un de ses frères sur un chalutier parti de Lorient. En 1940, il fondera le réseau La Confrérie Notre Dame. On pourrait encore citer Marie-Madeleine Fourcade, Pierre de Bénouville, Jacques Renouvin d’Action Française, Maurice Duclos ancien cagoulard, Alfred Tourny, ancien Croix de feu, etc. (cf. le documentaire diffusé le 3 décembre 2017 sur la 5 intitulé : 1939-1945 – Quand l’extrême droite résistait, de Florent Leone).

Non, décidément, il faut que nos dirigeants politiques cessent de falsifier l’Histoire, car comme l’avait dit Jacques Soustelle, qui fut l’un des premiers à rejoindre le général de Gaulle : « Quand un peuple perd la mémoire, il perd son être même ». Nos dirigeants devraient avoir le devoir chevillé au corps de réconcilier les Français et d’arrêter d’énoncer des sornettes, c’est inqualifiable, intolérable et totalement injuste.

Source Riposte laïque cliquez ici

23:35 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 29 novembre : ne réunion d'Eric Mauvoisin-Delavaud au Perrier (85)

584524651_2214800442363313_4093125211236879219_n.jpg

Diapositive1 copie 6.jpg

À l'attention de nos amis qui ont commandé le livre d'Éric Mauvoisin-Delavaud, Haut les coeurs :

La parution de celui-ci, initialement prévue fin octobre, a dû être retardée de quelques semaines. Rassurez-vous, il est actuellement en cours d'impression. Vous n'allez donc pas tarder à le recevoir. Nous sommes désolés pour ce léger retard et vous prions de bien vouloir nous en excuser. Nous vous remercions pour votre compréhension. 

S N

23:14 Publié dans Municipales 2026 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Education, Immigration, Religion, Sociétal Islamisation de la jeunesse : une fracture française qui se creuse

image.jpg

Arthur Keraudren, Breizh Info cliquez ici

Les données publiées par Le Figaro à partir d’une étude Ifop dressent le portrait d’une mutation profonde au sein de la jeunesse musulmane en France. François Kraus, directeur du pôle politique de l’Ifop, résume le phénomène : « Cette enquête dessine très nettement le portrait d’une population musulmane traversée par un processus de réislamisation, structurée autour de normes religieuses rigoristes et tentée de plus en plus par un projet politique islamiste. »

Les chiffres confirment un basculement net depuis 1989. La fréquentation de la mosquée chez les moins de 25 ans passe de 7 % à 40 %. Le respect strict du ramadan bondit de 51 % à 83 %, tandis que le port du voile grimpe de 16 % à 45 % chez les filles de cette tranche d’âge. Parallèlement, 42 % des jeunes musulmans éprouvent « de la sympathie pour l’islamisme », et selon le JDD, 59 % des 15-24 ans souhaitent l’application de la charia dans les pays non musulmans. L’étude note aussi l’évolution des comportements : 47 % des moins de 25 ans refuseraient de faire la bise à une personne de l’autre sexe.

Une adhésion croissante aux mouvances islamistes

L’étude observe une montée rapide des sympathies envers diverses mouvances islamistes. Les Frères musulmans recueillent un quart de soutien chez l’ensemble des musulmans et un tiers chez les moins de 25 ans. Viennent ensuite le salafisme (9 %), le wahhabisme (8 %), le tabligh (8 %), le takfir (8 %) et le djihadisme (3 %).

Au total, souligne le Figaro, 38 % des musulmans partagent « tout ou partie des positions islamistes en France », contre 19 % en 1998. Cette progression s’accompagne d’un rapport fragilisé aux lois nationales : 57 % des 15-24 ans considèrent les lois françaises « moins importantes » que la charia.

L’Ifop juge cette évolution « préoccupante », une dynamique « loin des discours convenus sur une sécularisation » et qui « dépasse même les estimations les plus pessimistes ».

Une contestation du diagnostic… mais une tendance jugée alarmante

Le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chems-eddine Hafiz, conteste l’interprétation de l’étude. Dans un billet, il affirme : « La radicalisation des musulmans ? Souvent, [ce] n’est que la réplique tardive d’une humiliation durable. » Il dénonce aussi une mauvaise lecture des données : « L’erreur ici n’est pas de calcul : elle est de regard. »

Mais pour l’Ifop, les tendances sont claires : les jeunes musulmans apparaissent « systématiquement plus rigoristes et plus radicaux que leurs aînés » sur presque tous les indicateurs. L’institut conclut que « rien ne semble enrayer ce processus » et que ce mouvement « pose avec une acuité nouvelle la question de l’adhésion aux valeurs républicaines », porté par « une jeunesse de plus en plus désireuse de marquer son identité musulmane face à une société française perçue comme hostile ».

23:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

20 novembre : José Antonio Primo de Rivera et Francisco Franco

481511831_1095583092583388_7585116806333288237_n.jpg

Sur José Antonio cliquez ici

Sur le général Franco cliquez là

10:26 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 19 novembre 2025

Sachez-le, Leroy-Merlin aime votre argent, mais déteste vos idées...

Diapositive1 copie.jpg

Face au succès grandissant du média alternatif "Frontières", la gauche et l'extrême gauche se retrouvent désarçonnées. Faute d'arguments, elles essayent de faire taire "Frontières" en tentant de le priver de ses ressources publicitaires. C'est nul et pitoyable, mais lorsqu'on n'a plus rien à dire, on devient souvent mesquin. Le pire, c'est que des entreprises comme Leroy-Merlin sont assez pleutres pour tomber dans la piteuse combine...

Nationalistes, patriotes, identitaires, vous qui défendez la France, sachez-le : Leroy-Merlin aime votre argent mais déteste vos idées... Alors, soyons conséquents, cessons d'enrichir Leroy-Merlin, boycottons les magasins Leroy-Merlin.

En attendant, Synthèse nationale tient, comme ce fut le cas en juillet dernier alors qu'il était agressé par des miliciens antifas dans son village breton cliquez ici, à exprimer toute sa solidarité à Érik Tegnér et à la rédaction de "Frontières". Tenez bon les Amis, ils ne sont que les derniers d'un système vermoulu qui s'effondre, nous sommes les premiers de demain...

Roland Hélie

17:37 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La parole est à Erik Tegnér

17:36 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Leroy-Merlin : Sarah Knafo apporte son soutien à Frontières

584926933_838564225454712_1902246348200472699_n.jpg

11:57 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Cassen commente le "débat" Raphaël Glucksmann / Eric Zemmour

unnamed.jpg

11:50 Publié dans Eric Zemmour, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi soir, sur LCI : le débat, Eric Zemmour face à Raphaël Glucksmann

582777598_866397969398106_4416989171610201900_n.jpg

Comme par hasard, cette vidéo a été retirée par TF1. Il est sans doute, à leurs yeux et compte tenu de la débacle de Glucksmann, préférable de limiter son impact.

01:17 Publié dans Eric Zemmour | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 18 novembre 2025

Répression, remigration, autorité : les seuls remèdes contre le narcotrafic

image_0931529_20251118_ob_9d7eae_police-bresil.jpg

Thomas Joly - Président du Parti de la France

Nos élites, comme à leur habitude, feignent la surprise devant la violence que génère le narcotrafic en France. Mais comment s’étonner de ce chaos après des décennies de laxisme judiciaire, politique et migratoire ? On a fermé les yeux, on a minimisé, on a relativisé, au nom d’un prétendu « humanisme » qui n’est en réalité qu’un abandon des Français et de leur sécurité. Les trafiquants, eux, n’ont jamais été dupes : ils ont compris que la France était devenue une terre de permissivité.

Il est temps de cesser de jouer les innocents. Si l’on veut véritablement lutter contre le trafic de drogue et ses corollaires – la violence, la corruption, la destruction des quartiers – il faut rétablir la peine de mort pour les grands trafiquants. Ce n’est pas une provocation, c’est une nécessité. La peur du châtiment est le seul langage que comprennent ces criminels. Et il faut une répression impitoyable, sans état d’âme, sans procès interminables.

Il faut s’inspirer des méthodes de Donald Trump qui n’a pas hésité à durcir la répression aux États-Unis, ou de la police militaire au Brésil qui agit sans faiblesse face aux cartels. Et surtout, il faut entreprendre une remigration massive des extra-européens qui alimentent ce marché de la drogue. C’est du simple bon sens. C’est une question de volonté politique. Et cette volonté, nos gouvernants ne l'ont jamais eue, préférant la lâcheté du compromis et la soumission à l’idéologie du multiculturalisme. Il est temps de dire stop.

Le blog de Thomas Joly cliquez ici

18:24 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les voilà fort marri, Maréchal !

MessePetainVerdun-227x300.jpg

La chronique de Philippe Randa

L’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (ADMP) ayant voulu honorer la mémoire du « vainqueur de Verdun », et non en l’occurence celle du Chef de l’État français qu’il deviendra deux décennies et demie plus tard, le maire de cette petite ville de la Meuse n’a rien trouvé de plus indispensable à faire… que de l’interdire !

Mal lui en pris, le juge des référés du tribunal administratif ayant pour sa part estimé qu’il n’y avait guère de risques de troubles à l’ordre public pour la commune, a aussitôt suspendu l’exécution de son arrêté.

Et la messe fut dite.

Certes, seule une quinzaine d’adhérents de l’association purent y assiter, bien d’autres qui auraient voulu en être furent étonnemment tenus à l’écart, de même qu’une poignée de manifestants venus vomir leur haine de l’événement.

Face à autant de bêtise, autant municipale que politique, on ne peut d’abord que s’étonner qu’une messe puisse encore, de nos jours, en ce premier quart de XXIe siècle affoler, indigner, voire terroriser tant de monde qu’on ait voulu l’interdire. Qui l’aurait crû ? Et pourtant !

On ne peut ensuite que constater, une fois de plus, que vouloir interdire un événement, de quelque nature que ce soit, en excipant de raisons idéologiques, lui donne quasi-systématiquement un retentissement des plus démesuré : l’ADMP n’avait sans doute jamais imaginé, même dans ses rêves les plus fous, provoquer un tel « buzz », comme on dit aujourd’hui.

Enfin, d’espiègles internautes n’ont pas manqué l’occasion de diffuser sur les réseaux sociaux la réaction de 4 cardinaux français à la mort du Maréchal Pétain en 1951, à propos, notamment, des messes qui seraient dites à sa mémoire en distinguant l’homme de ses fonctions : « Nous désirons que ces messes, loin de donner lieu à des manifestations politiques, gardent partout la dignité qui convient à des cérémonies religieuses et le recueillement qu’exige la prière pour les défunts. »

Ces cardinaux, non des moindres, étaient Achille, card. Liénart, évêque de Lille ; Pierre-Marie, card. Gerlier, évêque de Lyon ; Jules-Géraud, card. Saliège, évêque de Toulouse ; Clément, card. Roques, évêque de Rennes.

Quant aux messes à la mémoire de Philippe Pétain, elles furent innombrables après sa mort… et n’avaient guère, jusqu’alors, suscitées d’indignations ; j’avais notamment eu l’occasion de le rappeler dans les colonnes de la revue Liv’arbitres consacré à l’académicien Pierre Benoit (numéro de novembre 2019)…

J’y écrivais que celui-ci « n’ayant profité d’aucunes faveurs du régime de Vichy » rappelait en 1957 dans un entretien à la Radio-diffusion française avec Paul Guimard (puis publié dans le livre De Kœnigsmark à Montsalvat aux éditions Albin Michel en 1958) qu’il regrettait avec quelque dépit son « manque de curiosité » pour les splendeurs de la capitale française, expliquant qu’« il est affreux de penser que je ne suis revenu que trois fois à Notre-Dame, les deux premières pour les obsèques de mes confrères, le cardinal Baudrillart et Paul Claudel, en service commandé si j’ose dire ; et la troisième pour la messe à la mémoire au maréchal Pétain… »

6 ans après la mort de Philippe Pétain, on pouvait donc encore tenir de tels propos… et les faire publier !

J’écrivais que cette confession vaudrait aujourd’hui à l’intéressé, autant qu’à son « complice » intervieweur, les foudres immédiates des ligues de vertu et sans doute un inévitable communiqué de contrition de la Radio… Quant à la publication ultérieure de ses lignes chez un éditeur ayant pignon sur rue (Albin Michel), n’y pensons même pas !

74 ans plus tard, autre temps, autre mœurs… mais la messe aura tout de même été dite !

Lire EuroLibertés cliquez ici

18:19 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |