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lundi, 03 février 2025

Villeneuve-Saint-Georges terrasse le dragounet

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Maurice Bernard

Pan sur le bec ! Hier, Louis Boyard, le dragounet poupon de Baudruchon, a pris, enfin, la bonne claque électorale qu’il mérite. Un moment de pur bonheur, comme la vie politique nous en réserve parfois !

Les résultats du second tour de l’élection municipale partielle de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) sont en effet sans appel. La liste LR a devancé la sienne de 502 voix (2.399 voix contre 1.897) alors qu’elle se trouvait concurrencée par le maintien de la liste divers droite (600 voix).

Si on regarde les résultats de plus près, on peut faire les constats suivants :

-    Par rapport au 1er tour, la liste LR gagne 1.445 voix (+151,46%), la liste Boyard 851 (+81,35%), tandis que la liste divers droite en perd 53 (-8,1%).
-    Au 2e tour, il y a eu 693 suffrages exprimés supplémentaires. Si on les additionne aux voix qui, au 1er tour, se sont portées sur les trois listes qui ont été éliminées (et se sont trouvées ainsi disponibles), on obtient un total de 2.296 voix. 37% d’entre elles ont choisi la liste Boyard et le reste – 63% - la liste LR ! Sans commentaire…
-    Par rapport au second tour des législatives, le 7 juillet dernier, le nombre des abstentions a augmenté de 2.666, celui des suffrages exprimés a baissé de 2.113 et Louis Boyard a perdu 2.390 voix alors que la droite en a gagné 769.

Il est donc évident, dans un contexte de forte abstention (60,3% des inscrits), que non seulement la candidature de Boyard à la mairie n’a pas mobilisé à gauche, mais qu’elle a aussi suscité une incontestable réaction de rejet… C’est l’excellente nouvelle du jour, goûtons-la sans modération !

20:21 Publié dans Maurice Bernard | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tours, vendredi 14 févreier : une conférence de Gabriele Adinolfi

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Renseignements: assoc.artemis@gmail.com

Le lendemain, samedi 15 février,

conférence de Gabriele Adinolfi

à Clermont-Ferrand cliquez là

17:06 Publié dans Gabriele Adinolfi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lyon, du vendredi 14 au samedi 15 mars 2025 : pèlerinage nocturne pour la France et pour l'Église

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LE PÈLERINAGE EST UNE MARCHE 

Il faut qu’une marche aboutisse au terme désiré. Pour vous, quel est-il ? Très peu d’hommes vont jusqu’au bout de leurs idées, de leurs sentiments et de leurs projets. Alors pourquoi aller jusqu’à notre Dame de Fourvière ? Vous allez souffrir, vous allez être fatigués, vous aurez peut-être envie de renoncer, mais la vie est un combat et la marche est l’image de la vie. Chaque pas vous amenant à votre but est déjà une victoire, et chaque pas que vous ferez vous approchera du but recherché. 

LE PÈLERINAGE EST aussi UNE MARCHE RELIGIEUSE

« Mais priez, mes enfants ! » disait la Très Sainte Vierge à Pontmain.  Combien de fois par jour prions-nous ? Sommes-nous tous fidèles à notre prière du matin, du soir… et le chapelet ? Nous sommes malades d’une carence de prière. Il faudrait prier comme on respire. Marcher sur les routes nous permet de prier instinctivement et nous relie à Dieu plus profondément. La nuit, la douleur, le silence sont propices à la prière, au sacrifice. Offrons nos efforts pour la France qui en a bien besoin. 

LE PÈLERINAGE EST LA MARCHE RELIGIEUSE D’UN PEUPLE.

Nous, pèlerins, nous allons vers Marie pour confier à notre mère l’immense infortune d’un peuple abandonné par ses chefs naturels.
Nous sommes chargés d’une mission bien précise : celle de représenter notre pays auprès de Dieu pendant une nuit sur les routes nous menant à Fourvière.
Fatigués par la marche, nous arriverons au pied de Notre Dame pour déposer nos prières en faveur de cette terre ingrate, mais que nous aimons, afin qu’elle retrouve sa vocation surnaturelle, son beau titre de fille aînée de l’Église, la pureté de sa Foi et la générosité de son élan missionnaire.

Pour participer l’inscription est obligatoire ici

16:26 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Villeneuve-Saint-Georges : Louis Boyard balayé

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Maxime Morlon,

Secrétaire général adjoint du Parti de la France

Les électeurs Villeneuvois ont tranché : Louis Boyard est sèchement battu. Ce rejet massif signe la fin d’une campagne électorale fondée sur l’agitation permanente, l’idéologie radicale de gauche et le mépris du réel. Pendant quelques semaines, il a préféré les provocations aux solutions, l’invective au travail de fond. Les habitants ne s’y sont pas trompés : ils ont dit non.

Mais cette élection n’a pas seulement révélé l’échec d’un homme, elle a aussi mis en lumière les méthodes scandaleuses de son camp. L’agression des journalistes de « Frontières » par des militants pro-Boyard illustre une gauche radicale qui, faute d’idées, choisit l’intimidation. Plutôt que de convaincre, elle cherche à faire taire ceux qui dénoncent ses contradictions.

Mais cette stratégie a échoué. Villeneuve-Saint-Georges a envoyé un message clair : les Français ne veulent ni violence ni anarchie. Ils refusent une politique où l’on excuse tout, où l’on défend les casseurs et les agitateurs au lieu de s’occuper des vrais problèmes. Boyard disparaît, et avec lui, une vision du monde qui n’a plus sa place.

Nous demandons que les responsables de ces agressions soient poursuivis sans complaisance. La violence politique ne doit jamais devenir une arme pour ceux qui n’ont plus rien à proposer. Les électeurs ont choisi l’ordre et la responsabilité. Boyard appartient désormais au passé.

Source cliquez ici

10:07 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour invité de Eric Morillot sur la chaine "Les Incorrectibles"

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10:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 15 février, à Clermont-Ferrand : une conférence de Gabriele Adinolfi

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INSCRIPTIONS :

clermont.nonconforme@gmail.com

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00:32 Publié dans Gabriele Adinolfi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 02 février 2025

Cadre historique du mouvement national dans les Bouches-du-Rhône, Hubert Savon vient de nous quitter

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Nous venons d'apprendre avec une grande tristesse le décès d'Hubert Savon.

Depuis des décennies, Hubert était l'un des militants nationalistes les plus connus des Bouches-du-Rhône. Il était appréciés de tous et c'était toujours un plaisir de le retrouver. À plusieurs reprises, il m'avait invité à participer à l'une ou l'autre de ses réunions en Provence. C'était un camarade ouvert qui mettait toujours au premier rang de ses préoccupations l'intérêt national. 

Hubert avait aussi été l'un des principaux dirigeants du Mouvement national républicain au début des années 2000. Alors, qui mieux que Bruno Mégret peut nous parler de lui. Voici sa réaction suite à l'annonce de cette triste nouvelle.

R. H.

Hommage à Hubert Savon

Bruno Mégret

Hubert Savon nous a quitté au matin du 27 janvier 2025. Il était un homme comme on n’en rencontre peu. Car, derrière une certaine réserve et une grande modestie, il cultivait les qualités trop rares d’un homme de bien. Doté d‘une solide culture, il était volontaire, compétent, loyal et d’une grande fidélité à ses amis comme à ses idées.

À l’aise avec les personnes les plus humbles comme avec les personnalités les plus haut placées, Hubert Savon, longtemps Conseiller régional de Provence–Alpes-Côte d’Azur et Conseiller municipal de Marseille, était devenu une figure incontournable de la cité phocéenne et des Bouches-du-Rhône.

Suscitant le respect de ses amis comme de ses adversaires, il était un homme de courage et de convictions qui savait aborder les situations les plus périlleuses en conservant son phlegme et son humour toujours fin et subtil.

Quand il le fallait, il savait hausser le ton et s’imposer. Hubert Savon était un militant, un combattant qui n’a jamais failli.

Il restera comme un exemple dans nos mémoires.

Adieu Hubert !

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Hubert Savon, à gauche sur la photo, lors d'une conférence de presse avec Carl Lang, Roland Hélie et Robert Spieler à Paris en novembre 2011.

23:55 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 15 février, dans le Morbihan : conférence de Bernard Germain

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SAMEDI 15 FÉVRIER 2025

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18:33 Publié dans Bernard Germain, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Submersion, vous avez dit submersion ?

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Pascal Praud

Dans le dictionnaire des bien-pensants, le mot « submersion »  n’existe pas. Comme Voldemort est le nom qu’on ne prononce jamais chez Harry Potter, il y a pour les policiers de la pensée des mots qui fâchent. Ils sentent le pas cadencé et le bras tendu.

Les socialistes Johanna Rolland et Boris Vallaud ont pris leur ton de givre et leur mine de croquemort pour clamer urbi et orbi que le mot « submersion » tenait du vocabulaire extrême droitier. « Couvrez ce sein que je ne saurais voir. » Chacun connaît ce numéro de faussaire que ces tartuffes jouent devant les caméras quand ils feignent l’outrage pour un oui, pour un non. « C’est une faute à l’égard de la République », a déclaré sans rire madame Rolland, édile de la ville de Nantes, cité hier accueillante qu’elle transforme année après année en musée des horreurs. Question sémantique, le camp du bien prend des libertés avec l’Académie française au point de confondre un terroriste du Hamas avec un résistant palestinien. Avant de réécrire l’histoire, le cercle de la raison édicte un nouvel abécédaire. Des mots ont disparu. Ils jetaient le trouble parmi les camarades. Insécurité, intégration, assimilation, grand remplacement, wokisme ou islamophobie ne sont pas des mots à dire ni devant des enfants ni devant leurs parents.

François Bayrou n’a rien exprimé qu’une chose très banale. Avec lucidité. Nombre de Français ne reconnaissent plus le pays dans lequel ils ont grandi, ni ses mœurs, ni ses coutumes. Monsieur Vallaud et madame Rolland ignorent que 65 % des personnes interrogées par l’institut CSA après que François Bayrou a parlé de « submersion » approuvent le Premier ministre.

À l’époque où la gauche avait d’autres voix que les hoquets des apparatchiks Faure, Vallaud, Rolland et consorts, voici ce qu’on lisait dans Le Nouvel Observateur sous la plume de Jean Daniel : « Il y a en ce moment, en Occident, une islamisation de la vie quotidienne dont l’extension est inquiétante. » Et encore : « Le drame de la jeunesse issue de l’immigration n’est pas dans le passé esclavagiste et colonial que la France se refuserait à regarder en face. Le drame est dans l’échec de cette jeunesse et de la lutte émancipatrice de son pays d’origine. »  Aujourd’hui, Jean Daniel serait sur le banc des accusés. « Vous parlez comme Le Pen », lui dirait cette gauche aveugle et sourde.

Qui s’excuse, s’accuse

La guerre des mots est déclarée. Encore faut-il écouter qui parle. Quand Jean-Luc Mélenchon évoque la « créolisation », il a le droit. Malheur à Marine Le Pen si elle se risquait à pareille audace.

La guerre des mots bat son plein. Elle recouvre une bataille de tranchées. Un procès stalinien a exécuté Philippe Carli. Son crime ? Il avait « liké » un tweet de Sarah Knafo. Mediapart a jeté le nom de ce patron de presse « aux chiens », comme disait François Mitterrand. Philipe Carli pilotait depuis 2017 les quotidiens Dernières Nouvelles d’Alsace, Le Républicain lorrain ou Le Progrès à travers le groupe de presse Est-Bourgogne-Rhône-Alpes (Ebra) qu’il dirigeait.

Mediapart moucharde des noms. Robespierre dressait des listes. Le licenciement a remplacé la guillotine. L’actionnaire de Philippe Carli, le Crédit mutuel, a cédé. Il a acheté la paix sociale auprès de ses 1 400 journalistes salariés répartis dans les neuf quotidiens régionaux qu’il possède. Courage, fuyons ! Carli a présenté ses excuses. Il a eu tort. Qui s’excuse, s’accuse. Il a ensuite rédigé un communiqué d’au revoir qui sentait le téléguidage : « Dans l’intérêt du groupe Ebra, j’ai décidé de quitter mes fonctions de président... » Entretemps, la CGT avait trouvé que « son mea culpa n’était pas à la hauteur du préjudice ». La CGT eut aimé une autocritique du camarade Carli comme au bon vieux temps.

Je connais les rédactions depuis quarante ans. Une poignée d’agitateurs mène les frondes. Leur talent est souvent inversement proportionnel à leur ressentiment. Que le Crédit mutuel sacrifie un de ses hommes révèle l’univers de la presse. Le Syndicat national des journalistes (SNJ) approuve. La gauche règne ; l’intolérance domine ; la menace gouverne.

La gauche a perdu la bataille culturelle. Le réel a balayé son idéologie. La grande révolution prolétarienne n’aura pas lieu. Que reste-t-il de ses amours ? Quelque chantage de censure. Quelque ultimatum d’autocritique.

500 000 nouveaux venus

Boris Vallaud et ses amis réagissent comme le chien de Pavlov. Le mot « immigration » déclenche leur indignation. Cinq cent mille indi- vidus entrent chaque année en France. Cinq cent mille individus de religion et de culture différentes. Cinq cent mille individus répartis entre les entrées légales (titres de séjour, regroupe- ment familial, étudiants, etc.) et les demandes d’asile. À cela, ajoutons les étrangers en situation irrégulière qui échappent au contrôle des radars.  « L’immigration n’est pas une chance pour la France », a déclaré Bruno Retailleau en septembre dernier. Il faut un certain courage pour affronter le camp du bien qui prononce la mort sociale pour moins que ça. On ne badine pas avec l’humanisme universel chez ces gens-là. L’intimidation est si forte qu’elle paralyse nos dirigeants depuis quarante ans. Qui oserait dire que la troisième génération de Portugais, d’Espagnols, de Polonais ou d’Italiens n’a jamais rejeté le pays qui avait accueilli leurs ancêtres ? Les enfants naissaient. Ils s’appelaient parfois Enzo, Jerzy ou Esteban mais aussi Nathalie, Alain ou Émilie. Personne n’imaginait qu’ils fussent des Français en toc. Ils aimaient Victor Hugo, le château de Chambord, Michel Sardou et le poulet frites. Ils se mariaient à l’église et chantaient La Marseillaise les soirs de fête. Ce modèle a vécu. D’autres dieux, d’autres chansons, d’autres menus seront à la carte ces prochaines années. Mais chut ! Soumission et submersion sont des mots interdits.

Source : Journal du Dimanche 02/02/2025

10:55 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sommes-nous encore un peuple ?

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Marion Maréchal

A la suite de la profanation de la tombe de Jean-Marie Le Pen et de sa famille à La Trinité-sur-Mer, Marion Maréchal, sa petite fille, a pris la plume pour répondre à cette ignominie dans le Journal du Dimanche.

Si la condamnation est quasi unanime dans la classe politique à droite et au centre droit, à gauche, un lourd silence règne. Ils participent d’un continuum de l’infamie. Cette attitude devrait définitivement interdire aux partis de droite et du centre toute alliance ou tout arrangement électoral douteux avec la gauche comme celui auquel nous avons assisté après la dissolution.

La réalité est que, depuis deux siècles, la gauche révolutionnaire est l’autre nom de la guerre civile. Quand son poids politique le lui permet, sa nature profonde se révèle. Viennent alors la violence verbale de La France insoumise et la violence physique de l’ultragauche dont sont issus nombre d’Insoumis tel Raphaël Arnault, député et chef de cette Jeune Garde que

Bruno Retailleau envisage de dissoudre. Le procureur de Grenoble déclarait cette semaine : « L’ultragauche, c’est un attentat tous les six mois en moyenne. » Certes, toutes les villes françaises ne sont pas gangrenées comme celle d’Éric Piolle, mais partout, face à la progression du camp national, la gauche radicale passe à l’action violente. La même nuit où la tombe de mon grand-père et de ses parents était vandalisée, un commando d’ultragauche attaquait les locaux de l’Issep, l’école que j’ai cofondée à Lyon. La veille, c’était l’École supérieure de journalisme de Paris, dont Vincent Bolloré est l’un des actionnaires.

Si nous ne sommes plus un peuple, c’est qu’une partie de la France a fait sécession avec les valeurs traditionnelles, sacrées même, de la civilisation. Ils ont abandonné la fameuse décence commune chère à Orwell. Ils sont la proie d’un ensauvagement mental qui n’en finit plus de tout déconstruire, de l’histoire à la biologie en passant par la cohésion nationale. Ayant désacralisé tout ce qui relie, vomissant notre passé, rien ne les retient au fond d’aller briser les statues comme les tombes. Je relève que bien souvent ceux qui se sont réjouis du décès d’un homme sont les mêmes qui refusent à donner la vie, témoignage ultime d’un désir de disparition, d’une ivresse de l’effacement. Après eux, ce n’est même plus le chaos, mais le néant. À cette pulsion de mort, il faut opposer de toutes nos forces le désir de créer et de perpétuer. Ils croient nous briser le cœur en brisant cette croix ? Ils n’ont fait que l’affermir. Ils imaginent effacer une lignée, mais génération après génération, les Français se réveillent.
Face à cette haine, il faut proclamer notre volonté. Volonté de protéger ce qu’ils n’ont pas encore détruit, de reba
̂tir ce qu’ils ont mis à terre, de transmettre l’âme française et européenne à ceux qui prendront notre suite. Oui, nous sommes des millions à ne pas vouloir mourir du suicide des autres ! Telle est, je crois, dans l’ordre du politique, la vocation de notre droite aujourd’hui.

(Source : Journal du dimanche, 02/02/2025)

09:54 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une grande manifestation à Londres ce samedi 1er février pour exiger la libération de Tommy Robinson

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Des dizaines de milliers de Londoniens, encore plus que le 26 octobre dernier (cliquez ici et cliquez là), sont descendus dans les rues de la capitale britannique samedi après-midi pour exiger la libération immédiate de celui qui est en train de devenir le héros du peuple anglais qui refuse de mourir, Tommy Robinson.

Dans la dernière livraison (n°68, hiver 2024-2025) de notre revue Synthèse nationale, nous avons publié un grand entretien avec notre ami Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen, qui représentait les patriotes français à Londres lors de la manifestation similaire du mois d'octobre. 

Voici le texte de cet entretien :

FREE TOMMY ROBINSON !

S'il est normal et nécessaire de s'indigner de l’arrestation en Algérie de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, il ne faut pas oublier pour autant qu'en Grande-Bretagne, tandis qu’on sort des prisons les racailles d'importation, on y jette les patriotes qui s'opposent à la déferlante migratoire.

Au premier rang des victimes du pouvoir woquisé qui sévit outre-Manche figure le courageux combattant Tommy Robinson. Il y a quelques semaines, des dizaines de milliers de Britanniques sont descendus dans les rues de Londres pour exiger sa libération. Mais pour l’heure, il se trouve toujours en cellule….

Face à ce scandale, une campagne de sensibilisation se met en place. Et une fois de plus, la Vendée montre l’exemple, grâce au dynamique Rassemblement vendéen de notre ami Éric Mauvoisin-Delavaud qui, le premier, vient d’organiser à Challand une projection du film Silenced consacré au combat salvateur de Tommy Robinson…

Vous avez été invité par Tommy Robinson à une prise de parole lors du grand rassemblement de protestation du 26 octobre à Londres qui a réuni plusieurs dizaines de milliers de Britanniques. Pouvez-vous nous rappeler la raison de cette manifestation ?

Tommy Robinson est accusé d’avoir enfreint une injonction de la Haute Cour britannique en diffusant un film lors d’un rassemblement à Trafalgar Square en juillet dernier. Ce film, intitulé Silenced, est une critique et une démonstration de la censure médiatique et des restrictions imposées outre-Manche à la liberté d’expression !

Quelle a été votre première impression en arrivant sur le lieu de la manifestation ?

J’ai ressenti une très grande ferveur populaire. Une ferveur qui a d'ailleurs caractérisé toute cette journée. Il y avait au moins 40.000 personnes, un chiffre impressionnant qui témoigne de la capacité des Britanniques à se lever pour défendre leurs valeurs et leur pays ! La marche s’est déroulée dans une ambiance détendue et positive, malgré quelques tentatives de perturbation par des militants d’extrême gauche, soi-disant "antifascistes". Mais ils ont été maîtrisés rapidement par la sécurité et la police, garantissant ainsi le bon déroulement de l’événement.

À voir les images, il semblerait que des moyens importants ont été mis en place pour accueillir les milliers de manifestants en toute sécurité et dans une bonne ambiance. Qu'en pensez-vous ?

J'ai été frappé par l’organisation rigoureuse de la manifestation, orchestrée par l’équipe de Tommy Robinson. Bien que ce dernier ait été incarcéré depuis la veille, son absence n’a pas amoindri la mobilisation qui s’est déroulée avec une fluidité et une logistique impressionnantes. Ce rassemblement massif, souligne la profondeur des préoccupations, des inquiétudes qui traversent aujourd’hui la société britannique concernant l’identité et la liberté d’expression.  Les patriotes anglais nous donne ici une leçon de mobilisation populaire et de défense de la liberté.  

Peut-on s’aventurer à dire que Tommy Robinson est un prisonnier politique ?

Oui, c'est une certitude. D’ailleurs, cette manifestation représente une réponse collective et déterminée aux restrictions croissantes qui pèsent sur l’expression des opinions. Elle est un exemple puissant pour tous ceux qui souhaitent défendre leurs valeurs et leurs droits fondamentaux.  Je pense qu’avec l’arrestation et la mise en détention de Tommy Robinson pour 18 mois, les autorités britanniques font de lui clairement un martyr de la dissidence, et doivent, par conséquent, s’attendre à voir la colère et la pression populaires grandir dans les prochaines semaines, dans les prochains mois.

Pensez-vous relayer et faire connaître l'action de Tommy Robinson en France et si oui, comment ?

Je pense que ce grand mouvement populaire initié à Londres doit fédérer aussi chez nous, en France, et plus largement en Europe, car nous sommes tous dans le même bateau. Pour l’heure, j’entends diffuser le film Silenced, qui m'a été confié par Tommy, en version originale sous-titrée en français et en haute définition. Ainsi, le jeudi 28 novembre dernier, à Challans, en Vendée, une première séance a eu lieu. La projection a été suivie d'un échange avec le public puis un verre de l'amitié a conclu cette belle soirée.  Il s’agit d’un combat essentiel et il est du devoir de chacun de participer et de lancer une grande mobilisation générale populaire ! Haut les cœurs !  

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Pour commander ce numéro 68 de la revue Synthèse nationale  cliquez ici

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samedi, 01 février 2025

Saint-Brieuc (22) : sympathique galette des rois de Reconquête ce samedi après-midi

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Les patriotes des Côtes-d'Armor se sont retrouvés nombreux (près d'une centaine de participants, soit le double de l'an passé) ce samedi après-midi à Saint-Brieuc pour assister à la petite fête organisée par la section départementale de Reconquête !

Après les interventions de Pierre-Yves Thomas, secrétaire départemental (photo ci-dessus), d'Antoine Clamagirand, responsable du Morbihan venu en voisin, et de Margaret Studler (ci-dessous), responsable de la 5e circonscription (Lannion-Paimpol), de nombreuses questions furent posées par les militants présents. Parmi les participants, on pouvait retrouver Mme Danielle Le Men qui fut à la pointe, en 2022, du combat pour Callac cliquez là et qui portait, en juin dernier, les couleurs du parti de Eric Zemmour dans la circonscription de Guingamp, Christian Le Pecheur, responsable de Saint-Brieuc, bien connu et apprécié depuis longtemps des nationalistes locaux, et Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale.

Après les discours : place à la Galette des rois qui confirma le côté festif de cette belle réunion amicale.

Si l'on s'en tient à l'enthousiasme de l'assistance, dans les Côte-d'Armor le mouvement Reconquête ! semble à nouveau être en ordre de bataille.

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20:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La profanation de la tombe de la famille Le Pen, la barbarie revient parmi nous

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Michel Festivi 

Quelques jours à peine après l’inhumation de Jean Marie le Pen, dans le caveau familial de cette famille bretonne à la Trinité-sur-Mer, son monument funéraire a fait l’objet d’une véritable dépravation à coups de masse, par un ou plusieurs individus, espérons que l’enquête le déterminera rapidement.

Cette atteinte gravissime à la paix des morts est tout un symbole. Ne pas respecter les défunts, profaner leurs sépultures, est un marqueur fort de l’idéologie révolutionnaire, pour tout dire des gauches radicales et extrêmes, communistes ou nazies. Même s’il s’avérait que l’auteur ou les auteurs des faits n’étaient pas spécifiquement orientés ainsi, les exemples de l’extrême gauche qui ont été donnés dès l’annonce du décès de celui qui mena le combat pour la France française, ont gravement porté atteinte à la paix sociale. Voir des ignobles, boire et danser, alors que la personne n’était même pas encore inhumée, relève d’une sauvagerie absolue et a irradié la société.

Car ce qui confère à la civilisation humaine tout son sens et sa grandeur, c’est justement que l’on enterre ses morts et que l’on respecte leurs sépultures. Depuis des temps immémoriaux, à partir du moment où les hominiens se sont distingués des animaux, ils ont enseveli selon différents rites leurs défunts. L’histoire de l’Égypte ancienne, celle des rives du Tigre et de l’Euphrate, des pays africains, des tribus des Amériques, recèle toute cette symbolique inaliénable, comme chez les peuplades indo-européennes les plus anciennes. L’Histoire de l’humanité s’est construite à partir des tombeaux et de leur étude. À Madagascar par exemple, les tombeaux sont éternellement la propriété des familles du mort, et elles ont un droit de passage sacré pour se rendre sur ces lieux. Tout récemment, vers Dijon, des archéologues ont découvert de vieilles tombes gauloises, où les squelettes ont été retrouvés en position assise. Pourquoi ? Sans doute une explication sera-t-elle trouvée un jour.

Bref, profaner un tombeau relève d’une ignominie absolue. On retrouve dans l’histoire, cette profanation chez ceux qui entendent anéantir la société et abattre les constantes humaines pour faire émerger un homme nouveau, défait de ses traditions, de son environnement naturel, décérébré et donc apte à faire table rase du passé. Toute l’histoire révolutionnaire le démontre.

La Convention nationale a approuvé en août 1793, au plus fort de la Terreur révolutionnaire la destruction des tombeaux de la nécropole Royale de la Basilique Saint-Denis. Près de 50 tombeaux seront ainsi profanés au nom de la volonté révolutionnaire d’effacer le passé. C’est Barère qui fut à la manœuvre, pour en finir avec « des cendres impures ». On nomme des commissaires à l’exhumation. Pendant les guerres de Vendée, les révolutionnaires vont allés jusqu’à tanner les peaux humaines des cadavres. Un chirurgien-soldat aurait prélevé des peaux humaines sur des cadavres flottant dans la Loire en décembre 1793, pour les tanner. C’est un processus total de déshumanisation.

Dès le début de la terrible guerre civile en Espagne en juillet 1936, les anarchistes et les communistes détruisirent tombes et sarcophages, déterrèrent les cadavres et les profanèrent, en prenant des poses, des photos qui ont été retrouvées. On voit les squelettes des nones, des curés, sortis de leurs tombeaux, avec autour des anarchistes et des communistes chantant, dansant, buvant, peu ou prou comme ceux qui se trouvaient place de la République à l’annonce du décès de Jean Marie Le Pen. Certains cadavres encore récents furent sauvagement mutilés. Aucun phénomène similaire n’a eu lieu dans le camp national.  C’est typiquement une action des gauches extrêmes. Au demeurant ensevelir des corps dans des fosses est aussi foncièrement le fait de sanguinaires, comme les communistes à Paracuelos de Jarama en novembre et décembre 1936 près de Madrid, ou à Katyn, en avril 1940 par les soviétiques. Les nazis aussi s’y employèrent en brulant les juifs dans des fours et en tentant de détruire leurs restes, sans sépultures ni enterrements dignes d’êtres humains. Ou lorsqu’ils tuèrent par milliers, des hommes, des femmes, des enfants dénudés qui tombaient directement dans des trous, que les victimes avaient elles-mêmes préalablement creusées.

La mutilation des cadavres, notamment avec des connotations sexuelles, est aussi dans cette lignée de vouloir détruire l’homme et son humanité. Ce qui est paradoxal, c’est justement que Jean Marie Le Pen, officier parachutiste, avait en 1956, ordonné à ses hommes, d’enterrer dignement les soldats ennemis en prenant le soin de respecter leurs convictions religieuses et en orientant leurs dépouilles vers La Mecque. Il en avait d’ailleurs été félicité pour cela par les autorités militaires.

C’est pourquoi, lorsque les gouvernements socialo-communistes de José Luis Zapatero et de Pedro Sanchez, ont décidé en Espagne de faire déterrer les corps de Francisco Franco, José Antonio Primo de Rivera ou du général Quiepo de Llano et d’autres, ils se sont conduits moralement comme les pires des tortionnaires. Ils ont définitivement attenté à la nature humaine, en profanant symboliquement ces cadavres. Ils se sont comportés comme leurs prédécesseurs nazis et communistes, la symbolique est strictement la même.

En tout cas, il convient de relever et souligner que ni les danses macabres qui ont suivi la mort de Jean Marie Le Pen, ni la profanation de son tombeau, n’ont fait réagir réellement ni les gauches ni l’extrême gauche. Ne rien dire c’est accepter l’indicible. Ne pas protester, c’est se rendre complice par son silence, des pires tortionnaires, qu’on le veuille ou pas.           

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Montpellier, mardi 11 février : projection du film de Tommy Robinson, "Silenced"

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Pour en savoir plus, lisez l'entretien avec notre ami Olivier Roudier publié par Riposte laïque cliquez ici

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Contre les immigrationnistes : le 19 février, les habitants de Bélâbre fêteront leur victoire totale

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Francis Bergeron

Le Nouveau Présent Hebdo a raconté l’histoire de ce village de l’Indre, Bélâbre, situé non loin d’Argenton-sur-Creuse et de l’abbaye de Fontgombault, qui était entré en résistance pour empêcher l’implantation locale d’un Centre d’Accueil pour Demandeurs d’Asile (CADA).

Puisque le mot « submersion » est à la mode, disons que les Bélabrais ressentaient un fort « sentiment de submersion ». Dans un village de 900 habitants, voir s’implanter 38 migrants syriens et afghans, et autres « mineurs non accompagnés », sans limite dans le temps car sans claire perspective tant pour les « réfugiés » que pour les « autochtones », pouvait inquiéter  des habitants dont certains  reconnaissaient  avoir choisi de s’installer ici, précisément pour échapper à l’ambiance de certaines banlieues…

Nos lecteurs savent que cette mobilisation populaire a été payante, puisque le projet du maire Laroche, qui entendait persévérer malgré la colère de ses  administrés, a été définitivement abandonné fin décembre, comme l’a annoncé le préfet de l’Indre, M. Lanxade.

Il faut dire que cette victoire populaire (« populiste » disent les immigrationnistes) a été facilitée par « les difficultés financières et judiciaires  de l’association Viltaïs », a regretté le maire sortant Laroche.

Tiens, tiens, des difficultés financières et judiciaires pour Viltaïs  ? Viltaïs est l’association, financée par les contribuables, qui avait été chargée d’implanter  – aux frais desdits contribuables, bien entendu – cette communauté hétérogène. Mais le dossier avait été monté sans aucun sérieux, le budget faramineux d’aménagement d’une vieille usine textile du village avait scandalisé dans tout le département. Qui plus est, l’état-major de Viltaïs, dirigé alors par un cadre du Parti socialiste, s’est retrouvé dans la tourmente après des révélations relatives  à des abus de biens sociaux, affaires qui devraient trouver leur dénouement devant les tribunaux. L’avocat Pierre Gentillet  avait suivi de près ce volet du « dossier Bélâbre ».

C’est pour faire le point sur toutes ces bonnes nouvelles que Ludivine Fassiaux, la jeune et dynamique présidente de l’Union bélabraise, invite ceux qui ont soutenu le combat de son association  à participer à une réunion publique à la salle des fêtes du village, le 19 février..

« N’hésitez pas à me confirmer votre présence pour la commande de nos gourmandises salées » nous dit Ludivine.  

Adresse courriel de l’union belabraise : 

Unionbelabraise36@gmail.com

Ce sont des petites victoires comme celle-ci qui font les grandes victoires. Ludivine Fassiaux sera d’ailleurs en première ligne, dans la région, aux prochaines échéances électorales.

Source cliquez ici

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Réflexion sur le travail

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Dominique Méda est une femme de gauche, mais a priori de celle un tantinet désillusionné face à son refus d’affronter la réalité. Cette normalienne est depuis des années une des grandes spécialistes du travail, sujet qu’elle a abondamment traité et sur lequel elle revient avec son dernier ouvrage, Une société désirable (Flammarion, 272 p.). Dans cet entretien au torchon Libération, elle énonce, ce que la Nouvelle droite sous la houlette d’Alain de Benoist, n’a cessé de dénoncer depuis des lustres, les dérives du libéralisme, la perte du sens commun au profit d’une individualisation de plus en plus prégnante de la société. Cette perte des repères amène nos concitoyens – par-delà l’invasion migratoire -, à se sentir étranger dans leur pays qu’ils ne reconnaissent plus. Et, ajoute Domnique Meda, les Français se sentent de plus en plus mal à l’aise dans leur rapport au travail, en raison de rigidités hiérarchiques qui ne correspondent plus aux réalités d’aujourd’hui. Nous sommes face à une société déséquilibrée où l’individu n’a plus du tout le sentiment d’appartenir à une communauté de destin. Dominique Meda se trompe sur un point (et quelques autres), ce qu’elle appelle l’extrême droite a toujours été à la pointe de la lutte contre le capitalisme, destructeur à ses yeux des cultures et des peuples.

Lire l’entretien ICI.

 

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Journal du chaos

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vendredi, 31 janvier 2025

Les nécrophages sont passés à l'acte

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Synthèse nationale

Il y a trois semaines, à l’annonce du décès de Jean-Marie Le Pen, nous avons eu à subir la retransmission des répugnants sabbats d’une certaine jeunesse, "pavlovisée", gâtée jusqu’à la moëlle par l’agit-prop haineuse des "matons de Panurge" du "camp du bien" : avachissement physique et moral, haine d’habitude, apprise et régurgitée sans pudeur ni retenue, bêtise triomphante qui s’affiche sans complexe…

Aujourd’hui, nous avons droit à la dégradation nocturne de la sépulture familiale des Le Pen… Sans surprise, malheureusement : l’extrême gauche et la partie de la gauche à sa botte ont façonné des partisans à l’image de leur idéologie. « L’orgueil de ceux qui ne peuvent édifier est de détruire » a écrit Alexandre Dumas dans l’une de ses nouvelles.

Cette profanation abjecte prouve, s'il en était encore besoin, la lâcheté et la dépravation des mous du bulbe gauchos chez qui la bêtise le dispute à la haine. Les salopards qui ont commis cet acte n'ont rien à envier aux sectionnaires de 1793-1794 ni aux tondeurs de 1944. 

Évidemment, il ne faut pas s'attendre à des protestations dignes de ce nom de la part d'une classe politico-médiatique dont l'indignation est à géométrie variable.

Quoi qu'il en soit, même mort, Jean-Marie Le Pen continue de déranger. Que ses ennemis le veuillent ou non, l'histoire est en train de lui donner raison.

Les contempteurs du "Menhir" ne sont plus que les représentants du monde d'hier, alors que les idées du camp national et identitaire sont déjà en train de forger celui de demain.

17:25 Publié dans Editoriaux, Jean-Marie Le Pen | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SORTIE FIN FÉVRIER DU CAHIER D'HISTOIRE DU NATIONALISME CONSACRÉ À JEAN-MARIE LE PEN

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Mardi 7 janvier 2025, décédait celui qui aura de fait le plus marqué, bien au-delà de l’histoire de la droite nationale, l’histoire de la vie politique française au cours de ces 70 dernières années, Jean-Marie Le Pen.

Réalisé à l’initiative d’Aristide Leucate, essayiste et chroniqueur réputé dans les milieux nationalistes, ce Cahier d’Histoire du nationalisme, le 29e, sortira début février 2025, quelques semaines après la disparition de celui que ses partisans appelaient, avec admiration et affection, en référence à sa qualité de Breton sans doute, « le menhir ».

Ce Cahier, essentiellement composé de témoignages de ceux qui l’ont suivi dans sa grande aventure salvatrice pour la France, raconte les différentes étapes de l’engagement de Le Pen. Il est aussi destiné à rappeler, ou à dévoiler, les aspects méconnus de cet homme de conviction et d’action qu’était Jean-Marie Le Pen.

Il s’agit, en plus, de réparer les injustices et les calomnies dont il a été, toute sa vie durant et au-delà de sa disparition, la victime.

Vous pouvez le commander dès maintenant.

CHN 29, 250 pages, 24,00 € (+6,00 € de port), sortie : 15 février 2025

Bulletin de commande

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Retailleau, face à l’état de faiblesse

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Yves Thréard

Face à la campagne antifrançaise menée par l’Algérie, Bruno Retailleau apparaît bien seul à monter au front. L’écrivain binational Boualem Sansal est arbitrairement détenu là-bas depuis trois mois, notre ambassadeur a été deux fois convoqué pour se faire taper sur les doigts, Paris est à tort accusé de maltraiter des passagers débarquant à Orly ou Roissy, Alger refuse de reprendre ses ressortissants qui appellent au meurtre chez nous, la presse algérienne multiplie les insultes à l’endroit de notre ministre de l’Intérieur... Et rien ne se passe! Combien de temps encore nous laisserons-nous traîner dans la boue ?

Au lieu de cela, certains en France préfèrent se réjouir des «camouflets», disent-ils, essuyés par Bruno Retailleau. L’expulsion de l’influenceur Doualemn, agent du désordre parmi beaucoup d’autres Algériens, se heurte à des murs. Refoulé par Alger mi-janvier, il vient à présent de bénéficier d’un répit, grâce à un imbroglio juridico-administratif comme seule la France en a le secret. La qualification de son expulsion – en «urgence absolue » - a été jugée abusive par un tribunal administratif. Ses avocats s’apprêtent à demander sa remise en liberté. C’est Kafka en absurdie. Bruno Retailleau avait provoqué, il y a peu, une levée de boucliers en déclarant qu’un État de droit n’était «ni intangible ni sacré». La formule, mal comprise à dessein par les cerbères du politiquement correct, était peut-être maladroite. La réalité n’est cependant pas loin de lui donner raison. On a souvent le sentiment aujourd’hui que le droit et la justice protègent davantage ceux qui les violent que leurs victimes et la société. Pour- quoi s’interdirait-on de réformer une loi ou une procédure quand, à l’épreuve des faits, elle contrevient au bon sens, ne remplit pas son rôle ou conduit à de fâcheuses dérives? Combien de crimes et délits en sont la funeste illustration lorsqu’on remonte le sinistre parcours de leurs auteurs ?

La France doit vite s’extirper du piège que l’Algérie lui tend pour mille mauvaises raisons. Mais cela passe aussi par sa capacité à ne pas transformer son État de droit en un état de faiblesse.

Source : Figaro 31/01/2025

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jeudi, 30 janvier 2025

Samedi 5 avril, à Paris : colloque de l'Institut Iliade

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La gauche face à la réalité migratoire : entre déni et hystérie

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Thomas Joly, président du Parti de la France

La polémique autour des propos de François Bayrou sur le « sentiment de submersion migratoire » illustre une fois de plus l'hystérie de la gauche, incapable d'admettre la réalité migratoire que vivent quotidiennement les Français. Plutôt que de considérer les faits avec lucidité, elle préfère s'indigner bruyamment et accuser toute voix discordante de dramatiser une situation pourtant flagrante. Cette posture dogmatique traduit une déconnexion totale avec le peuple qui, lui, subit de plein fouet les conséquences d’une immigration massive qu’il n’a jamais souhaitée.

François Bayrou, pourtant loin d’être un tribun radical, n'a fait qu'exprimer une évidence que nul ne peut ignorer. Il a même tenté de se justifier en limitant ses propos à la seule situation à Mayotte, comme s'il fallait à tout prix éviter d’aborder la réalité de la métropole. Cette attitude pusillanime traduit bien la chape de plomb idéologique imposée par les tenants du politiquement correct qui s'efforcent de nier l'évidence au nom d'une bien-pensance désormais en total décalage avec la souffrance des Français.

Car non, la submersion migratoire n'est pas un « sentiment », c'est une réalité tangible que des millions de Français vivent au quotidien. Quartiers envahis, insécurité qui explose, communautarisme agressif : le pays subit une mutation forcée contre laquelle les gouvernants restent passifs, quand ils ne l'encouragent pas ouvertement. Il est illusoire d'attendre une réaction du pouvoir en place ou de ses opposants factices. Seule une politique de remigration massive des populations extra-européennes, telle que prônée par le Parti de la France, permettra de rétablir la sécurité et la cohésion nationale, conditions sine qua non de la prospérité retrouvée.

Source cliquez ici

RAPPEL :

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16:49 Publié dans Communiqués de presse, Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Submersion migratoire : une large majorité de Français sentent une lame de fond ignorée par les élites politiques

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Breizh info cliquez ici

Le mot « submersion » fait trembler la classe politique, mais il semble pourtant refléter un ressenti largement partagé au sein de la population. Selon plusieurs sondages récents, plus de 65% des Français estiment que la France fait face à une immigration massive et incontrôlée. Un constat qui ne semble pas troubler les gouvernants, toujours prompts à minimiser ou à détourner le débat.

Un sentiment d’envahissement qui dépasse les clivages politiques

Le Premier ministre François Bayrou a récemment osé employer le terme de « submersion » pour qualifier la situation dans certains départements français, notamment Mayotte. Une déclaration qui a immédiatement provoqué l’ire de la gauche et de certains membres du gouvernement, mais qui trouve pourtant un écho massif dans la population.

D’après un sondage CSA pour CNEWS, Europe 1 et le JDD, 65% des Français jugent que la France est submergée par l’immigration. Cette perception est particulièrement marquée chez les électeurs du Rassemblement national (94%), mais aussi au sein des Républicains (85%). Même dans les rangs du parti présidentiel Renaissance, 65% des sondés partagent cette inquiétude.

À gauche en revanche, le déni persiste : 72% des sympathisants de La France Insoumise et 80% des Verts refusent d’admettre une quelconque submersion. Une vision en contradiction totale avec les réalités vécues par une majorité de citoyens.

Une réalité démographique incontestable

Au-delà des perceptions, les chiffres sont implacables. Selon l’INSEE, la part de la population étrangère en France est passée de 6,5% en 1975 à 8,2% en 2023. Un chiffre qui sous-estime la transformation réelle du paysage démographique, car il ne prend pas en compte les descendants directs d’immigrés ni la naturalisation massive de nouveaux arrivants. Combien en effet de Français de fraiche date, c’est à dire depuis moins de trente ou quarante ans, sont sur le territoire ?

Dans certains territoires comme Mayotte, l’immigration illégale atteint des proportions spectaculaires, représentant plus de 25% de la population. Des situations similaires sont observées dans plusieurs départements de métropole, notamment en Île-de-France ou dans les grandes agglomérations comme Lyon, Marseille et Lille.

Malgré ces données, les élites politiques et médiatiques persistent à nier l’évidence. L’argument avancé par certains selon lequel « il n’y a pas de submersion, mais des problèmes sociaux » relève de l’aveuglement idéologique.

L’opposition du peuple et des élites : un gouffre qui s’élargit

La fracture est nette entre les citoyens confrontés à la réalité quotidienne de l’immigration et les élites qui n’en subissent pas les conséquences. Alors que 67% des Français pensent qu’il y a une submersion migratoire (sondage Elabe pour BFMTV), l’exécutif cherche encore à minimiser la situation en la qualifiant de simple « débat mal posé ».

L’expression employée par François Bayrou a pourtant soulevé un véritable tollé à gauche. Le Parti socialiste a même annulé une réunion avec le gouvernement en réaction à ces propos. Plutôt que d’affronter les réalités et d’écouter les préoccupations de la population, une partie de la classe politique préfère éviter le sujet et criminaliser le débat.

Vers un sursaut politique ou un rejet massif des élites ?

Les résultats des sondages posent une question fondamentale : jusqu’à quand les élites pourront-elles ignorer l’opinion majoritaire ? L’écart entre la perception populaire et la négation systématique de la classe politique atteint un point critique.

L’histoire récente a prouvé que le peuple finit toujours par se faire entendre, d’une manière ou d’une autre. À force de nier une inquiétude légitime, les gouvernants prennent le risque de voir cette colère se transformer en sanction électorale majeure.

L’immigration est au cœur des préoccupations des Français, bien devant la dette publique, malgré ce que certains veulent faire croire. À l’heure où des pays comme l’Italie, la Hongrie ou le Danemark adoptent des politiques plus fermes, la France semble prisonnière d’une idéologie qui refuse de voir le réel.

Face à ce refus obstiné d’entendre la majorité silencieuse, une question s’impose : jusqu’à quand le peuple acceptera-t-il d’être ignoré ?

mercredi, 29 janvier 2025

Jacques Weber, le haineux troupier de l’anti-Trump !

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La chronique de Philippe Randa

De la guerre russo-ukrainienne au conflit israélo-palestinien, en passant par les droits de douane ou le coup de pied dans la névrose wokiste, le 47e président américain tout juste élu monopolise décidément l’actualité comme jamais.

Donald par-ci, Trump par là, les commentaires vont aussi bon train qu’ils sont diamétralement opposés : « On va (enfin !) voir ce qu’on va voir » s’enthousiasment tous ceux qui se délectent de ses fracassantes déclarations, tandis que ceux qui frôlent la grande dépression après la tétanisation de sa triomphale (ré)élection en sont réduits pour beaucoup à… l’injure !

Ainsi l’acteur Jacques Weber, dont on peut s’interroger sur la qualité pour parler du 47e Président des États-Unis d’Amérique, qui s’est étranglé de rage et d’aigreur sur les ondes de RTL « … il y a une feuille de cigarette entre le nazisme et Trump (…) Trump est une ordure absolue, un danger non seulement pour son pays, mais pour le monde entier. C’est quelque chose de catastrophique qui nous arrive. On est en très grand danger à cause de quelques monstres issus de la démocratie et les gens votent désormais par pulsion et non plus en réfléchissant (…) Il faut descendre dans la rue pour sortir Trump ! C’est un gros dégueulasse qu’il faut supprimer littéralement. »

On peut à juste titre s’offusquer de la vulgarité de tels propos, ricaner du grotesque de l’exhortation à descendre dans la rue ou s’indigner de menaces de mort publiques et surtout qu’elles n’aient pas émues plus que cela les journalistes présents à la radio.

Vulgarité, violence urbaine et menaces tous azimuts : des arguments dont ces derniers affublent pourtant en général les prétendus nostalgiques de ce nazisme tant abohrré.

Ce qui est étonnant toutefois n’est nullement cette prestation assez pitoyable d’un personnage ne cherchant peut-être qu’à « faire l’in(in)téressant » ou à promouvoir à moindre frais son dernier spectacle – il incarne au théâtre François Genoud, le banquier d’Hitler –, mais on est habitué désormais à ce que les saltimbanques s’immiscent ainsi dans la politique pour ânnoner des discours formatés par le politiquement correct.

Non, c’est qu’on leur fasse rarement remarquer que quatre-vingt ans après la chute du IIIe Reich, quatre-vingt ans de dénonciations quasi-quotidiennes du national-socialisme, de ses œuvres et de ses crimes réels ou supposés, quatre-vingt ans d’alertes permanentes contre ses prétendus héritiers et complices, des millions de femmes et d’homme, à travers le monde, ne cessent de grossir les rangs de leurs partis et déposent régulièrement des bulletins de vote en leur faveur dans les urnes.

Précisément en ce qui concerne Donald Trump, on ne peut en tout cas lui faire reproche d’avoir caché ses « diaboliques projets » une fois la Maison Blanche réintégrée… parmi lesquelles les historiens, s’ils sont honnêtes, seraient bien en mal de trouver beaucoup de similitudes avec le national-socialisme prôné par Adolf Hitler, sinon peut-être la volonté affichée de rendre à leur pays respectif fierté, grandeur et prospérité.

Mais quel chef d’État, quel prétendant à la direction de son pays, n’affiche-t-il pas cette même volonté ?

De plus, cerise sur le gâteau, concernant justement les projets de Donald Trump énoncés durant sa campagne électorale, comment expliquer que ce représentant du Parti républicain ait significativement augmenté ses électeurs dans la communauté noire et bien plus encore dans la communauté hispanique, traditionnellement l’une et l’autre acquise au Parti démocrate de sa rivale ?

Ces « rastaquouères-là » n’auraient-ils finalement fait qu’imiter nombre de communistes teutons qui rejoignirent par cellules entières les Sections d’assaut du NSDAP, alors même que le Führer n’était pas encore entré à la chancellerie ?

Monsieur Weber, avant lui-même d’éructer par pulsion, devrait réfléchir avant de s’exprimer, ravaler sa grossièreté et peut-être ne pas trop exhorter les gens à descendre dans les rues. Il ignore sans doute qu’elles deviennent de moins en moins sûres en nos incertaines et plus en plus nombreuses zones de non-droit.

Lire EuroLibertés cliquez ici

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On attend les actes

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Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez ici

L'emploi de l'expression submersion migratoire par le Premier ministre aura donc provoqué un tollé, entièrement artificiel. Son propos a été tenu, puis répété, deux jours de suite, ce 27 janvier, réitéré devant la représentation nationale, le 28 janvier. Le florilège des réactions outragées mériterait d'être publié. Il serait cependant trop volumineux pour entrer dans le cadre de notre chronique. On se contentera donc ici du compte-rendu de la séance des questions à l'Assemblée.

[Propos du premier ministre] "La parole est à M. Boris Vallaud."

Boris Vallaud (PS) « Submersion » : c’est le mot de l’extrême droite partout en Europe et dans le monde. (Exclamations sur les bancs des groupes RN et UDR.) C’est un mot qui blesse autant qu’il ment. Monsieur le premier ministre, choisissez-vous vos mots par hasard ou les avez-vous sciemment empruntés à cette extrême droite dont vous prétendez ne plus jamais vouloir dépendre ?

Nicolas Meizonnet (RN) : "Il faudra nous verser des droits d’auteur  ! Et que dire des termes employés par votre ministre de l’intérieur ou votre ministre de la justice ?"

Boris Vallaud (PS) Mais d’abord, de qui parlez-vous ? De ces jeunes migrants, devenus majeurs, privés de papiers alors qu’ils sont en apprentissage ? (Exclamations sur les bancs des groupes RN et UDR.) De cette jeune Liri, qui réside à Rouen ? De ces femmes qui s’occupent de nos enfants, de nos parents, (Applaudissements sur les bancs des groupes socialiste et écologiste) de celles et ceux qui travaillent dans nos hôpitaux, nos Ehpad, nos crèches ? Parlez-vous de ces hommes et de ces femmes dans les cuisines de nos restaurants, sur nos chantiers, dans nos usines, comme le rappelaient le Medef ou la CPME ?

Nicolas Meizonnet (RN) "Oui, ce sont vos esclaves !"

Boris Vallaud (PS)"De ces travailleurs sans papiers qui pourtant paient leurs impôts, leurs cotisations, nos retraites ? (Applaudissements sur les bancs des groupes socialistes et écologistes. Mme Soumya Bourouaha, communiste, applaudit aussi.) De ces vies arrachées à leurs pays, à leurs familles, par les guerres, les persécutions ou la misère ?"
La question migratoire est une affaire sérieuse pour les Français, trop sérieuse pour se laisser dicter par l’extrême droite les termes dans lesquels on l’aborde. Ce débat mérite mieux que cette funeste coalition de l’ignorance, des préjugés et de l’opportunisme au prix de tous nos principes républicains. Tout plutôt que cet ordre qui puise ses pouvoirs dans la haine de l’autre, que la corruption de nos principes ! (Applaudissements sur les bancs des groupes socialiste et écologiste.)"

Monsieur le premier ministre, je vous appelle au sursaut : montrez-vous républicain et fidèle à votre famille politique, celle des démocrates chrétiens. Je vous demande d’être clair : maintenez-vous ce mot de submersion ? (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, dont plusieurs membres se lèvent. – Applaudissements sur les bancs du groupe écologiste et sur quelques bancs des groupes LFI et communiste.)

Thierry Tesson (RN)"Posez donc la question aux Mahorais !"

Sébastien Chenu (RN) "Les propos de Bayrou avaient trait à Mayotte !"

Mme la présidente: "La parole est à M. le Premier ministre, chargé de la planification écologique et énergétique.

François Bayrou, premier ministre : J’ai employé le terme que vous évoquez alors que je participais à une émission de télévision, dans le cadre d’un segment relatif à la situation à Mayotte. («Ah ! » sur les bancs des groupes RN et UDR. « Et alors ? » sur plusieurs bancs du groupe LFI-NFP.)

Depuis cette passe d'armes oratoire, pas mal de réactions ont approuvé les propos du chef du gouvernement. Il semble clair que dans ce contexte on voit mal comment une motion de censure, supposant la convergence des groupes LFI et RN. L'irritation théâtrale de l'irritant Boris époux de l'inoubliable Najat Vallaud-Belkacem a de quoi faire sourire. Dans l'immédiat cependant, elle n'entrainera donc concrètement aucun effet probable, sinon celui d'affaiblir le chantage au vote par le PS d'une motion de censure...

Le commentaire de Mme Marie-Hélène Thoraval résume désormais la situation. Maire de Romans, elle fit face en 2023 à la mort du jeune Thomas, victime du "racisme anti blanc", et aujourd'hui sur Europe N°1, elle constatait : "on attend les actes".

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La France est devenue un pays du tiers monde par 50 années d’inconséquences et de nullités politiques

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Michel Festivi 

L’État français est en complète déliquescence, l’écroulement est général. L’hôpital est totalement naufragé, outre les déficits colossaux, la médecine française, qui était l’une des meilleures du monde ne parvient plus à remplir ses missions premières. Une médecin d’un petit village de la Loire, Bully, a vu arriver dans son cabinet deux gendarmes avec un ordre de réquisition, elle était en consultation. Elle était sommée de prendre une garde de nuit, le soir même, entre 20H et minuit, alors que depuis 6 mois, elle n’avait plus de collègues dans le centre médical qu’elle occupe. Surchargée de travail, elle avait cependant prévenu l’ARS de cette situation. Résultat, elle s’est faite octroyer un arrêt de travail de 15 jours, et ses 1.500 patients vont en pâtir, victimes de l’incurie généralisée.

Ne parlons pas de l’école, en totale déconfiture, gangrénée par des résultats calamiteux, tous les ans les enquêtes Pisa le démontrent. L’éducation nationale représente la quintessence de la violence, du déni du réel, de l’interdit de punir et de sélectionner. Tous les ministres successifs ont failli, sous les coups de boutoir du wokisme, de l’islamisme, du pédagogisme, qu’ils ont accepté, voire accueilli parfois. Le fameux ascenseur social ne fonctionne plus du tout. Et en plus, les coûts sont de plus en plus vertigineux, pour des bilans désastreux. Des millions d’enfants ne savent pas écrire et lire correctement à la sortie du primaire, et sont incapables au collège ou au lycée, de comprendre un texte des plus simples. On forme des bataillons d’illettrés et d’incultes. Et ce n’est pas la politique de Madame Borne qui va améliorer la situation.

La justice française, qui bon an mal an, il y a encore 30 ou 40 ans, arrivait peu ou prou, à assurer ses missions fondamentales qui sont de juger les délinquants, les criminels, et de régler les litiges des justiciables, ne peut même plus y faire face. Deux exemples tout récents démontrent cette tiers-mondialisation de notre pays, et c’est plus que dramatique. Je ne pense pas que les français, dans leur majorité, aient totalement conscience que leur pays soit tombé si bas, sinon Macron n’aurait pas encore 21% d’opinion favorable, mais un chiffre avoisinant le zéro, et on ne verrait pas parader les Edouard Philippe, François Hollande, Xavier Bertrand et autres LR ou PS, qui sont directement responsables de cet état de décrépitude.

Premier exemple, le Procureur général près la Cour d’Appel d’Orléans, vient, le 20 janvier dernier, de déposer une requête auprès de la Chambre criminelle de la Cour de Cassation, pour qu’elle dépayse le procès des tortionnaires présumés d’une petite fille de 4 ans, retrouvée martyrisée sur les abords de l’autoroute A10, dans le Loir-et-Cher en 1987. Après un travail de bénédictins des forces de l’ordre qui ont réussi à retrouver ceux qui doivent être jugés. Et bien la Justice française est dans l’incapacité de le faire ! Le Procureur général, d’expliquer dans sa missive, que le Tribunal de Blois est totalement sinistré « il se trouve dans l’impossibilité de juger ce dossier avant de nombreux mois, et sans doute pas avant la fin de l’année 2026 ou au début de l’année 2027 ». Et notre haut magistrat d’égrener le manque de moyens matériels et humains de la juridiction dont il a la charge, c’est ahurissant. C’est un véritable déni de justice, sachant que les deux mis en examen, Halima E, 71 ans et Ahmed T, 73 ans, sont simplement actuellement sous contrôle judiciaire (Le Figaro du 28/01/2025 Esther Paolini « Martyre de l’A10 : par manque de moyens, la Cour d’appel d’Orléans demande à organiser le procès ailleurs ». Le Procureur adjure donc à une autre juridiction, sans doute toute autant surchargée, d’assumer ses propres sujétions, et pendant ce temps, les victimes et la société attendront.

Deuxième exemple, le Procureur de la république de Melun, vient d’annoncer, dans le discours traditionnel de rentrée, qu’il est à la tête « d’un bateau qui prend l’eau », et qu’il a décidé de faire classer sans suite, directement, sans la moindre investigation, toutes une série de plaintes. Il évoque une situation « dramatique et inquiétante des services d’enquête, un tonneau des Danaïdes... on tente d’écoper à la petite cuillère » Cf Le Figaro du 29 janvier 2025.  Et de signaler ce que refusent à faire tous nos politiques, pusillanimes et incompétents « Le rôle d’un procureur n’est pas de se cacher derrière son petit doigt mais il est d’assumer qu’il y a des priorités et d’agir en ce sens. ». Agir, c’est ce que les français demandent à leurs gouvernants, depuis des lustres. Dans le ressort de cette juridiction, les victimes, sont une fois de plus, les dindons de la farce.

Dès lors, et comme je le répète ad nauseam, les Darmanin et Retailleau, tout plein de bonnes paroles qu’ils sont, peuvent multiplier des déclarations tonitruantes, rien n’y fera sans un changement complet de politique et d’hommes politiques. Pourtant, le pire, c’est que la France pourrait avoir les moyens de bien faire et de satisfaire ses citoyens, si nos élites arrêtaient de jeter l’argent par les fenêtres, au monde entier, en pure perte. Les gaspillages sont insondables. On vient d’apprendre le fiasco, un de plus, d’une initiative macronienne. 15 milliards d’euros ont été dépensés pour rien, nous dit la Cour des comptes, dans une entreprise inconséquente de la mise en place entre 2018 et 2023 du plan d’investissement dans les compétences (PIC). Ce plan n’a servi à rien, sauf à payer grassement des fonctionnaires et des services, alors qu’il devait transformer en profondeur le système de formation. Le « mal français », vient de loin, ce livre d’Alain Peyrefitte avait été publié en 1976.

Mais nous restons les cracks de la fraude sociale, qui s’élève, selon le rapport du Haut conseil du financement, en 2024, à plus de 13 milliards d’euros, sans compter les 2,1 milliards identifiés et stoppés mais pas récupérés et les seulement 0,6 milliards récupérés. Le delta négatif est vertigineux. Pourtant la France consacre 31,5% de son PIB aux dépenses de protection sociale en 2023, contre 26,6% en moyenne dans les 27 pays de l’UE. Sur ce terrain des dépenses, nous sommes les champions, les lauréats. On ne peut pas être nul dans tous les domaines...François Bayroux, dont le maître mot est, attendre et ne rien faire, vient de renoncer aux 3 jours de carence en cas d’arrêt maladie dans la fonction publique, et de ne pas recruter 4000 fonctionnaires de plus, ce que voulait faire le précédent gouvernement.

10:49 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Collectif Némésis remporte une victoire à Toulouse

Le Collectif Némésis remporte une victoire à Toulouse

François Monestier, Polémia cliquez ici

Depuis des mois, les partisans et les adversaires de Némésis attendaient le rendez-vous de Toulouse, histoire pour les uns de rappeler le combat mené par Alice Cordier et ses militantes exemplaires, pour les autres de continuer leur propagande indigéniste et de semer la terreur dans de nombreuses villes de notre pays. Un combat courageux salué d’ailleurs par Bruno Retailleau qui a récemment félicité la présidente de Némésis pour sa ténacité, au grand dam, bien sûr, des potes de Mélenchon.

Vandalisme tous azimuts

Le collectif toulousain Du pain Des Roses n’a pas dérogé à la règle en demandant l’interdiction de la réunion de Nemesis prévue le jeudi 23 janvier dans une salle municipale toulousaine à l’initiative du Cercle des Capitouls.

Menaces verbales, intimidations diverses et variées, les activistes toulousains sous la coupe du député insoumis François Piquemal et de l’association particulièrement violente des Soulèvements de la Terre voulaient avoir la peau de Némésis. Ils ne digéraient pas, en effet, que les responsables toulousaines de ce collectif identitaire aient osé brandir deux innocentes pancartes « Islamo-gauchistes, hors des facs » lors d’une conférence de presse de Mathilde Panot , tenue à Toulouse le 24 octobre dernier.

Quoi de mieux donc que de vandaliser la salle municipale prévue pour la réunion ? Et v’là que nos courageux démocrates ont tagué, dès potron-minet, la porte de ce lieu de réunion, collé les serrures des différentes portes d’accès, et – ensauvagement suprême- tapissé certaines d’entre elles d’excréments. Le tout accompagné de messages à la hauteur de leurs gestes : « Elle (Alice Cordier) vient répandre sa propagande bourgeoise, patriarcale et raciste dans notre ville » ainsi que de l’annonce d’une manifestation de protestation .

Un maire sous influence ?

Que voulez-vous qu’il arrivât ? Jean-Luc Moudenc, maire divers-droite de Toulouse et macroniste de cœur, a interdit la réunion …identitaire, puis émis un arrêté municipal … interdisant l’accès à la salle, prétextant des risques de « manifestations radicalisées et des affrontements ». Un comble de donner raison à des émeutiers qui ont mis à feu et à sang une salle municipale et dont la remise en état sera payée par le toulousain de base. Adepte du double langage, Moudenc a dénoncé « ces dégradations qui sont une attaque révoltante et insupportable contre les services de proximité des Toulousains » mais s’est bien gardé de défendre la liberté d’expression dont il se gargarise d’habitude. Il est vrai qu’il panique à un an des Municipales qui pourraient faire basculer à l’extrême-gauche la troisième ville de France. Mais ce n’est pas en caressant ces démocrasseux dans le sens du poil qu’il a une chance de l’emporter.

Tout est bien qui finit bien

Au dernier moment et alors que plus de cent cinquante personnes allaient être privées de conférence, les organisateurs trouvaient une salle privée afin de pouvoir enfin écouter Alice Cordier et ses militantes venues témoigner de la violence et des agressions sexuelles commises dans notre pays et ailleurs – la Suède ou la Grande Bretagne par exemple – par des allogènes. Applaudissements nourris et satisfaction d’avoir fait un pied de nez aux décoloniaux et autres  écologistes radicaux. Pour une fois, force a été donnée au courage de dire et à la volonté de faire.

Collectif Némésis cliquez ici

01:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le nouveau numéro de la revue "Eléments"

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Chez votre marchand de journaux

00:45 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le nouveau numéro de la "Revue d'Histoire européenne"

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Chez votre marchand de journaux

00:44 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 28 janvier 2025

Depuis un siècle, l’Occident va de déception en déception

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La philosophe, très anticonformiste, Chantal Delsol publie un nouveau livre, Insurrection des particularités (Cerf), un ouvrage érudit et éclairant sur la période de transition douloureuse que travers l’Occident. Après les désillusions des utopies des Lumières et l’affaissement du christianisme, nos sociétés ont plongé dans un mode de pensée ultra-individualiste, consacrant le particulier au détriment de l’universel. Dans un entretien au Figaro (28/01), elle nous précise sa pensée.

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10:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |