dimanche, 04 août 2024
« Panem et circenses »
Pascal Praud
Toutes les critiques qui préludent aux Jeux olympiques cessent le jour où les épreuves commencent. C’est une règle que j’ai observée depuis toujours et que j’ai répétée à l’envi à ceux qui doutaient du succès des Jeux à Paris
L’événement balaie tout. Je me souviens d’Albertville en 1992. Le biathlon était devenu sport national en quelques heures. Étienne Mougeotte avait chamboulé la grille de l’antenne pour que TF1 devienne 100 % olympique. Il connaissait le public et devinait que les Français se passionneraient pour des sports qu’ils ne regardent pas d’habitude. Le judo, l’escrime ou l’équitation ont peu d’importance dans cet enthousiasme. Ce sont d’abord des histoires d’hommes et de femmes, de gloire ou de regret, de joies et de larmes. Léon est devenu le plus beau prénom de France. Clarisse Agbégnénou a arraché le bronze quand elle espérait l’or. Elle a pleuré. Et nous avec elle.
Les Jeux transforment le plomb en or. Il existe une France joyeuse et légère. Elle remplit les gradins dans un décor que Haussmann, Eiffel, Garnier et tant d’autres ont dessiné depuis des lustres.
Le sport est-il réac ?
Je m’amuse à penser que les Jeux olympiques reposent sur deux ou trois piliers que l’époque récuse 350 jours sur 365. Les athlètes représentent un drapeau et portent les espoirs d’un pays. Les supporters expriment une passion nationale. Le bleu, blanc, rouge flotte au vent sans que personne crie au fascisme. Le stade est le dernier endroit où il est permis de célébrer la France sans arrière-pensées.
Les JO reconnaissent aussi la différence naturelle qui existe entre les hommes et les femmes au point qu’ils ne luttent pas ensemble. Excepté l’invraisemblable combat entre la boxeuse algérienne Imane Khelif et son adversaire italienne Angela Carini, qui n’aurait jamais dû avoir lieu. Je remarque enfin que le sport olympique chante les louanges de la hiérarchie. Il y a des sportifs qui sont meilleurs et d’autres qui sont moins bons. Il y a des médailles d’or et d’autres en chocolat. En ces temps de relativisme où tout se vaut, cet éloge du classement est une anomalie.
La presse, unanime, célèbre chaque matin ce qu’elle combat à longueur d’année. Cette conversion à la différence naturelle, à la sélection darwinienne et à la patrie reconnaissante fait ma joie.
Je lis ces éditorialistes qui en font des tonnes pour expliquer qu’il y aura un avant et un après-JO, que rien ne sera plus comme avant, que la France est unie, fraternelle, réconciliée etc., etc. Ils servent une version nouvelle du black-blanc-beur, fadaise à laquelle ils ne croient sans doute pas mais qu’ils déclinent à longueur d’articles avec l’énergie de monsieur Coué. Ces JO sont une parenthèse enchantée. C’est déjà ça.
Seine, Cène et scène
Une semaine après la cérémonie d’ouverture, l’encre a coulé sous les ponts de la Seine. Philippe Katerine a demandé pardon aux chrétiens pour être apparu en Dionysos bleu sous cloche. Entre excuses et mea culpa, il s’est dit « désolé si ça a pu choquer, parce que ce n’était pas l’intention ». Sur CNews, Charlotte d’Ornellas a trouvé les mots justes : « On peut se définir par autre chose en permanence que d’attaquer ce que les autres ont de sacré. »
Le prologue des JO a manqué d’humour. Thomas Jolly a tiré le spectacle vers le Grand-Guignol. Il a surligné les messages. Certains ont vu créativité et intelligence quand il ne s’agissait que de convenances et de poncifs. Attaquer la religion chrétienne ne rélève pas de l’audace la plus folle.
J’avais aimé l’esprit des Anglais à Londres en 2012. Élisabeth II arrivait dans le stade, escortée par James Bond. Mister Bean interprétait avec le London Symphony Orchestra Les Chariots de feu composé par Vangelis. J’ai préféré la légèreté de Londres à la provocation de Paris. And last but not least, Thomas Jolly a mis en scène une histoire de France sans évoquer une seule seconde Charles De Gaulle. Monsieur Jolly ignore l’homme qui a dit non et sauvé deux fois la France.
Source : Journal du dimanche 4/8/2024
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samedi, 03 août 2024
La mort de Fouad Choukr ne nous fera pas pleurer...
Arnaud Florac le rappelle fort justement dans son article publié sur le site Boulevard Voltaire cliquez ici, la mort de Fouad Choukr, survenue lors d'une frappe israélienne le 31 juillet à Beyrouth, a pour nous Français "une résonance particulière". Chourk fut en effet l'organisateur du massacre du Drakkar au cours duquel périrent, le 23 octobre 1983 dans la capitale libanaise, 58 parachutistes français... parmi eux, nous avions des camarades. Comme quoi, les criminels finissent toujours par payer et sa mort ne nous fera donc pas pleurer...
Quelques jours à peine après cet odieux attentat, le Parti des forces nouvelles organisait sur les Champs Elysées une manifestation pour exiger du gouvernement socialiste de l'époque une riposte radicale pour "venger nos morts". Evidemment, il n'en fut rien. La couardise des politicards d'alors n'ayant d'égale que celle de ceux d'aujourd'hui...
Ce sont les Israéliens (et non, hélas, les Français) qui viennent de rendre justice à nos soldats en effectuant, ce 31 juillet 2024, ce que nous aurions dû faire il y a 40 ans. Certains regretteront peut-être qu'il en soit ainsi mais, pour notre part, une chose est sûre, c'est que non seulement nous ne leur reprocherons pas cette action mais, pour une fois, nous allons même les en féliciter....
Synthèse nationale
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Mort de Fouad Choukr, cerveau des attentats du Drakkar
Arnaud Florac Boulevard Voltaire cliquez ici
Fouad Choukr, numéro trois du Hezbollah libanais, a été assassiné, ce 31 juillet, par une frappe israélienne en plein cœur de Beyrouth. Israël est habitué aux incursions en territoire libanais et ne se soucie guère des victimes collatérales pour atteindre ses objectifs. Cette frappe, qui viole la souveraineté de l'espace aérien libanais, est donc scandaleuse d'un point de vue légal mais n'est pas une surprise. Si l'on ajoute à cela l'assassinat d’Ismail Haniyeh, chef du Hamas, sur le territoire iranien alors qu'il assistait à l'investiture du nouveau président, on peut se dire que la semaine est plutôt faste pour le Mossad, qui rattrape, bien tard toutefois, son incurie dans l'anticipation manquée des attentats du 7 octobre 2023.
Une résonance toute particulière pour les Français
Pour nous, Français, la mort de Choukr a une résonance particulière. Cet homme était le cerveau des attentats du Drakkar qui, en octobre 1983, tuèrent cinquante-huit parachutistes français, un terrible bilan heureusement jamais égalé depuis. Ce carnage fut un traumatisme dans une armée largement appuyée sur le service militaire. Le chant Nos anciens du Liban leur rendit hommage, ainsi que la chanson de Jean-Pax Méfret Le béret amarante. La France de Mitterrand découvrit soudain que la guerre faisait des morts et que les troupes d'élite étaient une caste bien particulière, celle des sacrifiés d'avance, des hommes qui se font gloire d'avoir offert leur vie en gage à l'avance et une fois pour toutes. La gauche avait dû renoncer à proposer la dissolution de la Légion après le triomphe de Kolwezi : avec le Drakkar, elle se décida à des représailles de barbouzes. Deux opérations de rétorsion échouèrent : l'une, menée par le service Action de la DGSE, à cause d'un problème technique ; l'autre (une frappe aérienne) parce qu'un diplomate français pacifiste avait prévenu l'adversaire. Les années passèrent. Les coupables passèrent entre les gouttes.
Tragique, selon Mélenchon
Sans qu'il soit évidemment question d'une vengeance aveugle, convenons du fait que la mort de Fouad Choukr n'est pas à proprement parler une nouvelle tragique, vue de Paris et pour qui connaît un peu l'Histoire récente. Pourtant, ça ne semble pas être l'avis de Jean-Luc Mélenchon, l'homme qui ne déçoit jamais, l’immuable boussole qui indique le sud. Le Che du 93, le Robespierre de salle des profs, s'est même fendu d'un tweet : « Frapper la capitale du Liban est une agression intolérable. Netanyahou propage la guerre, le meurtre, et les généralise comme s'il était au-dessus de toutes les lois et conventions internationales. Les puissances dont les USA et la France qui laissent faire permettent une escalade qui sera vite hors de contrôle ! »
Oui, on l'a dit, Israël ne respecte rien ni personne. Oui, les Occidentaux laissent faire. Mais en la circonstance, l'avocat Gilles-William Goldnadel le rappelle d'ailleurs très bien, la mort de Choukr n'est pas une mauvaise nouvelle pour nous. C'est même tout le contraire.
Il reste maintenant à savoir ce que l'Iran va faire. La théocratie chiite est à la fois le commanditaire du Hezbollah, dont elle a développé l'emprise au Sud Liban sur le modèle pasdar (écoles, aide humanitaire, business, etc.), et le pays sur le sol duquel Haniyeh, chef du Hamas, est mort. Si l'on en croit ses dernières réactions aux attaques d'Israël contre ses intérêts, « y aura rien », comme disent les jeunes. L’Iran a beaucoup à perdre et n'utilisera probablement pas - en tout cas, espérons-le - des armes nucléaires qu'il n'est d'ailleurs pas censé posséder. Il peut, en revanche, être intéressant de guetter les réactions de la Turquie et du Qatar, deux pays qui avaient offert leur asile à Haniyeh. La mémoire de Choukr, elle, est déjà perdue.
Mais aujourd'hui, là-haut, 58 âmes de guerriers français ont vu leur mort réparée, quarante et un ans plus tard. Ça ennuie peut-être Mélenchon, mais ce n'est pas rien.
17:50 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 02 août 2024
54e Journées chouannes de Chiré en Montreuil (86) : samedi 31 août et dimanche 1er septembre 2024
Chers amis,
Vous êtes tous invités à participer aux 54es Journées Chouannes qui se dérouleront à Chiré-en-Montreuil (86 – Vienne) au sein de notre propriété, les 31 août et 1er septembre 2024.
Nous aurons le privilège d’accueillir plus de 80 auteurs ainsi qu’une quinzaine de conférenciers qui partageront avec vous leur passion et leur analyse. De plus, une vingtaine d’associations et d’exposants seront présents pour présenter leurs activités. Venez les découvrir !
Dans un monde de plus en plus virtuel, où l’écran est le premier ennemi, tant pour nos cerveaux que pour nos relations humaines, il est essentiel de se rencontrer, se retrouver, échanger et renforcer les liens qui nous unissent. Les Journées Chouannes en sont, sans aucun doute, la meilleure opportunité. Venez donc partager notre amour commun pour le combat des idées et pour les livres, seul rempart contre la décadence !
N’hésitez pas à partager cet événement avec vos amis et votre famille pour leur permettre de vivre eux aussi cette expérience inoubliable.
Dans l’attente de vous recevoir à Chiré, soyez assurés chers amis qu’avec votre participation nous pourrons continuer à combattre.
François-Xavier d’Hautefeuille
Renseignements, programme et réservations sur Chiré
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jeudi, 01 août 2024
Les races n’existent pas, mais les races supérieures, si !
La chronique de Philippe Randa
Dire qu’on croyait que les races n’existaient pas. Les racistes, si ! Mais les races, non… Certains même, pour convaincre les esprits les plus obtus – ô combien ! – voudraient d’ailleurs que cette vérité soit inscrite dans la Constitution française, Ve du nom… Pourquoi pas ! Mais hélas ! trois fois hélas ! notre constitution indique dans son article premier que la France se doit d’« assure(r) l’égalité de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion »… c’est ballot !
Les races n’existent pas, mais non, mais non ! Mais à l’évidence, la ou les race(s) supérieure(s), elle(s), oui… La preuve par l’histoire.
De Léon Blum, dont on reparle un peu ces jours derniers avec le Nouveau Front populaire (lui, c’était le modèle original de 1936) qui déclarait dans un discours à l’Assemblée nationale du 9 juillet 1925 : «Nous admettons qu’il peut y avoir non seulement un droit, mais un devoir de ce qu’on appelle les races supérieures, revendiquant quelquefois pour elles un privilège quelque peu indu, d’attirer à elles les races qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de civilisation », en passant par Adolf Hitler et son désormais obligatoirement exécré régime national-socialiste qui considérait que la race aryenne constituait la catégorie supérieure de l’humanité… jusqu’aux Jeux de la XXXIIIe Olympiade de cet été 2024 et son humanoïde nouveau, l’existence d’une supériorité raciale, changeant au gré des régimes, des coutumes, des mœurs et des exigeances politiques, ne fait pas de doute.
Le metteur en scène Thomas Jolly, désigné directeur artistique des cérémonies, nous a ainsi offert un grandiose spectacle pour nous en convaincre ; seuls des esprits chagrins peuvent en critiquer le fond, la forme et le coût, oubliant que lorsqu’on veut prouver, c’est comme lorsqu’on aime, on ne compte pas (surtout l’argent du contribuable, dirons des esprits non plus grincheux, mais alors là, franchement discourtois) !
Ainsi donc, grâce à Thomas Jolly, le monde entier a découvert – pour ces quelques milliards d’habitants qui l’ignoraient encore – la nouvelle race supérieure de l’humanité : des êtres dégenrés, de préférence obèses, aux chevelures décolorées, dandinant du croupion et moulés dans des tenues autrefois réservées à ces gens de petites vertues qui aguichaient le chaland sur le bitume des rues de Paname, voire, pour les plus bucoliques, dans les allées du Bois de Boulogne.
Avec cette cérémonie d’ouverture, on était fort loin, donc, des stéréotypes tant admirés par l’humanité d’antan et plus encore aux antipodes de cette « pseudo-culture musculaire » prônée par Pierre de Coubertin, rénovateur des JO et fondateur du Comité international olympique (CIO) dont « les pionniers de la sociologie du sport, Jean-Marie Brohm en tête, dézinguent ses “idées réactionnaires” », comme l’a rappelé Pierre Godon dans un article de Franceinfo (« Pourquoi Pierre de Coubertin, père des Jeux modernes, n’est vraiment pas prophète en son pays »).
Concluons que moins les races existent, plus on en parle… À croire que, contrairement au diable, la plus grande ruse des races est de vous persuader qu’elles existent !
Lire EuroLibertés cliquez ici
23:29 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 31 juillet 2024
Le subliminal dans la cérémonie des JO
Source Le Salon beige cliquez ici
Pour la grand-messe de la nouvelle religion, à l’occasion des JO, le projet de société de nos dirigeants a été présenté à l’ensemble de la planète. Pour organiser cela, le système est allé chercher une minorité dans la minorité qui prétend parler au nom de tous les autres, un classique, et ils ont choisi ceux qui font de leur sexualité le centre du monde et aiment exposer leurs turpitudes, annonçant la couleur ainsi : « Nous ne voulons surtout pas d’une reconstitution à la manière du Puy du Fou. Nous voulons faire l’inverse. Surtout pas une histoire virile, héroïsée, providentielle. On veut le désordre et que tout s’entremêle ». Avec leur propagande woke, Ils ont réussi à tout salir par ce spectacle décadent et imprégné d’un mépris abyssal pour la France et la civilisation occidentale.
Ça a commencé par Djamel donnant le ton à l’ensemble : « Oh, Zizou Christ ! Ça va »
Et puis on a donc eu l’interminable séquence, porteuse du message idéologique, des drag queens sur le pont de la hideur, mauvais goût et provocation dans ce qui ressemble d’abord à une évocation de la Cène (avec la DJ lesbienne auréolée comme le Christ, et reconnue comme telle par les acteurs, le metteur en scène se réfugiant dans la takia et nous prenant pour des jambons) puis ca se cumule (ce n’est pas 2 tableaux successifs) avec l’apparition de Bacchus (dyonisos), le dieu de l’ivresse, du dépassement des limites, nu et peint en bleu, et qui incite à oublier tout ça pour revenir à l’état de nature, sans retenue. La retenue, c’est le père qui sépare l’enfant de sa mère, lui dit non, lui apporte les règles, l’amène à l’extérieur de ce couple fusionnel satisfaisant tous les besoins de l’enfant, et lui apporte la morale nécessaire à la vie sociale. Et c’est pour ca qu’on a tué le père, et c’est pour ça qu’on détruit les religions (le christianisme en particulier) car elles apportent les normes, la loi. On les a détruit pour parvenir au retrait du surmoi (la conscience morale) et au triomphe du ça (l’instinct bestial, le principe de plaisir). Logiquement, la bacchanale emporte alors tout et ça se transforme en un défilé de mode, avec comme modèles des déjantés sataniques, grimaçant et se vautrant dans la fange. Avec, pour clore la séquence en toile de fond, le chevalier de l’apocalypse !
Et puis, disséminé tout au long, quelques exemples subliminaux de cette transgression des limites :
La destruction de la famille, symbolisée par le trouple de la Bibliothèque de France qui se bécote et finit par s’enfermer pour un plan à trois.
L’enfant parmi les drags queen
Le renversement de l’autorité par le peuple, faisant la fête révolutionnaire en rose LGBT, et conduisant tout droit au sang sur la conciergerie et Marie-Antoinette décapitée tenant sa tête tout en chantant le « ça ira », fallait oser, et devant un parterre de têtes couronnées (mais pourquoi pas louis XVI plutôt qu’elle dont le seul crime est d’être la femme du roi ?).
L’abolition des nations par l’humiliation de la Garde républicaine obligée de se trémousser sur du Aya Nakamura qui recrache des paroles vulgaires qu’heureusement personne n’a compris, devant le temple de la langue française, qui s’ouvre donc à la multiculturalité. La France chrétienne, la France blanche, c’est fini, place à la diversité.
Détail ? le drapeau olympien symbolisant l’universalité a été hissé à l’envers, et face au veau d’or, c’est le symbole de l’inversion des valeurs du monde nouveau qui s’élève, et dont le flambeau est transmis par un vieux blanc impotent.
Sans parler du refrain pro migrant des réfugiés des pays en guerre, avec en double prime un état inexistant, la Palestine, le tout en se gargarisant de l’union olympique de tous les peuples, mais sans la Russie ni la Biélorussie, drôle d’union, cela rappelle les manifestations unitaires anti attentats islamiques, dont le RN était exclu.
J’oubliais le chapitre « sororité » pour mettre en valeur nos sœurs, avec en premier Olympe de Gouges (en oubliant qu’elle fut guillotinée au nom des lumières) en oubliant Jeanne d’arc, sainte Geneviève, et bien d’autres, et pourquoi discriminer ainsi les sexes ?
Cerise sur le gateau, la délégation algérienne participe de son mépris pour la France en lançant des fleurs pour rappeler la manif du FLN de 1961.
On cherche désespérément la célébration des valeurs du sport et de la beauté de la France au milieu d’une propagande woke aussi grossière. Envie de tout péter dans ce pays de déconstructeurs et détraqués en tous genres.
Ne pas partager l’idéologie dominante, c’est , me dira-t-on, un discours de haine, et cela justifie la haine contre vous.
12:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Menace contre la famille Bolloré : réaction du Parti national breton
09:54 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 30 juillet 2024
Ne jamais oublier Maurice Bardèche...
A propos de Maurice Bardèche cliquez ici
16:42 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Connaissez-vous la chaine "Quelle semaine" de Gilbert Collard ?
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