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mardi, 25 juin 2024

La Chapelle Bassemer camp 2024 : du 22 juillet au 15 août

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Un communiqué de Reynald Secher, président de Mémoire du Futur :
 
Le mois de juillet approche à grands pas, ne manquez pas de vous inscrire ou de faire s'inscrire vos enfants, petits-enfants, neveux, nièces, pour le camp chantier au prieuré Saint Pierre ès Liens qui débutera le 22 juillet prochain et se poursuivra jusqu'au 15 août.
 
C'est l'occasion de participer à une belle œuvre spirituelle de restauration du patrimoine religieux.
 
L'inscription se fait en ligne via le lien suivant : cliquez ici
 
Pour toute information supplémentaire, veuillez écrire à l'adresse suivante : memoire.du.futur.de.leurope@gmail.com
 

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Israël-Palestine : La mort aux trousses !

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Entretien avec Jean-Claude Rolinat qui vient de publier aux éditions Dualpha "Israël-Palestine : La mort aux trousses !"

(propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

Pourquoi ce titre ?

Compte tenu du nombre de livres qui ont été publiés sur les différents conflits israélo-arabes, il me fallait trouver un titre original qui fasse appel à la mémoire ; c’est, évidemment, un clin d’œil à la dramaturgie « hitchcockienne » …

Justement, de nombreux livres traitent de ce problème. Alors, un ouvrage de plus, un ouvrage de trop ?

Un certain maréchal de France disait que « Les Français ont la mémoire courte ». Alors, certes, c’est un livre de plus, car j’aborde des épisodes oubliés et fais appel à l’histoire pour expliquer la tragédie du jour. Mais dans le conflit israélo-palestinien plus qu’aucun conflit, il faut appeler l’histoire à « la barre des témoins ». Les faits, rien que les faits d’abord et l’analyse ensuite. Bons points et mauvaises notes étant distribués en constat et non sous l’émotion ! C’est à ce titre que mon livre apporte quelque chose de nouveau dans le débat actuel.

Que pensez-vous des manifestations estudiantines en faveur de Gaza ?

Israël, dans cette guerre asymétrique que lui livre le Hamas, a perdu la guerre des images. L’ampleur des destructions, les linceuls qui s’accumulent sous l’effet des bombes israéliennes, annulent l’effet des images du terrifiant massacre du 7 octobre 2023 diffusées avec parcimonie. Le fait qu’environ 1 200 Israéliens, pour la plupart des civils, femmes et enfants compris, aient été assassinés dans des conditions abominables, est quasiment oublié. Seul le problème des otages rappelle « qu’il s’est (tout de même) passé quelque chose l’année dernière en Israël » … On s’explique mal la pudeur de cet État qui s’est interdit de révéler au monde la réalité crue de clichés insoutenables. Ceci lui a grandement nui. La France, comme le Portugal, dans les guerres d’indépendance de leur empire colonial, n’avaient pas hésité, à juste titre, à montrer la barbarie, la sauvagerie de leurs ennemis. Des jeunes, sensibles, perméables aux manipulations, ne connaissant rien pour la plupart à la genèse de cette nouvelle « guerre de (presque) cent ans », sont tombés dans le panneau et, tel un troupeau bêlant, ont suivi les mauvais bergers de l’extrême gauche.

Vous pensez qu’Israël est tombé dans un piège ?

Incontestablement ! Le Hamas a bien tricoté son affaire. D’abord, il massacre, ensuite, il capture des otages. Il attire alors tout naturellement la foudre de Tsahal sur des civils désarmés au milieu desquels il se protège, tandis qu’il fait chanter le gouvernement de Jérusalem, déjà sous la pression des familles des otages. Cruel dilemme pour Benyamin Netanyahou et son cabinet de guerre : négocier et ne rien faire militairement, c’est faire preuve de faiblesse et renoncer à éradiquer un implacable ennemi qui veut sa disparition. Agir, c’est prendre le risque de tuer les otages et de massacrer des innocents qui sont, en quelque sorte, pris entre deux feux.

Comment en est-on arrivé là ?

C’est une longue histoire qui remonte à la nuit des temps. Reconstitué après vingt siècles d’absence, l’État juif en Palestine apparaît comme une pièce rapportée dans une région qui ne l’a jamais accepté. (Encore que quelques pays arabes, désormais, ont des relations diplomatiques avec lui : l’Égypte, la Jordanie, le Maroc, le Soudan, Bahrein et les Émirats, ce qui n’est pas rien). Estimant que, malgré le fameux « bien vivre ensemble », des communautés aussi différentes que la juive et l’arabe ne pouvaient cohabiter dans un État unique, l’ONU en 1947, avait adopté un plan de partage assez équilibré, tenant compte de la répartition des populations. Bien malencontreusement pour eux, les Arabes de Palestine, encouragés par leurs frères des pays voisins, ont refusé ce modus vivendi.

On connaît la suite : guerre d’indépendance de 1948, conflit du canal de Suez de 1956, « Guerre des six jours » de 1967, « Guerre du Kippour » de 1973, etc. et bien entendu, les implantations illégales de colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés…

Tsahal, l’armée de défense d’Israël, a permis à son peuple de survivre dans un environnement hostile. Mais qu’en sera-t-il demain si l’Alya – littéralement « la montée » des Juifs vers Israël, leur migration –, s’essouffle et assèche sa population ? Car la démographie est une arme de guerre redoutable. Or les ventres des femmes arabes de Palestine sont, justement, plus prolifiques que ceux des épouses juives, fussent-elles séfarades orthodoxes. Israël peut bien dominer stratégiquement la région, grâce à sa suprématie nucléaire – qui peut être contestée par un Iran chiite très belliciste –, il ne pourra jamais mettre un gendarme derrière chaque musulman de Palestine, fut-il l’un de ces nombreux Arabes israéliens qui sont chez eux, en Israël même.

Il y a deux peuples sur une même terre. Alors, un peuple de trop ?

Pas forcément. Les deux ont leur légitimité, la Terre sainte ayant été sous diverses souverainetés, juive, romaine, croisée – cette dernière, pour à peine deux siècles –, turque et britannique. Le philosophe Michel Onfray a proposé lors d’une émission sur la chaîne CNews, une « Fédération arabo-juive ». Ça ne tient pas la route ! Qui dit État fédéral, dit, forcément, gouvernement central pour les compétences fédérales. Vous imaginez, vous, Ismaël Haniyeh, le chef du Hamas à qui Israël a tué une partie de sa famille à Gaza, cohabiter à la même table avec Benjamin Netanyahou ?

La solution « à deux États » ?

Il faut, certes, créer un « espace politique » pour les Arabes de Palestine au sens large du terme, mais la défaite de l’une ou l’autre des deux parties est totalement inenvisageable ! La solution à « deux États » est, oui, envisageable et c’est une piste que nous étudions, mais ce n’est pas la seule. Le lecteur en découvrira d’autres…

Ce n’est donc pas « sans issue » ?

Le pire n’est jamais certain. Il y aurait des possibilités de compromis. Nous en évoquons.

Israël-Palestine : La mort aux trousses !, Jean-Claude Rolinat, éditions Dualpha, 290 pages, 35 euros, nombreuses illustrations. Pour commander ce livre, cliquez ici.

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À Courbevoie, une agression à « sens » unique

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La chronique de Philippe Randa

Dans les faits divers plus ignobles que d’autres, l’échelle de l’horreur est grande et chacun s’indigne comme il le ressent lorsqu’on rapporte des violences, mentales ou physiques, accompagnées d’actes de tortures ou d’humiliations.

Et parmi les plus ignobles de celles-ci, il y a le viol évidemment…

Les chiffres incroyables de leurs recensions pour la France soulèvent les cœurs les mieux accrochés : « Près de 84 000 victimes de violences sexuelles ont été recensées sur l’année 2023, un chiffre en augmentation de 6 % par rapport à 2022 […] C’est ce qui ressort d’un rapport du service de statistiques du ministère de l’Intérieur publié jeudi 7 mars 2024 », rapporte Ouest-France.

À Courbevoie, courant de ce mois de juin, un viol a soulevé à juste titre l’indignation. Parce que la victime est une fillette de 12 ans ? Parce que ses trois tourmenteurs sont du même âge ?

Pas seulement… À entendre les commentaires dans les médias, de la part des journalistes tout autant que de leurs invités, ce serait surtout parce que l’un des violeurs, son ex-petit ami, lui a reproché de lui avoir « caché sa confession juive » – la police ayant de plus découvert dans son téléphone « des propos et images antisémites, notamment un cliché sur lequel on voit un drapeau israélien brûlé » – et qu’un de ses complices a, lui, indiqué que leur victime « aurait tenu des propos négatifs à propos de la Palestine. »

Aussi, dans une tribune du JDD, la journaliste Noémie Halioua insiste pour ceux qui n’auraient pas compris sur le « sens » de cette agression : « Le viol à caractère antisémite d’une fille de 12 ans à Courbevoie est un acte de guerre idéologique visant à humilier et détruire symboliquement la communauté juive. »

Que cette ignominie ait fait basculer dans un cauchemar la vie de cette malheureuse, comme l’a déclaré l’avocate de sa famille Muriel Ouaknine-Melki, qui pourrait en douter ? Mais que sa judaïté soit la seule ou même la principale cause du mauvais sort qui a été le sien, on peut néanmoins en douter.

Son ex-petit ami et ses complices, par vengeance et immoralité, n’ont-ils pas voulu, sans doute et plus sûrement, se donner simplement bonne conscience en justifiant leur dépravation sous l’angle des origines de leur proie ?

Rappelons que tout violeur justifie en général son abjection par une évidence qui n’échappe qu’aux autres : sa victime méritait son sort – ô combien ! – puisque c’était une putain, une allumeuse, une ci-, une-ça…

Remarquons également que sur l’origine du trio de salopards, étrangement, pas un mot n’a été dit ! Par personne ! Pas même une allusion ! Probablement pour ne pas jeter de discrimination sur leur origine bretonne, auvergnate, vendéenne, basque, corse ou alsacienne ?

Oui, sans doute…

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lundi, 24 juin 2024

Adieu l’ami…

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Patrick Parment

Christian Brosio vient de nous quitter. Ma peine est grande car c’était un ami très cher que j’avais connu au Figaro Magazine. Il était, à l’époque, un militant dévoué de l’Action française qui lorgnait du côté de la Nouvelle droite. Avec lui et la petite bande que nous formions, on peut dire que l’on a fait les quatre cents coups. Notamment au contact de l’historien Jean-François Chiappe qui nous avait pris en amitié et qui nous entraînait dans ses délires de bon vivant.

Christian a toujours été d’une fidélité sans faille. Les années ne nous ont pas séparés, bien au contraire et l’on se retrouvait régulièrement pour déjeuner et commenter l’actualité.

Excellent journaliste, ses papiers dans Spectacle du monde était toujours solidement charpentés. Il collaborera également à la revue Eléments où il apportait les lueurs de sa grande culture historique. Christian était un être rare, d’une grande urbanité. Adieu l’ami, tu vas vraiment nous manquer.

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dimanche, 23 juin 2024

Marion Maréchal répond aux questions des auditeurs d'Europe 1

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Journal du chaos

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Quand les joueurs de flûte se muent en apprentis-sorciers

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Bernard Plouvier

Les millésimes 2020 sq. resteront marqués du sceau de la haine et celle-ci n’est un bonne chose que pour les marchands d’armes et les voyous manipulant les crétins – si l’on préfère, les propagandistes et leur cible préférée les sous-doués et les moyennement doués, deux catégories d’humains qui pèsent lourd, puisqu’ils représentent 75% des sujets testés dans toutes les études du Quotient Intellectuel (Q.I.) effectuées de 1890 aux années 1970 – après, on n’a plus osé en publier beaucoup !

Après le déchaînement de haine à l’encontre des climato-sceptiques, l’on s’est vigoureusement attaqué à ceux qui osaient dire que la nouvelle covidiose n’était qu’une pandémie assez banale, ne tuant que selon le principe de la sélection naturelle, comme les pandémies de grippe : il ne s’agissait nullement d’une maladie effroyable comme la peste ou le choléra importés d’Asie, ou ces viroses d’origine simiesque inutilement importées d’Afrique.

L’on a aussi connu une recrudescence des haines raciales : parti des États-Unis – ce melting pot qui a dégénéré en pot-pourri -, le mouvement s’est propagé en Europe Occidentale et Scandinave envahie de partout. Les émeutes raciales françaises sont une friandise hexagonale que nos merveilleux "jeunes" nous resservent quand ils « ont les nerfs », mais les Européens des Pays-Bas, de Belgique, de Norvège ou de Suède ont aussi leur lot de festivités son et lumière, un peu coûteuses certes, mais chacun sait que l’Européen est un contribuable fort complaisant.

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10:32 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cohabitation : que pourrait faire Jordan Bardella face à Emmanuel Macron ?

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Jean-Yves Le Gallou 

Le résultat des élections législatives provoquées par la dissolution de l’Assemblée nationale pourrait bien être un véritable tremblement de terre politique. Non pas en ce qui concerne la hausse phénoménale du nombre de députés du Rassemblement national. Ce tsunami patriote exceptionnel est déjà accepté par tous les Français. Non, le véritable bouleversement politique, c’est bien que le Rassemblement national pourrait disposer de la majorité absolue, soit plus de 289 députés ! C’est ce qu’annonce, entre autres, le sondage réalisé par l’institut Odoxa pour L’Obs paru ce 21 juin. Et il se murmure que des sondages concordants sortiront très rapidement. Pour réfléchir à cette possible arrivée de Jordan Bardella à Matignon, Jean-Yves Le Gallou revient sur les différents scénarios possibles.

Polémia

Histoire de la cohabitation

Depuis le début de la Ve République, la France a connu trois cohabitations : Mitterrand-Chirac (1986-1998), Mitterrand-Balladur (1993-1995), Chirac-Jospin (1997-2002). La dernière fut la plus paisible, Jospin put gouverner – régulariser 100 000 clandestins, imposer les 35 heures – sans véritable opposition, ni de la part de Chirac, ni de celle du Conseil constitutionnel. La situation fut moins confortable pour Balladur : presque une double cohabitation au départ avec Mitterrand d’un côté et avec… Chirac de l’autre. Un Chirac que Balladur cessa très vite de prendre au téléphone… Balladur rencontra aussi l’obstacle du Conseil constitutionnel qui censura les lois Pasqua sur l’immigration et la sécurité. La première cohabitation, celle de 1986-1988, fut la plus difficile : Mitterrand usa Chirac en s’opposant à ses ordonnances puis en s’appuyant sur le Conseil constitutionnel, présidé par Badinter, tout en encourageant les manifestations de rue. C’est à cela que pourrait s’attendre Jordan Bardella s’il était nommé Premier ministre. Sans même qu’il soit besoin d’évoquer une Assemblée nationale mariniste qui le surveillerait.

Que pourrait faire Bardella ?

Trois stratégies sont possibles : l’évitement, l’engagement, l’affrontement.

Une cohabitation d’évitement pour Jordan Bardella ?

L’évitement est l’habituelle stratégie de campagne du RN : au moindre problème, on décroche et on se replie sur des positions plus sûres. C’est souvent ce qui est le moins coûteux en matière de communication.

Mais les Français sont las des postures et des grandes déclarations. Ils attendent aussi des actions. Un gouvernement Bardella ne pourrait pas se contenter de parler, encore moins de reculer, il devrait agir. Et il ne pourrait pas davantage se borner à chouiner (« on me met des bâtons dans les roues »), il devrait aussi réussir. C’est possible : un Premier ministre à des marges de manœuvre ; Matignon, c’est la tour de contrôle de l’État. Et dans la Constitution, c’est le Premier ministre qui a la maîtrise des instructions aux préfets, aux recteurs, aux procureurs. C’est le Premier ministre qui signe les décrets : cela n’est pas rien. C’est un pouvoir qui pourrait permettre d’abroger des dispositifs bureaucratiques comme ceux sur les diagnostics énergétiques des bâtiments, par exemple. C’est aussi le gouvernement qui a l’initiative des lois.

À partir de là, trois axes d’engagement sont possibles.

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10:23 Publié dans Législatives 2024, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

96 ans de Jean-Marie le Pen : l'homme qui avait tout vu venir

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10:09 Publié dans Revue de presse, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ÉCOUTEZ L'ÉMISSION DU PARTI DE LA FRANCE AVEC ROLAND HÉLIE ET PIERRE-NICOLAS NUPS (CANDIDAT DANS LA 5e CIRCONSCRIPTION DE MEURTHE-ET-MOSELLE)

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01:48 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 22 juin 2024

AFRIQUE DU SUD : L’ANC BROIE DU NOIR….MAIS SAUVE LA MISE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Avec le scénario ubuesque de la dissolution et la préparation des élections législatives françaises, le renouvellement de la chambre sud-africaine est passé assez inaperçu dans l’actualité. Pourtant il s’est produit un petit séisme aux pays des Afrikaners et de Mandela : l’ANC a perdu la majorité absolue comme un vulgaire Macron en 2022, et encore bien plus, sans doute, en 2024 !

Pour la première fois depuis 1994, l’ANC est mise en difficulté

Le 29 mai dernier, le corps électoral sud-africain, toutes ethnies mélangées, s’est prononcé et a infligé un sévère avertissement à l’African National Congress (ANC), qui gouvernait d’une façon monolithique la « nation arc-en-ciel », tant vantée par Nelson Mandela, depuis avril 1994. Cette fois-ci, le parti gouvernemental, aux mains des « kleptocrates » noirs qui se sont gavés des richesses accumulées par des années de pouvoir « blanc », a perdu la majorité des 400 sièges de l’Assemblée nationale siégeant au Cap. (Capetown). Ce parti, presqu’un parti unique, monopolisait tous les pouvoirs à l’échelon national comme à l’échelon provincial, exception faite de la province du Cap occidental. Cette dernière - la seule qui échappe à l’omnipotence du Congrès national africain -, était entre les mains de l’opposition parlementaire au plan national,  emmenée par l’Alliance démocratique (DA) de John Steenhuisen, un parti souvent considéré comme étant le parti des « Blancs », mais pas seulement, comme le démontrent ses scores dans tout le pays

Une claque électorale

L’ANC termine donc, avec 40,18% des voix et 159 sièges, bon premier de la classe, mais en recul de 17,3% perdant , excusez du peu, 71 sièges de députés nationaux ! Les causes sont nombreuses : usure du pouvoir, corruption, incapacité à assurer un toit et du travail à tout le monde, une crise sans précédent dans la distribution de l’électricité.

Comble du déshonneur, des voix, noires, se sont élevées - timidement il est vrai -, pour dire que « c’était mieux à l’époque des Blancs » ! La Democratic Alliance, malgré la scission du nouveau parti Action SA d’Herman Mashaba, ancien maire de Johannesburg, a capitalisé, en partie, ce mécontentement. Mais d’autres acteurs aussi, l’un sur une base ethnique, l’autre sur une base idéologique, sont aussi bien présents sur l’échiquier politique. Jacob Zuma, un Zoulou – cet ancien président qui disait que l’on pouvait combattre le Sida en prenant une douche après un rapport sexuel ! -, condamné pour de multiples malversations, est revenu sur la scène publique, tel le Phénix renaissant de ses cendres. Son parti, Umkhonto We Sizwé, créé ex-nihilo – reprenant le nom de l’organisation armée de l’ANC pendant la lutte contre l’Apartheid -, a raflé 58 postes avec ses 14,58% et 2 344 309 voix.

Plus inquiétant, quoiqu’en recul, le résultat du Parti des combattants pour la liberté économique (EFF) de Julius Maléma, pourfendeur raciste d’Afrikaners et d’Anglophones blancs, qui obtient avec 1 529 961 votes 39 députés, soit 5 de moins que dans la configuration précédente. Ce boutefeu, jamais avare de provocations, est derrière toutes les grèves qui scandent la vie syndicale du pays, et exige purement et simplement l’expropriation  sans dédommagement, des derniers fermiers blancs qui, pourtant, nourrissent le pays et assurent des exportations rentables. Heureusement, en France, nous n’en sommes pas encore arrivés à ce « Mélanchonesque » scénario catastrophique, comme au Zimbabwe, qui avait mis à terre la florissante économie de feu la Rhodésie (1).

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19:33 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sylvio Valente, candidat Reconquête en Seine-Saint-Denis

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Bien connu des militants de la cause nationale depuis longtemps, notre ami Sylvio Valente est candidat Reconquête dans la 8e circonscription de la Seine-Saint-Denis.

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Claude Janvier ce samedi au Puy-en-Velay

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vendredi, 21 juin 2024

Précipitez-vous pour voir le dernier film de Rithy Panh « Rendez-vous avec Pol Pot » :

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Michel Festivi

Les charniers communistes, c’est-à-dire les famines en Russie bolchévique entre 1920/1922 qui firent entre 3 et 5 millions de morts ; celles d’Ukraine soviétique en 1932/1933 : l’Holodomor, 5 millions de morts, vieillards, femmes enfants, bébés, une autre Shoa avant l’heure, avec des scènes de cannibalisme avérées ; le « grand bond en avant » maoïste, 20 à 30 millions de victimes ; les dizaines de millions de morts de la « révolution culturelle » chinoise des années 1966/1976, tous ces drames auraient dû nous immuniser définitivement des folies meurtrières de l’idéologie communiste, sans compter les millions de vénézuéliens qui affamés, quittent leur pays au grand dam de notre Mélenchon.

Et bien non ! Lorsque les « hommes en noirs » se sont abattus sur le Cambodge en avril 1975, pour le transformer génocidairement parlant, en Kampuchéa dit « démocratique », assassinant près de 2 millions de personnes, l’ensemble des intellectuels de gauche ont applaudi à cette éradication humaine au nom « des lendemains qui chantent ». Il suffit pour les plus anciens d’entre nous, de se remémorer les titres louangeurs et les articles dithyrambiques du Monde, Libération, La Croix, ainsi que les reportages élogieux des radios et télévisions françaises : « Le drapeau de la résistance flotte sur Phnom Penh...Phnom Penh libéré dans lo liesse – Les rizières verdoyantes et les ateliers en tous genres en pleine activité...les rires et les chants des paysans bien nourris ne sont pas forcés... »

C’est pourquoi, si vous en avez la possibilité, il faut vous précipitez pour voir ce film de Rithy Panh. Né à Phnom Penh en 1964, interné dans un camp à 11 ans, il a pu quitter cet enfer rouge pour trouver refuge à Paris à l’âge de 16 ans. Après une période de totale occultation bien compréhensible, il entre à l’Idhec, et depuis, il multiplie les films pour faire revivre la mémoire tragique du génocide cambodgien. Ce long métrage, qui a été présenté officiellement à Cannes cette année, mais on n’en a bien sûr très peu parlé, suit l’arrivée au Kampuchéa « démocratique », en 1978, de trois journalistes français, acquis à la cause de cette révolution sanglante. Une femme, deux hommes, dont un reporter-photographe. Deux d’entre eux ont connu à Paris, en Sorbonne, des années auparavant, Pol Pot et certains de ses sbires criminels.

Petit à petit, l’horreur va leur apparaître dans toute son abjection. Au photographe d’abord, puis à la femme journaliste ensuite, et enfin après bien des circonvolutions, au journaliste maoïste, ami à Paris de Pol Pot, dénommé dans le film Alain Cariou, sans doute un tacle direct à Alain Badiou, philosophe et enseignant français, qui prit fait et cause pour le régime sanguinaire de Pol Pot, sans que cela n’émeuve beaucoup la caste politico-médiatique. Dans cette oeuvre, qui mêle des images d’archives, des maquettes et des figurines comme symboles de la tyrannie, ainsi que des métaphores allégoriques sur l’aveuglement des intellectuels face aux crimes de masse, Rithy Panh, tente d’exorciser le drame absolu qu’il a vécu à 10 ans, lorsque son pays disparaîtra dans la fureur et le sang.

L’histoire mise en scène et filmée par Rithy Panh, de ces trois journalistes français, qui veulent interviewer « le frère numéro 1 », c’est-à-dire Pol Pot, lui a été inspirée, par un livre d’Elizabeth Becker, traduit en français, Les larmes du Cambodge, et publié en 1986. Cette journaliste du très à gauche Washington Post, s’était rendue au pays Khmer, avec deux de ses confrères, qui seront les premiers occidentaux à pouvoir se rendre dans cet état-prison. La fin du film est impressionnante, et l’entretien avec le « frère numéro 1 », stupéfiante et bien à l’image des mensonges permanents de l’idéologie communiste et de l’aveuglement qu’elle induit.

Car comme l’avait proclamé notre Jean Paul Sartre national, ce résistant de la 25e heure qui n’avait pas sourcillé pour s’asseoir dans le fauteuil d’un professeur de philosophie évincé car d’origine juive en 1940, « Un régime révolutionnaire doit se débarrasser d’un certain nombre d’individus qui le menacent et je ne vois pas d’autres moyens que la mort, on peut toujours sortir de prison. (Magazine Actuel n°28 de février 1973), les Khmers rouges l’exauceront. Simone de Beauvoir l’avait aussi soulignée en 1957, dans La longue marche, son plaidoyer pour le régime maoïste « quand il s’agit non plus de détruire l’ordre ancien, mais de construire un monde neuf...ces sectes (en parlant des taoïstes), doivent être liquidées ». 

Chez nous, en France, le Polpotisme vient de loin, de la Terreur, des guerres de Vendée, et la bête immonde est toujours bien vivante, si l’on en croit certaines déclarations mélanchonistes de nos insoumis islamogauchistes, ainsi que des communistes et de tous ceux qui soutiennent les crimes terroristes.   

12:25 Publié dans Michel Festivi, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen, candidat dans la 3e circonscription de la Vendée

Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

Éric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement Vendéen, m’a demandé de l’interroger sur la candidature de son mouvement, dans la 3e circonscription vendéenne. Il est le candidat de son association, avec Brigitte Neveux, ancienne conseillère régionale des Pays de Loire.

Une grande complicité de terrain nous unit, puisqu’Éric, que nous connaissons depuis des années, était avec son équipe à Callac, à Saint-Brevin, et qu’il m’a souvent invité à venir animer les initiatives qu’il organise en Vendée.

Dans cette circonscription, Éric et Brigitte seront opposés à un candidat macroniste, à un candidat du “Nouveau Front Populaire”, à un candidat gauchiste, mais la situation dans le camp patriotique paraît plus complexe, puisqu’il y aura une candidature LR-RN, une candidature LR-Retailleau, une candidature DLF et celle du Rassemblement vendéen.

Interrogé sur le risque de permettre un deuxième tour entre nos pires ennemis, Éric, qui a étudié les élections précédentes, se montre rassurant. Il insiste sur la qualité de l’équipe militante qu’il a à sa disposition, fruit des nombreuses mobilisations qu’il a su impulser. Il est certain que des affiches du Mouvement Vendéen vont inonder toute la circonscription, et il précise bien sûr que s’il n’est pas au second tour, il étudiera avec le mouvement patriote présent la meilleure façon de barrer la route à Macron et aux troupes de Mélenchon.

Bonne campagne au Rassemblement vendéen et à ses deux candidats.

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11:04 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien avec Danielle Le Men (candidate Reconquête à Callac - 4e circonscription des Côtes d'Armor) sur Riposte laïque

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Riposte Laïque : Vous êtes la présidente des “Amis de Callac”, association qui a mené la bataille victorieuse contre l’implantation massive de migrants dans le centre-ville. Aujourd’hui, le projet Horizon est abandonné, mais quelle est la situation de votre commune ?

Danielle Le Men : Après l’échec du laboratoire “Horizon”, l’État a financé une association immigrationniste chargée d’acheter des biens et d’y installer des migrants, 2 familles nombreuses (8 et 10 enfants). Nous constatons la venue d’autres étrangers dont nous ne pouvons évaluer le nombre. D’où les interrogations et l’inquiétude des Callacois, le taux de chômage étant très important à Callac.

Le climat reste tendu. Les propos et articles dans certains journaux du petit noyau des promigrants de la NUPES restent toujours aussi virulents. Mais ils sont contre-productifs, les Callacois aspirant au calme et ne se laissant plus intimider, bien que restant encore discrets.

Vous vous présentez aux prochaines élections législatives, pour le parti Reconquête. D’abord, quel est votre regard sur la situation nationale, à quelques jours d’échéances électorales décisives pour notre pays ?

La situation de notre pays est catastrophique. Comme la grande majorité des Français je constate :

• Le flux incontrôlé de migrants entrant en France ;

• L’insécurité qui augmente de façon exponentielle et s’étend aux zones rurales ;

• Les difficultés liées à la diminution du pouvoir d’achat : factures d’électricité, de gaz en nette augmentation ;

• L’effondrement du niveau scolaire, abandon de l’instruction des savoirs fondamentaux…

• Le wokisme généralisé qui veut la destruction des peuples et des nations. Destruction de la famille, du couple, du genre et du langage.

Sans oublier l’écologie politique.

Vous avez donc choisi de présenter votre candidature, alors que Reconquête n’est présent que dans deux circonscriptions, les autres candidats potentiels ayant choisi de ne pas se présenter, épousant par ailleurs la stratégie de Marion Maréchal. Pourquoi ce choix ?

Je ne suis pas ingrate. Sans l’action active des militants de Reconquête, notre petite ville de 2 200 habitants aurait subi un remplacement conséquent de sa population. Le résultat des européennes nous confirment l’implantation importante du RN sur notre circonscription. Nous ne représentons qu’un faible pourcentage. Bien sûr une entente entre tous les partis patriotes aurait été préférable. Ce n’est pas le cas.

Mais je suis convaincue qu’il faut que Reconquête existe au premier tour dans les circonscriptions où nous ne mettons pas en danger la présence des candidats patriotes au 2e tour.

Lors des dernières élections européennes, la Bretagne, qui vote beaucoup à gauche et également beaucoup pour Macron, a paru basculer, dans de nombreuses villes, dans un vote pour le Rassemblement national. Comment expliquez-vous ce changement ?

Les Bretons, plus ou moins épargnés auparavant, sont confrontés à une insécurité grandissante – aucune ville du centre Bretagne n’étant  épargnée – aux difficultés déjà exposées, à une immigration importante. Les Bretons de cette circonscription espèrent un changement important en votant pour la droite patriote, seul espoir pour préserver notre identité, notre civilisation, nos traditions, nos savoir-faire, sans oublier l’agriculture et la pêche.

Vous avez peu de temps. Aurez-vous dans les délais vos professions de foi et vos bulletins de vote, et quel type de campagne allez-vous mener ?

Tout le matériel de communication, bulletins de vote, profession de foi, etc. ont été communiqués en temps et en heure à la préfecture.  Pour la campagne, communication dans les médias, journaux, radio, débat télévisé. Mais surtout communication avec les électeurs. Également deux réunions publiques la semaine prochaine à Guingamp et à Callac.

Pensez-vous que la France sera gouvernable, le soir du 7 juillet ?

Je suis persuadée que les Français patriotes ayant pris conscience de l’enjeu vont tous aller voter et obtiendront la majorité absolue des sièges, seule condition pour pouvoir gouverner le pays.

Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Danielle ?

Je me suis engagée pour défendre le programme de Reconquête au premier tour et je soutiendrai activement le candidat RN si celui-ci est devant nous au 2e tour.

Propos recueillis par Pierre Cassen

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Pierre-Nicolas Nups (candidat de la Droite de conviction dans la 5e circonscription de la Meurthe-et-Moselle) présente son affiche de campagne

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Roland Hélie invité au Forum du Parti de la France vendredi 21 juin

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Dans le Forum du Parti de la France du 21 juin, Alexandre Hinger reçoit Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale, et Pierre-Nicolas Nups, candidat du rassemblement de la droite nationale dans la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle.
 
L'émission sera consacrée à la campagne des élections législatives et à l'actualité politique.
 
C'est vendredi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

01:50 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le séisme du 9 juin

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Au soir du 9 juin marqué par un désaveu cinglant de la majorité présidentielle macronienne et la victoire pour la troisième fois consécutive du Rassemblement national (RN), les dixièmes élections au Parlement de Strasbourg – Bruxelles provoquent la sixième dissolution de l’Assemblée nationale sous la Ve République. Malgré l’existence de procédures parlementaires rationalisées comme le célèbre article 49 – 3 qui affranchissent sous certaines conditions l’exécutif de la tutelle des députés, il devenait difficile au gouvernement de Gabriel Attal d’aborder avec sérénité les débats budgétaires de l’automne.

Les élections européennes sont considérées comme secondaires. À tort ! Ce n’est pas la première fois qu’elles bousculent la vie politique française. En 1984, le Front national de Jean-Marie Le Pen surgit avec 10,95 % des suffrages. Cinq ans plus tard, les Verts d’Antoine Waechter, tenant d’une ligne écologiste « ni de gauche, ni de droite », obtiennent 10,59 %. Les européennes suivantes consacrent le courant souverainiste représenté tour à tour par Philippe de Villiers (12,34 % en 1994), puis en 1999 par Charles Pasqua (13,06 %) et les chasseurs (6,78 %). Leurs succès électoraux souverainistes restent cependant éphémères.

Décidée par Jacques Chirac et son premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, la réforme du mode de scrutin des européennes consacre de grandes circonscriptions interrégionales. Ce découpage en ensembles hétéroclites favorise la désaffection des électeurs. En 2004, l’abstention est de 57,24 %. En 2009, elle atteint 59,37 %. Enfin, en 2014, elle plafonne à 57,57 % ! Le retour à une circonscription nationale unique facilite au contraire la lisibilité des enjeux, ce qui explique le léger regain de participation civique tant en 2019 (49,88 % d’abstention) que cette année (48,51 %).

Estimant que la France était déjà en campagne électorale depuis plusieurs mois, Emmanuel Macron a finalement choisi de renvoyer les députés et d’imposer un calendrier électoral très serré. Son pari téméraire se révèle aussi pervers. Le chef de l’État a enfin annoncé qu’il resterait à l’Élysée, quelque soit le vainqueur de ces élections anticipées. Cela ne l’empêche pas de superviser avec entrain la campagne de l’extrême centre et de fustiger ses oppositions.

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01:41 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 20 juin 2024

Les patriotes bretons du MPB demandent un débat public entre Bernard Germain et Christine Tasin d'un côté et l'affabulateur Chartier de l'autre

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Vous le savez, nos amis Bernard Germain et Christine Tasin, de Résistance républicaine, tous deux à la pointe du combat contre l'implantation de plusieurs centaines de migrants à Callac (22) cliquez ici, étaient les cibles des fantasmes "anti-fascistes" de l'affabulateur Chartier, plumitif d'un brulot gauchiste local pompeusement intitulé Le Poher. Celui-ci prétendait auprès de qui voulait l'entendre (c'est-à-dire de pas grand monde) que nos amis le harcelaient, le menaçaient et allaient même jusqu'à vouloir faire sauter le siège de son Poher... cliquez là Pauvre garçon ! à force de se shooter à l'"anti-fascisme", il finit par voir des divisions SS à chaque coin de rue ! Ce Chartier ne sait visiblement pas que nous ne sommes plus en 1940... mais en 2024 !

Quoi qu'il en soit, depuis deux ans, c'est-à-dire depuis que les forces patriotiques dénoncent la tentative de grand remplacement à Callac (tentative heureusement avortée grâce à l'immense mobilisation populaire de réprobation que celle-ci a suscitée), Chartier a multiplié les procès contre Bernard et Christine. Mauvaise idée, car il les a tous perdus cliquez ici. Et, comme on pouvait l'imaginer, il se garde bien de s'en vanter... Il en va de même de la presse quotidienne régionale qui n'avait pas de mots assez forts pour salir nos amis à l'époque.

Ce silence indispose les militants du Mouvement des Patriotes bretons (MPB) qui ne veulent pas en rester là. Ils exigent aujourd'hui que Chartier reconnaisse publiquement ses mensonges et présente des excuses à ceux qu'il a trainés dans la boue. Le MPB vient d'éditer une affiche (ci-dessus) qui est collée un peu partout dans la région. Tôt ou tard l'affabulateur accusateur devra s'expliquer et ses lecteurs, s'il lui en reste, seront ainsi informés sur la nature mensongère des balivernes qu'il diffuse.

S N

Pour en savoir plus sur "l'affaire de Callac", lisez le livre de Bernard Germain "Callac, la mère des batailles" cliquez ici 

19:54 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Aujourd'hui, Jean-Marie Le Pen à 96 ans

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 Cela n'a pas échappé à Ignace...

Source Médias presse info cliquez ici

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...ni au Parti de la France.

Source Le blog de Thomas Joly cliquez là

19:50 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Libé croyait avoir enfin trouvé en Joseph Martin un candidat RN nazi : encore raté !

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Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

Les réseaux sociaux se sont enflammés, toute cette journée de mercredi. Les vaillants chasseurs de nazis de Libération avaient enfin trouvé un coupable, et quel coupable : le candidat du RN dans le Morbihan, Joseph Martin, chez qui on avait retrouvé un tweet étrange : “Le gaz a rendu justice aux victimes de la Shoa”. J’avoue ne rien avoir compris à cette formulation, et surtout ne pas avoir vu en quoi elle était antisémite.

Mais tous les candidats de gauche qui sévissent sur les réseaux sociaux se sont bien sûr précipités sur ce tweet pour accuser le RN de présenter des antisémites. Un excellent contre-feu pour faire oublier le viol d’une jeune fille de 12 ans par des jeunes qui ont le profil des futurs électeurs de La France Insoumise. Une excellente façon aussi de faire oublier la phrase de Mélenchon, il y a quelques jours, dans laquelle il affirmait que l’antisémitisme en France n’existait pas, si ce n’est de manière résiduelle.

Et puis, ce jour, patatras, le mensonge apparaît, Libération se voit accusé d’avoir publié un bobard (je n’aime pas le mot “fake news“), et même l’Union des étudiants juifs de France et Tristan Mendès France, qu’on ne peut accuser de complaisance avec le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella, rétro-pédalent, admettant seulement un tweet mal rédigé. cliquez ici

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19:45 Publié dans Législatives 2024, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Législatives à Guingamp, Rostrenen : Danielle Le Men, candidate Reconquête

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Sous la bannière Reconquête !, la Callacoise Danielle Le Men est candidate aux législatives dans la 4e circonscription des Côtes-d’Armor, qui s’étend de Guingamp à Rostrenen en allant jusqu’à Plestin-les-Grèves à l’ouest.

Engagée dans le combat contre le projet Horizon au sein de l’association des Amis de Callac et ses environs, Danielle Le Men a obtenu l’investiture de Reconquête ! pour les législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet.

La Callacoise se présentera aux côtés de Patrice Riou, de Pont-Melvez, lui aussi membre de l’association. « Comme j’ai une bonne mémoire, je suis reconnaissante envers Reconquête ! de m’avoir aidée dans le projet contre Horizon. Je lutte contre l’immigration massive, ce n’est un secret pour personne. Je me retrouve dans le programme d’Eric Zemmour, sur l’économie ou, en tant qu’enseignante, sur l’éducation. Nous avons des points communs avec le Rassemblement national, mais aussi des divergences. Mais si je ne suis pas qualifiée au second tour, je me désisterai au profit du candidat du RN », affirme-t-elle.

Information Le Télégramme cliquez ici

19:29 Publié dans Callac 22, Législatives 2024, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’heure doit être à l’apaisement !

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Roland Hélie,

directeur de Synthèse nationale

Les élections législatives anticipées se dérouleront donc les 30 juin et 7 juillet prochains. Leur annonce a entraîné un certain nombre de crises internes au sein des différentes familles politiques. La nôtre, la droite de conviction, n’échappe pas à la règle, comme vous pouvez malheureusement le constater… Ambitions, frustrations, rivalités, mésententes se révèlent au grand jour et les affrontements vont bon train !

L’heure est grave. Le pouvoir est aux abois et la possibilité de l’accession à Matignon du Nouveau Front populaire n’est pas à exclure. Face à ce danger et à l’état actuel de notre pays, nous souhaitions, naïvement peut-être, qu’une union de toutes les forces militantes nationales, nationalistes, souverainistes, conservatrices et identitaires, se fasse autour d’une plate-forme commune d’union nationale. Une occasion historique s’offrait à nous de mettre entre parenthèses les egos, les rivalités, d’enterrer les divisions et d’affirmer haut et fort notre volonté de sauver la France du mondialisme, de la préserver du wokisme et de l’islamo-gauchisme. Hélas, ça n’a pas été possible. Dont acte…

Cette situation nous désole au plus haut point, mais elle est la réalité présente avec laquelle nous devons composer. Par conséquent, dans un souci d’apaisement, nous avons décidé de ne pas relayer les communiqués des différentes composantes qui s’affrontent actuellement au sein de l’opposition nationale.

Durant les vingt jours qui viennent, nous nous en tiendrons uniquement au factuel, même si certaines prises de position (comme celles concernant la dissolution programmée du GUD) nous révoltent.

Bien hardi qui peut dire ce qu’il va se passer dans les prochaines semaines. Mais, quelle que soit la fin de cette séquence, pour notre part, nous continuerons à agir, parler et écrire pour qu’un jour se réalise enfin une véritable et salvatrice synthèse nationale.

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mercredi, 19 juin 2024

Pas de CADA à Bélâbre : le maire de la commune mange son chapeau !

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Francis Bergeron

Agathon nous disait il y a quelques jours ici même que les habitants du village de Bélâbre avaient indirectement désavoué leur maire par leur vote, le 9 juin dernier, en faveur des listes opposées à l’implantation de Centres d’Accueil de clandestins sur le territoire français. Le cumul des listes hostiles a recueilli ici 60% des voix, dont 44,4% pour la seule liste de Bardella, alors que le total des voix macronistes et de toutes les gauches n’a représenté que 32%. La messe était dite : deux Bélabrais sur trois !

L’arrivée annoncée de 38 Afghans, Syriens, Algériens et autres Tchétchènes pour ce village de 950 habitants cristallisait depuis dix-huit mois les mécontentements, surtout après l’assassinat du jeune Matisse, 15 ans, à Châteauroux (suivi d’ailleurs de trois autres meurtres à propos desquels les médias ont moins communiqué…).

Le conseil municipal de Bélâbre venait néanmoins d’entériner l’achat d’une ancienne usine pour en faire ce mirifique Centre d’Accueil pour migrants en attente de régularisation ou d’expulsion (délais moyens de traitement des dossiers et procédures judiciaires liées : environ 6 ans).

Or nous venons d’apprendre que le coût des travaux pour convertir ces bâtiments désaffectés et délabrés en sympathiques appartements représente un total absolument disproportionné : plusieurs millions d’euros. Il serait temps de s’en apercevoir, alors que tous les professionnels de la région savaient, eux, que le choix de ce bâtiment (acheté par la mairie) était un non-sens.

Les travaux devaient commencer aux premiers jours du printemps. A la date de la dernière manifestation des opposants au projet, le 8 mai dernier, le chantier n’avait pourtant toujours pas été ouvert, contrairement aux rodomontades de la mairie.

Il semble bien, désormais, qu’on s’achemine vers un abandon pur et simple de cette provocation progressiste visant une fois de plus ce monde rural qui pense et vote si mal.

L’argument d’un surcoût cache évidemment autre chose. Certes la mairie parle à présent d’un plan B, qui devrait sortir d’un chapeau, et qui se substituerait au projet initial. Ce plan B existe-t-il vraiment ? Non, bien entendu. C’est à l’évidence un abandon, qui s’annonce, l’argument des surcoûts, et l’évocation d’un plan B ne sont que des habillages, pour ne pas perdre la face.

Les nombreuses procédures judiciaires de contestation menées par les habitants de Bélâbre ont pesé largement dans cet abandon, comme ont pesé les manifestations de ces dix-huit derniers mois, et les résultats, locaux de l’élection européenne du 9 juin dernier.

L’avocat et chroniqueur Pierre Gentillet, originaire du coin, qui suit ce dossier pour le compte des opposants, explique sur le site de l’Union bélabraise :

« À l’aube de cette journée, à travers un article du journal local (il s’agit de la Nouvelle République, note de la rédaction), Viltaïs fait une annonce :

PAS DE CADA À BÉLÂBRE sur le site de la chemiserie !

Le maire cherche une porte de sortie avec un plan B qui ne verra jamais le jour

Prochaine étape : les municipales. »

Précisons que Maître Gentillet est pour sa part candidat aux législatives du 30 juin dans une circonscription du département du Cher, un autre département, certes, mais situé dans le Berry et à quelques dizaines de kilomètres seulement de Bélâbre. Il se présente avec le soutien des droites locales, à commencer par le RN, bien entendu. Si par extraordinaire le maire Laroche persistait dans sa volonté d’implanter un CADA à Bélâbre, ce n’est pas seulement l’avocat Pierre Gentillet qui viendrait haranguer la foule, mais probablement aussi le député Pierre Gentillet. C’est en tout cas tout ce qu’on l’on espère !

Le Nouveau Présent cliquez ici

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Des populismes contre le peuple

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Il y aurait actuellement 25% de régimes populistes dans le monde. Un chiffre à relativiser compte tenu de l’usage caoutchouteux qu’on fait de cette étiquette. D’autre part, on le sait bien, le populisme, est avant tout un style. En tant que tel, il peut se concilier avec les idéologies les plus différentes, depuis le national-populisme à la française jusqu’au conservatisme atlantiste italien et au populisme de gauche des bolivariens latino-américains. Nombre de ces régimes populistes sont un mélange d’ordre moral, de libéralisme autoritaire et de néolibéralisme effréné. Le peuple peut-il s’y reconnaître ? Alain de Benoist, dans son éditorial du dernier numéro de la revue Eléments répond à cette question : de quoi parle-t-on.

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Source  : Eléments n° 208

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mardi, 18 juin 2024

De la limitation du nombre des candidatures

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol 

Les élections européennes du 9 juin sont maintenant derrière nous. Il est cependant prématuré d’en tirer des conclusions tant en France qu’à l’échelle continentale. Avant la fin de la présente saison, votre chronique préférée y reviendra sûrement. Intéressons-nous plutôt aujourd’hui à un élément de langage lié à ce scrutin passé inaperçu qui indique un nouvel infléchissement vers un despotisme bien-pensant.

Pour ces élections, l’électeur français pouvait choisir entre trente-huit listes. Cette profusion a suscité des reportages partiaux sur un point de détail qui a pris une importance himalayenne. Des journalistes ont volontiers répercuté l’ire des maires à propos de l’affichage légal. Le code électoral exige en effet un nombre de panneaux équivalent au nombre de listes en lice posés près de chaque bureau de vote. Ces panneaux, souvent métalliques, sont aussi en bois.

Les édiles constatent à l’antenne que bien des panneaux installés restent vierges d’affiche, car de nombreuses listes n’ont pas les moyens financiers pour en imprimer et les coller. Les élus locaux hurlent alors au gaspillage des finances publiques. La médiacratie répercute et accentue leur indignation sélective.

Des chroniqueurs suggèrent de mettre en œuvre la vieille proposition d’Emmanuel Macron en faveur des listes européennes. Faut-il comprendre que les Français et les Allemands occuperaient les cent premières places ? Pour qu’il soit effectif, ce projet pourrait s’inspirer des élections régionales françaises avec des collèges départementaux et le nom du candidat à la présidence du conseil régional écrit en gras. À partir de cet exemple, on peut imaginer un bulletin de 720 noms répartis en vingt-sept ensembles nationaux, soit 81 sièges pour la France et 6 pour Malte, et, en prime, le nom du candidat à la présidence de la Commission de Bruxelles. Cette procédure risque toutefois de bouleverser les habitudes électorales de l’Italie ou de l’Espagne.

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Qu’est-ce que le fascisme ? Petit rappel aux ignorants qui n’ont que ce mot à la bouche

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Yann Vallerie Breizh Info cliquez là

Le terme “fascisme” est aujourd’hui couramment utilisé dans les débats politiques contemporains, souvent pour désigner des adversaires politiques. Cependant, comprendre ce qu’est réellement le fascisme nécessite une exploration historique et conceptuelle de ce mouvement politique.

Le fascisme est un mouvement politique complexe et souvent mal compris. Il est essentiel de comprendre ses origines, ses doctrines et ses pratiques pour évaluer son utilisation contemporaine. Cet article explore les caractéristiques historiques du fascisme et les réflexions de Pierre Milza, un éminent historien, sur ce phénomène.

Le terme “fascisme” trouve son origine dans l’italien “fascio”, signifiant “ligue” ou “union”. Historiquement, il fait référence aux faisceaux de verges entourant une hache, symbole de l’autorité dans la Rome antique. Cette symbolique a été initialement utilisée pour désigner les “faisceaux siciliens des travailleurs”, un mouvement paysan et protestataire en Sicile de 1889 à 1894.

Naissance d’une Idéologie

La connotation du terme a évolué vers un contexte plus belliciste en 1914, lorsque des représentants du syndicalisme révolutionnaire italien ont lancé l’appel du “faisceau d’action révolutionnaire” pour soutenir l’entrée en guerre de l’Italie contre les Empires centraux. Benito Mussolini, alors journaliste et militant du Parti socialiste italien, a soutenu cette initiative, ce qui a conduit à son expulsion du parti en novembre 1914.

En décembre 1914, Mussolini participe à la création du “faisceau d’action révolutionnaire interventionniste”, une organisation qui abandonne l’internationalisme pacifiste tout en conservant des éléments socialistes. Avec la fondation des “faisceaux italiens de combat” après la Première Guerre mondiale, son idéologie prend une forme définitive, alliant nationalisme et révolution, donnant naissance au fascisme tel qu’on le connaît.

En France, dès les années 1920, le terme “fascisme” a pris une connotation diffamatoire, utilisé par le Parti communiste français pour désigner ses adversaires politiques.

Développement Historique

Le fascisme, selon l’historien Emilio Gentile, trouve ses racines dans les idéaux révolutionnaires du XIXe siècle et bascule vers le nationalisme après le Congrès de Vienne de 1814. Ce mouvement s’inspire de figures révolutionnaires comme Giuseppe Mazzini et est fortement influencé par des penseurs comme Georges Sorel, qui prône une synthèse entre nationalisme et socialisme. L’impact de Nietzsche et du darwinisme social se fait également sentir, glorifiant la force et la régénération par la violence.

Le fascisme ne repose pas sur un texte unique, mais sur une série de lois adoptées entre 1925 et 1926, appelées les “lois fascistissimes”. Ces lois ont établi un État autoritaire sous Mussolini, centralisant le pouvoir et limitant les libertés individuelles. La doctrine fasciste est résumée par le slogan : “Tout dans l’État, rien hors de l’État, rien contre l’État”.

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00:07 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 17 juin 2024

Les Brigandes et le front musical pour la défense de notre identité

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Thierry DeCruzy Polémia cliquez ici

Incapables de comprendre la musique, la dissidence comme les élus de l’opposition nationale ont quasiment abandonné ce terrain culturel. Cette situation est d’autant plus préjudiciable que la musique est un puissant agent d’influence sur les populations. Le front musical a été déserté, malgré les opportunités…

Les Brigandes, celles qui ont fait transpirer les médias

Dans la préface d’un livre consacré aux Brigandes et publié par Synthèse éditions, Brigitte Bardot affirme : « C’est “Elles” qui auraient dû être choisies pour chanter l’ouverture des Jeux olympiques de France ! » Entre Aya et Les Brigandes, le choix est politique et a impact sur le référentiel non seulement de la France, mais de toute la francophonie, donnant la mesure de son audience et de la vision politique élyséenne. Un contrôle similaire est opéré par l’Eurovision qui impose ses modèles sociétaux à tout un continent. Si le concours a été créé par l’OTAN, c’est bien que la musique a une importance stratégique qui devrait être prise en compte par ceux qui ont été élus pour représenter la nation française historique. Il ne s’agit pas de choix personnels car les choix musicaux sont conditionnés par les communautés dont sont issus les individus. Le contrôle méticuleux opéré sur les concerts en est l’illustration. En France, une autorisation est indispensable pour leur organisation, elle est délivrée par la mairie ou la préfecture. Outre les questions de sécurité, le visa est d’abord politique. Il suffit d’observer le traitement sélectif réservé aux rave parties, interdites mais encadrées par les gendarmes, et celui des concerts de groupes identitaires, traqués par les antifas et interdits par les préfectures.

À cet égard, le parcours des Brigandes est emblématique. Ces chanteuses professionnelles ont forgé un outil musical capable de faire entendre la dissidence française jusqu’en Russie. Leurs compétences musicales alliées à des textes engagés et mis en scène dans des vidéos soignées faisaient de leurs chansons des outils séduisants, en témoigne la censure de leur compte YouTube qui dépassait les 10 millions de vues. La violence des attaques médiatiques avec les pires accusations (assassinat, secte…) et l’envoi d’équipes de journalistes pour faire pression sur la population de leur petit village témoignaient de leur influence. Elles ont fait transpirer les médias pendant cinq ans. Il a fallu un dossier de fausses accusations – aucune condamnation ne les a confirmées – pour diviser la dissidence et affaiblir les soutiens du groupe, même si d’autres ne se sont pas laissé tromper (TV Libertés, Synthèse nationale, la Ligue du Midi, Riposte Laïque, Polémia…). Petite structure sans relais communautaires suffisants, le groupe n’y résiste pas. Pourtant, en six ans, la production des chanteuses est exceptionnelle, avec 12 CD, 144 chansons et 104 clips vidéo. Le combat musical est politique, comme le montre leur convocation par l’Assemblée nationale, fait unique dans l’histoire de la chanson française, sans aucun élu pour les soutenir. La manœuvre de l’industrie musicale réussit à éliminer des chanteuses dissidentes avec l’appui d’une partie de leur propre public.

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23:55 Publié dans Revue de presse, Thierry DeCruzy | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |