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lundi, 09 décembre 2024

CEUX QUI ONT VOTÉ POUR URSULA V0N DER LEYEN

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dimanche, 08 décembre 2024

La chute de Bachar el-Assad : leçons d’un effondrement

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Tristan Mordrelle
 
En l’espace de dix jours, les rebelles syriens, bien armés mais surtout déterminés, ont franchi les lignes de défense d’Alep pour finalement s’emparer de Damas sans rencontrer de résistance sérieuse. Ce dénouement brutal marque la fin du régime de Bachar el-Assad, un régime qui, voici encore quelques années, semblait solidement établi après avoir repoussé les islamistes dans des batailles acharnées. De la reprise de la banlieue de Damas à la reconquête de Homs et d’Alep, l’armée arabe syrienne s’était imposée comme un rempart pour les minorités religieuses face au djihadisme. Pourtant, elle a aujourd’hui disparu aussi rapidement qu’elle avait triomphé.
 
Cette chute spectaculaire soulève une question fondamentale : pourquoi certains régimes s’effondrent-ils tandis que d’autres sont écrasés ? L’histoire récente et lointaine offre des exemples éclairants.
 
Régimes écrasés : des défaites par la force
 
Certaines puissances ont été détruites par des interventions militaires massives ou des guerres totales. L’État islamique, qui avait instauré un « califat » au nord de l’Irak et en Syrie, a été éradiqué par une coalition internationale. De même, l’Allemagne nazie fut anéantie en 1945, après une guerre qui mobilisa des millions de soldats et la puissance industrielle du monde anglo-saxon et de l’Union soviétique. Plus loin dans le temps, les États confédérés d’Amérique furent défaits en 1865 après quatre années de guerre civile acharnée. Ces exemples illustrent des régimes qui ont combattu jusqu’à la destruction totale, souvent parce que leur idéologie ou leur système rencontraient une profonde adhésion populaire.
 
Régimes effondrés : l’absence de résistance
 
À l’opposé, certains régimes se sont effondrés sans réelle défaite militaire. Ce fut le cas de la France coloniale en Algérie en 1962, de l’Afrique du Sud de l’apartheid en 1994, ou encore de la Rhodésie en 1979. Ces régimes se sont délités, rongés par des contradictions sociales, des pressions internationales ou un manque de soutien intérieur. Leur défaite n’était pas sur les champs de bataille mais dans la perte de légitimité auprès de leur propre population et sur la scène internationale.
 
Le cas de l’Iran impérial en 1979 est tout aussi révélateur : le régime du Shah, pourtant bien armé et soutenu par les puissances occidentales, s’est effondré face à une révolution populaire largement imprévue. Ici, l’absence de mobilisation populaire au profit du régime a précipité sa chute.
 
Les régimes minés par le front intérieur
 
D’autres régimes ont été détruits par l’érosion du soutien intérieur en temps de guerre. La République du Sud-Viêt Nam en 1975 a vu son effondrement précipité par l’abandon progressif de son allié américain et par un soutien populaire en berne. L’Allemagne impériale en 1918 et l’Italie fasciste en 1943 ont également succombé à l’effondrement de leur front intérieur. Dans ces cas, les dirigeants n’ont pas su mobiliser la population pour poursuivre l’effort de guerre, laissant place à la résignation, voire à l’hostilité.
 
Leçons de la chute d’Assad
 
L’effondrement du régime syrien illustre un phénomène similaire. L’armée arabe syrienne, autrefois victorieuse, semble avoir perdu le soutien et la motivation de ses soldats et de sa population. Les défaites militaires ne sont souvent que l’aboutissement d’un processus plus profond : la perte de légitimité et de cohésion au sein d’un régime.
 
En dirigeant un pays comme on commande dans une caserne, sans impliquer véritablement la population dans les choix politiques, un régime s’expose à l’effondrement. L’armée peut se battre héroïquement pendant un temps, mais sans un soutien populaire durable, elle finit par s’épuiser. Plus encore, lorsque les dirigeants partagent tacitement ou explicitement l’idéologie du mondialisme – comme ce fut le cas en Afrique du Sud ou en Rhodésie – les soldats et les citoyens perdent tout intérêt à poursuivre un combat auquel leurs élites politiques ne croient plus.
 
Le rôle central de la politique
 
L’histoire nous enseigne que la survie des régimes face aux crises, qu’elles soient militaires ou politiques, repose sur deux piliers fondamentaux : la mobilisation populaire et une éducation politique cohérente. Sans politique claire, sans idéologie mobilisatrice et sans une compréhension partagée des enjeux, un régime ne peut résister aux pressions extérieures ou intérieures. Éduquer politiquement le peuple ne signifie pas simplement lui dicter des slogans, mais lui faire comprendre pourquoi il se bat, pourquoi il endure, et quel futur il construit.
 
Le contraste entre les batailles acharnées menées par l’armée syrienne il y a quelques années et son effondrement soudain aujourd’hui est un rappel poignant : les victoires militaires ne garantissent pas la pérennité d’un régime si celui-ci ne parvient pas à fédérer sa base sociale. En Syrie comme ailleurs, c’est la politique qui fait la différence entre un régime qui tombe et un régime qui résiste.

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La chute de Bachar Al-Assad : l’Occident marche sur la tête !

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Richard Dessens

Le régime de Bachard Al-Assad vient de tomber sous les coups des Islamistes qui rêvent d’y créer un Califat servant de nouvelle réserve de terroristes. L’Occident applaudit à tout rompre cette excellente nouvelle à laquelle il a travaillé sans relâche depuis plus de quinze ans. Il n’y a pas de mots assez forts dans la bouche de nos élites pour stigmatiser le « boucher » sanguinaire Al-Assad, le dictateur tortionnaire à la tête d’un parti unique – quelle horreur ! – qui va être remplacé par un pluralisme qui va enfin permettre aux communautés de pouvoir s’épanouir dans une nouvelle Syrie libérée (mots entendus ce jour dans la bouche de nos commentateurs avisés). Ces mêmes commentateurs se demandent toutefois s’il n’y a pas un petit risque de voir les Islamistes prendre le pouvoir et qu’il conviendra d’être « vigilants », comme si on découvrait ce qu’étaient les Islamistes qu’ils soient djihadistes, de l’État islamiste ou ex-Al-Qaïda ! On feint d’une sorte de bénéfice d’inventaire car rien ne peut être pire que le boucher Al-Assad. On croit rêver devant de telles manipulations de l’opinion !

Mais l’Europe est parfaitement cohérente depuis quinze ans et cet épisode est une preuve supplémentaire du projet idéologique de nos élites. Qu’on se souvienne de l’enthousiasme de l’Union européenne, France en tête, lors des « printemps arabes » des années 2010, lorsque les Islamistes avaient déstabilisé ou tenté de déstabiliser plusieurs régimes arabes dont la Tunisie, l’Égypte, le Maroc et quelques autres. Qu’il était porteur d’espoir ce « printemps arabe » destiné à remplacer des dictatures laïques par des régimes islamistes beaucoup plus tolérants comme chacun sait, et ouverts aux belles démocraties européennes !

Tout cela est la continuité d’un plan qui commence par l’élimination de Saddam Hussein en Irak, régime laïque qui combattait l’islamisme… mais au prix d’une dictature intolérable pour nos démocraties. Mieux valait un bon régime islamiste respectueux sûrement des cultes et de toute opposition politique. Un premier verrou sautait sous les bravos de l’Europe et des USA.

Puis ce fut le tour du colonel Kadhafi, traqué et abattu comme un chien. Il avait certes combattu les USA et ses alliés au prix d’attentats meurtriers car il était toujours dans l’esprit de ces pays « non alignés » dont la construction politique était déjà dépassée. Mais il bloquait aussi les courants d’immigrations vers l’Europe et s’était rangé de ses politiques anciennes. La destruction de son régime sous les coups de Nicolas Sarkozy a semé un désordre indescriptible en Lybie encore jusqu’à nos jours, ouvert les portes de l’immigration et installé des islamistes au pouvoir. Bien joué monsieur Sarkozy !

Irak, Lybie, Syrie, sans même évoquer l’Iran en avant-garde : trois verrous susceptibles d’endiguer le flot des Califats islamistes ont sauté sous les applaudissements de l’Europe après y avoir déversé tous les « persécutés » de ces trois horribles régimes dictatoriaux ; « persécutés » constitués d’islamistes alors, qui ont pu ainsi s’installer tranquillement dans nos pays européens et notamment la France, terre d’accueil la plus généreuse de tous les « persécutés » islamistes de régimes dictatoriaux intolérables. La France s’y était déjà illustrée en recueillant le doux ayatollah Khomeini en 1979 sous la bienveillance de Giscard d’Estaing. On a vu là aussi le résultat en Iran, précurseur et fer de lance des politiques européennes. L’Europe est folle et suicidaire en travaillant à de tels plans soutenus par une idéologie mortifère et encourageant un raz-de-marée islamiste jusqu’à y adhérer un jour peut-être. Dans la joie et la bonne humeur.

Et on entend aujourd’hui les beaux esprits démocratiques, tolérants, humanistes et droits-de-l’hommiens se réjouir de la chute de la Syrie car « à moins d’être russophile et pour les dictatures, on ne peut que se réjouir de la chute de Bachar Al-Assad » dixit Pierre Moscovici ce jour, se faisant le porte-parole de l’essentiel de nos élites européennes. Argument plus que spécieux…

En politique étrangère, le bon choix est le moins pire de deux. Préférer l’islamisme aux dictatures laïques est-il vraiment le bon choix, ou la priorité donnée à une certaine morale sur une realpolitik favorable à ses intérêts ?

Voilà le vrai visage de l’Union européenne et des projets portés par son idéologie largement approuvée par monsieur Macron.

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Séisme politique en Roumanie : l'élection présidentielle annulées

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Lionel Baland Eléments cliquez ici

L’annulation des résultats du premier tour de l’élection présidentielle roumaine, où Călin Georgescu, le candidat nationaliste antisystème, était arrivé en tête, est un véritable séisme politique. Cette décision de la Cour constitutionnelle soulève une fois de plus des doutes sur la neutralité des institutions roumaines et européennes.

Ce vendredi 6 décembre 2024, la Cour constitutionnelle roumaine a annoncé l’annulation des résultats du premier tour de l’élection présidentielle du 24 novembre 2024, ainsi que celle du deuxième tour prévu ce dimanche 8 décembre ; et ce, alors même que le candidat nationaliste antisystème Călin Georgescu, arrivé premier, devait affronter la concurrente libérale pro-Union européenne et pro-OTAN Elena Lasconi. Quelques jours plus tôt, le mercredi 4 décembre, le président sortant Klaus Iohannis rendait publiques des notes des services de renseignement affirmant qu’une énorme opération d’influence sur TikTok, violant la législation électorale et exploitant les algorithmes de ce réseau social, aurait eu lieu en faveur de Călin Georgescu.

Le tremblement de terre politique du premier tour – qui a vu un candidat que les sondages donnaient en mauvaise position arriver premier en surfant sur l’idée du rejet du soutien à la guerre (dans un pays qui dispose d’une frontière commune avec l’Ukraine) – a non seulement impressionné, mais aussi alarmé le lanterneau politique européen. La réaction ne s’est pas fait attendre : Călin Georgescu a été accusé par les médias centraux d’être pro-russe, voire à la solde de Moscou, transformant le fait d’être « pro-paix » en accusation d’être « pro-russe ». La Cour constitutionnelle a ordonné de procéder à un nouveau comptage des voix. L’application TikTok a été mise sur la sellette, tant en Roumanie qu’au sein du Parlement européen, accusée de ne pas avoir assez contrôlé la diffusion de vidéos lors de la campagne électorale. Telegram, un autre média Internet de messagerie instantanée, a également été mis en cause.

Le candidat nationaliste indépendant Călin Georgescu a bénéficié d’un boulevard au sein de la sphère électorale nationaliste. En effet, le très droitier George Simion, président de l’AUR – un parti siégeant dans le groupe des conservateurs et réformistes européens (ECR), hostile à la Russie, au sein du Parlement européen – a beau être modérément pro-Union européenne, il n’en défend pas moins des positions pro-OTAN. Tandis que Diana Șoșoacă, la dirigeante de S.O.S. România, un parti qui critique l’OTAN mais reste favorable au maintien de la Roumanie dans l’Alliance (sous réserve qu’elle se réforme), a été empêchée de se présenter par la Cour constitutionnelle roumaine.

Législatives

Si de nouvelles élections présidentielles doivent se dérouler, le résultat des élections législatives, survenues entre les deux tours du scrutin présidentiel, le dimanche 1er décembre 2024, n’est pas annulé. À l’issue de ce vote, les trois partis nationalistes AUR, S.O.S. România et POT ont percé. Lors du scrutin pour la Chambre des députés, ils ont obtenu respectivement : 17,98 %, 7,33 % et 6,43 %, soit près d’un tiers des voix. Pour l’élection du Sénat, les résultats ont été similaires : 18,27 %, 7,73 % et 6,36 %.

L’AUR arrive première auprès des électeurs roumains vivant à l’étranger, qui se sont fortement mobilisés : 775 413 d’entre eux se sont rendus aux urnes, contre 265 490 en 2020, 106 038 en 2016, et quelques dizaines de milliers lors des scrutins précédents. Dans l’ancienne Europe de l’Est, ce phénomène de surreprésentation des votes nationalistes au sein de la diaspora n’est pas nouveau. Les citoyens d’Europe de l’Est expatriés dans les pays ouest-européens sont plus conscients des problèmes liés à l’immigration extra-européenne. Ils ne veulent pas voir leur pays gangréné par des migrants, à l’instar des nations d’Europe occidentale. Ils sont également sensibles aux mesures que les partis nationalistes de leur pays d’origine préconisent en faveur du retour au pays de leurs expatriés, contraints à l’émigration en raison des mauvaises conditions de vie qui prévalaient jusqu’alors en Roumanie. C’est d’ailleurs l’une des ambitions de l’AUR : favoriser la remigration des Roumains expatriés, en élevant le niveau de vie et en accélérant le développement des infrastructures roumaines, suivant en cela l’exemple de la Pologne, dont les expatriés sont revenus au fur et à mesure que leur pays devenait plus prospère.

Le système roumain discrédité

L’annulation des élections présidentielles, juste avant le deuxième tour, jette une ombre sur le fonctionnement du système politique roumain. En effet, un sondage Sociopol donnait le candidat nationaliste Călin Georgescu à 63 % face à Elena Lasconi, la candidate, pro-OTAN et pro-EU, à 37 %.

Le blog de Lionel Baland cliquez là

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samedi, 07 décembre 2024

Avez-vous lu le livre de Thierry DeCruzy consacré aux Brigandes ?

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Les Brigandes étaient au Rendez-vous BBR de Synthèse nationale en octobre 2019 :

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Mardi 10 décembre, en Tregor (22) : Beaujolais nouveau de la section de Reconquête !

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vendredi, 06 décembre 2024

Notre-Dame reconstruite : une célébration ternie par l'absence du pape mais en présence de Donald Trump

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Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France

Le Parti de la France se réjouit de la présence de Donald Trump, de nouveau président des États-Unis, à l’inauguration samedi 7 décembre de la cathédrale Notre-Dame de Paris, magnifiquement reconstruite après le terrible incendie de 2019.

Cet événement tragique, dont les circonstances demeurent entourées de zones d’ombre, a profondément marqué les Français et les croyants du monde entier. La renaissance de Notre-Dame, joyau de la chrétienté, témoigne de la puissance de la foi et de la volonté de préserver cet héritage sacré.

Donald Trump n’a jamais hésité à afficher son attachement aux valeurs chrétiennes, contrastant avec Emmanuel Macron, dirigeant athée et complétement déconnecté d’un peuple français en quête de repères spirituels et de justice sociale.

Cette célébration est hélas ternie par l’absence du pape François, dont les prises de position déroutantes continuent d’alimenter la perplexité et parfois le désespoir des fidèles catholiques.

Que cette journée, marquée par la lumière de la résurrection de Notre-Dame, inspire un renouveau de foi et d’espérance pour tous les croyants en quête d’un guide solide et fidèle aux enseignements de l’Évangile.

Le blog de Thomas Joly cliquez ici

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Sarah Knafo invitée de Sud Radio ce matin...

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Le RN, les retraites, les dépenses publiques et le courage politique

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Jean-Yves Le Gallou (Polémia, 3 décembre 2024)

L’avenir de la France ne passe pas par les retraites… Le gouvernement Barnier va être censuré pour une histoire de retraites. C’est dérisoire.

Les retraites et la date : sujet sensible

Malgré le respect dû aux anciens, l’avenir d’une nation et d’une civilisation ne passe pas par le niveau de ses retraites.

D’autant que l’équation est simple : comment maintenir le niveau des retraites quand le rapport entre le nombre des actifs et celui des rentiers diminue ?

Soit on reporte l’âge du départ en retraite (réforme Borne), soit on désindexe l’évolution de tout ou partie des retraites (budget Barnier).
S’opposer à tout – comme le font les syndicats, LFI et le RN, polarisés sur ce sujet de manière obsessionnelle –, c’est accepter une nouvelle augmentation de la dette.
Or elle est déjà de 3 250 milliards et les intérêts vont doubler dans les années à venir. C’est évidemment irresponsable.

Le RN aurait pu évoquer de grosses réductions des dépenses

Il est vrai qu’il y a des masses d’économies possibles.

  • Sur l’immigration. Et pas seulement sur les abus de l’aide médicale d’État.

  • Sur la transition énergétique : 25 milliards dépensés en pure perte.

  • Sur les subventions aux syndicats, aux associations, aux médias et aux agences auxquels on pourrait demander de se serrer aussi un peu la ceinture.

  • Sur les aides à des pays étrangers… moins endettés que nous !

  • Sur les universités qui accueillent de plus en plus d’étrangers et 320 000 étudiants en sciences (?) humaines et sociales

Mais pour ce faire, il aurait fallu affronter les vaches sacrées (et les intérêts sonnants et trébuchants) du politiquement correct.

Évidemment exclu de la part du Nouveau Front Populaire qui en vit.
Difficile aussi pour Barnier, soutenu (mollement) par l’extrême centre.
Mais il est étrange qu’on n’ait guère entendu sur ces sujets les 135 députés RN et UDR.

Pendant que Marine Le Pen tentait (vainement) d’amadouer ses juges en assistant assidûment à son procès et que Jean-Philippe Tanguy minaudait sur les retraites, le train des dépenses nuisibles passait sans encombre. Quel gâchis !

Source Riposte laïque cliquez ici

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À propos d’un futur État minuscule

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Passée inaperçue dans le flot de l’actualité, l’information survenue au cours du mois de septembre aurait ravi l’excellent polygraphe Jean-Claude Rolinat qui traite souvent dans ses ouvrages des bizarreries géo-historiques, en particulier les États de dimension réduite.

Le continent européen compte plusieurs confettis étatiques. D’une superficie supérieure à 2 km², la principauté de Monaco fait figure de géant par rapport à la Cité du Vatican (0,44 km²) située à l’intérieur de la ville de Rome et en y incluant quelques dépendances extérieures telles la résidence pontificale de Castel Gandolfo dans la campagne latine. Mais, contrairement aux idées reçues, le Vatican a un sévère concurrent lui aussi présent dans la Ville éternelle au palais de la rue Condotti pour être plus précis encore : l’Ordre de Malte.

La convention de Vérone de 1822 reconnaît la souveraineté de cet ordre religieux, militaire et hospitalier. Mieux, le 5 décembre 1999, le gouvernement maltais lui a concédé pour une durée de 99 ans la pleine souveraineté du fort Saint-Ange situé en face de La Valette, la capitale de cette île méditerranéenne. Bien que vassal du pape, l’Ordre bénéficie de l’extraterritorialité sur ses bâtiments, de représentations diplomatiques dans le monde, du droit de battre monnaie (l’écu) et d’émettre des timbres. Sa superficie est de 0,02 km². L’ incroyable projet de l’actuel premier ministre socialiste albanais Edi Rama ne remet pas en cause ce record géographique. Le « Pays des Aigles » va probablement donner 0,11 km² pris dans l’Est de Tirana, sa capitale, à l’Ordre bektachi qui retrouverait une assise territoriale souveraine.

Le bektachisme est un groupe soufi chiite en partie lié aux alévis de Turquie, une autre variante du chiisme. C’est d’ailleurs un alévi réputé pour son érudition et son mysticisme, Haci Bektas Veli (vers 1209 – vers 1271), qui en porte la fondation. Considéré par les confréries soufies comme l’un des quatre piliers spirituels de l’Anatolie, Haci Bektas Veli propose une lecture exotérique et des interprétations ésotériques du Coran. Comme les alévis, les bektachis n’ont pas de mosquée. Ils célèbrent l’imam Ali, le quatrième calife et gendre du prophète Mahomet. Ils tolèrent la consommation d’alcool. Leurs femmes ne portent pas de foulard. Wahhabites et salafistes les perçoivent comme des impies et des traîtres.

Foi officielle du corps d’élite des Janissaires sous l’Empire ottoman, le bektachisme se répand principalement dans les Balkans où, en dépit des vicissitudes tragiques de l’histoire, il perdure à la différence de l’Irak et de l’Égypte. En outre, une communauté bektachie se développerait aux États-Unis dans le Michigan. En Turquie où le bektachisme, à l’instar des alévis, n’est pas reconnu par l’État turc, ses fidèles s’estimeraient néanmoins entre 8 et 14 % de la population. Dans sa volonté implacable de nation laïque, Mustafa Kemal Atatürk incita les instances bektachies à quitter la Turquie pour s’installer en Albanie. Dans les décennies 1930 – 1940, l’Ordre bektachi disposait d’un territoire privilégié de 0,36 km². Il fut supprimé dès 1945 par les communistes d’Enver Hodja, pourtant lui-même issu d’une famille bektachie. État officiellement athée, l’Albanie stalinienne et maoïste s’attaquait à toutes les religions.

De nos jours, les bektachis d’Albanie, du Kossovo, de Macédoine du Nord, de Bosnie – Herzégovine et du Sandjak serbe de Novi Pazar suivent l’enseignement spirituel et éthique de leur huitième chef religieux, le Baba Mondi alias Edmond Brahimaj. Né en 1959, il officia d’abord dans l’armée populaire albanaise entre 1982 et 1991. À la chute du communisme en 1992, il démissionna de l’armée et se tourna vers le soufisme. Vers 1996, il devint derviche bektachi avant d’évoluer progressivement au sein du bektachisme.

En approuvant ce projet d’État bektachi, le Baba Mondi s’inspire ouvertement de l’exemple vatican. Ce nouvel État théocratique n’accueillerait que les dede et les baba (les responsables religieux communautaires) ainsi que le personnel administratif. Il regarde aussi avec intérêt le précédent lusitanien de l’Aga Khan en 2016.

Cette année-là, le guide spirituel chiite ismaélien nizarite acquit en plein centre de Lisbonne, le palais de Mendonça, afin de le promouvoir en siège international de son imamat. Né en 1936 et titulaire des nationalités britannique, canadienne et portugaise, l’Aga Khan IV cherche à transformer sa notoriété spirituelle en influence supranationale majeure. Pour mieux asseoir cette ambition, le gouvernement portugais a, d’une part, octroyé au palais un statut diplomatique spécifique et, d’autre part, offert d’avantageuses exonérations fiscales à son propriétaire.

L’Aga Khan des ismaéliens et le Baba Mondi des bektachis aimeraient jouer au-delà du seul monde musulman le rôle médiatique longtemps tenu par le Dalaï Lama. Leur simple présence indispose les tarés takfiristes et autres suppôts de Daech et d’Al-Qaïda. Dans un monde occidental matérialiste et surindividualiste en déclin profond, la présence en Europe de divers pôles de spiritualité témoigne au même titre que le Mont Athos, El Palmar de Troya en Andalousie, voire des multiples foyers solsticiaux païens, de l’incontestable permanence du sacré. 

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°136, mise en ligne le 3 décembre 2024 sur Radio Méridien Zéro

09:44 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 05 décembre 2024

Lycée musulman et formation des imams, toujours les Frères musulmans.

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Michel Festivi  

Comme l’a démontrée l’anthropologue du CNRS, Florence Bergeaud-Blackler dans plusieurs de ses ouvrages sur le marché halal ou la mouvance frériste, les réseaux des frères musulmans s’étendent toujours et encore et de plus en plus. Deux évènements récents en apportent des indications précises.

La préfecture du Rhône vient d’annoncer qu’elle envisageait de rompre les contrats d’associations entre le groupe scolaire Al-Kindi, fondé en 2007, et l’État. Cet établissement scolaire situé à Décines-Charpieu près de Lyon, pourrait perdre ainsi ses subventions publiques qu’il détient depuis 2012, et les enseignants ne pourraient plus être payés par l’État. On n’en saura plus après une réunion académique qui se tiendra le 12 décembre prochain où le directeur sera entendu.

La préfecture du Rhône a déclaré que « plusieurs rapports académiques contenaient des éléments assez graves pour amener à cette réunion permettant le contradictoire. ». Aujourd’hui, 621 élèves sont présents, répartis dans 22 classes différentes, 80% des classes sont sous contrat d’association.

La procédure ressemble à celle qui a conduit les autorités à résilier le contrat d’association du lycée Averroès de Lille en début d’année. Le couperet était aussi tombé très près pour le collège Avicenne de Nice qui en a réchappé. Le lycée de Décines a reçu le soutien du recteur de la grande mosquée de Lyon, Kamel Kabtane et de la Fédération nationale de l’enseignement privé musulman, la FNEM. Ce recteur, avait en 2018, réclamé la libération de Tariq Ramadan, alors détenu provisoirement dans le cadre d’une procédure pour viols, la Cour d’Appel de Paris l’avait alors maintenu en détention, il sera libéré par la suite. Kabtane était monté vigoureusement au créneau, pour obtenir l’élargissement de celui qui n’a jamais fait mystère de sa proximité avec la mouvance des Frères musulmans, il est d’ailleurs le petit-fils du fondateur, Hassan-el-Banna. Il avait été interdit de séjour en France en 1995, en raison, selon un journaliste du Point, pour sa proximité avec le frérisme et le ministre de l’intérieur de l’époque, Jean Louis Debré, avait déclaré que le gouvernement avait eu de bonnes raisons de le faire, cette interdiction avait fini par être levée. Sa famille à Genève, avait été suspectée de soutenir le FIS et le GIA. Depuis ses affaires judicaires, qui sont toujours en cours, Ramadan se montre bien plus discret, il vient d’être condamné, en appel, en Suisse, à trois ans de prison dont un ferme pour viol et contrainte sexuelle. Il a aussi été condamné en France en 2020, pour une infraction de presse à une amende et des dommages-intérêts, mais il a fait appel. Il vient d’être renvoyé, par la Cour d’appel de Paris devant la Cour criminelle départementale, pour des viols sur trois femmes, pour l’instant, il est présumé innocent de ces faits.

Autre affaire qui vient d’éclater, la police judiciaire a procédé le 4 décembre, à des perquisitions à L’institut Européen des sciences humaines (IESH), qui sert à la formation des imams, IESH situé en plein Morvan, à Saint-Léger-de-Fougeret, commune de 200 habitants, dans la Nièvre. Une enquête a été ouverte qui porterait sur des soupçons de blanchiment, d’abus de confiance, et de non-respect de l’obligation de déclarer des financements étrangers. Radio France dans un papier a évoqué le chiffre de 300 000 euros, qui pourraient provenir du Qatar. Ces informations ont été confirmées, en la forme, mais pas sur le fond, par Madame le Procureur de Nevers, Cf France info 3, Bourgogne-Franche-Comté- Nièvre.

Pour les autorités judicaires, « l’opération de perquisition a été fructueuse », sans que l’on puisse en savoir plus. En tout cas, le député RN de la circonscription, Julien Guibert a demandé que « cette école des imams de la sphère frériste soit fermée. ». L’IESH conteste toute infraction. Cette organisation a été créée en 1990 par l’UOIF, devenue les Musulmans de France, « une association qui gravite dans l’orbite de la confrérie islamistes », selon ce même article. Pour Le Figaro, aussi, l’IESH est proche des frères musulmans, (article de Jean Chichizola du 4 décembre). Les perquisitions, visant aussi certains responsables, auraient été effectuées en présence d’enquêteurs spécialisés de la Sous-direction antiterroriste.  

Cet IESH, fondé avec l’appui de François Mitterrand, compterait 200 étudiants sur un campus de 11 ha, et il fait partie d’un réseau de plusieurs entités dont une se situe à Saint-Denis, et en 2019, devant une commission parlementaire, un responsable du renseignement avait qualifié cet organisme de « clairement frériste ». Plusieurs procédures ont eu lieu ou sont en cours, et un islamiste tunisien, Ahmed Jaballah, très proche des frères musulmans, avait décidé de son propre chef, de repartir en Tunisie cette année, alors qu’il faisait l’objet d’une OQTF.

Les frères musulmans sont très en pointe dans leur volonté d’imposer le voile à l’école et dans le sport. Ils sont très en pointe pour demander aussi le burkini partout, des menus spéciaux, tous ces symboles islamistes étant une détermination pour parvenir à une domination de la société française au profit d’une islamisation de plus en plus franche. Ils sont aidés en cela par toutes les franges islamogauchistes de la société, associations, partis politiques bien connus, des idiots utiles, des naïfs, des militants de l’islamisme, des tenants d’une chrétienté dévoyée, qui bien souvent se cachent sous les vocables « du vivre ensemble, du pas d’amalgame, d’interdiction de la stigmatisation », qui sont autant d’armes qui entendent abattre notre société, nos lois, nos mœurs, nos coutumes, nos traditions.

19:04 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Haro sur les faillis de l’arc républicain !

 

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Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne Eurolibertés.

(Propos recueillis par Guirec Sèvres)

Le gouvernement de Michel Barnier a donc été censuré ; sa chute était-elle inévitable ?

Dans un premier temps, non, je ne l’imaginais pas. Je pensais que tout le monde faisait monter les enchères comme toujours dans ces cas-là (c’était également l’avis de la Fondation Polémia), mais que des compromis de dernières minutes seraient trouvés. Compromis de façade, puisque l’enjeu était avant tout l’assurance qu’aurait pu obtenir Marine Le Pen de ne pas être déclaré inéligible en mars prochain dans le procès des faux assistants parlementaires de son mouvement au Parlement européen. Le reste n’étant que politicaillerie et tambouille parlementaire pour distraire la galerie.

S’il n’y a pas eu de compromis, cela signifie que les actuels dirigeants français n’ont plus aucun pouvoir sur les Juges ; ce qui a toujours été le cas auparavant, non ?

À l’évidence et cela prouve que leur isolement n’est donc pas seulement électoral. On peut également en tirer la conclusion que cette caste au pouvoir depuis 50 ans – l’ex-UMPS devenu Macronie et acoquinée aux derniers des Mohicans ex-républicains autour de Laurent Wauquiez depuis la dissolution de l’Assemblée nationale de juin dernier – redouterait par dessus tout l’arrivée de Marine Le Pen et du RN aux Affaires. Non pas pour leur supposées diaboliques idées extrêmo-fascistoïdo-nazisto-racisto-antisémites auxquelles ne croient plus que les plus débiles de nos compatriotes (ça peut faire encore un peu de monde !), mais pour les vilains cadavres, notamment de corruptions, que ce parti qui n’a jamais eu de responsabilités dans les Affaires Publiques, pourraient découvrir dans les placards de Matignon et de l’Élysée…

Et plus sûrement encore parce que l’arrivée du RN aux Affaires signifieraient la perte de leurs dernières prébendes politiques, postes et autres avantages sonnants et trébuchants que se partagent tous les faillis de l’arc républicain ou « partis de gouvernement » comme ils aiment tant s’auto-proclamer. Harpagon ne craignait rien tant que perdre sa cassette : ces gens-là ne redoutent rien tant que d’être éjectés de leur juteuse sinécure politique.

Comment expliquer le mépris de Michel Barnier pour Marine Le Pen, qui est contraire à ses intérêts puisqu’elle tenait la survie de son gouvernement entre ses mains ?

Pendant cinquante ans, « ces gens-là » dont Michel Barnier est un des plus représentatifs, ont méprisés les dirigeants du Front national d’abord, leurs héritiers du Rassemblement national désormais… C’est leur ADN politique ou, si vous préférez, leur unique logiciel. Ils n’en possèdent pas d’autres, n’envisagent même pas qu’il puisse en exister d’autres. Ils font penser à ces descendants de la noblesse française qui n’ont plus que leur particule en commun avec leurs glorieux aïeux, mais sont persuadés qu’ils sont toujours, eux aussi, d’une essence supérieure.

Le monde change, mais les dinosaures de l’UMPS, comme tous les has-been, ne peuvent pas le comprendre. Dans un précédent entretien, j’avais parlé de Matignon comme un bâton de maréchal pour la fin de carrière politique de Michel Barnier et comme une occasion quasi-inespérée d’être ministre pour des Bruno Retailleau ou consorts.

La chute de ce gouvernement va ouvrir les mêmes perspectives pour d’autres qui sont déjà dans les starting blocks, n’en doutez pas. Avant, les hommes politiques faisaient des « carrières de ministres » ; désormais, la plupart se contentent d’« interims de ministères. »

Cette France devenue ingouvernable est le fait de l’invraisemblable dissolution décidée par Emmanuel Macron l’été dernier ; Qu’est-ce qui lui a pris ? 

Quand Jacques Chirac, influencé par Dominique de Villepin, avait prononcé la dissolution de l’Assemblée nationale en 1997, il espérait que son camp allait gagner les élections. C’était jouable, même si le résultat a été contraire à ses espérances.

En juin dernier, lorsqu’Emmanuel Macron prend la même décision, personne n’envisageait que son camp puisse l’emporter… Une explication est qu’il espérait sans doute que le Rassemblement national obtienne la majorité parlementaire et accède à Matignon, persuadé qu’il décevrait les Français, d’autant que l’Élysée aurait alors entravé autant que faire se peut son action…

Un an plus tard, son locataire aurait à nouveau dissout l’Assemblée en expliquant que les Français avaient voulu le RN et constatés son incompétence. Emmanuel Macron pouvait alors espérer retrouver une majorité parlementaire pour finir en beauté son mandat.

Mais le RN n’a pas obtenu la majorité et trois blocs se sont constitués, empêchant toute majorité de gouvernement…

Gabriel Attal avait été nommé Premier ministre pour faire barrage au Rassemblement national, mais il a totalement échoué à cela, Jordan Bardella sortant grand vainqueur des élections européennes : Emmanuel Macron le lui a fait payer en l’évinçant de Matignon ; mal lui en pris car son « petit frère » comme il l’avait nommé s’est aussitôt vengé en appelant, à l’instar de tous les autres partis – de l’extrême gauche aux Républicains (hormis l’ex président Éric Ciotti) – à faire barrage au RN qui a seulement réussi à (presque) doubler ses élus, mais loin d’atteindre la majorité parlementaire.

Emmanuel Macron a donc constaté qu’il était totalement isolé en son palais élyséen. Il n’avait d’autres choix que de nommer un « has been » sensé être capable de négocier avec les uns ou les autres. Ce qui n’a pas été le cas.  Mauvaise pioche. Si bonne pioche il y a !

Emmanuel Macron n’est donc pas Machiavel ?

Un ami médecin m’affirme qu’il présente tous les symptômes du cocaïnomane qui perd toutes notions des réalités quand il est chargé et devient alors incontrôlable, se croyant tout puisant ; un président « jupitérien » comme certains observateurs avaient qualifié l’actuel locataire de l’Élysée lors de son premier mandat…

Ou alors, plus simplement, outré par ceux qui lui tournent le dos et qu’il estime être ses obligés, comme un petit enfant coléreux qui casse ses « jouets », il se venge d’eux… et au passage de ces Français qui le tiennent majoritairement désormais en si piètre estime, mais ça, peu lui chaut, finalement.

15:55 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Disparition du Marquis : un très bel hommage rendu par l'écrivain Charles-Henri d'Elloy

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Charles-Henri d'Elloy et Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

Jean-Paul Chayrigues de Olmetta a quitté notre monde, ce monde qu’il connaissait si bien, lui qui avait toujours une anecdote à raconter sur les personnalités du tout-Paris, et qui lui-même était une figure de Montmartre !

Cadre à la Société du Cheval Français, inspecteur de la Société des Auteurs, il était intarissable sur la vie des princes, des politiques et des vedettes. Personnage baroque passé par les geôles de la prison de la Santé pour délit d’accointances avec l’O.A.S, l’homme le plus connu de Montmartre après Michou avait été fait Marquis sous Franco mais n’avait aucun château en Espagne.

Aussi à l’aise avec un archevêque ou l’Aga Khan qu’avec les demi-mondaines de la butte, il vous scannait de son regard perçant et pétillant de malice. Il avait la faculté de brosser, en quelques phrases acérées, des portraits de ses princes et de ses monstres, pour reprendre le titre d’un de ses nombreux ouvrages.

J’étais très flatté qu’il acceptât de rédiger la préface de mon dernier livre. Bien plus qu’un comparse d’écriture et de radio, je perds un ami généreux qui tenait table ouverte chez Mollard, la mythique brasserie Art nouveau de la rue Saint-Lazare où j’avais toutes les chances de le rencontrer sans même avoir pris rendez-vous. Cher Marquis, vous manquez déjà à Paris.

Charles-Henri d’Elloy

mercredi, 04 décembre 2024

Notre Ami Jean-Paul Chayrigues de Olmetta (le Marquis) vient de nous quitter...

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Je viens d'apprendre une très triste nouvelle : Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, président des Amis de Synthèse nationale, est décédé ce jour. Il venait d'avoir 81 ans. Je suis bouleversé.

J'avais fait la connaissance de Jean-Paul il y a une quarantaine d'années à Madrid grâce à notre regretté ami commun Olivier Grimaldi, lui aussi prématurément disparu il y a dix ans. Depuis, nous avons toujours participé au même combat, celui pour sauver notre nation et notre civilisation.

Homme d'idées, doté d'une grande culture, d'une élégance rare et d'une courtoisie exemplaire, c'est naturellement, lorsque nous avons créé l'association des Amis de Synthèse nationale, que nous l'avons choisi comme président.

Depuis le lancement de la revue, à la fin des années 2000, il a rédigé dans chaque numéro de celle-ci ses "Pages du Marquis" qui rencontraient auprès de nos lecteurs un réel succès. Vous pourrez lire son ultime article dans notre prochaine livraison.

Auteur de nombreux ouvrages, il venait, il y a quelques semaines, de préfacer le nouveau livre de Charles-Henri d'Elloy intitulé Au bal des facétieux. Depuis des années, il animait aussi régulièrement une émission très appréciée sur Radio Courtoisie

Jean-Paul était un catholique très attaché à la Tradition. Nous ne savons pas encore quand il sera enterré. Mais, d'ici là, nous serons nombreux à prier pour lui. Il nous manque déjà. 

Roland Hélie

23:17 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chute du gouvernement Barnier : réaction de Eric Zemmour

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Communiqué d'Eric Zemmour, président de Reconquête !

Manifestement, le salut des Français ne viendra pas de cette classe politique, ni de ce Parlement où elle s'agite.

Le Gouvernement Barnier vient d'être censuré.

Pourquoi ? Pour une indexation des retraites au 1er juillet au lieu du 1er janvier... Nous aurons donc le budget Attal 2024, au lieu d'avoir le budget Barnier 2025. La belle affaire !

Comme cela sonne dérisoire à côté des menaces graves, imminentes et existentielles qui planent sur notre pays !

Pourquoi encore ? À cause de l’incapacité d'un Premier ministre à comprendre qu’on équilibre un budget en baissant les dépenses, pas en augmentant les impôts, et de l'incapacité de son opposition à avoir utilisé son levier de pression à temps, en imposant des mesures claires.

L'ironie de cette affaire ? Les politiciens qui voulaient mettre « une claque à Macron » viennent de le remettre au centre du jeu.

À lui désormais de décider du futur Premier ministre (de droite ou de gauche, à sa guise). À lui de décider de sa démission ou de rester jusqu'au dernier jour. À lui de décider du moment d'une dissolution.

Pendant ce temps, la France souffre et attend. Les Français attendent. Les agriculteurs se voient de nouveau baladés. L'école continue de s'effondrer. Les frontières restent béantes. Notre économie s'écroule sur elle-même.

À quand la fin du cirque ?

22:29 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’idéologie mortifère des faiseurs de guerres.

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Claude Janvier

En cette fin d’année 2024, le spectre d’une troisième guerre mondiale s’intensifie. Avec la prise d’Alep par des terroristes, mettant en péril le gouvernement syrien, et l’escalade des préparatifs d’une guerre frontale avec la Fédération de Russie, les fêtes de Noël s’annoncent bien moroses. En effet, les dirigeants européens craignent que Donald Trump, à partir du 20 janvier 2025, arrête l'aide militaire à Kiev, et que de facto, l’ensemble des pays de l’UE soient obligés de financer la guerre par procuration contre la Russie. L’économie européenne, déjà chancelante, risque de sombrer définitivement dans un délabrement total.  

Ajoutons à cela que les principaux dirigeants européens ne peuvent pas, et ne pourront jamais, admettre qu’ils se sont fourvoyés dans une guerre insensée, il est à craindre qu’ils aillent jusqu’au-boutisme, à savoir, la destruction de l’UE sur le plan économique et industriel. Car, en remettant constamment, les clés de la France et des autres pays de l’UE aux États-Unis et à l’oligarchie financière internationale, force est de constater que la paupérisation de nos pays devient de plus en plus flagrante. Le pillage a encore de beaux jours devant lui à moins que des gens sensés n’y mettent un terme rapidement.

La victoire de Donald Trump n’était pas prévue au programme par les dirigeants européens. Kamala Harris aurait assuré la pérennité du soutien de l’OTAN à Kiev. Avec Donald Trump, rien n’est moins sûr. « Curieusement », depuis la victoire électorale de ce dernier, nous sommes témoins d’une véritable escalade de provocations diverses envers la Fédération de Russie, et d’une attaque de terroristes armés par les États-Unis et la coalition internationale, dans le Nord de la Syrie et plus précisément dans la région d’Alep. « Curieusement », cette attaque survient le même jour de l’entrée en vigueur du cesser le feu entre Israël et le Liban.  « Curieusement », le groupe terroriste Hayat Tahrir al-Sham, responsable de l’attaque à Alep, entretient des liens étroits avec la Direction Principale du Renseignement (GUR) du ministère de la Défense de l’Ukraine. Tiens, tiens… Voir en fin d’article.

Lire la suite

15:33 Publié dans Claude Janvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Centre d’accueil des migrants de Salbris (41) : des vérités qui dérangent

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Alexandre Avril
Maire de la ville de Salbris, conseiller régional, membre de l’UDR.
 
Nous reproduisons le Tweet du Maire de Salbris,
 
« Hier, au moment où l’on apprenait que la CEDH accorde aux migrants expulsés la garantie de pouvoir revenir en Europe, je visitais le Centre d’accueil des migrants (CADA) de ma petite ville de Salbris.
 
J’y découvrais des chiffres édifiants :
• depuis 2016, 78 places pour les demandeurs d’asile, contre l’avis de la mairie, dans des appartements de notre ancienne gendarmerie de centre-ville,
 
•  une dizaine de salariés de Coallia (l’association qui reçoit pour cela 150 millions d’€ par an de l’État et est soupçonnée de malversations, cf. l’enquête de @Valeurs) au discours clairement immigrationniste et qui m’ont accueilli dans une salle de réunion couverte d’affiches de Sud Solidaires, le syndicat d’extrême-gauche qui appelle à la régularisation des sans-papiers, ce sont donc des militants,
 
•  une « offre complète d’hospitalité » comprenant bien sûr l’hébergement, les soins mais aussi des avocats gratuits pour faire des recours contre l’État (la fameuse aide juridictionnelle que le Conseil d’État a récemment étendue aux étrangers),
 
•  budget de la structure de Salbris : 600 000 euros par an, payés par le contribuable (plus que l’EHPAD municipal ou notre ESAT),
 
•  durée moyenne de séjour : entre 18 et 24 mois. Le temps de faire une première demande puis un recours d’office si la demande est rejetée, doublant ainsi le délai de séjour,
 
•  nationalités : Afghans, Comoriens, Béninois… peu viennent de pays en guerre.
 
•  âge et sexe : écrasante majorité d’hommes, entre 30 et 40 ans, dont les familles sont restées au pays (ils m’expliquaient qu’elles les rejoindraient par regroupement familial une fois leur régularisation faite),
 
•  résultats : 65% obtiennent l’asile, il y a donc 35% de déboutés. 100% des déboutés font un recours, pris en charge par la structure. À nouveau un tiers de déboutés. Que deviennent-ils ? OQTF ? Oui, mais ils ne pourront pas repartir dans leur pays d’origine si ce dernier n’offre pas de laissez-passer consulaire (c’est le cas de l’Afghanistan ou des Comores), donc ils restent. Le CADA les laisse repartir dans la nature une fois l’OQTF prononcée. De toute façon depuis la décision de la CEDH d’hier, même s’ils étaient expulsés ils auraient le droit de revenir.
 
Le sujet est très délicat pour un maire, vous l’imaginez. Je ne veux pas faire offense aux personnes qui migrent, qui demandent l’asile, qui s’installent. Pourquoi s’en priveraient-ils alors qu’on leur ouvre les bras et prenons tout en charge pour eux ? Le sujet, c’est l’attitude de l’État qui :
 
1/ autorise les examens d’asile sur le sol national et non dans les ambassades de départ ou des pays tiers,
 
2/ met en place ces structures déléguées à des associations militantes qui vivent du business de l’immigration, encourageant les migrants du monde entier à venir ou les passeurs à les faire venir,
 
3/ culpabilise en réduisant toute critique de la politique d’immigration massive de notre pays au rejet des étrangers. Hier encore, à mes arguments municipaux (par exemple l’état de salubrité du CADA, dont la directrice m’expliquait elle-même qu’il est infesté de cafards malgré des campagnes régulières de désinfection), on ne m’opposait que des arguments moraux (le rejet de l’autre, la stigmatisation, le manque d’humanité).
 
Regardez la photo (publiée en commentaire) : le CADA est en plein milieu des écoles. Je ne dis pas que les migrants sont forcément dangereux mais on ne sait rien d’eux. Nous n’avons d’information sur leur passé et leurs antécédents que de manière déclarative. Ils sont à proximité directe d’une cour de recréation. L’État, d’habitude si prompt à le faire, n’applique aucun principe de précaution minimum. Vous seriez rassurés, vous, en tant que parents ?
 
Cela fera bientôt 10 ans que l’État a imposé ce CADA à ma ville, contre notre avis. Je saisis maintenant #BrunoRetailleau pour demander sa fermeture car j’ai d’autres projets pour ces bâtiments.
En attendant la fin de cette folle politique, quand l’alternance sera venue. »
 
Source EuroLibertés cliquez ici

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Mardi 10 décembre à Paris : conférence d'Emmanuel Albach au Centre Charlier

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Emmanuel Albach est l'auteur de

Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes

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10:17 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 03 décembre 2024

Challans (Vendée) : La projection du film sur Tommy Robinson suscite l'hystérie des censeurs patentés de la gauche totalitaire

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Rose Martin Riposte laïque cliquez ici

Maëlig Cozic-Sava, en haut, président du cinéma Manivel de Redon, et Éric Dubot (en bas), propriétaire du cinéma Kristell à Challans. Deux conceptions de la liberté aux antipodes l’une de l’autre…

Mercredi dernier, à la veille de la diffusion – une première en France – du film de Tommy Robinson, « Silenced », Rose Martin alertait nos lecteurs sur les intimidations d’un groupuscule gauchiste, Rebellyon de Résistance, auteur d’un texte insultant et menaçant à l’encontre d’Éric Mauvoisin, président du Rassemblement Vendéen, d’Éric Dubot, propriétaire du cinéma Triskell de Challans, et du maire de la ville, Rémy Pascreau. Cliquez ici

Pourtant, Éric Mauvoisin avait une certaine légitimité à présenter ce film, puisque, un mois plus tôt, devant 50.000 manifestants amis de Tommy Robinson, il avait pu prendre la parole, à Londres.

Malgré cette agitation hélas habituelle, la salle avait été remplie, et la projection s’était fort bien déroulée, avec beaucoup d’émotion dans l’assistance, par rapport au courage de Tommy Robinson, et à l’acharnement de tout l’appareil d’État, qui a réussi à le faire emprisonner pour 18 mois, sous des prétextes fallacieux. Un pot amical avait conclu la soirée, et Tommy, depuis sa prison, avait pu apprendre que cent Français lui avaient souhaité un bon anniversaire. Cliquez ici

Dans cet article, Rose avait insisté sur la réalité du fascisme du 21e siècle, en ces termes : « Que la gauche n’aime pas Tommy Robinson, c’est son droit, qu’elle le trouve trop populaire et pas assez wokiste, pourquoi pas ? Mais ce qui différencie les fascistes des démocrates, c’est que les premiers s’opposent par la force à tout ce qui est différent de leurs idées, alors que les seconds sont plutôt des adeptes de la célèbre phrase attribuée à Voltaire : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire ». On devinera donc aisément que ceux qui se prétendent antifascistes sont les nouveaux nazillons du 21e siècle, et que ce sont eux qui représentent les plus graves menaces pour nos libertés et notamment la liberté d’expression ».

Comment mieux illustrer ces propos que la publication de cette lettre, ci-dessous, qui est parvenue à la rédaction de Riposte Laïque. Elle a été écrite le 27 octobre, la veille de la diffusion du film « Silenced » à Challans. On y lit donc ce texte digne des régimes les plus totalitaires, signé anonymement par Le Conseil d’administration de « Manivel’Cinéma », un cinéma associatif de Redon, présidé depuis 2020 par Maëlig Cozic-Sava, qui a succédé au fondateur du cinéma, Philippe Rouxel.

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Il est déjà stupéfiant qu’un cinéma associatif se permette de menacer un propriétaire indépendant comme Eric Dubot, par ailleurs également à la tête d’un autre cinéma, à Luçon, parce qu’il ose diffuser à Challans un film qu’eux ne diffuseraient pas à Redon. En effet, alors que le cinéma associatif Manivel est gavé de subventions et n’a aucun problème pour équilibrer ses comptes, sachant que le trou éventuel sera bouclé par les collectivités locales, le cinéma de Challans est lui complètement tributaire de ses seuls résultats d’exploitation, et devrait mettre la clé sous la porte à la moindre défaillance.

Les deux cinémas annoncent à peu près 200 000 entrées par an, mais là encore, la municipalité de Redon encourage toutes les initiatives associatives à se tenir dans le cinéma Manivel, pour gonfler des chiffres que des initiatives douteuses comme la quinzaine anglophone ne tirent pas vers le haut. Ainsi, des concerts s’y déroulent-ils tout l’été, et les écoles sont très fortement encouragées à venir fréquemment faire profiter les élèves de programmes par ailleurs souvent discutables. Eric Dubot ne peut compter que sur lui pour remplir ses salles. Donc, un militant associatif qui ne vit que grâce aux subventions des collectivités locales et nationales, qu’on pourrait appeler un fonctionnaire du cinéma, se permet de menacer un libre entrepreneur et de lui donner des leçons sur ses choix de programmation. Gonflé !

Reste le fond du problème. Ceux qui animent ce cinéma associatif de Redon sont des gauchistes, et ils se comportent en militants sectaires, qui ne diffusent que les films qui leur conviennent. Exactement comme ceux de Callac, où les immigrationnistes, fers de lance du projet Horizon, agissent de la même façon dans son cinéma associatif « La Belle Equipe » où on ne passe que des films qui leur conviennent idéologiquement, tout en profitant des sous de toute la collectivité. Ainsi, ces grands défenseurs de la culture multiplient les films et les initiatives citoyennes qui font l’apologie de l’accueil des migrants, mais refusent de diffuser le film « Vaincre ou mourir », parce qu’il est produit par le Puy du Fou. Seul problème, ils sont financés par les deniers publics, et imposent donc à l’ensemble de la population, qui finance ce cinéma, leurs choix politiciens. Cela s’appelle du sectarisme, du lavage de cerveau et du totalitarisme.

Mais il y a pire. Eric Dubot, preuve de ses grandes compétences, est président de « La Règle du Jeu », une association de cinéma d’Art et d’Essai, et il dirige également « La Chambre Syndicale des Cinémas de Bretagne et de l’Ouest ». Or, au-delà des insinuations malveillantes employés contre lui, le courageux et anonyme « conseil d’administration de Manivel’Cinéma » interpelle ces deux structures pour leur demander ni plus ni moins que de débarquer Eric Dubot de ses responsabilités parce que, en tant que propriétaire indépendant, il a autorisé Eric Mauvoisin, moyennent finance, à projeter le film de Tommy Robinson dans son cinéma. À noter par ailleurs que ce conseil d’administration se permet de qualifier les sites Riposte Laïque, Breizh Info et Synthèse nationale de « sites ouvertement fascistes ». Ils doivent savoir de quoi ils parlent, car en terme d’inversion accusatoire, on fait difficilement mieux…

Il suffit d’écouter Yann Vallerie, fondateur et rédacteur en chef du site « Breizh Info », interrogé sur la projection du film « Silenced » à Challans, pour comprendre qu’il n’y a rien de fasciste dans ses propos, et que si des sites défendent la liberté d’expression, c’est bien Riposte Laïque, Synthèse nationale et Breizh Info, tandis que les maîtres-censeurs de Manivel veulent s’opposer à la diffusion d’un film, comme les nazis s’opposaient à la circulation de livres qu’ils brûlaient en place publique.

Quant à Riposte Laïque, comment ne pas être fier de lutter, depuis bientôt vingt ans, contre l’islamisation de la France et d’avoir organisé les Assises pour les Liberté d’expression en 2015 ? Cliquez là

Les pratiques des animateurs Rebellyon de Résistance et du cinéma Manivel sont à l’opposé de cette conception. En effet, nous avons là un cas typique de comportement fasciste, qui commence par les menaces et les intimidations contre le propriétaire du cinéma, qui a reçu en 24 heures des centaines de courriels et de textos laissant entendre que son cinéma pourrait brûler s’il maintenait l’initiative. Le maire a reçu également nombre de coups de téléphone d’insultes, le sommant d’interdire cet événement dans sa commune. Et nous apprenons qu’en complément de ces pratiques de type antifa qui paraissent ne déranger personne, il se trouve un cinéma, à Redon, qui complète les menaces des nazillons gauchistes contre Eric Dubot, et veut le tuer socialement en l’éradiquant de la profession, pour crime de liberté d’expression.

Ces nervis gauchistes et les prétendus défenseurs de la culture de Redon ne sont que des fascistes en herbe. Bien évidemment qu’Eric Dubot, qui ouvre son cinéma à tout le monde, sans exclusive, incarne la liberté, alors que Maëlig Cozic-Sava et le Conseil d’administration du Manivel’Cinéma ne sont que les héritiers de tous les totalitaires du monde, qu’ils aient les traits de Staline ou d’Hitler, et que le terme « fasciste » leur convient bien davantage qu’à Riposte Laïque, Breizh Info ou Synthèse nationale, qui incarnent le combat pour l’amour de la France et la liberté d’expression.

N’en déplaise à ces petits Torquemada de la pensée unique, Éric Mauvoisin continuera à faire connaître dans la France entière le film « Silenced » de Tommy Robinson, et nous savons qu’il rencontrera certes des maîtres-censeurs comme la fine équipe du Manivel’Cinéma, mais aussi des amoureux de la liberté, dont la liberté d’expression, comme Éric Dubot et son équipe de Challans et de Luçon.

Quant à Riposte Laïque, il utilisera son réseau militant pour faire connaître le combat de Tommy Robinson partout en France, n’en déplaise aux petits commissaires politiques de Redon qui ont bien mérité ce retour de « Manivel ».

NDLR SN : Bien évidemment, Synthèse nationale est totalement solidaire de nos amis de Riposte laÏque, de Breizh Info et du Rassemblement vendéen, y compris dans les suites judiciaires qui pourront être données à ces allégations.

10:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 02 décembre 2024

Sortie prochaine du nouvel album d'Ignace...

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20:52 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Front de la Répression : La machine répressive s’emballe contre Yvan Benedetti

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Trois procès en trois mois ! La machine répressive s’est emballée !

Le 4 novembre, j’ai été condamné en appel à 2.000 € d’amendes et 4.000 € de dommages et intérêts, de manière solidaire avec le traducteur de l’article publié sur Jeune Nation, et poursuivi en justice par l’Observatoire Juif de France et l’Observatoire Juif Européen.

Le 23 janvier, se tiendra le procès en opposition ou en appel (ça sera à la Cour d’appel de statuer) suite à une plainte pour injures de l’impudent David Metaxas avocat de l’assassin d’Axelle Dorier, jeune femme traînée sur des centaines de mètres sous une voiture conduite par des racailles. J’avais pris en première instance 10.000 € d’amendes et 15.000 euros de dommages et intérêts. Délirant !

Et ce 4 décembre, je serai jugé en appel pour des propos identitaires prononcés lors du discours de clôture du Congrès des Nationalistes qui s’était tenu à Lyon le 11 novembre 2022 et pour ma prise de parole à Predappio à l’occasion du centenaire de la Marche sur Rome.

Quoiqu’il en soit ils ne me feront jamais taire !

En savoir pus : Jeune nation cliquez ici

NDLR SN : Que l'on soit d'accord ou pas avec toutes les prises de positions d'Yvan Benedetti, c'est un devoir pour tous les patriotes de le soutenir en pareilles circonstances. Yvan est un combattant actif de la cause nationaliste. Ce qui lui arrive aujourd'hui peut arriver à bien d'autres demain. Il ne faut pas le laisser tomber...

Intervention de Yvan Benedetti, le 12 octobre 2019, au Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale :

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15:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : Jeudi 5 décembre, à Auray (56), conférence de Jean-Yves Le Gallou organisée par le Cercle Kelven

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Insolite : Jean-Claude Rolinat est un fieffé amateur de bandes dessinées

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Michel Festivi, mercredi midi, sur Radio Courtoisie

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Notre Ami Michel Festivi sera présent sur Radio Courtoisie le Mercredi 4 décembre prochain de 12H à 13H30 dans l’émission des historiens dirigée par Philippe Conrad pour parler de son livre « La désinformation autour du Parti communiste « français » ».

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dimanche, 01 décembre 2024

ALEP : « L’ÉTAT ISLAMIQUE », C’EST REPARTI !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Alep était une ville magnifique de cet « Orient plus que compliqué » lorsque j’y suis allé, il y a fort longtemps. Tout faisait penser à ce que notre imaginaire d’enfant ou d’adolescent avait laissé transpirer en termes d’images et d’odeurs. Images d’un Orient fantasmé. Le Bagdad « des mille et une nuits » bien entendu et, plus particulièrement  dans le cas qui nous intéresse, Alep avec ses  minarets en forme de fusées, sa massive forteresse, dominant la ville, mutilée plus tard par les combats entre rebelles et gouvernementaux… Des odeurs des souks et, plus particulièrement celle, plus persistante, du savon, spécialité locale déclinée à tous les parfums de l’orient.

Un raid spectaculaire qui a surpris tout le monde

L’inattendu, quelque part l’incroyable, s’est produit le mercredi 27 novembre dernier : la plus grande partie de la ville avec son aéroport, sont facilement tombés aux mains des rebelles islamistes du HTC, l’Hayat Al-Cham d’Ahmed Al-Chara. Ce dernier avait déjà fondé  Al-Nosra, puis le mouvement salafiste HTS. Le HTC d’aujourd’hui est la version d’Al-Quaida en Syrie. Ces rebelles ne partaient pas de n’importe où et sans « biscuits ». Ils disposaient déjà d’un solide sanctuaire, la province d’Iblid qui leur avait été laissée au terme d’un accord plus ou moins informel entre les parties, et leurs parrains respectifs – Turquie, Iran, Russie -, après la reconquête d’Alep par les forces   gouvernementales en 2016.

D’incroyables alliances contre-nature

Des hordes de barbus, armés jusqu’aux dents – un mix d’anciens de Daech, de mercenaires Turkmènes qui « roulent » pour Ankara et d’irréductibles ennemis de Bachar-Al Assad -, parties du quartier du Nouvel Alep, ont pénétré dans la ville sans rencontrer de grande résistance. L’armée syrienne était-elle endormie sur ses lauriers ? Ces hommes ont gagné la citadelle de la « plus vieille cité du monde », comme le revendiquaient jadis des prospectus publicitaires…

On a pu voir des images de jeunes rebelles juchés sur un char gouvernemental abandonné par son équipage, exprimant leur joie de conquérants. C’est un revers monumental pour le gouvernement de Damas et ses alliés russes et iraniens, ainsi que pour les proxys de ces derniers, le Hezbollah, déjà durement étrillé par Israël.

Quelle lecture correcte peut-on faire de ces alliances, bien souvent contre-nature ? D’abord, ce coup porté à Bachar et à son régime arrange les Kurdes dissidents, qui peuvent affermir leur autonomie auto-proclamée mais, dans le même temps, il est de nature à inquiéter leurs alliés américains, qui exploitent sans vergogne le pétrole syrien. Il n’est pas mal vu non plus, par Israël, car il affaiblit son ennemi syrien et ses alliés iraniens et chiites libanais. On pense même que l’État hébreu, pendant la guerre civile syrienne, avait soigné des insurgés islamistes en lutte contre la Parti Baas, en application du principe que « les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». Superbe alliance contre-nature, moralement condamnable ! La Turquie, pour des raisons différentes, est derrière ces insurgés islamistes qui humilient le régime damascène, son « meilleur ennemi ». Et pourtant, dans « le même temps » comme dirait « l’autre », il indispose Moscou qu’Erdogan veut ménager.

Et nous, Français, quel est notre intérêt là-dedans ?

Notre intérêt immédiat, pour notre sécurité intérieure, est l’affaiblissement de tout ce qui, de près ou de loin, peut conforter la mouvance islamiste. Ce n’est donc pas, une bonne nouvelle, même si le Hezbollah et son parrain iranien, qui tiennent nos amis libanais en otage, son sévèrement touchés, par contre coup. C’est une tragique information pour les Chrétiens d’Orient, et plus particulièrement ceux de Syrie et d’Alep, où ils pensaient pouvoir se reconstruire après la tyrannie de l’occupation de l’État islamique. Ils vont devoir, une fois de plus – une fois de trop ? -, quitter leurs foyers ou  « raser les murs »…

Si l’Occident avait réfléchi intelligemment lorsque la Syrie s’est embrasé, il aurait dû soutenir le régime laïc du parti Baas et s’appuyer sur Assad, malgré le despotisme non éclairé de son régime, car, entre deux maux, il faut choisir le moindre. Le temps était fini où l’Iran comme la Syrie, perpétuaient des attentats en nos murs, comme la Libye d’ailleurs sur un autre front. Mais non, les alliés de l’OTAN ont fait le choix inverse. Résultats des courses, des attentats, des victimes et…pas de représailles. Les alliances sont très paradoxales.

La France et ses amis sont proches de pays comme le Qatar et l’Arabie saoudite, qui ne sont pas plus démocratiques que la Syrie dirigée par les Alaouites Assad père et fils, et hostiles à ce dernier. Si l’on peut comprendre que nos intérêts pétroliers sont en jeux et que de fructueux marchés de ventes d’armes s’offrent en perspective à nos industries, on ne peut pas négliger la nébuleuse islamiste fondamentaliste, ni le trouble jeu de puissances comme la Turquie.

Accessoirement le double jeu d’Israël, État qui a la « vue basse », et ne pense pas à l’avenir, ne « roulant » que pour ses propres intérêts à court terme. Autre paradoxe pour notre camp, c’est de souhaiter ardument la victoire de l’un des régimes les plus durs et les plus anti-démocratique de la planète. Mais notre sécurité globale est à ce prix. L’Occident – et l’Europe plus précisément -, vont-ils enfin ouvrir les yeux et, entre deux maux, disons-le encore et encore, choisir le moindre mal ? On déroule bien le tapis rouge devant d’autres satrapes qu’Assad, tout aussi ou bien plus sanguinaires !

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Fin de la coalition tricolore allemande

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Les crises politiques s’accumulent en Europe. Longtemps moteur de la politogenèse eurocratique, le duo franco-allemand se paralyse de part et d’autre du Rhin. Une fragile et implicite cohabitation s’installe à Paris entre un président Jupiter dévalué et un « socle commun » parlementaire hétéroclite et instable. À Berlin, la victoire de Donald Trump a amplifié les fractures au cœur même du gouvernement fédéral.

Le 6 novembre 2024, le chancelier Olaf Scholz désavoue le ministre des Finances, Christian Lindner, et demande au président fédéral Frank-Walter Steinmeier de le limoger, chose faite dès le lendemain. Or Christian Lindner dirige le FDP, le parti libéral. Son éviction entraîne la démission de deux autres ministres libéraux de la Justice et de l’Éducation. En revanche, le ministre des Transports et du Numérique reste en place et abandonne le FDP. C’est la fin d’une entente montée avec douleur trois ans plus tôt.

Aux législatives de 2021, le Bundestag se fragmente en six groupes. La coopération habituelle entre les sociaux-démocrates du SPD et les Verts n’assure pas une majorité. Les deux partenaires se tournent alors vers un troisième larron, le FDP. Après de longues et âpres négociations, les trois formations s’accordent, le 24 novembre 2021, sur un contrat commun de gouvernement. Les journalistes parlent de « coalition en feu tricolore » en raison des couleurs respectives des nouveaux alliés (rouge pour le SPD, vert pour les Grünen et jaune pour le FDP). Cette configuration politicienne est inédite dans l’histoire de l’Allemagne fédérale.

Jusqu’en novembre 2023 et en dépit de divergences fréquentes entre les Verts et les libéraux, le gouvernement « tricolore » se maintenait cahin-caha. Il y a un an, le Tribunal constitutionnel fédéral de Karlsruhe prononçait l’inconstitutionnalité partielle du budget 2023, un camouflet inédit dû à l’initiative de l’opposition démocrate-chrétienne. Le gouvernement Scholz avait en effet jonglé avec différents financements. Il utilisait sciemment un reliquat budgétaire de soixante milliards d’euros, destiné à l’origine à lutter contre le covid-19, afin d’alimenter un fonds destiné à la transformation de l'économie et au climat. Les magistrats critiquèrent la manœuvre et s’indignèrent d’une dépense réalisée entre janvier et octobre 2023 de plus de trente-et-un milliards d'euros sans que ces sommes n’apparaissent dans le budget légal. Le Tribunal constitutionnel interdisait par conséquent de transférer le reste du montant vers tout autre fonds. Sa décision entraînait en outre le gel de l’ensemble des nouveaux crédits de tous les ministères fédéraux inscrits dans ce budget retoqué. Karlsruhe annulait enfin les subventions massives au secteur industriel et aux plans de décarbonation chers aux Verts.

Les dissensions s’affichent au moment où une violente crise économique et sociale atteint la première puissance économique d’Europe, fragilisée par les retombées négatives des sanctions contre la Russie. SPD et Grünen cherchent en priorité à aider les secteurs économiques en difficulté notable. La préparation du budget 2024 devient laborieuse et pose un dilemme : augmenter les impôts ou bien diminuer les dépenses à moins que la coalition s’exonère provisoirement d’une règle débile, celle du « frein à l'endettement » inscrite dans la Loi fondamentale qui limite tout endettement à 0,35 % du PIB. Tenant acharné de cette règle, Christian Lindner se présente aussitôt en défenseur d’une stricte orthodoxie budgétaire, économique et financière. Le 1er novembre dernier, il adressait au chancelier et à leurs alliés une note longue d’une vingtaine de pages suggérant une réduction draconienne des aides, des subventions et des dépenses publiques, en particulier dans le domaine de la lutte contre le changement climatique. Le vice-chancelier et ministre Vert de l’Économie et du Climat, Robert Habeck, y vit dans cette proposition une véritable déclaration de guerre contre lui et son parti.

Désormais chef d’un gouvernement minoritaire, Olaf Scholz aurait souhaité poursuivre jusqu’aux législatives de septembre 2025. Toutefois, son opposition de pacotille, les démocrates-chrétiens de la CDU et les conservateurs de la CSU, rejette cette combine. Mis à l’écart par Angela Merkel au début de son règne calamiteux, le millionnaire Friedrich Merz qui a travaillé pour BlackRock, à la fois président de la CDU et de son groupe parlementaire, profite des circonstances pour rêver d’accéder à la chancellerie. En position de force, le centre-droit a fait pression sur Scholz afin qu’il pose la question de confiance au Bundestag. Prévu le 16 décembre prochain, le vote sera très certainement négatif. Dès lors, si les députés ne désignent pas entre-temps un nouveau chancelier selon la procédure de l’article 68, Frank-Walter Steinmeier aura vingt-et-un jours pour dissoudre le Bundestag. Les élections anticipées sont annoncées pour le 23 février 2025. L’Allemagne entre en campagne.

Les sondages annoncent la victoire de la CDU – CSU, mais sans bénéficier d’une majorité absolue impossible à obtenir en raison d’un mode de scrutin mixte et complexe. Par ailleurs, outre un SPD en forte baisse, les études d’opinion préviennent de la sortie probable de la prochaine législature du FDP et de Die Linke (la gauche radicale wokiste) qui stagneraient en dessous du seuil électoral fatidique de 5 %. Les projections électorales qui découlent de ces premiers aperçus prévoient une chambre partagée en cinq factions parlementaires (CDU – CSU, AfD, SPD, Grünen et BSW). Rappelons que BSW signifie l’Alliance Sahra Wagenknecht - Pour la raison et la justice dont le positionnement politique atypique pour un esprit français incarne un conservatisme pacifiste de gauche radicale anti-wokiste opposé à l’immigration de peuplement. L’excellent Lionel Baland y voit une résurgence assez manifeste d’un national-bolchevisme atténué.

Considérée comme le prochain gagnant, la CDU – CSU envisage déjà de gouverner soit avec le SPD dans une nouvelle « Grande Coalition » - mais les relations entre Scholz et Merz sont exécrables -, soit avec les Verts comme, à l’heure actuelle, en Autriche où cette alliance a permis aux nationaux-conservateurs du FPÖ d’arriver en tête aux législatives du 29 septembre 2024.

La période électorale qui commence sera déterminante pour l’avenir d’un pays en déclin avancé et pour l’ensemble du continent. En effet, quand l’Allemagne tousse, l’Europe s’enrhume.   

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n° 135, mise en ligne le 27 novembre 2024 sur Radio Méridien Zéro.

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samedi, 30 novembre 2024

Piotr Tolstoï sur les missiles, l'escalade, Trump, les médias et la victoire russe

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Association Dialogue Franco-Russe

Piotr Tolstoï est l'auteur de la préface du dernier livre de Marc Rousset, Notre faux ami l'Amérique, pour une alliance avec la Russie (Librinova, 2023).

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Réflexions à propos des 700 viols d’un ancien journaliste de gauche : silence radio !

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Michel Festivi  

L’affaire dite des viols de Mazan a fait et fait la Une de tous les journaux, de France et du monde entier paraît-il, l’ensemble des médias en font leurs choux-gras. Cet horrible fait divers de perversion sexuelle, tourne en boucle sur toutes les chaînes de télévisions, sur toutes les radios. Pour certains, il s’agit d’un fait de société, l’homme est mauvais, malfaisant par nature, il faut changer la société, rééduquer les garçons, modifier complètement les rapports hommes/femmes et mettre fin à un patriarcat dont on peine à entrevoir les prémisses ; pour d’autres, dont je fais partie, il s’agit tout simplement des résultats d’obsessions humaines sadiques, de dépravations aussi vieilles que le monde est monde. Bref, toutes les litanies féministes et gauchistes font de la surenchère dans l’idéologie anti-occidentale, anti homme blanc. Pourtant, dans les années 1970, cette même gauche revendiquait la liberté sexuelle de pouvoir avoir des rapports avec des mineurs, voire des enfants. Que l’on se souvienne à cet égard des pages du Monde, ou de Libération qui exigeaient que des mineurs de 15 ans puissent avoir des relations sexuelles avec des adultes au nom de la liberté débridée, interdit d’interdire, et de dénoncer les lois de l’époque. Le tourisme sexuel dans certains pays dits exotiques a fait des ravages.

Pourtant, il y a parfois des viols d’une cruauté terrible, qui passent au-dessus des radars médiatiques, et le silence radio se fait. Pourquoi ? Ainsi, un ancien journaliste pour France info et de Radio France, Jean-Philippe Desbordes (photo ci-dessus), ancien échotier également au Canard enchaîné, à Charlie Hebdo, Libération et intervenant il y a quelques années pour le magazine Envoyé Spécial, vient d’être condamné à vingt années de réclusion criminelle, le 22 novembre dernier par la Cour d’Assises de l’Ariège, pour avoir violé à plus de 700 reprises, et avec actes de tortures et de barbaries les trois filles de son ex-compagne. Ces viols sont d’autant plus abjects qu’ils ont été commis par personne ayant autorité sur les victimes. Il aurait aussi violé l’une de ses élèves, car il pratiquait « l’Aiki thérapie », une pratique respiratoire de son invention. Il avait aussi écrit des livres, s’installant dans l’Ariège, après sa carrière médiatique dans les années 2000.

La Cour a assorti sa décision d’un suivi socio judiciaire de cinq années après la libération du condamné, sept ans d’injonction de soins et interdiction pour lui d’entrer en contact avec ses victimes et son ex-compagne. Faits d’autant plus scélérats, que l’épouse du violeur, ou sa compagne a aussi été condamnée à cinq ans de prison pour complicité. L’appel étant encore possible au moment où j’écris ces lignes, notre homme et sa complice sont donc encore présumés innocents.

L’une des victimes est venue dire à la juridiction, qu’elle pouvait être violée tous les jours, et a estimé les viols à plus de 700 pour une année ! Elle a déclaré « C’était l’enfer, j’ai subi des viols, de la maltraitance, de la privation de nourriture. » Cet individu, ancien journaliste de gauche, était aussi professeur d’aïkido spécialisé dans la thérapie par le sport, cela ne s’invente pas, c’est par ce biais semble-t-il qu’il pratiquait ses perversions, créant une espèce de dépendance avec ses proies dans le cercle familial ou professionnel. Curieusement, comme le souligne judicieusement Boulevard Voltaire, ces crimes n’ont pas été dénoncés comme étant « de la culture du viol », « du patriarcat » « de la domination masculine », les féministes de tout poil sont restées totalement taisantes, et n’ont pas crié « Sus au Patriarcat ». France Info, qui a publié plus de 50 articles sur l’affaire Pélicot, n’a quasiment pas donné la moindre information sur les faits reprochés à son ancien journaliste, bizarre non ? Serait-ce France désinformation ? Certes, nous dira-t-on, il avait quitté cette profession en 2006, et que l’on n’est pas responsable des perversions secrètes de ses journalistes, dont acte.

Ni Libération, ni Médiapart, ni l’Humanité, ni Le Monde, ni Ouest-France n’en ont vraiment parlé. Pratiquement non plus du côté de BFMTV ou de LCI. Seul Cnews en a débattu à plusieurs reprises, notamment dans l’émission de Pascal Praud. Le seul journal régional qui y a consacré quelques articles est La Dépêche et aussi France 3 Occitanie, l’Ariège se trouvant dans leur champ géographique de compétence. On notera également que certains articles mettent en exergue les mensonges réitérés de Jean-Philippe Desbordes, se présentant faussement comme anthropologue, chercheur au CNRS, ou professeur d’Aïkido, selon notamment le JDD.fr du 29/11/2024.

Gilles-William Goldnadel a lancé « Je pense que quand vous commettez des actes de barbaries avec des viols sur trois de vos belles-filles avec la complicité de leur mère, c’est quasiment aussi choquant que l’affaire Pélicot ». Et de dénoncer l’audiovisuel public « parce que c’est un des leurs... il pratique l’omerta ». Indignation morale à géométrie variable, comme le décrypte Boulevard Voltaire, on y est habitué avec les gauches, le deux poids deux mesures leur est permanent et sur tous les sujets, immigration, délinquance, c’est leur marque de fabrique. En ce sens, la perversité des femmes est bien à l’égal des hommes. J’avais il y a plus de 20 ans maintenant, plaidé comme partie civile, pour de jeunes enfants placés à l’Aide sociale à l’enfance, ils avaient été violés, autant par leur mère que leur beau-père, le nouveau compagnon de cette dernière, la mère autant que je m’en souvienne avait pris 20 ans de réclusion. Le sadisme, la perfidie, et la noirceur de l’âme ne sont pas des apanages uniquement masculins, comme veulent nous le faire croire nos néos féministes gauchistes. On vient d’apprendre que Radio France aurait consulté ses avocats pour éventuellement intenter une action judiciaire contre GW Goldnadel, accusant ce dernier « de dénigrement du Service public ».

Pour sa défense, l’ancien journaliste de gauche a fait savoir qu’il était un « bouc-émissaire », « une proie », « une cible », qu’il était la victime d’un « féminazie », nouveau barbarisme incongru. La dépêche a titré « Elles ont vécu dans la maison de l’horreur ». Il est à noter la relative clémence de la Cour, le principal prévenu risquait la perpétuité, sa complice 30 ans de réclusion. La dépêche relate aussi des privations de soins, des sévices répétés, des mauvais traitements autant psychologiques que physiques. Mais sauf erreur de ma part, dans les différents articles de la Dépêche, on se garde bien de préciser que Desbordes, avait travaillé, dans le passé, à France Info. Aucun article des rares journaux qui ont rapportés l’affaire, ne relèvent le nom des différents médias dans lesquels il a œuvré, aucun. En aurait été-t-il de même s’il avait chroniqué sur Cnews, l’actuel JDD, ou Valeurs Actuelles ? Poser la question c’est y répondre me semble-t-il ?  Que vous soyez de gauche ou de droite, les médias vous blanchiront ou vous noirciront, les jugements de Cour aussi.

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THIBAUD GIBELIN : "IL APPARTIENT À TRUMP ET ORBAN DE MENER LA BARQUE DE L'OCCIDENT"

À l'occasion de la sortie du documentaire, "Hongrie, le monde d'Orban", OMERTA reçoit l'essayiste Thibaud Gibelin. L'auteur de "Pourquoi Viktor Orban joue et gagne" (Fauves éditions) revient sur l'élection de Donald Trump et des relations entre le président réélu et le Premier ministre hongrois. Relation Hongrie - Serbie, accords du MERCOSUR, conflit russo-ukrainien, le professeur invité au Mathias Corvinus Collegium balaye également l'actualité du moment.

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Source : omertamedia.fr

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Lancement par les Editions du Puy-du-Fou d'un magazine destiné aux adolescents : Le Panache...

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Sous la direction de Gwenaële Barussaud, autrice à succès de la série « Célestine, Petit rat de l’opéra », Puy du Fou Éditions dévoile son tout premier magazine jeunesse.
 
Des fictions illustrées, une bande dessinée originale suivie d’un numéro à l’autre, des rubriques mises en images sur la nature, l’histoire, la géographie…
 
Chaque mois, recevez un magazine grâce auquel vos 8-13 ans reprendront goût à la lecture ! Rempli de récits légendaires, plein de surprises et d’émotions, Le Panache leur fera découvrir les splendeurs françaises ! 
 
Disponible à la précommande via le lien en bio !
 
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