jeudi, 01 mai 2025
1er mai : l’immigration n’enrichit que les patrons… et l’extrême gauche les sert à genoux
Julien Dir, Breizh info cliquez ici
Camarades ? Non : complices. Ce 1er mai 2025, les drapeaux rouges sont en réalité recouverts de la même graisse que les mains du patronat mondialisé. À force de trahir leurs fondements, les héritiers d’une gauche ouvrière, sociale, enracinée dans les luttes du peuple, sont devenus les larbins de ceux qu’ils prétendaient autrefois combattre. Uber Eats, Deliveroo, restauration low-cost, exploitation agricole industrielle : les esclavagistes modernes peuvent remercier LFI, la CGT et leurs petits nervis anarcho-autonomes. Grâce à leur agitation cosmopolite permanente, ils tiennent la jeunesse européenne en joue, étranglent les classes populaires, et surtout, assurent le renouvellement illimité d’une main-d’œuvre corvéable, sans conscience politique, sans racines, sans défense.
Car voilà la vérité brutale qu’aucun syndicaliste à moustache, aucun député d’extrême gauche en écharpe rouge ne veut affronter : l’immigration de masse n’enrichit que les patrons. Elle précarise les autochtones, ruine les solidarités naturelles, fait exploser les loyers, et permet de maintenir les salaires au plus bas. Et les militants d’extrême gauche en sont les auxiliaires dociles, croyant combattre le fascisme alors qu’ils font tourner la machine capitaliste à plein régime.
La gauche a trahi les travailleurs, encore
Rappelons-nous : la fête du Travail naît d’une Internationale socialiste qui défendait les travailleurs européens, exigeait des salaires décents, la limitation de la journée de travail, la reconnaissance de la dignité ouvrière. Aujourd’hui, elle est dévoyée par des groupuscules décérébrés réclamant toujours plus de droits pour des masses sans fin venues de pays où le SMIC paraît un luxe et où l’État-providence est un mythe.
Dans les rues de Nantes, Rennes ou Paris, ce 1er mai, les antifas ne défileront pas pour les ouvriers agricoles bretons écrasés par la concurrence internationale. Ils ne crieront pas contre les restaurateurs qui payent au lance-pierre des serveurs invisibles et épuisés. Ils ne s’attaqueront pas aux DRH de l’agroalimentaire, qui préfèrent embaucher par bus entiers des travailleurs détachés plutôt que d’augmenter les salaires. Non. Ils casseront des vitrines, hurleront “mort au fascisme”, et distribueront des tracts pro-migrants. Tristesse. Trahison.
Le patronat en rit : la gauche fait le sale boulot
Que réclament-ils, au fond ? Une ouverture totale des frontières, l’accueil inconditionnel de tous ceux qui, n’ayant pas réussi chez eux, viennent tenter leur chance ici. Le problème ? Ici, ce sont nos jeunes qui paient le prix. Pas les patrons de la FNSEA, pas les donneurs d’ordres du CAC 40. Ce sont les fils d’ouvriers, les jeunes Bretons, les apprentis électriciens, les aides-soignants, les serveurs, les chauffeurs, les caissiers, qui voient leurs métiers devenir invivables.
Qui veut encore faire la plonge dans un restaurant à 1 300 euros net, sans horaires, avec des clients impolis, pour financer la retraite d’un baby-boomer qui a connu le plein emploi et les congés payés ? Qui veut ramasser des fraises à genoux en juin sous 30 degrés pour un salaire de misère, pendant que des élus font la morale sur “l’ouverture au monde” ? Qui veut, pour survivre, sacrifier sa jeunesse, sa santé, ses enfants ?
La gauche ose alors répondre : “Ils font les boulots que les Français ne veulent pas faire.” Mais c’est faux ! Les jeunes autochtones veulent bien travailler – encore faut-il que le travail paye, qu’il soit digne, qu’il ne soit pas un esclavage moderne.
Pour un vrai 1er mai : hausse des salaires, fin de l’immigration de masse
Un Premier Mai digne de ce nom, aujourd’hui, ce serait des revendications comme :
- L’augmentation massive des salaires dans tous les secteurs (et éventuellement, l’instauration d’un salaire maximum, qui n’empêcherait nullement bénéfices et avantages des dirigeants)
- La suppression des charges étouffantes qui pénalisent les TPE-PME françaises,
- Le remplacement des aides sociales à l’importation humaine par des politiques de formation, de logement et de natalité en faveur des jeunes Français,
- Le retour de la préférence nationale à l’embauche, dans les logements sociaux, dans les aides.
Ce 1er mai, la jeunesse européenne et identitaire devrait le revendiquer, et refuser de devenir l’esclave du patronat mondialisé. Oui, elle ne doit plus accepter de trimer pour une bouchée de pain, pendant que d’autres engrangent les profits sur son dos. Ce n’est pas de paresse qu’il s’agit : c’est de lucidité. La jeunesse ne veut plus survivre, elle veut vivre. Et pour cela, il faut briser l’alliance infernale entre le capital et la gauche cosmopolite.
Il faut reprendre le contrôle. Fermer les frontières. Rétablir l’autorité. Interdire l’emploi de travailleurs sans titre de séjour. Exiger un salaire minimum augmenté, mais réservé aux nationaux. Simplifier radicalement la bureaucratie soviétique qui étouffe les employeurs honnêtes. Et surtout : expulser, en masse, tous ceux qui ne sont pas ici pour construire, mais pour profiter.
La droite molle n’osera pas le dire. La gauche ne le dira jamais. L’extrême gauche l’empêchera par la violence. Alors nous devons le dire haut et fort.
Ce 1er mai, il ne faut pas défiler pour les “droits des migrants”. Il faut marcher pour les droits des nôtres, avant les autres. Choisis ton camp, camarade !
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Vichy et la défense des travailleurs
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Du premier mai, du travail, et de la liberté
Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez ici
Depuis 1941 en France, la fête du Premier mai est supposée rendre hommage au Travail. Les disciples de Nathalie Arthaud et autres nostalgiques d'Arlette Laguiller contestent fortement cette interprétation légale, car elle remonte au gouvernement de l'État français. Elle leur paraît trahir la tradition des luttes syndicales ouvrières. C'est en 1856, en Australie, qu’est née, en effet, la revendication d’une journée ouvrière de repos, comme un moyen d’obtenir la journée de 8 heures. La date était alors fixée alors au 21 avril. Ce n'est qu'en 1889, que les socialistes de la IIe Internationale décidèrent de fixer leur mobilisation au 1er mai, en référence aux violences répressives lors des manifestations de 1886.
En France ce sera deux ans plus tard, à Fourmies, que cette première célébration française de la Journée internationale des travailleurs fut brisée dans le sang, le 1er mai 1891.
Ce jour-là, sur l'ordre de la troisième république, l’armée tira sur la foule, faisant 35 blessés et 9 morts, dont huit manifestants de moins de 21 ans, parmi lesquels une jeune ouvrière de la filature de coton, Maria Blondeau, âgée de 17 ans. Les curieux pourront lire à ce sujet Le Secret de Fourmies publié en 1892 par Edouard Drumont, aujourd'hui réédité par Hachette et la Bibliothèque nationale.
Au grand dam de nos chers trotskystes, l'inscription du Premier Mai dans la loi française n'a pas été l'œuvre du Front populaire mais, horresco referens, de la Révolution nationale. La charte du Travail allait instituer en même temps au bénéfice des ouvriers des pensions de retraites, que nous appelons « par répartition », c'est-à-dire sans référence à une capitalisation de l'épargne – ce que le gouvernement de Léon Blum malgré ses promesses n'avait su instituer – et que l'on a commis l'erreur d'étendre, depuis, à l'ensemble de la société. « Je tiens toujours les promesses, je tiens même celles des autres, disait à ce sujet le chef de l'État de l'époque, lorsqu'elles sont fondées sur la justice. »
Il s'agissait ainsi de fêter désormais, le Premier Mai, en France la concorde sociale, en honorant le travail national. Une telle conception exaspère par elle-même nos marxistes-révolutionnaires. Ceux-ci, disciples de Engels, veulent voir dans la violence, qu'ils organisent, la grande accoucheuse de l'Histoire.
Depuis cette date le Premier Mai en France est placé sous le signe du muguet blanc, et non de l'églantine rouge.
Or, il faut aussi observer aujourd'hui l'évolution des faits. Ils confirment que le travail n'est plus synonyme d'exploitation, selon le schéma marxiste de la plus-value, mais de liberté.
Les chiffrages officiels disponibles de l'économie l'activité industrielle française sont publiés par l'INSEE avec un certain retard. Les tableaux les plus récents sur le site de l'INSSE remontent à 2017, année de l'élection de Macron, mais on sait que la tendance qu'ils reflètent s'est aggravée, sous le règne de la Macronie : la part de l'industrie dans le PIB national a régressé de 11% à 9%. Autre évolution majeure des mentalités, repérable des longue date, mais aggravée par la retraite à 60 ans, sous la présidence Mitterrand, et la loi des 35 heures adoptée sous le gouvernement Jospin. La législation française appliquée au travail persiste à l'envisager de manière négative et à le réglementer de façon restrictive. Le socialisme d'atmosphère incite ainsi puissamment, depuis plus de 40 ans, les Français à ne plus travailler et les décourage d'investir, d'épargner et d'entreprendre.
En 2017 on recensait dans notre pays 239.000 entreprises industrielles, soit, une fois déduits les micro‑entrepreneurs, 179.000 employeurs salariant 3,1 millions de personnes en équivalent temps plein. La tertiairisation et la mécanisation ont complètement bouleversé les anciens rapports de production, sur lesquels les marxistes et leurs satellites technocrates fondaient leurs conceptions.
Aussi la réindustrialisation ne saurait aboutir sans une refondation sociale.
La polémique opposant les bureaucraties syndicales, CGT et Sophie Binet en tête, aux fleuristes et aux boulangers désirant travailler librement le Premier Mai, résume bien la ligne de partage. Elle sépare ceux qui réaliseront cette refondation sociale et ceux qui s'y opposent. La crise des gilets jaunes de 2018 annonçait, à cet égard, un mouvement beaucoup plus profond parmi les classes moyennes, qui peut reprendre demain, à tout moment, par exemple autour de la question des ZFE et du bannissement des « gueux » chassés des centres de villes.
C'est sur leur lutte pour la liberté et pour une refondation sociale que pourra s'envisager le nécessaire redressement de la France.
01:24 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sarah Knafo était l'invitée de Pascal Praud sur Europe 1
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mercredi, 30 avril 2025
Mardi, en force, le peuple milanais a célébré le souvenir de Sergio Ramelli, militant du Front de la Jeunesse assassiné par les antifas le 28 avril 1975
Par milliers, les Milanais, mardi 29 avril, 50 ans après son assassinat, ont rendu hommage à Sergio Ramelli. Les nationalistes n'oublient pas ceux qui sont tombés pour la gloire de leur patrie (ni ceux qui les ont assassinés).
La Poste italienne vient d'éditer un timbre rappelant le souvenir de ce combattant assassiné par les rouges à Milan, le 29 avril 1975. Cliquez ici
Et n'oubliez jamais qu'en Italie, en France et partout dans le monde, hier comme aujourd'hui :
Affiche du Front de la Jeunesse (France) éditée en 1975.
19:11 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Espagne : l'un des derniers bobards de la gauche est en train de s'effondrer
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C’est confirmé : gauchisme et « fragilité psychologique » vont de pai
Après une étude américaine et une étude finlandaise, un rapport de l'Institut Montaigne: le constat est mondial.
La fameuse Génération Z, celle née entre 1995 et 2010, n’est pas aussi rétive au travail qu’on le dit, selon le rapport intitulé « Les jeunes et le travail : aspirations et désillusions des 16-30 ans ». Publié par le think tank Institut Montaigne, il a été réalisé par Yann Algan (HEC), Olivier Galland (CNRS) et Marc Lazar (Sciences Po). Apport marginal mais intéressant de ce rapport : être de gauche est souvent lié à un mal-être.
Une moitié des jeunes interrogés dans le cadre de l’étude se dit non-politisée, l’autre moitié se divise entre proches de la gauche radicale (26 %) et proches de la droite radicale (33 %). On pourrait discuter ces étiquettes. Si Lutte Ouvrière, Nouveau Parti Anticapitaliste et La France Insoumise ont effectivement des projets de société radicaux, on se demande en quoi Rassemblement national, Reconquête et Debout la France appartiennent à la « droite radicale » — mais admettons ces catégories pour les besoins de la démonstration.
L’étudiant de gauche déçu par la vie
Un constat : « Les étudiants en lettres et sciences humaines s’identifient davantage à la gauche radicale, et ceux en santé ou en filières techniques à la droite radicale. » L’ancrage politique des filières universitaires d’histoire, de psycho ou de lettres modernes, subsiste depuis Mai 68. D’où ce profil de militant d’extrême gauche, caricatural mais souvent rencontré dans les manifestations ou sur les plateaux de télévision : l’éternel étudiant monté en graine, revendicateur obsessionnel, pétitionnaire compulsif, toujours mobilisé sans jamais terminer son mémoire dont lui-même a oublié le sujet.
Les diplômés de telles filières sont ceux qui présentent « le plus grand décalage » entre leurs ambitions et « les emplois accessibles ». Ils ont du mal à gérer le paradoxe dont ils semblent « prisonniers » : « porteurs de fortes aspirations, mais limités dans les opportunités qui s’offrent à eux ». Si passionnantes que soient les matières étudiées, l’engorgement des filières et la déception que peut procurer, par exemple, l’enseignement de la Shoah en REP+, engendre frustration et malaise : « le fossé entre attentes et réalité en matière de bien-être au travail alimente un profond sentiment d’insatisfaction ». Jules Monnerot en avait fait le constat à propos de Jean-Paul Sartre : être un jeune diplômé et ne pas se sentir attendu dans la société provoque du ressentiment à l’égard de cette société. À ce sujet cliquez ici
La dépression est aussi politique
Le lien entre idées de gauche et mal-être a déjà été établi (même s’il y a d’autres raisons d’y adhérer, bien sûr : c’est « une question de précarité, d’origine et de détresse psychologique »). En 2022, une étude américaine avait traité la question de « La politique de la dépression ». Elle concluait que les augmentations d’affects dépressifs « étaient plus prononcées pour les adolescentes libérales [= gauche] » et que « les scores étaient globalement les plus élevés pour les adolescentes libérales dont les parents avaient un faible niveau d’éducation ».
Il y a un an, une étude finlandaise s’est penchée sur une question proche : wokisme et mal-être psychique sont-ils liés ? La réponse était nuancée, comme le soulignait auprès de BV son auteur, Oskari Lahtinen : « Une mauvaise santé mentale est associée à l’identification politique à gauche (…). Être woke est fortement corrélé au fait d’être à gauche. » Le wokisme n’est pas forcément en cause, mais le positionnement à gauche, oui.
Le gauchiste hypersensible
Hypothèse la plus favorable aux idées de gauche ? L’hypersensibilité aux malheurs des autres trouverait un terreau favorable chez des insatisfaits dont l’empathie aggraverait le mal-être. Ce serait un effet secondaire du « cœur à gauche ». Corollaire : l’homme de droite n’irait bien que parce qu’il est égoïste, insensible aux problèmes des femmes, des migrants, des racisés. Clichés sans valeur, car de gauche.
Aux sociologues et aux psychologues de déterminer la cause exacte de ce lien entre gauchisme et problème psy. Est-ce le manque de réalisme des idées de gauche qui cause un malaise, par difficulté à affronter le réel, ou la peur du réel qui pousse vers ces idées ? Est-ce l’insatisfaction perpétuelle dans l’attente du Grand Soir, l’attitude infantile qui consiste à toujours rejeter la faute sur les autres (le prof, le patron, le flic, le Blanc…), qui sont la cause ou l’indice d’une tendance psychique négative ?
18:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Suite aux révélations de Sarah Knafo, le budget faramineux de l'Agence française d'aide au développement à la baisse
La réaction de Sarah Knafo :
Je suis très heureuse d'apprendre que depuis mes révélations sur l'aide publique au développement, le gouvernement annonce enfin couper dans ces gabegies.
Deux milliards sur seize, ce n'est évidemment pas assez. Mais une prise de conscience doit toujours démarrer quelque part !
Et celle d'Eric Zemmour :
Nous ne sommes pas encore au pouvoir, mais notre action porte déjà ses fruits. Cela fait des années que l'État gaspille votre argent en pure perte dans ces projets absurdes. Il aura donc fallu que Sarah Knafo s'empare du sujet pour que le gouvernement commence à agir.
16:40 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Soutenez le combat nationaliste et identitaire : abonnez-vous à la revue Synthèse nationale
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Jeudi 1er mai, à Castres, honneur à Jeanne d'Arc
12:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un entretien avec Philippe Randa dans le nouveau numéro de "Réfléchir & Agir"
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30 avril : Camerone
10:38 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L’héritage d’un pape mondialiste
Pierre Lellouche, grand spécialiste de géopolitique, dresse pour Valeurs actuelles le bilan du pape François. On pourrait résumer le magistère de ce pape par son appétence d’avoir joué le monde contre l’Europe. Il n’a en effet jamais mis les pieds officiellement dans un pays européen comme il l’a fait pour l’Afrique ou l’Asie. A titre d’exemple, lors de sa venue à Marseille il a bien précisé qu’il ne venait pas en France. En gros, ce pape contestait tout l’héritage greco-romain qui fonde pourtant le catholicisme.
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Source : Valeurs actuelles 30/04/2025
09:18 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 29 avril 2025
Dimanche 22 mai, à Lyon : projection du film "Silenced"
23:08 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jeudi 1er Mai, Marion Maréchal à Domrémy
23:06 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Saisir les téléphones des drogues, en voilà une idée qu’elle est… qu’elle est… (censuré)
La chronique de Philippe Randa
Tout comme on n’arrête pas le progrès, on n’arrête décidément pas les idées lumineuses. Où ça ? En France, bien sûr !
La dernière en date est cette expérimentation lancée par le procureur de Bayonne en début de mois pour décourager les consommateurs de stupéfiants : leur saisir leur téléphone mobile… Géniale idée que le Garde des sceaux, ex-ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin s’est empressé de reprendre à son compte en annonçant qu’il comptait la généraliser.
Une version inattendue du « file-moi ton 06 (ou 07 désormais) » pour pénaliser la clientèle honnie… et aussi, bien sûr, pour découvrir qui sont leurs dealers qui, bien entendu, comme on s’en doute, ne penseront bien évidemment pas à l’avenir à utiliser pour leurs « heures de bureau » un autre appareil, distinct de celui de leur vie privée.
Tout comme le consommateur, d’ailleurs, n’y pensera pas lui-même !
Un consommateur qui risque, effectivement d’être rapidement encombré si, marié, mais infidèle, il a déjà un autre téléphone pour compter fleurette hors des liens sacrés du mariage, voire un autre encore, professionnel celui-là…
Et pour peu que les limiers de la lutte anti-drogue interpellent un maniaque de la collectionnite, on se doute du temps qu’il leur faudra pour trouver parmi tous ses bigophones quel est l’« appareil du vice », celui des paradis artificiels, si cher à Baudelaire qui les a si littérairement décrits en son temps…
Car, évidemment, seul l’appareil ayant servi à la transaction sera concerné : « La saisie du smartphone interviendra sur instruction du parquet, dès lors qu’une transaction a été effectuée via le téléphone du consommateur… »… et comme la France s’honore comme on sait de multiplier les démarches paperassières pour un oui et plus encore pour un non, cela se fera « soit dans le cadre d’une mesure alternative [aux poursuites], soit dans le cadre d’une ordonnance pénale délictuelle ou d’un jugement devant la juridiction », a précisé le procureur de Bayonne Jérôme Bourrier.
En France, on arrête non seulement ni le progrès, ni les idées lumineuses… et encore moins de rajouter une feuille au millefeuille administratif.
Et ensuite, que deviendront tous les appareils saisis ?
Seront-ils détruits ? Pas très écologique, ça…
Distribués aux plus démunis de nos concitoyens ? Mais y en a-t-il un seul qui n’en soit pas déjà pourvu, et pas forcément d’un vieux modèle ?
Vendus aux enchères, alors ?
D’autant que si, dans un premier temps, les consommateurs se feront ainsi soulager du dernier Apple ou du dernier Androïd en date acquis au prix fort, doit-on vraiment les prendre pour des imbéciles au point de ne pas imaginer qu’ils se munieront au plus vite d’appareils sans grande valeur, d’occasions ou si anciens que seuls les moins de 25 ans auront du mal à en comprendre le fonctionnement ?
On peut légitimement penser que les smartphones ainsi saisis, même un migrant clandestin n’en voudra pas…
23:00 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Salle comble pour Éric Zemmour près d'Angers... et bientôt près de chez vous !
Samedi dernier, près d'Angers, nos adversaires ont vu ce qu'ils redoutaient le plus : la France qui refuse de disparaître.
De nombreux patriotes rassemblés, déterminés, heureux de se rassembler autour d’Éric Zemmour. Une salle comble, une énergie palpable, une conviction partagée : la Reconquête n'est pas seulement possible, elle est en marche.
Ce qu'il s'est passé samedi n'était pas un simple meeting. C'était la manifestation visible d'une lame de fond invisible qui traverse notre pays.
Quand Éric Zemmour a défendu notre art de vivre français menacé, la salle entière a vibré. « Dans 30 ans, si on continue comme ça, les femmes ne pourront plus marcher librement dans la rue », a-t-il prévenu.
Et pourtant, l'espoir était bien là.
En mai, trois nouvelles occasions historiques s'offrent à vous pour venir à la rencontre d’Éric Zemmour.
À chaque meeting, le même constat : nous sommes dans le vrai, nous sommes dans le sens de l'Histoire. Et nous avançons partout en France, au cœur de nos régions !
Ne manquez pas ces moments cruciaux. Pour réserver votre place, cliquez sur le lien de votre choix :
- Le 6 mai dans le Val-d'Oise : aux portes de Paris, là où notre civilisation livre chaque jour son combat.
- Le 16 mai dans l'Ain : au cœur de ces terres qui résistent encore et toujours.
- Le 23 mai dans l'Aube : sur ces terres aux racines médiévales, où résonne encore l'écho des foires de Champagne.
22:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi 10 mai et dimanche 11 mai, à Paris, les Nationalistes honorent la Paix et Jeanne d'Arc
22:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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C’est l’immigration qui tue, pas la France éternelle
00:39 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 28 avril 2025
Election législative partielle en Saône-et-Loire : Alexandre Hinger est le candidat du Parti de la France
20:13 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Projection du film "Silenced" près de Saint-Brieuc : suite à la grande victoire qu'il a remportée la semaine dernière, le Cercle Trégor et Goëlo publie une revue de presse
Accédez à cette revue de presse cliquez ici
16:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 27 avril 2025
Robert Steuckers, initiateur de la nouvelle droite belge, invité des entretiens du Parti de la France
23:03 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'Irlande se réveille : des milliers d'Irlandais samedi dans les rues de Dublin contrre l'immigration
Ce samedi 26 avril 2025, Dublin a été le théâtre d’une mobilisation d’ampleur contre la politique migratoire du gouvernement irlandais et contre l’immigration de peuplement en Irlande. Plusieurs milliers de manifestants (entre 15 et 20 000), drapeaux tricolores irlandais en main, se sont rassemblés au Garden of Remembrance avant de défiler sur O’Connell Street, jusqu’à Custom House Quay, pour faire entendre leur mécontentement.
Lire la suite sur Breizh info cliquez ici
15:46 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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En mai, au moins trois rendez-vous avec le Parti de la France
15:39 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Camouflet pour les vieux staliniens de la LDH : après Saint-Brieuc, "Silenced" diffusé à Lorient !
Le bureau de la LDH de Lorient : Didier Cornil et Robert Posnic, coprésidents ; Claudine Cornil, trésorière ; Astrid Silvin, secrétaire. Des grands défenseurs de la liberté d’expression… pour ceux qui pensent comme eux…
Cyrano, Riposte laïque cliquez ici
Ce qui se passe en Bretagne autour du film de Tommy Robinson, « Silenced », est tout simplement grandiose. Après la diffusion du documentaire, à Combourg, sous l’impulsion de Christine Tasin, et en présence d’André Bercoff, Eric Mauvoisin envisageait, il y a trois semaines, de revenir, cette fois dans les Côtes-d’Armor, à l’invitation de l’association « Trégor et Goëlo ».
C’était sans compter sur les miliciens antifas et les journalistes locaux qui réussirent à connaître le lieu de projection. La député LFI Murielle Lepvraud, en bonne polpotiste qu’elle est dans l’âme, intima donc l’ordre au maire de Lannion, le peu courageux Paul Le Bihan, d’interdire la diffusion du documentaire, ce que l’édile s’empressa de faire. Pour la première fois depuis le début de la tournée d’Eric Mauvoisin, il fallut donc annuler la projection prévue. C’était mal connaître le président du Rassemblement Vendéen, mais aussi les organisateurs locaux, nos amis Roland Hélie, président de Synthèse nationale, Bernard Germain, président de Trégor et Goëlo, et Pierre-Yves Thomas, secrétaire départemental Reconquête des Côtes-d’Armor, tous trois très impliqués par ailleurs dans la victoire de Callac, que de croire que les choses allaient en rester là.
Ils avaient donc décidé de revenir, ce mercredi, à Saint-Brieuc, dans un lieu privé. Bien sûr, le maire socialaud de la ville, Hervé Guihard, comme son collègue de Lannion, s’empressa, sous la pression des antifas, d’interdire ce film, qu’il n’avait jamais vu, en le qualifiant de « raciste ». Nous avons donc une nouvelle catégorie de maires, en Bretagne, qui se permettent d’interdire des films diffusés dans des lieux privés. Ces actes hautement liberticides furent encouragés par toute la presse locale, à l’exception de nos amis de Breizh Info, par tous les politicards de la région, par de nombreuses associations et naturellement par tous les miliciens antifas, qui patrouillaient partout, espérant trouver le lieu des plans B mis en place cliquez là.
L’affaire fit grand bruit, car rien que dans la semaine, entre la presse locale et la presse nationale – Libération rentrant dans la bataille avec ses deux Dupont antifas, déguisés en journaleux, Plottu et Macé – 19 articles furent diffusés sur le sujet !
Bien évidemment, nos amis avaient anticipé la censure du maire, et pris toutes les précautions nécessaires. La diffusion, n’en déplaise à la député polpotiste et au maire censeur, eut bien lieu juste à côté de Saint-Brieuc, devant une centaine de personnes, et fut largement commentée dans les médias locaux.
Ce fut trop pour les fossiles staliniens de la LDH de Lorient et son président, Didier Cornil, dont l’épouse est la trésorière de la section. Ils décidèrent donc que ce premier affront pour toute la gauche liberticide bretonne ne serait pas suivi d’un second. Ils firent donc pression sur le maire de Lorient, Fabrice Loher, un sombre macroniste qui eut son heure de gloire en étant quelque temps secrétaire d’Etat à la Mer. Et bien sûr, aussi pleutre que ses confrères de Saint-Brieuc et Lannion, il pondit un arrêté interdisant une réunion privée sur sa commune, sans avoir vu lui non plus le documentaire qu’il interdisait.
Mais les vieux fossiles de la LDH Lorient, sans doute nostalgiques du mur de Berlin, décidèrent de passer la vitesse supérieure, et d’écrire à tous les maires de Bretagne, pour leur expliquer que la patrie était en danger, que les hordes fascistes allaient fondre sur tous les villages bretons, et donc qu’il fallait qu’ils pondent tous des arrêtés municipaux interdisant la diffusion d’un film qu’ils n’avaient pas vu, mais avec lequel ils n’étaient pas d’accord. Voilà comment « Le Télégramme » traduisait l’événement : Didier Cornil, président de la LDH à Lorient, invite les élus à « investiguer afin de découvrir le lieu pressenti, en alertant les propriétaires de salles, afin qu’ils soient vigilants car nous le savons toutes et tous, les réseaux identitaires avancent de manière dissimulée ».
La gauche totalitaire dans ses œuvres ! Notons par ailleurs que les seules villes où les organisateurs purent projeter le documentaire dans un cinéma ou une salle publique furent Challans et Les Sables-d’Olonne, avec des maires de droite, et Perpignan, chez Louis Aliot, du Rassemblement national. Cela n’empêche pas la LDH de Lorient et d’ailleurs de se réclamer des valeurs de progrès, et de défendre les idéaux de liberté issus de la Révolution française, qu’ils disent…
Face à l’artillerie lourde, la liberté d’expression allait-elle reculer ? Là encore, c’était ne pas connaître la pugnacité des organisateurs, qui, de manière malicieuse, contournèrent l’interdit du maire, et trouvèrent un endroit que les miliciens antifas furent incapables de débusquer. Et il y eut ce samedi soir, à Lorient, 80 personnes pour écouter de manière attentive Eric Mauvoisin présenter, pour la 11e fois depuis le début de son tour de France, le film Silenced.
Et bien sûr, à la fin de la projection, qui fut vivement applaudie par un public sous le charme du courage de Tommy, Eric Mauvoisin répondit à de nombreuses questions, avant qu’on ne passe à table, autour d’un succulent repas préparé par les organisateurs, qui savouraient, après Saint-Brieuc, le second camouflet de Lorient imposé aux petits miliciens gauchistes, aux fossiles liberticides de la LDH, aux lâches élus bretons et aux médias locaux complices de la censure.
180 spectateurs en deux séances, pari largement gagné pour les patriotes résistants bretons. Nous mettons à la disposition des collabos, qui n’ont toujours pas vu ce film qu’ils qualifient de « raciste », sa version française, et les mettons au défi de nous faire un procès s’ils trouvent un seul passage raciste, ou bien incitant à la haine, dans le film de « Silenced ».
À la fin du repas, Eric Mauvoisin annonça cinq déplacements programmés pour le mois de mai, mais surtout son prochain passage à Nantes et à Rennes, deux bastions antifas tenus par deux maires socialistes qui ont transformé leur ville en coupe-gorge.
Et si Silenced était projeté dans ces deux villes, l’affront serait alors total pour les polpotistes bretons, mais la liberté d’expression en sortirait grande gagnante.
Près de Saint-Brieuc mercredi
Près de Lorient samedi, la Bretagne ne se laisse plus intimider par les tenants de la nouvelle collaboration
Faites circuler autour de vous ce film (copiez le code d'intégration sur Youtube et faites-le circuler. Les Français pourront ainsi constater par eux mêmes la duplicité des médias et des politiciens aux ordres...
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Henri Guaino et le désordre du monde
Tout un chacun se pose la même question : où nous mène ce désordre du monde ? Donal Trump serait-il le seul responsable du chaos qu’il a engendré en augmentant les droits de douane et en voulant réindustrialiser l’Amérique ? En fait, ce que nous appelons désordre était en gestation bien avant l’arrivée de Trump au pouvoir. C’est la mondialisation elle-même qui a créé ce désordre dont Trump à sa manière tire les conclusions. C’est avec raison qu’Henri Guaino, un gaulliste atypique, répond à ces interrogations.
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Source : Journal du dimanche 27/4/2025
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samedi, 26 avril 2025
Encore deux ans de "Jupiter"… Et au moins dix ans d’errance dans les déserts médicaux ?
Didier Lecerf
Hier, vendredi, François Bayrou a dévoilé son plan pour lutter contre les déserts médicaux… Il faut dire qu’aujourd’hui, pour beaucoup de Français, trouver un généraliste, certains spécialistes (ophtalmologues, dermatologues…), obtenir un rendez-vous médical, si possible près de son domicile et dans un délai raisonnable, tient du parcours du combattant ou se révèle impossible. Ces dernières années, par la magie de notre sur-administration, les déserts médicaux se sont multipliés, condamnant des millions de patients à une éprouvante - et souvent vaine - quête du praticien providentiel sur les applications spécialisées, telles doctolib et maiia. Une illustration supplémentaire du "génie" anticipatif de nos dirigeants éclairés qui, dans le même temps, avec une inconscience ou un cynisme confondants , multiplient les campagnes en faveur de la prévention…
En 2020, dans Quel pays offre les meilleurs soins de santé au monde, l’oncologue et bioéthicien américain Ezekiel Jonathan Emanuel faisait un sort à l’assertion selon laquelle notre pays disposerait encore du meilleur système de santé. De son enquête, il ressortait en effet que les systèmes hollandais, allemand, norvégien et taïwanais sont bien supérieurs. Ce constat n’étonnera certainement pas les 87% de Français qui vivent actuellement dans un désert médical, c’est-à-dire une partie du territoire où un habitant ne peut espérer obtenir plus de 2,5 consultations par an…
Une pénurie de généralistes qui empoisonne la vie de millions de Français
Ces dernières années, en effet, alors que la population continue de croître (+30% en 50 ans), qu’elle vieillit et que la demande de soins augmente, le nombre des médecins généralistes a baissé. Entre 2010 et 2023, il est passé d’environ 103.000 à un peu plus de 101.000 (au 1er janvier 2024). De plus, selon un sondage menée auprès de 1.500 d’entre eux durant les quatre premiers mois de 2022, 65% ne prennent plus en charge de nouveaux patients en tant que médecin traitant (contre 53% en 2019). Aussi 6,7 millions de personnes, soit 11% de la population, sont-elles sans médecin traitant, dont un peu plus de 700.000 souffrant d’une affection longue durée (ALD), soit 196.000 de plus qu’en 2018 !
De fortes disparités territoriales
Au 1er janvier 2023, notre pays comptait 147 généralistes pour 100.000 habitants, contre 153 trois ans plus tôt. Cette moyenne nationale, cependant, cache de fortes disparités selon les régions, les départements et même les quartiers. En 2023, il y avait ainsi 291 généralistes pour 100.000 habitants dans les Hautes-Alpes (144 de plus que la moyenne nationale) et 234 à Paris ; mais 86 seulement en Eure-et-Loir (61 de moins que la moyenne nationale) et 89 en Seine-et-Marne…
Sans surprise, ce sont, une fois de plus, les milieux ruraux qui connaissent la situation la plus tendue. Dans son Étude sur la santé publique en milieu rural réalisée en 2022 pour l’Association des maires ruraux de France, le géographe et historien Emmanuel Vigneron a montré que « l’accessibilité à la présence médicale (y) est 6 fois plus faible (…) qu’en ville ». 82% des milieux ruraux sont considérés comme n’ayant pas suffisamment de médecins (et 1/3 de ces derniers y a plus de 60 ans) contre 69% des milieux urbains.
Toutefois, à ce dernier pourcentage, on voit bien que les zones les plus urbanisées et les plus riches sont concernées elles aussi par la pénurie. Ainsi, plus d’1,5 million de Franciliens (soit 12,5% de la population de la région) sont sans médecin traitant et 63% de l’Île-de-France (mais près de 93% de la Seine-Saint-Denis) sont considérés comme un désert médical, selon l’Union régionale des professionnels de santé (et selon un classement du Point publié en avril dernier, huit des dix villes de plus de 10.000 habitants où le nombre de consultations accessibles par habitant est le plus faible sont situées en Île-de-France : cinq dans les Yvelines, deux en Seine-et-Marne et une dans l’Essonne)…
Une pénurie due au numerus clausus
Comme le rappelle le journaliste Jean-Paul Briand, sur le site Magcentre.fr(1), dans un article paru il y a un an, le numerus clausus, c’est-à-dire la limitation du nombre d’étudiants en médecine admis en 2e année, a été mis en place par une loi de 1971 ; mais c’est à partir de 1976 que « les décideurs en santé » l’ont vraiment utilisé afin de réduire « l’offre de soin » dans laquelle ils voyaient la grande cause de « l’inflation des dépenses ». Le nombre d’étudiants admis en 2e année est passé ainsi de plus de 8.000 par an à la fin des années 1970 à environ 3.500 par an durant les années 1990 ! Tout s’est donc passé, ajoute Jean-Paul Briand, comme si les gestionnaires à la manœuvre n’avaient pas « pensé que les médecins issus des années 60 et 70 allaient partir à la retraite après 35 ou 40 ans d’activité » ! Difficile de faire pire en matière de prévisions !
Douze ans plus tard, en 1988, dans le but, toujours, de réduire l’offre de soin, une loi est venue ajouter au numerus clausus « un régime de préretraite destiné aux médecins libéraux conventionnés ». Selon les estimations, ce dernier, dénommé "mécanisme d’incitation à la cessation d’activité" (MICA), aurait permis, jusqu’en 2003, à plus de 15.000 praticiens de partir à la retraite « à partir de 56 ans », avec « une prime pouvant aller jusqu’à 39.000 euros » !
La suite, on la connaît : c’est la situation actuelle, dont un rapide tableau a été dressé au début de cet article.
Certes, comme le rappelle Jean-Paul Briand, « en début des années 2000, il est apparu évident que l’on allait vers une catastrophe démographique médicale » et des mesures ont été prises, enfin : augmentation du nombre d’étudiants admis en 2e année (de 3.700 en 2000 à 7.500 en 2012) puis suppression pure et simple du numerus clausus en 2019. Cependant, malgré cette réaction (tardive), notre pays ne retrouvera le nombre de médecins généralistes qui était le sien en 2010 qu’en 2034-2035, alors que dans le même temps, sa population se sera accrue d’un peu moins de 7 millions de personnes et que la part des 60 ans et plus sera passée de 21,5% à 30,6% ! Aussi est-il évident que la galère vécue actuellement par des millions de Français n’est pas prête de prendre fin et que l’amélioration de la prévention (un domaine où nous sommes un peu à la traîne) n’est pas pour demain. Pour conclure, l’adaptation au temps présent de la célèbre formule d’Henri Rochefort me paraît convenir parfaitement : la France de 2025 et des années à venir contient plus de 67 millions de sujets, sans compter les sujets de mécontentements. Et celui de la pénurie médicale n’est pas des moindres !
Note
1. Jean-Paul Briand, La désastreuse histoire du numerus clausus, Magcentre.fr, 22 avril 2024 (un article écrit à partir du livre de Marc-Olivier Déplaude, La hantise du nombre. Une histoire des numerus clausus de médecine, éd. Belles Lettres, 2015).
17:03 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Délinquance : la fuite en avant du pouvoir
Julien Dir
Une adolescente assassinée dans un collège privé de Nantes. Un drame odieux, qui soulève l’émotion et la colère. Que proposent aussitôt nos gouvernants, ces éminences aussi lâches qu’hystériques ? Non pas de s’attaquer aux racines du mal, non pas de mener la guerre nécessaire contre les causes réelles de la violence dans nos écoles. Non : ils parlent d’installer des portiques de sécurité, de transformer nos lycées en aéroports ou en prisons. Bienvenue dans la dystopie orwellienne au nom du « vivre ensemble ».
À chaque fois, le même scénario pathétique se répète
Les agressions sexuelles explosent dans les transports en commun ? Surtout pas d’amalgame : on placarde quelques affiches roses, on élargit les trottoirs, on explique aux femmes qu’elles ont autant de chance de tomber sur un agresseur sexuel à la pointe du Raz qu’à Meaux et on vous explique que « le respect, c’est important ».
Les attentats islamistes ravagent notre pays ? Pas d’amalgame toujours : on entoure les marchés de Noël de blocs de béton et de barbelés, comme du bétail apeuré. On ne se pose pas la question des auteurs de ces attentats et de leurs spécificités ( « Ils sont français, comme vous et moi »).
Les attaques au couteau se multiplient ? Interdisons les couteaux ! Comme si ce n’était pas la main, et l’esprit qui la guide, qu’il fallait juger. Il faudra d’ailleurs interdire la voiture aussi, pour éviter les « voitures folles ».
La délinquance flambe dans les cités ? Installons des caméras partout dans les villes, pour filmer l’effondrement au ralenti (et puis faisons, en plus, en sorte que la Justice ne puisse pas s’en servir lorsque c’est utile). Surveillons les mouvements de chaque citoyen, pour prévenir des méfaits d’une petite minorité.
Le trafic de drogue gangrène les villes et les campagnes ? Surtout ne posons pas la question des communautés qui contrôlent le trafic ni même de l’effondrement moral et sociétal qui poussent des millions de gens à consommer toujours plus.
Nos autorités réagissent toujours de la même manière : dans l’émotion, dans la panique, comme des femmes hystériques, incapables de gérer leurs émotions, de la moindre analyse froide, de la moindre décision radicale. Toujours plus de lois, toujours plus de contraintes, jamais la moindre remise en cause de leur lâcheté chronique.
Au lieu de soigner la gangrène, ils changent les pansements
Nous y voilà donc : pour « protéger » nos enfants, les lycées se couvriront de tourniquets, de badges, de portiques à 40 millions d’euros (c’est vous qui payez !). Des fouilles de sacs seront organisées sous le regard indifférent de vigiles (avec ou sans papier ?) débordés. Et tout cela pour quoi ? Empêcher un nouveau drame ? Non : pour donner l’illusion grotesque qu’ils font quelque chose, pour cacher qu’ils ont abandonné l’école, la nation, et la civilisation aux mains de barbares.
Et demain ? Demain, sachez que ce sera pire. Car cette logique de fuite en avant sécuritaire nous conduit droit dans l’enfer d’un totalitarisme « doux » : Vous serez contrôlés à chaque carrefour. On vous fera la morale (et pourquoi pas une amende ?) par caméra interposée parce que vous n’avez pas traversé la route au bon endroit. Vous serez filmés dans chaque couloir. Vous serez fichés, pistés, catalogués. Vos enfants seront traités comme des délinquants tous les jours en rentrant à l’école, au même titre que vous acceptez d’être traités comme du bétail par des « agents de sûreté » à chaque fois que vous prenez l’avion.
Tout cela « pour votre sécurité », pour votre « protection », pour éviter surtout d’avoir à nommer les responsables du chaos.
Il ne faut pas des portiques, il faut des murs extérieurs. Il ne faut pas fouiller les cartables, il faut rétablir l’ordre, l’éducation et les frontières. Il ne faut pas traquer les couteaux, il faut expulser ceux qui haïssent notre peuple et enfermer ceux qui, en son sein, nuisent à la société dans son ensemble.
Mais cette vérité-là est trop brutale pour les molles cervelles de nos dirigeants. Ils préfèrent asservir les honnêtes gens plutôt que combattre les vrais coupables.
Assez de lâcheté ! Refusons de devenir les esclaves volontaires d’un système qui préfère nous enchaîner plutôt que se battre. Si nous ne voulons pas demain vivre sous un régime de surveillance généralisée, dans un pays transformé en gigantesque camp de rétention, il est temps de ne plus se comporter en pleutre droitard, qui jubile à chaque mesure sécuritaire qui pourtant l’enchaîne lui aussi, et de refuser ces mesures absurdes, contre cette politique de l’évitement et de la soumission.
Nous devons réclamer la vraie sécurité : celle qui passe par le rétablissement de l’ordre naturel, par le droit à l’autodéfense, par la reconquête identitaire, par la restauration de notre autorité collective perdue. Pas par des portiques !
Sinon, demain, vous ne serez plus que des numéros, des bip électroniques dans les couloirs de votre propre asile, des code-barres, et au final, de la chair à canon.
Vous avez accepté les fouilles dans les aéroports, les masques en pleine campagne et à l’école sur le visage de vos enfants, les points en moins sur votre permis de conduire et les gendarmes arrogants pour 10 km/h de trop. Vous avez toléré qu’on vous enlève petit à petit vos libertés « pour votre sécurité », « pour votre santé »…
S'il vous reste néanmoins un peu de dignité et de respect de vous mêmes, réveillez-vous enfin, pas pour vous, mais au moins pour vos enfants !
Source : Breizh info. Cliquez ici.
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Diffusion des obsèques du pape François à Rome
Au moins, la retransmission de ces cérémonies est l'occasion pour les téléspectateurs français de voir en direct un spectacle devenu exceptionnel : une manifestation publique sans drapeaux algériens ou palestiniens ! Pour le reste, paix à l'âme du défunt souverain pontife.
S N
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